Hoping for a Sustainable Future: Are We Doing Enough?

Marya Tiwana

Section Editor - Issues and Ideas, Health and Wellness & Expressions

Last December, the United Nations brought together more than 10,000 delegates from 188 different governments for a conference on biological diversity. Referred to by most as COP15, the 15th meeting of the Conference of the Parties to the UN Convention on Biological Diversity (CBD) was held pretty close to us — just a few hours northeast of Toronto, in Montreal.

In 2002, the CBD committed to significantly reducing the rate of biodiversity loss by 2010 — then, in 2010, they regrouped to develop 20 goals to be met by 2020, called the Aichi Targets. Each time, the goals were not met. This time around, the conference sought to establish a Post2020 Global Biodiversity Framework, and after 12 days of discussions and negotiations, settled on the Kunming-Montreal Global Biodiversity Framework, referred to more briefly as the GBF. The GBF outlines 23 goals, as well as concrete action that must be taken to meet a ‘30x30’ goal, aiming to designate 30% of the Earth’s land and 30% of the Earth’s ocean as protected areas before 2030. The CBD aims for the goal to be met before 2030, and has acknowledged the importance of indigenous knowledge and conservation strategies to do so. Indigenous groups protect 80% of the earth’s biodiversity, despite forming only 5% of its population — funding, how- ever, continues to present a hurdle to many activists, whether they are indigenous leaders, scientists, or other climate advocates. The GBF doesn’t just target increased funding for climate activists, and also states that governments should monitor and more strongly regulate the impact that large corporations are having on wildlife. As well, the GBF calls for developed nations to apply $30 billion USD to biodiversity conservation efforts in developing countries, aiding them in realizing the strategic plan.

Globally, that’s good and fine. But what’s happening closer to home, on a local scale? The Climate Action Network of Canada makes efforts all across the country to combat climate change by addressing issues and concerns in not only domestic, but international policies, as well as educating Canadians through educational and strategic sessions. And on a smaller scale, organizations in Toronto and Ontario continue their climate advocacy efforts by establishing climate action networks, and advising against potentially harmful municipal and provincial legislature. This includes the work of the Toronto Climate Action Network against Bill 23, also called the “More Homes Built Faster” act, or the efforts and reflections on implementing “deep organizing” by Climate Justice Toronto.

At our own campus, Regenesis’ Glendon Chapter works to help the community by educating about the current climate crisis, sustainability measures that can be taken, and guiding Glendonites on advocating for our environment, in ways both big and small. Regenesis promotes sustainable practices in numerous forms: YUM Markets, work in the Glendon Community Garden, and development of the Seed Library, as well as offering helping students to pursue work in ‘green careers.’ Regenesis also has connections to the Green Career Centre, who created a Youth Green Jobs Network on LinkedIn, helping interested advocates to find entry-level green work.

Though the rapid degeneration of ecosystems and biodiversity all around the world is extremely concerning, and for many, including myself, heartbreaking, it has also awakened an urgency in many to engage in conservation efforts. Whether that means attending conferences, climate protests, or just opting for zero-waste alter- natives in our day-to-day lives, more and more people are reflecting, growing, and engaging for a better tomorrow. Let this urgency be your guide — look into the work of groups like Regenesis, Climate Justice Toronto, and the CBD to learn more about what is being done, guidance on what change you can make, and to find your place in the conservation movement.

Comment j’ai célébré le Nouvel An chinois en 2023

Peony Wong French Journalist

Le Nouvel An chinois est l’une de mes fêtes préférées en raison de la nourriture, de la possibilité de passer du temps avec la famille et les amis, et bien sûr, des enveloppes rouges. La fête de cette année est particulièrement spéciale pour moi, car c’est la première fois que je la passe avec ma grand-mère, qui vient de Hong Kong.

Le Nouvel An chinois est un événement important pour ceux qui le célèbrent. Cette année, il tombe le 22 janvier et les célébrations durent 16 jours. Le jour où la fête commence représente en fait le début d’une nouvelle année. Chaque année correspond également à un signe du zodiaque différent, avec 12 signes du zodiaque chinois au total. Ces signes du zodiaque sont des animaux, celui de cette année étant le lapin. Il faudra attendre 12 ans pour que le lapin redevienne l’animal du zodiaque, et cela vaut pour chaque animal.

Chacun célèbre le Nouvel An chinois différemment, mais beaucoup suivent les mêmes traditions et étiquettes. L’une des plus courantes est le « bai nian », qui consiste à se rendre dans la maison de sa famille ou de ses amis pour échanger des vœux pour le Nouvel An chinois. La salutation la plus populaire est « gong hei fat choy », qui signifie « grand bonheur et prospérité ». C’est ce que ma famille et moi faisons généralement, tout en mangeant des plats traditionnels du Nouvel An chinois comme le « lo bak go » (gâteau aux navets) et « nian gao » (le gâteau du Nouvel An chinois) que nous obtenons dans nos restaurants chinois locaux.

Étant donné que ma grand-mère est avec nous cette année, nous avons fêté comme elle le fait habituellement chez elle à Hong Kong. Le premier jour du Nouvel An chinois, ma grand-mère nous a préparé des plats végétariens composés de champignons, de pak choï, de tofu et de carottes. Ma grand-mère dit que manger végétarien le premier jour est une tradition qui vient du bouddhisme, dans la mesure où les légumes purifient et nettoient le corps et l’âme. Les jours suivants, ma grand-mère a préparé elle-même le gâteau aux navets et le gâteau du Nouvel An chinois. Les deux gâteaux sont en fait très faciles à faire. La préparation du gâteau aux navets est une tâche plus laborieuse, car elle nécessite beaucoup plus de procédures et d’ingrédients. Ma grand-mère utilise du navet chinois, de la farine de riz, de l’eau, un mélange de bouillon aromatisé au poulet, des crevettes séchées, des saucisses chinoises, de l’huile et du poivre. Par rapport au gâteau de navet, les seuls ingrédients que ma grand-mère utilise pour son gâteau du Nouvel An chinois sont la farine de riz gluant, l’eau, l’huile et le sucre en morceaux brunâtre, ce qui est nettement moins compliqué.

Je suis également allée voir une danse du lion. Il s’agit d’un groupe de danseurs qui exécutent des mouvements semblables à ceux d’un lion, sous un costume de lion. La dernière chose que j’ai faite, c’est fêter avec mes tantes, mes oncles et mes cousins. Là, j’ai reçu des enveloppes rouges. Elles contiennent de l’argent et sont données aux enfants et aux célibataires par ceux qui sont mariés.

J’ai eu beaucoup de plaisir à célébrer le Nouvel An chinois cette année et je continuerai de le faire chaque année. J’espère que vous avez appris quelque chose de nouveau sur cette fête. Je vous souhaite une année du lapin heureuse et prospère ! Joyeux Nouvel An chinois !