Recherches de matières, textures propres à la ville d’Amsterdam: couleurs, rouille, briques, mouvements...
« Etre dans la retenue de l’intervention, en veillant toujours à stimuler l’attention plutôt qu’à la monopoliser - et à signaler les strates plutôt qu’à les écrire -, a su faire de cette épaisseur mémorielle du site, et de ses volumes d’oubli, une métaphore ouverte, un véhicule possible pour l’imaginaire de ceux qui s’y aventurent. La pensée du promeneur est invitée à se donner libre cours, se retrouver, se construire et se reconstruire. » MAROT, Sebastien L’art de la mémoire, le territoire et l’architecture (page 163) Edition de la Vilette, Penser l’espace 2010
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