Trait d'Union n°114

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d’Union

Trait

114 OCTOBRE 2014 à MARS 2015


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création d’un

comité de groupe

Hubert STRAUEL

Le Crédit Mutuel est propriétaire du plus grand ensemble de presse de France, par le nombre de titres contrôlés, d’exemplaires diffusés, le chiffre d’affaires et les effectifs salariés. De nombreuses évolutions ont été imposées, malgré les désaccords exprimés par les organisations syndicales, confrontées à des restructurations permanentes. Pourtant, l’actionnaire refuse, avec une obstination constante, de reconnaître l’existence d’un groupe formellement constitué. Une position en totale contradiction avec les choix stratégiques mis en œuvre. Dans les faits, les salariés et leurs représentants sont soumis à des décisions qui s’appliquent globalement, sans que jamais nous ne soyons en mesure d’en débattre sur la base d’informations pertinentes. Nous sommes confrontés à l’un des chevaux de bataille des grands groupes monopolistes : « Think global, act Local ! » (penser globalement, agir localement). Cette situation est préjudiciable à la capacité

des organisations syndicales et des représentants des salariés à peser sur les décisions définies en petit comité, et à apporter des réponses alternatives aux défis qui nous sont posés. Surtout, elle permet à l’actionnaire d’avoir quasiment toute liberté de décision : il n’existe aucun espace de négociations permettant d’engager des débats à l’échelle nécessaire. En tout état de cause, toutes les décisions de l’actionnaire avaient pour finalité de réfuter une réalité incontournable : la reconnaissance de la notion de groupe. Il en va ainsi de la création de l’association de journaux, lien organique d’un point de vue juridique entre toutes les entreprises, à l’exclusion notoire des DNA, suite à l’intervention du comité d’entreprise auprès de l’Autorité de la Concurrence. C’est pourquoi, les syndicats FILPAC-CGT revendiquent la création d’un comité de groupe indépendant de celui de la banque. Un lieu opportun d’informations, d’échange et de dialogue Les évolutions dans l’organisation du travail du fait de la mise en commun d’outils identiques, développés par E.I. (filiale informatique de la banque), impactent les conditions de travail, l’emploi,

l’esprit du

11 janvier

en général, et la CGT en particulier, ont occupé une place de choix. La crise au sommet de la CGT - qu’il ne s’agit absolument pas de nier -, a encore donné l’occasion à des plumitifs en mal de sensationnalisme de déverser leur haine viscérale du mouvement syndical. Nous avions espéré avoir l’avis d’un adhérent, l’opinion d’un sympathisant, le point de vue d’un responsable confédéral. Bref, le respect le plus élémentaire des règles de déontologie en matière d’information. En vain ! Un fatras d’accusations redondantes et de caricatures éculées. Par la même, ils jouent ouvertement le jeu de tous ceux qui espèrent un affaiblissement, voir l’éradication du syndicalisme de classe, de lutte et d’action, pour privilégier des pratiques syndicales consensuelles, institutionnalisées, à la solde du patronat et du pouvoir politique, au nom du froid réalisme économique. "Nous vivons audessus de nos moyens… Les trente glorieuses sont terminées… Il faut être capable de faire les efforts nécessaires, au nom de la compétitivité, de la rentabilité,du remboursement de la dette…".

Hubert STRAUEL

Charlie Hebdo, une mémoire. Apparue, telle une fulgurance, une flamme vivace, après les événements tragiques de ce début d’année 2015. Un peuple debout, une renaissance républicaine salutaire, des mots puissants qu’on pensait ensevelis dans les décombres de l’indifférence. Qu’en reste-t-il ? N’était-ce donc qu’un feu de paille ? Une parenthèse enchantée ? Très vite, le discours médiatique est revenu à des considérations, disons, plus terre-à-terre. En toute circonstance, la lucidité s’impose. La médiacratie dominante se complaît dans une vision orientée, biaisée, déformante du monde tel qu’il est. En tant que syndicaliste, nous ne le dénoncerons jamais assez : en fait d’information, une vaste opération de conditionnement et de manipulation de l’opinion publique est savamment orchestrée, jour après jour. Les nouveaux chiens de garde veillent. Les exemples qui en attestent sont légions. Parmi toutes les insanités qui nous sont servies quotidiennement, le syndicalisme

les qualifications et le contrat de travail de tous es salariés. Les orientations générales définies par l’actionnaire ne visent qu’à rationaliser son investissement en agissant sur le coût du travail. Conséquence : nos journaux ont connu une saignée des effectifs sans précédent. Entre 2007 et 2013, selon les chiffres communiqués par M. Lucas, ils sont passés de 7500 à 4800 salariés ! Soit une baisse de 36 %, à coup de licenciements (groupe de gratuits de L’Alsace), départs volontaires, mutations plus ou moins forcées. Une chute qui risque de se poursuivre, alors que le non remplacement des partants reste une ligne rouge à ne pas franchir ! Une contrainte qui se solde par des opérations d’adaptations perpétuelles. Plusieurs exemples confirment cette réalité (liste non exhaustive) : • La création du BIG, devenu AGIR, instaure une agence des informations générales commune à tous les journaux. Par la même, la notion même de pluralisme de l’information est sérieusement mise à mal : tous les journaux, sans exception, sont contraints de publier des informations générales identiques, soit une uniformité imposée à plusieurs millions de lecteurs, sans que ne soit pris en compte la diversité des opinions, des cultures, des mentalités.


3 Le refrain est connu, usé jusqu’à la corde, mais le consensus médiatique fait feu de tout bois pour nous asservir à la pédagogie du renoncement et nous plier à la fatalité de sacrifices permanents. Pendant ce temps-là, quand Macron glose sur le "réel", le chômage galope, la pauvreté se métastase en un cancer envahissant, les salaires plongent et l’absence de perspectives gangrène l’avenir d’une majorité de jeunes. Les services publics, le Code du travail, la protection sociale, facteurs essentiels de cohésion sociale et d’accès à des droits fondamentaux, sont en phase d’anéantissement, confrontés à la dure loi de l’austérité. Les CICE, pactes de compétitivité, de responsabilités, les dizaines de milliards offerts sur un plateau aux rapaces de la finance, n’y changeront rien. Preuve est faite qu’une mauvaise politique ne portera jamais ses fruits, sauf pour quelques vrais privilégiés qui continuent de s’engraisser, abusant de fraude en tous genres, fiscales, sociales, sans que les bailleurs de fonds ne demandent des comptes.

1800 milliards d’euros de fraude fiscale à l’échelle européenne, avec la complicité de banques alliées. La voilà, la vraie gabegie, le prix exorbitant de la libre circulation des capitaux ! Quand une politique est mauvaise, il faut la changer. Question de logique, de bon sens. La grave crise que connaît la société mériterait beaucoup mieux que le matraquage permanent, le conditionnement pernicieux, la perpétuelle mise aux normes des esprits à l’idéologie dominante. Dans une démocratie digne de ce nom, et au vu de la crise qui s’exaspère, les citoyens que nous sommes sont en droit d’exiger autre chose que des vérités toutes faites, échafaudées dans de petits cercles de spécialistes et d’experts. L’exemple de la Grèce est, de ce point de vue, remarquable, et nous invite à reconsidérer le vrai visage d’une démocratie européenne désormais plus proche du basculement vers un fascisme assumé. L’exigence démocratique nous invite à une revitalisation du débat, à l’irruption citoyenne portant haut la confrontation des points

de vue, l’expression du pluralisme et la diversité des opinions. Plus que jamais, la presse, les médias, doivent jouer leur rôle d’information, de capteurs d’alertes, de mise en perspective des débats, des alternatives qui secouent la société, de metteur en scène des affrontements qui se cristallisent. On en est loin, et on s’en éloigne de plus en plus. Ceux qui prônent des solutions différentes, en rupture avec les dogmes du marché toutpuissant, de l’hégémonie des banquiers, sont dénigrés, mis à l’encan, décrétés non conformes, ignorés. Comment s’étonner alors de l’outrageuse promotion du Front National, et de la chape de plomb imposée aux partis progressistes ! Un souffle puissant a traversé le pays, le 11 janvier. Le vent de la République, de la liberté, de l’égalité, de la fraternité. Toutes ces valeurs qui donnent sens au combat pour une société de justice, de solidarité, d’espérance pour une humanité généreuse et solidaire. Retrouvons, tous ensemble, cet esprit du 11 janvier !

• La volonté de fusionner les deux journaux alsaciens. Même si elle est démentie officiellement, tous les signaux concordent : déménagement de l’agence strasbourgeoise de L’Alsace dans les locaux annexes des DNA, regroupement des rédactions locales des deux journaux à Colmar et Saint-Louis, opérations identiques prévues à Thann, Guebwiller et Mulhouse, lancement d’une campagne d’abonnement commune des deux journaux sur Sélestat et Saint-Louis. • La cession d’un titre édité par L’Alsace en FrancheComté (Le Pays), à son concurrent L’Est-Républicain • La fermeture du centre d’impression de Châtenoyle-Royal et le transfert de l’impression des titres de Bourgogne sur les presses du Progrès à Lyon. • La volonté de structurer le groupe autour de 4 pôles : Lorraine, Alsace, Bourgogne/Rhône-Alpes, DauphinéLibéré, qui se solde par la mise en place de structures de directions communes et la mise en réseau des outils informatiques. Loin de porter leurs fruits, ces évolutions imposées ont des conséquences catastrophiques dans tous les domaines : baisse de la diffusion, baisse des recettes publicitaires, dégradation des résultats économiques et creusement des déficits, à l’exception notoire du Dauphiné-Libéré.

Les effets sur l’état d’esprit des salariés sont dramatiques, et les problèmes de santé au travail se multiplient. De nouveaux « chantiers » - de démolition, s’entend - sont en cours de préparation. Dans un premier temps, ce sont les services administratifs qui seront impactés, avec une baisse d’activité prévisible dans les services des ressources humaines, de comptabilité. Des modifications importantes sont envisagées à la vente, sans que nous disposions des informations nécessaires pour les aborder. A moyen terme, est annoncée la fin du prépresse. Toutes les analyses concordent : la volonté de créer une agence centrale de publicité, sur le modèle de l’application éditoriale AGIR, ne fait aucun doute. Ces changements fondamentaux ont également des conséquences négatives sur les statuts des salariés. L’annonce du changement de convention collective des journalistes rattachés à AGIR va dans ce sens. Dans les faits, les journalistes rattachés à cette entité passeront de la convention collective PQR ou PQN, à la C.C. des agences de presse. Le lien avec leur employeur d’origine est définitivement cassé. A quel prix ? Verrons-nous, demain, apparaître des filiales diverses et variées, abritant des salariés exclus du cadre conventionnel presse ? Cette hypothèse doit être sérieusement envisagée.

Le groupe, lieu d’intervention des salariés Cette photographie formelle de l’état de l’ensemble de presse détenu par le Crédit Mutuel doit nous inciter à porter de nouvelles exigences face à un actionnaire tout-puissant. De nombreux salariés s’interrogent sur leur avenir. Les incertitudes sont nombreuses. Il s’agira d’y apporter des réponses concrètes. Les syndicats FILPAC-CGT considère la création d’un comité de groupe comme une étape incontournable. Elle est de nature à relancer un dialogue social très largement déficitaire. L’entreprise, identifiée en tant que titre, ne doit plus être considérée comme le périmètre adapté aux enjeux de notre époque. Face aux orientations stratégiques globales définies par l’actionnaire, l’effort doit être mis sur des exigences communes, permettant de développer la solidarité à l’échelle de l’ensemble des journaux et de sortir de l’isolement dans lequel notre actionnaire tente de nous enfermer.

DEF


le Desk central 2.0

DOMINIQue bANNWArtH

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Le nouveau desk 2.0, regroupé sur le même plateau pour une meilleure communication, une meilleure synergie et donc un meilleur journal !

L’information aujourd’hui, c’est un flux ininterrompu. Le nouveau desk central 2.0 a pour mission de gérer ce flux pour les informations générales et régionales en s’appuyant sur une équipe composée d’une dizaine de journalistes qui pilotent ainsi les éditions print région, l’édition web, les Unes et la coordination avec le bureau de Paris pour la séquence IG, tout cela en liaison avec les équipes de reporters et l’ensemble des rédactions ainsi que l’icono, le desk central (pagination, relations avec les correspondants) et le suivi de production. Le desk central 2.0 est composé de : Dominique Bannwarth (responsable), Jérôme Arnoux (multimédia), Jérôme Gil (multimédia), Anne Schoepf (desk région), Gilles Haubensack (desk région), Erwan Quéré (multimédia – desk), Michel Muckensturm (desk – IG), Mathieu Lerch (responsable icono), Serge Aimetti (coordination avec les locales) Bernard Hamann (coordination correspondants, page Dialogue et portail Pour Sortir).

Anne Schoepf

Responsable du desk région et adjointe d’Adrien Dentz, elle supervise la séquence des pages Région avec exigence et doigté en parfaite complicité avec son collègue Gilles Haubensack. Et quand l’actualité se fait pressante, que les coups de fil arrivent de partout, qu’une page se rajoute en fin d’après-midi, l’édition des pages relève d’un exercice parfois acrobatique. Mais elle sait mettre de l’huile dans les rouages…

Mathieu Lerch

Michel Muckensturm

Sur le tatami il peut sans problème remettre sa ceinture noire... mais au sein du desk 2.0, il veille plus sereinement sur la séquence d’informations générales et la réalisation des Unes par le suivi production chaque soir, en liaison avec le bureau de Paris et la rédaction en chef. Et parfois, les soirées sont sportives !

Question organisation, c’est THE spécialiste ! A la tête de l’équipe Icono, il assure au sein du desk 2.0 une vigilante veille sur l’actualité en liaison avec les reporters photographes de terrain pour faire remonter les infos ou déclencher un reportage imprévu. Chargé de la mise en place du nouvel outil photo Media Collecte, c’est aussi le champion du planning !

Gilles Haubensack

Au desk région, il gère aussi le flux quotidien des papiers, des commandes, des appels des collègu des changements de pagination ou des informations imprévues. Une sorte de chorégraphie journalistique pour cet amateur de danse et de culture qui maîtrise parfaitement aussi sa partition.


ues,

5 Erwan Quéré

Deskman polyvalent (print et web), il sait se faire entendre quand l’actualité exige de réagir au plus vite... Entre l’édition du site, la modératio n des commentaires, le suivi des pages IG certains soirs, il s’active sur tous les fronts. Et tout le monde profite de ses commentaires à chaud !

Dominique Bannwarth

Hyperconnecté le boss ! Avec le site, les alertes et newsletters pour smartphones et tablettes, il défend avec conviction et opiniâtreté l’évolution du métier de journaliste et de l’offre éditoriale de la marque L’Alsace. Son leitmotiv : ATAWAD acronyme anglo-saxon qui signifie « anytime » (à toute heure), « anywehre » (partout) « anydevice » (sur tous les supports).

Jérôme Gil

En instance de départ pour prendre en main les destinées du JDE, ce reporter passé par la locale Altkirch notamment, a plusieurs cordes à son arc. Le traitement multimédia n’a plus de secret pour lui et notamment la vidéo qu’il utilise pour compléter les « live » sportifs au Racing ou aux SR Colmar. Sans oublier ses compétitions dominicales, runnings aux pieds avec la très dynamique section athlé de L’Alsace.

Serge Aimetti

De page en page, il scanne les éditions locales chaque matin pour y déceler les articles qui pourront être mutualisés notamment. En liaison avec les desks sud et nord, il est en quête du meilleur des locales et toujours prêt à faire respecter les règles du jeu orthographiques et grammaticales !

Bernard Hamann

De Sélestat au Sundgau et du Markstein au Rhin, le réseau des correspondants n’a plus de secrets pour lui. Au cœur de cette toile, il anime l’Ecritoire avec des petites chroniques utiles. Porteur du projet de portail web Pour Sortir, il a aussi la précieuse tâche de s’occuper du courrier des lecteurs et de la publication de la page Dialogue où il met à profit son expérience, sa connaissance de la région et son sens de l’équilibre des points de vue.

Jérôme Arnoux

La plus fine raquette de l’équipe, qui anime aussi la section tennis, un jeu de fond de court bien en place. Mais quand il s’agit de débusquer une bonne info qui va faire le buzz ou un bon plan pour ne pas se faire arnaquer, il sait aussi monter au filet et reprendre de volée !


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Hubert StrAueL

départ d’un

E D A R vrai Ma a c

Après 43 années de bons et loyaux

services, Claude Hantz a décidé de prendre son envol. Le 9 janvier 2015 a été

décrété jour de fête pour honorer son départ. Tous ses amis sont venus témoigner leur amitié et saluer un camarade, dans une rencontre empreinte d’émotion. Sa modestie naturelle va encore en prendre un coup, il va encore dire que nous exagérons. Mais nous avons l’habitude de dire les choses telles qu’elles sont : Claude était un monument de la CGT de L’Alsace et du Syndicat du Livre de Mulhouse ! Sa carrière professionnelle a débuté en septembre 1972. Apprenti photograveur, il boucle sa période de formation par l’obtention du brevet de compagnon. Premier hic :

après trois ans d’apprentissage, la direction de l’époque lui inflige une 4e année de salaire au rabais. C’est là qu’il fait connaissance du syndicat FILPAC-CGT - encore appelée FFTL à l’époque -, qui ne tardera pas à régler le problème. Voilà notre Petit Claude (surnom qui n’a rien de péjoratif) convaincu de l’utilité d’être syndiqué, conviction qui ne le quittera plus. Sitôt syndiqué, il s’embarque pour un très long bail syndical, après avoir été élu pour un premier mandat de délégué du personnel en 1978. En étant réélu lors de chaque nouvelle élection, Claude est le doyen des élus du personnel de notre entreprise. A partir de 2003, il assumera, avec une conscience irréprochable, la responsabilité de trésorier du Syndicat du Livre. Le syndicalisme laissera une marque indélébile dans son parcours professionnel. Les sentiments se bousculent, entre périodes très grands bonheurs, avec des luttes épiques pour améliorer le quotidien de tous les salariés, mais aussi des moments de doute, d’angoisse, de colère et,

parfois, de remises en cause. Cette réalité est fondatrice de son engagement militant : quel que soit le contexte, dans la victoire, mais aussi face à l’échec, il ne faut jamais perdre la boussole de l’espoir, de la persévérance, de la ténacité, de la solidarité. En 1979 toujours, ce grand sportif touche-à-tout, amateur de grande musique, d’opéra, va connaître un virage essentiel dans sa vie. Lors d’un voyage en Islande, il va rencontrer Malou, très sympathique Savoyarde bon teint, médecin scolaire de son état, qui sera sa compagne. Une union prolifique, avec l’arrivée de trois enfants au foyer : Mathieu, Amandine et Laure. Comme tous les ouvriers du Livre, Claude s’adaptera à toutes les évolutions techniques : après la fabrication des clichés en zinc, il a fallu se familiariser successivement avec l’offset, avant un dernier virage dans la sphère numérique. Sa carrière est rythmée par de multiples déménagements : après l’atelier de l’avenue AristideBriand, transfert dans les locaux de l’avenue Kennedy, avant le saut définitif rue de Thann. Une dernière étape le mènera au poste de finition, intégré au plateau rédactionnel. Sa longévité au journal démontre bien que, quel que soit le niveau de qualification et les évolutions techniques, le maintien dans l’emploi n’a rien d’une utopie. Le comité d’entreprise souhaite à Claude et Malou une retraite émancipatrice, fructueuse, riche de belles surprises, dans la quiétude d’Eschentzwiller ou le grand air de Chamonix. Bon vent à tous les deux.


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PHILIPPe SeNGeLIN

je ne suisPalat !

« Le 1er janvier 2015 je ne ferai plus partie du journal ! » C’est en ces termes que par un matin d’octobre,

il m’a annoncé son départ de l’entreprise ! De qui s’agit-il ? De Jean-Louis Palat, ou Loulou pour les intimes. Jean-Louis est entré au journal en septembre 1973, au service dessin qui faisait partie du défunt service photogravure. Pendant trois ans, il y fit son apprentissage sous la houlette du regretté Jacques Wurtz et en compagnie de Jean-François Mattauer. Pendant de nombreuses années il a contribué, avec beaucoup de soin et de minutie, à la confection de nombreux documents, tels que des publicités paraissant dans notre quotidien, mais aussi pour des clients, particuliers ou entreprises, et tout ceci bien avant l’avènement des ordinateurs, en des temps que les moins de vingt ans d’entreprise n’ont pas connus. Dans le milieu des années 80, le service dessin disparu, Jean-Louis a alors été affecté au service mettage annonce pendant quelques années.

Avec l’évolution des technologies, les différents services du prépresse que furent le clavier, le mettage et la photogravure étaient amenés à fusionner pour devenir l’actuel service prépresse publicités. C’est bien entendu là, plus exactement à la coordination, qu’il y continuera et terminera sa carrière. Son humour, parfois grinçant il faut bien l’avouer, mais aussi ses légendaires coups de gueule ont fait de lui un personnage que nul ne pouvait ignorer. Perfectionniste jusqu’au bout des doigts, sa légendaire franchise et son franc parlé, on aimait…ou pas !!! Jean-Louis avait, ou plus exactement, a toujours une grande passion dans la vie : le sport ! D’abord il a commencé par l’athlétisme, plus précisément le demi-fond (800 et 1500 mètres). Licencié à l’ASPTT Mulhouse, il a foulé de nombreuses pistes et pris part à beaux nombres de championnats et de meetings nationaux et internationaux. Son amour pour la petite reine l’amènera, avec quelques autres mordus de ce sport, à la création de la section cyclos de notre journal. Des ballons vosgiens aux cols alpestres les plus mythiques, rares sont les sommets de ces massifs à ne l’avoir vu évoluer sur leurs pentes. Si l’on ajoute la natation à la course à pieds et au cyclisme on obtient un nouveau sport : le triathlon. Là aussi, il obtint de très bons résultats. Il participa ainsi aux plus grandes épreuves françaises tellles que Gérardmer, Embrun ou Nice. Mais son plus grand fait d’arme, après s’y être qualifié à la terrible course de Roth en Bavière, a été de participer au mythique Ironman d’Hawaï ! Outre le sport, Jean-Louis adore les voyages, qui l’ont mené de la Nouvelle-Zélande aux USA, de la Guadeloupe à la Réunion, entre autres ! Ah oui, j’ai failli oublier, il s’est récemment trouvé, grâce à une belle rencontre, une nouvelle passion, celle de l’opéra.

mais là!

et là! Lors d’un triathlon à Mulhouse avec son ami Denis

D’ici peu, Mozart, Verdi, Donizetti ou autre Puccini n’auront plus de secret pour lui ! Alors voilà, après plus de 40 ans à travailler ensemble, tu as décidé que l’heure était venue de mettre un terme à ta carrière professionnelle et que dorénavant ta vie sera consacrée à toutes ces passions qui t’animent et auxquelles tu regrettais toujours de ne pouvoir donner assez de temps ! Alors, bien que je me sente un peu seul maintenant, je te souhaite plein de bonnes choses pour cette nouvelle vie qui s’ouvre à toi. Mais une chose est sûre, je n’oublierai jamais tous ces supers moments (et même ceux qui ont été parfois moins drôles…) que nous avons passés ensemble. Bon vent Loulou, bon vent mon Ami !

ou là! (en 1976)


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Luc Marck, notre Monsieur

Luc a connu, et survécu, à sept

Luc est parti serein, Catherine assure la relève

ADrIeN DeNtZ

recteurs d’Académie en 21 ans, durant

tout le temps qu’il a dirigé de main de maître d’école la rubrique Education du journal. A Bac + 40 il mérite bien sa retraite, précédée de quelques par la remise de la médaille d’or du travail, comme lot de consolation à défaut d’avoir reçu les palmes académiques. Mais nous ne l’avons pas laissé partir sans palmes. Nous lui avons offert des palmes pas académiques pour faire trempette dans l’océan Indien du côté de la Réunion, son île d’attache. Luc a participé au lancement de l’opération Journaliste d’un jour, dont on organisera cette année la 20e édition, ainsi qu’à l’opération Journal au collège qui vient de passer le cap des 15 ans. Il a aussi été longtemps délégué à l’Arpeje (un acronyme d’association régions presse enseignement jeunesses), une émanation de la SPQR tombée en discrédit. Issu de la promotion 1973 du CUEJ de Strasbourg, Luc est tombé jeune dans l’océan Indien. D’abord comme coopérant aux Comores puis, après un court intermède parisien au Panorama du médecin, il a travaillé de 1976 à 1983 comme journaliste à La Réunion où il a participé à la création du Quotidien de la Réunion. Revenu, bien accompagné, dans son Alsace natale, il a surfé sur les

vaguelettes des Locales de Mulhouse et Guebwiller, avant d’atterrir au siège au fameux Desk Région, tremplin vers la rubrique Education. Militant de longue date de la CFDT, Luc s’est découvert sur le tard une passion pour la chasse et la pêche en attendant peut-être de cultiver les traditions alsaciennes. Observateur attentif de la scène scolaire et universitaire, il est passé lors des dernières élections communales de l’autre côté du miroir en devenant adjoint au maire de Soultz chargé notamment de l’application de la réforme scolaire. Il pourra donc s’interviewer lui-même pour un prochain dossier autour de l’application de cette réforme qui continue de faire couler beaucoup d’encre. Bon vent Luc !

La remise des palmes pas académiques !

orde tif s'acc c e j d 'a re L n nomb e t e e r onom en gen ou le pr m o n e l e, avec rapp ort e s l i l te e auqu f épi thè i t c e j d ta t. qu'il soi attribu f i t c e j ou ad rque ord ma c c a t e C s ion la cohé p e. du grou


9 Auditoire attentif aux explications de la guide du museum de Waldkirch

mille neuf cent

85 XV déjà 30 ans ! Paulette tout sourire !

La « Martinsganz »

Repas du Nouvel An

Dans les faits, en 1985, une

bertrAND SCHLEICHER

vingtaine de « jeunes » retraités du journal, autour d’une bonne table,

décidèrent de se retrouver tous les deux mois de façon conviviale, puis trouvant cela plutôt sympathique, ils créèrent l’Amicale des Retraités de L’Alsace (ARA) du nom de ce magnifique oiseau ! Ce qui fut fait le 13 décembre 1985 ! La présidente d’alors d’al Blanche Glatz (encore présente aujourd’hui parmi nous) passa le relais à Annemarie Jolicor en 2000, qui en fit de même en 2014, présidence reprise par Bertrand Schleicher et son équipe. Si l’amicale compte actuellement 109 membres, il va de soi que le poids des années se fait sentir et que ce vivier de fidèles qui fit les beaux jours de nos deux présidentes d’honneur serait bien heureux de voir de jeunes retraités reprendre le flambeau ! Ces dernières années quelques-uns d’entre eux nous ont rejoint, et nous espérons que d’autres suivront. Il en ira à terme de la pérennité de l’amicale. Depuis le dernier trait d’union, nous avons organisé trois sorties. Cochonnailles au grieb Une tradition de se retrouver ensemble dans une ferme-auberge vosgienne pour déguster les cochonnailles. En 2014, le choix s’est porté sur l’auberge du Grieb au-dessus du lac de Wildenstein.

Un talent fou pour réaliser cet objet d’art L’attente de l’apéritif dans un joli cadre

La « Martinsganz » Une tradition en Allemagne mais une nouveauté pour l’ARA ! Partis en bus, nous avons d’abord visité le « Museum » de Waldkirch (berceau de la fabrication des orgues de barbarie et orgues d’église) où nous avons été étonnés lors de la visite guidée par la beauté de ces instruments et le génie de leurs concepteurs. Après cela, nous avons rejoint le restaurant Adler à Glottertal dans un cadre typique de la Forêt-Noire. Accueil chaleureux, ambiance conviviale, et une succulente « oie de la Saint-Martin » ont généré une légitime satisfaction.

Découpe de l’oie de la Saint-Martin

Repas de Nouvel An C’est à l’Auberge Sundgovienne de Carspach sur la route de Belfort que nous avons porté notre choix pour bien entamer l’année de notre 30e anniversaire. Là encore, pour les 76 membres présents, les sourires en disaient long sur l’excellent moment passé en ces lieux. Sympathique tablée

AGENDA 2015

l’A.R.A.,

deux mille

26 mai : voyage de 5 jours à la Côte d’Opale, baie de Somme, une journée à Londres 6 juin : repas à thème - carpes frites à l’étang de Froeningen 19 août : journée paëlla à l’étang de Morschwiller-le-Bas 2-3 septembre : deux jours au lac Léman dans le cadre du 30e anniversaire ! 15 novembre : cochonnailles au Fouday.


Le président, Philippe Matter, a salué

la vingtaine de membres présents pour cette assemblée générale. Avant d’entrer dans le vif du sujet il a proposé de tenir une minute de silence en mémoire d’un membre décédé au cours l’exercice 2014 en l’occurrence Jean-Marie Wussler.

assemblée générale 2015

DANY MuLLer

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1. Rapport d’activité. L’année 2014 est à la stabilisation des membres. Le dernier décompte fait état de 76 membres dont 40 membres L’Alsace, 26 ayants-droits et 10 extérieurs. Les deux journées de travail ont été, dans l’ensemble, bien suivies et ce grâce à un petit cercle sur lequel peut compter le président et il les en remercie. Par contre il déplore l’absence des actifs lors des journées de travail. En effet, le seul actif présent lors de la dernière journée de travail était… le président. Cela pose question. En 2016 nous ouvrirons sûrement la réserve en entier ou a en partie en fonction de l’évolution des plans de nénuphars et ce pour une période d’essai d’une voire deux années, le but est de voir si des poissons se « planquent » dans la réserve. Encore faudra-t-il les attraper…. Les deux bancs sont été refaits : coût de l’opération 350 euros et un peu d’huile de coude pour la lasure et l’installation. Le WC a été mis en place,

il est fonctionnel mais pas encore ouvert aux membres, car il faut encore terminer la dernière tranche (agglos et gouttières). Ossi a fait les crépis et repeint l’intérieur du WC. Les années se suivent et, malheureusement, se ressemblent. En effet, la cabane a de nouveau été visitée et mise à mal par quelques vandales qui ont saccagé une partie de la réserve à outils sans pour autant emporter quoi que ce soit, coût de l’opération une centaine d’euros pour remettre des barreaux en place. D’autre part, le président déplore le manque de civisme de certains membres qui laissent traîner leurs déchets, boîtes de mais, bouteilles, et autres emballages et ne nettoient pas les barbecues. Il prévient : les fautifs de ces gestes s’exposent à des sanctions dont l’ultime sera l’exclusion de la section. 2. Finances 2014. Après son rapport, le président donne la parole au trésorier qui présenta les comptes arrêtés au 31 décembre 2014. A savoir : des recettes d’un montant de 6780,94 euros qui se décomposent de la manière suivante : report 2013 : 69,24 euros, subvention CE : 5000 euros, cotisations : 1711,70 euros. Quant aux dépenses : 3845,06 euros alevinage, 2146,37 euros divers (journées de travail, achat de matériel), et 486 euros d’impôts. Ce qui laisse un excédent de 303,51 euros pour l’exercice 2014. 3. Budget prévisionnel 2015. 5000 euros de subvention CE + solde 2014 à savoir 303,51 euros + 1500 euros de cotisations soit un prévisionnel de recettes de 6803,51 euros. Dépenses : 4000 euros alevinage, 500 euros taxes diverses + 2000 euros divers ce qui devrait se traduire par un solde positif de 200 euros.


11 4. Travaux divers 2015. Il devient urgent de faire une coupe au saule pleureur, à côté de l’abri, notamment la grosse branche cassée. Il est nécessaire d’élaguer de nombreux arbres. Ceci devra se faire fin janvier ou début février. Pour cela il faudra louer un véhicule a nacelle pour la journée (350 euros). Un bûcheron professionnel sera sollicité pour un montant de 400 euros et ce pour deux journées de travail (samedi et dimanche). Le CE sera sollicité pour une aide financière exceptionnelle. Durant l’année 2015 le WC devra enfin être fonctionnel, la journée de travail du 7 mars 2015 devrait permettre de monter les agglos pour y poser la citerne et pour le mois d ‘octobre de mettre en place la gouttière pour la récupération de l’eau.

5. Renouvellements du comité. Comme aucun nouveau candidat ne se présente, le comité en place a été reconduit à l’unanimité. Président : Philippe Matter. Trésorier : Salva Costantino. Secrétaire : Daniel Muller. Assesseurs : André Galli, Roger Karm, Jacky Lindacher, Jean-Claude Schmocker et Albert Steinbach. 6. Carte de pêche. Après le petit tour qu’a effectué le président, il en ressort que la plupart des sections de pêche (Peugeot, Hôpital ou DMC) la cotisation se situe plutôt entre 40 et 50 euros. Nous sommes à 18 euros. Il propose une revalorisation de la cotisation de 2 euros sur l’ensemble des cartes. Il part du principe que plus la cotisation est faible, moins les membres se préoccupent du site. Il est impensable de brader l’accès à l’étang. La proposition est soumise à un vote : 16 pour la proposition d’augmentation de la cotisation, 4 contre. 7. Calendrier de pêche 2015. Samedi 7 mars : journée de travail. Rdv à 8 h. Dimanche 8 mars : fermeture du brochet. Du 8 au 13 mars : étang fermé pour cause alevinage de 50 kg de truites pour l’ouverture. Samedi 14 mars : ouverture truite. Samedi 21 mars : ouverture générale carpe. Dimanche 25 octobre : fermeture carpe. Du 26 au 31 octobre : étang fermé cause alevinage de brochets 80 kg. Dimanche 1er novembre : ouverture du brochet. A partir du 7 novembre : la pêche à la carpe est autorisée en no kill . Samedi 17 octobre : journée de travail. Rdv à 8 h.

8. Alevinage. 2014 : 300 kg de grosses carpes, 300 kg de carpes de trois étés. 30 kg de tanches, 75kg de gardons, 20 kg d’esturgeons (4), 60 kg de brochets, 60 kg de grosses truites et 50 kg de truites portions. 2015 : 600 kg de carpes 400 et 200, 75 kg de gardons, 40 kg de tanches, 20 kg d’esturgeons et 70 kg de brochets pour un montant de près de 4000 euros. 9. Divers. Petite piqûre de rappel. Les carpes au-dessus de 4 kg sont à remettre à l’eau avec ménagement ainsi que tous les esturgeons et carpes kois et éviter de les décrocher sur les parties en graviers. Le président rappelle que de petits tapis de réceptions a moindre coût et des hameçons sans ardillons sont disponibles dans les magasins de pêche. Des barbecues sont mis a la disposition des pêcheurs. Pour le respect de chacun il est obligatoire de les vider et de les nettoyer et après usage de les refermer. Les cendres doivent impérativement être éteintes. Le président demande de rester vigilant et de respecter le milieu naturel, faunes et flores, ne pas laisser trainer les fils de pêches usés sur la berge ou dans l’eau car les oiseaux, canards, et autres martin pêcheurs peuvent se prendre les pattes et en mourir. Et également de tenir compte de la quiétude du site et de vos voisins pêcheurs. Le règlement intérieur est affiché sur la cabane. Suite à une grave infraction d’un ayant-droit, qui sera exclu de la section, de nouvelles clés d’accès à l’étang seront disponibles prochainement. Certains membres pensent que l’alevinage est trop important, d’autres que l’on nourrit trop les poissons. A l’issue de l’assemblée, le président invita les membres présents à lever le verre de l’amitié.


12

le volley…

CHrIStIAN eNtZ

30 ans après ils n’ont quasiment pas changé ;-)

Au début des années 80,

le championnat corporatif a vécu un événement, qui semble surréaliste

aujourd’hui, avec la participation d’un champion du monde (1974) et olympique (en 1976). En l’occurrence, un certain Miroslaw Rybaczewski recruté par l’AS Banque de France, qui ambitionnait la montée en Première Division nationale - finalement acquise avec l’USM -, et salarié aux Industries chimiques de Mulhouse-Dornach (ICMD) où évoluaient déjà les Chamberland, Cachou et autres Casi. A cette époque, comme lors de la saison 82/83, le titre du championnat corporatif se jouait à un niveau plus proche de la Pro B d’aujourd’hui que d’une modeste

…est toujours debout

épreuve départementale. Et, en face, il y avait L’Alsace avec les frères Koenig, Yves et Claude, José Bertoli, Yves Soler, Dany Rieffel et les regrettés Jeannot Burgunder et Guy Schlumberger partis trop tôt. Cela semble bien lointain… Pierre Bachelet chantait alors les corons, Philippe Lavil tapait sur des bambous, Lech Walesa obtenait le Prix Nobel de la Paix, Bernard Hinault régnait sur le Tour de France et Jimmy Connors gagnait Wimbledon et l’US Open. Aujourd’hui, les uns comme les autres chantent, pédalent et frappent, moins fort. A L’Alsace aussi la section volley a pris un coup de vieux mais tient toujours debout. Les ambitions sont différentes mais la défaite est toujours aussi inconcevable et pénible

à supporter. Les coups gagnants se faisant plus rares, avec un effectif privé de sang neuf, la joyeuse équipe de L’Alsace a pris du recul avec le championnat corporatif tout en prenant de la hauteur. Avec les beaux jours qui s’annoncent, les Yves Soler, Jérôme Stumbe, Jose Bertoli, Yves Koenig, Dany Rieffel, Dany Muller, Hervé Stenger et leurs amis tapent la balle désormais sur les sommets du Rebberg au jardin de la Société d’hygiène naturelle, le mercredi de juin à septembre à partir de 18 h 30 jusqu’à la fin du jour (possibilité de manger sur place après l’entraînement si l’on prévient à l’avance) pour être d’attaque au prochain tournoi des partenaires de l’ASPTT Mulhouse-Volley.


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HerVÉ SteNGer

la section muscul’ Situé sur les hauteurs de Rixheim en prenant la direction de Zimmersheim, à la limite

de la commune de Riedisheim, se dresse en pleine nature le complexe sportif CMCAS EdF/GdF. En 1990, les premières pierres étaient posées et la même année, un ancien du journal, Maurice Kintz (plusieurs fois champion d’Alsace, du Haut-Rhin, 3e et 4e aux championnats de France d’haltérophilie) était contacté comme conseiller pour équiper une salle d’haltérophilie/ musculation au sein du complexe.

Pratique :

L’année suivante, la section Musculation a été créée au comité d’entreprise de notre journal et l’on a pu bénéficier depuis de cette salle. Si la plupart des agrès ont été installés depuis le début, c’est récemment qu’a été renouvelé le parc du « coin cardio », à savoir le vélo de salle, le tapis-jogging et le vélo elliptique. Un rameur complète ces équipements. La forêt aux alentours est toute indiquée pour les sportifs qui ne sont pas adeptes des machines de torture et qui préfèrent pratiquer un jogging au grand air. Le complexe dispose de vestiaires et douches séparés, accessibles aux joggeurs comme aux adeptes de la musculation, à condition d’être membre de la section Muscul’. A noter, la section Muscul’ fêtera en 2016 son 25e anniversaire.

Par mesure d’hygiène, il est demandé de nettoyer les guidons et les selles des appareils du « coin cardio » après chaque utilisation. Un produit désinfectant et des serviettes en papier sont à disposition. Pour les autres agrès, il convient de poser une serviette sur le siège.

Complexe CMCAS EdF/GdF Chemin de Brunstatt 68170 Rixheim. Heures d’ouverture : du lundi au vendredi de 8 h à 22 h, samedi de 8 h à 20 h, dimanche matin de 8 h à 12 h. La salle de musculation du complexe sportif se trouve au niveau -1, au fond à gauche du terrain sportif. Lors de l’inscription au CE, une carte de membre est déposée au complexe. Président : Franck Delcurie (7043), secrétaire et trésorier : Hervé Stenger (7072).


8 saison en corpo

14 C’est dotés des nouvelles tenues que les sept joueurs

e

de l’équipe Corpo de la section

eVe DeGeNHArDt

Smash collectif

Une partie de l’équipe Corpo et ses nouvelles tenues

badminton de L’Alsace disputent actuellement leur 8e saison de championnat interentreprises du Haut-Rhin. L’équipe de L’Alsace rencontre lors de 14 journées, sept équipes formées par des grandes entreprises régionales (Peugeot – Dupont de Nemours – Novartis - Emerson – DSM – Crédit Agricole – Ecole de Chimie). Les résultats de l’équipe de L’Alsace durant toutes ces années n’ont jamais faibli et continuent à se maintenir plutôt dans le haut du tableau. Les fondements même de cette discipline – prise de plaisir et progression extrêmement rapide, matériel peu onéreux, proximité de notre aire de jeu – font du badminton un sport à la pratique résolument moderne. Il faut y ajouter un facteur décisif : une parfaite mixité. Le badminton était jusqu’aux jeux olympiques de Londres la seule discipline jouée en double mixte. Sport de raquette le plus rapide du monde (propulsant le volant à 493 km/h pour le record), spectaculaire, complet, le badminton est pourtant un sport qui garde, collé à la peau, une image d’activité de plage pour certains, de sport scolaire pour d’autres. Faites votre opinion et venez-vous essayer à ce sport en simple ou en double, quel que soit votre niveau de jeu. Vous constatez que quelques grammes de plumes sauront vous surprendre et vous faire transpirer… Retrouvez-nous les lundis et jeudis entre 12 et 14 h sur les terrains du Squash 3000 à Mulhouse dans un contexte convivial et décontracté.


MAtHIeu LerCH

une belles

15

aison de cross

Avec une bonne participation lors de la saison hivernale de cross,

la section athlétisme poursuit son petit bonhomme de chemin. Profitant de l’actuel engouement général pour la course à pied, les athlètes de l’entreprise ont continué à recruter cette année. Pour ses débuts en course, Jean-Marie Pascal (expédition) a ainsi participé à cinq des six cross corpos disputés entre novembre et février. Et pour son retour après quelques années passées à pouponner, Arnaud Buffler (rotative) a carrément fait un carton plein, s’alignant sur les six courses. A souligner également, l’arrivée de Michel Conrad (correspondant à Colmar) venu épauler Richard Schneider en V3.

Les résultats de la saison de cross 14 coureurs de L’Alsace se sont alignés sur les six cross corpos qui figuraient au calendrier de l’hiver. Au challenge du nombre de participants, nos coureurs finissent pile au milieu du peloton : 14e sur 27 équipes. Au niveau classement sportif, c’est un chouia moins bon : 15e sur 27. Dans les classements individuels, honneur aux dames, qui ont bien progressé. Camille Bihr se classe 3e junior, Vanessa Meyer-Wirckel 6e senior, Marina Della Rocca et Martine Jeangeorge sont respectivement 15e et 16e en V2, Stéphanie Mathis et Karine Rietsch sont respectivement 20e et 31e en V1. Chez les garçons, Jérôme Gil finit 41e senior, Mathieu Lerch et Arnaud Buffler se classent 16e et 55e en V1. En V2, Denis Sollier finit 27e, Jean-Marie Pascal 33e, et Laurent Gentilhomme 73e. Enfin en V3, Michel Conrad et Richard Schneider sont respectivement 20e et 27e.

Sportivement, le bilan de la saison de cross est contrasté. Après une belle vague d’adhésions l’année dernière, la section pensait faire un carton au niveau du classement cet hiver. Hélas, les petits bobos se sont multipliés, et les classements, individuels et collectifs, en ont souffert. Se sont ainsi évanouis les espoirs, un temps caressés, de podium chez les seniors féminines pour Vanessa Meyer-Wirckel. Et la malédiction du tendon d’Achille a atteint cette année les deux anciens présidents Laurent Gentilhomme et Richard Schneider, qui ont dû écourter leur saison. C’est donc la jeune Camille Bihr qui a décroché la meilleure place, en s’installant sur la 3e marche du podium des juniors. La relève est assurée !

S’annonce maintenant la saison estivale, avec pour objectif la participation à des trails et courses sur route. Le tout sous de nouvelles couleurs, puisque la section s’apprête à commander de nouveaux maillots, histoire de pouvoir équiper aussi les dernières recrues, et de montrer les couleurs de l’entreprise. Si vous avez envie de rejoindre les rangs de la section, un contact : Mathieu Lerch au 06 08 28 44 69. L’inscription aux cross est gratuite, il suffit d’un certificat médical. A noter que, régulièrement, les membres de la section vont trottiner dans l’heure de midi, au départ du siège, rue de Thann, ou au parc Décathlon à Wittenheim.


16

YVeS rIGONI

la section foot à la relance… Après une année 2014 en demi-

teinte, la section foot repart de l’avant !

Une nouvelle équipe pour gérer la section avec plein d’idées et de projets. Conscients qu’il serait compliqué d’engager une équipe en championnat Corpo, nous avons déjà réfléchi à plusieurs façons de se retrouver sur le terrain pour défendre les couleurs de notre journal. Plusieurs manifestations s’ouvrent à notre passion : tournois au printemps et en été, tournois en salle en hiver et rencontres contre des clubs de notre région et, pourquoi pas, aller encore un peu plus loin en affrontant nos collègues des autres journaux. Nous avions accueilli le Républicain Lorrain il y a quelques années et aucun match retour

n’a été organisé, alors pourquoi ne pas nous déplacer en Lorraine… et dans le même esprit nous pourrions également affronter les DNA. Autre possibilité si nous sommes assez nombreux, nous pourrions également nous retrouver une fois par semaine pour jouer ensemble en salle. Mais pour que cela ne soit pas juste des mots, nous avons besoin de savoir qui, dans notre entreprise, serait prêt à donner un peu de son temps pour tacler, plonger, dribbler et scorer sur quelques passements de jambe. Pour cela, vous pouvez vous faire connaître auprès du nouveau président et du nouveau trésorier de la section : Yves Rigoni (yves.rigoni@lalsace.fr) et Lionel Baïlen (lionel.bailen@lalsace.fr).


17

des « L’Alsaciens »

toujours dans l’allure Si les cyclos de L’Alsace ont changé de braquet pour mettre

la pédale douce cet hiver, ils n’en sont pas moins restés actifs. Outre un entretien léger, un peloton affamé de kilomètres a tenu sa traditionnelle assemblée générale le vendredi 9 janvier dans le cadre d’un dîner à l’hôtel Mercure de Gilles Geudin. Ce dernier enfourche volontiers son vélo pour accompagner les « L’Alsaciens ». Avant de se projeter vers les objectifs 2014, le président Philippe Sengelin a rappelé les meilleurs épisodes de la sortie 2014 en Autriche. Comme ce déneigement opéré en route vers le mythique Stelvio, col du non moins fameux Tour d’Italie, avec les moyens du bord, pour le plus

GILLeS LeGeArD

grand bonheur d’automobilistes en attente des services spéciaux. Très peu d’obstacles peuvent freiner les ardeurs des cyclos, qui ont déjà d’autres sommets en tête. En attente du parcours 2015, qui sera couvert du 10 au 12 juin 2015, la cheville ouvrière Pierre Thirion en a dévoilé les contours. Avec un camp de base établi à Morzine, la montée vers Avoriaz sera le plat de résistance d’une première journée où sont aussi recensés le Pas de Morgins, le col du Corbier et le col de la Croix pour les plus ambitieux, qui prendront les premiers la route quelques kilomètres en amont. Les cols de Joux Plane et de la Ramaz sont au menu des réjouissances du lendemain et même la grimpée d’Avoriaz par les Lindarets

pour les plus téméraires. Le col de la Colombière sera à gravir le troisième jour avec une arrivée finale jugée à Bonneville. Nul doute que les fous pédalants en redemanderont… l’année suivante. « Pour le reste de l’année, on va essayer de remotiver les troupes », avec un rendez-vous mensuel, envisage-t-on au sein du comité formé par le président Philippe Sengelin, son secrétaire Mathieu Lerch et le trésorier Hervé Stenger, ne serait-ce que pour préparer au mieux cette échéance du mois de juin. Sur les 30 membres de la section cyclos, 25 avaient répondu présent en 2014, ils sont déjà 19 inscrits en 2015. Ces « L’Alsaciens » restent décidément dans l’allure.


JerOMe ArNOuX

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Arnaud

Jérôme

Laurent

la section tennis

reprend du souffle Daniel

Depuis un peu plus d’un an,

les tennismen du journal sont motivés comme jamais. Est-ce l’appât du gain ? Non, car les prize money sont toujours réservés aux joueurs de l’ATP. Une charmante joueuse aurait-elle intégré la section ? Pas encore, mais l’on ne désespère pas d’attirer un jour les filles du journal amatrices de raquettes. La raison de ce regain d’enthousiasme est ailleurs : chaque mardi entre 12 h 30 et 14 h, la section tennis se donne rendez-vous au TC Lutterbach pour un entraînement collectif. Jérôme Arnoux, qui préside la section, explique comment est née cette idée : « Au fil des années, nos joueurs trouvaient de moins en moins le temps de s’entraîner entre eux. Ils continuaient à jouer en compétition, mais étaient parfois à cours de forme et se blessaient régulièrement (il faut dire qu’ils prennent de l’âge…). D’où l’idée de mettre en place un rendez-vous hebdomadaire dans notre club, sous la supervision d’un entraîneur… » Un sondage effectué par mail auprès des salariés du journal a montré que l’idée séduisait et a permis de fixer le mardi midi comme heure de rendez-vous. Dylan Nauroy, éducateur au TC Lutterbach classé 15/1, a alors accepté d’encadrer les joueurs de L’Alsace. La formule a immédiatement remporté un vif succès : l’affluence est au rendez-vous et les progrès techniques sont spectaculaires (voir les témoignages ci-dessous). Dès les printemps 2014, nos deux équipes ont bénéficié de ces progrès en s’illustrant dans le haut du tableau de leurs championnats. Quant à Christophe Witz, il a conquis début février un nouveau titre de champion du Haut-Rhin des plus de 45 ans avec une facilité déconcertante !


19 Mais trêve de bavardage et laissons aux intéressés le soin de décrire ce que leur apporte ce rendez-vous du mardi : « Roi du revers » Jean Deutsch.- « Le plus dur, aux entraînements du mardi, c’est… quand je ne peux pas y aller. Privé de compétition en raison de contraintes professionnelles (mon boulot, c’est de parler des tournois, pas de les jouer, malheureusement), ces entraînements sont le seul moyen, pour moi, de passer de la théorie à la pratique. Avant que ces entraînements existent, j’avais par exemple entendu parler d’un coup qui s’appelle « revers ». Depuis, grâce aux conseils de tous mes coéquipiers, je suis devenu le roi du revers. Ben oui, je ne gagne pas un match. C’est bien ça, un revers, non ? ». « On progresse en s’amusant » Laurent Bodin.- « Ça chambre à tout-va, ça canarde dans tous les sens, ça souffle et ça souffre (enfin surtout moi), ça use les bâches de fond de court parce que mon coup droit est souvent un peu trop puissant mais on progresse en s’amusant. Ou l’inverse. De ma propre initiative, je ne prends plus de rendez-vous pro le mardi midi… » « Je vous dit merci » Christophe Witz.- « Je ne sais pas si je préfère les entraînements où chacun taquine l’autre sur son soi-disant revers de rêve ou son coup droit de folie, ou bien les échanges de mails Alain

Jean

avant les entraînements… qui sont à mourir de rire. En tout cas moi je vous dis merci pour l’ entraînement technique que j’ai pu réaliser tout cet hiver grâce à votre vitesse de balle. » « Tiré vers le haut » Arnaud Buffler.- « Les entraînements du mardi pour moi, c’est avant tout convivial mais surtout très enrichissant pour la technique et la tactique grâce à notre jeune coach Dylan mais aussi à nos joueurs d’expériences qui nous tirent vers le haut. » « Plaisir et… tennis-elbow » Dani Riffel.- « J’ai beaucoup apprécié ces entraînements du mardi, moi qui ne joue plus régulièrement cela m’a permis de revoir les anciens collègues et reprendre le tennis. Cerise sur le gâteau, je me suis fait un tennis-elbow de toute beauté (merci mon matos !) depuis le mois de mai dernier, mais je serai là ce printemps avec plaisir. » « Convivialité, progression et compétition entre nous » Alain Wamster.- « J’adore ce rendez-vous du mardi, il se passe toujours dans la convivialité. Cela nous permet de bien progresser avec des cours adaptés à notre niveau et crée aussi un petit esprit de compétition entre nous... C’est une formule gagnante ! » Se renseigner sur la section auprès de Jérôme Arnoux (07 86 63 96 89).

Chris es bonifie atvoepchel’âge Christophe Witz est non seulement le plus ancien joueur de la section tennis, mais il est également le plus titré en individuel. Sa première victoire dans le championnat du Haut-Rhin corpo date de 1983, alors qu’il n’avait pas encore 18 ans ! Cela date tellement que les archives de l’époque sont imprécises. Mais certains moines copistes ont permis de mettre au jour au moins quatre victoires toutes catégories (1983, 1992 , 1993 et 2000) et quatre autres en plus de 45 ans (2011, 2012, 2014, 2015). Et ce n’est probablement que la partie émergée de l’iceberg ! Christophe, qui se bonifie à l’approche des 50 ans, a été sans pitié cette année pour le finaliste, étrillé 6/0, 6/1 bien que classé 15/3 ! A ce rythme, « Monsieur » Witz peut encore espérer retrouver son meilleur classement (15), obtenu en 1990. On le lui souhaite et on le félicite vivement !


20

la piste aux pour un Noël et un anniversaire

Une jolie famille «tout sourire»


SÉVerINe DePOND

21 Près de 300 personnes dont

120 enfants ont participé le 7 décembre

dernier à la fête de Noël organisée par le comité d’entreprise. Une belle réussite que les salariés de tous horizons ont partagé pour fêter pour un double événement : la venue du père Noël pour gâter les enfants mais aussi du gâteau enflammé pour célébrer les 70 ans du journal. Car cette année, la fête était étoffée pour l’anniversaire de L’Alsace. Tout d’abord avec un spectacle de haute tenue : les ateliers de la piste Zavatta ont assuré le show. Et quel show ! L’équipe de M. Vignaud s’est pliée en quatre pour fournir un spectacle sur mesure, adapté à l’espace Dollfus et Noack avec des moyens techniques qui n’étaient pas évident à déplacer. Vingt tableaux se sont enchaînés pendant 1 h 30 avec quinze artistes sur scène. Du très beau spectacle pour les enfants et leurs parents. À noter que celui-ci a été produit bénévolement, les bénéfices étant reversés à l’association dont les missions sociales visent à prévenir la délinquance et les conduites à risques. Chapeau bas les artistes ! L’année 2014 marquant les 70 ans de L’Alsace, la commission sociale du CE a travaillé en étroite collaboration avec le service marketing pour assurer le plus bel effet. Mission accomplie ! Le grand gâteau décoré de 70 bougies a fait son entrée sous les feux d’artifices et les applaudissements nourris. Aussi bon que beau, la surprise a tenu toutes ses promesses. Lors de la tombola, de très beaux lots offerts L’atelier photo proposé par Philippe permettait aux familles de retrouver leurs sourires à la Une... Chouette souvenir !

par la direction ont été remportés, dont un voyage de 1000 euros. Là encore de nombreux tickets gagnants pour le plaisir de tous ! Et finalement, même les moins chanceux sont repartis avec un mug collector du journal... Pas de perdant ce jour-là. Côté animation, les fidèles maquilleuses ont grimé plus de soixante bouilles d’enfants ravis... Laurent l’échassier et le duo Gypsie à la guitare ont égayé l’après-midi pendant qu’était proposé la possibilité de mettre sa famille en « Une du journal pour un beau sourire » et de repartir avec la photo souvenir. La création était à nouveau au rendezvous avec l’atelier bougie qui a permis aux enfants de réaliser une bougie originale avec une feuille de cire d’abeille. Clou de l’après-midi, l’arrivée du père Noël pour le goûter. Cette année, l’homme en rouge est venu... à vélo ! Et chargé comme à son habitude de délicieux paquets de chocolat... Après quoi les tables étaient dressés avec les cadeaux pour les enfants... Chaque année la commission sociale se creuse la tête pour trouver de quoi contenter nos bambins... Visiblement c’était à nouveau les bons choix. Tant mieux ! Le succès de cette journée passe indéniablement par l’investissement des élus du CE, quasiment six mois d’organisation, mais qui en vaut la peine à la vision des sourires des enfants ébahis devant « un monsieur qui est super grand et qui saute » ou « les deux madames sur les grosses boules qui roulent »... Et si en plus les parents sont contents... Jackpot !

Le duo Gypsie accueillait les arrivants sur des airs de guitares rythmées...

Pendant que Laurent sur ses échasses bioniques en profitait pour surprendre les enfants « avec son chapeau qui touchait le plafond ! »

Cécilia notre fidèle maquilleuse pour le plaisir des petits et des mamans attendries


22 Le service marketing avait mis le paquet sur le gâteau géant et pétillant !

Petits et grands n’ont pas résisté à la photo avec le père Noël et encore moins à ses chocolats !

Magnifique show du Cirque Zavatta


23

29 salariés tirés au sort et gâtés lors de la tombola, exceptionnellement dotée cette année


n MULHOUSE Cinéma Kinépolis..................................... 6,30€ n WITTENHEIM Salle Gérard-Philipe Réduction sur présentation de la carte du CE

n MULHOUSE Le Palace ........................................................................................... 5€

u EUROPAPARK Été : du 28 mars au 8 novembre 2015

u ...........................................................

u PISCINES carte de dix entrées

34 € u

n PISCINES M2A Valable dans toutes les piscines de la M2A (y compris Rixheim) ........................................................................................... 21€

n PIERRE-CURIE MULHOUSE

Carte bien-être ............................................................................................................. 19€

n Centre nautique RIXHEIM Vente uniquement sur place (présentation carte CE obligatoire) pour les habitants de la M2A Carte bien-être ............................................................................................................ 66€ Remise en forme + piscine ............................................................... 86€

n Pour les piscines hors de MULHOUSE 30% sur présentation de la carte ou abonnement

u LAGUNA

u

n 3 heures

Adulte ................................................................................................................................... 8,00€ Enfant ...................................................................................................................................... 6,00€

n Adulte journée

Du lundi au vendredi ............................................................................... 8,40€ Samedi, dimanche ou férié ......................................................... 9,10€

n Enfant journée

Du lundi au vendredi ............................................................................. 6,30€ Samedi, dimanche ou férié ......................................................... 7,00€

@

u BILLETTERIE SPECTACLE

u ZOOS n MULHOUSE

n 20% sur présentation de l’abonnement ou 2 billets par an (dans la limite de 30 euros)

n Complexe CMCAS EdF/GDF à Rixheim (limite Riedisheim)

u METRO

Chemin de Brunstatt (au-dessus du Gotha) Individuel « CE L’Alsace » ............................................................................60€ Couple « CE L’Alsace »................................................................................. 100€ (inscription au même moment) Les inscriptions se font pour 12 mois.

u BILLETTERIE SPORTIVE n FOOT MULHOUSE / STRASBOURG / SOCHAUX 2 billets/an, 15€ maxi par personne n Autres rencontres sportives

Achats en gros : se renseigner au CE.

n METRO EQUIPEMENT (Mulhouse) Se renseigner au CE.

u MUSÉES et TOURISME ANIMALIER Prix de groupe sur présentation de la carte du CE ou 20% sur présentation du billet d’entrée.

u PARTENARIATS

u

10 % sur présentation de la carte CE.

Jusqu’à épuisement du budget, limité à 1 carnet par mois : valeur du chèque : 4€, avec participation du salarié de 50% par chèque. Conditions : uniquement personnel des agences. Cartes restaurant d’entreprise Clemessy disponibles au CE : équipes de jour, administration et personnel travaillant toute la journée.

Retrouvez votre Trait d’Union sur le site : http://issuu.com/alsacece/docs/tu114

n FRIBOURG (Allemagne)

n Point S : 5 % sur présentation de la carte CE n Eden Espace Dollfus & Noack Sausheim :

u TICKETS RESTAURANTS

TU 114 sur la toile

u

n Vita Impex, Devianne, Bijouterie Delatour :

2 billets /an ou 20% sur présentation de l’abonnement rencontres sportives

Bons à 18 € (valeur 20 €), 27 € (valeur 30€), 45€ (valeur 50€)

Tarif réduit sur présentation de la carte du CE

n BÂLE

Adulte ..................................................................................................................................................... 8€ Enfant (6 à 12 ans) ........................................................................................................ 4€

u MUSCULATION

u BONS DECATHLON

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réductions sur présentation de la carte CE n Hippopotamus : réductions sur présentation de la carte CE (Dornach, Illzach).

u SKI LA BRESSE

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Possibilité de forfaits, renseignements au CE.

Horaires CE Renseignements complémentaires : Gisèle Fawer 03 89 32 70 34 Lundi 8 h 30 à 11 h - Mardi 14 h 30 à 17 h 15 Jeudi 8 h 30 à 11 h - Vendredi 14 h 30 - 17 h

Le CE est fermé le mercredi 18, rue de Thann, TSA 68001 68945 MULHOUSE Cedex 9

Bulletin réalisé et confectionné par les travailleurs du Livre syndiqués du journal DEF

u

d.plana

Ces tarifs sont donnés à titre indicatif, ils peuvent varier en fonction de l’augmentation des prestataires.

u CINÉMAS

sdh

Sport, loisirs, vacances, achats: le comité d’entreprise vous propose un large éventail de tarifs réduits. Certaines possibilités sont connues, d’autres moins. Voici une liste réactualisée des activités, spectacles, etc. bénéficiant d’une réduction. La billetterie marquée du signe u est accessible aux retraités.


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