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Présentation de l’ABCIG Kinésithérapie oncologique

Présentation de l’ABCIG Kinésithérapie oncologique

Ann Coppé Lors du congrès de la WCPT de Genève, l’année dernière, notre président a été interpelé par la représentante du sous-groupe néerlandais en kinésithérapie oncologique, qui lui a suggéré d’organiser un congrès commun dans ce domaine. C’était évidemment l’occasion rêvée de lancer un sous-groupe en kinésithérapie oncologique au sein de notre association professionnelle. L’ABCIG kinésithérapie oncologique était né ! spécifiques. De même, identifier les « drapeaux rouges » dans cette population revêt une importance capitale et nécessite des connaissances adaptées.

Une formation KineCoach en oncologie avait déjà été lancée dans le giron d’AXXON en collaboration avec les cinq universités flamandes ; le nouvel ABCIG implique désormais aussi les milieux académiques francophones.

L’objectif de cet ABCIG est en premier lieu d’informer et d’accompagner les acteurs de terrain dans le cadre de formations susceptibles de représenter une importante plus-value dans la prise en charge de ce groupe de patients.

Les survivants du cancer constituent aujourd’hui un groupe de plus en plus important – et c’est une bonne chose, évidemment. Néanmoins, les soins de suite à apporter à ces patients restent souvent mal connus des kinésithérapeutes de terrain. Leur prise en charge avant et pendant leur traitement oncologique demande également des connaissances et une approche Enfin, il a pour objectif d’offrir une expertise à AXXON et de mettre sur le tapis les problématiques qui touchent à ce domaine afin que l’association professionnelle puisse, là aussi, mettre en place une représentation et une défense adaptées, par exemple en élaborant un code de nomenclature pour la revalidation oncologique en première ligne.

Cet ABCIG veut toutefois aussi informer et sensibiliser les médecins et leurs patients au rôle que le kinésithérapeute peut être amené à jouer dans le traitement des patients oncologiques.

Les raisons ne manquaient donc pas de créer un tel groupe dans notre pays, sur l’exemple de la WCPT.

En ce qui concerne le congrès que nous évoquions plus haut, le projet est toujours sur la table. Dans le contexte de la crise du coronavirus, nous ignorons toutefois à l’heure d’écrire ces lignes quand et sous quelle forme il pourra se dérouler…. mais nous aurons certainement l’occasion d’en reparler.

FormationContinue Diversifiez vos approches ! K I N É S I T H E R A P I E R E S P I R A T O I R E T H É R A P I E S F O R M A T I O N S M A N U E L L E S N E U R O L O G I E 2020 2021 Périnéologie • Echographie • Anorectale • Sexologie • Sport et périnée • Pilates et périnée Kiné respiratoire • Mucoviscidose • Pédiatrie • BPCO • Ventilation mécanique Thérapie manuelle K I N É S I T H É R A P I E S P O R T I V E P É R I N É O L O G I E C O N G R È S C O N F É R E N C E S A L G O L O G I E • RPG • Epaule • Pied • Périnatalité Kiné sportive • Echographie • LCA • Ischio-jambiers

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AXXON, c’est avant tout un ensemble de personnes

Sébastien Koszulap Une association professionnelle telle qu’AXXON fonctionne grâce au travail de nombreuses personnes. Souvent dans l’ombre, rien ne serait pourtant possible sans elles. C’est pourquoi nous avons décidé de les mettre à l’honneur au travers d’articles qui paraîtront tout au long de l’année. Vous découvrirez ainsi qui se cache derrière les cinq lettres du nom AXXON et œuvre au quotidien pour la kinésithérapie.

Dans cette édition, découvrez qui est chargé de vous relayer les informations liées à la profession.

Sébastien Koszulap

Quelle est votre fonction ? Je suis coordinateur de la communication francophone d’AXXON.

Quelles sont vos tâches principales ? Avec ma collègue Sophie Jans, qui assume la même fonction mais du côté néerlandophone, nous sommes rédacteurs en chef des revues publiées par AXXON : nous assurons donc l’élaboration de l’AXXON Exclusif et de l’AXXON Magazine – dont celui que vous tenez entre les mains – ce qui consiste entre autres à déterminer les thèmes des revues et les articles qui les composeront, contacter les auteurs de ceux-ci, rédiger certains d’entre eux, relire et adapter l’ensemble des textes, etc. Nous sommes également responsables de la rédaction et de l’envoi des newsletters ainsi que des messages diffusés sur les réseaux sociaux.

La gestion du site web, la réalisation des communiqués de presse, la relecture de la plupart des courriers ou encore l’organisation annuelle de notre Startersbox (notre concours destiné aux jeunes diplômés) constituent quelques-unes des autres tâches principales dont je m’occupe.

Comment faites-vous pour assurer un service optimal ? La collaboration avec Sophie est excellente. Nous nous réunissons régulièrement à quatre avec les deux directrices générales afin de décider des tâches à réaliser, les planifier et en assurer le suivi. Les journées sont chargées mais bien structurées. De plus, les nouvelles technologies nous permettent d’être en contact permanent, ce qui est très utile pour travailler efficacement et en totale adéquation. Ce fut particulièrement précieux durant la période de confinement que nous avons connue.

Comment êtes-vous arrivé chez AXXON ? Après mes études de journalisme, j’ai débuté chez AXXON en tant qu’assistant administratif au secrétariat de l’aile francophone. Certains membres de l’association professionnelle se souviennent d’ailleurs peut-être de m’avoir eu en ligne pour répondre à leurs questions. Lorsqu’un poste au sein du service communication s’est retrouvé vacant, c’est tout naturellement que les responsables d’AXXON ont pensé à moi. En 2017, après la restructuration de l’association, j’en suis devenu le coordinateur du côté francophone.

Depuis quand y travaillezvous ? Depuis le 1er mars 2013. Cela commence à dater et me donne un coup de vieux mais je m’en souviens comme si c’était hier !

Comment voyez-vous l’avenir de l’association professionnelle ? Positivement. Bien qu’il soit impossible de changer l’avis que certains portent à l’association professionnelle, quelles que soient les actions que nous réalisons, de plus en plus de kinésithérapeutes se rendent comptent de l’importance d’AXXON. Leur soutien est essentiel pour que nous puissions mener à bien notre mission.

Certains ont une image tronquée de la réalité et pensent qu’il nous suffit de réclamer les choses pour les

obtenir. Il faut garder à l’esprit que nous ne pouvons pas prendre seuls les décisions, sans quoi il est évident par exemple que les honoraires de kinésithérapie seraient plus élevés depuis belle lurette ! Nous devons lutter d’arrache-pied pour décrocher la moindre amélioration, dans un contexte économique loin d’être simple.

De nombreuses actions menées ces dernières années ont porté leurs fruits. Avec l’augmentation du nombre de kinésithérapeutes qui nous soutiennent, je suis convaincu que cela va continuer et même s’améliorer à l’avenir.

Qu’est-ce qui vous donne le plus de satisfaction ? Les semaines qui précèdent la parution des revues sont très chargées et stressantes, mais lorsqu’on les tient entre les mains, c’est toujours un soulagement et une grande satisfaction de voir concrètement le fruit de nos efforts.

Les commentaires positifs que l’on reçoit par email ou via les réseaux sociaux sont très gratifiants aussi : il est tellement plus simple de critiquer – quel que soit le sujet et souvent malgré un manque d’informations – que cela rend ces messages de sympathie d’autant plus agréables.

Que faites-vous pendant votre temps libre ? Grand fan de sport, il fait partie de mon quotidien, tant devant la télé que sur les terrains.

Je suis président d’un club de tennis de table et d’un club de futsal, ce qui est plutôt chronophage : autant dire que mes week-ends sont bien chargés ! Enfin, j’aime la bonne cuisine et suis passionné de jeux de société : en résumé, rien de mieux qu’une journée sportive se terminant par une soirée entre amis autour d’un jeu et suivie d’un bon repas !

Dans l’AXXON Magazine du mois de juin 2019, vous avez pu lire l’interview de Sophie Jans, qui était alors assistante de projet au sein de l’aile néerlandophone d’AXXON. Quelque temps après la parution de cette présentation, sa fonction a évolué et elle assure désormais le rôle de coordinatrice de la communication néerlandophone d’AXXON.

“Il y a moins d’un an, ma fonction était beaucoup plus administrative : j’étais tous les jours en contact direct avec les kinésithérapeutes car j’étais souvent la première à répondre au téléphone. Ce n’est plus le cas maintenant, bien que j’aie dorénavant plus de contacts via les réseaux sociaux. Les personnes qui y posent leurs questions recevront généralement une réponse de ma part. Sophie Jans J’aime particulièrement le fait que je puisse être un peu plus créative dans ma nouvelle fonction. Créer une affiche ou un dépliant, m’assurer que la mise en page du site web est bien en ordre, etc. : ce sont des choses qui me permettent de m’exprimer et j’en tire une grande satisfaction. Mais ce travail signifie parfois un peu plus de stress : les nouvelles doivent être diffusées le plus rapidement possible et lorsque quelque chose de très important s’annonce, nous devons mettre les bouchées doubles. Mais c’est aussi ce qui rend le travail intéressant!”

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