CIVILISONS NOS COLONIES parisienne.
L ne autre
paver l'absinthe
mant que pour ce complète.
Il
La chose
comme
les
il
fond
le
le travail
fini
sucre
pouvait prétendre à
», esti-
piuée
la «
»
de multiplier ces exemples.
Dans une
deux parts
y a
—
sous
« dix il
est naturelle.
la nôtre,
peu par
à
prix,
serait facile
en l'analysant,
veau,
nn de mes administrés IhA dcDong-Dang
fois,
plaindre qn'un cabarelier chinois
\{\\i se
faisait
7.'',
commun
civilisation vieillie
distinctes.
On
trouve,
de principes formé peu
des siècles, le façonnement du
cei'-
sédiments déposés dans l'âme par d'innom-
brables générations chrétiennes. Tout cela se transmet
inconsciemment dans stitue
Mais
proprement
il
faut,
ce
de
la partie saine
la
que nous appelons
pour atteindre
une écume, une couche de
race et con-
« civilisation ».
cette base solide, traverser
vices et de
germes morbides,
produit des fermentations sociales.
Ces germes, cjuand et
que
les parties
vellent plus
la
fermentation devient très active
profondes de
aux sources
la civilisation
ne
se
renou-
ont produites, se déve-
cjui les
On
loppent et empoisonnent peu à peu l'organisme.
comprend combien leur action et
doit être plus
plus funeste sur des sociétés en enfance
amassé au cours des réserves de santé
pour
siècles,
morale
de
et
cjui
résister
vitalité
immédiate n'ont point
au mal,
les
que nous avons
encore. C'est la décomposition sans remède.
La démoralisation rapide
complète des races con-
et
quises, leur effondrement tient
donc
qu'on
à ce fait
les
éléments toxiques de
met en contact d'abord avec
les
nos sociétés.
de créer des besoins nou-
A
Il s'agit,
en
effet,
eaux à ces troupeaux humains
et
pour paver leur consommation
mot de
la civilisation
tliode pratique
:
commerciale.
flatter
GRA^•DMAISO^•
de
—
leurs
les
c'est
On
mauvais
faire là le
produire dernier
connaît la instincts,
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