L'Orléanais 29 avril 2021

29 avril 2021, Volume 5 Numéro 5

La voix francophone d’Orléans

PAGE 3 La COVID-19 abat les parties de quilles à Orléans

PAGE 5 La petite histoire... de la rue St-Pierre

Prochaine édition 27 mai

PAGE 9 L’organisme du mois d’avril : Dialogue Canada

COVID 19 : La gestion de Justin Trudeau divise les passions Samuel Gosselin-Bélanger IJL – Réseau.Presse – L’Orléanais

Les pompiers ont dû combattre un incendie qui a causé des dommages limités sur le toit de l’école secondaire Garneau le 18 avril. PHOTO : FICHIER

Malgré une vaccination qui s’accélère partout au pays, l’arrivée d’une troisième vague de la pandémie marquée par de nouvelles souches de la COVID-19 pousse certaines personnes à se tourner vers le gouvernement Trudeau pour obtenir des réponses.

Selon André Lecours, professeur de sciences politiques à l’Université d’Ottawa, le rôle du gouvernement fédéral est toutefois limité. « Le gouvernement fédéral a plus un travail de communication. C’est-à-dire d’encourager les Canadiens à suivre les consignes décrétées par les gouvernements provinciaux. Je crois que dans ce contexte-là, celui-ci a adopté un comportement conforme aux attentes », mentionne-t-il d’emblée.

Par ailleurs, questionnée sur les points faibles de la gestion de son parti, la députée libérale d’Orléans, Marie-France Lalonde, a été plutôt évasive dans ses propos. « On vit actuellement

une crise sans précédent. Il n’y a pas de livre d’instructions pour savoir comment gérer ce genre de pandémie. Je crois que dans l’ensemble, nous faisons un bon travail », dit-elle.

De son côté, Gérard Deltell, député de Louis-Saint-Laurent, dans la région de Québec, mentionne que le gouvernement Trudeau a bien entamé sa gestion. « Injecter des fonds dans l’économie afin de soutenir nos entreprises et nos travailleurs, c’était la bonne chose à faire.

On était d’accord avec ça », avoue-t-il.

Toutefois, l’élu critique la gestion des Libéraux en lien avec l’aide accordée aux Canadiens. « On a détecté assez rapidement qu’il y avait des abus structurels. Que des personnes trouvent des failles dans le système et en profitent, c’est tel que tel, mais que d’autres reçoivent plus que le client en demande, ça, c’est autre chose », ditil en faisant référence aux étudiants qui ont pu recevoir la Prestation canadienne d’urgence pour les étudiants (PCUE), soit un montant de 1250 $

SUITE À LA PAGE 2

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EN BREF Un balado sur l’histoire ontarienne OTTAWA – Les amateurs d’histoire peuvent dorénavant se mettre Assis Devant, un nouveau balado socio-historique en français, sous la dent. Animée par Éric Barrette, la série propose de faire découvrir à ses auditeurs des pans peu connus de l’histoire ontarienne, comme le parcours houleux de Robert Campeau, un extravagant milliardaire franco-ontarien, ou encore Caledonia Springs, aujourd’hui un village fantôme de l’Est ontarien qui était autrefois la plus importante station thermale au Canada. En date du 22 avril, quatre des cinq épisodes de la première saison étaient accessibles sur diverses plateformes, incluant Apple Podcasts et Spotify.

Enseignant d’Orléans inculpé d’infractions sexuelles ORLÉANS – Le 20 avril dernier, l’Unité des agressions sexuelles et de la violence faite aux enfants a inculpé Rick Watkins, qui a enseigné pendant plus de 25 ans à la St. Matthew High School, de neuf chefs d’accusation à caractère sexuel. À l’époque des infractions, l’homme de 57 ans était connu sous le nom de Rick Despatie. Une enquête avait été ouverte en mars dernier et s’était penchée sur des incidents mettant en cause des adolescentes âgées de moins de 14 ans survenus entre l’automne 2020 et mars 2021. Les enquêteurs estiment qu’il pourrait y avoir d’autres victimes. Toute personne ayant des renseignements concernant cette affaire est priée de communiquer avec l’Unité des agressions sexuelles et de la violence faite aux enfants de la Police d’Ottawa en composant le 613-236-1222, poste 5944.

Progression sur le chantier Petrie’s Landing ORLEANS – Depuis la mi-avril, une grue à tour a été installée sur le chantier Petrie’s Landing, près du chemin Trim. Pour le promoteur immobilier Brigil, cet ajout au chantier constitue une étape majeure dans son plan de développement, lui qui prévoit investir trois milliards de dollars dans la communauté Petrie’s Landing au Cette grue mobile a servi à ériger la grue à cours des dix prochaines années. Au total, c’est tour qui surplombe le chantier de Petrie’s 10 000 résidents que le Landing. PHOTO : BRIGIL promoteur souhaite attirer en créant un village urbain complet, qui inclura boutiques, restaurants, épiceries, banques, pharmacies, cliniques médicales, écoles et centres commerciaux.

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COVID-19 : La gestion de Justin Trudeau divise les passions Suite de la page 1

chaque mois, et ce, pour un maximum de 16 semaines, l’été dernier. Pour lui, cette aide a démotivé les jeunes à aller travailler puisqu’il était possible de faire de l’argent « sans rien faire ».

Un autre point important selon le député : les vaccins. Selon lui, le manque criant de vaccins est l’une des principales raisons qui expliquent cette troisième vague. En date du 22 avril, 27 % de la population canadienne avait reçu une première dose du vaccin, selon les statistiques du New York Times, ce qui représente près de 11 millions de personnes.

Questionnée à ce propos, Marie-France Lalonde rétorque que son gouvernement maitrise la situation. « Je suis fière que mon gouvernement se soit entendu pour avoir plusieurs sortes de vaccins. N’oublions pas que notre rôle est d’acheter les doses d’un vaccin. Ce sont les provinces qui doivent par la suite en faire la distribution. Nous avons respecté nos engagements », explique-t-elle.

Et si un gouvernement conservateur était au pouvoir ? « Nous aurions eu un meilleur contrôle quant aux sommes injectées pour les Canadiens. On aurait également modifié

Gérard Deltell l’aide accordée aux étudiants, par exemple, afin de minimiser les impacts sur la maind’œuvre à travers le Canada », mentionne Gérard Deltell.

Pour le moment, aucune élection n’est en vue, selon Marie-France Lalonde, qui mentionne que son gouvernement a actuellement la confiance des autres partis.

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ACTUALITÉ La COVID-19 abat les parties de quilles à Orléans Rebecca Kwan IJL – Réseau.Presse – L’Orléanais

La dernière année n’a pas été de tout repos pour les entreprises locales. Pour des établissements comme le Centre de quilles d’Orléans, les aléas de la pandémie ont rendu la partie beaucoup plus corsée que prévu.

Alors qu’en zone rouge le centre pouvait maintenir ses activités avec capacité limitée, zone grise oblige, il est désormais hors commission aux adeptes du jeu à cinq quilles depuis le début avril.

C’est avant tout grâce à l’appui financier apporté par le gouvernement fédéral et provincial que le Centre de quilles d’Orléans parvient à rester à flot. « On était en chute libre. C’est très simple, si ce n’était pas des subventions du gouvernement, on serait complètement fermés », explique avec candeur Roch Henry, propriétaire du centre depuis plus de 11 ans.

D’ailleurs, comme l’afflux de clients s’est avéré modique lors des réouvertures intermittentes du centre depuis le début de la pandémie, l’entreprise a vu ses recettes chuter de 90 %.

Même si les clients étaient les bienvenus de la mi-février à la fin mars cette année,

la foule s’est faite moins nombreuse qu’à l’habitude. « C’est quelque chose qui est rare. D’habitude, si on n’a pas personne, ce n’est pas pour longtemps. Là, on passait des journées sans clients », raconte le propriétaire.

Néanmoins, pour les clients qui se sont rendus sur place lors des réouvertures, c’était une bouffée de plaisir en comparaison au confinement du quotidien. « C’est vraiment plaisant. On peut revoir notre monde et puis on a besoin de beaucoup de social, surtout pendant ces temps-ci de la vie où on ne peut pas voir nos amis, nos parents », partage Louise Joa, en visite au centre pour une partie de quilles à la mi-mars.

Même son de cloche pour Lucien Lacasse, pour qui les quilles pouvaient se substituer à sa promenade quotidienne lorsque le temps se faisait pluvieux. « J’aime ça jouer au bowling, ça fait sortir », affirme-t-il. « On sort de la maison, on se change les idées ».

Mais pour le propriétaire, les quelques clients ne sont pas venus remédier au mal de la normalité. « C’est dur de garder une attitude positive ou même productive parce qu’à la seconde où tu commences à faire quelque chose, les règlements changent », constate-t-il.

Le Centre de quilles d’Orléans doit fermer en zone grise, mais était ouvert à une clientèle limitée durant la zone rouge. PHOTO : FICHIER « Nos chiffres allaient bien jusqu’au mois de mars 2020. [La pandémie] nous a complètement détruit. En ce qui concerne notre potentiel et tout, c’est descendu extraordinairement », observe M. Henry.

Le centre n’est toutefois pas le seul à vivre une période ardue. « Se trouver dans la zone de contrôle rouge ou grise s’est avéré très difficile pour de nombreuses entreprises

disposant de grands espaces », note Tannis Vine, directrice générale de la ZAC du Cœur d’Orléans. « Par exemple, nous avons toujours un grand cinéma, Orléans Cinestarz, qui doit rester fermé pendant que nous sommes en confinement », rappelle-t-elle. « Nous espérons voir un peu de lumière au fur et à mesure que la vaccination progresse ».

Le magicien Éric Leclerc apparaît à la télévision américaine Jean-Marc Pacelli L’Orléanais

Depuis le 22 avril, les amateurs de magie peuvent se délecter en regardant Big Trick Energy sur les ondes de la station américaine TruTV. La série qui se déclinera sur dix épisodes pour cette première saison met en vedette Éric Leclerc d’Orléans ainsi que Chris Ramsay de Montréal, Alex Boyer de Gatineau et Wes Barker, installé à Vancouver. « C’est la première émission de magie réalité. C’est une série unique parce que, au début de chaque épisode, on présente un gros tour de magie et on révèle comment on l’a fait à la fin », explique Éric Leclerc au sujet de cette émission qui allie magie, cascades et coups pendables.

Avec une quinzaine de tours par émission, c’est quelque 150 tours que Leclerc, Ramsay, Barker et Boyer ont dû développer avec l’aide de leurs trois consultants en magie.

Si les grands concepts ont commencé à être établis huit mois avant le début des tournages, qui ont eu lieu de décembre à

février, certains tours n’ont été trouvés que quelques minutes avant de les présenter : « On arrivait sur le plateau et on savait qu’un tour ne fonctionnerait pas. On se disait : “On est en bas d’une piste de ski. Qu’est-ce qu’on peut faire?” On faisait un petit brainstorm pendant que les caméramans attendaient. » Avec une pandémie qui bat son plein, le magicien de 39 ans ne cache pas que les tournages étaient accompagnés de leurs lots de défis.

Outre les trois tests COVID hebdomadaires que les comparses devaient passer, l’équipe de tournage était aussi supervisée par des « Agents COVID » qui s’assuraient que les mesures sanitaires étaient respectées à la lettre : « Puisque je porte des lunettes, elles embuaient toujours, alors ils étaient sur mon cas plus que tous les autres », lance-t-il.

Malgré tout, Éric Leclerc assure que les participants du public n’étaient au courant de rien. Pour éviter de leur vendre la mèche, ils étaient abordés en se faisant proposer de participer à une émission de voyage.

Pour le magicien d’Orléans, cette série lui ouvre maintenant grand les portes et lui offre une visibilité inégalée : « C’est la septième émission de télévision que je fais et je n’ai jamais eu autant de promotion. Nos faces sont sur des billboards à Los Angeles et New York. » Avec cette visibilité est venue une participation à quatre au populaire talkshow Ellen, animé par Ellen DeGeneres, le 14 avril : « Pendant toute ma carrière, j’ai essayé d’aller sur Ellen. J’ai passé proche deux fois. Là, c’est WarnerMedia [NDLR : propriétaire de TruTV] qui a tout organisé.

La compagnie a mis toutes ses ressources dans la promotion de la série. » D’ailleurs, de toutes ses réalisations, qui incluent d’être double champion de magie du Canada et d’avoir berné le duo légendaire Penn et Teller à leur émission Fool Us, c’est sa participation à Ellen qui est sa plus grande fierté. Comme quoi le petit garçon de 9 ans qui a découvert la magie à Noël peut encore être émerveillé toutes ces années plus tard.

Wes Barker, Chris Ramsay, Éric Leclerc et Alex Boyer sont les quatre magiciens de Big Trick Energy. PHOTO : COURTOISIE

29 avril 2021 • Volume 5, Numéro 5 • 3

Vaccinés, mais prudents La campagne de vaccination contre la COVID-19 bat enfin son plein au Canada. Après des débuts difficiles dus en grande partie aux livraisons ralenties de vaccins, tous les territoires et les provinces plantent maintenant des aiguilles dans les bras des Canadiens.

En date du 13 avril, nous avions administré une première dose de vaccin à 7 769 203 personnes, soit 20,4 % de la population. Ce n’est pas très remarquable puisque ces chiffres nous placent au 44e rang le monde en nombre de vaccinés par 100 000 habitants.

La bonne nouvelle est que, depuis quelques semaines, ces chiffres s’améliorent quotidiennement. Cette amélioration est cependant loin d’être une panacée.

Le problème est que notre poussée de vaccination survient en pleine troisième vague du virus. Et pas n’importe quel virus. Maintenant, ce sont les variants du coronavirus qui font des ravages en se propageant plus rapidement et en causant des troubles respiratoires plus mortels.

On comprend donc pourquoi les experts préviennent maintenant les vaccinés contre le sentiment d’invulnérabilité. Il est facile pour ceux qui ont reçu une première dose de vaccin de croire qu’ils peuvent maintenant reprendre une vie normale avec sorties sans masque, sans distanciation physique, sans se laver les mains 20 fois par jour.

La science ne nous donne pas encore de réponses précises quant aux effets complexes du coronavirus et de ses variants. La science n’est pas encore claire sur les vaccins innovateurs créés pour combattre cette pandémie. Mais tous les scientifiques s’entendent sur certains points cruciaux.

1. Aucun vaccin n’est efficace à 100 %.

2. Les vaccins Moderna et Pfizer-BioNTech ne sont efficaces que deux semaines après l’inoculation.

3. Tous les vaccins diminuent le taux de morbidité, mais les symptômes bénins peuvent avoir des effets néfastes à long terme.

4. Une personne vaccinée pourrait attraper le virus et le transmettre à d’autres.

5. On ne connait pas le degré d’immunité que ces vaccins offrent pour les nouveaux variants.

6. On ne connait pas la durée de l’immunité offerte par un premier vaccin.

7. Comme le Canada prévoit un intervalle de quatre mois entre les deux doses nécessaires pour la plupart des vaccins, on ne sait pas si leur immunité sera aussi efficace.

Je continuerai donc à rester chez nous le plus possible, à porter un masque en public, à respecter la distanciation physique dans les regroupements et à me laver les mains. Cela étant dit, il faut bien comprendre que cela ne veut pas dire que ça ne vaut pas la peine de se faire vacciner. Comme le disent les experts : Vaut mieux un premier vaccin qui n’offre qu’une modeste protection que pas de vaccin du tout.

Réjean Grenier, Francopresse

La pêche qui grandit au rythme de l’enfant D’après Wikipédia, la pêche est : « Une activité de l’eau juste devant nous. Nos pensées sont loin économique ou de subsistance, professionnelle ou du ciment et des odeurs des villes. Éventuellement, le petit garçon ou la petite de loisir, qui consiste à capturer des poissons ».

Pour moi, la pêche comprend pas mal plus que de fille grandira, et l’appétit pour la pêche plus prendre du poisson, car il y a surtout les activités aventureuse grandira au même rythme. Il ou elle se procurera un petit bateau à rattachées à la pêche qui sont moteur ou ira avec un ami à la bien importantes. pêche au poisson le plus facile, Il n’y a rien de plus c’est-à-dire l’achigan, un bien merveilleux que de voir les beau poison qui donne de fortes yeux et la réaction d’un tout sensations. petit enfant assis sur le quai Certains se satisferont de ce avec son grand-père, sortant choix, mais d’autres voudront un crapet-soleil avec sa petite Réflexion s’aventurer plus loin. Ça ligne bien frêle. Ses cris et sa joie surpassent de peu la joie d’un grand-père ou passera de l’achigan, au doré, à la truite de toutes d’une grand-mère tenant ce petit enfant sur ses sortes. D’autres iront même s’aventurer à la pêche genoux en attendant que le « monstre » morde à ultime, la pêche au saumon « à la mouche ».

Chaque changement apporte ses bénéfices l’hameçon.

Pour les personnes adultes, c’est bien joyeux ainsi que sa facture. La pêche peut devenir un ce moment, mais pour ce petit enfant, c’est la sport onéreux si l’adepte ne prend pas garde. plupart du temps, le commencement d’une grande On commence par un petit coffre à pêche aventure qui durera toute sa vie. La passion qu’on remplit assez aisément à mesure qu’on s’incruste tranquillement en lui et sa démarche affectionne les Canadian Tire, Sail, Cabelas ou sera toujours de capturer un plus gros poisson à autres. Le coffre rempli, on passe à un coffre plus gros, qu’on remplit encore pour éventuellement mesure qu’il grandira.

Il ne faut pas négliger les filles qui sont de se retrouver avec 1000 $ en agrès de pêche. Éventuellement, on ouvre son coffre et regarde plus en plus adeptes de cette activité tellement relaxante et qui, éventuellement, accompagnent toutes ces leurres pour constater que le poisson est souvent à l’autre bout du dollar! leur conjoint à ce sport bien populaire.

Finalement, il y a les expéditions de pêche Vous me direz que ce n’est pas tellement relaxant même si prendre un poisson fait monter qui arrivent. Ça peut être à quelques heures de une dose considérable d’adrénaline à chaque fois. la maison ou à plusieurs heures de vol, loin de la Aussi, la pêche nous fait oublier nos tracas, civilisation.

De la bien belle pêche, du poisson à profusion, nous apportant des bienfaits non mesurables.

Assis dans le bateau, on peut humer les odeurs de mais on en rapporte qu’une quantité limitée, la nature, admirer les oiseaux et parfois même des souvent fixée à six par pêcheur.

C’est pas mal d’argent, mais quel bonheur ces chevreuils ou orignaux sur la rive. Il arrive même parfois qu’un pygargue vienne happer un poisson aventures de pêche avec de bons amis!

Denis

Gagnon

CANADA

Marie-France LALONDE Députée/MP Orléans

! r e d i a s u o v Ici pour

Rédacteur en chef........Jean-Marc Pacelli

L’Orléanais est une publication mensuelle distribuée à plus de 44 000 résidences à Blackburn Hamlet, Orléans et Navan. Le journal est exploité localement par Sherwin Publishing Inc., situé au 745 croissant Farmbrook, Orléans. Pour toute question, demande et commentaire, veuillez nous écrire à l’adresse suivante : orleanais@orleansstar.ca.

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Bureau de circonscription 255, boul. Centrum, 2ième étage Orléans, ON K1E 3W3 marie-france.lalonde@parl.gc.ca 613.834.1800 MFLalondeMP.ca

La petite histoire… de la rue St-Pierre L’Orléanais présente mensuellement des chroniques historiques ayant trait aux noms francophones des voies publiques, des parcs, des salles et des installations d’Orléans. Ces chroniques sont écrites par la Société franco-ontarienne du patrimoine et de l’histoire d’Orléans (SFOPHO - www.

SFOPHO.com) afin de faire connaître le patrimoine et l’histoire d’Orléans.

Alton Legault Auteur principal (1re partie) Il y a des voies publiques patrimoniales délaissées qui méritent d’être revisitées.

C’est le cas de la rue St-Pierre, première petite rue au nord-est de l’église SaintJoseph en plein cœur du village d’Orléans.

Une bonne partie de l’histoire d’Orléans s’y trouve, avec ses espoirs et ses déboires.

En 1858, Luc Major, dans le premier plan du village commandé par l’évêché de Bytown, trace une rue appelée St. Anne à l’est du lieu où on construira plus tard l’église Saint-Joseph. Il s’y trouve déjà une école, anglaise dit-on. Il y a sans doute aussi un sentier de terre battue qui mène, à travers espaces marécageux et boisés, aux terres fertiles au bord de la rivière des Outaouais.

En 1863, Pierre « Peter » Rocque

(1816-1888) achète des terres de l’évêché, travaillées par Armand Grison, dans la partie nord des lots 1 et 2 de la première concession du front outaouais du canton de Gloucester.

Il vient s’installer à Orléans sur la ferme au début des années 1870.

Sur la carte Belden de 1879, la maison de Pierre Rocque se trouve dans le lot 2 près de la rivière des Outaouais (là où se trouve aujourd’hui le parc Beauclaire). Dès 1879, il modifie le plan initial du village et change le nom de la rue St. Anne, en rue St. Peter, en hommage à l’apôtre du Christ et présumé fondateur de l’Église catholique, dont il porte le même nom.

Le cœur du village se développe. Des fils de Luc Major s’installent progressivement dans le village.

Toussaint y tient une forge (18751900) au coin nord-ouest des rues Ottawa (boulevard St-Joseph) et St. Peter, alors que son frère, Sylvini, ouvre un magasin général au coin nord-est en 1881.

Lorsque ce dernier quitte pour faire fortune à Ottawa, son frère, Arthur, le remplace (1889-1894). En 1895, son frère, Joseph, prend la relève. Il assume aussi les rôles de marguillier, de secrétaire-trésorier du conseil scolaire et de secrétaire de la

fromagerie, Orleans Cheese Factory, en face. Il devient maître de poste en 1900, en remplacement de Hugh Dupuis. À son décès en 1913, son fils, Émile Olivier, se charge du magasin et du bureau de poste et devient l’un des promoteurs et premiers membres du conseil du Police village of St-Joseph d’Orleans (1923-1929).

En 1892, sur les lots 25-26 de la rue St. Peter, l’ancienne école devient la Maison des Forestiers (local du Catholic Order of Foresters – organisme de soutien aux travailleurs du bois) dont Ovide Arthur Rocque est membre et représentant d’Orléans.

En 1915, la paroisse achète la maison des Forestiers, y ajoute un deuxième étage et en fait une résidence pour les sœurs enseignantes; en 1920-22, elle sert de chapelle en attendant la construction d’une nouvelle église en 1922, ensuite, elle devient un lieu d’hébergement pour les prêtres de passage.

En 1923, au moment où le village acquiert le statut de Police Village of StJoseph d’Orléans, on ne retrouve que deux résidents sur la rue St. Peter (déjà appelée St-Pierre par les résidents francophones) : Zénophile Gervais, rentier, et Félix Laurin,

Devenez proprio sans vous enfarger dans les fleurs du tapis

violoneux. La veuve de Joseph Major loge depuis quelques années dans une nouvelle maison qui a remplacé la forge de Toussaint au coin ouest de la rue.

Zénophile Gervais (1870-1942) est un personnage important, mais oublié, dans l’histoire d’Orléans. Originaire de Ste-Martine, Québec, cultivateur dans le rang St-Jean-Baptiste, il prend sa retraite dans le village avec son épouse, Ève Anna Cousineau, qu’il a épousée à Saint-Joseph d’Orléans en 1892. Il devient membre du conseil du Police Village de 1929 à 1934, agissant même comme président et secrétaire. Il est aussi conseiller scolaire lors de l’ouverture de l’école St-Joseph en 1939. Décédé en 1942, son corps est inhumé dans le cimetière de la paroisse Saint-Joseph d’Orléans.

En 1929, Arthur Charbonneau acquiert le magasin Major et y maintient le bureau de poste avec l’aide de son épouse, Aurore Pariseau, et ses enfants.

Pendant tout ce temps, la rue St. Peter demeure peu développée et peu habitée, par manque d’acheteurs et aussi en raison de l’état marécageux du terrain. Mais son destin va bientôt changer.

Suite le 27 mai

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29 avril 2021 • Volume 5, Numéro 5 • 5

NOUVELLES DU QUARTIER Bonjour, Les routes sont dégagées, le printemps est là, et les équipes sont en train de nettoyer et de réparer la chaussée. Bientôt, vous constaterez le déploiement de nos mesures temporaires de modération de la circulation visant à ralentir les automobilistes dans le quartier et le début des travaux de réfection de la chaussée.

Cette année, le resurfaçage de la rue Saint-Georges dans Queenswood Heights aura finalement lieu, une demande que je réitère depuis 2018. Des brigadiers sont nouvellement en poste sur la promenade Grey Nuns, à l’intersection du croissant Sundown, et sur le boulevard Charlemagne, à l’intersection de la promenade Merkley. Un nouvel abri pour pique-nique sera installé au parc Queenswood Ridge et davantage de réfections de sentiers seront entreprises dans Queenswood Heights (du croissant McEachern à la promenade Bourcier), dans Fallingbrook (du chemin Tenth Line à la rue Thurlow) et sur le sentier principal à l’est de la voie Caprihani le long du ruisseau.

Comme nous passons plus de temps que jamais à l’extérieur, ces investissements sont très importants pour nous tous. Je m’engage à poursuivre ces réfections et à investir dans nos parcs et espaces publics cette année. D’autres projets sont donc à venir!

COVID-19

Notre clinique de vaccination communautaire est ouverte au YMCA Orléans, au 265, boulevard Centrum. À mesure que plus de vaccins sont livrés à Ottawa, d’autres rendezvous sont disponibles. Vous pouvez prendre rendez-vous à ontario.ca/rendezvousvaccin/ ou composer le 1-833-943-3900.

Les problèmes rencontrés par le système provincial de prise de rendez-vous m’ont contrarié, mais la Ville a intensifié ses efforts pour faire vacciner les gens aussi rapidement que possible. Avec notre député Stephen Blais, nous faisons part de ces préoccupations au gouvernement provincial afin de les résoudre. De plus, la clinique de dépistage de la COVID d’Orléans du complexe récréatif Ray-Friel est ouverte et continue de faire passer le test aux résidents. Si vous souhaitez passer le test, prenez rendez-vous à www.santepubliqueottawa.ca

L’Étape 2 du TLR à Orléans

Les travaux de construction vont bon train, et j’ai reçu un nombre important de plaintes de la part de résidents des environs au sujet du bruit, des vibrations et plus encore. Je collabore avec KEV pour réduire au minimum les répercussions du bruit et des vibrations. Pour cette raison, je pourrais ne pas accorder à l’entreprise le permis qu’elle a demandé pour effectuer des travaux la nuit. Il ne peut pas y avoir d’importantes perturbations tout au long de la journée si en plus vous ne pouvez pas dormir la nuit. Il faut faire un compromis. Je tiens à vous dire que je suis derrière vous et ferai tout mon possible pour assurer la quiétude la nuit. Cette pandémie n’a pas épargné notre santé mentale et je ne suis pas prêt à laisser ce projet aggraver notre situation. Dans les mois à venir, vous verrez des fermetures de voies et de bretelles ainsi que des détours dans la communauté. Restez informé en visitant le site www.ottawa.ca/etape2.

Marché de producteurs agricoles

Bonne nouvelle : Le marché de producteurs agricoles d’Orléans est de retour au complexe récréatif Ray-Friel, 1585, chemin Tenth Line, pour une autre saison estivale.

L’ouverture du marché aura lieu le jeudi 20 mai, et il sera ouvert tous les jeudis jusqu’à la fin octobre, de 11 h à 16 h. Soutenez les entreprises locales et profitez du plein air!

B ien

ible! n o p s ôt t di

Au plan personnel, vous avez peut-être entendu dire que Laura et moi attendons une petite fille en août! Libby est très contente de devenir grande sœur, mais nos chiens Norman et Elliot semblent légèrement moins enthousiastes à ce chapitre.

Je suis convaincu qu’ils l’adoreront dès son arrivée. Nous avons été occupés à la maison en raison des préparatifs pour la venue de notre bébé. C’est plus difficile de tout mettre en place sans l’aide de la famille, mais nous prenons les restrictions liées à la COVID-19 très au sérieux et espérons qu’avec une vaccination accrue et une prise de conscience continue de nos gestes, nous aurons plus d’aide d’ici l’été.

Michaël, Jordan, D’Arcy, Scott et moi-même demeurons à votre service et sommes toujours là pour répondre à vos appels, vos courriels et vos messages. Par conséquent, n’hésitez pas à nous contacter au 613-580-2471 ou à nous envoyer un courriel à matt.luloff@ottawa.ca. Nous aimons avoir de vos nouvelles et sommes toujours disposés à vous aider à régler tout problème que vous pourriez rencontrer.

Finalement, la Société franco-ontarienne du patrimoine et de l’histoire d’Orléans fête ses 10 ans et offre une programmation spéciale tout au long de l’année. Visitez www.sfopho.com pour en savoir plus. Longue vie à la SFOPHO! Encore une fois, vous me manquez tous – mais il suffit d’un coup de fil pour me joindre. Vous pouvez me contacter en tout temps.

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29 avril 2021 • Volume 5, Numéro 5 • 7

6 bonnes raisons de choisir l’Académie d’apprentissage virtuel

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Développement de l'autonomie

Services de soutien aux familles

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Activité physique quotidienne

Retour en classe possible en tout temps

Club de gymnastique Les Sittelles

Après 40 ans, le Club de gymnastique Les Sittelles a plusieurs raisons de célébrer, notamment, nos racines dans la communauté francophone, ainsi que le dévouement et l’engagement de nos membres. Plus que tout, nous célébrons la réussite de nos athlètes, soit les centaines, voire milliers de personnes qui sont passées par le Club de gymnastique Les Sittelles et ont relevé des défis personnels.

En 1980, alors que les activités récréatives pour les familles de l’Est de l’Ontario étaient majoritairement en anglais, Marguerite Landriault, mère de cinq enfants, fonde le Club de gymnastique

Les Sittelles. Tant de choses ont changé depuis les débuts des Sittelles, pourtant notre vision et nos objectifs demeurent solidement tissés au sein du développement des habiletés physiques et mentales des jeunes, notamment en promouvant la participation, l’esprit d’équipe, la discipline personnelle, ainsi que l’atteinte d’objectifs personnels, le tout dans un environnement complètement francophone.

Visitez notre site Web pour en apprendre davantage sur l’historique du seul club de gymnastique francophone de tout l’Ontario et sur nos différents programmes récréatifs et compétitifs de gymnastique artistique et de trampoline.

Organisme du mois : Dialogue Canada Qui sommes-nous : Dialogue Canada est un organisme pancanadien bilingue incorporé depuis 1992 et voué à la paix sociale et à une meilleure entente entre les peuples du pays.

Son conseil d’administration est composé de membres francophones et anglophones, tous capables de s’exprimer dans les deux langues officielles du Canada. Son titre officiel : Dialogue Canada – Éducation, Communication, Participation.

MISSION : Dialogue Canada a pour mission de procurer aux Canadiennes et aux Canadiens de toutes les régions et de toutes les origines culturelles et linguistiques des occasions de mieux se connaître et d’accepter leurs différences, de partager leurs préoccupations respectives et d’échanger leur vision sur l’avenir du pays pour en assurer l’épanouissement dans la prospérité et la paix, par l’éducation civique et la communication.

HISTORIQUE : Initié à la suite des débats des années 1980 et 1990, alors que l’avenir du pays était menacé par la séparation possible du Québec, Dialogue Canada répondait au désir de ses fondateurs de créer une solidarité pour préserver l’unité du pays. À ses débuts, l’organisme comptait plus de 1 000 membres dans 10 chapitres d’un bout à l’autre du Canada. Ses préoccupations : l’aliénation de l’Ouest, la réconciliation, les relations anglophones-francophnes et le bilinguisme. Dialogue Canada organisait des conférences prisées au Château Laurier sur des sujets divers tous axés sur sa mission.

Services au fil des ans : • Participation aux conférences régionales et nationales organisées dans le cadre du

processus de réforme constitutionnelle des années 90 et publication du document explicatif le plus utilisé sur l’Accord constitutionnel de Charlottetown.

• Un appel à la réconciliation avec les peuples autochtones du Canada.

• Des expressions de solidarité proactives pour les victimes des inondations du Saguenay, pour CBC/Radio-Canada, et pour l’enjeu franco-manitobain de la contravention unilingue anglaise.

• Des travaux avec un groupe de jeunes Canadiens et Canadiennes dans UnityLink/Unilien en vue de promouvoir l’unité canadienne et de construire un site web.

• Plusieurs initiatives visant à promouvoir le bilinguisme officiel dans la capitale canadienne entre 2001 et 2005.

• Le ralliement de la communauté anglophone à la cause de l’Hôpital Montfort.

• La création du « Livre en ligne des citoyens du Canada », un florilège d’articles sur les espoirs et les réalités du Canada.

• Une conférence en 2012 pour promouvoir le bilinguisme des juges de la Cour suprême.

• Une nouvelle initiative en 2014 pour obtenir l’égalité des deux langues officielles dans la capitale du Canada.

• En 2010 et 2011, un effort spécial pour créer une vraie culture de bilinguisme au Marché By, une activité de création de partenariats avec les divers organismes faisant affaire au marché. Le rapport complet bilingue est disponible sur demande.

Site web : www.DialogueCanada.ca – site en reconstruction.

Couriel : dialoguecanada1@gmail.com

29 avril 2021 • Volume 5, Numéro 5 • 9

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Découvrez nos programmes : > Communications sociales > Droit canonique > Éthique, justice sociale et service public > Études de conflits > Innovation sociale > Leadership transformatif > Relations humaines, counselling et psychothérapie > Théologie

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10 • 29 avril 2021 • Volume 5, Numéro 5

L’apprentissage distance::Au Au Conseil Conseildes desécoles écoles publiques l’Est l’Ontario,c’est c’est votre choix!

L’apprentissage àà distance publiques dede l'Est dede l'Ontario, votre choix!

Que ce soit dans un environnement d’apprentissage en personne en salle de classe ou à distance depuis votre maison, le Conseil des écoles publiques de l'Est de l'Ontario (CEPEO) offre des expériences d’apprentissage et des enseignements de haute qualité.

C’est justement parce que nous reconnaissons toute l’importance de ce choix qui incombe aux parents que le CEPEO a investi dans la création de son Programme d’apprentissage virtuel des écoles (P.A.V.É.) afin que votre enfant puisse maintenir sa fréquentation scolaire, les contacts avec ses camarades de classe et des experts en éducation, même à distance.

Votre choix pour l’année scolaire 21-22 Le P.A.V.É. du CEPEO sera de nouveau

offert pour l’année scolaire 2021-2022, et ce, aux élèves de la maternelle à la 12e année. Il est toujours possible d’inscrire votre enfant à ce programme, lui permettant un apprentissage virtuel qui se déroule en temps réel.

L’apprentissage synchrone implique l’utilisation de textes, de vidéos ou de la communication vocale d’une manière qui permet au personnel enseignant et à d’autres membres de l’équipe de l’école ou du conseil scolaire d’enseigner aux élèves et d’établir avec eux un contact en temps réel.

Soirée d’information sur le P.A.V.É.

Les parents et les élèves qui souhaitent en apprendre plus sur le P.A.V.É. sont invités à participer à notre soirée d’information organisée à cet effet et offerte en mode

virtuel le jeudi 29 avril 2021. Les parents d’élèves de l’élémentaire (maternelle à la 8e), pourront participer à la soirée de 18 h 30 à 19 h 30. Les parents d’élèves du secondaire (9e à la 12e année), pourront se joindre à nous de 19 h 30 à 20 h 30. Pour y inscrire, rendez-vous au www.cepeo.on.ca/pave.

Au CEPEO, nous assurons l'accès de tous à une éducation de qualité. Quel que soit le choix du mode de fréquentation choisi, nous continuerons à offrir aux enfants un environnement d’apprentissage bienveillant, propice à l’épanouissement personnel et scolaire.

page Web dédiée à ce programme en vous rendant au www.cepeo.on.ca/pave.

Les inscriptions dans les écoles du CEPEO se poursuivent Il est toujours possible d’inscrire votre enfant pour l’apprentissage en présentiel pour l’année scolaire 2021-2022. Les écoles du CEPEO offrent des environnements sécuritaires et bienveillants à vos enfants, qui favorisent leur bien-être physique et émotif.

Découvrez les écoles du CEPEO et procédez à l’inscription en tout temps au

www.cepeo.on.ca.

Pour plus de détails relatifs aux modalités d’inscription et au fonctionnement du P.A.V.É., nous vous invitons à consulter la

Céline Bissonnette, Bissonnette, gagnante gagnantedu duPrix PrixIDELLO IDELLO2021 2021: : l’art de de transformer transformerl’apprentissage l’apprentissageen enjeu jeupour pourmieux mieuxcapter capterl’attention l’attentiondes destout-petits tout-petits l’art Les éducatrices éducatricesetetles leséducateurs éducateursde delalapetite petite Les enfance occupent une place importante enfance occupent une place importante auprès des des enfants enfants qu’elles qu’elles etet ils ils côtoient côtoient auprès et voient grandir tous les jours.

Véritables et voient grandir tous les jours. Véritables partenaires des des parents, parents,tuteurs tuteursetettutrices, tutrices, partenaires les éducatrices et éducateurs dévoués les éducatrices et éducateurs dévoués contribuent ààcréer créerun unenvironnement environnementbienbiencontribuent veillant, sécuritaire sécuritaire etet rassurant, rassurant,propice propiceàà veillant, l’apprentissage. Une Uneéducatrice éducatricede delalapetite petite l’apprentissage. enfance au au programme programme de de lala maternelle maternelle enfance et du du jardin jardin d’enfants d’enfants àà l’École l’École élémenélémenet taire catholique catholique Reine-des-Bois Reine-des-Bois d’Orléans d’Orléans taire s’est particulièrement particulièrement démarquée démarquéedans dansson son s’est approche approche créative créativeauprès auprèsdes desenfants. enfants.

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2021.Les LesPrix PrixIDELLO IDELLOvisent visent àà récompenser récompenserleletravail travaildes desenseignantes enseignantesetet des des enseignants, enseignants,mais maisaussi aussides deséducatrices éducatrices et et des des éducateurs éducateursde departout partoutau auCanada.

Canada.

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Céline Bissonnette, éducatrice au programme Céline Bissonnette, éducatrice au programme maternelle et jardin d’enfants à l’École élémentaire maternelle et jardin d’enfants à l’École élémentaire catholique Reine-des-Bois d’Orléans catholique Reine-des-Bois d’Orléans

29 avril 2021 • Volume 5, Numéro 5 • 11

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12 • 29 avril 2021 • Volume 5, Numéro 5