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capitaine de route
from MKsport #19
by MK Sport
la Capitaine de Route
RENCONTRE AVEC L’UNE DES LEADERS DU PELOTON, AU DÉPART DU PREMIER TOUR DE FRANCE FÉMININ
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Interview Quentin Guillon

Le Tour de France cycliste masculin est plus que centenaire. Le Tour de France cycliste féminin balbutie. Six éditions, entre 1984 et 1989 et puis des ersatz, ensuite, éditions souvent disputées dans l’anonymat : La Grande Boucle féminine internationale (entre 1992 et 2009) puis la Route de France féminine (entre 2006 et 2016). Le « vrai » Tour de France féminin, c’est pour cette année : départ le jour où les hommes arrivent sur les Champs Elysées, comme un passage de témoin, le 24 juillet ; éclatante arrivée prévue une semaine plus tard, le 31 juillet prochain, au sommet de la Super Planche des Belles Filles. Audrey Cordon-Ragot en sera.

LLa Bretonne de 32 ans, quintuple championne de France du contre-la-montre (et une fois en ligne, en 2020) a traversé les époques du vélo féminin. Elle raconte comment d’une passion, depuis ses débuts à l’aube des années 2000, il est devenu un vrai métier, ces dernières années, à son plus grand bonheur.
UN RÊVE D’ENFANT
Que représente le Tour de France, pour vous ?
Je suis issue d’une famille cycliste. Je baigne dans le vélo depuis que je suis née. Le Tour de France est la plus belle course à étapes du monde. J’accompagnais mes grandsparents sur le bord des routes même si, enfant, vous êtes plus intéressé par la caravane que par la course. Le Tour, c’est un rêve de gamine.
Vous aviez imaginé pouvoir le disputer au cours de votre carrière ?
Pas du tout ! Il y a dix ans, la Route de France faisait office de Tour. Mais ce n’était ni la même médiatisation, ni le même esprit.
Connaissez-vous les pionnières du vélo féminin, telles Alfonsina Strada ou Beryl Burton ?
Non, elles ne me parlent pas tant que cela. J’ai en revanche l’occasion d’échanger presque quotidiennement avec Marion Clignet et Elisabeth Chevanne-Brachet, qui ont vécu la fin de l’âge d’or cyclisme féminin. Depuis leur fin de carrière, le cyclisme féminin est dans l’abysse. Je suis persuadée que nous vivons, aujourd’hui, les prémisses d’un nouvel âge d’or.
Nous vivons les premisses d'un nouvel age d or du cyclisme feminin



© Ross Bell Photo

DE LA PRÉCARITÉ AU PROFESSIONNALISME
Votre carrière se situe au carrefour des époques ?
Tout à fait. J’ai débuté par l’école de vélo, en 2000. Puis j’ai commencé à côtoyer le haut niveau en 2008, au moment de rentrer dans l’équipe Vienne Futuroscope, aujourd’hui FDJ-Nouvelle-Aquitaine-Futuroscope. J’ai connu la précarité totale, voire l’amateurisme, et aujourd’hui le début du professionnalisme. Je pense être une porte-parole légitime du cyclisme féminin. Les stages d’entraînement ont beaucoup évolué, par exemple. Les destinations ont varié. Chez Vienne Futuroscope, c’était plutôt Poitiers (sourire). Puis chez Hitec, ma première équipe étrangère (en 2014), s’entraîner à Benidorm en janvier était plus sympa. Nous n’avons pas de stages d’équipes pré-Giro ou pré-Tour, comme chez les garçons, mais il y a plus de stages personnels sur une saison, par rapport aux années précédentes.
Quelles sont, selon vous, les étapes qui ont jalonné le retour au premier plan du vélo féminin ?
La création de « La Course by le Tour », en 2014, a été le premier pas. Un long processus a suivi : nous avons dû prouver, par A plus B, que l’on était capables de montrer un spectacle international. Puis la création du World Tour féminin, en 2016, a marqué le début de la professionnalisation. Enfin, le premier Paris-Roubaix de l’histoire, en 2021, a permis l’ouverture vers le grand public, qui ne connaissait pas le cyclisme féminin.
Comment votre propre carrière s’est-elle inscrite dans cette évolution ?
Je ne vivais pas de mon sport jusqu’à mon premier contrat pro, signé avec Trek, en 2019. Les années précédentes, j’avais eu la chance de rencontrer les bonnes personnes qui m’avaient aidée à mener ma carrière cycliste en parallèle d’une carrière professionnelle. Mais je restais dans la précarité : j’étais agent sportif dans la communauté de commune de Loudéac (je faisais du vélo avec différents publics). Ma liberté n’était pas totale.
Avez-vous pensé, durant votre carrière, à arrêter le vélo en raison de cette précarité ?
La question s’est posée une fois, en 2010-2011. J’ai eu la possibilité d’être embauchée par l’entreprise dans laquelle j’avais fait mon alternance. J’aurais pu tout de suite très bien gagner ma vie dans cette agence immobilière. J’ai refusé. J’ai choisi le vélo, pour zéro euro, mais avec l’espoir que ça se décante pour en faire mon métier.

Regrettez-vous le fait de ne pas avoir pu être professionnelle plus jeune ?
Si j’avais eu toutes les chances pour performer, que serais-je devenue ? Je me pose évidemment la question, mais je n’ai, honnêtement, aucun regret. Les jeunes ont très vite la pression, aujourd’hui : on leur demande d’être une adulte avant d’être une adulte. J’ai eu la chance de prendre mon temps, et ce temps est très précieux. J’ai aussi eu une vie de jeune fille à peu près normale, ce que les jeunes cyclistes n’auront plus la chance de vivre, ou plus tard. J’essaie de canaliser un peu les jeunes filles de l’équipe (Trek). De leur dire : « tu as le temps, prends-le et n’en fais pas trop ». Je dis la même chose à certains garçons avec qui je roule. Ils passent pro très rapidement, ils ont tendance à se brûler les ailes. J’essaie de leur donner des conseils constructifs à travers mon expérience et de les guider vers les meilleurs choix (en sachant qu’il n’y a pas de choix parfait).
Passer professionnelle vous a-t-il permis de progresser plus vite ?
J’ai toujours « accompagné » la progression du peloton féminin. Mais le niveau est tel aujourd’hui qu’il me serait impossible de m’entraîner et de travailler comme je l’ai fait jusqu’en 2018. Les filles qui gagnaient des courses avaient avant beaucoup d’expérience. Cela change, aujourd’hui : de très jeunes gagnent, un peu comme dans le vélo masculin. Les vitesses moyennes sont faramineuses ; certaines filles grimpent aussi bien voire mieux que certains professionnels masculins, d’autres filles font un kilométrage annuel supérieur à celui de certains pros hommes. Le niveau est hyper élevé. Mais je n’ai pas envie pour autant d’arrêter. Je me « challenge » facilement : cela me donne envie de pousser un peu plus. On ne connaît pas ses propres limites. Il y a cependant encore trop de différences entre certaines filles : on ne donne pas la capacité à toutes de se consacrer au haut niveau. LEADER, DANS LA VIE ET SUR LE VÉLO

Que peut-on vous souhaiter, sur le Tour ?
Prendre le départ à Paris avec le maillot tricolore sur les épaules et gagner une étape, ce serait le rêve, et un aboutissement.
Pensez-vous à votre après-carrière ?
Oui, bien sûr. Rester dans le vélo est une vraie volonté. A quel titre ? Je ne sais pas encore. Je m’éclate au micro sur Eurosport. Je souhaite aussi construire une vie de famille équilibrée.
Qu’avez-vous appris au cours de votre carrière ?
L’humilité, qui est la première qualité qu’un sportif devrait avoir. J’ai appris à souffrir, l’importance du travail, la solidarité, à prendre sur moi et à me remettre en question. J’ai aussi appris à perdre, ce qui n’est pas toujours facile. C’est l’école de la vie, encore plus le vélo qui est un sport difficile.

© Ross Bell Photo



© Ross Bell Photo

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Quels sont les souvenirs marquants qui vous viennent spontanément ?
Le titre de championne du Monde sur route de Pauline Ferrand-Prévot, en 2014. Le cyclisme est un sport individuel et j’avais fait ce jour-là la course parfaite pour l’équipe. C’était une belle preuve de solidarité et d’esprit d’équipe. Le deuxième souvenir date de 2016. Rio. Contre-la-montre des Jeux Olympiques. Il est 8 heures du matin, je suis la deuxième à m’élancer. Il pleut des tonnes d’eau. Je suis pétrifiée. J’ai envie de pleurer, au départ. La suite : une catastrophe. Les Jeux sont un très gros rendez-vous : vous êtes regardée par des millions de gens qui vous voient vous décomposer sur la ligne de départ. Qu’est-ce que je n’ai pas bien fait ? Qu’est-ce que j’ai loupé ? L’après-course fut l’un des moments les plus difficiles de ma carrière.
Comment êtes-vous parvenue à vous relancer ?
Je me suis remise en question, je suis retournée au travail et je me suis vite redonnée un objectif. Fin 2016 (en septembre), je termine 5e du contre-la-montre, puis 10e de la course en ligne des championnats d’Europe, à Plumelec. Même si ce n’était pas la gagne, j’avais réussi à rebondir et à montrer ma force, mon caractère.
Vous parvenez facilement à vous mettre au service d’une « coéquipière leader » ?
Être dans l’ombre de quelqu’un n’est pas toujours facile à gérer. J’ai couru pour des leaders que je n’appréciais pas forcément. Même si parfois tu réalises ce que l’on te demande avec plus ou moins de cœur, j’ai le sens du travail bien fait. Quand je suis leader, j’attends énormément de mes coéquipières. J’ai beaucoup de mal à comprendre que quelqu’un ne joue pas ce rôle. Peut-être parce que je fais trop bien mon travail quand je suis coéquipière et que j’attends beaucoup, en retour. J’ai 32 ans et encore des points à travailler. C’est un sport où il ne faut pas être rancunière car cela peut gâcher une saison. Leader, c’est un état d’esprit. Soit tu l’es, soit tu ne l’es pas, même si tu peux t’améliorer. Il y a des très grands leaders sur le vélo (en termes de niveau) qui ne savent pas être leaders dans la vie. Le leader dans la vie se transforme en capitaine de course, sur le vélo : il doit prendre les décisions pour le leader de l’équipe. Etre leader de l’équipe, sur le vélo, c’est facile, quelque part. Tu as juste à attendre que la course se décante puis à porter le dernier coup de grâce. Tu as la responsabilité du résultat mais tu te laisses guider par le capitaine de course, qui doit prendre les bonnes décisions au moment « T », même avec les oreillettes car le directeur sportif ne voit pas tout. Je pense être une leader dans la vie. C’est ce qui me définit et j’en suis fière.
Vous parlez de travail. Avez-vous l’impression de travailler quand vous allez à l’entraînement ?
Tout n’est pas rose : il y a des jours où partir pour 150 bornes à l’entraînement ne me donne pas le sourire. Mais nous faisons du vélo pour gagner notre vie depuis très peu de temps, à l’inverse des hommes. Je ressens le vélo, encore aujourd’hui, plus comme une passion que comme un travail. Je suis toujours contente de me rendre sur une course et je suis toujours impatiente de l’objectif suivant.

AUDREY CORDON-RAGOT
instagram.com/cordonragot

PLUS INVULNÉRABLE QUE L’OISEAU QUI RENAÎT DE SES CENDRES
Elle porte le nom d’un célèbre oiseau qui a pour habitude de renaître de ses cendres. Et l’on ne peut croire qu’il s’agisse d’une coïncidence tant la fenix 7 est fiable, audacieuse et invulnérable.
UNE TRIPLE FIABILITÉ : DANS LA PRÉCISION, LA DURABILITÉ ET L’AUTONOMIE !

LA RÉFÉRENCE DES MONTRES MULTISPORTS EST DE RETOUR
Le 7ème opus de cette série qui s’est imposée, en 10 ans, comme la référence des montres GPS multisports et connectées, se révèle fidèle aux ingrédients qui ont fondé le succès de la saga : sa fiabilité incomparable, son design audacieux et son niveau de performance en font le must have des passionnés avertis et des athlètes de haut-niveau. La flamme de la passion danse dans cette montre et le feu du savoir-faire y est transmis comme un flambeau. Sauf que la Fenix 7 a ce petit quelque chose en plus qui fait les grandes différences : elle est encore plus simple et plus autonome.

© Benjamin Becker

© Ugo Richard

ULTRA-PERFORMANTE MAIS ULTRA-SIMPLE D’UTILISATION : VOICI NOTRE PRINCIPAL DÉFI.
LA SIMPLICITÉ AU SERVICE DE LA PERFORMANCE

En préambule, Frédéric Saint-Etienne, Communication Manager de la marque Garmin, évoque le postulat de départ ou plutôt le dilemme que la Fenix 7 a vocation à solutionner : « Faire simple, c’est compliqué ! La simplicité est notre principal défi. Si une montre n’est pas simple d’utilisation, elle ne marche pas ! À cet endroit précis réside tout l’équilibre nécessaire à l’exercice : proposer un produit enrichi de nombreuses fonctionnalités mais qui demeure intuitif, sans prise de tête. À quoi bon proposer des montres qui regorgent d’un catalogue d’options long comme le bras, si le sportif ne sait pas s’en servir ? ». C’est là la prouesse majeure de la Fenix 7, concilier la largeur du champ des possibles avec un chemin extrêmement bien tracé et balisé pour l’exploiter. « Les boutons demeurent, pour ceux qui les préfèrent, mais l’écran tactile est la grande innovation qui va dans le sens de la facilité. » Pour que l’usage soit simple, épuré et intuitif. Et ce, dès la prise en main.
LA FIABILITÉ COMME CŒUR DE MÉTIER
La série Fenix a acquis ses lettres de noblesse à travers l’ultra-trail et certaines légendes qui ont écrit quelquesunes des plus belles pages de cette discipline en pleine expansion, dont Xavier Thévenard, triple vainqueur de l’UTMB. « Ce qui a séduit les ultra-traileurs, c’est la fiabilité indéniable de nos montres. C’est d’ailleurs la qualité première qui ressort lorsqu’on les interroge sur le ‘pourquoi’ ils se montrent aussi fidèles à Garmin ! » Cette fiabilité a vocation à s’adresser à un univers encore plus large : tous ceux que l’aventure appelle. Une fiabilité à deux égards : • Dans la durabilité du produit, à travers les saisons, au travers des années, au gré des kilomètres, peu importe les conditions. • Dans la précision des données que la montre enregistre, raison pour laquelle nombre d’athlètes de haut-niveau nous ont accordé leur confiance. Une fiabilité qui prend encore plus d’ampleur avec la Fenix 7, via l’intégration de la technologie Solar, qui permet de charger sa montre grâce aux rayons du soleil. Pour encore plus d’autonomie : jusqu’à 5 semaines en mode ‘montre connectée’ (oui, vous avez bien lu semaines et non pas jours) et 135h en mode GPS. Et plus de responsabilité, dans la mesure où elle utilise les ressources naturelles à notre disposition pour fonctionner. UNE MONTRE QUI SE PERSONNALISE À L’USAGE
Enfin, le troisième élément du trio, qui vient compléter la simplicité et la fiabilité, c’est la personnalisation. « Nos Fenix 7 sont de véritables petits ordinateurs qui vont mesurer et monitorer, si le sportif le souhaite, des indicateurs de santé invisibles comme le niveau de stress, le nombre de pas ou la qualité du sommeil… Ceci dans le but, de connaître encore mieux la personne qui la porte. Et lui apporter les meilleurs conseils, les plus personnalisés possible. » En découle la fonction ‘Stamina’ qui permet aux athlètes de suivre leur niveau d’endurance pendant une activité de course ou de vélo afin de mieux gérer leur effort sur la durée ; ainsi que la fonction ‘Visual Race Predictor’, qui prend en compte l'historique des entrainements et la condition physique générale du passionné pour fournir des estimations de temps de course et des informations sur sa progression globale. Pour conclure, la Fenix 7 est la montre qu’il faut aux sportifs qui veulent dépasser leurs limites, puisqu’elle-même dépasse les siennes ! (Ultime petit détail que l’on s’était promis de mentionner : la Fenix 7X intègre même une petite lampe de poche pour vos aventures de nuit ! On s’arrêtera là !)
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TRACER SA ROUTE, CRÉER SON AVENTURE, VIVRE POUR L’INSTANT

Les cartes. Elles ont toujours conseillé, orienté et aidé les voyageurs à aller de l’avant, à s’émerveiller avant l’heure et à donner ce petit goût d’aventure qui met en éveil les sens pour le grand départ. Komoot, une application qui vous amène au-delà de l’expérience papier grâce à son interface technologique dédiée au traçage d’itinéraires, a su condenser cet effet de mise en bouche avec des outils modernes et puissants. L’idée est alors d’apporter une solution à ceux souhaitant un « clé en main » selon leur sport.

QUE CE SOIT À PIED, SUR 2 ROUES, AVEC DE L’ENVIE OU SANS INSPIRATION, LÀ OÙ UN CHEMIN EXISTE, KOMOOT PEUT VOUS Y AMENER
VOICI 5 DÉTAILS QUI FONT DE L’APPLICATION VOTRE ALLIÉE DE L’AVENTURE :
• Le sur-mesure, peu importe le sport
Les options ne manquent pas lorsqu’il s’agit de planifier votre trajet, et tout peut être imaginé ! De la randonnée au trail, du gravel au vélo de route, du VTT au vélo « cyclotourisme », Komoot offre la solution adaptée selon l’aventure qui se profile devant vous. Du sur-mesure, sans mesure.
• La communauté à votre service
La pertinence du groupe au service de l’individu. Fonctionnant comme un réseau social, vous aurez un œil sur les « incontournables », ces points d’intérêts placés sur l’application en rouge et qui détaillent des lieux, routes et points de vue à ne pas manquer. Les photos d’utilisateurs viendront par ailleurs aider à votre visualisation, pour vous décider d’y amener ses roues ou ses semelles.
• Pas d’imprévu dans un monde incertain
Komoot vous permet une anticipation totale du tracé. Du profil au dénivelé, du type de route (nationale départementale etc.) à son revêtement, tout y passe. 21% de sentier, 31% de gravier, 16% de piste cyclable et le reste sur de la route secondaire. Alors, on y va ?
• Garder le cap dans l’inconnu
Au travers du mode hors ligne et de la navigation, l’application offre un service complet, même là où les arbres dépassent les montagnes, là où les cimes atteignent les nuages et que votre réseau ne trouve pas son antenne. Vous êtes en sécurité, guidé et amené à bon port, ou à bon refuge.
• Et si l’inspiration venait à manquer ?
Le souffle court, l’envie qui décline, vous êtes fatigués et ne savez plus où aller ? Parmi les millions d’utilisateurs, beaucoup partagent des idées, des tips et des parcours sur l’app. Ils offrent alors une source intarissable d’inspiration et d’expériences à découvrir. L’aventure à portée de pouce, derrière l’écran, mais surtout celle qui attend devant, au prochain col, au détour du sommet, au virage suivant…
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