Tranches de vi(ll)es client auprès des compagnies afin de trouver le produit qui lui convient au meilleur prix du marché. Notre société l’accompagne dans la protection de sa vie aussi bien personnelle que professionnelle. » Depuis vingt-cinq ans dans le métier et douze ans à Cannes, Stéphane avait choisi cette profession par goût du relationnel et l’envie de donner le plus juste conseil. « Les gens nous font confiance, c’est une véritable mission. J’apprécie de les guider dans leurs choix pour la protection, le développement et la transmission de leur patrimoine. » Avec l’assurance d’une vraie réussite.
CARNOT Chemin du Pezou : rien que pour vos yeux 3
Si l’hypnose spectacle reste un… spectacle auquel chacun choisira de croire ou non, l’hypnothérapie ne cesse de progresser et de nombreux praticiens la développent jusque dans des interventions chirurgicales
mineures. Pauline Nemoz, infirmière libérale, a souhaité en parallèle se former à cette discipline qu’elle pratique désormais dans le cabinet BE Corps et Esprit, 7 chemin du Pezou. Ce cabinet spécialisé dans les médecines douces et fondé par deux infirmières réunit désormais, outre Pauline : Marine Dourlens (hypnothérapeute également), Lucie Menard (massothérapeute), Aude Coulon (massage bien-être et naturopathe), Virginie Schwartz (massages, maître Rei-ki et Access Bars) et Nadia Hamada (sophrologue psychogénéalogiste). Après l’avoir expérimentée comme patiente, Pauline a été persuadée de l’efficacité de l’hypnose : « Phobies, troubles du sommeil, addictions et bien d’autres pathologies sont guérissables grâce à elle, sans oublier d’autres situations comme l’accompagnement prénatal. » Et contrairement aux idées reçues, cela ne se fait pas en dormant : « L’hypnose nous met plutôt en conscience automatique. Cela
ressemble à l’état dans lequel on est lorsque l’on fait un geste tellement machinal qu’on a l’impression de ne pas l’avoir fait. » Une voie et une voix à suivre.
PRADO-RÉPUBLIQUE Rue Haddad Simon : question d’image(s) 4
Près d’un an et demi de travaux, en comptant les interruptions dues aux confinements : c’est le temps qu’il aura fallu pour créer au 16 rue Haddad Simon le Studio Dan Oliver, du nom de son propriétaire et photographe. C’est à lui et son projet que la Mairie, dans le cadre de sa volonté de redynamiser la rue, a loué ce vaste lieu fermé depuis longtemps et très atteint par les intempéries. « Je suis dans le métier depuis plus de vingt ans et j’ai toujours souhaité avoir un espace à moi, parfaitement équipé et où je pourrais travailler à ma manière. Et comme je suis personnellement
très attaché à ce quartier où je vis depuis toujours, c’était une très belle occasion. » Dan Oliver, spécialisé dans la photo publicitaire et d’entreprise, mais pratiquant également le portrait pour les particuliers ou les clichés d’œuvres d’art, utilise son studio pour lui-même bien évidemment, mais aussi pour les « nombreuses maisons de production qui viennent faire des shootings à Cannes. » En plus du matériel technique de premier ordre, le Studio bénéfice dans ses 150 m² de zones de confort : loges pour les mannequins, cuisine, etc. Une belle image au service de belles photos.
CENTRE-VILLE 5 Rue de la pompe : la nature en réflexe
Si la musique adoucit les mœurs, Maryline Pirrotta, longtemps disquaire à la Fnac, a choisi de pousser encore plus loin son envie d’apporter à l’autre
Californie
L’AVENUE DE VALLAURIS RÉAMÉNAGÉE ET SÉCURISÉE Dans la continuité des opérations de restructuration des chaussées et trottoirs réalisés par la Mairie de Cannes dans tous les quartiers, l’avenue de Vallauris a été réaménagée et sécurisée dans sa section comprise entre l’avenue de Poralto et le numéro 89. Après plusieurs signalements de riverains concernant la vitesse excessive de certains automobilistes, la municipalité a décidé de réaliser des aménagements afin de renforcer la sécurité de cette portion et améliorer la cadre de vie des habitants. Débutés en octobre 2021 et terminés mi-janvier dernier, les travaux menés ont consisté à réaliser une chicane (enchaînement de virages) aux abords du n° 89 par le transfert du stationnement du côté est de la voie et à aménager une écluse (resserrement de chaussée permettant le passage d’un seul véhicule à la fois) au niveau du n° 79 afin d’obliger les véhicules à ralentir. En outre, l’arrêt de bus à hauteur du n° 89 a été mis en accessibilité et des trottoirs ont été créés. Ainsi, un cheminement piétonnier est désormais continu sur l’ensemble de ce tronçon. Enfin, à cette occasion, la chaussée a été reprise avec un revêtement qui atténue le bruit de 25 à 30 %. « Ces travaux répondent à trois fonctionnalités : créer une circulation piétonne sécurisée là où il y avait zéro trottoir, apaiser la circulation routière sans nuire aux flux et embellir le quartier, tout en tenant compte de l’aspect sinueux et compliqué de cette voie départementale », a souligné le Maire David Lisnard, en visite de contrôle sur les lieux, le 28 janvier dernier. Ces réalisations s’inscrivent dans la continuité de celles déjà effectuées par la Mairie sur ce site en 2020 : installation de 25 plateaux surélevés sur la partie comprise entre le boulevard de la République et l’avenue de Bénéfiat, mise en place d’îlots centraux, d’une chicane et de coussins berlinois (surélévation de chaussée) entre les avenues de Saissy et Isola Bella. Par ailleurs, à la demande de David Lisnard, le Département des Alpes-Maritimes effectuera en 2022 un diagnostic technique afin d’inscrire dès que possible la rénovation de l’ensemble de l’avenue de Vallauris dans son plan chaussée (hors section comprise entre l’avenue Léandre Sardou et le boulevard de la République déjà rénovée en 2020).
CANNES SOLEIL N° 224 - MARS 2022
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