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Live Style Magazine 13 - Mars 2020

Gratuit Hainaut N° 13 - Mars 2020

Une nouvelle impulsion commerciale « made in Mons »

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À l’heure du commerce électronique, le commerce en centreville n’est pas une mince affaire pour toutes les villes du pays, et Mons n’échappe pas à la règle. Le bourgmestre Nicolas Martin propose une nouvelle offensive pour densifier le commerce.

L’ex-échevin du commerce aujourd’hui devenu bourgmestre, Nicolas Martin, a en effet doté sa ville d’un outil original pour apporter une réponse sur-mesure aux porteurs de projets et ainsi lutter efficacement contre la désertification commerciale. Cet outil, c’est le fonds d’impulsion. Il est unique en Wallonie, inspire les autorités publiques, et surtout, incite les porteurs de projets qualitatifs et différenciés à s’implanter durablement dans le centre-ville de Mons.

Dans sa première phase et sur les deux dernières années, le fonds d’impulsion a permis à 27 indépendants d’avoir pignon sur rue à Mons. «Le premier volet du fonds vise le centre-ville et les commerces de taille moyenne. La Ville, moyennant l’acceptation par un jury d’experts, offre une aide à l’installation de 10.000 euros maximum et une aide au loyer (prime maximum de 2.500 €/mois pour la 1re année et dégressive de 25% sur 4 ans),» explique Nicolas Martin.

Fort du succès rencontré, le bourgmestre a donc passé la seconde avec le renforcement du dispositif pour les commerces de proximité dans les villages. «Oui, pour inciter et renforcer les Villages, c’est très important ! Une nouvelle boucherie a ainsi ouvert ses portes à Jemappes», insiste le bourgmestre. « En one-shot, sur base de l’avis du jury d’experts et contre factures, nous pouvons ainsi donner une prime à l’installation atteignant jusqu’à 10.000 euros. » Là aussi, le succès pointe le bout de son nez.

Nouvelle offensive ? Le bourgmestre frappe avec une ultime phase : les surfaces commerciales de plus de 400m2. «C’est plus compliqué d’attirer des magasins de cette taille, car le risque financier est grand pour ces commerces. Sauf que nous, nous voulons que de beaux magasins multimarques (chaussures, vêtements, et autres enseignes spécialisées absentes des centres commerciaux) s’installent dans notre centre-ville. L’idée avec cette nouvelle phase est que la Ville garantisse aux franchisés une prise de risque extrêmement limitée.»

Mais encore ? «Avec un loyer purement variable, c’est-à-dire dont la hauteur est fixée en fonction du chiffre d’affaires», précise Nicolas Martin qui tient ici un arsenal incitatif unique en Belgique et particulièrement adapté à la situation socio-économique de Mons. «Des candidats potentiels se montrent intéressés. Comme pour toutes autres phases, le jury d’experts évaluera les

opportunités à saisir pour motiver l’intervention financière de la Ville.» Prudence donc, le bourgmestre ne fanfaronne pas. «Toute cette dynamique est le fruit d’un travail de longue haleine. Je n’ai pas de baguette magique ni de solution miracle, mais je suis déterminé à mettre sur la table toutes les pistes, tous les outils et tous les acteurs qui participeront à la redensification commerciale qualitative de notre centre-ville.»

D’autant que le bourgmestre montois s’est aussi engagé à mener une politique d’attractivité spécifique dans le Piétonnier. «Absolument, via notamment un réaménagement de l’espace public, la végétalisation de l’axe commercial, mais aussi la création d’un point-services, de toilettes publiques et une politique d’animation permanente, Mons est une ville qui bouge et qui évolue, même les professionnels du secteur reconnaissent qu’il existe un réel dynamisme chez nous ! Nous devons poursuivre dans ce sens.»

Bref, 2020 est une année charnière pour le commerce montois pour lequel les dispositifs publics sont volontaristes et créatifs. Et le bourgmestre Nicolas Martin n’a pas (encore) dit son dernier mot !

Chrysline ©Chrysline

Edito

Où sont les neiges d’antan ? Et notre gouvernement ?

Partout en Europe, la nature se réveille comme si le printemps était déjà arrivé. Les jonquilles ont remplacé les perce-neiges, on devine déjà certains bourgeons sur nos arbres fruitiers et les mésanges s’activent déjà dans les nichoirs.

Si ces températures anormalement élevées font plaisir à notre portefeuille pour notre consommation de chauffage, ceci n’est pas du tout favorable à la nature.

L’absence de gelées n’a pas permis de tuer la vermine qui va proliférer dans tous nos potagers dès le printemps.

Même si les chutes de neige occasionnent beaucoup d’embouteillages dans notre pays mal équipé pour faire face à ce genre d’intempérie, on aurait aimé se lever un matin en découvrant un paysage immaculé. Outre la beauté que la neige nous offre, celle-ci contribue aussi à l’équilibre naturel de la nature, ne serait-ce que pour nettoyer l’atmosphère de particules polluantes.

Il est grand temps de prendre soin de notre planète qui nous envoie des signaux bien révélateurs de la maltraitance que nous lui faisons subir.

Sans gouvernement... allons-nous battre un nouveau triste record ?

Depuis le 21 décembre 2018 la Belgique se dirige tristement vers un nouveau record de pays qui « tourne » sans gouvernement. Aux côtés de tous les négociateurs réunis ne faudrait-il pas faire appel à, d’anciens ministres expérimentés, des chefs d’entreprises avertis, des jeunes créateurs de Startup et à de simples citoyens, pour conseiller, avec sagesse et expérience, tout ce petit monde politique. Pour certains l’orgueil a fait place à la raison et pour d’autres le « problème » linguistique reste le principal obstacle. J’ai eu la chance de travailler à la RTB (Bvd Reyers). Le bâtiment est divisé par un long couloir et de part et d’autre on retrouve les mêmes infrastructures, à droite la VRT et à gauche la RTB. Et ce petit monde vit en pleine harmonie ! Le mess étant commun, le midi francophones et néerlandophones se retrouvent avec plaisir pour manger aux mêmes tables. Cet été je suis allée passer quelques jours à la mer du Nord. L’accueil que j’ai reçu partout était très cordial et même très amical.

DES SUBSIDES POUR LES PME WALLONS

Nathalie peut se targuer, sans prétention, mais avec optimisme, de 20 années d’expérience dans le conseil en Ressources Humaines. Elle a donc une expertise commerciale attestée, générée par ses collaborations étroites et pérennes, car fructueuses, avec le public et le privé.

Alliés à une connaissance approfondie des environnements locaux (culture, tissu économique, marché de l’emploi...), ces atouts lui permettent d’offrir un service de qualité unique et d’une créativité toujours aux aguets.

La capacité de détecter les partenariats nécessaires à l’épanouissement de votre entreprise est sans aucun doute son atout majeur.

Fondée en 2018 par Nathalie Lucchese, CEO, Easypartners se veut le partenaire RH pratique des PME en Région Wallonne. Basée sur plus de 20 ans d’expériences dans le monde des ressources humaines, Nathalie a fédéré une équipe au service de l’optimisation des entreprises wallonnes.

Mais Nathalie ne serait pas Nathalie si, sans cesse, elle ne pensait à cette citation de Winston Churchill : « Que la stratégie soit belle est un fait, mais n’oubliez pas de regarder le résultat » Mais que serait une capitaine sans une équipe forte ? Dès le départ, Nathalie s’est entourée partners aux compétences aiguisées et aux valeurs partagées !

Son équipe est donc constituée d’hommes et de femmes qui sont parmi les meilleurs sur le marché en termes de Ressources Humaines : de l’optimisation de la masse salariale à l’accompagnement à la mise en place des mécanismes d’aides et subsides, mais encore d’interim payroll, de gestion de projets et bien plus encore ! Des RH, mais aussi des spécialistes en stratégie commerciale, en fiscalité, en management, en sécurité IT, GDPR sans que tout ceci ne soit exhaustif ! Coordonnés depuis leur siège de Waterloo, les clients bénéficient en plus d’une coordination des multiples projets pouvant être mis en place dans le cadre des entreprises en croissance, en restructuration ou simplement dans leur stratégie prévisionnelle. Des compétences qui ne seraient rien si, chacun d’entre eux n’était doté d’un optimisme tel qu’il mène tous les jours à l’optimalisation des performances et des résultats de nos entreprises.

Chrysline © Chrysline

LE SPORTING DE CHARLEROI a repris des couleurs

Aujourd’hui, le Sporting de Charleroi a retrouvé des couleurs sur le plan sportif et financier, lui procurant un nouveau statut au sein du paysage footballistique belge. De nouvelles attentes aussi, tant en interne que du côté des supporters. Live Style magazine

CHARLEROI, UN POIDS GRANDISSANT DANS LE PAYSAGE FOOTBALLISTIQUE NATIONAL

Il n’est pas si lointain le temps où le Sporting était raillé aux quatre coins du paysage footballistique belge en raison de son image difficile, de ses résultats peu flatteurs allant jusqu’à la relégation en D2. Grâce à une amélioration des performances sportives (playoffs 1, Coupe d’Europe), l’image de marque du club a progressivement été redorée auprès

Le Sporting et ses partenaires, un écosystème

« Le RCSC est aujourd’hui reconnu comme un acteur économique qui compte sur Charleroi. Le club revient de loin si l’on se remémore la poignée de fidèles partenaires encore présents lors de la reprise. La plupart avait à l’époque déserté le Mambourg. Un long travail de fond et de reconquête a été engagé. Avec un modèle de fonctionnement qui lui est propre, le Sporting de Charleroi est redevenu « the place to be » pour le monde de l’entreprise. Une porte d’entrée économique de notre région », confie le directeur commercial Walter Chardon.

de l’ensemble des publics œuvrant dans son environnement : supporters, partenaires, acteurs publics mais aussi instances du football belge. Le club a aujourd’hui acquis un statut privilégié parmi les instances de notre football national. L’administrateur délégué occupe des fonctions d’importance tant au sein de la Pro League que de la Fédération belge de football (URBSFA). Déjà à la tête de la commission technique en charge des Diables Rouges, Mehdi Bayat est devenu en juin 2019 le président fédéral de l’Union belge de football. Des responsabilités que l’administrateur délégué carolo entend remplir dans l’intérêt premier du football belge. Fort logiquement, la situation renforce l’image zébrée et augmente le poids du Sporting sur l’échiquier national.

Envisagée tout un temps, avec un concours architectural mis sur pied, la rénovation du Stade du Pays de Charleroi a finalement été abandonnée car elle n’offrait pas suffisamment de garanties de développement. C’est donc l’option d’un nouveau stade qui a été prise et qui s’inscrit d’ailleurs pleinement dans le projet Porte Ouest porté par la Ville de Charleroi et son Bourgmestre Paul Magnette.

« Après quelques mois de brainstorming, un document synthétisant le projet que nous avons imaginé a été soumis à des ateliers d’architecture. Nous avons décidé d’attribuer le marché à l’équipe constituée autour de l’agence MARIOTTI & ASSOCIES, architectes à Metz. Outre Christophe Mariotti, son équipe de Maîtrise d’œuvre aura également une touche locale car elle sera notamment composée de CARRE 7 (architectes à La Louvière) et des bureaux d’études PIRNAY et POLYTECH de Charleroi », précise l’Administrateur délégué Mehdi Bayat.

L’équipe retenue va désormais et sans tarder démarrer son travail pour mettre sur papier son savoir-faire afin de transformer les idées du club en projet de stade et aborder les futures échéances liées à la construction de la nouvelle arène en vue de sa livraison en 2024.

Evoqué précisément dans son plan « Horizon 2024 », le nouveau stade multifonctionnel - d’une capacité proche de 20 000 places - apparaît comme un élément majeur dans le développement du Sporting de Charleroi et pour le rayonnement culturel de la Wallonie. L’enceinte sera située sur l’ancien site AMS dans la commune de Marchienne-au-Pont.

L’école des jeunes

D’un budget annuel de 500 000 € consacré à la formation en 2012, le club consacre aujourd’hui près de 2 000 000 € chaque année pour ses Zebra Talents. Reposant sur une ligne de conduite clairement définie, des formateurs diplômés recrutés au fil des saisons sous la direction d’Alain Decuyper ainsi que des collaborations renforcées avec le monde scolaire (Foot-Élite-Études avec la Fédération), l’École des Jeunes a aussi bénéficié de la modernisation de ses infrastructures à Marcinelle. Après le nouveau bâtiment de 1 300 m² en 2015 (vestiaires, salle de musculation, réfectoire, bureaux) et le terrain synthétique inauguré au printemps 2017, le second terrain synthétique sera rénové dans les prochains mois et une nouvelle salle de musculation sera aménagée. Pour la période 2020-2025, les projets et travaux futurs ont été définis : installation de l’éclairage sur les terrains en herbe, transformations des vestiaires, terrain couvert

LA FONDATION SPORTING

Fondée en 2015 et reconnue d’utilité publique, la Fondation Sporting de Charleroi soutient plusieurs associations et actions venant en aide aux publics précarisés, aux enfants et personnes handicapées. Financée par une quote-part sur la vente des tickets de matchs, sur les dons divers et sur les bénéfices générés par sa soirée de gala annuelle ( 28 avril 2020), la Fondation permet au club de faire le bien autour de lui.

Mehdi Bayat attache beaucoup d’importance au rôle social joué par le Sporting et sa Fondation : « Tout au long de l’année, la Fondation propose également gratuitement au stade des cours de soutien scolaire pour les élèves en difficulté. Bien au-delà de nos frontières, la Fondation a aussi parrainé l’asbl Forward Haïti, l’asbl Objectif O qui fournit en eau potable les pays en développement. Le Zèbre a un grand cœur et il le démontrera à nouveau dans le futur. »

Tout le succès rencontré aujourd’hui par les Zèbres est dû essentiellement au dynamisme de Mehdi Bayat, administrateur délégué du Club, du formidable Walter Chardon, directeur commercial, de leur équipe et de l’engouement des supporters.

A la découverte du Collège Belgique

Depuis 2009, le Collège Belgique de l’Académie royale de Belgique, en collaboration avec l’Académie royale de Médecine de Belgique et l’Académie royale de Langue et Littérature françaises de Belgique, en bénéficiant du prestigieux parrainage du Collège de France, s’affirme plus que jamais comme un instrument dynamique de haute vulgarisation de la science par les meilleurs spécialistes des domaines abordés.

Didier Viviers, secrétaire perpétuel de l’Académie des Sciences, des Lettres et des Beaux-Arts de Belgique, nous en parle :

« Le Collège Belgique s’adresse à un public curieux tout autant qu’aux chercheurs spécialisés ou aux étudiants, et organise des cours-conférences de haut niveau, dispensés par d’éminents orateurs, orientés vers des thématiques peu explorées et aux confins de différentes disciplines.

Ainsi, le Collège Belgique organise, en 2020, plus de 160 cours-conférences dont un tiers se tiendront en dehors du Palais des Académies à Bruxelles, tantôt en Wallonie, tantôt à l’étranger.

En plus des sites de Bruxelles, Namur, Charleroi, Arlon, Mons, Liège et Paris, nous inaugurons cette année un cycle de trois conférences qui seront délivrées par nos Académiciens et Académiciennes à l’Academia Belgica à Rome, autour du « pouvoir de l’image ». Le Collège Belgique est ainsi une plateforme de rayonnement du monde scientifique, intellectuel et artistique belge francophone à l’extérieur comme à l’intérieur de ses frontières.

Deux nouvelles chaires (celle des « mondes francophones AUF/FWB » et celle financée par la SFPI) donneront lieu à des cycles de coursconférences, en plus de la Chaire du Québec dans laquelle interviennent chaque année deux des meilleurs chercheurs québécois du moment.

Nous souhaitons également faire profiter de nos cours-conférences un public adolescent et intéressé. C’est pourquoi deux de nos cycles (sur l’Océan et sur les théories de l’effondrement) seront organisés le mercredi après-midi.

Il ne vous reste plus qu’à faire votre choix ou à nous rejoindre sur le site du Collège Belgique (informations et inscriptions sur www.collegebelgique.be). Si vous voulez revoir ou réentendre une présentation, rien de plus simple : connectez-vous sur www.lacademie. tv. »

Le BAM (Beaux-Arts Mons) présentera du 7 mars au 16 août l’exposition «École de Mons. 1820-2020. Deux siècles de vie artistique.» Pour la toute première fois, une exposition qui témoigne de la manière dont la cité du Doudou s’est imposée depuis deux siècles comme une ville de culture, défendant l’enseignement artistique, les musées et les artistes actifs sur le territoire. Y a-t-il bel et bien une « école de Mons » qui se réclamerait d’une doctrine ?

Au début du 19e siècle, tout comme Bruxelles, Gand ou Anvers, Mons possède une académie pour former les artistes, un musée pour acquérir les œuvres, et organise un salon tous les trois ans. Fort de ces institutions, un véritable courant artistique va naître et se développer tout au long du 20e siècle, grâce à de nombreux artistes. Bien qu’ils aient eu une carrière importante, la plupart ont été injustement oubliés. Cette exposition inédite permet de retracer l’histoire mouvementée et foisonnante de cette « école de Mons » : parcourant deux siècles d’art, elle offre un vaste et éclectique ensemble d’œuvres au sein duquel des groupes d’artistes partageant des liens narratifs se détachent.

À travers plus de 150 pièces comprenant peintures, sculptures, dessins, mais aussi photographies, vidéo et même installations, nous découvrons une centaine d’artistes ayant été – ou étant toujours – actifs à Mons. Qu’ils en soient originaires ou seulement de passage, leurs œuvres ont été sélectionnées par le commissaire Denis Laoureux en fonction d’un thème ou d’une période révélant des liens esthétiques qui rythment les 200 ans couverts par l’exposition. Ainsi, un hommage à la tradition de la gravure montoise, grâce à des chefs d’ateliers très actifs comme Auguste Danse ou Gabriel Belgeonne, qui ont exposé partout en Europe et formé de nombreux élèves. Aux côtés d’artistes renommés tels Anto-Carte, Fernand Dumont ou Marcel Lefrancq, l’exposition tient également à rendre justice à des créateurs virtuoses à l’œuvre foisonnante, comme Antoine Bourlard et Cécile Douard, Victor Dieu et bien d’autres, parfois relégués au statut d’ « artistes de province ». L’art contemporain n’est pas oublié – bien qu’arrivant tardivement à Mons, suite à la transformation de l’académie en école supérieure, en 1976. Des artistes tels que Philippe Bouillon (Prix de la Jeune Peinture Belge 1994), Pierre Liebaert (Prix du Hainaut 2017) ou le collectif Void, qui présentera une installation seront également exposés.

Infos pratiques :

L’exposition “L’Ecole de Mons. 1820-2020” est accessible du 7 mars au 16 août 2020 Du mardi au dimanche de 10h à 18h BAM (Beaux-Arts Mons) 8, rue Neuve 7000 Mons T +32(0)65 40 53 30 www.bam.mons.be

Une nouvelle collaboration entre Synergie et le Cercle de Wallonie

Le 30 janvier, lors d’un cocktail de rentrée au GrandHornu, l’ASBL Synergie et le Cercle de Wallonie ont annoncé leur nouvelle collaboration. Amid Faljaoui, administrateur du CW et Frank Alland, président de Cynergie, ont présenté les événements qu’ils organiseront conjointement en 2020.

« Nous sommes plus de 270 pour fêter ensemble une nouvelle année pleine de promesses.

Une année qui nous voit tous réunis au Grand-Hornu, un lieu symbolique pour SYNERGIE puisque toute notre histoire y a débuté il y a 28 ans.

La vingtaine d’entrepreneurs borains de l’époque avaient pour objectifs de « s’unir pour être plus forts et compétitifs, partager et multiplier les contacts, échanger les bonnes pratiques et in fine développer leurs propres entreprises » a déclaré Frank Alland.

Aujourd’hui nous sommes 166 membres issus de 33 secteurs différents, dont 79% issus du Cœur du Hainaut. SYNERGIE réunit les forces économiques vives : PME, TPE, indépendants, professions libérales, start-ups, universités, hautes écoles et institutions, mais aussi étudiant(e)s via le programme CONNECT, autant d’acteurs qui œuvrent chaque jour au développement d’affaires dans notre région, en Belgique et à l’international et qui inspirent d’autres à entreprendre à leur tour. Ce fameux sens de l’entrepreneuriat dont la conséquence première est la création de valeur (richesse et emploi) fait partie intégrante de l’ADN de SYNERGIE, nous continuerons à lui donner une place de choix dans notre mission, notre vision et nos valeurs. En 2019, nous avons pris le temps de la réflexion afin de nous rapprocher de vos besoins dans un monde en pleine révolution.

Cette année est également marquée par notre rapprochement avec le Cercle de Wallonie. Chaque mois, nous vous proposerons une activité en commun : un déjeuner-conférence, un débat ou encore une visite d’entreprise. Nos entités restent indépendantes, mais nous profiterons d’un réseau de membres élargi, ce qui vous sera profitable. Une affiliation commune à prix avantageux sera également possible. »

C’est ensuite avec son talent d’orateur incomparable qu’Amid Faljaoui, administrateur du Cercle de Wallonie, a pris la parole. Avec ses 1200 membres, le 1er cercle d’affaires en Wallonie, déjà bien présent à Mons, Liège et dans le BW, et après une rénovation importante du château Melot (Namur), siège social du Club depuis 13 ans, le CW pourra bientôt offrir un écrin de haut de gamme pour le Networking et pour tout l’événementiel. (Nous y reviendrons dans une prochaine édition)

Lors de cette soirée de rentrée, nous avons ensuite pu apprécier un riche exposé de Marc Ysaye qui a fait, avec tout le talent d’animateur qu’on lui connait, le parallélisme entre rock et management.

Chrysline © Chrysline

Des véhicules du groupe BMW Louyet pour l’équipe Circus-Wanty Gobert-Tormans

Depuis janvier 2020, l’équipe belge Circus-Wanty Gobert-Tormans peut compter sur un nouveau partenaire de choix pour son parc automobile. Le groupe BMW Louyet fournit désormais les véhicules de l’équipe belge pour les deux prochaines saisons. Les clés des véhicules ont été remises symboliquement aux directeurs sportifs de l’équipe belge par Laurent Louyet, administrateur délégué du Groupe Louyet, en marge de la présentation à Alfas del Pi (Espagne). Les directeurs sportifs de Circus-Wanty GobertTormans suivront les épreuves dans cinq BMW Série 3 Touring tandis que le staff paramédical bénéficiera de quatre BMW X2.

En 2019, à l’occasion de leurs 60 ans d’existence, nous vous avons présenté, dans le LIVESTYLE, l’entreprise familiale Louyet. Un partenaire fidèle de BMW, mais avant tout de ses clients. Sérieux, fiabilité et grande proximité, grâce à ses six sites : Charleroi, La Louvière, Sambreville, Marcinelle, Mons et Sint-Pieters Leeuw. Notre succès tient à la qualité de nos collaborateurs qui exercent leur métier dans un environnement à la pointe des dernières innovations technologiques, mais aussi dans le respect des valeurs de BMW. Vous serez toujours accueilli dans les meilleures conditions. L. Louyet. La Loyauté a un nom. Laurent Louyet.

Laurent Louyet (Administrateur délégué groupe BMW Louyet):

« Depuis longtemps, nous cherchions un projet sportif national pouvant allier les concessions en Wallonie et en Flandre afin de rassembler clients et partenaires. J’ai forcément été attiré par le cyclisme, car notre groupe a été fondé il y a soixante ans par mon grandpère, Léon Louyet, une fois sa carrière p ro f e ss i o n n e l l e , durant laquelle il a remporté deux étapes au Tour de France, terminée. La boucle est bouclée ! J’apprécie, de surcroît, le dynamisme du Want You Club. Nous connaissons déjà plusieurs membres du club affaires de Circus-Wanty Gobert-Tormans, avec lesquels nous pourrons renforcer nos relations, mais également en nouer de nouvelles. »

Jean-François Bourlart (Manager général Circus-Wanty Gobert-Tormans):

« Nous sommes une équipe cycliste, mais les véhicules sont un élément essentiel dans notre fonctionnement. Tout au long de l’année, nous sillonnons les routes d’Europe avec nos voitures pour encadrer au mieux les coureurs, tant en compétition qu’à l’entraînement. Nous sommes très fiers de pouvoir nous appuyer sur un partenaire fort comme le Groupe Louyet. Comme nous, Louyet est présent partout en Belgique. Les nouvelles BMW Série 3 Touring et BMW X2 sont des voitures robustes et parfaitement adaptées au suivi des courses cyclistes. »

Photo Laurent Louyet ©Chrysline

LOUVEXPO : Un hall polyvalent, véritable acteur dans le domaine du développement économique et social

Louvexpo a pour ambition d’être le fleuron du grand projet de rénovation de la ville de La Louvière, tant en Belgique qu’à l’étranger, et d’incarner le dynamisme croissant de la région. Grâce à son infrastructure polyvalente, qui peut être configurée en salles de 1000 m², 2.000 m² ou de 4.800 m, Louvexpo est parfaitement adapté pour accueillir des salons, des congrès ou encore des concerts de 500 à 5 000 personnes. En plus de l’espace, Louvexpo a également la capacité de répondre aux exigences élevées de ces événements, et est le cadre idéal pour la diffusion de spectacles en direct à la radio ou à la télévision.

Le nouveau très sympathique directeur des lieux, ancien dynamique directeur de Charleroi Expo, Bernard Pays, nous présente, avec enthousiasme, le dernier projet de Louvexpo :

« Nous disposons d’un matériel de sonorisation et d’éclairage ultra moderne et ultra qualitatif. Pour la gestion technique des événements, un partenariat a été mis en place avec T-EVENT. Centre de Validation des Compétences en technique de spectacle pour la Région Wallonne et Bruxelles capitale et Centre de formation du C.I.S.P. (Centre d’Insertion Socio-Professionnel du C.P.A.S. de La Louvière).T-EVENT a pour but de former les bénéficiaires du revenu d’intégration et les demandeurs d’emploi aux différents métiers techniques de spectacle : Auxiliaires, Techniciens et Régisseur (Son, lumière, plateau).T-Event se veut donc un tremplin vers l’emploi et une vie sociale grâce à l’intégration des stagiaires en situation réelle au cœur du Louvexpo. Grâce à T-EVENT, Louvexpo peut compter sur une équipe technique efficace et rompue aux divers segments du secteur événementiel tout en respectant de manière optimale le budget des organisateurs.

En outre, Louvexpo dispose de plusieurs atouts : une situation centrale : 15 minutes de Mons, 20 minutes de Charleroi, 45 minutes de Bruxelles et 60 minutes de Lille - Une

architecture ingénieuse et dynamique avec de nombreuses possibilités (expositions, concerts, foires, congrès...) - La durabilité : isolation thermique et acoustique, consommation réduite, accessibilité par les transports en commun, proximité du centre-ville, etc. - L’hospitalité et l’accueil chaleureux typiques de la région - L’intégration sociale qui fait partie de la culture de l’entreprise en confiant la gestion technique des événements à l’EFT T-EVENT »

Situé à La Louvière, Louvexpo se trouve au centre d’un nœud de communication exceptionnel Autoroutes E42 – E19 – A501. L’accès par train y est aisé grâce aux deux gares qui desservent la ville. Louvexpo se trouve également à proximité de trois aéroports.

LOUVEXPO Rue Arthur Delaby , 7 7100 La Louvière 064/77 33 33 – info@louvexpo.be www.louvexpo.be

T-EVENT – Salle Adamo Rue du Levant , 2 7110 Houdeng-Aimeries (Bois-du-Luc) 064/54 89 96 - t-event@lalouviere-cpas.be

Chrysline

MARCINELLE

Découvrez “Défense de jouer” : l’expo choc du Bois du Cazier sur le travail des enfants !

L’ancien charbonnage propose une exposition événement portant sur le travail des enfants, hier et Belgique et aujourd’hui dans le Monde. L’occasion de passer un bon moment familial tout en apprenant et en conscientisant enfants et ados. Bonne nouvelle : l’exposition est prolongée et sera visible jusqu’au 19 avril !

Selon un rapport de l’Organisation Internationale du Travail de 2016, il existe 152 millions d’enfants travailleurs dans le monde dont plus de la moitié sont exposés à des travaux dangereux. Les enfants sont occupés aujourd’hui dans les mêmes secteurs industriels dans les pays en voie de développement qu’en Europe lors de la Révolution industrielle, dans le textile, les mines, l’agriculture... En Belgique, ce fut le cas jusqu’en 1914. C’est ce lien que propose de faire le Bois du Cazier à travers cette exposition exclusive.

“L’ambition est surtout de sensibiliser les visiteurs à leur rôle en tant que consom’acteurs”, nous explique Christelle Dethy, commissaire de l’exposition. Ainsi, un mannequin “adolescent” permet par exemple de faire le lien entre nos habitudes vestimentaires, alimentaires, technologiques des jeunes (smartphones, snacks, jeans, ...) et le travail des enfants dans différentes parties du monde.

Tous les sens sont en effet mis en éveil dans cette exposition : après avoir découvert des portraits audio, vidéos, photos et témoignages d’enfants d’hier et d’aujourd’hui, les visiteurs seront sensibilisés à la pénibilité du travail infligé en manipulant des sacs, en déplaçant des briques, en fabriquant des pétards ou encore en humant les odeurs nauséabondes issues des fabriques de textiles.

Cette exposition est réalisée avec le soutien de la Fédération Wallonie Bruxelles, de la Loterie Nationale, de la CSC et de la FGTB.

Plus d’infos : www.leboisducazier.be info@leboisducazier.be 071 / 88 08 56

Complexe commercial du Bultia - Rue Neuve, 23 - B-6280 GERPINNES

RENÉ MAGRITTE Les images révélées » au Musée de la photographie

Le musée de la Photographie présente, jusqu’au 10 mai : « Un autre regard sur la pensée du peintre, René Magritte. » Après Melbourne, Hong Kong, Taïwan, Séoul, le Musée de la Photographie a le plaisir d’accueillir, en Belgique, l’exposition René Magritte, Les images révélées, sous le commissariat de Xavier Canonne.

L’Ombre et son ombre, Bruxelles, 1932, Georgette et René Magritte © 2019-2020, Charly Herscovici c/o SABAM

La découverte des photographies de René Magritte dans les années 1970, dix ans après la mort du peintre, a jeté un nouvel éclairage sur son processus de création et les liens étroits qu’il entretient avec « l’image mécanique », qu’elle soit photographique ou cinématographique. D’autres images sont apparues depuis, issues des albums de ses proches, qui viennent compléter l’étude des relations peinture-photographie dans l’œuvre de René Magritte, mais aussi l’influence du cinéma, un art dont Magritte était, autant que de la littérature populaire, des plus friands.

Composée de 131 photographies originales, la plupart créées par René Magritte, et d’un chapitre reprenant ses films d’amateur se mettant en scène avec ses complices, l’exposition « René Magritte. Les images révélées » interroge le rapport de Magritte à l’image mécanique en traçant des liens avec son œuvre, révélant en outre un Magritte intime.

Conçue à partir de trois grandes collections privées, constituées par des passionnés ayant acquis des photos au fil des années, de la collection du Musée de la Photographie et du Fonds J. Nonkels y déposé, l’exposition raconte le peintre autant que l’usager de la photographie. On y retrouve l’album de famille de Magritte avec ses photos d’enfance, ses parents, son épouse. On y voit ensuite la famille intellectuelle du peintre, celle qui l’a nourri, le groupe des surréalistes bruxellois qui dès 1925 accompagnèrent le développement de son œuvre. L’exposition présente également un René Magritte facétieux, jouant et s’amusant avec ses complices. On y retrouve enfin les photos qui ont servi de modèles pour ses peintures et celles qu’il n’a jamais utilisées - Magritte ne se considérant pas plus photographe qu’il ne se voulait « peintre » - peutêtre les plus créatives… L’exposition lève aussi le voile sur l’influence du cinéma sur l’artiste, les surréalistes ayant grandi avec le Septième art.

Musée de la Photographie Avenue Paul Pastur 11, 6032 Charleroi

© CHRYSLINE

DES ANGES veillent sur les plus démunis

Mohamed Aftouh, le fondateur des Anges de Mons nous raconte :

« La mission principale de l’association est d’apporter un soutien et de permettre aux plus défavorisés de vivre un peu mieux.

Depuis sa création, de nombreuses actions et événements ont été organisés grâce à des sponsors et à la générosité des personnes pour améliorer le quotidien des plus démunis.

Lors de la canicule, les « Anges » ont distribué des bouteilles d’eau, les « caddies solidaires » ont permis de récolter des vivres qui ont été redistribués. L’action « PC solidaire » a permis à des étudiants précarisés de bénéficier d’un ordinateur afin de mieux préparer leurs études. Les « collectes » dans les écoles ont sensibilisé les enfants à la notion de pauvreté et de partage. Un buffet gratuit et plusieurs dons ont été organisés également afin de multiplier les contacts entre ces personnes et leur apporter un peu de convivialité. Les Anges sont aussi à l’origine de la création d’un Conseil consultatif pour la lutte contre la précarité par le CPAS. »

Accompagné de son équipe de bénévoles et en fonction de la disponibilité de chacun, Mohamed Aftouh organise les récoltes, le tri et la distribution.

L’association « Les Anges de Mons » a été créée fin 2018 par Mohamed Aftouh dans le but de venir en aide aux personnes démunies et/ou sans domicile fixe dans la région de Mons. La générosité, le partage et l’entraide représentent leurs valeurs essentielles.

Les bénéficiaires sont essentiellement les sans-abris, mais aussi les familles à faibles revenus ou monoparentales, les personnes âgées ... Ils peuvent ainsi bénéficier, et ce tout au long de l’année, de nourriture, de vêtements, de produits de soin, de chaussures ...

De plus, pour permettre de renouer un peu avec la vie sociale, l’Association a créé des « calendriers » qui sont vendus par les SDF. Chaque mois de l’année est représenté par une personne sans domicile fixe. L’objectif est de les valoriser et leur permettre de créer un contact avec l’extérieur. Les bénéfices leur sont intégralement reversés.

« Et tout ceci n’est que le début d’une belle aventure ... » déclare en conclusion avec enthousiasme Mohamed Aftouh.

De nouveaux projets sont en cours ... Le 26 juillet 2020, une course à obstacles « Ultimate Running » sera organisée à Mont Heribus au bénéfice des plus déminés.

Aftouh Mohamed - Votre Sécurité, Ma Priorité www.Aftouhmohamed.com. Tél. 496 43 39 41

Propos recueillis par Chrysline

Un procédé UNIQUE en Belgique confié à FT- châssis

C’est « FT Châssis » qui a été le premier fabricant Kommerling Select en Wallonie à réaliser le nouveau procédé UNIQUE de porte-fenêtre PVC en accordéon !

PRÉSENTATION FT-CHÂSSIS

Franco Tribuzio et son adorable épouse, Barbara Perrone, ont ouvert leurs nouveaux ateliers il y a 3 ans et en 2017 un superbe showroom voyait le jour pour le plus grand bonheur des visiteurs qui peuvent ainsi découvrir la qualité des matériaux. Franco bénéficie d’une expérience de plus de 22 ans dans le domaine. Le couple a fait le choix de se lancer dans une nouvelle entreprise en donnant la priorité à la QUALITÉ et en fabriquant euxmêmes leurs châssis, tout en offrant des prix défiants toute concurrence. Sur plus de 1500m2, 18 personnes de la région y travaillent ! Fabricant de châssis labellisé Kömmerling Select dans la région de Charleroi, FT- CHÂSSIS conçoit et installe des produits de menuiserie à Charleroi, dans les provinces du Hainaut, de Namur et du Brabant Wallon et dans le Nord de la France.

LA RÉPUTATION DE FT CHÂSSIS AUGMENTE CHAQUE JOUR SON CARNET DE COMMANDES.

FT Châssis propose une large gamme de châssis en PVC qui allient isolation, sécurité et longévité, grâce à sa double technique innovante : « tous les châssis sont, d’une part, entièrement renforcés avec de l’acier, et, d’autre part, munis de trois joints et non deux habituellement. Les joints intérieur et extérieur sont complétés par un troisième joint central, augmentant l’isolation de 20% », explique Franco. Cette société est le seul fabricant Kömmerling de la région à proposer cette technologie.

« FT-Châssis » garantit ses produits 15 ans (au lieu de 10 ans généralement) et bénéficie d’un sérieux gage de qualité puisque la société carolo est labellisée « Kömmerling select ». Concrètement, cela signifie l’entreprise s’est engagée à respecter les normes de qualité en termes de fabrication, imposées par la société « Kömmerling Belgique », qui vient régulièrement auditer sur place. Les châssis sont emmenés dans un laboratoire allemand pour différents contrôles.

Publi-reportage La pose est ensuite assurée par une équipe de menuisiers qui bénéficient d’une longue expérience. Le vitrage est généralement monté sur place, car les châssis sont déjà lourds à la base ; signe de qualité puisqu’ils sont renforcés par de l’acier. Précisons que, pour protéger le PVC, tout le stock est gardé à l’abri dans l’atelier, été comme hiver.

PROFINE BELUX SPRL FOURNISSEUR DES MATIÈRES PREMIÈRES CHEZ FT-CHASSIS

L’entreprise est chargée de la commercialisation des produits de profine GmbH Deutschland, l’un des grands producteurs mondiaux de profilés PVC de portes et fenêtres et de solutions innovantes pour menuiseries extérieures. Il s’agit principalement en fait de l’importateur exclusif des profilés PVC Kömmerling en Belgique.

UNIQUE EN WALLONIE : LE PREMIFOLD 76, LA PORTE-FENÊTRE ACCORDÉON

C’est « FT Châssis » qui a été le premier fabricant Kommerling Select en Wallonie à réaliser le nouveau procédé UNIQUE de porte-fenêtre PVC en accordéon !

Le châssis est composé de plusieurs ventaux liés les uns aux autres avec des charnières qui leur permettent de s’ouvrir sous forme d’accordéon afin d’offrir une ouverture maximum ! Le passage est donc presque aussi grand que le châssis lui-même !

Pour réaliser ce procédé, la société FT Châssis et les techniciens belges et allemands de la cellule Research and Development de Kömmerling ont travaillé en étroite collaboration.

La porte-fenêtre en accordéon Kömmerling fabriquée par FT-châssis est un procédé unique et offre un confort exceptionnel : en portefeuille, rétractable, sans partie fixe, ce système s’ouvre comme une tenture et offre donc pratiquement une ouverture à 100% et donc un maximum de lumière et une vue imprenable sur votre jardin, balcon ou terrasse.

LE PRINCIPE

Barbara Perrone, la directrice de FT-châssis, nous en explique le principe : « Le PremiFold 76 est composé de plusieurs vantaux liés les uns avec les autres par des charnières qui leur permettent de s’ouvrir sous forme d’un accordéon. Contrairement aux portes coulissantes, il n’y a pas de section fixe, ce qui rend le passage aussi grand que la fenêtre elle-même. En position fermée, les grandes baies vitrées laissent entrer toute la lumière tout en maintenant les conditions météorologiques à l’extérieur. En position ouverte, elles s’effacent complètement afin de vous offrir un accès direct vers l’extérieur. Les charnières cachées assurent une fiction exceptionnelle !

MAIS NOUS VOUS INVITONS A LES RENCONTRER ET A VISITER LEUR ATELIER DE FABRICATION. »

Une école sans professeurs !

Nanana est un lieu d’apprentissage différent où la compétition est absente, où les enfants apprennent dans la créativité, le mouvement, l’expérience personnelle et surtout à leurs rythmes. La réalisation du projet a vu le jour en septembre 2018 et Nanana est installée au 9 du Chemin Bethléme à Spiennes depuis octobre 2019.

Joffroy Moreau, un des fondateurs du projet, nous explique :

« Notre vœu le plus cher est que tous ces apprentissages se fassent dans la joie, la confiance mutuelle, l’émerveillement et la collaboration. Le but est d’accompagner les enfants et les adultes dans l’acquisition du respect, de l’autonomie et de la liberté et qu’ils puissent se reconnaitre en tant que personne unique sachant se réaliser, se connaitre soi-même et s’affirmer en se libérant du regard des autres.

Nanana est un endroit qui accueille avec bienveillance les limites et les parts d’ombre de chacun. L’échec y a sa place comme toutes les expériences positives ou négatives de la vie, pour permettre à l’enfant de s’épanouir de manière globale. Ils y apprendront à profiter du moment présent et auront le temps nécessaire à la réalisation de leurs initiatives.

Nanana est également l’occasion pour les adultes (parents, enseignants…) de s’informer et s’éduquer à ses valeurs et son mode de fonctionnement. Ceux-ci seront dans un rapport d’égalité avec les enfants où l’écoute des besoins de chacun sera un fondement de la relation. Dans notre idéal, les adultes veilleront avec empathie sur des petits

groupes d’enfants et tenteront de répondre à la demande au moment où elle se présente, dans la confiance des capacités et du potentiel de l’enfant.

Si le projet vous intrigue… si vous vous demandez ce que c’est exactement ? Alors venez à un moment d’information ! Nous vous y présenterons notre philosophie (l’engagement, la vie sur le lieu, la gouvernance…) et tout ce qu’il faut savoir. Peutêtre aurez-vous alors envie de vous joindre à nous en septembre 2020 ?

Il sera possible de s’inscrire à l’issue de la séance d’information. Nous avons à cœur que les inscriptions se fassent en connaissance réelle du projet dès lors seule la participation à un moment d’information ouvrira la porte à une inscription. »

Les moments d’information auront lieu aux dates suivantes : samedi 21 mars 2020 de 19h à 21h, accueil à partir de 18h30 et dimanche 25 avril 2020 de 14h30 à 17h30, accueil à partir de 14h.

A noter qu’une seconde école de ce type a vu le jour à ATH en septembre 2019.

Info : mons@nanana.world www.nanana.world

Propos recueillis par Chrysline

De Luxembourg à Charleroi : un artiste qui a la cote

Né au Luxembourg en 1945, Nicolas Binsfeld a exposé dans de nombreux endroits en Europe. Impressionnisme, expression à l’allemande, abstraction dans le souvenir de Nicolas de Staël, retour à la figuration avec en surplus une petite tentation du côté de Francis Bacon... Les cotes et indices de l’artiste établis par Artprice. com, reposant sur 23 adjudications, ne cessent de grimper.

Illustrateur pour la Revue universitaire de Genève, il touchera à la bande dessinée, en 1995, avec « Jimena» (Aire Libre). Totalement réalisée à la peinture à l’huile, cette œuvre se compose de 256 tableaux. Notamment : peinture, estampe-multiple.Influencées par la poésie, la science, la mort, la vie, les femmes, ses oeuvres confinent à l’onirisme. Elles portent le nom de « machines volantes » ou « sarcophages androcéphales ». Inscrit aux dictionnaires des peintres belges, Nicolas Binsfeld a fait l’objet d’une monographie, intitulée « Binsfeld», aux éditions Art in Belgium.

Il a donné à la présence féminine, évoquée avec précision et discrétion, une place prépondérante dans son œuvre. Dessinateur adroit et sensible, coloriste de très bon goût, il séduira par la tenue exceptionnelle de sa démarche dans un domaine où la complaisance ou le réalisme provocant sont également mal ressentis par l’amateur. Sa peinture est très

Nicolas Binsfeld est devenu maître dans l’art figuratif. Formé à l’Académie des Beaux-Arts de Charleroi, cet artiste touche un peu à tous les styles avant d’en arriver à l’univers des peintres renaissants.

fluide et le tracé délicat se perd souvent dans une sorte de brouillard de bonne compagnie qui, voilant certaines parties du corps, réduit les attitudes à des indications rapides, mais suffisantes. Cette figuration élégante s’exprime fréquemment «entre taille et menton», le reste étant escamoté tout simplement ou noyé dans un frottis léger.

« Un tel art, fait surtout de sensations, est difficile à décrire. Si l’artiste ne cache pas son adhésion à la forme humaine, il avoue son attirance pour l’ambiguïté que crée son recours fréquent à une sorte de scintillement lumineux. Dessinateur très habile, il n’entend pas être prisonnier de ses dons et bride fréquemment ses élans, s’arrêtant sur sa lancée, donnant alors à ses œuvres une impression d’ébauche, d’inachèvement volontaire, voire parfois de mise hors de jeu d’un membre ou même du visage, la pose choisie expliquant alors cette illusion d’amputation. La couleur est raffinée, privilégiant les tons d’ardoise, de rose doré, de blanc, de noir et de rouille. (Extraits de Artsper) »

Nous avions eu un véritable coup de foudre pour les œuvres de Nicolas Biensfeld lors d’une des nombreuses belles expositions organisées par David Hocquet dans sa Galerie de Charleroi, dans les années 2000.

Luna Macken, une Montoise à la COP 25

La COP 25, conférence internationale sur le climat, a eu lieu du 2 au 15 décembre 2019 à Madrid. Parmi les milliers de participants, Luna Macken, montoise de 23 ans, y était en tant qu’observatrice. Elle nous raconte.

Comment une Montoise se retrouve à deux pas de Al Gore, ancien vice-président des États-Unis et de Greta Thunberg au plus grand rassemblement mondial sur le climat? En surfant sur Facebook et en envoyant une lettre de motivation à quelques heures de l’échéance d’un appel à candidature.

Après avoir réalisé toute ma scolarité à l’école des Ursulines à Mons, je suis partie étudier les langues et littératures romanes à l’Université Libre de Bruxelles. Un bachelier que j’ai complété par un master en journalisme, en cours à ce jour. Pour une future journaliste intéressée par les problématiques environnementales, le projet ULB Inside COPs s’est immédiatement révélé comme l’occasion à ne pas manquer. L’objectif du projet: rapporter l’information aux étudiants. Cela, ajouté à la promesse d’une semaine au coeur des négociations internationales et à la liberté dans le choix et le partage de l’information, j’étais définitivement convaincue : la lettre était envoyée et, après une grève nationale des transports, 17h de trajet et cinq changements de train, j’arrivais à Madrid pour assister à la deuxième semaine de la COP 25.

Plongée dans l’univers des COP

Pensez à la surface du Lotto Mons Expo, reportez-la quatre ou cinq fois et vous aurez, à peu de choses près, la grandeur de la Feria de Madrid, lieu où se déroule la COP cette année. De gigantesques halls en enfilade, des plafonds à la hauteur démesurée, pas de fenêtres... Voilà le lieu qui nous attend, l’équipe 100% féminine d’ULB Inside Cops, pour les prochains jours. Une fois les portails de sécurité dépassés et le badge scanné, tout n’est qu’organisation, abréviations et codes à intégrer. D’abord les salles des sides events (événements organisés en marge des négociations). Puis, une salle de conférence de presse vers laquelle se dirige Greta Thunberg entourée d’une foule de smartphones et caméras tendus à bout de bras. Au fond, les salles de négociations et l’espace presse. Avant, d’énormes pièces pour les séances plénières, d’autres salles de conférence et les pavillons des différents pays avec : cafés gratuits chez les Allemands, architecture moderne en bois pour le Chili, danseurs traditionnels d’une île du Pacifique distribuant des clés USB... On nous avait prévenues, il nous faudra plusieurs jours pour nous repérer et en attendant, les applications de compteur de pas de nos téléphones sont ravies de nos nouveaux scores.

En accès (presque) illimité

En tant qu’observatrice, pratiquement l’ensemble de ce qu’il se passe m’est accessible. Puisque l’intérêt de la présence de centaines d’observateurs réside aussi dans l’augmentation de la transparence des parties, véritables acteurs de ces conférences. Avec un simple coup d’oeil sur l’agenda du jour, il est possible de se rendre compte du nombre de problématiques en jeu à chaque heure qui passe. Que ce soit dans les textes de négociations où

chaque virgule compte, par la lecture du rapport sur les océans du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), les jeux de pouvoirs concernant les marchés carbone ou encore par les conférences sur l’importance de lier égalité des genres et climat, chaque enjeu prend rapidement de l’ampleur d a n s ce microcosme et la tentation est grande de vouloir se diviser pour assister à un maximum d’événements. Une frustration toutefois rapidement compensée par l’accessibilité des personnes. Ici, les gens sont ouverts à la discussion, disponibles pour échanger, réaliser une interview ou affronter des points de vue à n’importe quel moment. Il suffit d’un pas vers eux, de quelques mots et l’échange est lancé. C’est comme ça que moi, étudiante montoise, je me retrouve à interviewer Philippe Henry, ministre wallon du climat, entre deux de ses réunions, à discuter du sujet des migrations avec une

chercheuse américaine et à prendre en photo un jeune aborigène militant de la forêt amazonienne, après une interview particulièrement poignante réalisée par l’une de mes coéquipières.

Au coeur des négociations

Au plus les jours passent, au plus la tension monte. On apprend que les parties ne parviennent pas à s’entendre sur certains enjeux. Parmi eux, l’article 6 qui concernent les marchés de carbone, primordiaux pour la bonne mise en oeuvre de l’Accord de Paris. Les négociations deviennent de moins en moins formelles, se déroulant parfois à voix basse dans les couloirs, certaines parties veulent absolument trouver un accord et d’autres assènent que “pas d’accord vaut mieux qu’un mauvais accord”... Des controverses qui s’étendront pendant encore plusieurs jours et nuits, jusqu’au dimanche matin. Il est évident que l’ambition de ces rassemblements onusiens est immense : parvenir à mettre d’accord 196 parties aux objectifs et intérêts si différents relève du casse-tête chinois. Mais, après ces mois de préparation, les manifestations qui ont pris place dans plusieurs villes belges et le fait d’avoir été présente au sein même de cette conférence, lieu de rassemblement de milliers de personnes profondément convaincues par l’urgence d’agir face au réchauffement climatique, la déception est grande... Teintée malgré tout de la reconnaissance d’avoir pu assister à un tel évènement.

www.ulbinsidecops.com Instagram : @insidecops Facebook : ULB Inside COPs Texte et photos : Luna Macken

L’ENTRAÎNEUR DES DIABLES, GUEST STAR DU CLUB 44

Le business club montois recevait un invité de prestige pour son rendez-vous de février. Le Club 44 a ainsi eu le privilège d’accueillir Roberto Martìnez, le sélectionneur des Diables Rouges. Réunis au centre des congrès (WCCM), les entrepreneurs membres du Club 44 avaient bien perçu l’importance de l’évènement puisque ce sont 231 personnes (un record !) qui ont pris le déjeuner en compagnie de l’entraîneur fédéral. A quelques mois de l’Euro de football, le technicien espagnol est venu confirmer les grandes ambitions de notre équipe nationale, qui trône en tête du classement mondial FIFA depuis septembre 2018.

UNE RÉVOLUTION DANS L’APPROCHE DU MANAGEMENT

Roberto Martìnez est parfois présenté comme celui qui a révolutionné le rôle de sélectionneur. Cette conviction affichée par le président de la Fédération, Mehdi Bayat, est partagée par de nombreux acteurs de notre paysage footballistique. Au-delà de sa mission à la tête de l’équipe nationale, c’est aussi son implication à d’autres étages de la fédération, auprès des équipes d’âge, au niveau du championnat national ou encore du foot amateur qui sont loués par les observateurs.

Interviewé face à l’assemblée du Club 44 par le journaliste sportif Vincent Langendries, il a en outre exposé une vision inspirante du management, faisant mouche auprès d’un public constitué de chefs d’entreprises : « Moi ce que je veux, ce sont des personnes qui font preuve d’engagement. La motivation est un sentiment tandis que l’engagement est beaucoup plus fort. C’est quelque chose d’essentiel. Pour créer un environnement favorable et atteindre ses objectifs, il faut que les gens qui vous accompagnent se sentent engagés dans leur boulot », pouvait-on lire dans les colonnes de La DH.

Bien loin de la pression médiatique entourant les rencontres de la bande à Eden Hazard, Roberto Martìnez est apparu décontracté et souriant lors de son après-midi en terre montoise, disponible pour les membres, à l’écoute de leurs questions et peu avare en dédicaces ou selfies. Assurément un grand moment pour les membres du Club 44 et leurs invités !

LE CLUB 44, UNE LONGUE EXPERTISE AU SERVICE DES ENTREPRENEURS

Fondé en 2003 et constitué en asbl depuis 2015, le Club 44 (www.club44.be) propose chaque mois à son réseau d’entrepreneurs des rencontres de premier plan, en présence d’orateurs de renom. Roberto Martìnez, Me Jean-Philippe Mayence, Thierry Geerts (CEO Google Benelux), la princesse Esmeralda de Belgique, Koen Van Gerven (CEO bpost), Nicolas Martin (Bourgmestre de Mons), Georges-Louis Bouchez (président du MR), Jean-Michel Saive ou encore Bernard Delvaux (Sonaca) ont récemment occupé la tribune du business club. « Au Club 44, les entreprises font des affaires, développent leur réseau… le tout dans la bonne humeur ! Avec les administrateurs du Club 44 que sont Ronald Gobert, Myriam Laachari et Gilles Barbera, nous avons toujours veillé à assurer une organisation professionnelle, à allier business et convivialité dans les activités que nous proposons aux entreprises membres », conclut le président Fabrice Costarelli.

Le Club 44 n’est pas un business club comme les autres. Depuis 2015, suite à 4 vagues d’appels à projets et 4 soirées de gala, le Club 44 a reversé la bagatelle de 122 000 € auprès d’associations sociales et caritatives mais aussi de clubs sportifs de la région montoise. Grâce à ses membres, entrepreneurs au grand cœur, le Club 44 allie donc habillement business, convivialité… et générosité.

Photos : © Fred Patty

A TA B L E Goût, amitié et convivialité

UNE CUISINE PLUS SAINE, PLUS CONVIVIALE ET PLUS LOCALE …

En 2020, la gastronomie devrait prendre une forme plus accessible pour répondre à un changement dans la façon dont les gens mangent. Les jeunes générations, qui mangent au restaurant en groupes plus nombreux et plus fréquemment que jamais, accordent de l’importance aux restaurants dans lesquels ils se sentent à l’aise. Les restaurants gastronomiques devraient adapter leurs offres pour correspondre à un style de repas plus social, plus communautaire voire plus familial, où l’acte de partager une assiette ou un plat reviendrait à l’avant-plan. La cuisine et la gastronomie sont des arts de vivre que les réseaux sociaux ont rendus accessibles aux plus jeunes, dont l’envie de découvertes gustatives s’est accrue.

LE RETOUR DE LA SIMPLICITÉ DANS NOS ASSIETTES

Le retour de la simplicité dans nos assiettes. Pourquoi y ajouter un élément dont la préparation demande du temps si sa présence n’amène rien d’autre que de la couleur. D’où l’intérêt de plus en plus marqué pour la cuisine régionale et la nourriture de nos grands-parents, chargés souvent d’une histoire personnelle. Une simplicité qui rime avec interactivité, les clients sont de plus en plus enclins à interagir avec les cuisines des restaurants au travers de cuisines ouvertes, de comptoirs de dégustation pour des menus plus petits et des expériences plus artisanales.

UNE GASTRONOMIE PLUS COMMUNAUTAIRE

Quelles seront les grandes tendances culinaires en 2020 ? Le magazine américain Food and wine a interrogé des chefs réputés et des experts de l’industrie agroalimentaire afin de prédire les grandes tendances qui composeront nos assiettes pour la décennie à venir. Si les personnes interrogées parlent surtout des tendances américaines, on pointera dans cette liste, des tendances qui dominent déjà les cuisines, les restaurants et les bars.

Une cuisine plus saine, une préoccupation plus forte pour l’environnement, des produits de mer durables, des viandes de qualité et davantage de plats axés sur les légumes sont des tendances déjà bien ancrées sous nos latitudes culinaires. Autre axe important de cette enquête, l’importance de la convivialité avec des restaurants plus accueillants encore avec leurs clients, la qualité du service est primordiale.

LE RETOUR EN FORCE DU PAIN

Céréales locales, biologiques et sans OGM, blés anciens, le pain devient meilleur que jamais et disponible partout et surtout localement. On ne se plaindra pas de la multiplication d’artisans boulangers qui tournent le dos à l’achat de farines prêtes à l’emploi pour se tourner vers une pratique plus respectueuse et plus créative. Mais en boulangerie comme en cuisine, les ingrédients ont toute leur importance, pour faire un bon pain, il faut une bonne farine et parmi les rares moulins encore en activité en Wallonie, celui de la Marquise à Moulbaix, dans la région d’Ath, travaille de manière artisanale pour conserver à la farine tous ses éléments nutritifs, d’autant que les céréales traitées proviennent de culture traditionnelle ou biologique.

2010 – 2020 … DIX ANNÉES DE « TENDANCES »

C’est le magazine « Elle à Table » qui s’est prêté à ce petit jeu mêmant prospective et regard dans le passé.

En 2010, de plus en plus de vins pétillants dans les verres, les chaînes de magasins bio exposent ainsi que Top Chef et Master Chef battent des records d’audience à la télé.

2011 voit l’éclosion des cofee shops qui popularisent le latte art et les tartines d’avocat, l’aliment star du moment. Dans les restaurants japonais, on découvre la texture étonnante des mochi, qui ne détrôneront pas les macarons. En pleine vague nippone, on tombe aussi en amour devant les bento, ces boîtes à déjeuner ultrainspirantes.

En 2012, c’est la cocktailmania et la multiplication des bars à cocktails. C’est aussi l’année des super aliments, le quinoa, les baies de goji, le chou kale avec l’espoir qu’ils boostent notre énergie, notre jeunesse et notre bonne humeur. On achète du café et du chocolat équitables qui garantissent aux producteurs un revenu décent et chez le boucher, on opte pour de la viande surmaturée.

2013, c’est l’éclosion de la livraison à domicile … le matin, on déguste jus de fruits et de légumes fraichement pressés, on en sirote même toute la journée !

En 2014, c’est le pâté en croûte qui effectue son come-back, poussé par un concours international. L’application de partage Instagram devient le moyen d’expression favori des foodies et des chefs. Et l’hashtag qui cartonne, c’est #noglu car le gluten devient l’allergie de la décennie.

2015, c’est le gros succès sur Netflix de « Chef’s Table », une série documentaire dédiée aux toques internationales. Le cacao monte en gamme avec l’ouverture de chocolateries allant de la fève à la tablette. Et le mot véganisme fait son entrée dans le dictionnaire.

En 2016, on préfèrera les laits végétaux d’amende, de soja et d’avoine au lait de vache. Le poulpe est partout, du restaurant aux couvertures de livres, pendant que le sucre, trop souvent caché dans les aliments ultra-transformés, est diabolisé par le mouvement « slow sugar ».

2017, le nouvel eldorado gastronomique, c’est le Pérou qui nous convertit au très frais ceviche tandis que le bouillon réchauffe nos journées. Au petit-déjeuner, le granola remplace les céréales, la grenade explose dans nos préparations sucréssalés et le pulled pork, viande longuement cuite, fumée puis effilochée nous fait saliver.

En 2018, les femmes revendiquent enfin leur place en cuisine, soutenue par le Parabere Forum qui fédère 5000 professionnelles. Au restau, la céramique fait son grand retour alors qu’en entrée, c’est l’œuf mimosa qui tient le haut du pavé.

Et l’année passée, en 2019, le locavorisme qui consiste à ne se nourrir que d’aliments produits dans un rayon de 250 km. cède le pas à l’ultralocal. Certains chefs proscrivent même le café !

Sur nos pâtes, on râpe de la poutargue et la cuisine bourgeoise fait son retour.

Nouvelles Alfa Romeo Stelvio MY2020 & Giulia MY2020

Les nouveaux modèles étendards de la marque de voiture de sport italienne ont fait leur apparition publique pour la première fois en janvier lors du Bruxelles Motor Show 2020. L’évolution de ces deux véhicules est triple et concerne les domaines suivants : technologie, conduite autonome et connectivité.

Les nouvelles Giulia et Stelvio refusent le compromis entre une approche centrée sur le conducteur ou sur le confort maximal, au sens le plus large. Pour Alfa Romeo, le confort implique le plaisir, l’organisation et la sécurité que procure l’expérience à bord de la berline ou du SUV : l’installation dans l’habitacle de la Giulia et du Stelvio, que ce soit à l’avant ou à l’arrière, offre des stimuli créant une zone de confort à la fois accueillante et dynamique, en harmonie avec la sécurité, la qualité et la vitesse.

Cette philosophie est à la source du développement des nouveaux modèles Stelvio et Giulia, qui évoluent en MY2020 à travers trois aspects complémentaires de leurs moteurs populaires : leurs solutions techniques à la pointe de la technologie, leur tenue de route, qui se traduit en expérience de conduite de référence, ainsi que leur design résolument italien. La qualité intérieure et la technologie embarquée atteignent désormais les mêmes niveaux d’excellence, grâce aux nouveaux systèmes ADAS, à la conduite autonome de niveau 2, au tout nouveau système d’infodivertissement doté de services connectés, ainsi qu’à la nouvelle interface homme-machine.

Outre les Giulia et Stelvio, le stand Alfa Romeo accueille également la dernière version du modèle Giulietta, qui a fait l’objet d’une évolution substantielle en 2019.

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