Mars, le mois où l’intégralité de nos habitudes furent bouleversées. Bientôt un an maintenant. Un an que tout a changé. Cette époque parait loin désormais. Celle sans masque. Celle où le stress de la journée pouvait s’oublier autour d’un verre en terrasse.
Celle où l’on pouvait s’évader dans les salles obscures. Celle où l’ambiance de la foule nous transportait lors des concerts. Nous étions loin de nous attendre à tout ça et pourtant nous y sommes encore. Où va-t-on désormais ?
Le monde peut-il redevenir comme il l’était ?
Beaucoup de questions sans réponse. La suite est tout aussi imprévisible que les évènements que nous avons vécus. Cette longue parenthèse dans le temps ne s’est toujours pas refermée.
La crise a eu le mérite de nous révéler ce qui devait être « essentiel » pour tous. Une année qui a redéfini ce mot à géométrie variable. Et dans cette période compliquée, où le métroboulot-dodo règne, le besoin d’évasion que l’art et la culture nous apportent n’a jamais été aussi profond.
Le printemps arrive
