Projet de Renouvellement Urbain Manosque: livret de synthèse de la démarche collaborative prospectiv

Projet de Renouvellement Urbain «Arc Sud» Serrets/ Alicante-Plantiers-Rainette Aliziers/ Ponches/ Colette

Livret Habitants #2 PROSPECTIF Atelier du 20 février 2018

Groupement Safran Conception urbaine (mandataire) l'Adéus groupereflex_ Conseil urbain Intervia groupe Merlin

Projet de Renouvellement Urbain Arc Sud

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L’agglomération « Durance- Lubéron- Verdon », la ville de Manosque et leurs partenaires ont engagé une démarche pour améliorer la qualité du cadre de vie à travers la mise en œuvre d'un projet de renouvellement urbain (dit « projet ANRU ») dans le quartier- Arc- Serrets- Plantiers- Aliziers, connu sous la dénomination « Arc Sud » . Pour ne pas rester dans une approche « de techniciens », les habitant.e.s et les acteur.trice.s du quartier sont invités à participer à une série d'ateliers collaboratifs (diagnostic, prospective, programmation), dès en amont du projet.

Le présent livret présente une synthèse du second atelier, dont l'objectif était d’amener les habitant.e.s à formuler une vision prospective de leur quartier : Comment voient-ils le quartier à plus long terme ? À quoi ressemblerait-il dans l’idéal , s’ils avaient à leur disposition une baguette magique ? L’enjeu étant ici d’aider les participant.e.s à dégager des orientations ambitieuses pour le projet, d’ouvrir la voie à des propositions qui dépassent les seuls dysfonctionnements du quotidien, et d’arriver à se projeter sur des changements urbains francs dans le quartier. Bien que toutes les propositions ne soient pas nécessairement « réalisables », il s’agissait avant tout de débrider l’imagination de chacun.e afn de réfléchir à des formes urbaines et à des aménagements adaptés, innovants et durables, à une programmation porteuse de transformations pour le quartier.

La méthode du photo langage a été privilégiée pour cet atelier afn de faciliter la dynamique de projection sur un nouveau quartier. Cette méthode permet de susciter l’échange sur la base de photographies jugées « inspirantes » ou au contraire plus « repoussoirs » par les participant.e.s, et d’interroger les choix respectifs des un.e.s et des autres. Trois grands sujets ont été abordés pour orienter les discussions : • Dans le quartier idéal, quels équipements, services, commerces, activités trouverait-on et sous quelle forme ?

• Dans le quartier idéal, quels espaces publics, espaces extérieurs, aménagements paysagers faudrait-il pour bien vivre dans son quartier, pour bien vivre ensemble ?

• Dans le quartier idéal, quels aménagements en terme des circulations et des déplacements pourrait-on trouver et sous quelle forme?

Tous ces éléments formulés en atelier sont pris en compte dans l'analyse globale portée par les différent.e.s expert.e.s qui travaillent sur le projet.

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Commerces, équipements, services Une offre commerciale et de service diversifée et alternative L’ambition partagée de commerces de proximité vecteurs de lien social : un premier pas vers le quartier idéal Pour les participant.e.s, le quartier idéal Arc Sud comprend une offre commerciale de proximité qualitative, diversifée et pérenne dans le temps. Cet attachement à l’idée de commerces de proximité est double : d’une part, il s’agit d’apporter de l’animation, des lieux de rencontres et de vie dans le quartier (« ...seulement on a le Mistral pour sortir boire un truc le soir... » résume un participant), d’autre part, de répondre aux besoins des personnes qui ne peuvent pas se déplacer facilement pour faire leur achats (personnes âgées, PMR, personnes non-véhiculées…).

En somme, comme l’a souligné un participant, « c’est une offre commerciale à taille humaine à côté des résidences» qui est sollicitée dans le quartier idéal, le constat étant aujourd’hui celui d’une structure économique portée historiquement par les commerces et les activités du centre-ville et les zones d’activités au détriment du développement de l’offre commerciale au sein du quartier. Le commerce de proximité est donc avant tout perçu comme un vecteur de lien social par les participant.e.s.

L’ambition de développer davantage des formes variées de commerces non-sédentaires et plus « alternatives »...

Pour les participant.e.s, le quartier idéal Arc Sud accueillerait divers formes de commerces, notamment itinérants et alternatives, de type « food truck », magasin éphémère où autres. L’idée de privilégier ces types de commerces vient du souhait d’apporter de l’animation dans le quartier ainsi que du fait que ces commerces non sédentaires sont considérés comme plus amène à proposer des prix en réelle adéquation avec le pouvoir d’achat des

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ménages du quartier. Il s’agit donc de favoriser l’implantation des formes alternatives pour compléter et diversifer davantage l’offre commerciale existante, tout en redynamisant la vie dans le quartier et en proposant des « espaces éphémères » de rencontre et de lien social. A titre d’exemple, les participant.e.s ont mentionné l’idée d’un kiosque café, qui pourrait éventuellement être mobile et proposer par ailleurs des occupations transitoires de l’espace.

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De nouveaux équipements pour répondre aux besoins et bénéfcier le vivre-ensemble dans le quartier Une offre d’équipement culturelle à renforcer : un préalable nécessaire dans le quartier idéal Si l’offre d’équipement à l’échelle de la commune est relativement satisfaisante selon les participant.e.s, il ressort des échanges que cette offre reste désormais concentrée exclusivement sur et aux abords du centre ancien et ceci notamment pour ce qui concerne les équipements à vocation culturelle. Ainsi, il ressort de l’atelier que le quartier idéal Arc Sud comprend une offre d’équipement culturelle diverse, qualitative et surtout à proximité. L’adhésion à cette idée de voir l’implantation des nouveaux équipements dans le quartier est double : d’une part, il s’agit d’apporter des lieux ressources qui puissent accompagner et aider les habitant.e.s du quartier, (et ceci plus spécifquement en termes de démarches administratives, d’accompagnement à la personne, d’aide à la recherche d’emploi, etc.), et d’autre part, de procurer le quartier des lieux qui puissent contribuer

au vivre-ensemble, à l’animation, aux activités socio-culturelles et à l’apprentissage. C’est ainsi autour de ce deuxième objectif que les discussions avec les participant.e.s se sont articulées, dès lors que, pour ces dernier.ère.s, le vivre-ensemble et le lien social sont quasi-intégralement absents des relations entre les résident.e.s et cela étant dû en grande partie au manque d’équipement dédiés au sein du quartier.

Au vu de ces éléments, les participant.e.s ont donc proposé une bibliothèque mais aussi un espace culturel multifonction pour des spectacles, des expositions, voire des conférences. Par ailleurs, un des groupes de travail à évoqué son souhait de créer dans le quartier une Maison de Justice et du Droit et ceci afn d’assurer une présence judiciaire gratuite de proximité pour répondre aux besoins d’information juridique des usag.er. ère.s.

La maison du quartier : une structure nécessaire pour renforcer le lien social et la vie locale dans le quartier idéal Comme vu précédemment, le quartier d’étude se caractérise à présent par un manque de vie locale du fait notamment de l’absence d’équipements dédiés à ce but. Dans le quartier idéal Arc Sud, les participant.e.s souhaiteraient donc voir l’implantation d’une maison du quartier qui puisse être lieu de rencontre, de rapprochement et d’animation mais aussi lieu d’accompagnement, de sensibilisation et d’information.

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Il s’agirait avec cet équipement de créer les conditions pour redynamiser la vie locale du quartier, ainsi que la vie associative et la vie culturelle. Cette demande répond par ailleurs à l’attente de lieux de partage et d’échange pour les différentes activités associatives existantes sur le quartier qui restent en l’occurrence très segmentées les unes des autres, sans réelle cohésion ni lieu fédérateur. Si l’implantation page 6

d’un tel équipement ne suffra pas à se substituer aux actions nécessaires pour renforcer le lien social et la vie de quartier à l’échelle de chaque résidence, elle présente l’avantage de constituer une première action vers la construction d’une identité commune (où du moins d’une appartenance) ainsi que d’un lieu de regroupement de l’ensemble des activités sociales du quartier. Si la future localisation de cet équipement n’est pas toujours claire dans l’esprit des participant.e.s, ces dernier.ère.s ont insisté sur la nécessité de prévoir un emplacement central et accessible pour tous afn d’assurer sa pérennité.

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Espaces publics, espaces extérieurs, aménagements La nécessité d’une réflexion globale sur les espaces verts L’ambition collective d’espaces verts et frais : « le désir de nature » dans le quartier idéal...

Lors de la phase diagnostic le constat a été celui d’un manque global d’espaces verts qualitatifs et bien entretenus. Ainsi, pour les participant.e.s, le quartier idéal Arc Sud est avant tout un espace aéré où l’on respire et on peut se balader, avec par ailleurs une forte place attribuée à la végétation et à la

(des initiatives de plantation aux pieds des immeubles par les habitant.e.s existent déjà sur certaines résidences), et d’autre part, de contribuer avec ces éléments à créer des espaces de repos et d’agrément qui soient appropriables, calmes et appréciés. Par ailleurs, il a été mentionné aussi l’ambition de

nature tant sur les espaces publics et extérieurs que sur les bâtiments et les composantes architecturales.

L’ambition d’amener la nature dans le quartier est double : d’une part, il s’agit d’insérer des éléments de verdures dans un paysage à prédominance minérale

faciliter les connexions entre les espaces extérieurs de chaque résidence et ceci notamment à travers l’aménagement d’un maillage vert à l’échelle du quartier dans son ensemble mais aussi d’une « coulée verte » le long du Riou de Drouille.

Le traitement paysager et qualitatif du parc de Drouille : une condition pour le quartier idéal Il ressort de l’atelier que le quartier idéal Arc Sud serait celui où le parc de Drouille ferrait l’objet d’un aménagement paysager qualitatif, le constat étant aujourd’hui celui d’un espace satisfaisant aux yeux des participant.e.s mais méritant un certain nombre d’aménagement. Ainsi, deux grandes propositions ont été formulées : tout d’abord, la nécessité d’amener des aménités urbaines sur cet espace et notamment de jeux pour enfants et de jeux pour des jeunes adultes (des jeux de musculation de type barre de traction ou autre, l’offre existante sur le parc étant jugée insuffsante), ensuite, l‘aménagement de l’espace central du parc qui, comme résume une participante, Projet de Renouvellement Urbain Arc Sud

«nécessite plus de pelouse, plus d’espaces d’ombres, plus d’activités et plus de convivialité». Ces propositions reflètent le souhait des participant.e.s de (re)donner au parc une vocation d’espace fédérateur et d’espace de rencontre. Il a été demandé par ailleurs l’installation de plus de sanitaires publics, la création d’un espace « familial » ainsi que la mise en place d’un kiosque café. Si les participant.e.s souhaitent l’aménagement du parc, ils ont pour autant insisté sur la nécessité de réfléchir en amont aux futures questions de gestion, d ‘entretien et d’incivilité et ceci notamment pour anticiper les futurs dysfonctionnements et/ou dégradations éventuelles. page 8

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Des espaces publics/ extérieurs et un mobilier urbain dévolus à la convivialité L’ambition partagée d’espaces publics supports de lien social et de convivialité Pour les participant.e.s, le quartier idéal Arc Sud se compose d’une multitude d’espaces publics et extérieurs supports de lien social et de convivialité. En d’autres mots, les participant.e.s souhaiteraient voir des espaces au sein desquels il est possible de se détendre, de se reposer mais aussi, comme résume une participante, « de se rencontrer en famille et/ ou avec ses voisins et ses amis ».

Au vu du manque de convivialité et du vivre-ensemble dont souffre le quartier, il a été proposé d’accueillir et d’organiser des événements festifs ou éphémères sur ces espaces à certains moment de la journée (concerts, activités sportives, fêtes, etc...). Ces activités auraient comme but principal d’apporter de l’animation et de la vie à ces espaces, tout en contribuant parallèlement à leur changement d’image dans l’imaginaire collectif des personnes externes au

quartier mais aussi des résident.e.s(« il nous faut des choses qui nous invite à aller sur ces espaces, et surtout à rester….», résume un participant lors de l’atelier).

En somme, le quartier idéal se constitue d’espaces publics et d’espaces extérieurs multifonctionnels qui soient dotés d’une dimension relationnelle forte, c’est-à-dire, des espaces qu’invitent les gens à rester et à s’approprier d’eux.

Par ailleurs, il ressort de manière très signifcative la nécessité de prévoir de l’ombre et de la fraîcheur sur ces espaces ( zone ombragée, faciliter accessibilité au Riou, éventuellement des fontaines ou des jeux d’eau, etc...) et ceci, une fois de plus, dans l’objectif de favoriser le partage et la convivialité dans ces lieux.

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Un mobilier urbain simple, adapté à tous et ludique A propos des objets qui sont installés dans l’espace public, le quartier idéal Arc Sud serait doté d’une offre vaste et diverse en mobilier urbain. Bien au-delà de la réponse à des besoins purement fonctionnels, (« on a besoins des choses pour s’asseoir, des bancs, des chaises, quelque chose!» résume un habitant), les

participants évoquent leur souhait de voir se développer une offre en mobilier capable de générer une vie sociale ainsi que des lieux sécurisés et modernes au sein desquels ils puissent se retrouver, jouer et discuter en dehors de leur résidence respective. De ce constat, plusieurs idées ressortent à l’image du mobilier de repos (tels que des bancs, des

sièges, des tables), du mobilier de loisir (à l’image des tables de ping-pong, des cages de football, des tables de pique-nique), ou encore du mobilier utile à limiter la circulation des véhicules (sur ce point les participant.e.s ont proposé d’utiliser des jardins plutôt que des chicanes pour réduire la vitesse des voitures).

Si plusieurs idées ressortent, les participant.e.s ont insisté sur le fait que cette nouvelle offre de mobilier urbain devra être intergénérationnelle et accessible à toutes les tranches d’âges comprises.

Toujours dans l’idéal, les participant.e.s souhaiteraient voir l’installation de quelques bancs, de tables et de jeux pour enfants à proximité de chaque résidence habitée. Il s’agit avec cette idée de donner les conditions nécessaires à l’appropriation de ces espaces par les résident.e.s, qui préfèrent, à présent, s’enfermer et rester chez eux. Par ailleurs, ces dernier.ère.s ont insisté sur le caractère ludique et esthétique que ce mobilier devra avoir ainsi que de l’éventuelle possibilité d’utiliser d’autres matériels plus modernes et différents, à l’image du métal, du bois ou encore de la pierre.

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Un quartier plus « moderne », plus esthétique et surtout plus lisible Un quartier ludique, moderne et coloré Il est ressorti de façon très signifcative de l’atelier que le quartier idéal Arc Sud est ludique et coloré. La raison de cet attachement de privilégier l’esthétique dans le quartier est double : d’une part, il s’agit de changer l’aspect monochrome qui prédomine à présent dans le quartier et qui le rend « trop minéral et sans personnalité », et d’autre part, de favoriser une meilleur appropriation de certains espaces en les rendant, comme résume une participante, « plus gais et plus agréables ».

Si la demande d’utiliser des éléments plus colorés sur le sol et les façades des bâtiments s’avère être une composante du quartier idéal, les participant.e.s ont pour autant insisté sur le caractère minimal que cette colorisation devra prendre et ceci, comme

résume une participante, « pour ne pas stigmatiser davantage le quartier….».

Par ailleurs, les participant.e.s ont évoqué leur souhait de voir dans le projet, la mobilisation des formes architecturales plus modernes, voire futuristes, dont l’objectif sera d’augmenter l’attractivité du quartier, que ce soit pour les résident.e.s sur place, pour les nouveaux arrivants ou encore pour les personnes n’habitant pas l’Arc Sud.

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L’utilisation esthétique de la lumière et des couleurs : la mise en valeur des atouts du quartier Les thématiques de la lumière et des couleurs sur les espaces publics et extérieurs ont été en l’occurrence évoquées par l’ensemble des sous-groupes.

Au-delà du fait que le quartier devrait avoir un bon éclairage fonctionnel, la question de la lumière a fait le consensus entre les participant.e.s comme éventuel moyen pour donner à voir certains espaces qui demeurent aujourd’hui inutilisables (à certains

moment de la journée) et/ou sans identité. Ainsi, le quartier idéal Arc Sud passe par l’installation de lumières originales et colorées, capables de participer à l’objectif d’embellissement et de mise en valeur de ces espaces (à titre d’exemple, les participant.e.s ont évoqué l’actuel chemin du combattant. Cet espace a été jugé comme à fort potentialité mais faiblement valorisé en terme d’éclairage et de lumière).

L’’ambition d’une clarification et d’une hiérarchisation des espaces : les prémices d’une future résidentialisation Pour les participant.e.s, le quartier idéal Arc Sud bénéfcierait d’un travail de clarifcation et de simplifcation des espaces résidentiels. C’est ainsi que l’idée d’une éventuelle résidentialisation à été formulée par les participant.e.s, ces dernier.ère.s lui attribuant deux objectifs : d’une part, intervenir sur la défnition des espaces extérieurs et de leurs statuts (ceci pour sécuriser les espaces mais aussi pour faciliter et simplifer leur lecture), d’autre part, d’essayer de changer les comportements d’incivilités des quelques-un.e.s en les responsabilisant face à leur habitation. Si pour ce qui concerne le fond, cette proposition à fait le consensus entre l’ensemble

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des tables, il n’en est pas de même vis-à-vis de la forme qu’elle devra prendre. De ce fait, alors que pour certain.e.s cette opération se traduit par la mise en place des grilles ou des délimitations physiques (« les grilles ça ne plaît pas mais comment faire autrement… ? »), pour d’autres elle peut faire l’objet d’un aménagement plus paysager, à l’image d’un jardin au pied d’immeuble pour séparer les espaces.

Quelque soit sa forme, la résidentialisation apparaît donc comme un moyen de sécuriser les espaces, tout en contribuant parallèlement à leur simplifcation et leur meilleure lisibilité.

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MES REMARQUES : …..................................................................................................................................................................................................................... ........................................................................................................................................................................................................................ ........................................................................................................................................................................................................................ ........................................................................................................................................................................................................................ …..................................................................................................................................................................................................................... ........................................................................................................................................................................................................................ ….................................................................................................................................................................................................................... ….................................................................................................................................................................................................................... ….................................................................................................................................................................................................................... ….................................................................................................................................................................................................................... ….................................................................................................................................................................................................................... ….................................................................................................................................................................................................................... ….................................................................................................................................................................................................................... …..................................................................................................................................................................................................................... …...........................................................................................................................................................................................................……... ……..…….…….….….….….…….………….…….…….….……….….….…….…….….….….…….…….…….….…….…….….….…….….…….…….……... …….…….……….…….…….……….…….….….….….….…….….….……….….….….…….…..….….….….…….….…….…….….….….….….…….…...…. ….….…….…….…….……….…….….….….….….….…….…….….….….….…….….….….….….….……….….….….….....….….….….…….….…………..

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Durance Lubéron Verdon Agglomération Place de l’Hôtel de Ville 04100 Manosque Tel :04.92. 72. 46. 99

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