Livret prospectives 2 esp publics paysage mobilité (compressé)

Projet de Renouvellement Social & Urbain

« Maille 1 Mercure » La Rousse, Le Trident, Le Levant, La Caravelle / Les Cigales Bleues, Le Mercure

Livret Prospective #2

Espaces publics, paysages, mobilités Atelier du 28 novembre 2016

Atelier Mixte du 28 novembre 2016

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La Métropole Aix Marseille Provence, la Ville de Miramas et leurs partenaires ont engagé une démarche pour améliorer la qualité du cadre de vie à travers la mise en œuvre d'un projet de renouvellement social et urbain (dit « projet ANRU »). Pour ne pas rester dans une approche « de techniciens », les habitants du quartier, les acteurs et les élus ont été invités à participer à une série d'ateliers en amont du projet.

Une première phase de diagnostic a été achevée en novembre 2016 avec pour objectif de définir l'état initial, d'identifier les atouts, les dysfonctionnements et les besoins.

Une seconde phase a consisté en la définition des enjeux et la construction collective d’une vision prospective pour la rénovation du quartier. En un mot, si nous pouvions utiliser une baguette magique, que ferions-nous pour le quartier ?

Une série d'ateliers associant habitants, élus et techniciens a été effectuée à partir des questions suivantes : - Quels logements pour demain ?

- Vivre et se déplacer demain : espaces publics, paysages, mobilités - Quels équipements, services et commerces dans le quartier ?

Des thématiques transversales ont par ailleurs été abordées dans chacun de ces ateliers : vivre ensemble, environnement, santé.

Le présent livret présente une synthèse du deuxième atelier. Tous ces éléments sont pris en compte dans l'analyse globale portée par les différents experts qui travaillent sur le projet. À l'issue de la phase prospective, d'autres ateliers se tiendront à partir de ces constats, pour avancer vers l'élaboration du projet : • Des ateliers de programmation, afin de définir ensemble quelles actions sont à mettre en place.

• Des ateliers de projet, pour finaliser le projet.

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Le second atelier prospective du quartier a mobilisé une trentaine de participants, dont une vingtaine d’habitants du quartier, ainsi que des élus, des membres des services des collectivités, des représentants du bailleur Logirem et des acteurs associatifs de l’animation et de la médiation (centre socioculturel Jean Giono, ADDAP) et de l’insertion (association Gdid).

Répartis en sous-groupes , ils ont tout d’abord été amenés à s’exprimer individuellement au travers d’un « photo-language » sur ce qu’il est important d’avoir dans un quartier idéal en terme d’espaces publics, de paysage et de mobilité : à partir de photos « inspirantes », supports d'expression, chacun s'est exprimé sur le « pourquoi » il avait choisi cette photo. L'objectif était d'identifier ce qui, pour les habitants, constitue la qualité des espaces publics, ce qui facilite les déplacements, afin à terme d'orienter la programmation, les travaux d'aménagements, les dispositifs à mettre en place, etc.

Par la suite, ils ont choisi par groupe deux ou trois grands thèmes, correspondant à des orientations du quartier idéal, proposées à partir des éléments remontés en phase diagnostic, parmi les suivants :

« Le quartier sportif, le quartier actif » « Le quartier créatif, artistique, culturel » « Le quartier vert, le quartier jardin, le quartier comestible » « Le quartier ludique, pédagogique, intergénérationnel » « Le quartier partagé, le quartier solidaire, le quartier collaboratif » « Le quartier durable, le quartier économe, le quartier autosuffisant » Ils ont finalement produit une fiche par groupe, en associant, à ces thèmes choisis, des photos inspirantes et des idées sur des post-its afin de définir collectivement un « idéal » en termes d’espaces publics, de paysage et de mobilité.

Le présent livret fait la synthèse de ce qui a été exprimé lors de l’atelier en expression individuelle, en sous-groupes ainsi que lors de la restitution collective.

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L’espace public idéal est ... … agréable, vert, frais et ombragé La présence de la végétation, de la « nature », de la « verdure » dans le quartier est ressortie comme un élément très important. Selon les participants, le quartier idéal est un quartier « aéré, où l’on respire, avec une forte place pour la végétation ».

Certains imaginent non pas un espace vert classique, mais plutôt « une prairie : un lieu à parcourir sans contraintes » tandis que d’autres rêvent d’une « pelouse verdoyante » (non sans une pointe d’humour pour les conditions climatiques de la région!). La qualité paysagère est ainsi très importante pour les participants et devrait aussi mettre en valeur la végétation méditerranéenne.

Le caractère végétal fait ainsi l’unanimité parmi les participants. Il leur semble important de renforcer les espaces végétalisés, aussi bien privés (jardins, façades d’immeubles) que publics (jardinières en pied d’immeubles, cheminements végétalisés, tonnelles...). Ceci permettrait d’embellir significativement le quartier, de redécouvrir quotidiennement les saisons, mais aussi d’apporter de la fraîcheur et de l’ombre en été. La présence d’espaces ombragés semble par ailleurs être un critère préoccupant aussi bien pour les espaces piétons, les espaces verts de détente, que pour les zones de stationnement. Ceci pourrait être garanti par la présence de

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végétation ou par des ombrières.

Le quartier idéal serait par ailleurs un quartier où l’on apporte de la fraîcheur avec l’installation en cœur de quartier de fontaines, miroirs d’eau et brumisateurs.

Ceci peut aussi apporter un caractère ludique au quartier, et même « remplacer une piscine ». Certains proposent que cela soit fait avec de l’eau récupérée afin de ne pas occasionner de « gâchis d’eau ».

Le quartier idéal serait par ailleurs agréable parce que propre et pratique. Il contiendrait tous les éléments nécessaires à la vie de tous les jours pour assurer la propreté du quartier : canisettes, toilettes publiques, poubelles de tri...

Certains proposent même qu’il y ait un groupe d’habitants pour « nettoyer les quartiers » qui pourraient se réaliser avec un système de régie de quartier par exemple.

Un sous-groupe s’est questionné à propos de l’entretien des espaces verts et potagers, dans le cas où le quartier deviendrait un « idéal de verdure ». Ils proposent alors de créer une coopérative pour gérer l’entretien.

Celle-ci chercherait des financements auprès de la ville et des bailleurs sociaux, mais aussi au travers d’une activité de commercialisation du « miel de La Rousse », dont les ruches seraient sur les toits de certains immeubles. Cette production très locale pourrait par ailleurs... être servie au restaurant panoramique de l’hôtel Mercure (cf Livret prospective #1 Logement, Habitat) !

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… un espace de détente, de promenade, de convivialité D’après les participants, ces espaces publics idéaux devraient également être « utiles et utilisables », c’est-à-dire qu’il y serait possible de se détendre, se reposer, mais aussi de se rencontrer et se retrouver en famille et/ou avec ses voisins. Ces espaces multi-fonctionnels seraient des « espaces partagés de détente », mais aussi des « lieux calmes, ombragés et intergénérationnels ».

Sont par ailleurs imaginés de grands espaces publics ouverts (voie piétonne, rue avec de larges trottoirs, grande place...) qui offriraient une « impression d’espace » (certains participants rejettent ainsi l’idée d’espaces « confinés »). Cependant, contrairement au mail piéton de la Maille II, il y faudrait plus de mobilier et de végétation afin qu’ils ne paraissent pas « trop grands ni trop vides ».

Ainsi, la circulation piétonne ne devrait pas en être le principal usage, au contraire « il y faudrait pouvoir s’asseoir, se reposer et regarder les enfants jouer », mais aussi des tables pour organiser des pique-niques.

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Au niveau des mobiliers urbains considérés comme idéaux, les participants ont sélectionné des tables et des bancs, des bancs circulaires, des gradins, mais aussi des constructions temporaires en palette (avec garantie de qualité!). Certains proposent même qu’il soit possible de « se créer ses espaces », voire de construire du mobilier urbain avec les habitants.

Cette idée est notamment intéressante dans la perspective d'une co-construction « opérationnelle » du projet, qui pourrait être engagé dès en amont, dans la perspective d'aménagements à court terme.

On parle donc de mobiliers qui permettraient de se rencontrer à plusieurs, de partager des

moments collectifs dans l’espace public. Le positionnement de ces mobiliers a par ailleurs posé question : proche des habitations, ils pourraient être source de nuisances sonores, mais éloignés, ils risquent de ne pas être tant utilisés.

Un sous-groupe a imaginé la création d’une promenade, du quartier jusqu’au lac de St Suspi, qui regrouperait les critères précédents : espace de cheminement vert, frais avec des bancs, de l’ombre et divers autres mobiliers urbains.

Certains proposent pour le quartier idéal la mise en place d’un kiosque ou d’un préau afin que les habitants puissent profiter de l’espace public même par temps de pluie.

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… un espace ludique et intergénérationnel Il est ressorti de façon très significative de l’atelier que le quartier idéal devrait avoir une fonction ludique et intergénérationnelle. Les participants proposent qu’il y ait des aires de jeux sécurisées et adaptées à différents publics afin que les parents puissent surveiller leurs enfants d’âges différents au même endroit et en même temps. De nouveau pour ces espaces publics, la présence d’ombre et la fraîcheur paraissent nécessaires.

Les participants ont sélectionné des jeux qui « sortent de l’ordinaire », sont esthétiques ou artistiques. Il semble ainsi intéressant de proposer des aires de jeux variées en terme de jeux, de couleurs et matières. Par ailleurs,

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certains estiment que « tout aménagement urbain peut devenir ludique, voire pédagogique, en jouant sur les couleurs, les formes, l’esthétique et l’usage ».

La localisation des jeux pour enfants a posé question. Certains aimeraient qu’ils soient en cœur de quartier et en apprécient la proximité, d’autres redoutent les nuisances sonores que cela peut occasionner. Une participante propose avec humour de « mettre les jeux sous bulle pour pouvoir voir les enfants, sans pour autant les entendre ... ».

L’idée d’avoir des espaces pour des activités sportives a aussi été soulevée, et ce dans une optique intergénérationnelle. Un groupe a notamment proposé de permettre de faire de la voile au lac de St Suspi.

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… un espace pour des activités collectives, collaboratives et intergénérationnelles Afin de favoriser la convivialité entre voisins, d’apprendre à « se respecter les uns les autres » et ainsi de « rendre la vie du quartier plus légère », les participants imaginent des espaces privilégiés de rencontre : terrain de boule, barbecue, jardins collaboratifs, bibliothèque de rue, maison du don... Ces équipements et initiatives poseraient cependant la question de leur gestion.

comestibles », ils imaginent planter des tomates ou des plantes aromatiques à disposition des habitants.

D’autres expriment le souhait d’avoir des lieux de rencontre autour du thé, du café et de la presse, notamment pour les femmes.

Un sous-groupe propose également qu’il y ait un lieu dans l’espace public dédié à l’animation en plein air. Un kiosque permettrait selon un autre sous-groupe d’avoir un lieu privilégié, bien que réduit, pour organiser des animations (musique, danse, spectacles).

Plusieurs sous-groupes évoquent la possibilité de réaliser des « potagers partagés » et proposent d’installer des bacs de culture pour pouvoir « planter dans l’espace public » avec différents publics (enfants, jeunes, personnes âgées...). À l’image des projets des « incroyables

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Des solutions pour limiter la place de la voiture Un quartier piétonnisé La place de la voiture dans le quartier et les problématiques de stationnement ont été beaucoup questionnées par les participants.

Plusieurs hypothèses ont ainsi été soulevées.

Le quartier idéal serait en tout cas à l’unanimité « un quartier où la voiture ne trône pas sur tous les trottoirs ! ».

Est proposée l’idée que tout le quartier soit piétonnisé, et que la voiture soit reléguée à l’extérieur. Un système de parkings relais pourrait être mis en place, avec des navettes électriques, accessibles aux PMR (Personnes à Mobilité Réduite) et gratuites, permettant de rejoindre le cœur du quartier, mais aussi d’aller au centre-ville ou dans d’autres quartiers.

Pour cela, il serait alors nécessaire de faciliter l’utilisation du vélo grâce à des garages, des pistes cyclables, des ateliers de réparation de vélos, des parkings à vélo et des vélos en libre-service. L’utilisation du vélo par les enfants dans un but récréatif devrait par ailleurs être sécurisée grâce à des espaces privilégiés et sans voiture, autour de parcs par exemple. L’idée d’un « vélobus » (voir photo ci-contre) a intéressé les participants, aussi dans un but intergénérationnel.

Les espaces de circulation piétonne devraient également être sécurisés avec une attention particulière pour la circulation des enfants, des parents avec poussette et des personnes à mobilité réduite.

La mobilité en bus devrait aussi être favorisée, en rajoutant des arrêts de bus, et en en garantissant l’accessibilité pour les personnes à mobilité réduite.

Un équilibre à trouver entre « Cacher » la voiture tous les modes de Selon les participants, il faudrait trouver un déplacements moyen de « cacher la voiture ». Différents Pour d’autres participants, tous les modes de déplacement devraient être garantis et pouvoir coexister au sein du quartier grâce à un bon partage modal de l’espace public.

Ainsi, la circulation en voiture trouverait sa place parmi les autres modes : le vélo, la marche, les transports en commun ...

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systèmes de parkings ont été évoqués : souterrains, boxes, silos ou même, dans l’idéal, un « parking-robot » intelligent avec un système de consigne qui « rangerait » automatiquement les voitures dans des parkings souterrains (existant à Tokyo notamment).

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L’importance d’un art ludique, esthétique dans l’espace public idéal Un quartier agréable, artistique et... surprenant !

L’art en tant qu'élément esthétique, ludique est apparu comme désirable dans le quartier idéal. Les participants se sont intéressés à divers moyens d’introduire l’art dans l’espace public : mobiliers urbains artistiques, véritables œuvres d’art, aires de jeux fantaisistes et un travail sur les matériaux, les formes, les matières, l’architecture et les couleurs notamment pour les bâtiments.

Il a semblé pertinent que le mobilier urbain soit « utile et beau », mais aussi qu’il y ait plus de couleurs sur l’espace public et sur les bâtiments (immeubles colorés avec des couleurs chaudes). L’art serait ainsi un moyen de « joindre l’utile à l’agréable » plutôt qu’une fin en soi dans le quartier idéal.

Pour certains, l’enjeu est que le quartier « attire l’œil et donne envie d’y habiter et d’y travailler ». Ils imaginent ainsi un quartier « futuriste » avec des matériaux modernes et contemporains et une architecture ambitieuse. Le quartier idéal aurait ainsi quelque chose « d’extraordinaire » grâce à des installations particulières, que ce soit au niveau du mobilier urbain artistique que de l’architecture.

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La présence de l’art à plusieurs niveaux, en introduisant des éléments artistiques surprenants et intéressants, pourrait ainsi rendre la déambulation agréable. Il a semblé important pour certains participants de favoriser la promenade et l’envie de profiter de l’espace public pour ses qualités esthétiques. Dans cette même idée, il a été proposé que les cheminements ne soient pas forcément droits, mais permettent des détours, des arrêts, en somme de ralentir.

L’art comme repère et comme outil d’animation du quartier

différents

La présence de l’art dans le quartier pourrait également permettre, selon certains participants, de créer des repères dans l’espace public. Une œuvre d’art centrale pourrait ainsi devenir un symbole du quartier qui le représenterait. De même, la différenciation des immeubles grâce à des interventions artistiques modernes a semblé pertinente.

L’intervention artistique peut aussi devenir une occasion de favoriser les liens entre les habitants, de réaliser des aménagements avec des artistes, des associations, et

publics.

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L’utilisation de la lumière La thématique de la lumière a par ailleurs été soulevée par plusieurs sous-groupes. Au-delà du fait que le quartier devrait avoir un bon éclairage fonctionnel, la question de la lumière serait à travailler dans le but de montrer la beauté du quartier aussi bien de jour que de nuit. Une lumière douce

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favoriserait également la création d’espaces d’intimité et sécurisants. Les installations lumineuses originales pourraient participer à l’objectif d’embellissement et de mise en valeur du quartier au travers d’une démarche ambitieuse.

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Démarches écologiques Les participants à l’atelier ont montré une forte préoccupation pour la dimension écologique de leur quartier idéal.

Au-delà du désir de « verdure », les participants souhaiteraient favoriser la biodiversité grâce à la présence de plantes diversifiées sur les espaces publics et sur les façades des immeubles (murs végétalisés), mais aussi avec la mise en place de ruches.

La végétalisation et l’aménagement paysager pourraient aussi dépolluer les eaux de pluie grâce à des systèmes innovants.

Dans une optique d’agriculture urbaine, les potagers partagés et jardins collectifs pourraient permettre de fournir aux habitants des fruits, légumes et aromatiques faciles à cultiver. Par ailleurs, les participants désireraient avoir des commerces de proximité ou des systèmes de distributeurs de rue proposant des produits locaux et valorisant la production agricole en vente directe.

Certains proposent qu’il y ait la mise en place du tri sélectif allant jusqu’à la gestion directe dans le quartier des déchets de cuisine avec des composteurs en pied d’immeuble. Le mobilier urbain pourrait par ailleurs être fait en matériaux recyclables et/ou recyclés, voire en matériaux récupérés (palette).

La gestion de l’énergie sur le quartier a aussi intéressé les participants, qui proposent notamment de mettre en place des ombrières avec panneaux solaires pour certains stationnements.

Toutes ces initiatives peuvent devenir des prétextes pour des activités ludiques, pédagogiques, ou de cohésion sociale.

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Mes notes et remarques :

MĂŠtropole Aix-Marseille-Provence

CONTACTS / INFO : 04 90 58 79 08 / renovationurbaine@mairie-miramas.fr l'Adéus - Décembre 2016

l'Adéus groupereflex_ 14 Allée Léon Gambetta 13 001 MARSEILLE 06 68 57 75 63 adeus@adeus-reflex.org www.adeus-reflex.org

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