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O. M. AÎVANHOV O. M. AÎVANHOV-5 avril 2007 Et bien, chers amis, je suis extrêmement content de vous retrouver en cette période si propice, juste avant la période de Pâques, qui est une période extrêmement importante au niveau vibratoire. Alors, comme d'habitude, nous allons, si vous le voulez bien, commencer à échanger par rapport à vos interrogations, vos questions et ce qui vous tient à cœur dans la mesure du possible où je peux expliquer et vous aider à avancer vers le chemin de la Lumière. Alors recevez d'abord mon bonjour, mes salutations aussi et mon amour. Et je suis à votre écoute maintenant.
Question : pourriez-vous nous parler de ce que les astronomes appellent les trous noirs ? Chère amie, cela correspond, comment dire ? Vous avez des portes au niveau des planètes, comme la planète Terre où vous vivez, ce que nous appelons des portails et des portes qui permettent l'accès à des nouvelles dimensions. Vous avez aussi, au niveau de certains endroits de la planète, des nœuds telluriques extrêmement importants parce que ils se focalisent à ce niveau et vous avez aussi les influences cosmiques diverses et multiples qui arrivent sur la planète depuis son existence. Vous avez, de la même façon, au niveau du pôle nord et du pôle sud, des portails/vortex extrêmement grands d'accès à l'intra-Terre. Alors, il faut concevoir les trous noirs comme des portes situées dans l'univers, dans les inter-espaces qui permettent d'accéder à l'omnivers c'est à dire l'inverse de l'univers. Ce sont des points de passage vers d'autres dimensions à l'échelon non plus de l'humanité, par exemple incarnée sur Terre, mais à l'échelon de systèmes solaires en totalité qui sont absorbés, en quelque sorte, par ces trous noirs pour se retrouver de l'autre côté du miroir qui correspond à l'accès, cette foisci, non plus d'une planète ou de certaines planètes de constellation ou d'un système solaire mais à un ensemble galaxique dans une autre dimension. Ça sert simplement à l'ensemble des galaxies de passer et de faire des sauts pour passer de l'autre côté du miroir de même que, vous, au moment de la mort, vous passez de l'autre côté du miroir. C'est une espèce de mort mais pas une mort définitive, bien évidemment, une mort à un état pour renaître à un autre état qui est bien au-delà du simple phénomène qui correspond à l'ascension individuelle ou à l'ascension planétaire. Ca concerne, en général, des mondes beaucoup plus évolués que les vôtres.
Question : peut-on considérer l'univers comme un système d'équivalence de poupées russes, des structures qui s'emboîtent les unes dans les autres ? Alors, cette vision est possible pour les corps subtils planétaires ou pour les corps subtils des êtres humains en incarnation, oui, effectivement, on peut concevoir cela comme cela. Mais les trous noirs et les portails qui sont situés en dehors des planètes sont un petit peu différents parce que, là, il ne s'agit pas de poupées russes. Une poupée russe qui passerait à travers ce trou se retrouverait complètement retournée c'est difficile à exprimer mais il y a, à travers les passages de ces trous noirs, de ces portails cosmiques, l'accès à un ensemble de modifications de tout ce qui s'y passe. Alors, là, on n'est plus dans des poupées russes mais dans une espèce de retournement, un petit peu comme un gant qui se retournerait, c'est un peu complexe à expliquer avec des mots mais disons que c'est un passage d'un état dimensionnel tourné vers quelque chose à un autre état dimensionnel tourné vers autre chose. Alors c'est pas tout à fait le système des poupées russes.
Question : est-ce que le retournement dont vous venez de parler est semblable à celui qui se passe dans l'être humain quand il change de dimension ? Alors non, parce que le retournement de l'être humain correspond à une inversion des valeurs dans le