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2/ Les dispositions qu’il faut prendre (deux dispositions sont possibles

IAT EMBARQUEMENT IMMED 2/ Les dispositions qu’il faut prendre

(deux dispositions sont possibles)

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Dans un cadre d’une ouverture franche, nous pourrions mettre à jour deux dispositions constructives qui transposeraient dans l’architecture tout ce qui s’exprime culturellement autour de nous.

Nous avons bien conscience que nous traversons un système politique et social structurant et des digressions de plus en plus nombreuses provenant, toutes, sans aucun frein, des signaux de l’internet et de l’éclatement des codes de conduite.

Aussi, pourrions-nous les traduire dans ce que nous bâtissons : ce seraient, soit des immeubles aboutis mais, en même temps, aptes à embarquer d’autres programmations (l’embase), soit des immeubles d’anticipation s’exprimant librement sur leurs contours (l’hybridation).

Mais, s’agit-il pour autant de libérer la construction au point de ne plus contrôler le placement de l’ut sur la partition ? Bien sûr que non. Car, peut-être est-il seulement redevenu utile de re-profi ler des projets d’architecture en commençant par le début et non pas par l’image d’une promesse qu’on ne saurait tenir.

AT EMBARQUEMENT IMMEDI

Considérons donc, pour étayer cette démarche, qu’il faille, tout de suite, dégager les expressions convenues, ces traductions évaporées de tranquillisants consensuels, pour espérer juste faire un peu mieux. L’architecture serait peut-être alors plus inspirée, plus solide et plus singulière.

Ces architectures d’embase s’enrichiraient d’additions de ponctualités nuancées de nouveaux usages associés à de nouvelles esthétiques Elles formeraient de nouveaux paysages dans lesquels les transformations seraient regardées avec grande acuité, puis assemblées par des acteurs dont le rôle serait de vérifi er leur place dans les diff érentes échelles d’une pertinence urbaine. On produirait certainement des morceaux de ville mieux éduqués, révélateurs d’une société en déplacement, mais placés en situation de « ne pas vieillir si vite ». Pour le moins, nous développerions des hypothèses mieux construites que ces bonnes et vieilles formules reconduites par des arrangeurs de villes.

« tout serait alors plus inattendu et nous évoluerions en dehors des circonvolutions ténébreuses d’une époque que Michel ONFRAY qualifi e de blanche et neutre, pendant que Michel HOUELLEBECQ la décrit, comme transie et soumise ».

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