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4.5.2. Reptiles Herbivore
C’est une nourriture à multi ingrédients avec l’addition de feuilles de pissenlit, feuilles de mûres, fleurs de souci et feuilles de persil, pour l’alimentation quotidienne de reptiles herbivores et omnivores. Les composants principaux de la nourriture sont des bâtonnets extrudés, comprenant de l’alfalfa, des herbes et des fruits. Le rapport calcium/phosphore correct prévient le rachitisme et, avec les niveaux soigneusement sélectionnés de protéine, graisse, fibres vitamines et oligo éléments, la nourriture prévient des carences de ces substances et garde les reptiles en excellente condition. Grâce à sa texture douce la nourriture est facilement acceptée par les animaux.
Particulièrement recommandée pour nourrir:
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Dragons barbus, lézards à queue épineuse, tortues herbivores (méditerranéenne, tortue d’Hermann, tortue Russe, tortue de Kleinmann, tortue bordée, tortue à épines d’Afrique, tortue léopard, tortue étoilée Indienne) tortue à pattes rouges, iguane (vert, iguane Cubain).
Dragon barbu central (Pogona vitticeps)
Lézard à queue épineuse (Uromastyx nigriventris)
Tortue Sillonnée (Centrochelys sulcata)



Saviez-vous que

la stratégie défensive de faire le mort est le domaine de certaines espèces de serpents? Certaines espèces de couleuvres (Natrix spp.) adoptent ce comportement, mais la couleuvre à nez retroussé (Heterodon nasicus) est également réputée pour cette conduite. D’abord elle essaye d’effrayer un attaquant en aplatissant la partie devant de son corps, se gonflant et sifflant alternativement. Finalement, elle plie son corps en se tordant et se retourne sur sa face dorsale en faisant le mort, en émettant une odeur nauséabonde tout au long du processus.


Le monstre de Gila (Heloderma suspectum) et son cousin le lézard perlé furent jusqu’à récemment considérés comme des lézards non venimeux


Saviez-vous que
jusqu’à récemment on croyait que le venin chez les reptiles ne se trouvait que chez les serpents et les membres du genre Heloderma? Toutefois, il se trouve qu’il est également présent chez plusieurs espèces de varans. Ils n’ont pas encore tous été étudiés, mais il est déjà certain que ces animaux peuvent le produire dans leurs glandes à venin provenant de glandes salivaires transformées par évolution. Le venin chez les varans a quatre fonctions: défense, aide pour la chasse, aide pour la digestion et aide pour l’hygiène buccale. La théorie attribuant des mortalités, après la morsure du dragon Komodo (Varanus komodoensis), à des toxines d’une flore bactérienne spécifique habitant la bouche de ces animaux est un mythe.