2020 Hiver Gallerie Version Française

MAGAZINE PPOC

HIVER 2020

DANS CE NUMÉRO : Cassandra Jones - Travailler avec des enfants pour capturer les moments magiques Clare Louise - Ce qui compte, c’est qui vous êtes Melanie East - Photographie de nouveau-nés : sécurité et créativité Story Wilkins - La puissance d’un superbe album de mariage Trevor Owen - Publier le contenu de votre site Web en toute sécurité Victoria West - Tarifs sans douleur

Tout ce qu’il faut.

Whatever it takes.

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V I STEK . C A

TA B L E D E S M AT I È R E S 4 6

Message de la présidente Travailler avec des enfants pour capturer les moments magiques

par Cassandra Jones

4

10

Ce qui compte, c’est qui vous êtes

par Clare Louise

14

6

10

Photographie de nouveau-nés : sécurité et créativité

par Melanie East

18

TÉ REPOR Programme du Congrès des PPOC 2020

20

La puissance d’un superbe album de mariage

par Storey Wilkins

14

20

24

Publier le contenu de votre site Web en toute sécurité

26

Tarifs sans douleur

29

Mon PPOC

30

À propos de la couverture

par Victoria West, CPA

24

par Stéphane Lavallée, MPA

par Marc Durocher

30

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par Trevor Owen

MESSAGE

de la présidente «ENVISIONNER LE FUTUR» J’avais originellement écrit ce message le 1er mars 2020.

J’étais très excitée par le Congrès canadien de l’image à venir, qui devait avoir lieu à Saskatoon du 23 au 25 avril.

La COVID-19 a malheureusement traversé les frontières et commencé à semer la panique ici au Canada avec une avalanche d’annulations et les consignes de confinement pour aplanir la courbe. Le conseil d’administration a annoncé le 16 mars que le congrès était reporté.

Louise Vessey, MPA, SPA Présidente des PPOC

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Les PPOC sont une famille, une communauté; les PPOC sont bien plus que les frais d’adhésion, de l’éducation et de bons tarifs d’assurance. Les PPOC sont ses membres, ses personnes. Nous sommes tous affectés par cette situation sans précédent, et alors que j’écris ces mots (le 20 mars), la situation évolue rapidement.

L’ASSOCIATION DES PPOC EST HEUREUSE DE VOUS PRÉSENTER SA PUBLICATION, GALLERIE. AVEC DES LAURÉATS, DES ARTICLES DE FOND, DES INFORMATIONS ÉDITORIALES, DES SERVICES AUX MEMBRES ET DE LA PUBLICITÉ, GALLERIE EST LE MAGAZINE PAR EXCELLENCE POUR LES PHOTOGRAPHES PROFESSIONNELS À TRAVERS LE CANADA. GALLERIE est publié trois fois par année : - Hiver (version numérique en ligne) - Été (imprimé et version numérique en ligne) - Automne (version numérique en ligne) ABONNEMENT Tous les membres des PPOC recoivent le magazine imprimé par la poste. Une version numérique en ligne est disponible pour tous les photographes.

Ce que je sais c’est nous devons nous serrer les coudes, nous entraider à travers cette crise. De nombreux photographes et leurs entreprises sont en difficulté et ce n’est pas le moment de quitter la communauté. Nous sommes tous dans le même bateau, naviguant les vagues qui ne font que devenir plus difficiles. La situation finira par se calmer et nous pourrons réfléchir aux dégâts et peut-être que de bonnes choses sortiront de cette crise. Ensemble. Ce n’est pas le moment de quitter le navire.

Pour être ajouté à notre liste de diffusion, veuillez contacter le bureau des PPOC à info@ppoc.ca en indiquant votre province de résidence.

Le conseil des PPOC veut trouver des façons de vous aider et, oui, de vous garder en tant que membre. Nous pouvons traverser cette crise ensemble.

PUBLICITÉ Un forfait publicitaire unique assurera votre espace publicitaire dans les trois numéros.

Bien que les temps soient inquiétants, je n’ai pas de doutes que le futur sera prometteur. Je dois aussi ajouter que je ne me suis jamais sentie si patriotique et heureuse d’être Canadienne. Peu de pays ont été épargnés par la COVID-19. Je ne voudrais être nulle part ailleurs qu'au Canada en ce moment. Je ne peux imaginer ne pas avoir la communauté des PPOC à mes côtés.

Double page Page complète dos de couverture Page complète intérieur couverture Supplément publicitaire Page complète Demi page Quart de page

Je suis heureuse de naviguer ces vagues avec vous tous.

Les partenaires commerciaux des PPOC ont un escompte de 20 %. Pour réserver votre espace publicitaire contactez l’éditeur.

Louise Vessey, MPA, SPA Présidente des PPOC

Des exemplaires additionnels de Gallerie sont dispo­ nibles au coût de 6,95 $, plus les frais de poste.

SOUMISSIONS Les articles ainsi que les textes des membres sont les bienvenus. Veuillez les soumettre à l’éditeur pour examen.

ÉDITEUR Bruce Allen Hendricks, C/PPOC, MPA t : 204 227-9447 c : editor@ppoc.ca CONCEPTRICE ET INFOGRAPHISTE Josée Talbot, CPA t : 418 881-3998 c : josee@talbotphotoart.ca DIRECTEUR DE PUBLICITÉ Brad Kelly, MPA c : advertising@ppoc.ca

1575 $ / an 1375 $ / an 1125 $ / an 1000 $ / an 975 $ / an 630 $ / an 400 $ / an

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TRAVAILLER AVEC DES ENFANTS POUR CAPTURER LES MOMENTS MAGIQUES

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par Cassandra Jones LES GENS ME DEMANDENT TOUJOURS COMMENT JE FAIS. COMMENT AMENER LES ENFANTS À COOPÉRER ET À FAIRE CE QU’ILS FONT DANS MES SESSIONS ? IL S’AGIT VRAIMENT DE SE CONNECTER ET DE COMPRENDRE LES BESOINS DE MES PLUS PETITS SUJETS ET DE ME PRÉPARER POUR UNE SESSION RÉUSSIE. DANS CET ARTICLE, JE VAIS PARTAGER QUELQUES CONSEILS AFIN DE VOUS AIDER À CAPTURER ET À CRÉER DES MOMENTS MAGIQUES DANS VOS SÉANCES AVEC BÉBÉS ET ENFANTS.

1. Donnez-leur quelque chose à faire.

Donner aux enfants quelque chose à faire pendant que vous les photographiez les aidera à rester engagés, en position et heureux. Assurez-vous de rendre les choses amusantes !

2. Jouer de la musique Demandez à maman et papa quelles sont les chansons préférées des petits et jouez-les pendant la session. Vous obtiendrez de vrais sourires, des rires et de superbes photos de mise en récit.

3. Laissez-les être des tout-petits Les bébés et les enfants sont les sujets les plus faciles à photographier au monde car tout ce qu’ils font est adorable. Alors, laissez-les être des tout-petits : mâcher une feuille, manger une pomme, explorer leur environnement. Tout cela donne un cliché adorable et de vrais souvenirs palpables pour maman et papa.

Organisez une scène, placez les enfants là où vous en avez besoin, puis asseyezvous et voyez ce qui se déroule. Souvent, les enfants et les bébés nous donnent exactement ce que nous recherchons et même plus avec peu ou pas de direction.

Vous serez peut-être surpris par les beaux portraits que vous pouvez prendre, permettant aux enfants de prendre la direction. Certaines de mes images préférées sont les moments les plus spontanés et les plus imprévus.

5. Assurez-vous qu’ils sont convenablement vêtus.

Les petits qui ont trop chauds ou trop froids sont beaucoup moins susceptibles de coopérer que les petits qui sont confortables. J’ai toujours des chandails et des châles en réserve pour mes séances et vous ne me verrez jamais photographier une jeune fille en robe légère dehors en plein hiver.

6. Demandez aux parents de ne pas donner aux enfants un repas sucré et pauvre en glucides avant la séance.

Les petits qui ont un ventre plein d’aliments sains et santés sont moins susceptibles de s’effondrer pendant une séance. Je demande toujours aux parents de ne pas nourrir leurs enfants avec du sucre avant notre session et de ne pas apporter de bonbons, de collations sucrées ou de boissons gazeuses.

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4. Agissez en tant qu’observateur.

7. Amenez un(e) assistant(e) C’est important ! J’emmène une assistante à chaque séance que je fais pour une multitude de raisons. Premièrement, les enfants sont plus susceptibles de coopérer avec un parfait inconnu qu’avec leurs propres parents (c’est vrai).

Deuxièmement, mon assistante sait exactement ce dont j’ai besoin pour obtenir la photo parfaite et elle peut repositionner les petits sous la lumière parfaite, fixer les vêtements, fixer les cheveux et faire tout ce que je lui demande très rapidement car elle le fait tous les jours et elle sait ce que je cherche. Les enfants ont une durée d’attention très courte et les jeunes enfants et les tout-petits ont une fenêtre de coopération principale d’environ 20 minutes ou moins. J’ai besoin de pouvoir parcourir les plans très rapidement. Troisièmement, je veux que maman et papa puissent se détendre, ne pas stresser et ne pas interférer avec ce que j’essaie d’accomplir en amadouant / soudoyant / menaçant leurs enfants pour qu’ils écoutent. Maman et papa sont plus à l’aise (et donc les enfants sont aussi plus à l’aise) lorsque j’ai mon assistante pour intervenir et aider.

8. Donnez aux enfants des choix pour les impliquer dans la session.

Ils se sentiront plus importants et investis si vous leur permettez de prendre des décisions. Essayez de ne pas les submerger de tonnes de choix. Restez simple.

Leur permettre de choisir entre trois accessoires ou jouets différents que vous pourriez utiliser pendant la session est un bon début. Quand je veux qu’un enfant tienne une feuille ou une fleur, je lui demande laquelle il aimerait. De nombreuses actions que j’aimerais incorporer dans mes photos pour raconter plus d’histoires peuvent être transformées en choix. Discutez avec vos plus petits clients et n’oubliez pas de vous souvenir de leurs réponses.

9. Ne leur demandez pas de rejoindre votre monde, rejoignez le-leur à la place.

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C’est l’une des choses les plus importantes que vous puissiez faire lorsque vous photographiez des enfants. Demandez-leur ce qu’ils aiment faire et adaptez la session spécifiquement à eux. Mon exemple préféré de ceci fut de travailler avec un petit garçon autiste. Quand sa maman a mentionné qu’il aimait les chiffres et compter, je l’ai installé avec sa petite sœur de 6 mois allongée par terre devant lui et lui ai demandé de taper du pied sur sa poitrine et de compter les coups. Le résultat ? De beaux moments réels et un grand frère très heureux.

Cassandra est une photographe de bébés et d’enfants de renommée mondiale, plusieurs fois primée, basée à Grande Prairie, en Alberta. Elle est surtout connue pour ses portraits de bébés et d’enfants en plein air et tire une grande partie de son inspiration en plein air de son enfance passée dans une ferme isolée du nord de l’Alberta. Sa profonde appréciation pour les expériences qui composent nos vies, associée à sa formation en psychologie clinique, a conduit Cassandra à développer un style photographique unique profondément enraciné dans la narration.

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Cassandra Jones

CE QUI COMPTE, C’EST QUI VOUS ÊTES HIVER 2020 | MAGAZINE GALLERIE | 10

par Clare Louise LE BESOIN DE RÉUSSIR ET DE CRÉER NOTRE MEILLEUR TRAVAIL NOUS EMPÊCHE DE JOUER AVEC LA CRÉATIVITÉ ET, À SON EXTRÊME, PEUT NOUS EMPÊCHER DE FAIRE QUOI QUE CE SOIT AVEC CELA, BLESSANT NOTRE ESPRIT CRÉATIF. LORSQUE NOUS PENSONS TROP - NOUS NOUS TENONS À NOTRE MANIÈRE, EMPÊCHANT NOTRE PROPRE ENVOL. Je réfléchis trop depuis aussi longtemps que je me souvienne, c’est un trait ennuyeux que j’ai dû apprendre à aimer de moi-même pour pouvoir le reconnaître, le gérer et grandir. La plupart du temps ces jours-ci, je me surprends à le faire tôt, puis il y a des moments où je ne le fais pas. J’ai donc aussi dû apprendre ce que je fais quand je ne le fais pas, en vérifiant mes sentiments afin de pouvoir reconnaître mes propres schémas. Cette découverte est quelque chose sur laquelle j’accorde une si grande valeur en tant que créatrice… parce que la créativité ne vit pas dans l’état de la pensée - elle découle de qui nous sommes.

J’ai appris que trop penser est le tueur de la créativité.

Ce besoin de réussir et de créer notre meilleur travail est un trait intérieur sombre du créateur, qui nous voit souvent sur-créer dans le but de trouver la perfection.

Prenez l’écriture de cet article, par exemple, jusqu’à présent, j’ai participé à la danse de l’évitement créatif - donnant la priorité à tout le reste (y compris la cuisine, la lessive, un déjeuner matinal et des tasses de thé sans fin). J’ai également rencontré ma saboteuse qui, si je lui donne du temps et de l’espace, saisira chaque occasion pour me dire que je ne suis pas assez bonne, et croyez-moi, elle ne m’a pas déçue ce matin.

Alors que je m’asseyais et commençais cet article dans la perspective que je ne serai pas à la hauteur, j’ai empilé quelques livres prêts à faire des recherches, me préparant à écrire l’article que je pensais que vous voudriez lire, qui montre mon expertise en se concentrant sur la logique et les actions, que pour une raison quelconque, je pense que vous attendez.

Une chose que je sais avec certitude, c’est que la créativité, quand elle coule, n’est pas difficile, et ici je trouvais cela difficile, forçant, réfléchissant trop, ressentant la pression du perfectionnisme, frustrée et sans inspiration pour créer.

Je me suis donc connectée à ces sentiments, mis fin à la peur qui est souvent déguisée en contrôle et abandonné l’esprit critique et logique. Ensuite, j’ai arrêté d’écouter mon ego malsain, qui se nourrit de perfectionnisme et j’ai plutôt choisi de me connecter à l’autre partie de moi, le murmure que j’ai ignoré

toute la matinée, qui me demande de me présenter telle que je suis et de créer authentiquement à partir de cet espace.

Et respirer, ça, c’est tellement plus facile, ça coule, en fait, en ce moment, j’ai l’impression de pouvoir écrire pour toujours.

Vous voyez, nous sommes plus que qui ou ce que nous pensons être à un moment donné. Le fait de penser est simplement un ensemble de limitations que nous avons imposé à nous-même, une contrainte qui nous garde dans notre zone de confort, nous garde en sécurité et bloque notre flux créatif. Cela nous oblige à être d’une certaine manière et nous commençons à essayer trop fort, à nous efforcer, à essayer de répondre aux attentes et à plaire aux gens, et ouf, c’est tellement épuisant, non-inspirant et totalement contre nature.

Alors, qu’est-ce qui était derrière le besoin, l’effort et les essais ? Une fois que j’ai mis fin à la peur et au perfectionnisme, j’ai créé en moi un espace pour me connecter à ce que je ressentais d’autre - comme ma vérité, mon inspiration intérieure et les sept mots que j’avais écrits intuitivement ce matin, avant même de commencer à écrire consciemment cet article, me sont revenus en tête.

Ce qui compte, c’est qui vous êtes C’est vrai.

Ce qui compte, c’est qui vous êtes

La créativité ÉVOLUE dans la connexion - et plus vous vous connectez à vous-même - et votre vérité, plus vous vous connectez au monde autour de vous d’une manière significative qui compte. Lorsque nous créons à partir de cet espace… nous sommes fluides et notre voix peut résonner sur un niveau plus profond et être entendue par ceux qui sont prêts à l’entendre et à la ressentir.

Mais, si les gens ne l’aiment pas… ? Je vous entends, c’est une bataille que j’ai dû combattre moi aussi.

Il y a une partie de notre cerveau qui est constamment à la recherche de quelque chose qui nous dit que nous avons raison, que cela est sûr. Il est conditionné à rechercher des informations qui nous fournissent cette sécurité et compare ce qu’il sait à ce qui lui est présenté. Il compare ce que nous « faisons » à ce qu’il sait fonctionne déjà pour nous, afin que nous puissions trouver ce point central de certitude. Lorsque nous commençons à créer à partir de cet espace, notre cerveau logique donne le ton et les limites de la créativité et, plutôt que la créativité découler d’un endroit où nous sommes, et nous restons bloqués à faire des actions, freinant le flot inné.

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Vous voyez que la créativité ne se soucie vraiment pas du perfectionnisme, elle veut juste couler librement à travers vous. La créativité n’en a rien à faire si vous n’êtes pas techniquement correct, peu importe si vous êtes différent de tout le monde, elle n’a aucune attente… en fait, elle AIME votre différence… votre authenticité.

Lorsque vous commencez à créer à partir de votre cœur, de votre vérité, de qui vous êtes, de ce que vous ressentez, de votre version parfaitement imparfaite du monde, c’est à ce moment que vous commencez à vous connecter à votre voix créative authentique.

Nous avons été conditionnés à nous concentrer sur les exigences de la logique, notre ego malsain a besoin de réponses - il veut donner un sens à tout avant même de commencer - il veut connaître le résultat, le résultat final, il cherche un moyen sûr et rapide d’arriver là où nous voulons aller de la manière la plus sûre et la plus sûre possible ... il veut le perfectionnisme et c’est une façon avec laquelle nous ne pouvons fonctionner lorsque nous sommes dans un flux créatif.

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Nous sommes des êtres créatifs, notre potentiel créatif se trouve dans notre acceptation compatissante de qui nous sommes et où nous sommes d’une manière que notre esprit logique ne peut pas comprendre.

La compassion voit la beauté en tout, la perfection dans l’imperfection, la beauté en vous, votre vision, votre voix, exactement tel vous êtes - pour qui vous êtes, pour aucune autre raison qu’elle le sait. Elle sait que vous êtes exactement comme vous êtes censé être à un moment donné et vous demande de créer à partir de cet espace.

Du coin de l’œil, je vois l’heure, je me rends compte que j’écris depuis 20 minutes seulement, je n’ai pas trop réfléchi, je suis sortie de ma vérité, ça me semble bien et je souris en pensant à l’article que j’essayais toujours de faire marcher après 90 minutes.

Alors la prochaine fois que vous restez bloqué lors de la création, changez votre point de vue sur qui vous êtes lorsque vous êtes le plus compatissant, le plus créatif et le plus courageux et demandez-vous ceci…

Si j’aimais, croyais et avais confiance en moi à 100 %, que créerais-je ?

P.S. … si vous êtes intéressé par certains faits, la geek en moi veut partager ceci avec vous : En 1968, une étude sur 1 600 enfants de cinq ans a été réalisée par George Land, un spécialiste des systèmes, qui a fondé un institut de recherche pour étudier l’amélioration de la performance créative. Les enfants ont été testés en utilisant le même processus que la NASA utilise pour son processus de sélection d’ingénieurs et de scientifiques innovants. À cinq ans, 98 % des enfants ont enregistré des niveaux de créativité géniaux.

En retestant les mêmes enfants à 10 et 15 ans, ce niveau de génie créatif a chuté de manière alarmante à 30 % à l’âge de 10 ans et à seulement 12 % à 15 ans.

Ce même test a été utilisé sur plus de 280 000 adultes et a placé leur niveau de génie créatif à 2 %.

La conclusion de cette étude montre que le comportement non-créatif est en fait un comportement appris. Qu’au fur et à mesure que nous grandissons vers l’âge adulte, nous devenons séparés d’une partie de ce que nous sommes en tant qu’être humain pleinement fonctionnel.

Il est temps de vous reconnecter et de créer à partir de l’espace de qui vous êtes.

Ce qui compte, c’est qui vous êtes

Clare Louise, coach en leadership créatif Créer des connections plus profondes avec nous-mêmes et le monde autour de nous à travers la créativité authentique.

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Soyez vous-même. Vous êtes suffisant.

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PHOTOGRAPHIE DE NOUVEAU-NÉS : SÉCURITÉ ET CRÉATIVITÉ par Melanie East L’UNE DE MES PRINCIPALES VALEURS EN TANT QUE PHOTOGRAPHE DE NOUVEAU-NÉS EST LA SÉCURITÉ. MES CLIENTS LE SAVENT, MES CLIENTS POTENTIELS LE SAVENT, LES DÉLÉGUÉS À QUI J’ENSEIGNE LE SAVENT, ET L’INDUSTRIE DE LA PHOTOGRAPHIE DE NOUVEAU-NÉS AU ROYAUME-UNI LE SAIT. C’EST UNE ÉMOTION PUISSANTE ET CONVAINCANTE POUR MOI DE PROTÉGER LE NOUVEAU-NÉ À CENT POUR CENT PENDANT MES SESSIONS. CHAQUE FOIS QUE L’ON ME CONFIE LA POSE ET LA PHOTOGRAPHIE D’UN NOUVEAU-NÉ, C’EST UN HONNEUR ET UN PRIVILÈGE ABSOLUS, NON SEULEMENT DE PHOTOGRAPHIER, MAIS DE LE FAIRE DE LA MANIÈRE LA PLUS SÛRE POSSIBLE. DANS CET ESPRIT, MON FLUX DE TRAVAIL EST À 100 % SANS RISQUE. Lorsque vous travaillez en toute sécurité et que vous vantez les vertus du travail en toute sécurité, cela crée une relation de confiance entre vous et votre client.

Il permet aux parents de s’asseoir et de vous regarder au travail en sachant que leur nouveau-né est dans les meilleurs soins possibles. Il offre un environnement calme et apaisant où le client se sent chéri et rassuré, sachant qu’il recevra les plus belles images créatives, sans * aucun * risque et que la sécurité de son nouveau-né soit primordiale.

Il existe de nombreux photographes de nouveau-nés très responsables dans l’industrie, mais il y a aussi des photographes de nouveau-nés qui ne travaillent pas en toute sécurité ou ne prenant pas la sécurité de leurs plus petits clients autant au sérieux qu’ils le devraient. Cela peut être dû à diverses raisons - il peut s’agir d’un manque de connaissances, ou il se

Au début de ma carrière, j’ai travaillé comme avocate. J’étais spécialisé dans les blessures corporelles et la négligence clinique, il va donc de soi que d’un point de vue juridique, en cas de problème, c’est toujours dans mon esprit. C’est dans ma nature de remettre en question l’obligation de diligence et ce qui se passerait si cette obligation était violée en raison d’une négligence causant des blessures.

Prenons un scénario hypothétique - disons que le nouveau-né est dans un accessoire, dans une position tournée vers l’avant. L’assistant près du nouveau-né qui est censé faire attention à celui-ci fait attention à moi plutôt qu’au nouveau-né.

Le nouveau-né sursaute et se frappe la tête sur le rebord de l’accessoire, ou pire, tombe. Il en résulte une blessure à la tête. En fait, ce qui se passerait au RoyaumeUni, c’est que j’aurais manqué à mon devoir de diligence par négligence, j’aurais causé une blessure à mon client et il est probable que je serais poursuivie. Cela ne ferait pas que nuire énormément à ma réputation d’entreprise - ce serait aussi une vie de regrets et de culpabilité qui ne disparaîtraient jamais.

Ce n’est pas seulement mon esprit juridique qui garantit que je travaille en toute sécurité. En tant que photographe de nouveau-né, je travaille également avec les pensées et les sentiments des parents au premier plan de mon esprit. Que doivent-ils ressentir de voir leur nouveau-né manipulé dans certaines poses sans considération pour sa sécurité ?

Lorsque j’ai débuté en tant que photographe de nouveau-né, j’ai ressenti une pression pour faire ce que tout le monde faisait, la pose dans le seau, les poses tournées vers l’avant, les tacos (bien que de la manière la plus sûre possible).

Lorsque le nouveau-né était dans un accessoire ou dans une position tournée vers l’avant, sa petite tête était toujours soutenue pour assurer la sécurité. J’ai senti, à ce moment-là, que je devais créer ces poses et utiliser ces accessoires parce que c’était ce que faisaient tous les autres photographes de nouveau-nés.

Au fil du temps, je me suis éloignée de ce flux de travail. Je suis en liaison étroite avec un pédiatre consultant en médecine d’urgence, et lui et moi pensons que l’endroit le plus sûr pour le nouveau-né est sur une surface rembourrée, sur le dos, sur le sol ou sur le dos dans un bol peu profond rembourré au sol . Il est, bien sûr, vital de ne pas se tenir sur des tabourets ou des escabeaux (ou en fait quoi que ce soit) au-dessus du nouveau-né, et d’avoir la courroie de votre appareil photo autour du cou (ou d’utiliser la dragonne autour de votre main).

Nous pensons qu’un pouf est également sûr tant que la surface est suffisamment grande et qu’une personne soutenant la tête du nouveau-né est utilisée pour les poses tournées vers l’avant. Idéalement, les poufs ne devraient pas être placés sur des surfaces surélevées, car si le nouveau-né devait sursauter et tomber, il tomberait d’encore plus haut.

Pourquoi croyons-nous que ce sont les options les plus sûres ? Voyons ce qui pourrait arriver avec le nouveau-né dans un seau en équilibre sur une chaise, avec une personne qui est proche mais qui ne soutient pas le nouveau-né. Le nouveau-né pourrait sursauter ou éternuer et tomber, et le fait est que le photographe s’appuie sur les réflexes d’un assistant proche du bébé. Que se passerait-il si cette personne n’est pas assez rapide ? Que faire si cette personne regarde momentanément ailleurs et que le bébé sursaute et tombe, ou se frappe la tête, comme dans l’exemple hypothétique ci-dessus ? C’est pourquoi je pense que la tête des nouveau-nés doit toujours être soutenue.

Je l’ai fait. J’ai acheté les accessoires, j’ai posé des nouveau-nés sur des caisses et des lits et dans des seaux et des paniers et toutes sortes d’accessoires (même si leurs têtes étaient toujours soutenues). À un certain point, j’étais obsédée par les accessoires. Je sais par expérience lors de l’utilisation de nombreux accessoires que même lorsque nous avions le nouveau-né au premier plan, nos pensées étaient, comment obtenir ce cliché aussi rapidement et en

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peut qu’ils aient regardé les vidéos d’un photographe qui ne travaillait pas de la manière la plus sécuritaire. Ils ont peut-être inconsciemment repris de mauvaises habitudes de travail ou il se peut que, simplement parce que « rien ne s’est encore mal passé », ils ont le sentiment que rien ne peut mal tourner.

toute sécurité que possible et faire passer bébé à la pose suivante. Et je redoutais vraiment un nouveau-né très difficile ! Je sais que cela peut être difficile lorsque les yeux des parents vous étudient derrière vous. Je connais la pression. Je comprends bien.

Le Dr Daniel Langer est consultant en médecine d’urgence pédiatrique. Il est convaincu que les nouveau-nés doivent être photographiés de la manière la plus sûre possible pour éviter tout risque de blessure.

Plus j’en ai appris, et plus je me suis concentrée sur la sécurité des poses partagées ci-dessus, plus cela m’a fait faire le point sur ce que je fais. Au cours des trois dernières années, mon travail a évolué à cause de cela. J’adore le processus de pensée créative sachant que parce que le nouveau-né sera sur le dos, je n’ai pas besoin de manipuler le nouveau-né de quelque façon que ce soit. Cela m’a donné un système beaucoup plus simplifié pendant la session actuelle. Cela a rationalisé mon flux de travail. Il n’a plus d’importance si le nouveau-né est éveillé ou endormit et donc, que l’anxiété de savoir si le nouveau-né serait difficile est supprimée. Cela m’a fait créer des images sereines où je suis plus connectée avec le client et avec l’aspect créatif. J’ai beaucoup plus de temps au cours de la session pour affiner mon travail afin qu’il soit le meilleur possible à la prise de vue. Mon travail au cours des 3 dernières années a évolué, cela m’a libéré plus de temps pour devenir plus créative et je continue à évoluer en conséquence, je continue de grandir de façon créative… et j’aime chaque instant.

La sécurité et la créativité peuvent vraiment aller de pair - et selon mon expérience, c’est une expérience tellement plus riche du début à la fin.

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« L’endroit le plus sécuritaire pour les nouveau-nés est sur le dos. L’équilibre à la verticale dans des accessoires sans support approprié peut augmenter le risque d’accidents et donc de blessures. Une blessure à la tête d’un nouveauné peut être catastrophique. Les nouveau-nés peuvent sursauter et bouger sans avertissement même lorsqu’ils dorment. Le Moro (réflexe de sursaut) peut être induit par une hyperextension soudaine du cou, un bruit fort, de la lumière et même des éternuements. » La pose de la « grenouille » n’est pas naturelle en position et est susceptible d’exercer une pression sur l’articulation de la hanche, car les hanches sont très fléchies dans cette position. Il y a un risque que la mise en place d’un nouveau-né dans cette posture disloque la hanche si la dysplasie congénitale de la hanche n’a pas été détectée avant la séance de photographie du nouveau-né. Il y a un risque possible d’obstruer une voie aérienne avec la pose de la grenouille lorsque le nouveau-né repose sa tête en utilisant ses mains sous le menton. Même si une personne soutient la tête du nouveau-né et que la prise de vue est réalisée en composite, la zone sous le menton est molle - il n’est pas possible pour la personne de tenir la tête d’une main pour s’assurer que la tête du nouveau-né ne repose pas sur ses mains. Il est très facile de comprimer les voies respiratoires d’un nouveau-né. Par exemple, j’ai vu des voies respiratoires de nouveau-né complètement obstruées aux urgences, simplement en faisant fléchir le cou trop vers l’avant ou par des médecins inexpérimentés qui maintiennent les voies respiratoires ouvertes en plaçant les mains sur la partie molle sous le menton. Je crois que les photographes de nouveau-nés croient que le principal risque avec la pose de grenouille est celui de la chute du nouveau-né, et bien qu’il s’agisse d’un risque réel, il existe d’autres risques pour la santé liés à cette pose, comme indiqué ci-dessus. » - Dr Daniel Langer, consultant en médecine d’urgences pédiatriques.

Comment donc créer des images créatives, artistiques, uniques et toujours très sécuritaires ? Voici ce que j’ai appris et continue d’apprendre. Les nouveau-nés sont généralement bien installés sur le dos. Cette position est la plus sécuritaire possible.

L’utilisation de textures et de matériaux tels que la laine, le feutre, le coton, le lin et la soie m’a permis de suivre mon rythme et d’être aussi créative que je le souhaitais.

Avoir un nouveau-né simplement sur le dos a ouvert un processus créatif pour moi.

Cela m’a permis de créer des images uniques et de développer mon style. Cela m’a appris que je pouvais être plus créative et moins dépendante des accessoires.

Cela signifie également que parce que je sais que le nouveau-né est en sécurité, ma créativité coule mieux.

Melanie East Le Dr Langer et Melanie East travaillent ensemble pour augmenter les normes de sécurité des nouveau-nés dans l’industrie.

MELANIE EAST © 2020.

Saviez-vous que

vous pouvez devenir membre de l’association de photographie professionnelle la plus ancienne et la plus reconnue au Canada pour aussi peu que 26 $ par mois (plus taxes) ?

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Postulez pour nous rejoindre aujourd’hui !

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PROGRAMME DU CONGRÈS DES PPOC 2020

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N A P A L E D 9 1 E S U OVID A C À LA C DE E I M DÉ

LA PUISSANCE D’UN

SUPERBE ALBUM DE MARIAGE

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par Storey Wilkins LE POUVOIR DE L’IMPRESSION

COMMENCEZ EN AYANT LA FIN À L’ESPRIT

JE CROIS AU POUVOIR DE L’IMPRESSION. CHAQUE FOIS QUE JE RENTRE CHEZ MOI, JE SUIS ACCUEILLIE PAR LA CHALEUR ET L’AMOUR DES VISAGES SOURIANTS DE MA FAMILLE, À LA FOIS PAR LES ENCADREMENTS SUR MES MURS ET PAR LES ALBUMS INTEMPORELS QUE J’AI FAITS AU FIL DES ANS. CE NE SERAIT PAS POSSIBLE SI J’AVAIS LAISSÉ MES PHOTOS LES PLUS IMPORTANTES SUR DES DISQUES DURS.

C’est au cours de ces intenses quelques heures avant un mariage, lorsque je suis dans ma « zone de concentration », que je commence à penser à l’album. Je pars avec l’intention de faire un album avec une grande histoire, leur histoire ; en fait, la meilleure version de leur histoire. Cela signifie que je suis à la recherche non seulement du qui… mais aussi du quand, du pourquoi et du comment. Si je ne photographiais que pour faire quelques images impressionnantes pour satisfaire leurs besoins sur les réseaux sociaux, ce serait une histoire très courte (et moins intéressante).

Je crois que tout le monde a une belle histoire et que les histoires méritent d’être préservées sur papier. En tant que photographe de mariage à Toronto, j’ai une merveilleuse occasion de capturer, non seulement les moments les plus épiques de la vie de mes clients, mais aussi d’aborder ces moments avec l’habileté d’une conteuse.

Un album photographique est quelque chose qui sera transmis aux enfants et petits-enfants. Je crois fermement que l’histoire d’un mariage mérite de se retrouver dans un bel album (un livre de table de salon ou de tout autre support relié), et non sur une clé USB.

Alors qu’est-ce qui fait une belle histoire ? Je pense très certainement que des quantités égales de portraits, de moments et de documentation sur les rituels sont indispensables. C’est celle qui imite le déroulement du jour du mariage lui-même. Cela comprend les quatre éléments principaux de la préparation, la cérémonie, les portraits et la réception.

C’est là que les individus sont rendus familiers, les variantes émotionnelles sont révélées et l’intrigue se déplace rapidement avec quelques rebondissements uniques jusqu’à la fin, lorsque vous vous sentez connecté au couple et à leurs proches de manière inoubliable.

CONCEPTION INTEMPORELLE Il ne suffit pas de remplir un album de mariage de magnifiques photographies. Il doit également être conçu avec beaucoup de soin et de finesse afin que les bonnes images soient utilisées au bon endroit et présentées de la bonne manière.

Les transitions entre les scènes doivent être claires et l’album dans son ensemble doit apparaître cohérent. Cela se fait en utilisant soigneusement la couleur et le ton, l’éclairage, la distance focale, les lieux, les émotions, les individus et les détails, et la narration.

De plus, j’ai certaines choses « à ne pas faire » dans la conception d’albums, comme pas de lignes clés, pas d’ombres portées, pas de bordures funky, pas d’images inclinées et pas d’effets de « scrapbooking » distrayants. La clé est de rendre chaque page propre, élégante et intemporelle afin que les images ressortent de la page, pas les effets. Je ne veux jamais que les petits-enfants des clients regardent l’album à l’avenir et disent : « Whoa c’est tellement 2020 ! » Je veux que l’album soit intemporel.

SUPERBE ALBUM = GRAND PHOTOGRAPHE Un grand photographe de mariage se démarque de la foule en capturant non seulement de belles images de narration, mais en photographiant avec une vue d’ensemble, puis en canalisant cette histoire dans un album de mariage intemporel élégant et très bien conçu (idéalement créé localement) ... essentiellement pour raconter la MEILLEURE version d’une histoire. Il est essentiel de limiter le nombre de photographies d’un album aux meilleures (ou aux plus précieuses).

Moins, c’est plus, ici.

RENDEZ LE TOUT FACILE POUR LE CLIENT

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Le processus de sélection d’images et de conception d’album de mariage peut être un peu difficile pour les couples occupés, donc je fournis des services complets d’album : de la sélection d’images, à la conception et à la sélection de l’image en couverture afin d’alléger leur lourde tâche.

Je crée le premier brouillon de la conception appelé « L’album des choix de l’artiste », puis je travaille avec le couple pour le modifier en fonction de leurs préférences jusqu’à ce que la perfection de la pièce finale soit prête à être imprimée.

En choisissant parmi ma gamme principale de magnifiques livres reliés par des professionnels, construits uniquement à partir des meilleurs matériaux et de la meilleure qualité de fabrication, je sais que mes clients vont l’adorer.

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Mes albums sont souvent composés de 80 pages maximum et sont disponibles en format carré ou vertical. Les couvertures sont disponibles dans une sélection de tissus en lin et en soie synthétique. La gravure au laser moderne et les découpes traditionnelles sont d’excellents moyens d’ajouter des monogrammes et d’autres designs de couverture personnalisés qui sont de belles façons de personnaliser un livre.

Storey Wilkins Veuillez visiter mon site Web à www.storeywilkins.com pour des informations sur les ateliers et séminaires à venir pour les photographes professionnels. Je présenterai trois séminaires au Congrès canadien de l’image à Saskatoon en avril. J’espère vous voir là-bas !

DATES LIMITES DES ACCRÉDITATIONS 2020 - 6 avril, 17 h HAE - 6 juillet, 17 h HAE - 5 octobre, 17 h HAE

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Les Services Nikon aux professionnels (NPS) incluent des services de consultation sur place et sur le terrain, des conseils techniques ainsi que de la formation sur les produits pour les artistes visuels qui dirigent une entreprise utilisant les produits Nikon. Notre objectif est de permettre aux professionnels Nikon de prendre des photos en toute confiance, avec l’aisance et le sentiment de sécurité que procure un soutien professionnel.

Enregistrez-vous aujourd’hui SANS FRAIS à www.nikon.ca * Pour devenir membre, le candidat doit être un professionnel à plein temps possédant les équipements éligibles, qui doit comporter au moins deux appareils photo reflex numériques Nikon et deux objectifs NIKKOR. Pour la liste des équipements éligibles, veuillez aller à www.nikon.ca

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SERVICE APRÈS-VENTE DE 72H

PUBLIER LE CONTENU DE VOTRE SITE WEB

EN TOUTE SÉCURITÉ par Trevor Owen MAINTENANT, PLUS QUE JAMAIS, IL EST IMPORTANT DE PUBLIER LE CONTENU DE VOTRE SITE WEB EN TOUTE SÉCURITÉ POUR EMPÊCHER LES PIRATES D’INTERCEPTER LES COMMUNICATIONS DE VOS CLIENTS À L’AIDE D’ATTAQUES SOUS FORME D’ÉCOUTES « MAN-IN-THE-MIDDLE » (MITM). EN SÉCURISANT VOTRE CONTENU, VOUS CRYPTEZ LES COMMUNICATIONS AVEC VOTRE CLIENT. CECI EST ESSENTIEL LORS DE LA SAISIE EN LIGNE DE NOMS D’UTILISATEUR, DE MOTS DE PASSE ET D’INFORMATIONS DE CARTE DE CRÉDIT. CELA PEUT ÊTRE ACCOMPLI EN PASSANT DU PROTOCOLE HTTP AU PROTOCOLE HTTPS À L’AIDE D’UN CERTIFICAT SSL (SECURE SOCKET LAYER) SUR VOTRE SITE WEB.

PROTOCOLES HTTP ET HTTPS « HTTP » (Hyper Text Transfer Protocol)

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En 1994, Tim Berners-Lee, le créateur du World Wide Web, a introduit le localisateur de ressources uniformes (URL) comme méthode courante pour définir le chemin d’accès aux ressources sur Internet. HTTP (« http:// ») était le protocole le plus utilisé. Des millions de sites dépendent encore de ce protocole.

Nous connaissons tous le préfixe « http » (Hyper Text Transfer Protocol), « http:// » dans une adresse URL utilisée pour accéder au contenu sur Internet.

Il est probable que vous ayez tapé ce préfixe dans la barre d’adresse de votre navigateur pour accéder à un ou deux sites Web. Il est également probable que vous ayez utilisé ce protocole lorsque vous avez initialement créé votre site Web. Il vous permet d’être opérationnel assez rapidement, est facilement compris par vos utilisateurs et constitue le comportement par défaut de la plupart des navigateurs.

Une fois configuré, les utilisateurs peuvent accéder à votre site en utilisant le format http://votredomaine.com.

Facile ? Pas si vite !

Le problème avec le protocole HTTP est qu’il n’est PAS sécurisé.

Pour résoudre ce problème, vous pouvez activer HTTPS sur votre site pour fournir un cryptage du début à la fin.

Protocole « HTTPS » (Hyper Text Transfer Protocol Secure) HTTPS crypte le trafic à l’aide d’un certificat SSL (Secure Socket Layer). Cela garantit une connexion sécurisée entre l’utilisateur et la ressource à l’aide d’une « clé » chiffrée. Il s’agit de la principale méthode de cryptage du trafic.

L’installation de SSL pour votre site Web implique l’achat d’un certificat auprès d’une autorité de certification (CA) et la configuration de son utilisation sur votre serveur. La CA garantit l’identité des entités comme une entreprise, un site Web, une adresse courriel ou une personne. Il est possible que votre hébergeur Web inclue un certificat avec votre hébergement. Vous devrez peut-être parler à votre

hôte pour confirmer l’installation correcte pour votre serveur spécifique.

Il existe également différents niveaux de cryptage.

La règle d’or est : plus c’est sécuritaire, mieux c’est.

Le budget devient une considération lors de l’achat de certificats SSL. Une fois configuré, votre site affichera l’icône souhaitée de « verrouillage » à gauche de l’adresse :

De plus, il y a une confirmation de connexion sécurisée :

Des informations supplémentaires sur le certificat, son propriétaire, les détails et le chemin de certification sont également disponibles :

ÉVITEZ LES AVERTISSEMENTS « NON-SÉCURISÉS » Dans le but de promouvoir un Internet sécurisé, Google a annoncé en juillet 2018 qu’il attirerait l’attention sur le protocole d’un site Web s’il servait du contenu non sécurisé. Ils l’ont fait avec des indices visuels comme indiqué dans cette barre d’adresse du navigateur Chrome / Omnibox pour avertir les utilisateurs des problèmes de sécurité potentiels.

Exemple:

Si l’utilisateur clique sur l’icône d’information, elle s’ouvrira comme ceci:

Une fois que le SSL est disponible sur votre site, vous pouvez rediriger le trafic vers le chemin sécurisé à l’aide d’une redirection 301. Cela indiquera dans la réponse de votre serveur que le lien de votre site http://votrenomdedomaine.com a été déplacé et sera désormais redirigé vers https://votrenomdomaine. com. Si un utilisateur a déjà mis en signet votre site ou entré un lien non-https, il sera redirigé automatiquement vers le chemin sécurisé.

AVANTAGES DE SERVIR VOTRE CONTENU WEB EN TOUTE SÉCURITÉ La livraison de votre contenu en toute sécurité présente de nombreux avantages. Ceux-ci incluent : • Le niveau de confiance augmente. Cela entraîne des temps d’engagement plus longs, car les utilisateurs sont beaucoup moins susceptibles d’abandonner immédiatement le site.

• Les données transmises ne peuvent pas être modifiées lors du transfert par la manipulation d’un tiers parti.

• Conforme au règlement général sur la protection des données (RGPD) de l’Union européenne.

• Évite les avertissements.

Personne ne veut que ses utilisateurs voient un avertissement comme celui-ci.

Les utilisateurs abandonneront le site très rapidement pour poursuivre d’autres liens sécurisés. À mesure que la sensibilisation à la sécurité augmente, ce comportement devient plus marqué. De plus, les sites qui ne sont pas sécurisés sont notés dans les résultats des moteurs de recherche, ce qui réduit la visibilité.

Heureusement, « https » est disponible pour aider à atténuer cette situation.

ÇA EN VAUT LA PEINE? Bien qu’il existe une variété de tâches impliquées, la sécurisation de votre site en vaut la peine. Vous devrez peut-être demander de l’aide pour accomplir les tâches, mais vous serez récompensé par un meilleur classement dans les moteurs de recherche, des utilisateurs qui font confiance à votre contenu et une meilleure protection contre les attaques « Man-in-the-middle » (MITM).

PUBLIEZ-VOUS DU CONTENU EN TOUTE SÉCURITÉ?

Si vous n’avez pas encore mis à jour la gestion de votre site Web pour assurer une connexion sécurisée, vous devriez le faire le plus rapidement possible. Si vous avez besoin d’aide, contactez votre hébergeur ou un développeur. Votre entreprise et vos clients en bénéficieront.

Trevor Owen, Trystan Media Inc. Actif dans le développement Internet depuis 1998, Trevor apporte une riche expérience dans de nombreuses disciplines avec un accent sur la conception d’interaction et le développement de l’expérience utilisateur. Trevor a été chef de projet pour les structures SaaS (Software as a Service), l’automatisation des processus métier, la gestion de contenu et les systèmes de contrôle des données pour les entreprises, les organisations à but non lucratif, les ligues sportives et les fabricants. Il vise des performances Web exceptionnelles dans les activités quotidiennes de développement Web. Lorsqu’il n’est pas en train de coder, vous trouverez Trevor occupé dans son garage à fabriquer des guitares électriques.

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NAVIGATION DU TRAFIC VERS UN CHEMIN SÉCURISÉ

TARIFS

SANS DOULEUR par Victoria West, CPA

COMMENT AVEZ-VOUS ÉTABLI VOS PRIX ?

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SI VOUS JETEZ UN ŒIL DANS VOTRE RÉGION (OU EN LIGNE) POUR VOIR COMBIEN FACTURENT LES AUTRES PHOTOGRAPHES, VOUS NE L’AVEZ PAS FAIT CORRECTEMENT. POURQUOI ? PARCE QUE VOUS N’AVEZ AUCUNE IDÉE SI CES PHOTOGRAPHES OPÈRENT UNE ENTREPRISE RENTABLE ET PARCE QUE LES ENTREPRISES NE SONT PAS TOUTES LES MÊMES, AVEC LES MÊMES COÛTS, DÉPENSES, ETC. Si vous vous êtes assis et avez pensez à quel prix vous vous sentez de facturer, vous ne l’avez pas fait correctement.

Pourquoi ? Parce que les listes de prix ne sont pas faites pour nos émotions.

Les listes de prix devraient être basées sur de vrais chiffres. C’est ainsi que vous construirez des listes de prix en lesquelles vous aurez confiance, un facteur déterminant pour avoir du succès.

Mais comment fait-on ?

Vous devez trouver votre coût d’être en affaires.

Il y a huit ans, ma moyenne de vente était de 300 $. J’avais une longue liste de prix de cinq pages qui offrait tous les produits qu’un client pouvait acheter, alors que je ne vendais que des fichiers numériques. Je me démenais avec les dettes et je m’enfonçais davantage chaque année. Ça vous paraît familier ?

Je savais que quelque chose devait changer, alors je me suis assise et j’ai calculé mon coût d’être en affaires (allez sur Google pour voir comment faire si vous n’êtes pas certain). J’ai réalisé que pour être payée 25 $ l’heure à ce moment, j’avais besoin de vendre pour 1200 $ à chaque client. Oh oh…

J’ai donc complètement changé mon modèle d’affaires. Je suis passée aux ventes en personne parce que peu de gens commanderont 1200 $ de produits depuis une galerie en ligne. J’ai ensuite monté une liste de prix qui encouragera les gens à investir le montant dont j’ai besoin, soit 1200 $. Et devinez quoi ? J’ai vendu pour 1200 $. Chaque fois.

Aussi simple que ça.

Voici comment y arriver :

1. Vendez ce que vous aimez Je vends des boites folio. Je pense qu’elles sont magnifiques. J’ai les cadres préfabriqués qui permettent de mettre en vedette chaque image.

J’aime en avoir en stock et les avoir prêtes dans la semaine pour les clients. J’aime ça, et elles arrivent dans leur propre emballage, ce qui me facilite la vie.

Et j’aime particulièrement l’idée que ces produits deviennent un trésor de famille.

J’aime les boîtes folio alors j’en vend 99 % du temps.

Vous vendrez ce que vous aimez sincèrement. Parce que les clients vous croiront et vous feront confiance.

Je commande les miennes chez 3XM et vous obtiendrez un bonus de 1000 points avec le code

« Burton ». Débarrassez-vous de tous les produits que vous n’aimez pas puisque de toute façon vous ne les vendrez pas.

2. Faites une liste de prix d’une seule page Clairement, ma liste de prix longue comme un roman ne rendait service ni à mes clients, ni à mon entreprise. Un esprit confus n’achète pas alors restez simple et ne forcez personne à faire des mathématiques complexes avec les crédits et les escomptes.

3. De haut en bas Si vous montrez un chandail de 20 $, de 50 $ et de 100 $, alors le chandail à 100 $ semble dispendieux. Mais si je vous montre un chandail de 800 $, de 400 et 100 $, soudaine­ment le chandail à 100 $ deviens une aubaine.

Construisez votre liste de prix de haut en bas et si vous voulez vendre pour 1200 $, assurez-vous que c’est votre item le moins cher au bas.

4. Communiquez votre valeur avec des images, pas des mots.

Après tout, vous êtes photographe !

J’envoie mes listes de prix au dos d’un PDF qui est une sorte de portfolio. Il montre aussi des images de coulisses et ce à quoi s’attendre. Il y a quelques courts témoignages de clients satisfaits et quelques titres mais rien à lire d’autre que ma liste de prix d’une page et une biographie. Ceci est un rappel supplémentaire aux clients potentiels pourquoi je le vaux bien.

5. Ayez des réponses courtes Si vous me demandez combien je facture, ma réponse est « Je facture 190 $ pour la prise de photos, incluant coiffure et maquillage et mes ensembles débutent à 1400 $ ». Si quelqu’un vous demande combien vous coûtez, vous devez être capable de répondre sans raconter une histoire. Si vous ne pouvez pas, vous devez vous ajuster jusqu’à y arriver.

Maintenant, si vous lisez ceci et que vous pensez « bien, mais je ne suis pas assez bon pour facturer 1200 $ », ARRÊTEZ. Quand j’ai débuté à facturer 1200 $ il y a huit ans j’étais loin d’être extraordinaire.

Mais ça importe peu. Ma moyenne de vente a changé d’un jour à l’autre, et c’était uniquement parce que j’avais changé ma liste de prix et commencé à vendre. Les choses ne se vendent pas d’elles-mêmes.

Chaque entreprise dans tous les marchés sur la planète fait de la publicité et vous vendent.

Ce sont les affaires. **Une note : j’habite également dans la province la plus pauvre au Canada selon les dernières statistiques alors votre situation géographique n’est pas la raison pour laquelle vous ne faites pas d’argent.

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Alors si vous êtes assez bon pour vous présenter comme professionnel, photographe accrédité, alors êtes assez bon pour en faire un salaire décent. Ne bloquez pas à savoir si votre travail vaut ou pas cette valeur puisque ça ne veut rien dire en affaires. Le plus important est de facturer ce qui a du sens financièrement. Bien sûr, monter une bonne liste de prix n’est pas la seule étape menant au succès en affaires mais c’est une pièce importante du puzzle.

Quand vous montez une liste de prix basée sur des chiffres, vous ne vous sentirez pas mal/apeuré/nerveux de demander de l’argent. Je n’avais aucun problème à facturer 1200 $ parce que je savais que 25 $ de l’heure était au moins ce que je méritais.

Parce que j’avais confiance dans la valeur de ma liste de prix, les clients aussi. Et personne n’a posé de question, alors qu’ils en posaient à 300 $.

Victoria West, CPA Victoria West est une photographe portraitiste à temps plein. Elle a construit une solide réputation et entreprise à Oromocto, Nouveau-Brunswick, en créant des portraits pour des gens qui détestaient être pris en photo (comme elle). Elle est une fière membre des PPOC et est impliquée dans la direction de la région de l’Atlantique. Elle est aussi une photographe primée internationalement, ayant trois prix finalistes au WPPI, WPE et la Coupe du Monde de la Photographie en 2019. Elle est aussi la photographe portraitiste de l’année 2019 des PPOC. Victoria est aussi une activiste passionnée du droit des animaux et vit avec son mari, cinq chiens et un chat malchanceux.

Les PHOTOGRAPHES PROFESSIONNELS DU CANADA (PPOC) sont un groupe d’artistes créatifs variés qui est dévoué aux plus hauts standards dans le domaine de l’imagerie professionnelle. Les photographes de tous les genres sont les bienvenues pour se joindre aux PPOC. Rencontrez de nouveaux amis et mentors et profitez de la richesse de l’expérience et de la connaissance.

Les PPOC offrent aux photographes un moyen de s’élever au statut de professionnel.

Les possibilités d’éducation, de réseautage, de bénéfices directs aux membres et la possibilité de gagner des prix et des titres vous aideront à atteindre votre potentiel de croissance et à l’amélioration de votre situation économique.

Saviez-vous que vous pouvez devenir membre de l’association de photographie professionnelle la plus ancienne et la plus reconnue au Canada pour seulement 26 $ par mois (taxes en sus) ?

L’adhésion Observateur vous donnera droit à des prix réduits sur les événements éducatifs, à l’accès à un réseau de collègues qui vous feront bénéficier de leurs connaissances, à des tarifs préférentiels auprès de plusieurs de nos partenaires de l’industrie, à des critiques de vos images et vous ouvrira la porte afin de soumettre vos images à une accréditation dans votre catégorie de prédilection. Vous pouvez même vous inscrire afin d’avoir accès à un mentor pour vous aider à tirer le meilleur parti de votre adhésion aux PPOC !

Une fois que vous avez obtenu votre accréditation, vous pourrez passer au statut de membre « Photographe accrédité par les PPOC » et figurer dans la section « Rechercher un photographe » de notre site Web. Vous pouvez vous promouvoir en utilisant le logo des PPOC et serez également éligible aux prix prestigieux de la Compétition nationale de l’image et aux titres d’Artisan des arts photographiques (CPA), de Maître des arts photographiques (MPA) et de Service des Arts photographiques (SPA). Êtes-vous prêt à faire progresser votre carrière photographique ? Devenez reconnu comme membre des PPOC, démarquez-vous de la foule et profitez des avantages d’adhésion !

Créez un profil de membre Observateur en suivant les liens permettant de vous inscrire sur www.ppoc.ca et activez cette adhésion avec paiement intégral en ligne, ou en nous contactant par téléphone au (888) 643-PPOC (7762) pour établir un plan de paiement mensuel pratique en utilisant votre carte VISA ou MasterCard.

Devenez membre AUJOURD’HUI ! https://ppoc.formstack.com/forms/ membership_application_web_copy CONTACTEZ NOUS 1 888 643-PPOC (7762) Tél. : 519 537-2555 Info@ppoc.ca www.ppoc.ca

ADRESSE POSTALE : 209 Light St. Woodstock (Ontario) N4S 6H6 Canada

MON PPOC MON EXPÉRIENCE

EN TANT QUE MEMBRE DES PPOC « TU DEVRAIS JOINDRE LES PPOC, ÇA SERAIT VRAIMENT BON POUR TA CARRIÈRE. » C’EST AVEC CES MOTS QUE TOUT A COMMENCÉ : LA PREMIÈRE FOIS QUE MON AMI ET COLLÈGUE PHOTOGRAPHE CLAUDE BRAZEAU M’A SUGGÉRÉ DE JOINDRE L’ASSOCIATION DES PPOC AFIN D’AIDER MON ENTREPRISE PHOTO NAISSANTE. À L’ÉPOQUE, JE CROYAIS QUE LES PPOC S’ADRESSAIENT SEULEMENT AUX PORTRAITISTES ET AUX PHOTOGRAPHES DE MARIAGE. JE NE VOYAIS QUE CE TYPE D’IMAGES PROVENANT DE SES MEMBRES ET JE DOIS AVOUER QUE LE JEUNE PHOTOJOURNALISTE ET PHOTOGRAPHE D’ÉVÉNEMENT QUE J’ÉTAIS NE COMPRENAIT PAS COMME IL POURRAIT BIEN CADRER DANS CETTE ASSOCIATION. J’AI TOUT DE MÊME FAIT CONFIANCE À MON AMI ET J’AI REJOINT LES PPOC.

Un autre exemple de ce fait peut être démontré par ma première participation à la Compétition Nationale de l’image. J’avais été surpris d’apprendre que les retouches numériques étaient autorisées dans la catégorie « Presse ». Comme je proviens du milieu du photojournalisme, je ne comprenais pas pourquoi les règles n’étaient pas plus strictes de ce côté. J’en avais alors parlé avec le NEC et j’ai appris que je n’étais pas la seule personne à soulever ce point.

La définition de cette catégorie a alors été modifiée quelques années plus tard pour respecter l’essence de la photographie de presse. Comment est-ce que les responsables de la Compétition Nationale (ou n’importe qui d’autre) auraient pu prendre cette décision si personne, avec une perception différente, n’avait soulevé ce point ? À chaque fois que je mentionne les avantages d’être membre, l’aspect dont l’avantage semble le plus difficile à saisir pour un non-membre est la notion de partage des connaissances. Comment plusieurs professionnels peuventils songer à partager leurs « secrets » avec la compétition ? La vérité est que nous sommes tous différents et que nous allons toujours réussir à trouver notre clientèle propre en fonction de ce que nous désirons offrir. Il n’y a rien à perdre et tant à gagner à apprendre de l’expérience de ses collègues. Je ne peux pas chiffrer le nombre de fois où j’ai évité une erreur stupide simplement en demandant conseil à un autre membre des PPOC qui avait déjà réalisé un mandat similaire ou encore sur comment être plus efficace dans ma retouche d’une image spécifique dans Photoshop. Après quelques années dans le métier, ça a été à mon tour de commencer à aider les autres en donnant des conseils basés sur ma propre expérience.

Cette camaraderie se base justement sur le partage de connaissance afin de rendre meilleur chacun de nous, mais elle s’étend aussi au choix de photographe que l’on fait lorsque vient le temps de référer un ou une collègue pour un mandat spécifique que l’on ne peut pas accomplir. Comme je crois beaucoup en notre système d’accréditation, référer quelqu’un qui ne soit pas membre des PPOC est devenu un peu plus difficile pour moi : je préfère toujours privilégier un ou une membre des PPOC. Si l’un de mes clients cherche à réaliser des portraits d’employés à Vancouver, je sais qui dans l’association est en mesure de les réaliser. Il en va de même pour les spécialités qui ne sont pas

les miennes, comme la photographie de nouveau-nés. L’association me rend la tâche très facile lorsque vient le temps de trouver, avec une grande confiance, des photographes qui excellent dans leur spécialité respective.

De tout cela sont aussi nées de belles amitiés. Principalement parce que je crois fondamentalement au pouvoir du groupe plutôt que de demeurer chacun dans sa propre bulle. Je partage même un studio avec d’autres membres des PPOC depuis maintenant trois ans ! Nous connaissons nos forces propres et nous n’hésitons pas à nous référer entre nous. J’ai aussi développé une grande confiance envers eux et je n’hésite jamais à les proposer pour réaliser le mandat d’un de mes clients en sachant très bien que je serai gagnant sur le long terme. Mon ami Claude a travaillé « pour moi » à plusieurs occasions, surtout lorsque j’étais en tournée canadienne avec un groupe de musique l’an dernier et que je ne pouvais pas toujours offrir mes services à mes clients réguliers. Cette aide a été très précieuse puisque j’étais souvent à l’autre bout du pays pendant plusieurs semaines. Sans cet atout, j’aurais pu perdre plusieurs clients au cours des derniers mois.

D’année en année, je retire personnellement beaucoup de valeur du montant que je paie pour être membre de l’association. Les connaissances que j’ai accumulées, les erreurs que j’ai évitées, toutes les références que j’ai obtenues de mes collègues… et c’est sans parler des bénéfices que nous avons déjà en tant que membre ! Parfois, il suffit de voir les choses d’une autre perspective pour comprendre la vraie valeur des PPOC. Il y a presque deux ans, j’ai pris la décision de changer mon équipement de Canon à Nikon.

Pendant ma transition, j’ai reçu beaucoup d’aide de Nikon NPS : ils m’ont même prêté de l’équipement pour que je puisse travailler pendant que je vendais mon matériel Canon. Ils ont aussi été très compréhensifs et m’ont offert beaucoup d’aide alors que je posais d’innombrables questions et que j’essayais leur matériel lors des différents Salon des exposants. Toute cette aide ne m’était accessible que parce que j’avais rencontré les représentants de la compagnie lors des différents événements des PPOC et que nous avions développé un relation professionnelle au cours des années.

Sébastien Lavallée, MPA Sébastien Lavallée est un photographe commercial résidant à Gatineau (QC), mais travaillant un peu partout dans sa province.

Il est photographe à temps plein depuis près de douze ans. Son portfolio se constitue surtout de photographie d’événements, d’architecture et de portraits corporatifs, mais il fait aussi de la vidéo et du photojournalisme.

Photo : Claude Brazeau , MPA

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Rapidement, j’ai compris à quel point l’association allait avoir un effet positif sur mon entreprise et à quel point j’allais grandir en tant que photographe en étant membre. J’ai d’abord réalisé à quel point l’association était conçue pour mettre d’abord de l’avant le bien de ses membres et non pas l’opposé. Le style, les décisions et toute la gestion : tout est fait pour et par les membres.

L’association est en évolution constante. J’ai rapidement réalisé que ce que je croyais être le « style » des PPOC n’était en fait que l’image que projetaient les membres actuels. Je ne pouvais pas « m’y reconnaitre » comme je n’en faisais toujours pas partie. Si plusieurs personnes ayant la même perception de ce que devrait être les PPOC se joignent à l’association, celle-ci se transformerait alors par l’influence de nos opinions et grandirait sous cette influence.

À PROPOS DE LA COUVERTURE ON THE ROAD AGAIN par Marc Durocher ANDREA ELIZABETH FRAPPIER A SUIVI SON CŒUR ET A SUIVI DES COURS AU COLLÈGE HUMBER DE 1999 À 2001.

ELLE EST DEVENUE DIRECTRICE DE FUNÉRAILLES AGRÉÉE ET A TRAVAILLÉ DANS CE DOMAINE PENDANT DE NOMBREUSES ANNÉES, AIDANT LES FAMILLES EN DEUIL À DIRE AU REVOIR À LEURS PROCHES.

Andrea et Bill se sont mariés en juillet 2004 et ont eu trois garçons aux yeux bleus, Xander, Dylan et Tyler. Après avoir travaillé peu de temps comme directrice de funérailles à Kirkland Lake, elle a décidé de changer d’orientation et de rester à la maison avec sa famille grandissante. Éventuellement, la famille Frappier a déménagé dans la petite ville de Holtyre, dans le nord de l’Ontario.

C’est à cette époque qu’un de ses amis l’a initiée à la photographie et qu’elle a commencé en 2010 à suivre des cours locaux et à pratiquer chaque fois qu’elle pouvait, en prenant des photos de ses enfants et des scènes de nature.

En 2011, Andrea a lancé sa propre entreprise de photographie, Northern Accents.

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Andrea a rejoint les PPOC en janvier 2014 et était membre active de la branche du nord-est de l’Ontario. Elle a participé à plusieurs conférences de la région de l’Ontario et au congrès national à Niagara Falls. Andrea a été l’une des premières membres accréditées dans la nouvelle catégorie de photographie de naissance en février 2014.

Elle a particulièrement aimé être présente pour capturer les premières images d’une famille accueillant leur plus récent ajout.

Andrea était passionnée par son art et a poursuivi avec des accréditations en photographie nouveau-né en juillet 2014, portrait d’enfants et nourrissons en avril 2016 et accréditation de nature en octobre 2018.

En participant au Salon National pour la première fois en 2017, Andrea a reçu un score de mérite et deux images acceptées. Elle a répété son premier succès avec deux autres images acceptées et un mérite en 2018.

En 2019, Andrea a reçu une image acceptée, mais aussi un mérite et une sélection du jury pour « On the road again », qui a également été sélectionnée pour faire la couverture de ce numéro du magazine Gallerie.

Andrea a reçu son titre de CPA au Gala de remise des prix en 2019.

Andrea aimait les bébés et la nature et ses photographies en témoignaient. Avec son On The Road Again expérience en tant que directrice de funérailles, il n’est pas surprenant qu’Andrea ait également été une fière supportrice et photographe pour « Now I Lay Me Down to Sleep ». NILMDTS (nowilaymedowntosleep.org) est une organisation à but non lucratif qui vise à offrir à chaque famille qui vit la mort d’un bébé le pouvoir de guérison du souvenir et cela sans frais pour la famille.

C’est avec une profonde tristesse que la famille a annoncé la mort d’Andrea à la suite d’un accident. Andrea est décédée à Health Sciences North le vendredi 19 juillet 2019, entourée de sa famille aimante.

Andrea Elizabeth Frappier (née Dowling), CPA Andrea est née le 19 septembre 1977 et a grandi à Arthur, en Ontario. Dès son jeune âge, elle était très fière d’aider les gens. Pour épargner pour le collège, Andrea a travaillé comme conseillère dans un camp d’été pour personnes handicapées mentalement et c’est là qu’elle a rencontré un autre conseiller, Bill Frappier, qui éventuellement deviendra son mari.

Lorsque la famille et les amis se sont réunis pour célébrer et se souvenir de la vie d’Andrea, c’était dans une salle remplie de sa belle photographie et des prix dont elle était si fière. On se souviendra toujours d’Andrea pour son sens de l’humour et sa façon aimante, elle a laissé derrière elle un héritage de générosité, de gentillesse et de compassion. Le beau sourire d’Andrea est difficile à oublier.

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UN AUTOFOCUS RÉVOLUTIONNAIRE EN PHOTO COMME EN VIDÉO

CAPTURE TOMORROW

A M A L G A M E D E P O L Y V A L E N C E E T D E F L E X I B I L I T É Pour les sujets en mouvement rapide ou la vidéo 4K HDR, le nouveau D780 de Nikon fera de votre imagination une réalité. Sa combinaison unique du système de mise au point automatique offre le meilleur des deux mondes. Un viseur optique pour une mise au point automatique rapide et précise, avec des innovations et un algorithme adapté du haut de gamme D5. Et en mode Live view, les avantages de la mise au point hybride à détection de phase sur le capteur, incluant la détection oculaire et sa couverture large de 273 points. Ajoutez à ça une vitesse d’obturateur de 1/8000s jusqu’à 900s, et des modes de vidéo accélérée avancés, et le D780 représente une réelle polyvalence.

24MP | 7 VPS | ISO 100-51200 | EYE-DETECTION AF | 4K UHD | 10-BIT N-LOG

www.nikon.ca