Focus Summer Time

ciné-concert, classique, jazz osr.ch/festival

Pat Burgener

Le snowboardeur et musicien suisse nous parle de ses deux passions et de ce qui les lie : la liberté et le voyage.

CYBERSÉCURITÉ POUR TOUS

Juin ’24

Olivia Grimm

L’été en Suisse : Tout ce qu’offre un pays aux multiples facettes !

En Suisse, l’été peut aussi bien être chaud et sec que pluvieux et frais sur une longue période. Par chance, nous vivons dans un pays très diversifié et trouvons toujours une possibilité de profiter de cette saison.

Le beau temps estival réjouit sûrement plus d’un ou une adepte des activités de plein air. Toutefois, le changement climatique, avec ses caprices météorologiques de plus en plus fréquents, comporte de nombreux risques et défis déjà connus, mais pas toujours perceptibles d’emblée. Dans le cas de la randonnée en particulier, ce loisir proche de la nature, les effets sont de plus en plus visibles. Les fortes pluies ou le dégel du permafrost peuvent entraîner éboulements et glissements de terrain ou éroder la surface des chemins. Les jours de grande chaleur, vu que les randonnées ont lieu surtout sur les chemins d’altitude, dans les forêts ou le long des cours d’eau, l’infrastructure et les espaces naturels sont fortement sollicités à ces endroits. Dans l’ensemble, les responsables doivent redoubler d’efforts pour assurer l’entretien et les contrôles des chemins de randonnée pédestre en respectant les critères de qualité habituels. Dans toute la Suisse, plus de 2000 bénévoles, répartis dans les 26 associations cantonales de tourisme pédestre, s’engagent à cet effet aux côtés des collaborateurs et collaboratrices des communes. L’augmentation à long terme du nombre de jours de canicule, les hivers moins enneigés et l’allongement de la saison estivale qui en résulte offrent aussi, il est vrai, de nouvelles possibilités pour le tourisme.

Heureusement, la Suisse, avec ses paysages variés et sa vaste offre culturelle, propose d’innombrables façons de profiter de l’été, quelle que soit la météo : franchir un col en vélo de course ou escalader une paroi rocheuse par beau temps, faire un tour en bateau ou manger une glace à une terrasse quand il fait chaud, découvrir des trésors dans un musée les jours de pluie ou vibrer lors d’une représentation théâtrale. La randonnée est elle aussi possible par tous les temps, ou presque, car le réseau de chemins pédestres de plus de 65 000

kilomètres traverse les espaces naturels les plus divers. Vous trouverez certainement une randonnée adaptée à la chaleur le long d’un lac de montagne, dans une forêt ombragée ou dans des gorges. Quel que soit votre choix, une planification minutieuse et un équipement adapté sont essentiels. En effet, qui voudrait monter à cheval sans protection pendant des heures sous un soleil de plomb ou être trempé par la pluie lors d’un festival en plein air ? Pour se préparer à une randonnée, il faut ainsi s’informer au préalable sur la météo, la praticabilité du chemin, la longueur, le dénivelé et le degré de difficulté d’un itinéraire. Des chaussures de randonnée solides avec un bon profil sont aussi indispensables qu’un sac à dos contenant des boissons et des provisions, une protection contre le soleil et la pluie et un téléphone portable chargé. Le principe de la couche d’oignon, applicable aux vêtements, est utile en cas de changement de température. Pour les randonnées en montagne, il est aussi conseillé d’emporter une carte de randonnée sur support papier et une petite pharmacie de poche.

Pour que nous puissions profiter encore longtemps de la Suisse dans la diversité et la beauté que nous lui connaissons, nous devons en prendre soin, ce qui ne suppose pas forcément un engagement de chaque instant. Pourquoi ne pas recourir aux transports publics pour se déplacer ? Ou planter les fleurs de printemps sur son balcon au lieu de les cueillir dans une prairie ? Mais aussi respecter quelques règles. Ainsi, l’agréable pause barbecue pendant une randonnée doit avoir lieu dans les coins à grillades officiels et il faut emporter les déchets avec soi puis les éliminer correctement. Un conseil : ne partez pas sans un petit sac ou un récipient pour transporter les résidus vers une poubelle ou chez soi.

– Olivia Grimm

Il ne nous reste plus qu’à vous souhaiter un bel été, riches en expériences variées, placées sous le signe du plaisir.

Texte Olivia Grimm, Responsable du domaine Chemins pédestres, Association Suisse Rando

Contenu. 04

Matthias Kyburz

10

Interview :

Pat Burgener

12 Carte Suisse

16 Activités insolites

18 Bien dormir en été

Bonne lecture ! Lola Briot

Manager

Direction l’évasion parfaite !

POINTS FORTS

• Animation par Rocco notre musicien de renom

• Paysages éblouissants et cités fortifiées

• La splendeur des bouches de Koto

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À la recherche de nouveaux défis : le parcours inspirant de Matthias Kyburz

Huit fois champion du monde en course d’orientation, Matthias Kyburz n’a pas dit son dernier mot et compte bien tout donner lors de l’épreuve du marathon des Jeux olympiques de Paris. Élevé dans une famille de sportifs, le jeune Argovien passe une grande partie de son enfance à pratiquer des activités en plein air. Plus jeune frère d’une fratrie de trois garçons, il a toujours su se challenger pour marcher dans les pas de ses aînés. C’est à treize ans qu’il découvre sa passion, la course d’orientation. Il nous en parle dans cette interview.

Matthias Kyburz, comment avez-vous commencé la course d’orientation ?

Enfant, j’ai d’abord testé plusieurs autres sports tels que le football. Au contraire des sports d’équipe, la course d’orientation se pratique seul dans la forêt, ce qui peut paraître à première vue ennuyant. Cependant, un de mes grands frères commençait à s’y intéresser sérieusement et, quand on est à deux, c’est toujours mieux ! Nous avons donc participé ensemble à plusieurs camps et compétitions. J’aimais tout particulièrement lire une carte, courir, être dans la nature, ainsi que toute l’ambiance qui règne dans ce milieu : je me suis très vite fait de bons amis.

Selon vous, quels sont les aspects les plus difficiles de la course d’orientation ?

Le plus grand défi est de trouver le bon équilibre entre le rythme et la technique. Si on accélère trop vite, on fait plus facilement des erreurs. En effet, plus l’activité physique est intense, moins nos capacités de réflexion sont bonnes.

Comment se préparer physiquement et mentalement à une compétition ?

Concernant l’exercice physique, il s’agit surtout d’améliorer son endurance. En course d’orientation, il y a beaucoup de montées et de descentes et le sol est meuble, il faut donc des jambes solides. C’est pourquoi il est aussi important de faire du renforcement musculaire. Enfin, il ne faut pas oublier l’apprentissage par la pratique en manipulant des cartes et en apprenant à s’orienter dans la nature.

Concernant le mental, je travaille avec des psychologues qui m’aident à faire face à la pression et à rester positif même quand je fais des erreurs dans la course.

Quelles sont les compétences ou les qualités les plus importantes pour exceller dans ce sport ?

On doit disposer d’une bonne condition physique qui constitue la base de toute activité sportive. Connaître la technique et se poser les bonnes questions tactiques est aussi très important lors des courses : Quelle est ma limite ? Quel temps dois-je encore investir dans la lecture de la carte ? Il faut être capable de comprendre les cartes topographiques et de prendre des décisions rapidement.

Pouvez-vous nous faire part d’une expérience mémorable ou d’une

course particulièrement difficile que vous avez vécue ?

Ce qui peut être difficile, c’est de rester positif et de continuer à essayer de délivrer la meilleure performance possible même après une erreur. Se tromper en début de course peut facilement faire perdre une à deux minutes, ce qui peut être très décourageant surtout lorsque les attentes sont grandes. Il faut se concentrer sur la suite et se dire qu’il est possible de repartir de zéro : chaque point de contrôle est une nouvelle chance d’y arriver et d’affronter la suite de l’épreuve. Même avec beaucoup d’expérience, ce n’est jamais facile car, plus les compétitions sont importantes, moins il est facile de rester positif.

Vous avez été huit fois champion du monde de course d’orientation. Comment gardez-vous la passion et la motivation ? Il s’agit toujours d’une nouvelle course, d’un

Se

nouveau terrain, d’un nouveau défi, ce qui est très stimulant. J’aime aussi la compétition, pas seulement avec les autres mais aussi avec moimême. Ce que j’apprécie en effet dans le sport de haut niveau, c’est la fierté que procure une bonne performance lors d’une compétition.

Chaque victoire vous procuret-elle le même sentiment ?

Non (rires). Cela dépend de comment la course se passe, de son importance et des émotions ressenties. L’année dernière par exemple, ma médaille d’or aux Championnats du monde de course d’orientation qui se sont déroulés en Suisse a été très spéciale car je n’ai pas pu l’anticiper. J’étais le dernier à commencer, c’est pourquoi je n’ai pris connaissance de ma victoire qu’au moment de franchir la ligne d’arrivée. Le lendemain, j’ai aussi remporté la course en relais. Cependant, je savais que j’avais 35 minutes d’avance et qu’il y avait des chances que je gagne.

tromper en début de course peut facilement faire perdre une à deux minutes, ce qui peut être très décourageant surtout lorsque les attentes sont grandes.

– Matthias Kyburz, orienteur suisse

Recommanderiez-vous ce sport à toute personne souhaitant profiter des beaux jours de l’été ?

Pour passer du temps en extérieur, la course d’orientation est idéale. Il s’agit d’un sport qui se pratique à tout âge, en famille, entre amis ou seul.

Lors des compétitions, on côtoie sur la ligne de départ aussi bien des sportifs de haut niveau que de jeunes enfants accompagnés de leurs grands-parents. En été, pratiquer du sport en forêt est aussi un bon moyen de profiter d’ombre et de fraîcheur.

Aujourd’hui, vous excellez aussi dans la course à pied. Pourquoi ce changement ?

Je cherchais un nouveau défi à relever et mon médecin du sport m’a toujours dit que j’avais le physique idéal pour courir des marathons. Aussi, je suis devenu papa en janvier et j’ai eu envie de passer plus de temps à la maison avec ma famille. La course d’orientation, avec les camps d’entraînement, est un sport qui nécessite du temps. La course à pied me paraissait moins contraignante ; je peux aller courir à toute heure de la journée et n’importe où.

Quelles sont les principales différences entre la course d’orientation et la course à pied (préparation, pratique, etc.) ?

Dans les deux sports, je m’entraîne à peu près le même nombre d’heures. Ce qui change, c’est le nombre de kilomètres parcourus. En course à pied, je cours principalement à plat sur un sol dur. En course d’orientation en revanche, mon allure est moins rapide en raison du terrain plus mou et des nombreuses montées.

Vous avez terminé 7ème au Marathon de Paris, et 1er Européen. Pouvez-vous nous parler de cette expérience ?

Après coup, c’était une expérience parfaite pour moi ! J’ai choisi le marathon de Paris car je me réjouissais de courir dans les rues de la capitale française. De nombreuses personnes étaient là pour nous encourager et j’ai apprécié cette atmosphère ! Les premiers 30 kilomètres se sont bien déroulés, même si je craignais un peu que mon allure légèrement plus rapide que ce que j’avais prévu me poserait un problème sur la fin. Comme je l’avais imaginé, plus je m’approchais des 42km, plus cela devenait dur. Mes mollets me piquaient. Même si je souffrais, ma petite avance sur les temps olympiques standards m’a permis de ne pas trop stresser. Finir la course avec ce temps ambitieux, 2h07, était vraiment un rêve pour moi.

En dehors des Jeux olympiques, quels sont vos projets futurs ?

Je vis essentiellement dans l’instant présent. L’année prochaine, les Championnats du monde de course d’orientation auront lieu en Finlande. Participer à une telle compétition est toujours spécial, et je suis prêt à aller chercher la médaille d’or.

Interview Léa Stocky

Retrouver une énergie débordante grâce à des mitochondries en bonne santé

Lorsque les mitochondries reçoivent les nutriments nécessaires pour se développer et se renouveler, elles permettent à nos cellules d’effectuer leurs rôles de manière optimale.

Ludovic Guggenheim, propriétaire de la société Univers Santé, explique comment favoriser une activité mitochondriale optimale.

Ludovic Guggenheim, qu’est-ce que Univers Santé ?

Univers Santé est une entreprise spécialisée dans l’importation et la distribution exclusive de produits sur le marché suisse, notamment dans les domaines médical et esthétique. La société propose une gamme variée d’appareils innovants, tels que des dispositifs à plasma et des systèmes de luminothérapie LED. Nous avons également des produits qui s’intéressent aux bien-être intérieur comme notre gamme de suppléments alimentaires RGNR conçus pour optimiser l’efficacité des mitochondries et ainsi favoriser la santé globale.

Qu’est-ce qu’une mitochondrie ?

La mitochondrie joue un rôle crucial dans notre corps en produisant l’énergie nécessaire au bon fonctionnement des cellules. Cette énergie, sous forme d’ATP (adénosine triphosphate), est indispensable pour nourrir et maintenir en activité nos organes, nos tissus et nos systèmes biologiques. Les mitochondries sont en somme les véritables centrales énergétiques de notre organisme, assurant le bon fonctionnement de l’ensemble de nos processus vitaux.

Pourquoi est-il important d’avoir une bonne activité mitochondriale ?

L’énergie produite par les mitochondries est stockée sous forme d’ATP et est essentielle au bon fonctionnement de nos organes. En cas de production insuffisante d’ATP, le cerveau, en tant que priorité énergétique, prendra sa part nécessaire au détriment des autres organes. Cette situation peut ouvrir la voie à des maladies dégénératives comme la maladie d’Alzheimer et le diabète de type 2, qui surviennent lorsque le corps ne parvient pas à fournir l’énergie nécessaire pour les contrer.

Comment favoriser une activité mitochondriale optimale ?

Pour fonctionner de manière maximale, les mitochondries ont besoin d’air, d’eau et de nutriments. Concernant ces derniers, Univers Santé est en train de lancer sur le marché suisse une gamme innovante de compléments alimentaires nommés RGNR qui consiste en un programme de cures. La cure d’attaque dure douze semaines et est suivie de deux cures de huit semaines chaque année.

La cure inclut une refonte complète du microbiote pour assurer une absorption optimale des nutriments par les mitochondries. Des apports en oméga-3 et en vitamine D3, essentiels pour la santé mitochondriale, sont ensuite introduits au traitement. Le programme inclut finalement le mitoboost, un supplément conçu pour revitaliser les mitochondries grâce à ses nutriments spécifiques. Le mitoelixir, quant à lui, joue un rôle clé en éliminant les mitochondries dysfonctionnelles, un processus essentiel pour éliminer les radicaux libres générés par le stress, l’angoisse et les activités sportives intensives.

Il faut compter un mois, voire six semaines pour ressentir les effets positifs de la cure. Il s’agit d’une médication douce, les bienfaits ne se font donc pas sentir dès la première prise. Mais rapidement, les petites maladies disparaissent car le corps est mieux préparé à combattre les infections.

Qui devrait suivre ce traitement ?

Au vu des bienfaits qu’il procure, tout le monde devrait suivre ce programme ! Avec l’âge, le renouvellement cellulaire ralentit considérablement. À 50 ans, 40 % du renouvellement cellulaire ne se fait plus. C’est pourquoi il est crucial, pour tous, mais surtout pour les personnes de plus de 50 ans, de suivre cette cure. Les personnes stressées, angoissées ou les sportifs de haut niveau qui produisent un grand nombre de radicaux libres devraient également profiter des nombreux bienfaits de ce produit.

Vous expliquiez que les mitochondries ont aussi besoin d’eau et d’air pour être en bonne santé, comment agissez-vous à ces niveaux ?

L’eau que nous consommons quotidiennement est loin d’être parfaitement pure. Elle contient de nombreux éléments indésirables que notre corps ne parvient pas à neutraliser entièrement. Ces particules indésirables sont donc absorbées par les cellules. Le purificateur d’eau Hydro que propose Univers Santé filtre ces éléments nocifs et permet aux cellules de s’hydrater avec une eau réellement propre et bénéfique pour le corps.

Formulations complètes pour le cartilage, les tendons, les ligaments, les os et les muscles.

Concernant l’air de nos appartements, il est souvent pollué en raison du manque de renouvellement. En moyenne, l’air intérieur contient environ 500 anions par centimètre cube, insuffisants pour une respiration optimale. Les appareils Biow changent la donne en générant jusqu’à 200 000 anions par centimètre cube, transformant l’air intérieur en un air aussi pur que celui des montagnes. Cet air revitalise les cellules tout au long de la nuit et améliore la qualité du sommeil.

Où trouver ces produits ?

Nous collaborons avec des prescripteurs qualifiés tels que des médecins, naturopathes, nutritionnistes, et autres professionnels de la santé. Notre ambition est de permettre aux patients d’accéder à nos produits par l’intermédiaire de prescripteurs compétents qui comprennent les bienfaits de ce produit et qui sont capables de les expliquer précisément aux patients. Tous nos prescripteurs reçoivent une formation approfondie basée sur les recherches de notre comité scientifique, garantissant ainsi une utilisation optimale pour les utilisateurs.

Le coût d’une cure complète de douze semaines est de 610 CHF, soit moins de 250 CHF par mois pour un bien-être stupéfiant. Les cures de suivi, d’une durée de huit semaines, sont proposées à 388 CHF chacune.

Vous voulez profiter de notre offre de lancement ? Écrivez-nous à info@universsante.ch

Interview Maévane Mas

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Ludovic Guggenheim

Propriétaire de la société Univers Santé

Cet été, goûte la Suisse

swisswine.ch

TERRASSES, DANS LES CAVES OU EN CROISIÈRE SUR LE LAC !

« LA PICARDIE ET LA MAGIE DE LA BAIE DE SOMME »

Du lundi 16 au samedi 21 septembre 2024 – Circuit en autocar Reims – Amiens – Baie de Somme – Chantilly – Guédelon – Beaune

Une impression de bout du monde, des falaises, des dunes de sable et des marais qui se succèdent pour composer un paysage hors-norme et immaculé, loin des littoraux bétonnés. Bienvenue dans le décor envoûtant de la Baie de Somme. Ce périple sera également l’occasion de percer tous les secrets liés au monde du champagne et de profiter d’un spectacle équestre dans le cadre magique du château de Chantilly. Les points forts du voyage : – Tous les repas inclus, sauf le dernier jour.

– Forfait boissons aux repas du soir

La Baie de Somme en train historique à vapeur

Amiens et sa cathédrale – Spectacle TOTEM, la nouvelle création de la compagnie équestre du Château de Chantilly.

– Château de guedelon, bâti avec les techniques ancestrales

Informations & programme détaillé : 021 886 10 60 – thomasvoyages@marti.ch –www.thomasvoyages.ch

Vivre d’amour et d’aventure

Morgane, alias Little Gypsy, est une aventurière au cœur tendre, passionnée des océans et des voyages. Anciennement soigneuse animalière, elle a troqué sa vie bien rangée pour l’incertitude des routes il y a dix ans, à la suite d’une série de revers. Accompagnée de son fidèle compagnon à quatre pattes, Aiko, elle parcourt le monde, partageant ses aventures et sa passion pour la protection des océans sur les réseaux sociaux depuis plus de huit ans. Interview avec une globe-trotteuse qui n’a pas froid aux yeux. Morgane, tu te définis comme une aventurière. Que cela signifie-t-il pour toi ?

Une aventurière, c’est une femme qui part faire des treks en sac à dos, qui écoute son cœur et qui part à l’aventure aux quatre coins du monde.

Quels ont été les préjugés que tu avais avant de te lancer dans le voyage solo qui se sont avéré être faux ?

Une des choses les plus précieuses que j’ai apprises et qui restera gravée en moi, c’est la beauté de l’être humain. Tout ce que les médias nous montrent, cette peur des autres, ce n’est pas la réalité. C’est incroyable de voir à quel point on s’en rend compte en voyage. Quand vous êtes sur la route, que vous voyagez seul et que vous dépendez des autres, votre cœur s’ouvre à cette beauté. Même dans des pays classés en zone rouge pour la France, je suis convaincue que 90 % des personnes sur Terre sont de belles âmes. Voyager nous pousse à être plus ouverts à la culture qui nous entoure, à moins juger, à engager la discussion et à chercher à comprendre. C’est cela, être un bon voyageur.

Comment décrirais-tu ta façon de voyager ?

Je suis plutôt du genre à ne rien planifier. Je sais dans quelle ville je vais atterrir, mon hôtel d’arrivée est réservé, j’ai une idée de deux ou trois endroits que j’aimerais visiter, mais je n’organise rien de plus. Je me laisse simplement porter par la vie, car je crois qu’elle nous réserve toujours de belles surprises.

Quels conseils donnerais-tu à des femmes qui hésitent à voyager seules ?

La première étape consiste à choisir une guesthouse ou une auberge de jeunesse. Il est très facile de rencontrer d’autres voyageurs de cette manière, car il y a toujours beaucoup de personnes voyageant seules à la recherche de compagnie. De nos jours, les auberges sont de plus en plus confortables. Pour celles qui hésitent à se lancer seules, je conseille de réserver leur auberge à l’avance et de demander à ce qu’un taxi les attende à la sortie de l’aéroport ou à l’endroit d’arrivée. Ensuite, je recommande de passer quelques jours dans la guesthouse pour s’acclimater et rencontrer d’autres voyageurs. Il est certain que vous rencontrerez des personnes désireuses de voyager avec vous ou de participer à des activités similaires. Ensuite, je conseille de ne pas se mettre trop de pression. Si vous avez besoin de confort, il existe des auberges avec piscine où vous pouvez rester une semaine au même endroit et explorer les environs. L’important est de franchir le pas. De plus, je recommande d’écouter son cœur. On a qu’une seule vie et si l’on ne veut pas passer à côté, il faut se lancer. Suivez votre instinct.

Brandreport • Terres Sauvages

Enfin, je conseille vivement de ne pas écouter ses proches ! Tous mes proches, à l’exception de ma maman, m’ont découragée dans chacune de mes entreprises, que ce soit ma chaîne YouTube, mes projets de protection des océans ou mes voyages en solo. Aujourd’hui, ils admettent tous qu’ils avaient tort.

Tu as à cœur de sauver les océans.

Peux-tu nous parler de cette mission ?

Depuis toute petite, je suis passionnée par les orques. Cette fascination a débuté à l’âge de quatre ans, lorsque j’ai vu le film Sauvez Willy au cinéma. Ayant grandi à Nice, j’avais la chance d’habiter à côté du parc aquatique Marineland où mes parents m’emmenaient tous les week-ends. À chaque visite, j’étais complètement obsédée par les orques. Mon plus grand rêve était de devenir dresseuse de cétacé.

À 18 ans, j’ai eu l’opportunité de faire un stage à Marineland, dans le bassin des orques. Ce fut le plus beau jour de ma vie. Par la suite, j’ai travaillé en tant que soigneuse pour les dauphins et les otaries, avant de revenir auprès des orques. J’avais ainsi, d’une certaine manière, bouclé

la boucle. J’ai même assisté à la naissance d’un orque. Cependant, à cette époque, je commençais à prendre conscience des conditions de captivité des animaux. Je savais que ce que je faisais n’était pas bénéfique pour eux. Avant même d’être officiellement embauchée, j’ai donc décidé de partir. Mon rêve d’enfant était de voir les orques en kayak, au Canada. Je suis donc partie six mois en Colombie-Britannique à la recherche des meilleurs endroits pour observer les orques. J’ai fini par atterrir sur l’île de San Juan, où l’on peut les voir à seulement quelques mètres de la plage. J’y ai passé un mois, dormant dans ma voiture et passant chaque jour sur cette plage. C’est là-bas que j’ai rencontré des biologistes qui m’ont appris que les orques étaient en voie d’extinction. Cette nouvelle m’a profondément bouleversée. Inspirée par le projet « Love Army » de Jérôme Jarre, qui rassemblait plusieurs personnes influentes, j’ai décidé de créer le mouvement « We Are the Orcas » (Nous sommes les orques), sans vraiment savoir par où commencer. Naïvement, je pensais que dix jours suffiraient à résoudre le problème (rires). Je n’avais pas anticipé l’existence des lobbys et de leur influence. Bien que notre mouvement ait suscité de l’attention, il n’a malheureusement pas

réussi à changer les lois. Les médias n’en parlaient pas car ils étaient influencés par les propriétaires des parcs aquatiques. J’ai donc décidé d’organiser une grande marche, de Portland jusqu’aux barrages, bloquant les autoroutes pour attirer l’attention des médias. Par la suite, j’ai participé à un documentaire sur cette question, intitulé Co-Extinction. Cependant, toute cette lutte m’a rendue de plus en plus agressive et triste, et j’ai réalisé que je devais faire une pause. J’ai compris que si je ne prenais pas soin de moi, je ne pourrais pas prendre soin du reste du vivant.

Quelle est ta destination préférée pour l’été ?

Le Canada, forcément, car c’est là que se trouvent tous les animaux que j’adore. En été, il n’y a plus de neige, ce qui permet de faire des randonnées et des road-trips incroyables. C’est un pays immense, il y a donc toujours quelque chose à découvrir !

Une autre de mes destinations favorites est la France. Dans la plupart des autres pays, il fait souvent trop chaud en haute saison. La Suède et la Norvège sont aussi des destinations sous-cotées pour l’été alors qu’elles sont incroyables ! Il fait encore jour à minuit, il y a des lacs extraordinaires et des randonnées époustouflantes à faire.

Quels sont tes projets pour cet été ?

Cet été, je serai dans les Gorges du Verdon. Ensuite, au mois d’août, je repars en Colombie-Britannique car j’organise des expéditions en kayak pour observer les orques. Pendant dix jours, en petit groupe, nous vivons une expérience spéciale dédiée à leur observation sur Vancouver Island.

Quels sont tes indispensables en voyage ? Je réalise que je suis capable de me passer de nombreuses choses matérielles. Cependant, ces derniers temps, et encore plus maintenant qu’il vieillit, je me rends vraiment compte que je ne pourrais pas me passer de mon chien.

Est-ce facile de voyager avec un chien ?

Absolument, voyager avec son chien n’est pas si contraignant. J’ai publié un livre le 22 mai dernier, axé sur ce sujet précis. L’aspect le plus crucial concerne la préparation administrative. Il est essentiel de faire un point complet avec le vétérinaire pour connaître toutes les analyses sanguines nécessaires et être à jour avec les vaccins. De plus, je recommande vivement de faire appel à un comportementaliste ou à un éducateur canin. Leur expertise est précieuse pour résoudre les problèmes courants qui peuvent empêcher les propriétaires de partir en voyage avec leur chien, comme les problèmes de comportement en laisse ou le mal des transports en voiture, par exemple. Mon livre aborde en profondeur toutes ces questions et offre de nombreux autres conseils pratiques pour voyager sereinement avec son chien ! Quel est ton mantra ?

J’apprécie énormément une phrase tirée d’une chanson du groupe Journey : « Don’t stop believin’, hold on to that feeling », ne cesse jamais d’y croire, accroche-toi à ce que tu ressens.

Interview Océane Ilunga

Un voyage sur mesure à son image

En famille, entres amis ou en amoureux, Terres Sauvages emmène ses clients sur des chemins non balisés qui suivent pas à pas leurs plus profondes aspirations en leur offrant LE voyage, celui qui colle à toutes leurs envies.

cerner les envies de sa clientèle et apprendre à la connaitre. Un agréable moment de partage dans un cadre qui les fera déjà voyager... Selon leurs critères et environnement, Laurent Chevassut adaptera le voyage à leurs besoins.

Tout est fait sur-mesure et tout est fait pour la satisfaction du voyageur

Terres Sauvages est LE spécialiste en safari depuis plus de 32 ans avec pour maître-mot, l’expertise qui s’appuie sur une solide expérience de terrain. Mieux, afin de comprendre les subtilités du métier et de sélectionner les meilleurs guides, Laurent Chevassut a lui-même passé l’examen des guides du Botswana FGASA ! Alors, certes on les envoie – à leur demande – en terres inconnues, en terres sauvages, mais surtout on leur garantit une pleine moisson d’émotions inoubliables.

Quel safari pour vous ?

Il existe une centaine de façons de faire un safari. En liberté au volant d’une voiture, en minibus ou en 4x4, en lodge ou sous la tente, à pied ou à cheval, chez Terres Sauvages, on fera en sorte que cette rencontre magique et pleine d’émotions avec l’animal sauvage ait lieu quel

que soit le choix qui aura été fait. Un voyage inoubliable à vivre en trois étapes: la préparation, le voyage lui-même et le souvenir qu’il en laissera. L’émotion de ce ciel rouge au coucher du soleil dans le delta de l’Okavango sur fond d’éléphants qui traversent la rivière, celle du regard perçant d’un léopard les fixant à quelques mètres sur sa branche au-dessus du 4x4, ou encore ce café au réveil sur la terrasse, entouré de grand haras rouge ou de petits singes cherchant à dérober à la moindre inattention un bout de croissant dans le parc du Corcovado au Costa Rica. Spécialisée dans les safaris du monde, Terres Sauvages emmène les voyageurs du Grand nord à l’Afrique australe, ou du « grand froid » en compagnie – à pied! – d’ours polaires, au « bleu turquoise » et ses langoustes géantes à déguster les pieds dans l’eau dans le trop méconnu Panama. De l’Inde à la recherche des tigres ou de la panthère des neiges, à la Malaisie à la rencontre des Orang Outang ou l’Uganda à celle des Gorilles, en passant par la Patagonie pour voir les Orques ou le célèbre puma d’Amérique, il existe des safaris pour tous les goûts.

Envie d’approcher lions et rhinocéros dans leur habitat, à quelques mètres à peine de votre véhicule ? Envie de plonger dans les mers turquoise de Polynésie pour un seafari? Terres sauvages va soigneusement sélectionner les endroits dans les moindres détails et dénicher quel hôtel conviendra à quelle clientèle, quelle plage accueillera quel pied sensible ou quelle île permettra de rencontrer le célèbre requin tigre en plongée. Quel est leur projet d’aventure ? Un petit tour sur leur site internet convaincra les plus sceptiques, à n’en pas douter. Texte Patrizia Rodio

Assistance garantie 7 jours sur 7 terres-sauvages.ch

hez Terres Sauvages, le voyage commence au sein même de l’agence ! Une rencontre ou une interview téléphonique est en effet indispensable pour

Soleure a tout pour plaire

Atmosphère urbaine, décor historique et plaisirs rafraîchissants de la baignade : Soleure se révèle polyvalente. Dans la plus belle ville baroque de Suisse, l’art, la culture et la gastronomie invitent à la détente, tandis que l’Aar, avec son vert profond, incite à la baignade.

Soleure vaut toujours le détour, et même plusieurs. Depuis longtemps, on sait que cette ville au pied du Jura répond à de nombreuses attentes : que ce soit pour l’art, l’histoire, le shopping, les randonnées ou la baignade. Une richesse historique, une vaste offre culturelle et des expériences naturelles magnifiques attendent tout un chacun à chaque visite. Forte de ses 2000 ans d’histoire, elle conserve une énergie et une vitalité remarquables. Cette petite ville urbaine, nichée dans un cadre historique, charme par son style élégant et l’ambiance envoûtante de ses ruelles romantiques. Soleure, avec ses multiples facettes, son souci de la qualité et sa proximité avec la nature, séduit durablement. C’est un véritable joyau dont on tombe amoureux. C’est particulièrement par des températures estivales, lorsque la vieille ville se transforme en un décor de rêve pour le dîner, que le cœur de nombreux visiteurs s’emballe. « À Soleure, l’histoire et l’esprit du temps rencontrent une gastronomie créative et une nature intacte », se réjouit Bernhard Christen, directeur du tourisme soleurois. Il recommande de réserver un trail thématique ou une visite guidée captivante de la ville en français. Ces visites guidées publiques en français ont lieu tous les lundis, mercredis et samedis à 14h30. Les amateurs de shopping trouveront également leur bonheur à Soleure. En flânant dans les ruelles historiques, on peut faire du shopping avec style et découvrir des magasins créatifs ainsi que des boutiques raffinées. Les légendaires marchés hebdomadaires de Soleure sont également une expérience incontournable, où les marchands de la région proposent leurs spécialités dans la vieille ville.

Depuis toujours, la ville baroque de Soleure se distingue par son ouverture, son accessibilité et sa vision culturelle avant-gardiste. Qu’elle soit traditionnellement élégante, théâtralement splendide ou scéniquement précieuse, Soleure demeure une ville culturelle à la fois passionnante et inspirante. La visite du Musée des beaux-arts de Soleure offre également une immersion dans l’histoire de la ville. Le Kunstmuseum Solothurn collectionne depuis toujours l’art contemporain suisse, avec

des œuvres emblématiques des sculpteurs sur fer suisses Robert Müller, Jean Tinguely et Bernhard Luginbühl. Les collections mettent également en avant des artistes comme Meret Oppenheim, Daniel Spoerri, Dieter Roth et Eva Aeppli. De plus, la collection des maîtres anciens présente un petit nombre d’œuvres de grande qualité, allant du Moyen Âge au rococo, illustrant l’importance historique de Soleure en tant que ville d’ambassadeurs. De 1530 jusqu’à la Révolution française, Soleure était le siège des ambassadeurs français. Il ne fait aucun doute que cette petite ville possède de nombreuses facettes et recèle des trésors surprenants. Au cœur de la vieille ville se trouvent l’imposante cathédrale Saint-Ours, des bâtiments historiques, onze fontaines chargées d’histoire, et

bien plus encore. Lors d’une visite guidée, le titre de ville ambassadrice ne sera plus un secret.

Une journée d’été en pleine ville ? C’est possible à Soleure. Que ce soit pour nager, faire du stand-up paddle ou une promenade en bateau, l’Aar offre toutes ces possibilités. Avant ou après une séance de shopping, une visite de musée ou une visite guidée de la ville, la magnifique rivière est toujours prête pour une pause rafraîchissante. Pour profiter pleinement de la journée, installez-vous aux terrasses des restaurants et bars élégamment décorés qui longent l’Aar. Avec leurs parasols colorés, l’arôme du café frais et les délicieuses gelati, la Riviera soleuroise évoque une ambiance de vacances méditerranéennes. Les visiteurs, qu’ils viennent de loin ou des environs, apprécient les plaisirs culinaires au bord de l’Aar - qu’il

s’agisse de spécialités régionales ou de délices internationaux. Accompagnée d’une bière Öufi ou d’un verre de vin des vignobles soleurois, chaque journée devient une expérience de vacances. Quelle autre ville offre une telle diversité sur un espace aussi réduit ?

La croisière sur l’Aar, reliant Bienne à Soleure en près de trois heures, est une aventure fluviale incontournable. En chemin, les passagers peuvent admirer des cigognes, des petites villes historiques et une écluse, faisant de cette croisière l’une des plus belles de Suisse. Pour ceux en quête de sensations aquatiques supplémentaires, le lac de Burgäschi constitue une oasis idyllique en dehors de la ville, avec des étoiles filantes à la clé. Dans la maison en verre du lac, située directement sur la rive, la nuit se transforme en un véritable spectacle. Le lac de Burgäschi offre ainsi une véritable parenthèse enchantée.

Ou peut-être d’en haut ? Non loin de la vieille ville, la montagne de Weissenstein à Soleure invite à la contemplation. Que l’on monte à pied ou que l’on prenne le téléphérique du Weissenstein, les deux options ont leur charme. À savoir : du 10 au 18 août 2024 se tiendront les « Journées baroques de Soleure ». Ce programme varié, comprenant des visites guidées de monuments baroques, des conférences scéniques, des concerts, des spectacles de danse et d’escrime, ainsi que des expériences culinaires, promet d’être un événement unique en son genre.

Plus d’informations : solothurn-city.ch

Lets Travel • Brandreport

À la découverte des merveilles du Sri Lanka

Voyage sur mesure au cœur de l’océan Indien

Terre de culture, d’aventure et de bien-être, le Sri Lanka séduit par son authenticité et ses paysages époustouflants : embarquement immédiat avec Marie-Luce Geneyne et Kishan Siriwardena de Lets Travel.

Lets Travel est le tour-opérateur suisse romand spécialiste de l’océan Indien et notamment du Sri Lanka. Comment est née votre passion pour ce pays ?

KS : Le Sri Lanka est le pays d’origine du fondateur de Lets Travel, qui est aussi mon papa. À 20 ans, lorsqu’il s’installe en Suisse, le Sri Lanka est une destination balnéaire très en vue mais sa culture est souvent reléguée au second plan. Alors en 1993, il crée Lets Travel pour valoriser toutes les facettes de ce pays qu’il aime tant et qu’il connaît par cœur.

MG : Cette expertise et cette passion pour les destinations que nous proposons font notre force. Notre équipe voyage régulièrement en Asie et nous sélectionnons sur place des réceptifs de confiance. Nous avons d’ailleurs ouvert un bureau au Sri Lanka pour rester connectés à l’actualité et à nos voyageurs. Grâce à notre connaissance du terrain, nous imaginons pour chacun d’eux un circuit à la carte, au Sri Lanka et dans tout l’océan Indien, entre sites incontournables et spots confidentiels.

Aujourd’hui, le Sri Lanka est une destination touristique plébiscitée dans le monde entier. Quels atouts expliquent cet engouement ?

KS : Son histoire est fascinante. Le Sri Lanka est l’un des berceaux du bouddhisme et il regorge de temples et de sites archéologiques à visiter. Parmi ses autres trésors : des paysages exceptionnels, oscillant entre montagnes et plages de sable fin, et une faune et une flore remarquables. Les safaris sont un bon moyen de partir à la rencontre des animaux sauvages tels que les éléphants, les léopards, les ours lippu et d’innombrables oiseaux.

MG : Le Sri Lanka est synonyme d’évasion, à seulement une dizaine d’heures de vol de Genève et Zurich. Appréciée pour son climat tropical et sa douceur de vivre, l’île charme par

son hospitalité et on y voyage facilement toute l’année. En fonction des dates de départ souhaitées, nous privilégions certaines régions et activités.

À quel type de voyageurs recommandezvous cette destination : les baroudeurs, les épicuriens, les familles ?

KS : À tout le monde ! Nous nous adaptons sur mesure au profil et aux attentes de chacun. Nous proposons une plongée dans la culture sri lankaise ainsi que des excursions variées comme des safaris, des activités sportives ou de détente. L’offre touristique est pléthorique et nous sommes là pour accompagner nos voyageurs dans l’organisation de leur séjour de rêve.

MG : Mordus d’histoire, adeptes du farniente, passionnés de surf ou de randonnée… il y en a pour tous les goûts. Pour répondre à une demande de plus en plus forte, nous avons développé des circuits de randonnée encadrés par un guide car les sentiers sont peu balisés. J’ai tenté l’aventure durant quelques jours avant de la conseiller à nos voyageurs et quelle aventure ! Nous créons aussi des programmes spécifiquement pensés pour les familles avec enfants. Testés et approuvés par les parents de l’équipe, ils alternent visites culturelles, activités ludiques et temps de repos.

Organisez-vous seulement des voyages individuels ou également des voyages de groupe ?

MG : Tout est possible ! Nous proposons bien sûr des circuits individuels qui intègrent toujours un chauffeur-guide. Son rôle est de faciliter les déplacements car même si l’île est relativement petite, les distances à parcourir peuvent être importantes.

KS : Nous avons aussi créé les formules « Take it easy » inspirées du slow travel. L’objectif est de prendre le temps de se connecter à la nature et à la culture locales.

MG : Nous organisons également des voyages de groupe, des voyages thématiques autour de l’ayurvéda et du yoga ainsi que des voyages de lecteurs en collaboration avec les journaux et magazines de Suisse romande.

Pour guider les voyageurs face à une offre touristique très dense, pouvezvous nous partager vos incontournables et vos bonnes adresses ?

KS : Beaucoup de sites sont inscrits au patrimoine mondial de l’UNESCO comme Kandy et le Temple de la Dent qui renferme une relique de Bouddha, le spectaculaire rocher de Sigiriya

ou encore le temple troglodyte de Dambulla et ses magnifiques peintures rupestres. Les villes d’Anuradhapura et Polonnaruwa, deux anciennes capitales de l’île, méritent aussi le détour.

MG : Et le Sri Lanka, autrefois appelé Ceylan, est renommé pour son thé. Pour découvrir son histoire passionnante, il faut se rendre dans les plantations. Nichées au creux des montagnes, elles sont accessibles en train au gré d’un périple inoubliable. Le parc national de Yala est un autre des sites naturels immanquables et le sanctuaire de nombreux animaux.

KS : Nous essayons également de sortir des sentiers battus en sélectionnant des activités singulières et des hébergements intimistes. Nous choisissons de petites structures partageant nos valeurs et notre engagement écoresponsable, à l’image de l’Ambarella Lodge & Spice Garden : un écolodge de neuf chambres réparties dans des bungalows au cœur d’une plantation de noix de coco de près de dix hectares. Pour favoriser une immersion totale, nous organisons des rencontres avec les artisans du village, des excursions, des cours de cuisine traditionnelle… Plus qu’un voyage, le Sri Lanka est une expérience. Il a de multiples visages et tous sont à découvrir sans modération.

Lets Travel 3 rue de Berne, 1201 Genève +41(0)22 731 82 82 letstravel.ch

Pat Burgener

Pat Burgener, la liberté sur les pistes et en musique

Positif et déterminé, Pat Burgener a fait de la liberté sa ligne de conduite. Cet hyperactif cumule aujourd’hui deux carrières : le snowboard et la musique. Que ce soit sur la neige ou avec sa guitare, il aime repousser les frontières, qu’elles soient géographiques par le voyage, mentales par les challenges qu’il se donne mais aussi professionnelles grâce à de belles nouvelles collaborations musicales. Il nous raconte dans cette interview sa soif de découvertes et de nouveaux défis.

Texte Léa Stocky Image © Wabs

Pat Burgener, comment avez-vous commencé le snowboard ?

Ma famille a un chalet à Crans Montana. Depuis tout petit, nous montions tous les week-ends pour aller sur les pistes. Dès mes cinq ans, j’avais trouvé ma passion. J’ai toujours été très rebelle. J’avais cet instinct en moi qui me disait de faire ce que les autres ne faisaient pas. Je voulais être différent en essayant tout ce qui paraissait impossible. La Suisse n’est pas vraiment connue comme un pays de grands sportifs, et cela m’a encouragé à vouloir cette carrière.

Aujourd’hui, je suis encore à fond dans ma carrière sportive. Je souhaite participer aux prochains Jeux olympiques de Milan Cortina et aux Championnats du monde à Saint-Moritz, deux échéances très importantes. Aujourd’hui, mon objectif est de réussir à tenir mes deux carrières, ce qui a aussi rarement été fait auparavant. Une carrière sportive n’est pas facile, tout comme la musique. J’ai envie de prouver le contraire.

Quelle sensation vous procure ce sport ?

Le plaisir et ce sentiment de liberté. C’est la raison pour laquelle j’aime aussi le surf et le skate : il s’agit de sports où l’on peut être seul dans notre monde et s’échapper de la réalité. Quand j’étais jeune, je n’aimais pas l’école. Le snowboard me permettait de m’évader.

Quel est le meilleur souvenir de votre carrière jusqu’à présent ?

Je pense qu’il s’agit des Jeux olympiques de 2018 à PyeongChang lorsque j’ai fini à la cinquième place. Je venais de très loin car j’avais eu de nombreuses blessures quatre ans auparavant. Entre temps, j’avais également commencé ma carrière musicale et changé de discipline sportive en 2014, me consacrant pleinement au kite. Beaucoup de personnes me disaient que je n’arriverai pas à remonter au haut niveau. Toutefois, tout s’est bien passé. C’était un événement incroyable et inspirant, que j’ai pu vivre en présence de ma famille.

En quoi consiste votre entraînement ? J’essaie d’aller à la gym tous les jours. J’ai une grosse tournée musicale qui va s’accélérer, pour laquelle je joue cinq à six fois par semaine pendant tout l’été et qui va m’amener à beaucoup voyager en Europe. Le challenge sera de réussir à m’entraîner en tournée, ce qui sera une première pour moi. Cependant, je m’en réjouis beaucoup car c’est la première fois que j’ai l’opportunité de jouer autant.

Pouvez-vous nous parler de vos débuts dans la musique ?

Mes parents nous ont toujours poussé, mes frères et moi, à pratiquer un instrument. Dès l’âge de quatre ou cinq ans, je me suis mis à la guitare. Depuis, je n’ai pas arrêté, à part pendant deux ans quand j’ai commencé le sport. Si j’ai d’abord considéré la musique comme quelque chose de très studieux ou scolaire, j’ai changé d’avis quand j’ai réalisé son pouvoir. Je suis arrivée dans l’équipe de sport suisse et je ne parlais pas allemand. La musique était donc pour moi un moyen de communiquer.

D’où vous vient l’inspiration pour vos musiques ?

La musique, ce sont les voyages et les expériences de vie, que ce soit pendant les hauts ou les bas. Les moments difficiles sont ceux lors desquels on apprend le plus. Voyager m’a sauvé la vie. Dès l’âge de cinq ans, je sentais que je n’allais pas rester à un endroit et vivre une vie normale. Grâce au snowboard, j’ai commencé à voyager et j’ai adoré cela. Je veux découvrir de nouveaux endroits et voyager au maximum, sans lieu fixe.

Vos chansons parlent de profiter de l’instant présent, quels sont les thèmes qui vous tiennent à cœur ?

Le sport est très dur mentalement et moralement en raison de la pression qu’on se met et des nombreuses attentes qu’ont les gens autour de soi. Le seul moyen d’être performant est d’être ultra centré. J’ai beaucoup souffert de cela, j’ai dû apprendre

à être humble et connecté avec moi-même dans le moment présent. Dans les moments difficiles, il faut savoir revenir à la source. Je lis beaucoup de livres sur ces sujets et j’en parle dans mes musiques car cela me touche énormément.

Vous prévoyez de sortir un projet collaboratif à l’automne 2024. Est-ce important pour vous de collaborer avec d’autres artistes et comment choisissez-vous ces collaborations ?

Cela se fait tout seul. Tout arrive pour une raison, souvent sans planifier. J’ai rencontré par hasard plusieurs artistes dont je suis fan depuis longtemps. La première chose que je leur ai demandée est s’ils voulaient écrire une musique avec moi. Je ne m’y attendais pas, mais ils ont tous été d’accord. Ensemble, nous avons créé de supers musiques qui fonctionnent très bien. Ces collaborations me permettent de toucher un public international. Avec mon frère, nous travaillons comme des fous car ce projet nous tient à cœur. Cela nous prouve aussi que nous avons notre place dans la musique et nous permet de passer de supers moments avec des gars vraiment cools. C’est assez hallucinant.

Vous travaillez aussi avec vos frères, est-ce facile de travailler en famille ?

Ce n’est pas toujours facile. Avoir la possibilité de travailler avec eux est la meilleure chose au monde, mais cela nécessite beaucoup de travail sur soi-même. Ils m’aident à gérer ma carrière, au suivi des enregistrements et à la production. Nous nous connaissons par cœur et arrivons donc à être très productifs. Des gens nous contactent aujourd’hui pour de l’aide sur des morceaux.

Vos deux passions, le sport et la musique, ont-elles des points communs ?

Tellement ! Je dirais la créativité, mais aussi le voyage car ces deux passions me permettent de voyager. Et puis également le show… Je suis né showman ! À cinq ans, je faisais de la guitare dans une chambre avec mon frère qui tenait la lampe. Nous nous imaginions déjà être sur les grandes scènes ! La musique est dans la continuité de ma carrière de snowboard, j’ai ça dans le sang.

Comment passez-vous habituellement vos étés ?

J’habite dans un van et je voyage en Europe. Pour la première fois cette année, je serai dans un tour bus pendant un mois dans le cadre de ma tournée. J’ai vraiment envie

La musique, ce sont les voyages et les expériences de vie, que ce soit pendant les hauts ou les bas. Les moments difficiles sont ceux lors desquels on apprend le plus.

d’exporter ma musique en Europe et de construire cette nouvelle communauté, car ma musique marche bien à l’étranger. En Suisse, je jouerai cette année au Paléo festival. Ce sera un sacré été, mais j’aime cette liberté.

Quelle est votre destination estivale préférée ?

J’aime aller à Biarritz. J’adore le Sud-Ouest de la France, c’est tellement beau ! Il y a le soleil, le surf. Malheureusement, je n’aurai pas beaucoup le temps d’en profiter cette année, même si j’ai deux concerts dans la région.

Quel est votre meilleur souvenir de vacances d’été ?

La première fois que j’ai surfé ! Quand j’avais 14 ans, nous sommes partis avec ma famille à Hossegor et c’est à ce moment-là que j’ai commencé le surf avec mes frères.

Quels sont vos futurs projets ?

Le gros événement de cette année reste ma tournée en Europe. Je n’arrive pas à réaliser ! Avec mon frère, nous avons aussi lancé notre marque de vêtement, en lien avec le label.

Pat Burgener en quelques mots :

Votre chanson d’été préférée ?

California de Sons of the East

Votre chanson pour vous motiver au sport ?

B.Y.E de Mac Amish et Oddbox

Votre plat d’été favori ?

La pizza

Votre sport estival préféré ?

Le surf

Plage ou montagne pour les vacances ?

Plage

L’endroit en Suisse qui vous fait immédiatement penser à l’été ?

Les Bains Payes à Vevey

Un été en Suisse

Passer son été en Suisse, c’est l’occasion d’explorer les villages pittoresques, les villes riches en culture et les stations de ski renommées. Que l’on soit amateur de randonnée, passionné d’histoire ou simplement en quête de détente, cette carte guidera tout un chacun à travers des activités incontournables.

1. Geneva Marriott Hotel

1 Chemin du Ruisseau 1216 Cointrin Genève

2. Centre Sportif Vallée de Joux SA Rue du Centre Sportif 1 1347 Le Chenit

3. Orchestre de la Suisse Romande Place du Cirque 2 1211 Genève

4. Gstaad Menuhin Festival & Academy Dorfstrasse 60 3792 Saanen

5. Théâtre Forum Meyrin Place des Cinq-Continents 1 1217 Meyrin

6. Spectacles Onésiens Chem. Gustave-Rochette 5 1213 Onex

7. Soleure Tourisme Hauptgasse 69 4500 Soleure

8. Chemins de Fer du Jura Rue de la Gare 27 2720 Tramelan

9. Sion sous les étoiles Route des Echutes 40 1950 Sion

10. Téléverbier S.A Verbier Sport Plus 1936 Verbier

Classique en vallée et sur lʼalpe

Cet été, on vous invite non seulement à sept soirées symphoniques dʼexception au cœur de Gstaad – avec à lʼaffiche des étoiles telles que Hélène Grimaud, Vilde Frang (dans Elgar), Janine Jansen (dans Mendelssohn), Alexandre Kantorow (dans le Deuxième de Liszt), le London Symphony Orchestra et Sir Antonio Pappano, ou encore Jonas Kaufmann et Camilla Nylund (dans «Tristan»), mais également des événements hors norme sur les hauteurs de lʼEggli, à 1500 mètres dʼaltitude. Cʼest ce quʼon appelle le «Mountain Spirit».

11. Musée National de l’automobile Avenue de Colmar 192 68100 Mulhouse

12. Chaplin’s World Rte de Fenil 2 1804 Corsier-sur-Vevey

13. Thyon Région 2000 Thyon

14. Notre coup de coeur : Le Muzoo Replat du Dahu 1 2300 La Chaux-de-Fonds 15. Ville de Carouge 1227 Carouge

Au menu de ces soirées dʼaltitude? Ambiance jazzie et rétro le 31 juillet avec Andrej Hermlin et son célèbre Swing Dance Orchestra, qui font revivre lʼesprit des légendaires soirées new-yorkaises des années 30 et 40. Possibilité dʼy ajouter une touche gastronomique! Le 7 août, cʼest à un double événement que le public est convié sur lʼEggli: un concert classique virant sur le jazz et la folk avec le Vision String Quartet, suivi – une fois le ciel noirci – par un «Live Electronic Event» animé par le DJ & violoniste électro Seth Schwarz. Le cycle se termine en apothéose le 10 août avec les fameuses «Planètes» de Gustav Holst dans une version brass proposée par les cuivres du Gstaad Festival Orchestra.

Assurez-vous dès maintenant les meilleures places – à choix sur gstaadmenuhinfestival.ch ou par téléphone en appelant le

Les amateurs de grands frissons symphoniques ne sont pas en reste avec un nouveau florilège de soirées dʼexception. Au programme notamment: la Septième de Brucker avec le Gstaad Festival Orchestra et Jaap van Zweeden, la Septième de Dvořák portée par le Budapest Festival Orchestra et Iván Fischer, «Titan» de Mahler et «Les Planètes» de Holst par le LSO et Sir Antonio Pappano, sans oublier la Cinquième Symphonie de la trop rare Emilie Mayer, la vertigineuse Burlesque de Richard Strauss sous les doigts de Bertrand Chamayou et une nouvelle version du show de breakdance «Breakin’ Mozart» de Christoph Hagel et de son DDC Dancefloor Destruction Crew.

Berghaus Eggli

Antonio Pappano & London Symphony Orchestra

Lausanne

Genève

Découvrir les activités estivales à Verbier : Un été plein d’aventures !

Verbier en été, c’est l’assurance de vivre des moments inoubliables au cœur des Alpes suisses. Cette station renommée pour ses pistes de ski en hiver se transforme en un véritable paradis pour les amoureux de la nature et les aventuriers.

Voici un aperçu des activités à ne pas manquer pour un été mémorable :

Lever de soleil au Mont-Fort : Assister à un spectacle naturel époustouflant depuis le sommet du Mont-Fort. À 3 330 mètres d’altitude, on est émerveillé par les premières lueurs du jour qui illuminent les sommets enneigés et les vallées environnantes. C’est une expérience magique qui restera gravée dans la mémoire. On peut également réserver un cours de yoga tout en assistant au lever de soleil ! Une activité coup de cœur assurée !

VTT : Parcourir les sentiers de montagne à vélo, que l’on soit débutant ou expert. Le Verbier Bikepark offre neuf pistes de descente adaptées à tous les niveaux. Les amateurs de VTT trouveront leur bonheur sur les 18 itinéraires d’enduro trails, 500 km de parcours cross-country ou encore les nombreux tracés pour vélos électriques !

Randonnée : Explorer des centaines de kilomètres de sentiers balisés offrant des panoramas exceptionnels sur les sommets environnants et les vallées verdoyantes. Que l’on soit à la recherche d’une balade tranquille ou d’une randonnée plus sportive, Verbier a quelque chose à offrir à chacun.

Via Ferrata : Grimper les parois rocheuses en toute sécurité grâce aux équipements installés. C’est une aventure verticale qui plaira aux petits comme aux grands. Les différentes via ferrata de la région offrent des vues imprenables et des défis adaptés à tous les niveaux.

Trottinette : Dévaler les pentes de Verbier et de La Tzoumaz en trottinette tout-terrain. Une activité ludique et originale pour toute la famille, idéale pour découvrir la montagne sous un autre angle.

Expérience 360 : Pour les amateurs de sensations fortes, il est possible d’opter pour un package combinant trottinette, tyrolienne et une offre de restauration. On passera une journée remplie d’adrénaline et de paysages à couper le souffle, une aventure à ne pas manquer !

Tyrolienne : Voler au-dessus du glacier de Tortin avec la tyrolienne de Verbier. À plus de 1 400 mètres de longueur, c’est une expérience inoubliable pour les amateurs de sensations fortes. La vue panoramique sur les montagnes environnantes est tout simplement spectaculaire.

Plateforme panoramique du Mont-Fort : Ne pas manquer la plateforme panoramique du Mont-Fort. Accessible facilement en téléphérique, elle offre une vue à 360 degrés sur les Alpes suisses. On peut

y admirer les sommets emblématiques tels que le Cervin, le Mont-Blanc et le Grand Combin. C’est l’endroit idéal pour des photos souvenirs et pour s’imprégner de la beauté des montagnes. Et de nombreux événements : Tout au long de l’été, Verbier organise de multiples événements culturels et sportifs. Concerts en plein air, festivals de musique, compétitions sportives, il y en a pour tous les goûts. Ces événements sont des moments de partage et de découverte qui enrichiront le séjour.

Verbier attend ses visiteurs pour un été riche en émotions et en aventures ! Que l’on soit en quête de détente, d’adrénaline ou de découvertes, la station offre une multitude d’activités pour des vacances inoubliables !

Plus d’infos sur : verbier4vallees.ch

« La phytothérapie est l’avenir »

Depuis maintenant 16 décennies, les produits Zeller sont présents dans les armoires à pharmacie des familles suisses. Le baume zeller est l’un des médicaments les plus anciens du pays, et presque tous les Suisses y ont associé ou y associent encore des souvenirs. Quel est donc le secret du succès du fabricant suisse de médicaments à base de plantes, aujourd’hui réputé et moderne ?

L’utilisation de plantes médicinales fait partie des plus anciennes formes de thérapie connues. Aujourd’hui, elle est plus actuelle que jamais. La phytothérapie moderne, appelée phytothérapie rationnelle, allie des connaissances séculaires aux dernières découvertes scientifiques. C’est ainsi que Zeller produit des médicaments à base de plantes (phytopharmaceutiques) de la plus haute qualité. Les phytomédicaments rationnels font partie de la médecine moderne et sont plus qu’un simple complément à la médecine traditionnelle. Ils sont recommandés dans de nombreuses indications en tant que remède de premier choix - notamment dans les maladies chroniques - car la question de la tolérance joue ici un rôle important. C’est sur la base de cette idée qu’ils ont réussi à être de plus en plus reconnus au fil des années et à être aujourd’hui recommandé dans diverses indications, soit comme produit leader, soit comme l’une des thérapies les plus prescrites. Cela montre - même après 160 ans - quel est le potentiel du traitement par les phytomédicaments.

Comment tout a commencé

Le 1er novembre 1864, Paul Friedrich Gaupp (18191888) a ouvert une pharmacie dans la ville en plein essor de Romanshorn. C’était une connaissance proche de Maximilian Georg Zeller (1834-1912) qui, né à Winnenden et plus tard passionné par les plantes, avait suivi une formation de pharmacien à Göppingen et Esslingen am Neckar. Max Zeller est arrivé à Romanshorn fin 1865 et, dès février 1866, il a racheté à Paul Gaupp sa pharmacie située dans l’actuelle Bahnhofsstrasse. Max Zeller aimait expérimenter dans son petit laboratoire, où il développait de nouveaux

remèdes à base de plantes et améliorait ceux qui existaient déjà. Le « baume zeller » devait s’avérer particulièrement prometteur. Dès 1895, il était expédié dans toute la Suisse et à l’international et est aujourd’hui encore connu de presque toutes les familles suisses.

Zeller n’est pas seulement le baume zeller

Les descendants de Max Zeller n’ont cessé de développer l’entreprise. L’idée d’utiliser au mieux les composants naturels d’une plante a conduit très tôt à s’intéresser à la culture contrôlée et à la sélection de variétés de plantes appropriées. C’est ainsi que des plantes qui n’avaient encore jamais été cultivées de manière contrôlée ont été cultivées pour la première fois. Cela a permis à l’entreprise de mener des recherches constantes sur des plantes établies, mais aussi de développer d’autres produits comme zeller sommeil, zeller détente, remotiv, zeller figues et bien d’autres. Aujourd’hui, Zeller propose une large gamme de produits dans les domaines thérapeutiques les plus divers, notamment la santé féminine, les allergies, le rhume et la dermatologie.

De la plante au médicament

Une partie importante de la stratégie de l’entreprise consiste à contrôler la chaîne de création de valeur, de la plante médicinale à la commercialisation du médicament à base de plantes. De nombreuses étapes sont nécessaires pour qu’une plante devienne un médicament. Afin de produire et de commercialiser des phytomédicaments répondant aux normes les plus élevées, Zeller accorde une importance particulière aux étapes suivantes. Celles-ci sont décrites à l’exemple du gattilier, contenu dans prefemine.

Sélection de la plante médicinale

Des critères géographiques, botaniques et génétiques, mais aussi des caractéristiques de culture, de récolte et de traitement sont évalués afin de sélectionner la meilleure variété de plante.

Culture

Ensuite, la variété de plantes sélectionnée est cultivée dans un sol approprié. La culture se

Ateliers de vacances

A Lausanne, au cœur du campus sécurisé de l’Ecole Nouvelle (2½–7 ans)

Camp d’été

En Valais, au pied des Dents du Midi, à Champéry (9–18 ans)

Camp de windsurf

A Bonaire, l’île corallienne des Antilles néerlandaises (11–18 ans)

Ecole Privée Bilingue Français-Anglais 2½–18 ans Maturité Suisse | Baccalauréat International www.ensr.ch | +41 21 654 6500 | info@ensr.ch

déroule dans des conditions contrôlées. Une attention particulière est accordée à la culture durable et l’utilisation de produits phytosanitaires synthétiques est largement évitée.

Extraction

Après la récolte, les fruits séchés du gattilier sont finement broyés, puis extraits à l’aide d’un agent d’extraction approprié. Afin de garantir la qualité de l’extrait, l’entreprise travaille ici aussi selon des normes strictes.

Mise en comprimés et conditionnement

Après l’évaporation de l’extrait liquide et la granulation qui s’ensuit, on obtient l’extrait sec proprement dit, qui est considéré comme la substance active. Celui-ci est ensuite mélangé à d’autres adjuvants et pressé en comprimés, qui sont ensuite filmés et emballés.

Contrôle de qualité

Afin de maintenir les exigences de qualité élevées fixées pour le médicament, des tests de qualité rigoureux doivent être effectués à intervalles réguliers.

Recherche et études cliniques

Avant que des études cliniques puissent être menées sur des volontaires, l’efficacité et l’innocuité des extraits sont testées en laboratoire. Dans les études cliniques qui suivent, l’efficacité et la sécurité des médicaments sont comparées à celles d’un placebo ou de thérapies standard. Les résultats de ces études sont publiés dans des revues spécialisées indépendantes et internationalement reconnues.

Médicament autorisé

Une documentation complète, incluant des études cliniques et des recherches scientifiques, est nécessaire pour qu’un médicament soit autorisé sur le marché suisse par l’autorité sanitaire, Swissmedic (Institut suisse des produits thérapeutiques).

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Des solutions auditives intelligentes et imperceptibles

Les aides auditives les plus modernes sont de minuscules appareils techniques polyvalents qui nous simplifient énormément la vie. 24 heures sur 24, notre ouïe est en action et nous guide dans la vie : Les chiffres montrent que nous devrions faire plus attention à préserver notre audition.

Rester longtemps en bonne santé, c’est ce que nous voulons tous. Dans ce contexte, nous pensons à une bonne alimentation, à une activité physique suffisante et à des contrôles de santé réguliers. Mais ce que beaucoup de gens oublient, c’est qu’une bonne audition est également un facteur important pour rester en bonne santé. Les chiffres de notre pays montrent qu’il y a encore beaucoup de sensibilisation à faire dans ce domaine. De nos jours, les solutions auditives sont à peine perceptibles en tant que telles, que ce soit de l’extérieur ou par la personne qui les porte. Il n’y a donc plus aucune raison de retarder l’utilisation d’une aide auditive et de croire aux vieux préjugés. Bien au contraire. Les appareils modernes sont bien plus que des outils permettant d’entendre mieux.

L’audition en Suisse

Selon l’étude Eurotrak, la plus grande étude européenne sur l’appareillage auditif, la Suisse entend relativement bien : dans l’ensemble de la population âgée de 18 ans et plus, 9 % des personnes interrogées déclarent être touchées par une perte auditive. À première vue, cela semble très peu - mais bien sûr, la proportion augmente avec l’âge. Chez les plus de 74 ans, c’est presque une personne sur trois. Il est toutefois alarmant de constater que seuls 46 % de ces personnes sont équipées de solutions auditives. C’est certes plus qu’il y a quelques années, mais les chiffres montrent que beaucoup trop de personnes se résignent inutilement à leur

sort ou ne cherchent de l’aide que des années après l’apparition des premiers symptômes.

Une expérience auditive à 360 degrés

Alors que les solutions auditives deviennent de plus en plus petites et discrètes, leur fonctionnalité ne cesse d’augmenter. Adaptées aux besoins individuels par des audioprothésistes professionnels, elles permettent une expérience auditive à 360 degrés. Elles garantissent une sensation auditive naturelle en aidant à distinguer ce qui est pertinent de ce qui ne l’est pas dans des situations d’écoute complexes.

La suppression des bruits réduit par exemple les bruits de la rue ou des chantiers. Et le meilleur : les aides auditives modernes se connectent facilement aux smartphones, tablettes et autres appareils et constituent ainsi un prolongement intelligent de ces compagnons technologiques. Il sera ainsi possible à l’avenir de téléphoner les mains libres, d’écouter de la musique ou des podcasts, de se laisser guider et bien plus encore. Une application sur le smartphone permet de contrôler et de commander facilement toutes les fonctions de l’appareil auditif. Ces appareils techniques polyvalents permettent de redécouvrir l’acuité

auditive. Une bonne audition n’est pas seulement utile dans la vie sociale de tous les jours, elle améliore également l’estime de soi, la capacité de concentration, l’agilité et la santé physique - en bref, une audition complète permet de profiter davantage de la vie.

Dans l’un des plus de 80 centres auditifs suisses de Neuroth, il est possible de découvrir les dernières tendances : tester gratuitement les technologies auditives actuelles pendant 30 jours et convenir tout simplement d’un rendez-vous de conseil à proximité, sans engagement. En tant qu’expert, Neuroth aide à améliorer l’acuité auditive et accompagne de manière compétente sur cette voie.

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Des activités insolites pour un été inoubliable en Suisse

Entre l’exploration de moulins souterrains, la découverte de grottes mystérieuses, la dégustation de mets raffinés à bord d’un train panoramique ou encore le vol en montgolfière, la Suisse propose une multitude d’activités saisissantes qui sauront surprendre les plus curieux.

Voici une sélection originale des activités les plus insolites à vivre cet été en Suisse.

Une attaque de train au Jura

Dans le pittoresque décor du Jura suisse, sur la ligne Glovelier - Saignelégier, se déroulent fréquemment des attaques de train spectaculaires. Les passagers du train à vapeur et du train Belle Époque ont effectivement rapporté avoir entendu des coups de feu et aperçu des hommes poursuivant le train à cheval : des cow-boys !

Bien que cette mise en scène soit organisée par les Chemins de fer du Jura, elle paraît si réelle qu’elle plonge les voyageurs dans une atmosphère digne des meilleurs westerns. Cette expérience unique dure environ deux heures et offre bien plus qu’un simple voyage à bord d’un train d’une autre époque. En plus de traverser des paysages sublimes, les passagers sont témoins d’une véritable attaque de cow-boys à cheval. C’est un spectacle qui ravit les petits comme les grands, transportant chacun dans un univers où l’histoire et l’aventure se rejoignent pour créer des souvenirs inoubliables.

Un escape game grandeur nature

Les jeux de piste urbains sont devenus une activité populaire en Suisse, offrant aux participants une expérience unique mêlant amusement et découverte. Ces jeux, qui se déroulent généralement en équipes, invitent les participants à explorer les rues et les différents monuments d’une ville tout en résolvant des énigmes pour avancer dans l’aventure. Ils offrent une manière ludique et conviviale de découvrir les villes suisses sous un angle nouveau, en stimulant la réflexion et la collaboration.

À Genève, par exemple, les joueurs sont invités à se lancer à la découverte de la vieille ville en résolvant des quêtes qui les conduiront à des endroits emblématiques tels que la cathédrale Saint-Pierre ou la place du Bourg-de-Four. À Zurich, les participants peuvent découvrir le charme de la ville en résolvant des énigmes autour du lac ou dans les quartiers historiques. Lausanne, Neuchâtel et Bâle offrent également des parcours extérieurs qui permettent de découvrir leur histoire et leurs secrets de manière interactive. Ces chasses aux trésors urbaines s’adressent à tous les publics, des groupes d’amis aux entreprises en quête d’activités de team building originales.

Partir explorer des gorges suisses La Suisse, connue pour ses paysages idylliques, offre aux voyageurs une multitude d’opportunités d’exploration. Parmi elles, les gorges se révèlent être de vrais trésors naturels.

Les gorges du Trient, situées dans le canton du Valais, offrent un parcours de découverte fascinant au long de cascades et de parois rocheuses vertigineuses. Les gorges de l’Aar, situées près de Meiringen dans le canton de Berne, sont également un site incontournable. Ce passage étroit, sculpté par les eaux tumultueuses de l’Aar, offre une promenade spectaculaire le long de passerelles aménagées au-dessus de l’eau.

Ces explorations sont accessibles tant aux familles qu’aux aventuriers confirmés, et permettent de découvrir la nature suisse sous un angle différent. Les guides locaux, experts de la région, accompagnent les visiteurs qui souhaitent en apprendre davantage sur les secrets et les anecdotes des lieux explorés.

Une expérience culinaire itinérante

Plusieurs itinéraires en Suisse offrent une expérience culinaire unique à bord de trains sublimes. L’un des trajets les plus emblématiques est celui du Glacier Express, reliant Coire et Saint Moritz. À bord, les passagers sont invités à savourer des spécialités traditionnelles, préparées avec soin et servies dans un cadre élégant. Cette activité permet aux visiteurs d’apprécier des produits frais tout en admirant les montagnes impressionnantes à travers de grandes baies vitrées.

Pour une expérience plus intimiste, rendez-vous sur la ligne du BAM au départ de Morges. La compagnie ferroviaire offre une variété de menus à thème lors d’un trajet en train rétro, allant du brunch du terroir à la cuisine gastronomique. Le train du vigneron propose en outre un repas accompagné d’une dégustation de vin commentée alors que le train du fromager invite les passagers à savourer une fondue artisanale ainsi qu’une assiette de charcuterie. Les samedis midis, le train bières et burgers accueille les visiteurs pour un menu trois plats tout en burgers avec une dégustation de quatre bières.

Visiter les moulins souterrains du Col-des-Roches

Les moulins souterrains du Col-des-Roches, situés dans la région du Locle dans le canton de Neuchâtel, sont de véritables pépites historiques et touristiques. Ce site unique propose une plongée fascinante dans l’histoire industrielle de la région, à travers un réseau de galeries souterraines où l’eau était autrefois utilisée pour actionner moulins, scierie, rebatte et huilière. Ces moulins, datant du 17e siècle, sont l’un des derniers témoins de l’ingéniosité des artisans

de l’époque qui ont su exploiter les ressources naturelles de la région. Aujourd’hui, le site est ouvert au public et propose des visites guidées qui permettent de découvrir le fonctionnement du moulin et l’histoire de son utilisation.

Une activité aérienne

La Suisse est le cadre idéal pour des activités aériennes qui promettent des vues à couper le souffle et des sensations inoubliables. Le parapente est l’une des meilleures façons de découvrir les montagnes suisses d’en haut. Accessible tant pour les novices que pour les expérimentés, les écoles de parapente proposent des vols en tandem qui permettent de voler en compagnie d’un instructeur expérimenté. Pour les amateurs de sensations fortes, le saut en parachute garantit une montée d’adrénaline sans égale. La chute libre est une expérience intense durant laquelle des vitesses vertigineuses sont atteintes. L’ouverture du parachute marque le début d’une descente plus paisible, permettant d’admirer les paysages suisses sous un angle unique. Finalement, le vol en montgolfière propose une expérience aérienne plus calme mais tout aussi impressionnante. Contrairement aux deux autres activités aériennes, le vol en montgolfière est une occasion de prendre le temps d’admirer les détails du paysage, de photographier des panoramas incroyables et de ressentir une profonde connexion avec la nature.

Texte Maévane Mas

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Bien dormir malgré la chaleur estivale ? Voici comment faire !

C’est le plein été, les températures montent et même la nuit, le thermomètre ne descend pas en dessous de 20 °C. Les nuits tropicales procurent des heures d’insomnie à de nombreuses personnes. Comment bien s’endormir malgré la canicule ? Ces conseils permettent d’y remédier.

La température ambiante optimale pour un bon sommeil varie selon les personnes, mais elle se situe généralement entre 16 et 20 °C environ. Une température légèrement plus fraîche favorise le processus d’endormissement - la baisse de la température corporelle signale au corps qu’il est l’heure de dormir.

Ouvrir les fenêtres - ou pas ?

Un conseil bien connu est de maintenir la température ambiante basse en fermant les fenêtres et les stores. Mais cela n’est recommandé que si personne ne se trouve dans la pièce pendant la journée. Dans le cas contraire, l’humidité de l’air augmente dans la pièce et le dioxyde de carbone émis par le corps devient également une nuisance.

Si des personnes se trouvent dans la pièce, il faut donc veiller à une aération suffisante en ouvrant les fenêtres. En cas de fort ensoleillement, des volets roulants abaissés peuvent néanmoins limiter la chaleur.

Au contraire, si personne n’occupe la pièce concernée pendant la journée, les fenêtres, les stores et les rideaux peuvent rester fermés. Ainsi, la température y augmentera moins.

Aérer correctement en cas de températures élevées

De l’air frais et rafraîchissant aide à s’endormir.

Mais comment assurer une ventilation adéquate ?

La manière la plus efficace de renouveler l’air est la ventilation croisée. Cela signifie que toutes les fenêtres et portes de la chambre doivent être ouvertes pendant environ 20 minutes. L’aération par à-coups consiste à ouvrir toutes les fenêtres,

mais à laisser la porte de la pièce fermée. Cela peut prendre jusqu’à 10 minutes de plus pour atteindre le climat ambiant souhaité. Il n’est pas recommandé de se contenter d’incliner la fenêtre, car même si la température intérieure diminue, il n’y a pas de véritable échange d’air.

Il est préférable d’aérer tôt le matin avant le lever du soleil, tard après le coucher du soleil ou la nuit, lorsque la température de l’air extérieur est la plus basse possible.

le processus d’endormissement. L’eau chaude permet d’augmenter la circulation sanguine dans les extrémités. Cela aide le corps à mieux évacuer la chaleur et à se refroidir plus efficacement.

La couette adéquate

Un autre facteur important est la bonne couette. Alors qu’elle est essentielle en hiver pour éviter l’hypothermie pendant le sommeil, elle peut devenir un facteur perturbateur pendant les chaudes nuits d’été. Pourtant, de nombreuses personnes ne

De plus, le processus d’endormissement est freiné par la stimulation audiovisuelle constante des différentes applications. Le mot d’ordre est donc : ne touchez pas à votre téléphone portable !

Se doucher avant de dormir

On espère souvent qu’une douche fraîche avant d’aller se coucher apportera le rafraîchissement dont on a tant besoin. Mais lorsque le corps est exposé à des températures froides, il libère entre autres du cortisol et de la noradrénaline - des hormones de stress qui peuvent avoir des effets néfastes sur l’endormissement. En revanche, une douche tiède, mais pas chaude, une ou deux heures avant l’heure du coucher, peut accélérer

peuvent pas s’endormir sans être couvertes. C’est pourquoi il est important de miser sur la bonne couette en été. Il existe sur le marché une grande variété de couvertures d’été dans les modèles les plus divers. Il est recommandé de choisir des couvertures avec des matériaux extérieurs légers et respirants comme le coton, le lin ou la soie. En ce qui concerne le garnissage, les tissus qui régulent la température et l’humidité sont les mieux adaptés. Ainsi, la chaleur dégagée par le corps et la

transpiration ne posent pas de problème pendant la nuit. Les rembourrages en duvet, en soie ou en poil de chameau sont une bonne solution pour un confort de sommeil élevé. Les duvets en fibres de bambou conviennent également parfaitement - et présentent en outre un meilleur bilan écologique.

Le pyjama idéal

Il va de soi qu’il n’est pas recommandé de se coucher avec des chaussettes d’hiver et des sous-vêtements thermiques pendant les nuits d’été. Mais si l’on ne veut pas renoncer complètement aux vêtements, il faut opter pour des vêtements de nuit amples en matières respirantes. Ceux-ci aident, tout comme la couette, à évacuer la chaleur corporelle et la transpiration du corps. Dans le meilleur des cas, on opte ici aussi pour des matières comme le coton, le lin ou la soie. L’obscurité aide

Le rythme du sommeil est principalement régulé par la lumière. Lorsque la nuit tombe, le corps produit de la mélatonine, l’hormone du sommeil. Contrairement au cortisol, l’hormone du stress, celle-ci aide le corps à se détendre et à ralentir. Si l’on emporte son smartphone au lit, on influence ainsi la production de mélanine par l’organisme. La lumière émise par l’écran empêche la sécrétion de cette hormone. De plus, le processus d’endormissement est freiné par la stimulation audiovisuelle constante des différentes applications. Le mot d’ordre est donc : ne touchez pas à votre téléphone portable !

Texte Anja Cavelti

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Explorer la Suisse en toute simplicité grâce à une carte mobile interactive

Téléchargée plus de 2,5 millions de fois et utilisée en moyenne 75 000 fois par jour, avec des pics allant jusqu’à 150 000 utilisations durant les week-ends, l’application swisstopo a le vent en poupe auprès de la population suisse.

Retour sur cette application, dont la qualité informative guide chaque jour les visiteurs vers de nouvelles contrées helvétiques avec Raphaël Wyss, responsable de la direction Communication et web de swisstopo. Raphaël Wyss, pouvez-vous présenter swisstopo ?

Swisstopo, l’Office fédéral de topographie, est le centre national de la géoinformation en Suisse. Nous sommes responsables de la collecte, la gestion et la mise à disposition de géodonnées couvrant l’ensemble du territoire suisse. Notre application swisstopo gratuite intègre une vaste gamme de données géographiques et propose des cartes optimisées pour les smartphones. Elle rassemble les cartes nationales, des images aériennes, des cartes aéronautiques, historiques et géologiques de toute la Suisse, et couvre divers thèmes tels que la randonnée, le cyclisme, les sports de neige et l’aviation, facilitant ainsi la planification d’activités en plein air. Les utilisateurs et utilisatrices peuvent en outre accéder aux itinéraires officiels de SuisseRando et de SuisseMobile directement depuis l’application, rendant swisstopo indispensable pour quiconque souhaite explorer les richesses des paysages suisses.

Quelles sont ces différentes fonctionnalités ?

Notre application sert avant tout à l’orientation. Avec l’application swisstopo, la position de l’utilisateur est toujours affichée sur les cartes ou images aériennes. Les coordonnées et indications d’altitude sont toujours connues et actualisées. Grâce à la barre de recherche intégrée, on trouve rapidement chaque destination, facilitant ainsi les déplacements.

Les utilisateurs emploient avant tout l’application pour planifier leurs sorties et enregistrer des itinéraires pédestres, cyclistes ou encore de raquette ou de ski en hiver. Ils peuvent également enregistrer et partager

leurs tours avec leurs amis ou sur les réseaux sociaux et ainsi découvrir de nouvelles idées de sorties.

Enfin, le mode panorama permet d’identifier les lieux et les sommets environnants en pointant simplement la caméra du smartphone vers le paysage.

Les noms des sommets apparaissent alors à l’écran, offrant une expérience immersive et éducative.

L’application possède un nouveau type de carte nommé Base Map, de quoi s’agit-il ?

La Base Map est une nouvelle carte interactive, optimisée pour l’utilisation mobile. Elle contient de nombreux points d’intérêts et des informations en temps réel comme les arrêts de transports publics et les horaires de départs, les places de grillades et des informations sur le danger d’incendie, les toilettes publics, les points de vue ou les fontaines d’eau potable. Bref, tout ce qu’il est nécessaire de savoir lorsque l’on prépare une activité en extérieur. Avec la Base Map, il est encore plus simple de préparer et d’organiser sa sortie, que ce soit pour de la randonnée, du vélo ou une excursion familiale.

D’où proviennent toutes ces données ?

La base de ces informations repose sur la mensuration, les images aériennes et le modèle topographique détaillé du paysage suisse produits par swisstopo.

La Base Map enrichit ces informations en les combinant à des données provenant d’autres Offices fédéraux ou d’organisations partenaires qui fournissent par exemple des informations essentielles telles que les horaires des transports publics et les prévisions météorologiques.

On trouve aussi une photocarte dans l’application. De quoi s’agit-il ?

La photocarte combine les photos aériennes actuelles avec des éléments cartographiques. Cette fonctionnalité facilite l’orientation et la lecture des photos aériennes.

L’application peut-elle être utilisée hors connexion ?

Les cartes et données de l’application peuvent être téléchargées et stockées gratuitement pour

une utilisation hors-ligne. Cette fonctionnalité est particulièrement avantageuse pour les utilisateurs se trouvant dans des zones reculées de la Suisse, où la connexion mobile peut être faible ou inexistante. Ainsi, les randonneurs, cyclistes et autres amateurs d’activités de plein air peuvent toujours accéder aux informations géographiques cruciales, même dans les endroits les plus isolés.

Quelles sont vos recommandations pour une utilisation optimale de l’application ?

Mon premier conseil est simple : téléchargez l’application et partez dans la nature pour l’essayer ! L’application est très intuitive et convient aussi bien aux jeunes qu’aux personnes plus âgées. Nous avons pensé à tout le monde pour garantir une utilisation facile et agréable. La Base Map est par exemple particulièrement adaptée aux jeunes utilisateurs, mais elle a été conçue pour être polyvalente et utile à tous. Des vidéos explicatives couvrant les fonctionnalités principales de l’application ont récemment été publiées pour guider pas à pas les utilisateurs qui rencontrent des difficultés d’utilisation. Elles sont accessibles sur notre site web, Youtube ou notre compte Instagram.

Interview Maévane Mas

Pour télécharger l’application :

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