En particulier, l’équipe d’élaboration du rapport s’est entretenue avec :
Le bâtonnier Me Mohamed Fadhel Ben Mahfoudh de l’Ordre National des Avocats de Tunisie.
L’ex bâtonnier, Me Abdessattar Ben Moussa, Président de la Ligue Tunisienne pour la défense des droits de l’Homme.
Le doyen Hafedh Ben Salah, ancien ministre de la justice.
Docteur Nabil Ben Salah, ancien directeur général au ministère de la santé et membre à la Commission ayant élabovré le nouveau projet de loi visant à amender la loi 52.
Madame la juge Selma Abida, chargée de mission au cabinet du ministre de la justice.
Monsieur le juge Hamadi Rahmani, juge de l’exécution des peines auprès du tribunal de première instance de Tunis.
Monsieur Ghazi Mrabet, avocat et membre de l’initiative « prisonnier 52 »
Professeur Noureddine Naifar, professeur universitaire spécialisé en sciences biomédicales et en criminologie.
Un inspecteur de la police judiciaire, chargé essentiellement d’affaires de stupéfiants (qui a préféré garder l’anonymat).
1.5 Les recommandations Le rapport comporte un ensemble d’observations et de déductions, ce qui a permis de proposer des recommandations visant à améliorer les pratiques professionnelles et judiciaires dans les affaires liées aux stupéfiants et les affaires pénales en général. Aussi, dans le cadre du débat sur le nouveau projet de loi, ces recommandations pourraient se révéler utiles pour le législateur afin d’harmoniser le nouveau projet de loi.
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