Signal Faible | Nom de domaine

REVUE DE PRESSE 22/12/2023

- Nom de domaine Sortie le 3 novembre 2023 | (Microcultures Records)

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Je ne voulais pas d’un album solo, je ne voulais pas d’un autre groupe. J’avais des chansons. Alors voici Signal Faible.

Artisan discret de l’underground francophone depuis la fin du XXème siècle, Nicolas Falez a parsemé son sillon de cinq albums tous salués pour la qualité de leurs textes et l’élégance de leurs arrangements, nourris aux sources du folk et de la pop indé. Ses deux premiers groupes, Super u et Fontaine Wallace, lui ont donné l’occasion de façonner un charme et un style que sa nouvelle aventure collaborative, Signal Faible, déploie avec la même authenticité.

Avec ce nouvel album enregistré dans le bocage mayennais et à Paris, Signal Faible tourne le dos aux processus de studio pour se saisir de la fragilité et des accidents : un parquet qui grince, ou un oiseau qui chante se glissent dans ces chansons ornées du bois des guitares, du cuivre des trombones et de la chaleur des voix. « Des voix », car cette aventure-folk s'écrit au pluriel grâce à une pléiade insoupçonnée : Thomas Van Cottom (Cabane), Adam Snyder (Ex Mercury Rev - piano), Christian Quermalet (The Married Monk), Arlt, Thomas Rocton (The Married Monk - trombone, guitare électrique, clavier) et Jérôme Castel (basse, guitare) se font les menuisiers d’une folk lancinante, parfois traînante, sur laquelle tanguent ce qu’on imagine être les récits, souvenirs, et odes d’un antihéros des temps modernes. L’Antijumeau énumère des fratries emblématiques (« Les frères Coen, les frères Dardenne, les frères Dessner, les frères Butler, les frères Larrieu, les frères Poncet, les frères Podalydès ») sur fond de fracture sociale. Bocage cherche le salut amoureux loin de la ville (« À Saint-Machin près du lac, du seum elle fait des étoiles »). Alien traque la bestiole qui ronge l’estomac (« Je lui fais la peau un jour sur deux »). Brome et Super u s’invitent par ailleurs sur les ondes de Signal Faible avec les reprises de Ce soir particulier et Une lumière neuve (pour cette vieille nuit), deux morceaux qui signent un patrimoine musical chéri par Nicolas Falez.

Point d’orgue de cette sensible orchestration : Bertrand Betsch, Julie Bonnie, Alexandre Delano, Julie Gasnier, Gontard, Lonny, Nesles, Julien OrsoJesenska et Silvain Vanot posent successivement leurs voix sur Soustraction, une tendre procession d’adieu dans laquelle notre agrégateur se plaît à rester muet.

SORTIE LE 03/11/2023 (numérique, CD)

TRACKLIST 1. L’antijumeau (3:38) 2. Soustraction (3:38) 3. Bocage (3:45) 4. Par ta petite tête (4:58) 5. Pizza (4:23 6. Alien (3:15) 7. Ce soir particulier (4:04) 8. Billy Cheval (4:00) 9. Une lumière neuve (pour cette vieille nuit) (3:40)

Depuis le printemps dernier, Signal Faible dévoile chaque mois un single assorti d'un clip fait-maison. Aujourd'hui cette odyssée lo-fi devient un album : Nom de domaine. Un terme qui évoque généralement l'abstraction numérique mais qui ici semble soudain ramené à son origine terrienne. Un domaine ou une maison de famille où chacun.e se retrouve. La pochette de l'album évoque les murs de ce lieu imaginaire, ornés des portraits de précieuses connaissances. Un domaine secret, un espace intime.

Vous êtes invité.e.s.

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Promotion : Nicolas Favier - communication@la-centrifugeuse.fr - 06.34.06.21.09

RÉSUMÉ « On y entend une forme de bucolisme, de retour à la terre, vers un ralentissement du rythme, une marche arrière vers un monde sans réseau et un pays sauvage que l’on avait délaissé ; vers une poésie revenue. » « Un folk chaleureux et attachant » « Signal Faible convie des artistes discrets et talentueux. Une aventure au pluriel et surprenante. » « Le chanteur-guitariste reste constamment au centre avec sa folk lo-fi délicate portée par ses mélodies et sa voix au service de textes troublants. » « Addictif voyage intime et touchant » « L’album reprend tout ce que l’on aime chez Nicolas Falez : une observation toujours aussi précise de nos petits tourments intérieurs sur des balades d’inspiration américaine. » « Disque vibrant et ultra-sensible, « Nom de Domaine » est en quelque sorte le parfait contraire d’un monde virtuel aseptisé mais de plus en plus inhumain.

L’humanité qui traverse l’album est, elle, fulgurante, palpable, bouleversante. » « (…) une musique intime par son écriture raffinée, juste et imagée mais également universelle par son ambiance chaleureuse et dépouillée.» « Tout ceci est d’une grande sensibilité, d’une délicatesse sans jamais faire de manière, mais non dénuée d’une véritable force, celle d’écrire des musiques, des textes qui se révèlent touchants de bout en bout.» « Ce qui fait la force de Signal Faible, c’est cette introspection vibrante tout en explorant toute l’ambivalence de la vie à bon escient. » « (...) un petit miracle auditif. Tout parait ici simple et sensible. On est immédiatement happé par les textes et cette voix reconnaissable entre mille.

C’est unique et universel. » « Le contenu est aussi raffiné que la présentation. Les textes sont sensibles, images, ils parlent a nos sens autant qu’a notre coeur. » « Album inattendu. Très réussi qui plus est. » « Magnifique. »

Invitation dans la Côté Club de Radio France le 29/11/2023.

Passages radio sur : France Inter, Radio Campus Paris et Montpellier, Le Chantier Radio, Studio Zef, ChoqFM, JetFM, Radio B, Last FM, Canal B, Ouest Track Radio, Panik Radio, Beaub FM, Radio Club, Radio Activ’, Radio Transparence, Fréquence Mutine…

CHRONIQUES / NEWS

Persona n°24 - octobre 2023

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SIGNAL FAIBLE

PUISSANCE

COLLECTIVE

ENTRETIEN CAROLINE FILLIET TE // PHOTO XXXXXXXXXXXX

PROJET FOLK COLLABORATIF ORCHESTRÉ PAR NICOLAS FALEZ, SIGNAL FAIBLE CONVIE DES ARTISTES DISCRETS ET TALENTUEUX TELS QUE CABANE, ARLT OU ENCORE JÉRÔME CASTEL ET JULIE GASNIER. UNE AVENTURE AU PLURIEL ET SURPRENANTE QUI SE DÉVOILE DOUCEMENT DEPUIS MARS 2023 AVEC LA SORTIE MENSUELLE D’UN SINGLE, À CHAQUE FOIS ACCOMPAGNÉ D’UN CLIP. L’ALBUM NOM DE DOMAINE SORTIRA EN NOVEMBRE. RENCONTRE AVEC NICOLAS FALEZ, CHANTEUR (À LA VOIX SI RECONNAISSABLE) AUTEUR, COMPOSITEUR DE SIGNAL FAIBLE.

2 // Persona n°24

On te connaissait dans le groupe Superflu (signé sur le mythique label des années 90 le Village Vert) puis dans Fontaine Wallace. Voici Signal Faible. Ni groupe, ni projet solo, comment définis-tu Signal Faible ?

J’ai toujours joué dans des groupes depuis l’âge de 14 ans. Mais j’ai ressenti le besoin d’interroger cette pratique sans pour autant renoncer au collectif. Il n’y a rien de plus intéressant, excitant et beau que de brancher plusieurs cerveaux sur le même morceau, pour le jouer ou l’enregistrer ensemble. L’idée était donc de maintenir le collectif tout en essayant de casser le format groupe. Dans

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cette réflexion je me suis aperçu qu’autour de moi, beaucoup d’artistes avaient sorti des albums qui m’étaient devenus très chers ces dernières années. J’avais le sentiment qu’il y avait à portée de main quelque chose de très vivant et fertile en musique, ce qui contredit le marasme décrit généralement quand on parle de la musique indé aujourd’hui. J’ai commencé à réfléchir à tout cela au moment de la sortie du deuxième album de Fontaine Wallace en 2021 Dès lors, j’ai senti qu’il fallait que je fasse un pas de côté et enchaîner rapidement avec Signal Faible.

Les artistes présents sur ces neuf morceaux sont nombreux avec entre autres, Julie Gasnier, Cabane, Arlt, Adam Snyder (ancien clavier de Mercury Rev), Christian Quermalet et Thomas Rocton (Married Monk).

Comment s’est fait ce casting?

L’admiration que je leur porte a déclenché l’envie de les contacter ! Y compris ceux qui - au final - n’ont pas eu le temps de participer à l’album comme Superbravo, les premiers à qui j’ai lancé une invitation. Parmi les seize musicien.ne.s que l’on entend, certains font vraiment le lien entre mon passé et mon présent, comme Christian Quermalet de Married Monk qui avait réalisé les trois albums de Superflu. Idem pour Adam Snyder, clavier de Mercury Rev : avec Superflu nous avions fait leur première partie lors du festival des Inrocks en 1998 puis ils nous avaient proposé de les accompagner sur leur tournée française. J’avais alors sympathisé avec Adam qui a ensuite joué sur deux titres du troisième album de Superflu. Et des années plus tard, pour Signal Faible, il joue du piano sur Soustraction. On retrouve donc de vieux amis, non pas par nostalgie mais plutôt pour l’envie de continuer à avancer. Mais il y a également des artistes qui m’ont bouleversé récemment comme Julie Gasnier, Thomas Van Cottom de Cabane, Lonny, Jérôme Castel, Alexandre Delano, Nesles... Et puis des gens dont je suis fan depuis longtemps : Silvain Vanot, Arlt, Gontard, Julie Bonnie, Orso-Jesenska, Bertrand Betsch. Pour moi tout cela forme une scène indé qui existe et résiste malgré un contexte économique pas toujours simple.

Comment se sont déroulés les enregistrements de ces morceaux ? Avais-tu une idée précise de ce que tu voulais ou as-tu laissé une part d’improvisation ?

Pour la première fois j’ai voulu m’enregistrer moi-même, plutôt que d’aller en studio (même si j’ai adoré enregistrer en studio les albums de Superflu et Fontaine Wallace).

Pour le home-recording de Signal Faible, il m’a fallu assumer mes limites, les imperfections. Le but était d’aimer et de revendiquer

ces limites plutôt que de les polir et tenter de les éliminer. Une autre caractéristique du projet c’est que beaucoup de choses se sont faites à distance, via des échanges de pistes enregistrées comme sur Soustraction qui réunit une dizaine de chanteuses et chanteurs. À chaque fois que je recevais leurs fichiers, c’était comme autant de cadeaux. J’ai composé ensuite une mosaïque, un puzzle et des arrangements pour faire vivre ensemble des choses qui avaient été pensées isolément. Quand je me suis lancé dans cette chanson à dix voix, je ne savais pas trop à quoi m’attendre, mais c’était une vraie jubilation. L’idée de Signal Faible était de proposer les morceaux aux artistes en leur disant : « N’hésite pas à t’en emparer, et l’emmener ailleurs », pour que chaque contribution questionne le morceau et me questionne moi. C’est par exemple ce qu’a accompli Thomas Van Cottom de Cabane en déstructurant, en désossant complètement un des titres. Ils ont tous été généreux et personne ne s’est trompé sur les contours artistiques et l’identité indé que je souhaitais conserver.

Tes textes sont très sensibles sans se dévoiler complètement pour autant. Les titres sont teintés d’une certaine mélancolie. Alien notamment qui parle de dépression. L’enfance et une époque qui n’existe plus avec Billy Cheval. On retrouve aussi des sentiments liés au désir amoureux dans Bocage. La tristesse ne semble pas forcément grave et la lumière finit souvent par revenir. Justement, peux-tu nous parler du titre Une lumière neuve (pour cette vieille nuit) ?

Je revendique tout ce que tu dis. Une Lumière neuve (pour cette vieille nuit) est une reprise de Superflu : elle figurait sur notre troisième album, je me suis donc repris moi-même (rires).

J’aime explorer des recoins sombres mais j’aime aussi chercher la lumière au bout du tunnel. C’est ce que raconte cette chanson : un moment de consolation, de réconciliation. Dans la musique comme dans la vie, je ne veux pas tourner de pages ou clore de chapitres, c’est pour cela que j’ai choisi cette chanson que j’ai encore du plaisir à chanter 15 ans après l’avoir écrite. J’ai voulu Signal Faible dans une liberté totale et dans cette liberté j’ai inclus la possibilité de chanter d’anciens titres de Superflu et Fontaine Wallace, sur l’album et sur scène.

“ Dans la musique comme dans la vie, je ne veux pas tourner de pages ou clore de chapitres. ”

« Rien ne guérit comme les chansons tristes » chantes-tu sur le titre Par ta petite tête. A qui s’adresse cette chanson, dont le final entonné par Arlt et soutenu par le son d’un trombone est de toute beauté?

Une bonne partie de ma vie s’est fondée sur cette phrase-là mais je ne l’avais jamais formulée jusqu’à présent. Même s’il y a beaucoup d’intime dans le texte, j’espère que la chanson peut s’adresser à tout le monde quand elle conclut en boucle « Sois libre comme les lèvres / Célèbre les vivants / Souviens-toi des morts / Pardonne aux absents ». Et je suis très fan des trombones que Tom Rocton a joué sur plusieurs titres dont celui-là.

L’Antijumeau parle de deux frères que tout oppose. Tu y convies des frères cinéastes que tu admires (Dardenne, Coen, Larrieu, Podalydes) et écris : « je les envie ceux qui vont par paires ».

C’est le premier titre de l’album et tout comme dans Par ta petite tête, je revendique les différents niveaux de lecture.

L’Antijumeau interroge l’enfance, la fratrie mais c’est aussi une

Persona n°24 // 3

chanson sur la France, même si cela peut paraître pompeux de le dire comme cela. Je voulais raconter que dans la société, des gens venant d’une même famille peuvent avoir des trajectoires complètement différentes. Par ailleurs, je souhaitais aussi dire mon admiration pour ces duos de frères cinéastes et musiciens.

Tout est rentré dans la même chanson et cela faisait sens : parler des autres pour parler de soi, parler de soi pour parler d’un paysage social et politique.

Depuis le mois de mars, tu sors un titre par mois. Avais-tu l’envie d’inscrire cet album dans une temporalité différente à une époque où tout va très vite et où tout s’oublie très vite aussi ?

C’est Jean-Charles Dufeu (fondateur et gérant du label Microcultures) qui m’a proposé de diffuser les titres avec cette temporalité « feuilletonesque ». Cela faisait totalement écho avec mon souhait de départ et ça s’est ensuite transformé en défi avec l’idée d’accompagner chaque titre d’un clip.

Les clips qui accompagnent chaque titre ont pour la plupart été tournés en VHS et Super 8. Pourquoi ce choix à une époque où le numérique est roi ?

Par souci économique, par manque de moyens mais aussi par envie de proposer quelque chose de décalé car aujourd’hui on a tous la possibilité de tourner des clips avec nos téléphones. Je me suis imposé un petit défi : trouver une caméra VHS qui fonctionne et des k7 sur le Bon Coin, en termes d’images, on est tout de suite ailleurs, cela a un véritable intérêt esthétique. J’ai fait de longs plans séquence donc ce n’était pas trop laborieux au montage.

4 // Persona n°24

Revendiques-tu d’ailleurs le côté artisanal et DIY de ce projet en accueillant ces heureux « accidents » au cours de l’enregistrement à la campagne (parquet qui grince, chant d’oiseaux ou le bruit de ta barque dans le clip de Billy Cheval) ?

Du punk comme de la scène anti-folk des années 90, je garde l’idée de toujours privilégier l’émotion et l’instantané.

Les moyens sont secondaires et ne doivent jamais devenir un obstacle. Bien entendu, je n’ai jamais refusé les moyens qu’on m’a parfois accordés mais l’important c’est de garder l’impulsion artistique, de se rendre compte que les contraintes peuvent aussi apporter de belles surprises.

C’est ce qui s’est passé pour le clip de Billy Cheval : j’ai une caméra VHS et zéro euro, je choisis de capturer une version semi-live dans laquelle je chante tout en ramant sur une barque, en réécoutant la bande je me rends compte qu’on entend des canards et le bruit des rames... il se passe quelque chose. C’était super de rester connecté à l’environnement sonore immédiat qui m’entourait au moment de l’enregistrement même si le son est peut-être moins précis et pro qu’un son studio.

“ C’était super de rester connecté à l’environnement sonore immédiat qui m’entourait au moment de l’enregistrement. ”

Aura-t-on la chance d’assister à un concert qui réunira tous les artistes conviés dans Signal Faible ?

Je rêve de réunir les seize personnes qui ont participé au projet et je commence à le proposer à différents lieux. Mais en attendant je joue en formule duo guitare-violoncelle. Des dates sont calées en octobre-novembre.

Nom de Domaine (Microcultures) // 2023.

On a l’impression en écoutant Signal Faible de rentrer dans une maison chaleureuse. Est-ce que cela correspond à l’idée que tu te fais de la musique : une maison ouverte et bienveillante où l’on prendrait le temps de se reconnecter à l’essentiel ?

Je me suis en effet senti hyper connecté aux artistes qui ont eu la générosité de répondre présents. J’ajoute que ma fille a dessiné la pochette, mon fils a tenu la caméra plusieurs fois, ma compagne a conduit la voiture pendant que mon fils me filmait sur mon trajet en vélo dans le clip Bocage : je revendique complètement la dimension familiale du projet, ça aussi c’est une belle connexion. Et enfin, je me sens hyper privilégié d’être aussi bien accompagné par mon label, en 2023, sur un tel projet. Quand je parle du « pays sans réseau » dans Bocage, c’est vrai : quand j’enregistrais à la campagne mon téléphone ne captait pas. Signal Faible c’est à la fois cette déconnexion-reconnexion, c’est aussi un jeu de mots avec l’expression « signaux faibles » (petits indices qui permettent de remarquer une radicalisation). En mettant ce terme au singulier, soudain cela voulait dire d’autres choses.

Je suis peut-être le signal faible de ma propre radicalisation artistique? Je suis peut-être en recherche de zones où je capte un peu moins bien qu’à Paris ? Mais surtout, je fais partie d’une scène musicale marginale, underground et je ne le vis pas dans la nostalgie de ce que ça a pu être avant. Je suis dans la marge et j’aime être dans la marge, j’émets avec un signal assez faible, oui. �

16/11/2023

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06/11/2023

15/11/2023

10/11/2023

MISES EN AVANT

03/10/2023

Soustraction dans La sélection Indé de la Rédaction - IndieMusic

Alien dans La quinzaine d’avril 2/2 - Break Musical

Par ta petite tête dans la Tuesday Mixtape - Tinnitist

Billy Cheval dans la Tuesday Mixtape - Tinnitist

Novembre 2023

Novembre 2023

PLAYLISTS

‣ Bocage dans la playlist « Nouveautés Chanson Française » de Qobuz (avril 2023) ‣ Billy Cheval dans la playlist « Nouveautés Chanson Française » de Qobuz (juillet 2023) ‣ Une lumière neuve (pour cette vieille nuit) dans la playlist « Nouveautés Chanson Française » de Qobuz (novembre 2023)

‣ Billy Cheval dans la playlist « Sorties : pop francophone » de Apple Music (juillet 2023)

‣ Bocage dans la playlist #46 de Muzzart (mars 2023)

‣ Alien dans la playlist du lundi #121 de Benzine (29/05/23) ‣ Pizza dans la playlist du lundi #124 de Benzine (19/06/23) ‣ L’Antijumeau dans la playlist du lundi #136 de Benzine (25/09/23)

‣ L’album Nom de Domaine dans la playlist des sorties de Benzine (03/11/2023)

‣ Soustraction dans la playlist À Découvrir Absolument volume 61 (13/10)

‣ Soustraction dans la playlist « Songs of the Week 2023 » (20/10) du Village Pop

‣ L’anijumeau dans la playlist de l’automne 2023 #01 d’Addict Culture (06/10/2023)

‣ Soustraction dans la playlist Eclectique de Hervé Bommel (12/11/2023)

RADIOS

‣ Bocage diffusés sur Ouest Track Radio, Choq FM, Radio Panik, Radio Campus Paris, Canal B, Jet FM (depuis le 30/03/23) ;

‣ Bocage, Alien, Par ta petite tête et Billy Cheval diffusés sur RIG fm, Last fm (depuis le 30/03/23) ;

‣ Bocage dans le podcast de La Souterraine #8730 (15/04/23) ; ‣ Alien et Pizza sur L’Indepen-Dance radio (depuis mai 2023) ; ‣ Bocage et Pizza en diffusion régulière sur Fréquence Mutine (depuis mai 2023) ; ‣ L’Antijumeau, Alien, Ce Soir particulier et Une Lumière neuve (pour cette vieille Nuit) diffusés sur Radio Caraïb Nancy (depuis septembre 2023) ;

‣ Entrée de Signal Faible sur Radio transparence (depuis octobre 2023) ; ‣ Entrée de Signal Faible sur Radio Club (depuis octobre 2023) ; ‣ Soustraction diffusé dans le Côté Club de France Inter (01/11/23) ; ‣ Album Nom de Domaine dans la playlist d’octobre 2023 de Radio B (05/11/23) ; ‣ Album Nom de Domaine dans la playlist 666 du 16/11 au 30/11 de Radio 666

PODCASTS

‣ Bocage dans l’émission 378 du podcast de La Centrifugeuse (11/04/2023) ;

‣ Pizza dans l’émission 389 du podcast de La Centrifugeuse (12/09/2023) ;

‣ Pizza dans le podcast « (Encore) Autre Chose » #119 du Studio ZEF (07/06/2023) ;

‣ L’antijumeau dans le podcast « (Encore) Autre Chose » #122 du Studio ZEF (20/09/2023) ;

‣ Soustraction dans le podcast « (Encore) Autre Chose » #125 du Studio ZEF (08/11/2023) ;

‣ Soustraction dans le podcast « (Encore) Autre Chose » #128 du Studio ZEF (08/11/2023)

‣ Soustraction dans le Podcast de La Souterraine Radio (20/10/2023)

‣ Soustraction dans le podcast du Laboratoire (24/10/2023)

‣ L’antijumeau dans le podcast de We Want 2 Wadio (15/10/2023)

‣ Soustraction dans le podcast Lollypop de Canal b (09/11/2023

AUTRES