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Dossier : Pulp Fashion Week

Qu’on se le dise : ces derniers temps, le monde de la mode grande taille explose en France. Non seulement Curvista, le seul magazine féminin destiné aux filles pulpeuses sort en version papier dès le mois de septembre mais en plus, les rondes ont aussi leur Fashion Week. Oui, sans blague. Défilés, créateurs, mannequins, petits couacs techniques, nouvelles collections, guest stars… Curvista vous raconte les coulisses.

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Un casting tour aux 4 coins de la France

Si vous suivez Curvista avec attention, vous savez pertinemment que Curvista est le partenaire officiel de la Pulp’Fashion Week et qu’à ce titre, la rédactrice en chef de magazine (moi-même) a fait parti du jury qui a traversé la France entière pour trouver les nouveaux visages de la dernière édition. Vous avez donc droit à un bon point. Composé de Blanche Kazi, la créatrice de la Pulp ‘, la blogueuse Lalaa Misaki, Muriel d’AKM design et de Georges Alexandre, le jury a débarqué à Paris, Bordeaux, Lyon et Marseille pour trouver les 20 mannequins qui ont mis en avant les créations de la Pulp. Comme prévu, le casting de Paris a été le plus intense car pas moins d’une trentaine de candidates se sont présentées. Il fallait pourtant ne sélectionner que 5 modèles. Une journée donc bien chargée qui a permis de sélectionner Pauline, Lyna, Nial, Jessika et Pénélope. A Bordeaux, seule la pépite Margaux a trouvé grâce à nos yeux. A Lyon, nous y avons découvert Fanny, Louise, Virginie, Agnès-Bénédicte et Amina. En ce qui concerne Marseille, ce sont Hyslyne, MarieLaure, Audrey et Ira qui feront parties de l’aventure. Pour l’occasion, deux journalistes nous suivaient.

Jour 1 : Le jour de la presse et des guest stars

Samedi 11 avril, 8h. C’est déjà l’effervescence au Salon Hoche où a lieu la troisième édition de la Pulp’Fashion Week de Paris. Les mannequins arrivent et filent en répétition tandis que les exposants s’installent pour un salon haut en formes et en couleurs. Le public arrive à 10h et consulte les différents stands. A peine le temps de grignoter quelque chose, il est déjà 14h, l’heure du début des défilés. La salle est bondée. Qu’il s’agisse de la presse ou de Vincent Mc Doom, la pulp est The place to be pour voir défiler nos mannequins mais aussi Fluvia Lacerda et Clémentine Desseaux. Pendant deux heures, les spectateurs en prennent pleins les yeux malgré quelques incidents techniques.

Odile Gautreau, élue meilleur mannequin de la pulp’

Le deuxième défilé de la pulp’ a lieu le soir avec des créateurs différents. C’est à la fin de ce défilé que sera décerné le prix du meilleur mannequin de la Pulp’Fashion Week 2015. Pour l’occasion, le jury sera composé des blogueuses du blog corner Vanoue, Anaïs, Lalaa, Claire… Et ce n’est autre que l’égérie de cette édition de la pulp, qui a également fait la couv’ de Paulette, qui a eu l’honneur de gagner le prix à la grande surprise du public. En effet, il s’attendait plus à voir Margaux ou Jessika. Comme quoi, les voies de la pulp’ sont impénétrables. Après une grosse journée, il est temps que chacun rentre chez soi pour recharger les batteries car demain, on prend les mêmes et on recommence.

Jour 2 :ambiance décontractée

Cette fois, les exposants arrivent un peu plus tard, anticipant les envies de grasse matinée des spectateurs. La pression de la journée de la veille s’est relâchée. Ambiance colonie de vacances aujourd’hui. C’est à la cool que les marques partenaires reçoivent les visiteurs en attendant le début des défilés de l’après-midi qui ne tardent pas à arriver. C’est un spectacle mieux rôdé qui se dévoile aux spectateurs qui n’ont pas pu venir la veille.

Olivier Wartowski, le grand gagnant du concours du meilleur créateur

Mais c’est déjà l’heure de décerner le prix du meilleur créateur de l’édition de cette année et le choix est cornélien. Blanche Kazi et moi-même, hésitons entre Olivier Wartowski et Pauline et Julie. C’est Coco Mode, le critique mode, qui tranchera. Après une visite dans les coulisses afin de palper les tissus, c’est Olivier Wartowski qui l’emporte et qui vient chercher son prix tout ému et soutenu par sa bande de potes. Le show se termine sur ces effusions de joie.

Clap de fin

Le défilé du soir est bien plus intimiste. Pour l’occasion, seulement quelques marques sont restées pour honorer le dernier défilé au programme. Elles sont récompensées par la présence inattendue de William Carnimolla, le styliste et ex-présentateur de Belle toute nue, sur M6. Pour le dernier défilé, les mannequins se lâchent et offrent un défilé haut en couleur. Oliver Jung, le créateur, s’amuse même à défiler pour une autre marque. On aura tout vu. Bref, c’est dans la joie et la bonne humeur que se termine la troisième édition de la pulp’Fashion Week Paris.

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