18 Tendances
Chacun sa SAINT SANS VALENTIN ! Le rose bonbon, le rouge amour, les cœurs et autre Cupidon ne passeront bientôt pas inaperçus. Et pour cause, le 14 février pour beaucoup, ça se prépare et pour d’autres, pas du tout !
AVEC OU SANS ?
La Saint-Valentin, c’est la date où les amoureux se bécotent plus que les autres jours, où les déclarations fleurissent tout comme les intérieurs et où les « Mon amour de cœur de beurre » espéreront trouver leurs échos. Ce jour-là, une bonne partie de la planète va suivre le mouvement juste parce que le calendrier nous dit qu’avoir un amoureux/une amoureuse c’est merveilleux [Euh, les 364 autres jours, aussi hein !]. Le 14 février, c’est aussi le jour où les célibataires, déjà bien conscients de leur situation, se la reprennent dans les dents comme si ça n’était déjà pas évident !
SANS VALENTIN
Si l’on y réfléchit bien, on a tous (ou presque) déjà passé une « Saint-Valentin »… SANS Valentin(e) ! On prenait dès lors, le faciès du Schtroumpf grognon devant les scènes d’étreintes charnelles ou d’embrassades, on s’enfilait la coquille de Caliméro sur la tête en marmonnant un « c’est trop injuste » et, si on voulait vraiment remuer le couteau dans la plaie, on écoutait le célèbre tube d’ANAÏS « Mon amour, mon cœur » (véritable hymne à la SANS Valentin) à fond dans la voiture en se convaincant que, le 14 février, ♫ ça dégouline d’amour, c’est beau, mais c’est insupportable… ♫.
BEN… ET MON CADEAU ALORS ?
Le truc, lorsqu’on parle de la fête des amoureux avec nos amis, c’est que l’on brandit presque tous le fameux : « Hum, la Saint-Valentin ? Pas pour moi, c’est beaucoup trop commercial ! » ou encore le « Moi ? Je n’ai pas besoin d’attendre le 14 février pour dire à ma moitié que je l’aime ». C’est bien joli et c’est bien dit tout cela, sauf qu’on oublie de dire qu’à la Saint-Valentin, tout comme dans toute les histoires d’amour… Il nous faudrait impérativement : UN DÉCODEUR ! Entre ceux qui disent blanc, mais pensent noir et ceux qui disent noir, mais pensent blanc, on espère que le message subliminal passe quand même ou que l’autre va nous surprendre, et ce, malgré nos éternelles contradictions du style : « Moi ? oh non je n’ai besoin
