Un fauteuil pour deux !

Dialogue des religions ... pour un monde plus sûr

La Chine fait des chinoiseries aux Américains...

Un magazine politique hebdomadaire

Issue 1718- Octubre 26/10/2018

Issue 1717- Octubre 26/10/2018

Un magazine politique hebdomadaire

Amina Khalil: Ma vie privée est une ligne rouge www.majalla.com

Algérie- Crise à l’Assemblée populaire nationale

Un fauteuil pour deux ! www.majalla.com

Un magazine politique hebdomadaire

Issue 1718- Octubre 26/10/2018

Mélenchon : Le dérapage de plus?

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Cameroun : Paul Biya toujours président...

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L’entraineur d’Al Ahly : «Nous respectons l›ES Sétif . . Nous sommes confiants de pouvoir nous qualifier pour la finale de la 40 Ligue d’Afrique des champions 52

Adel Abdulmahdi... chargé de former le nouveau gouvernement irakien

Le fils du ministre, devenu Premier ministre

Éditeur en chef

HH Saudi Research and Marketing (UK) Ltd

Secrétaire de Rédaction

10th Floor Building 7 Chiswick Business Park 566 Chiswick High Road London W4 5YG

Ghassan Charbel Un magazine politique hebdomadaire

www.majalla.com/eng

Mostafa El-Dessouki

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26/10/18

Tel : +44 207 831 8181 - Fax: +44 207 831 2310

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Le 14 octobre 2018, lors de la 50ème régate Barcolana dans le golfe de Trieste, des bateaux naviguent devant le phare de la Victoire. - Avec quelques 700 2 navires, le Barcolana compte le plus grand nombre de régates de voile au monde. (AFP / Getty Images)

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Les gens traversent la rivière Sume le 12 octobre 2018, un jour après que ses rives soient écroulées dans le village oriental de Nanyinza, dans le district de Bududa en Ouganda. - Au moins 34 personnes ont été tuées après le débordement du fleuve dans l›est de l›Ouganda, envoyant des boues épaisses et des cailloux dans les maisons, ont annoncé des responsables de la catastrophe. (AFP / Getty Images)

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ctualités La ville de Trèbes fait partie des plus touchées par les inondations

Par Maymana Azzam Terribles Inondations dans l›Aude.

14 personnes ont été tuées et 75 blessées dans les intempéries qui ont frappé le département dans la nuit de dimanche à lundi. A certains endroits, il est tombé en six heures l›équivalent de trois mois de pluies. A Trèbes, Villegailhenc, Villardonnel, Villalier, Carcassonne, Saint-Couat d›Aude... Les dégâts, outre le bilan humain, sont colossaux.

Ce jeudi, un arrêté interministériel a été pris pour que 126 communes de l›Aude soient considérées en état de catastrophe naturelle, ce qui permettra une indemnisation plus rapide des personnes touchées.

Emmanuel Macron est attendu lundi sur place.

Cette catastrophe a aussi provoqué la colère des habitants qui ont estimé que l›alerte n›avait pas été donné assez tôt pour prévenir des crues meurtrières, le niveau atteint dans la vallée moyenne de l›Aude étant sans précédent depuis 1891. La région avait été placée en

Emmanuel Macron à l›Élysée, le 16 octobre 2018

vigilance orange la veille par Météo France, le stade «rouge» n›a été déclenché qu›à 6h le lundi matin.

La population, face à une telle situation, s›est montrée très solidaire dans les villages touchés.

A Narbonne-plage, c›est une tornade qui a balayé le littoral. Des images de désolation ont été publiées sur les réseaux sociaux.

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Enfin le remaniement !

Deux semaines après le départ de Gérard Collomb du ministère de l›Intérieur, l›exécutif a enfin un nouveau gouvernement. Avec des départs, des entrants, des mouvements internes et des périmètres élargis. C›est Christophe Castaner qui remplace Gérard Collomb à l›Intérieur, secondé par un secrétaire d›Etat, Laurent

«Il n›y a aujourd›hui ni tournant, ni changement de cap ou de politique», a prévenu Emmanuel Macron.

Nunez, ancien patron de la DGSI. Ce remaniement qui aura pris du temps n›a en tout cas pas convaincu les français selon une enquête OdoxaDentsu Consulting pour Le Figaro et France Info. Deux sondés sur trois se sont dit déçus.

Première à être prise pour cible dans les nouveaux de ce gouvernement : la nouvelle secrétaire d›Etat auprès du ministre de la Transition écologique et Solidaire, Emmanuelle Wargon. Ancienne responsable de la communication de Danone, elle avait défendu l›huile de palme dans la fabrication des laits infantiles.

Macron intervient à la télévision.

Dans un style très classique auquel il ne nous avait pas habitué, le président de la République a parlé mardi soir pendant une dizaine de minutes. Dans son intervention, le chef de l›Etat e a promis d’améliorer le quotidien des Français, de rassembler plus largement et de moins «choquer», mais sans changer de cap.

Affaire Benalla : la colère de Brigitte Macron.

Elisabeth Borne, ministre des Transports, le 6 juin 2018.

Alexandre Benalla avant que la polémique enfle. En désaccord avec l›exécutif, elle a préféré profiter des vacances d›été pour s›isoler au Touquet.

Autoroute: Élisabeth Borne accusée de conflit d›intérêts.

La concession de la future autoroute pourrait être attribuée à Eiffage, une entreprise pour laquelle la ministre des Transports a travaillé, il y a dix ans, comme directrice des concessions.

L›épouse du président voulait évincer

Jean-Luc Mélenchon a agi avec véhémence, mardi, face aux policiers qui perquisitionnaient son domicile et les locaux de La France insoumise et dénoncé une « police politique ».

Perquisitions chez Mélenchon et La France Insoumise.

Les images ont fait le tour des

Brigitte Macron à Versailles le 12 septembre 2018 - Ludovic Marin

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ctualités national, interrogée vendredi dans l›affaire des assistants européens présumés fictifs du FN, a vu sa mise en examen s›aggraver. Marine Le Pen est désormais inquiétée pour des faits présumés de «détournements de fonds publics», passible de dix ans d›emprisonnement et d›un million d›euros d›amende.

La mise en examen de Marine Le Pen s›est aggravée dans l›affaire des assistants européens.

télévisions et des réseaux sociaux. Affaire des assistants européens du FN : Marine Deux enquêtes préliminaires en cours, Le Pen risque jusqu›à 10 ans de prison. sur des emplois présumés fictifs d›assistants au Parlement européen et sur ses comptes de campagne de la La présidente du Rassemblement présidentielle 2017, ont donné lieu à des perquisitions mouvementées au siège parisien de LFI et au domicile de Jean-Luc Mélenchon. Ce dernier, qui a diffusé la scène en direct, a été entendu ce jeudi par la police judiciaire à Nanterre.

Mercredi, le chef de la France insoumise Jean-Luc Mélenchon a assuré mercredi ne rien regretter de sa vive réaction aux multiples perquisitions qui l›ont visé lui et son mouvement la veille, dénonçant toujours une «volonté d›intimidation» de la part de l›exécutif.

Le budget 2019 au menu de l›Assemblée.

Les députés ont entamé lundi le marathon budgétaire, deuxième du quinquennat d›Emmanuel Macron.

Le gouvernement défend un projet de loi tourné vers «ceux qui travaillent», tandis que les oppositions dénoncent

C›est la première fois que l›Assemblée nationale compte autant de groupes parlementaires

des mesures «anti-pouvoir d›achat».

Un huitième groupe créé à l›Assemblée nationale.

Le deuxième budget du quinquennat arrive lundi dans l›hémicycle de l›Assemblée afp.com

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Seize députés radicaux, centristes, autonomistes corses et déçus de LREM ont annoncé mercredi la création d’un nouveau groupe parlementaire à l’Assemblée, baptisé « Libertés et territoires «. Il y a donc désormais 8 groupes politiques au Palais Bourbon,

Emmanuel Maurel dans son bureau de la Commission européenne, boulevard Saint-Germain, à Paris.

Illustration d›un avis de taxe d›habitation.

ce qui représente un record.

Balance ton maire, augmentation des taxes d›habitation.

Des militants LREM ont lancé ce vendredi sur les réseaux sociaux le hashtag #BalanceTonMaire pour dénoncer la décision de certains maires d’augmenter la taxe d’habitation, que le gouvernement a entrepris de supprimer.

En 2018, la taxe d›habitation aurait ainsi augmenté dans plus de 000 11 communes françaises, en raison d›une hausse des taux d›imposition décidés soit par les municipalités elles-

mêmes, soit par les intercommunalités auxquelles elles appartiennent. Les élus disent ne pas avoir eu le choix.

Nouveaux départs au PS.

mettre ses troupes en ordre de bataille, dans le cas où Frédéric Péchenard, proche de Nicolas Sarkozy, entrait au gouvernement. Mais selon plusieurs médias, il a envoyé les arguments et les autres éléments de langage...

Après Manuel Valls, Benoît Hamon, d›autres cadres et figures du Parti socialiste quittent les rangs. Les derniers en date sont le député européen Emmanuel Maurel et la sénatrice Marie-Noëlle Lienemann.

Remaniement : erreur de destinataire pour Laurent Wauquiez.

Le président des Républicains voulait

Aurane Reihanian, ici au centre de la photo

Le chef des Jeunes Républicains dans la tourmente.

Tout juste élu à la présidence des Jeunes LR le week-end dernier, Aurane Reihanian, le poulain de Laurent Wauquiez, est accusé d›avoir tenté de récupérer des codes d›adhérents.

GUILLAUME SOUVANT

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ctualités

«S›il y a des recours, ils seront examinés. Moi je prends ça avec beaucoup de sérénité», assure Eric Ciotti.

Soupçons de «fraude massive» pour l›élection d›Eric Ciotti.

Les Balkany jugés pour fraude fiscale au printemps 2019.

Selon des proches de Christian Estrosi, l›élection du président de la fédération locale des Alpes-Maritimes serait entachée d›»irrégularités». Elle a été remporté lar le rival du maire de Nice.

Patrick et Isabelle Balkany sont soupçonnés d’avoir dissimulé au fisc un patrimoine de 13 millions d’euros, disséminé entre la France, l’île de Saint-Martin et le Maroc.

Ils seront jugés pendant six semaines à partir de mai 2019.

Matteo Salvini, ministre de l›Intérieur italien.

Tension entre la France et l›Italie sur les migrants.

Rueil-Malmaison, le 3 décembre 2015. Patrick et Isabelle Balkany lors d›un meeting Les Républicains pour les élections régionales en Ile-de-France.

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Des explications «rapides et sans équivoque» ont été demandées à Paris lundi par le ministre de l›Intérieur italien Matteo Salvini, après qu›un véhicule de gendarmerie a reconduit de nuit des migrants en territoire italien.

«Une erreur» selon la préfecture des Hautes-Alpes.

Encouverture Algérie- Crise à l’Assemblée populaire nationale

Un fauteuil pour deux !

Par Chokri BEN NESSIR

Bashir Soleimani, une initiative largement critiquée par les députés, en particulier ceux Durant un mois, les Algériens ont assisté par appartenant au parti majoritaire (Front de médias interposés aux passes d'armes entre libération nationale) dirigé par le président M. Said Bouhadja président de l'Assemblée Abdelaziz Bouteflika. populaire nationale (APN), et ses détracteurs Une pétition a circulé et le nombre de qui revendiquent son départ, une situation rare signataires a dépassé les 300 députés sur 462 en Algérie, où la discipline au sein de l'ex-parti représentant quatre factions politiques loyales unique et de l'appareil d'Etat est généralement la (le Parti du Front de libération nationale) et le Rassemblement national démocratique (NDA) norme.

En effet, cinq partis dont le Front de libération dirigé par le Premier ministre Ahmed Ouyahia, le nationale (FLN) du chef de l'Etat Abdelaziz parti algérien du rassemblement Amal, dirigé par Bouteflika et le Rassemblement national l'ancien ministre des Travaux publics, Ammar démocratique (RND) du Premier ministre Ahmed Gul, et le Front populaire algérien (FPLP), dirigé Ouyahia, détenteurs à eux deux de la majorité par l'ancien ministre de la Santé, Amara Ben absolue des 462 députés, réclament depuis fin Younis, l’accusant notamment de "prendre des septembre le départ de M. Bouhadja, l'accusant décisions improvisées sans les consulter". notamment de "mauvaise gestion". M. Ouyahia Et comme le règlement intérieur du parlement et Djamel Ould Abbès, secrétaire général du FLN empêche le retrait de confiance au président, les dont est membre M. Bouhadja, lui ont également députés ont tenté de faire pression sur lui et de le presser de démissionner sur la base de l'article intimé publiquement de démissionner.

10 du règlement intérieur du Parlement, selon lequel «en cas de vacance de la présidence de Grogne et pétition l'Assemblée nationale en raison de sa démission, La crise a éclaté suite à une décision de mettre fin de son incapacité, de sa contradiction ou de son aux tâches du secrétaire général du Parlement, décès, le président de l'Assemblée du peuple

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Le siège du Parlement algérien. @PressTV

est élu conformément aux mêmes règles de procédure, dans les 15 jours à compter de la date de la déclaration de vacance de poste ».

Il refuse de quitter Poussé en vain à la démission par la majorité, Saïd Bouhadja a refusé de quitter ses fonctions.

Mi-octobre, le bureau de l'APN a saisi la Commission juridique qui a confirmé la "vacance" du poste, arguant de "l'incapacité" de M. Bouhadja à "assurer ses fonctions, du fait de son désaccord avec les députés et son refus de démissionner".

Le 16 octobre, quelque 200 députés de la majorité s'étaient réunis devant l'entrée de l'APN et en avaient cadenassé la porte, pour interdire l'accès du bâtiment à M. Bouhadja. Celui-ci ne s'était pas rendu à l'Assemblée. Plusieurs partis d'opposition s'étaient insurgés contre le procédé, dénonçant une atteinte aux institutions.

Il n’empêche, la procédure fut engagée et une séance plénière de l'Assemblée a donc été tenue mercredi "consacrée à l'adoption" des conclusions de la Commission sur "la constatation de la vacance du poste de président de l'APN" puis elle

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Candidat unique au perchoir, M.Mouad Bouchareb chef du groupe parlementaire FLN,a reçu le soutien du RND et était donc assuré d'être élu. a procédé à "l'élection d'un nouveau président de l'Assemblée", a indiqué l'Assemblée dans un communiqué.

En effet, le FLN qui a annoncé mardi avoir désigné le chef de son groupe parlementaire, Mouad Bouchareb, comme candidat au perchoir, a fait part de l’élection de ce dernier au poste de président de l’APN. Candidat unique, Mouad Bouchareb a reçu le soutien du RND et était donc assuré d'être élu.

En effet, l’élection de M.Mouad Bouchareb, 47 ans, en tant que nouveau président de l'Assemblée populaire nationale (APN), a été sans surprise, par 320 voix et une abstention. Il était jusqu'ici chef du groupe parlementaire du

Encouverture

Front de libération nationale (FLN), parti du chef de l'Etat Abdelaziz Bouteflika, qui détient 161 des 462 sièges à la Chambre basse. Il était également soutenu par les 100 députés du Rassemblement national démocratique (RND) du Premier ministre Ahmed Ouyahia et par ceux des autres partis de la majorité présidentielle.

Procédure illégale Après avoir dénoncé au cours du weekend une procédure "illégale", Saïd Bouhadja le président

Les feux de la crise politique ne devraient pas s’éteindre de sitôt et plusieurs scénarios restent possibles.

en exercice de l'Assemblée populaire nationale (APN), chambre basse du Parlement, a affirmé mardi au site d'information TSA (Tout sur l'Algérie) qu'il "resterait le président légitime de l'APN", en dépit de cette élection.

Elu au perchoir de la nouvelle APN au lendemain des législatives de mai 2017, celui-ci s'y oppose, rappelant que la Constitution indique que "le président de l'APN est élu pour la durée de la législature" et que les textes ne prévoient aucune procédure de destitution.

En signe de soutien plusieurs groupes parlementaires d'opposition ont annoncé leur intention de boycotter la séance de mercredi.

"Il est hors de question d'accepter cette démarche", a déclaré à l'AFP Athmane Mazouz, député du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD, 9 députés), dénonçant une "destitution violente".

Les 11 députés du Parti des travailleurs (PT) ont également boycotté la également la séance: "Nous ne sommes ni avec Bouhadja ni contre lui,

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Mouad Bouchareb, a été élu mercredi à la majorité nouveau président de l’Assemblée populaire nationale (APN) en remplacement de M. Said Bouhadja.

Said bouhadja, président sortant de l’APN

cette crise nous ne concerne pas", a expliqué à l'AFP Djelloul Djoudi président du groupe PT. M. Bouhadja a attribué ses déboires à sa décision de limoger fin septembre le secrétaire général de l'APN, réputé proche de certains caciques du FLN, mais les motifs réels de cette crise restent flous et toutes sortes d'hypothèses ont été avancées. L'opposition a fustigé de son côté une lutte de clans. Dans un communiqué, le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD, 9 députés), a qualifié le scrutin de "coup d’Etat contre l’institution législative" perpétré "sur instruction de l’exécutif".

Dès lors, les feux de la crise politique ne devraient pas s’éteindre de sitôt et plusieurs scénarios restent possibles. Il est fort à parier que les députés réfractaires au limogeage de Saïd Bouhadja ne reconnaissent pas la légitimité du nouveau président. Plusieurs partis d'opposition se sont déjà insurgés contre le blocage de l'APN, dénonçant une atteinte aux institutions.

Ahmed Sadok, président du groupe d'opposition

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Après avoir dénoncé une procédure "illégale", M.Saïd Bouhadja le président en exercice de l'Assemblée populaire nationale (APN), a affirmé qu'il "resterait le président légitime de l'APN", en dépit de cette élection. parlementaire du Mouvement de la société pour la Paix, a lui fustigé une "action qui ne fait honneur ni aux députés, ni au Parlement, ni à l'image du pays". Et de poursuivre, "si les députés de la majorité ne veulent plus travailler avec Bouhadja (...), il faut que leur action soit légale. Pour le moment, il n'y a rien qui l'empêche d'assumer ses fonctions".

Encouverture Forum du Kazakhstan 2018

Dialogue des religions ... pour un monde plus sûr Astana (Kazakhstan): Ahmed Taher « Astana est réputée dans le monde comme étant une destination qui attire les initiatives de consolidation de la paix. Notre capitale se caractérise par un esprit de solidarité, de respect mutuel et de tolérance ... et que les résolutions adoptées à Astana ont une résonance internationale parce qu'elles incarnent les efforts de maintien de la paix, de partenariat, de tolérance et d'innovation ...Ce forum qui se tient à Astana, consacre cette pratique de la communication interconfessionnelle et le dialogue basé sur des idées novatrices et des nouvelles propositions ».

Les propos du président kazakh Noursoultan Äbichouly Nazarbaïev Nursultan Nazarbaye, à l'ouverture de la sixième Conférence des leaders des religions monothéistes à Astana, capitale du Kazakhstan, les 10 et 11 octobre, reflètent sa vision et dessinent les contours de son initiative lancée en septembre, 2003.

Comme il l’a indiqué lors de la troisième session de la Conférence des leaders des religions, tenue le 1er juillet 2009, "La Conférence des dirigeants de religions monothéistes et traditionnelles, tenue à l’initiative du Kazakhstan, est devenue un instrument efficace du Dialogue des religions dans le monde contemporain qui joue un rôle important dans la

promotion de la compréhension mutuelle entre les chefs religieux, les chefs spirituels et les nations ».

Le président serbe Alexander Fuchs, le grand imam Ahmed al-Tayeb, Cheikh d'Al Azhar, des représentants de diverses religions ainsi que des délégations de nombreuses organisations internationales et régionales concernées par les questions religieuses et son rôle dans la vie publique, participent à la conférence dont la Ligue du monde islamique (Arabie saoudite), le groupe de sainte Ejido (Italie), la casa de l’Asie (Espagne), la Fondation Tony Blair (Angleterre), l’Organisation de l’initiative de Cordoue (Etats Unis), ainsi que le congrès des Religions pour la paix, le Centre international du roi Abdallah à Vienne pour le dialogue interreligieux, l'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO), le Conseil œcuménique des Églises, ainsi qu’un certain nombre de hauts fonctionnaires du Kazakhstan. Plus de 80 délégations de 45 pays, dont 20 de pays islamiques et 15 délégations chrétiennes, ainsi que des représentants d’organisations juives, notamment: l’Alliance nationale pour le soutien aux communautés juives en Eurasie, France, le grand rabbin des ashkénazes et les séfarades de l’État d’Israël, ont pris part aux travaux de cette conférence.

A la lumière des campagnes de déformation

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délibérées menées contre la religion islamique et les tentatives visant à associer la religion islamique au terrorisme ainsi que des campagnes de dénigrement contre certains pays islamiques qui ont maintenu les principes de l'Islam et ses nobles valeurs face à une attaque féroce contre cette religion, il est important de souligner que cette conférence présente un intérêt pour le monde en général et pour notre monde arabe et islamique en particulier.

Partant de ce principe, le présent article présentera la conférence, ses objectifs et ses sessions précédentes, en se concentrant sur la vision égyptienne et saoudienne en tant que deux plus grands pays du monde islamique, sachant que le premier pays abrite Al-Azhar Al-Sharif, le phare de la science religieuse, tandis que le deuxième pays a reçu le message de Dieu et abrite les lieux saints et qui œuvre pour la diffusion des principes et vertus véritables de l’islam à travers le monde.

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Cette conférence renforcera le dialogue international et religieux avec des idées novatrices et de nouvelles propositions.

De ce fait, l’article portera sur les thèmes suivants : La conférence sur le dialogue des religions fait partie de la vision kazakhe pour un monde plus sûr ...

Lancement et objectifs: Au milieu des turbulences vécues par le monde depuis les événements du 11 septembre 2001 et les discours véhiculés sur les affrontements et le choc des civilisations, ainsi que sur les conflits, interventions et guerres qui ont plongé le monde dans la guerre

Encouverture contre le terrorisme, ces clivages ont ravivé l’idée de la colonisation à travers un nouveau prisme tels que l'invasion de l'Afghanistan en 2001, la guerre en Irak de 2003 et l'entrée de nombreux pays dans des guerres civiles qui ont engendré des pertes humaines et économiques.

Dans le cadre de la vision pacifique du président kazakh Noursoultan Äbichouly Nazarbaïev, entré en fonction au Kazakhstan au début des années 90, juste après l’indépendance de son pays en 1991, et qui dans un geste sans précédent a procédé à un renoncement volontaire à l'arme nucléaire, qui pourtant constitue un élément de dissuasion important face aux défis à venir, mais sa vision de la construction d’un monde sûr et exempt de guerre et de conflit a rencontré un réel succès reflétant le succès politique du Kazakhstan et confortant son progrès économique et sa stabilité sociale.

C’est dans cet esprit qu’en septembre 2003, le Président Noursoultan Äbichouly Nazarbaïev a convoqué une conférence mondiale des dirigeants de religions mondiales et traditionnelles, dont l’objectif principal est la formulation du dialogue interreligieux dans un monde agité, unissant à cet effet les civilisations par le dialogue et appuyant les efforts de résolution pacifique des conflits. Et en mettant en avant les aspects humanitaires globaux des religions mondiales et traditionnelles, s’appuyant pour cela sur un ensemble de principes centrés sur les points suivants: respect des droits de l'homme, équilibre des intérêts publics et religieux.

Arrimer la coopération mutuelle Afin de mettre en œuvre ces objectifs, conformément à ces principes, la Conférence mondiale s’est assignée comme priorités les principes suivants : - Affirmer la paix, l'harmonie et la tolérance en tant

La conférence joue un rôle important dans la promotion de la compréhension mutuelle entre les chefs spirituels, les religions et les nations.

que principes inébranlables de la condition humaine.

- Instaurer le respect mutuel et la tolérance entre les religions, les sectes et les groupes ethniques.

- Empêcher le recours aux ferveurs religieuses pour aggraver les conflits et les hostilités.

Conférence du Dialogue des religions ... Lecture de ses cinq sessions précédentes Depuis l’inauguration de la première conférence sur le dialogue interreligieux en septembre 2003, il ressort clairement de la revue des cinq sessions de la conférence, ce qui suit: La première Conférence des leaders des religions mondiales et traditionnelles (24-23 septembre 2003) a réuni des chefs religieux et des invités d'honneur de 13 pays d'Europe, d'Asie, d'Afrique et du MoyenOrient au cours de laquelle il a été décidé de tenir régulièrement un sommet interreligieux et de créer un organe de travail (secrétariat) de la Conférence des dirigeants religieux, présidé par le président du Sénat du Parlement du Kazakhstan.

Le Président Nazarbaïev a également annoncé son intention de construire un bâtiment spécial pour la conférence, à savoir, le Palais de la paix et de la réconciliation. Un document final (Déclaration des participants à la première Conférence des dirigeants de religions mondiales et traditionnelles) a été adopté.

2. Deuxième Conférence des dirigeants de religions mondiales et traditionnelles (13-12 septembre 2006), avec 43 délégations représentant 20 pays d'Europe, d'Amérique, d'Asie et d'Afrique. Le thème de la conférence était "Religion, société et sécurité internationale". Un document intitulé "Principes du dialogue interreligieux" a été adopté.

3. Troisième Conférence des leaders des religions mondiales et traditionnelles (2-1 juillet 2009), à laquelle ont participé 77 délégations de 35 pays, dont le titre principal était "Le rôle des leaders religieux dans la construction d'un monde de tolérance, de respect mutuel et de coopération".

Au cours de la conférence, le président Noursoultan Äbichouly Nazarbaïev a proposé de créer un conseil des chefs religieux. Tous les participants à la conférence l'ont soutenu à l'unanimité. Les activités du conseil visaient à promouvoir le dialogue et la coopération avec des forums associés et d'autres organisations internationales.

4. La quatrième Conférence des leaders des religions mondiales et traditionnelles (30 au 31 mai 2012), réunissant 85 délégations de 40 pays du monde, a

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choisie comme thème "Paix et harmonie comme choix de l'humanité". La première réunion du Conseil des dirigeants religieux, qui comprenait des représentants de 14 religions, s'est déroulée dans le cadre de la conférence. Ses principales activités ont été les suivantes: approfondir la compréhension et la coopération entre les fidèles de différentes confessions, renforcer le cadre conceptuel de la plate-forme de dialogue de la conférence, prendre des décisions sur les questions de principe liées aux activités de la conférence avec d'autres organisations et forums internationaux.

-5 La cinquième Conférence des dirigeants de religions mondiales et traditionnelles (11-10 juin 2015) a réuni 72 délégations de 49 pays. Le thème principal de la conférence était "Dialogue entre leaders de religions et personnalités politiques pour la paix et le développement".

Au cours de cette conférence, quatre sessions ont été organisées sur les sujets suivants: - Dirigeants de religions et hommes politiques.

Responsabilité envers l'humanité.

- L'impact de la religion sur la jeunesse. Education, science, culture et information.

- Religion et politique. Tendances et nouveaux horizons.

- Dialogue fondé sur le principe de respect et de

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Cheikh Al-Azhar: Du 11 septembre 2001 au 31 mars 2018, les responsables politiques ont mobilisé, entre le 11 septembre 2001 et le 31 mars 2018, pour les guerres en Afghanistan, en Iraq et en Syrie, l’équivalant du budget d'un grand pays comme l'Allemagne, pour une période de cinq ans. compréhension mutuelle entre les dirigeants des religions mondiales et traditionnelles pour la paix, la sécurité et l'harmonie.

Université Al-Azhar et Conférence sur le dialogue interconfessionnel "Nous n'avons qu'Al-Azhar Al-Sharif et son approche centrale de la lutte contre l'extrémisme. Al-Azhar, en raison de son statut international, joue un rôle majeur dans les affaires des musulmans". Ces propos ont été prononcés par le président du Kazakhstan à

Encouverture l’issue de sa rencontre avec le Dr Ahmed Al-Tayeb, cheikh d’Al-Azhar. Le président a souligné le rôle et la responsabilité d'Al-Azhar dans la défense du véritable islam qui renonce à la violence et lutte contre l'extrémisme et le terrorisme. Il a souligné que: «les clivages et les conflits sont voués à l’échec, et qu'AlAzhar continuera à soutenir toutes les initiatives prises par les musulmans et parrainera toutes les invitations rassemblant des personnes de différentes religions» et que le terrorisme qui est combattu par tous aujourd’hui: «n’est pas la création de l’islam, du christianisme ou du judaïsme, de religions célestes et de messages divins inculqués par les prophètes de Dieu et ses messagers, les prières de Moïse et de Jésus et de Muhammad (Paix et salut sur lui), mais la création de politiques mondiales injustes qui ont perdu la voie et propagé le sens de la douleur parmi les hommes, les femmes et les enfants qui ne peuvent pas trouver la voie ... Les responsables de la politique internationale ont consacré deux billions et demi de dollars à des guerres en Afghanistan, en Irak et en Syrie, du 11 septembre 2001 au 31 mars 2018, soit l'équivalent du budget alloué à un grand pays comme l'Allemagne depuis 5 ans », s’interrogeant - à juste titre -: «Pourquoi? Pour qui? A-t-on pensé à dépenser le dixième de ce montant dans l'intérêt des personnes nécessiteuses et pour lutter contre la pauvreté, la maladie et l'ignorance, pour les affamés, les sans-abri et les personnes déplacées de leur foyer et de leur pays malgré leur nez, au Myanmar, à Jérusalem et ailleurs? " Il convient de noter que l’Initiative de dialogue interconfessionnel n’a pas été soutenue uniquement par la Fondation Al-Azhar en Égypte, mais a

Noursoultan Äbichouly Nazarbaïev: Nous n’avons pas mieux qu’Al-Azhar Sharif et son approche modérée pour la lutte contre l’extrémisme ... Al-Azhar, en raison de son rayonnement mondial, joue un rôle important dans le traitement des questions musulmanes.

activement participé à ses activités depuis son lancement en 2003. L’initiative a reçu un large soutien du président égyptien Abdel Fattah Al-Sissi lors de sa visite au Kazakhstan en février2016. La déclaration publiée à la fin de la visite à l'époque soulignait le soutien de l'Égypte à cette initiative, qui constitue un facteur important dans la promotion du dialogue entre les religions et les civilisations dans le monde.

Elle souligné aussi le désir de l’Égypte de continuer à participer activement et au plus haut niveau à cette conférence, à laquelle a participé le Dr Ahmed AlTayeb, cheikh d’Al Azhar, et a réaffirmé la vision égyptienne de soutenir cette initiative en tant que mécanisme essentiel dans la lutte contre l’idéologie de l’extrémisme religieux, pour un islam pacifique.

L'Arabie Saoudite et le dialogue interreligieux ... des efforts remarquables La participation saoudienne à la Conférence de dialogue interconfessionnel a été remarquable: le Royaume a participé par une délégation de haut niveau représentant le Ministère des affaires islamiques qui a participé activement à la séance d’ouverture de la conférence avec un discours sur la vision saoudienne du dialogue interreligieux. L’accent a été mis sur le rôle joué par l'Arabie saoudite dans le domaine de la lutte contre l'extrémisme religieux et du terrorisme, où les documents de travail ont confirmé que le Royaume était l'un des premiers pays à lutter contre le phénomène du terrorisme avec un grand

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intérêt à différents niveaux et qu'il avait pris des mesures sérieuses pour lutter contre ce phénomène aux niveaux local, régional et international, depuis que le Royaume a signé le Traité sur la lutte contre le terrorisme de l’Organisation de la Conférence islamique (OCI) en mai 2000.

Le Royaume a pris de nombreuses initiatives à cet égard, notamment la constitution de la Coalition arabe et islamique de lutte contre le terrorisme et la création d'un centre d'opérations conjoint dans la capitale saoudienne, Riyadh, afin de coordonner l'appui aux opérations militaires contre le terrorisme et l'élaboration de programmes et de mécanismes adéquats.

Dans le même contexte, le Royaume a organisé la Conférence internationale sur la lutte contre le terrorisme le 5 février 2005 avec la participation de plus de 50 pays arabes, islamiques et étrangers ainsi que de nombreuses organisations internationales et régionales. Le Centre de conseil et de soins du Prince Mohammed Bin Nayef a été créé en 2006 pour rééduquer et éclairer les idées de ceux qui ont été séduits par des idées déviantes.

Le ministère des Affaires islamiques du Royaume a présenté une vision visant à corriger les déviations intellectuelles selon plusieurs axes, dont les plus importants sont: corriger les idées fausses en présentant des preuves tirées du Coran, de la Sunna, de la réalité et des faits, et en fournissant les bases

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scientifiques qui protègent l'individu de tomber dans le piège à l'avenir et pour créer un climat de confiance entre les bénéficiaires et les membres des comités consultatifs. À cet égard, il convient de mentionner la conférence organisée par le Centre international du roi Abdullah Bin Abdulaziz pour le dialogue interreligieux et interculturel à Vienne, la capitale autrichienne, les 26 et 27 février 2018, qui a souligné que l'unité entre les chefs religieux se renforçait et qu’un vif espoir dans la région arabe, porté par les dirigeants chrétiens, juifs et musulmans à la Conférence de Vienne sur la coexistence pacifique et la diversité, faisait son chemin à la faveur d'un dialogue accru.

Conférence interconfessionnelle à sa sixième session ... Lecture dans sa déclaration de clôture Outre la session principale, à laquelle ont assisté le président kazakh Noursoultan Äbichouly Nazarbaïev ainsi que le président serbe et de hauts représentants de délégations officielles de religions et de religions traditionnelles, la conférence a tenu quatre soussessions consacrées au thème de la conférence. La première session a été intitulée " Le 21e siècle en tant que mode de sécurité mondiale ". Elle a connu des discussions sur un certain nombre de thèmes clés, comme: Le monde sûr est une mission mondiale pour toute l’humanité, les grandes orientations du développement de la carte du monde politique et religieuse, et le monde du XXIe siècle en tant que programme de garantie, La décision dans le monde, et la vision du Président de la République du Kazakhstan sur la question du désarmement nucléaire et la non-prolifération.

La deuxième session, intitulée "Les religions dans l'évolution de la géopolitique: nouvelles opportunités pour la solidarité de l'humanité", a abordé de nombreux sujets: Religion et civilisation au 21e siècle: tendances et perspectives de développement, facteurs religieux dans la géopolitique, avenir géopolitique des religions mondiales et traditionnelles et contemporaines dans la géopolitique changeante.

La troisième session, intitulée "Religion et mondialisation: défis et moyens de les affronter", a abordé un certain nombre de sujets, notamment: Les religions en tant que facteurs de la vie politique et sociale dans les pays et les sociétés, le pouvoir spirituel des religions face aux processus mondiaux, la mondialisation: avantages et inconvénients.

La quatrième session, organisée sous le titre "Dirigeants de personnalités politiques face à l'extrémisme et au terrorisme", a examiné un certain nombre de sujets, notamment: le dialogue interconfessionnel et le pouvoir spirituel des religions face à l'extrémisme et au terrorisme, religion et politique: moyens pratiques de lutter contre l'intégrisme et l'intolérance, À Astana:

En

couverture

solidarité des responsables religieux et politiques pour la paix et la sécurité de la communauté internationale. À l'issue de ces réunions, la Conférence a dans son communiqué final intitulé « Déclaration d'Astana » réaffirmé les déclarations précédentes des cinq dernières sessions de la Conférence, soulignant l'importance de la coopération des dirigeants religieux mondiaux et traditionnels avec les institutions gouvernementales et communautaires concernées par la promotion de la coexistence pacifique des peuples et des nations par le dialogue et la diffusion des valeurs humaines positives. La déclaration comprenait également un ensemble de recommandations, dont les plus importantes sont les suivantes: 1. Refus de placer la religion dans les conflits politiques et toutes les manifestations d'égoïsme, de fanatisme, de nationalisme agressif et de discrimination, en insistant sur le respect de l'éthique suprême et sur l'unité des efforts des États pour établir la coopération et le respect mutuel pour la stabilité, la prospérité et la sécurité de tous les êtres humains.

2. Renforcer les efforts des chefs religieux mondiaux et traditionnels en faveur de la stabilité à long terme et prévenir les incidents de violence fondés sur la haine et la discrimination ethnique et raciale.

3. Soutenir la coopération des chefs religieux avec les institutions internationales et les organismes gouvernementaux et communautaires en tant qu'idée clé pour concrétiser les recommandations et programmes importants et urgents visant à assurer la sécurité universelle dans le monde, tout en aidant toutes les sociétés et tous les peuples, sans distinction de race, de religion, de convictions, de langue et de genre, pour une vie paisible.

4. Garantir l'égalité des droits et des libertés pour tous les citoyens, indépendamment de leur appartenance ethnique, linguistique, religieuse, nationale, sectaire et sociale, ou de leur statut matériel et fonctionnel, et de traiter l’autre dans un esprit de fraternité. Les initiatives et les efforts visant à promouvoir le dialogue entre religions et sectes devraient être soutenus comme l'un des aspects principaux et importants de l'agenda pour construire un ordre mondial basé sur la justice et le rejet des conflits.

5. Solidarité avec tous les groupes religieux et ethniques, dont les droits humains ont été violés par la violence, l'extrémise et le terrorisme.

6. Soutenir les efforts visant à protéger les droits, la dignité des réfugiés, leur apporter toute l'assistance nécessaire et d’appeler les personnalités politiques et les médias internationaux à cesser de lier le terrorisme à la religion, car de telles pratiques portent atteinte à

l'image des religions et à la coexistence pacifique, à la confiance mutuelle et à la coopération entre adeptes d'une religion ou d'une autre.

7. Demander aux chefs religieux de diffuser les valeurs de l'Islam, la compréhension mutuelle et la tolérance dans les médias, à travers les réseaux sociaux et les groupes communautaires et de prévenir les provocations et la violence dans les lieux saints de toutes les religions et de soutenir les institutions et les initiatives qui considèrent le dialogue interconfessionnel comme le meilleur moyen de construire une société juste et pacifique.

8. La création du Centre Noursoultan Äbichouly Nazarbaïev pour le développement du dialogue entre les religions et les civilisations, symbole de la reconnaissance de la contribution du Président fondateur de la République du Kazakhstan au processus de coopération internationale pour la paix et la réconciliation.

9. S’attacher à ce que la parole des chefs religieux soit entendue en tant que "voix de la sagesse".

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L’Arabie saoudite a pris de nombreuses mesures face au terrorisme, notamment la formation de l’Alliance arabe et islamique de lutte contre le terrorisme et la création d’un centre d’opérations conjoint à Riyad, la capitale saoudienne, pour coordonner le soutien aux opérations militaires de lutte contre le terrorisme et pour élaborer les programmes et les mécanismes adéquats.

Dialogue interconfessionnel ... les ambitions continuent À la lumière des résultats de la sixième Conférence sur le dialogue interreligieux dont la plus importante a été l’approbation de la proposition de transformer cette conférence annuelle en Centre international de Nazarbayev pour les religions et les cultures afin d’institutionnaliser ce travail mondial. Le Centre est la principale plate-forme d’un dialogue efficace permettant de débattre des diverses questions vitales liées à l’humanité, tout en gardant à l’esprit que la question ne se limitera pas à ce niveau.

Le Centre, ainsi que d'autres initiatives pertinentes présentées par le président kazakh, Noursoultan Äbichouly Nazarbaïev, parmi elles, l’idée d’instituer l'Alliance des Nations Unies contre le terrorisme et l'organisation d'un forum annuel des religions pour la paix et ce dans les pavillons des Nations Unies à New York et qui vise à montrer l’Islam comme une religion de paix et de construction. D'autre part, il est à signaler que une les efforts du Centre vont dans le même sens que ceux d'autres centres régionaux

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et internationaux œuvrant dans le même domaine, notamment le Centre Roi Abdullah Bin Abdulaziz pour le dialogue des civilisations à Vienne, en vue de mettre en œuvre un ensemble de politiques visant à promouvoir le dialogue interreligieux et dont les plus importantes seraient : - Rechercher les racines du problème de la violence et de la pauvreté.

- Prêter attention à l'éducation dans les écoles et les universités, ce qui nécessite de repenser l'évolution des programmes éducatifs, contribuant ainsi à la restructuration de l'esprit des jeunes.

- Préparer et rédiger de nouveaux accords pour réaliser la sécurité humaine.

- Adopter une nouvelle approche pour assurer la sécurité et la stabilité dans différents pays grâce à l’élaboration de plans et de stratégies non conventionnels de lutte contre les actes terroristes.

- Souligner le rôle des chefs religieux dans l'éducation du public en renforçant le rôle des organisations et associations concernées.

-Renforcer les cadres de coopération entre les chefs religieux et politiques afin de résoudre les problèmes et les crises auxquels les sociétés sont confrontées.

- Création d'un fonds pour le forum appelé "Fonds pour la paix mondiale", qui contribuera à son tour au renforcement des efforts des organisations et des institutions travaillant dans ce domaine.

- L’importance de la participation des jeunes aux sessions suivantes de la conférence pour recueillir leurs visions et leurs soucis.

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La guerre est monétaire pour les chinois, elle est celle des taxes pour les américains. Chacun fait usage de l’arme qu’il juge nécessaire.

La Chine fait des chinoiseries aux Américains...

Nasreddine Ben Hadid S’il est une guerre est à la fois, sérieuse et grave pour l’avenir des humains, c’est celle qui se joue entre les deux puissances économiques à l’échelle mondiale, à savoir la Chine et les Etats-Unis. Silencieuse, oui, mais pas autant : Aux menaces fracassantes et au chaud et froid, que versent périodiquement le président américain Donald Trump, les chinois préfèrent jouer entre réponses cadrées, et actions ponctuelles.

Le jeu est crucial. L’enjeu est colossal.

Tant les conséquences sont graves, plus importantes que les défis, auxquelles doit faire chaque pays. La survie même de l’Amérique entant que première puissance.

L’expansion de la Chine, entant que dragon pris d’une boulimie sans limites…

Si pour toute guerre, il faut des armes, la monnaie respective à chaque pays, serait la meilleure. Donald Trump crie même avant d’arriver à la Maison Blanche, au «sacrilège» commis par Pékin qui préfère

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Le secrétaire d'État américain, Mike Pompeo, est accueilli par le ministre chinois des Affaires étrangères, Wang Yi, avant leur rencontre dans la Grande Salle du Peuple le 14 juin 2018 à Beijing, en Chine. (Getty Images)

jouer dans la dévaluation. Les Chinois, en parfaite maitrise de leur calme, jouent la «prolongation». Comprendre dévaluer encore plus la monnaie, de quoi diminuer la recette en dollars, mais certainement garder et pourquoi pas augmenter les parts de marchés à l’échelle mondiale.

Si le ping-pong était le sport, qui a servi à décongeler les relations sino-américaines, ce même jeu, ou du moins la façon de le jouer, rythme le tac-o-tac entre les deux pays. Aux taxes douanières qu’imposent

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La taille des deux lutteurs, à savoir américain et chinois, fait que cette guerre et son issue, restent d’une grande importance. les Etats-Unis, les chinois opèrent la même action, dans une symétrie parfaite : La Chine a répondu aux offensives de l’administration Trump, en particulier

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l’instauration de tarifs douaniers sur 250 milliards de dollars d’importations chinoises, en mettant en place ses propres tarifs douaniers sur les produits américains, notamment les produits agricoles. La logique dans sa dimension mécanique et fonctionnelle finie à ce point, car en termes de balance économique, l’excédent est certes chinois. Chose qui fait que la chine importe moins qu’elle n’exporte aux EtatsUnis. Donc, moins de recettes grâce à ce jeu de taxe.

En conclusion : les chinois ressentent plus les taxes américains, que les américains ceux des chinois. Ce qui oblige Pékin à chercher de nouvelles façons de faire face à Washington, y compris en imposant de nouveaux obstacles aux entreprises américaines et en sapant les objectifs de politique étrangère américains.

Des drapeaux nationaux chinois et américains sont suspendus sur la place Tian'anmen pour accueillir le président américain Donald Trump le 8 novembre 2017 à Beijing, en Chine. Le président américain Donald Trump commence sa première visite d'Etat en Chine mercredi.

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Le secrétaire d'État américain Mike Pompeo (à gauche) s'entretient avec le conseiller d'Etat Yang Jiechi (à droite) lors d'une réunion à la Diaoyutai State Guesthouse le 8 octobre 2018 à Beijing, en Chine.

(Getty Images)

Constat réel : Les américains veulent attirer les chinois dans le jeu des sanctions. Par contre, les chinois préfèrent le jeu de la monnaie. Aussi, chacun fait mal à l’autre avec son arme. Mais se fait mal aussi.

De quoi délimiter cette guerre dans une logique que les deux camps ne peuvent dépasser. Théoriquement, oui.

Mais, ceci sans prendre en compte la dimension «folie» présente dans toutes les guerres. Certainement, dans celle mettant en défi les américains aux chinois.

«C’était un signal envoyé à Washington pour dire «nous n’aimons pas le jeu auquel

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Chacun fait mal et se fait mal. Un jeu de patience, et de résistance… vous jouez, et si vous continuez d’imposer de nouveaux tarifs douaniers, notre monnaie va s’affaiblir de façon significative et vous devrez faire face à une guerre monétaire en plus d’une guerre commerciale»», explique au sujet de la chute de la monnaie chinoise Robin Brooks, économiste en chef à l’Institut de la finance internationale, l’association internationale représentant l’industrie financière.

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Jean-Luc Mélenchon est à la fois baroudeur et orateur.

Une «gueule» des temps anciens

Mélenchon : Le dérapage de plus?

Nasreddine Ben Hadid

Il est plus que normal et naturel, dirait plus d’une personne, que le leader de La France insoumise, soit «insoumis», tant sa formation a annoncé la couleur de l’insoumission !

«Quel prix va payer Jean-Luc Mélenchon suite à son comportement envers les forces de police et les journalistes?». Il faut rappeler qu’une perquisition a eu lieu de son appartement, des QG de son mouvement et du Parti de gauche, puis après les auditions des cadres de La France insoumise pour étayer l'enquête préliminaire sur le financement de sa campagne présidentielle.

Une affaire de justice, certainement, au moins dans la forme. Mais une affaire «politique» tant Mélenchon ne cesse de crier au scandale de cet «usage de la justice» par le pouvoir exécutif.

Une affaire «politisée» surtout, car les médias ont délaissé ou presque la dimension juridique de cette perquisition pour se concentrer sur les

Si un axe caractérise la friction politique française, c’est celui Mélenchon/Macron.

«dérives» ainsi que l’insoumission du leader la France insoumise.

Il faut dire que cette perquisition est venue, en la goutte de plus qui a fait déborder le vase de la tension politique en France. Dupe est celui qui peut croire, que la situation était calme (ou presque) et que cet «incident» est venu, de rien, créer toute cette électricité dans l’air.

Jean-Luc Mélenchon est à la fois baroudeur et orateur. Une «gueule» des temps anciens. Un visage de cette masse, qui tout en jouant dans la légalité électorale et toute l’armada qui l’entoure, ne cesse d’appeler les Français à s’opposer à la politique jugé trop à droite, et même antisociale.

Si un axe caractérise la friction politique française, c’est celui Mélenchon/Macron. Les deux hommes, avec formations politiques, se vouent une animosité avouée. Emmanuel Macron fait tout pour dégager sa politique de toutes les oppositions qui lui font obstacle. Jean-Luc Mélenchon veut concrétiser cette opposition, et même veut en être le chef, et surtout l’animateur.

Une guerre politico-politique ? Pas vraiment, ou pas uniquement. La presse y est partie prenante, et même partie dirigeante. Car, faut-il le rappeler Mélenchon s’en est pris à certains journalistes lors de la perquisition, allant même à avoir un échange coléreux avec certains.

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Le leader du parti de gauche français La France Insoumise (LFI) et le membre du parlement Jean-Luc Melenchon (C) partent après une audition devant la police anticorruption (OCLCIFF) à Nanterre, dans la banlieue de Paris, le 18 octobre , 2018, dans le cadre de deux enquêtes - une sur l'utilisation par le parti des fonds du Parlement européen, l'autre sur le financement de la campagne présidentielle de Melenchon en 2017.

(Getty Images)

Quel prix va payer JeanLuc Mélenchon suite à son comportement envers les forces de police et les journalistes ?

Vraie perquisition ou réelle instrumentalisation de l’outil judiciaire ? En tout cas, la tension est grande, et le différent est semblable à celui qu’on a toujours constaté dans les pays du tiersmonde, où les rixes politiques se font et se jouent sur fond d’instrumentalisation des outils de l’Etat.

Le chef du parti de gauche français La France Insoumise (LFI) et le député Jean-Luc Melenchon (L) donne un point de presse au moment où il arrive pour une audition à l'office de police anti-corruption (OCLCIFF) à Nanterre, en périphérie de Paris, le 18 octobre 2018. (Getty Images)

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En tout cas, Mélenchon n’a cessé depuis le premier instant de crier au scandale. Et même de parler de dictature. Surfant sur la vague d’une victimisation, que les anti-Macron, sont prêts à croire.

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Cameroun : Paul Biya toujours président...

Par La Majalla Le président Paul Biya, 85 ans dont 35 au pouvoir, a été réélu lundi 22 octobre pour un septième mandat avec 71,28 % des suffrages, alors que l’opposant Maurice Kamto, qui arrive deuxième, parle de «faux» chiffres officiels et revendique la victoire.

Si le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres a «pris note» des résultats et appelé à ce que leq protagonistes d’éventuelles contestations électorales suivent «les canaux légaux», le département d’État américain a relevé «un certain nombre d’irrégularités avant, pendant et après le vote du 7 octobre», créant l›«impression que l’élection n’était pas crédible ou vraiment libre et équitable».

Vainqueur dans neuf des dix régions du Cameroun selon les résultats donnés par le Conseil constitutionnel, Paul Biya a écrasé ses adversaires avec des scores officiels sans appel : 92,91 % dans le Sud, 89,21 % dans l’Extrême-Nord, 81,62 % dans le Nord.

«Nous rejetons solennellement et catégoriquement ces résultats fabriqués et refusons de reconnaître la légitimité du chef de l’État», a réagi Maurice Kamto – officiellement deuxième avec 14,23 % des voix – dans deux vidéos, en anglais et en français, en ligne.

L’opposant, qui revendique la victoire depuis le lendemain du scrutin, annonce des scores différents : 39,74 % contre 38,47 % pour Paul Biya selon ses chiffres «consolidés» contenus dans un «document que (nous) mettrons à la disposition du public».

Les avocats de Maurice Kamto avaient dénoncé des «fraudes massives» et des cas présumés d’irrégularités, preuves à l’appui, la semaine dernière devant le Conseil constitutionnel. «Nous utiliserons tous les moyens de droit pour faire rétablir la vérité des urnes», ajoute Maurice Kamto.

Pour sa première participation à la présidentielle, Cabral Libii, l’un des plus jeunes candidats, est classé troisième avec 6,28 %.

Il est suivi respectivement de Joshua Osih (3,35 %), Adamou Ndam Njoya (1,73 %), Garga Haman Adji (1,55 %), Frankline Ndifor (0,67 %), Serge Espoir Matomba et Akere Muna (0,35 %), dont la candidature avait été retirée la veille du scrutin au profit de Maurice Kamto.

Depuis 1982, Paul Biya règne en maître absolu au Cameroun, où il a tout verrouillé pour assurer son maintien à la tête du pays, s’appuyant sur l’administration et sur un parti-Etat, le

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Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC) qu’il a créé en 1985.

L’annonce des résultats interviendra deux semaines après le vote : au Cameroun, le Conseil constitutionnel étudie les recours postélectoraux avant de proclamer les résultats officiels quinze jours après le scrutin. Ils ne peuvent plus alors être contestés.

Lundi matin, un fort déploiement sécuritaire était visible à Yaoundé aux abords de la Poste centrale où certains avaient appelé sur les réseaux sociaux à manifester contre l’annonce des résultats. Des camions antiémeutes, des militaires et des dizaines de policiers étaient stationnés dans le quartier.

Dimanche, une manifestation à Douala, souhaitée par un député de l’opposition pour «dénoncer les fraudes massives et honteuses» qui ont selon lui, marqué le scrutin, avait été interdite et empêchée.

Une trentaine de personnes ont été arrêtées. «Les personnes qui ont voulu braver (l’interdiction de la marche) ont été interpellées et répondront de leurs actes devant la justice», a indiqué une source administrative. Deux journalistes ont été brièvement interpellés et le député à l’initiative de la marche, Jean-Michel Nintcheu, du Social Democratic Front (SDF), le principal parti d’opposition, a été retenu chez lui par un déploiement policier, selon son parti.

Le président camerounais Paul Biya, en compagnie du président chinois Xi Jinping (non représenté), assiste à une cérémonie de signature au Grand Palais du Peuple le 22 mars 2018 à Beijing, en Chine.

(Getty Images)

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Burkina: Moustiques OGM contre le paludisme....

Par La Majalla

Des moustiques génétiquement modifiés pour lutter contre le paludisme: le projet Target Malaria envisage d›effectuer dans les «prochains mois» un lâcher expérimental, mais le procédé est décrié par des organisations de la société civile qui craignent une «catastrophe».

Le principe: lâcher des moustiques mâles génétiquement modifiés dont l›accouplement avec des femelles sauvages «normales» donneraient des «œufs qui n›arrivent pas à maturité et donc ne sont pas viables», explique le Dr Abdoulaye Diabaté, chercheur principal de Target Malaria (Objectif paludisme), une organisation à but non lucratif.

«Cela permettra de réduire considérablement et en un temps rapide des populations entières de ces moustiques et contribuer à l›élimination du paludisme», assure le Dr Diabaté, soulignant que les méthodes actuelles de lutte contre le paludisme tant en amont qu›en aval (insecticides, moustiquaires et traitements pharmaceutiques en préventif ou curatif) «montrent leurs limites».

En septembre, le projet a reçu l›autorisation de l›Agence nationale de biosécurité pour procéder à des lâchers de moustiques génétiquement modifiés mâles stériles sur deux sites d›étude.

Au Burkina Faso, le paludisme constitue un problème majeur de santé publique avec plus de huit millions de cas estimés en 2016 et 21.000 décès. Au plan mondial, selon l›Organisation mondiale de la santé, «on estime qu›il y a eu, en 216 ,2016 millions de cas de paludisme dans 91 pays, soit cinq millions de cas de plus qu›en 2015. Le paludisme a entraîné 445.000 décès en %90 .2016 des cas de paludisme et %91 des décès dus à cette maladie sont survenus en Afrique ».

Ces «lâchers à petite échelle» permettront «d›acquérir des informations sur le taux de survie quotidien des moustiques mâles stériles, sur leurs mouvements dans le village et sur la capacité de ces moustiques à participer aux essaims».

La technologie, une fois adaptée, pourrait permettre d›éradiquer le paludisme en éliminant le moustique anophèle gambiae et elle sera mise à disposition des autorités des pays où elle aura été approuvée sans coût de licence.

Le Dr Diabaté assure que le projet ne présente pas de risque pour les humains, les animaux ou l›environnement.

Le Collectif citoyen pour l›agro-écologie, regroupant une soixantaine d›organisations, est radicalement contre le projet, estimant que «le

risque zéro n›existe pas, surtout avec des manipulations génétiques».

«Le lâcher des moustiques génétiquement modifiés comporte un risque de catastrophe sanitaire effroyable. La modification du génome d›une espèce vivante peut entraîner un changement de comportement de cette espèce. La technologie à laquelle Target Malaria veut in fine arriver est un forçage génétique qui va amener les moustiques à disséminer un trait de caractère qui va descendre et contaminer toute la descendance de l›espèce».

«Cela est dangereux parce l›organisme du moustique pourrait héberger d›autres types de maladies, d›autres types de résistance par rapport au paludisme», estime le coordonnateur du Collectif, Ali Tapsoba. «Cela peut engendrer la catastrophe».

«Les populations ignorent l›enjeu de ce projet et ses conséquences, alors que d›autres mêmes ignorent la présence d›un tel projet dans leurs localités», affirme-t-il, jugeant «aberrant et impensable que l›agence nationale de biosécurité donne une autorisation de lâcher de moustiques sans un débat public».

Une jeune fille se tient à côté d›une bannière publicitaire pour la lutte contre le paludisme lors d›une cérémonie précédant la finale de la Coupe d›Afrique des Nations 2013 entre le Nigeria et le Burkina Faso, le 10 février 2013 à Johannesburg.

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Une bénévole met son bras dans une boîte avec des moustiques, alors qu›elle teste le savon «Faso», un savon destiné à repousser les moustiques et à protéger les personnes du paludisme, lors d›un test de laboratoire effectué avec des volontaires le 4 novembre 2016 à Ouagadougou. ) Getty Images)

La première dame française, Carla BruniSarkozy (à droite), parle avec des femmes ayant des enfants au centre médical Pissy de Ouagadougou, le 11 février 2009.

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Les sanctions contre l›Iran s’intensifient Les Etats-Unis ont imposé de nouvelles sanctions à l›Iran cette semaine. Le département du Trésor américain a annoncé mardi l’ajout de la Basij, une organisation liée à la Garde de la révolution iranienne, et 22 entités financières associées à cette structure, à la liste des organisations terroristes. Cette décision gèle les actifs de cette organisation et empêche américains de traiter avec elle.

Cette classification confirme l›étendue de l›intervention de Basij dans l›économie iranienne et devrait «avoir un impact supplémentaire» sur les multinationales qui pourraient envisager de traiter avec toute entité iranienne.

Par Joseph Baroudi

Cette décision intervient aussi avant l’entrée en vigueur, le 4 novembre, de l’imposition de lourdes sanctions à l’industrie pétrolière iranienne. Elle entraînera une pression financière sans précédent sur le gouvernement clérical du pays. Des discussions ont également eu lieu sur la possibilité de faire pression sur la Swift (International Financial Telecommunication Association), un réseau international qui échange des messages et des informations sur les paiements et les envois de fonds, afin de rompre ses relations avec l›Iran. La décision est controversée en raison des conséquences imprévisibles sur les marchés internationaux et les entreprises si Swift se résigne. Le conseiller à la sécurité nationale du président américain Donald Trump, John Bolton, a déclaré que la pression sur Swift «en valait la peine», tandis que le Trésor n›a pas émis de position claires concernant la question.

Selon le New-York Times, la Maison Blanche compte sur l›Arabie saoudite pour que le pétrole continue d’irriguer le marché, suite à l›arrêt de l’exportation du pétrole iranien, comme prévu, sans provoquer une hausse des prix, ce qui lui permettrait la mise en œuvre de sa politique de confinement de l›Iran dans le Golfe.

Pendant ce temps, le Congrès intensifie son action contre l›Iran et ses mandataires à un rythme rapide. Le 11 octobre, le Congrès a approuvé à l›unanimité une loi modifiant l›interdiction du financement international du Hezbollah. Le projet de loi imposera des sanctions supplémentaires à diverses entités et activités du Hezbollah, y compris ses institutions bancaires, ses projets de collecte de fonds, et entravera le développement des relations extérieures déployées par son empire médiatique.

Cela facilitera également le ciblage de la coopération entre le Hezbollah et les cartels internationaux de la drogue, du blanchiment d›argent et d›autres activités.

Quel a été l›impact de ces efforts?»Je conviens avec les propos du guide suprême (l›ayatollah Khamenei) ... que les problèmes fondamentaux de l›économie iranienne sont internes, et non à cause des sanctions qui lui sont imposées», a déclaré Patrick Clausen, directeur de la recherche à la Washington Institute for East Policy dans un entretien au National Interest à washington . Il a ajouté que l’ administration de Rouhani n›a pas pu tenir ses promesses en termes de croissance économique, un problème qui avait exacerbé les tensions entre l›État et son peuple, en plus d’une corruption qui devient de plus en plus endémique. Il a précisé que l’administration Trump se prépare à obtenir un résultat, qui est peut-être déjà atteint, si l›économie iranienne s’affaiblit.

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Issue 1717- Octubre 26/10/2018

Un magazine politique hebdomadaire

Amina Khalil: Ma vie privĂŠe est une ligne rouge www.majalla.com

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Adel Abdulmahdi... chargé de former le nouveau gouvernement irakien

Le fils du ministre, devenu Premier ministre Texte: Moncef Mazghani Dessin: Ali Mendalaoui

(1) Adel Abdulmahdi Hassan Nasser Al-Montafki, est le Premier ministre chargé de former le nouveau gouvernement irakien, depuis octobre 2018.

- La décision de le nommer, émane du Président de la République d›Irak.

(2) Il a grandi dans une famille politique - Adel Abdulmahdi a grandi dans la maison de son père Abdulmahdi Al-Muntakfi (-1889 1972), engagé dans la vie politique et l’un des protagonistes de la décision irakienne du début du XXe siècle.

- Cela signifie que ce ministre n›est pas étranger aux ambiances politiques irakiennes, au niveau national, arabe et mondial.

- Son père a occupé de hautes fonctions, notamment: ministre de l›éducation en Irak, entre 1926 et 1927, dans le gouvernement du premier ministre de l›époque, Jaafar al-Askari.

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Le doctorat reporté - Adel a tenu à accomplir un cursus académique, couronné par une licence en économie à Bagdad, puis un master en sciences politiques, suivi d›un en économie politique en France.

- Mais des raisons politiques majeures l›ont empêché de soutenir sa thèse de doctorat.

(4) Etre fils de ministre ne constitue pas un diplôme.

- Quand Adel est né à Bagdad en 1942, son père avait déjà terminé sa carrière politique.

- L’obsession des affaires nationales en Irak, s’est transmise de père en fils.

- Adel ne s›appuyait pas uniquement sur l›héritage politique de son père, mais tenait beaucoup à son niveau d›instruction et à sa participation aux affaires publiques.

présidence, disposant du droit de veto.

- Vice Président de la République.

- Le dernier en date, est Premier ministre.

(5) Concernant le père ministre - Abdulmahdi al Mutafki, le père d›Adel, a été ministre de l›Education en Irak entre 1926 et 1927 au sein du gouvernement du Premier ministre Jaafar al-Askari.

- Le père se préoccupait de la classification des œuvres. Son fils Adel qui s’est également occupé de la rédaction et la classification, dispose dans sa spécialité de plusieurs recherches, diffusées à travers maintes publications.

- Mais le fils qui deviendra Premier ministre, n›a pas vu son père ministre. Uniquement, par le biais des dires.

- Tout en tenant compte des circonstances, le parcours et le palmarès d›Adel Abdulmahdi, devenu ministre, est à l’instar de celui de son père, Abdulmahdi al-Mutafki.

(6) Positions avancées - Adel Abdulmahdi a gravi les échelons de différentes responsabilités qu›il a assumées. A savoir: - Ministre des finances dans le gouvernement du président Iyad Allawi.

- Vice-président de la République et membre de la

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(7) La politique entre deux ères.

- Selon un proverbe arabe «tout enfant est image de son père». Aussi, en termes de renforcement du lien parental : «il est plus que naturel que l’enfant ressemble à son père».

- Le fils a dépassé le père en accédant à un poste supérieur...pour devenir Premier ministre en Irak, un pays dont l›histoire a connu de nombreux changements houleux au cours des dernières décennies.

(8) Irak du père et Irak du fils - Il est certain qu›Adel et son père disposent de dénominateurs communs dans l›examen des affaires politiques publiques.

- Même si l’Iraq reste Iraq, l’Iraq à l’aube du XXe siècle n’est pas l’Iraq à l’aube du XXIe siècle.

- Mais il est certain que le Premier ministre irakien est conscient de ces transformations, et dira tout haut : j’y suis… Et ne dira pas : Mon père y était!

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Dans une interview à « La Majalla», elle déclare choisir ses rôles avec ses sensations...

Et n’accorde aucun intérêt aux rumeurs

Amina Khalil: Ma vie privée est une ligne rouge

Le Caire: Issameddine Radhi Amina Khalil a remporté de nombreux succès au cours de la période récente. Aussi bien au cinéma qu’à la télévision. Il a pu aussi gravir les échelons du vedettariat, et décrocher la meilleure place sur les affiches du cinéma.

Elle vit actuellement sur le rythme du lancement de son film «La Tenue», en compagnie de la star Tamer Hosni, en attendant la projection du film «122», où elle y figure en tant que vedette principale.

A travers cette interview accordée à «La Majalla», Amina Khalil lève le coin sur tant de ses secrets, et nous livre son actualité artistique et d’autres détails. * Qu›est-ce qui vous a incité à travailler avec le chanteur Tamer Hosni dans le film «La Tenue»?

- Je souhaite renouveler la coopération avec l›artiste Tamer Hosni après le succès du film «La Tenue», qui a pu battre les records des recettes de la saison. C›est un artiste studieux, qui aime son travail à un degré inimaginable, et qui dispose d’un grand sens de la comédie. J’ai approuvé l›histoire du film, qui est magnifique. Et que le public ne peut oublier. L›œuvre est écrite par Tamer Hosni. Et grâce à Dieu, le film continue de dominer le box-office, en concurrence avec les films en compétition de cette saison. * «La Tenue» est une comédie. Il constitue votre première expérience du genre. Avez-vous hésité à approuver le travail?

- Tamer Hosni est un des artistes avec qui je voulais travailler. A la lecture de l’histoire, j›ai décidé de l›accepter.

Car je dispose d’un sens aigu de la comédie, contrairement aux œuvres qu’on me propose, le film est basé sur une vraie comédie. Tous ceux qui ont visionné le film ont été impressionnés par le rôle que j›ai interprété.

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* Ceci vous encourage à reprendre des expériences comiques ?

- Je vais certainement continuer dans ce style, surtout que les réactions concernant ma prestation, ont été plus que favorables. Mais à condition de trouver des œuvres conséquentes, sans oublier la présence de Stars. J›ai présenté une comédie différente, non traditionnelle. Dieu merci, j›ai été l›un des éléments du succès du film, sans oublier Tamer Hosni, Akram Hosni, la star Dalal Abdelaziz et Majed El Masryvec qui j’ai joué des scènes mémorables tout au long du film. * Vous avez récemment bouclé le tournage du film «122», en compagnie d’un grand nombre de stars. Qu›est-ce qui vous a attiré dans ce travail?

- J›attends avec impatience la projection du film «122», auquel a participé un grand nombre de stars. J’ai du prendre des cours de la langue des signes. Car je présente une jeune fille malentendante, amoureuse de «Nasr» que représente Ahmed Daoud. Ils sont supposés se marier, mais des événements les empêchent. Sous la direction de Yasir Al Yasiri, d’après une histoire de de Salah Al-Juhayni, Tarek Lotfi, Jihan Khalil, Mohammed Lotfi, Asmaa Jalal et plusieurs invités d’honneur, jouent avec moi aussi dans ce film.

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Le travail collectif est ce dont le public se souvient le plus. * Dans ce film vous campez votre premier rôle en tant que vedette absolu au cinéma. Cette expérience a-t-elle tardé?

- Absolument pas, je ne me sens pas obsédée par le vedettariat absolu en soi. Je suis plutôt adepte du travail d’équipe. Aussi, je ne cours pas derrière le vedettariat. Sans oublier que les comédiens du film, sont des stars. Chacun l’est à son niveau.

Les œuvres collectives, sont celles que le public n’oublie point. Je souhaite la réussite à l’œuvre, car elle est d’un genre insolite. A la fois, au niveau de l›histoire, la décoration, la direction et la performance des acteurs. J›espère présenter de superbes œuvres qui figureront dans mon histoire plutôt que de grands rôles. Je suis vedette à travers ce que je représente.

J›ai joué de courts rôles dans les films «Sheikh Jackson» et «Le Trésor», car le travail en soi est d’un excellent niveau.

L›acteur peut être vedette grâce à un petit rôle dans des films importants. C’est mieux que d’être vedette d’un piètre film.

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«Le Trésor» du grand réalisateur Sharif Arafa?

- Le film devait être projeté lors de la saison de l›Aïd al-Adha, mais a été retardé en raison de problèmes liés à la production et à la réservation des salles de projection. J›espère qu›il sera sur les écrans au cours de la période à venir. * La série «N›éteint pas le soleil» est considérée par certaines comme votre meilleure œuvre. Vous attendiez-vous à ce succès?

- Je ne m›attendais pas du tout à ce succès et à des réactions aussi positives au niveau du Monde Arabe. «N›éteint pas le soleil», une série qui traite le quotidien d›une famille vivant une situation particulière. Tirée du roman du même nom, du grand écrivain Ihsan Abdulqudous, c’est une histoire audacieuse pour son époque. L’intervention de Tamer Habib sur ce texte, concernant la famille, sa vie et ses problèmes à travers ses relations avec les autres familles, ont rendu l’œuvre plus appropriée pour 2017. A savoir un conflit humain, que la série a posé sans ambiguïté. Car ignorer les problèmes de la société, ne les feraient guère éclabousser. Par contre les traiter, participera à la résolution. Le succès de la série revient au réalisateur Mohammed Chaker et au scénariste Tamer Habib.

En cas d’opportunité pour une œuvre de qualité, je ne me priverais pas de le présenter. Car la vedette serait le scénario. * Quelle est la raison du report de la deuxième partie du film

* Quelle est l’œuvre qui vous est la plus chère, et que vous voulez représenter à l›écran?

- Je souhaite présenter un film d›action dans lequel je joue les scènes dangereuses sans doublure ainsi que des rôles de «filles du pays». Le plus important demeure la qualité des textes. Car, je n’accepte de présenter d’œuvres mal faites.

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Personne ne m›aide à choisir mes rôles. J’assume cette tache, sur la base de mes sensations, aussi bien pour accepter que refuser * Êtes-vous contrariée par les rumeurs?

- Je n›y pense pas et je n›y réponds pas. C’est pour moi une perte de temps et d›efforts. Je préfère me concentrer uniquement sur mon travail. * Est-il vrai que vous assuriez la conception de vos tenues et celles des artistes qui participent avec vous ?

- Pure rumeur. J›adore la mode, tout en étant actrice, sans forcément être créatrice de mode. La sélection particulière de mes costumes, a fait penser que mes tenues sont ma création. Il est à noter que je tiens à la variation à ce niveau selon mon humeur. Parfois, j’aime porter du jeans, et dans d’autres, des robes. Tout dans le changement. Je suis d’avis que mes vêtements constituent un moyen d’impressionner autrui. Pour ceci, le public constate que mes tenues reflètent ma personnalité. Je choisis ce qui convient à mon âge et à mon corps avec une touche spéciale qui me fait me sentir différente. Ceci dit, j›aime la simplicité. * Qu›est-ce qui vous dérange le plus dans le milieu artistique ?

- La duplicité des normes me dérange. L’égyptien peut accepter pour autrui ce qu’il se refuse. Ceci émane d’une crise plus importante. A soir, qu’il s’octroie le droit de juger, sans se rendre compte que Dieu uniquement dispose de ce droit.

Car le rôle de tout humain est de comprendre et nullement de juger. * Qui vous aide dans vos rôles?

- Personne ne m›aide à choisir mes rôles. J’assume cette tâche, sur la base de mes sensations, aussi bien pour accepter que refuser. Parfois, à la simple lecture d’un texte, je constate sa qualité et je l’adopte. Sans oublier mon souhait que tel de voir tel réalisateur ou tel écrivain, faisant partie. Par contre, si je sens que l’histoire est mal écrite, et qu’elle ne me touche pas, je la refuse. * Où vous situez-vous parmi les artistes de votre génération?

- Je me positionne selon mon mérite. Le public en est l›arbitre.

Je préfère présenter d’excellentes œuvres, sans trop me soucier de la concurrence. Tout artiste dispose d’un public propre. Le public qui me correspond ne l’est pas forcément pour autrui.

Et la scène peut contenir tout le monde.

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* Certains évoquent une prochaine annonce de votre part, celle d’un engagement sentimental?

- Absolument faux. Je n›aime pas que ma vie privée, soit le sujet des médias. Ceci est une ligne rouge. Ma famille ainsi que la personne avec qui je pourrai m’engager, n’ont rien à avoir avec le milieu artistique. Je ne vais pas les mettre sous les feux des projecteurs sans raison. Je suis actrice et toute information concernant cette activité, est pour moi, de loin, la plus importante. L’accès en milieu artistique fut mon choix sans pour autant que ma famille n’en paye le prix. * Quelle est votre prochaine œuvre ?

- Je suis actuellement en période de repos. Tout en recevant un grand nombre de propositions, je ne suis fixée aucune une œuvre en particulier, aussi bien au cinéma qu’ à la télévision.

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Centre hospitalier, de relaxation naturelle et traitement du stress

Les grottes de sel se répandent dans la Monde Arabe Le Caire : Bedria Sayd

Les grottes de sel se sont répandues à travers le Moyen-Orient, destinées à un usage de médecine naturelle, de relaxation et de traitement du stress. Ce genre d’établissement existe dans de nombreuses régions du monde, mais adoptés récemment dans

le Monde Arabe. Même rapidement, dans des pays tels que les Émirats arabes unis, le Koweït et l’Égypte, pour faire part de l’offre du tourisme médical.

La grotte de sel se compose de salles conçues en grottes de montagne, recouvertes de sel cristallin et rocheux, ornées de colonnes et blocs de sel. Le sol, par contre, est entièrement

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La première grotte a été celle de la ville de Charm el-Cheikh, Sinaï Sud. Puis ont été développées d'autres grottes à Taba, Ain Sokhna, Gizeh, et Marsa Matrouh.

Façade d’une grotte de sel dans l'ouest de la ville de Marsa Matrouh en Egypte (Photo: Badria Sayed).

recouvert de sel broyé. Chaque grotte offre des sièges pour la détente, avec un éclairage tamisé, pour profiter du calme et apporter de l'énergie positive. Tout en écoutant de la musique douce pour se détendre.

Le coût de la session dans la grotte de sel varie de 10 à plus de 50 dollars, suivant la qualité du service fourni aux visiteurs.

Dans de nombreuses grottes de sel, il existe des aires de repos, des restaurants, des cafétérias et autres espaces de services et divertissements. Aussi bien pour le patient, que pour ceux qui l’accompagnent.

Les grottes de sel se ressemblent en termes de conception de base. Principalement basée sur des plaques et blocs de sel blanc, bleu et coloré. Ces derniers mois, plus d’une grotte de sel a été ouverte en Égypte. Ce secteur constitue une nouvelle niche, en plus du tourisme des monuments historiques, des croisières sur le Nil, de la plongée dans le sud du Sinaï, et de la baignade sur les rives de la Méditerranée.

La première grotte fut inaugurée dans la ville de Charm el-

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Cheikh, dans le sud du Sinaï. D'autres grottes ont été aménagées à Taba, Ain Sokhna, Giza et Marsa Matrouh. Toutes dépendent du sel de la ville de Siwa, une oasis située à l'extrême ouest de l'Égypte.

Ali Hussein, qui travaille dans une grotte de sel à Gizeh, considère que «la grotte de sel, traite certaines maladies neurologiques et psychologiques, élimine l'énergie négative, soulage du stress, de l'épuisement, du stress et les toxines du corps. Elle est conseillée pour le traitement de la thyroïde, la sensibilité thoracique, et la pression artérielle. Sans oublier les charges nocives dans le corps».

«Le visiteur passe de 40 à 50 minutes dans la grotte de sel à méditer, à récupérer et à inhaler de l'iode,», selon Hussein, qui ajoute : «Ce temps de concentration équivaut à faire asseoir le patient au bord de la mer pendant 15 heures, de manière à saturer son corps en iode, et à activer la

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circulation sanguine et la thyroïde. Ainsi que l’élimination de l’énergie négative, des charges nocives du corps, et des allergies indésirables.

On pense que la découverte de l'importance des grottes de sel, est le résultat d'une coïncidence et de la force de l'observation de médecins européens. Selon un récit, au cours de la Seconde Guerre mondiale, un médecin allemand aurait remarqué une amélioration de l'état de santé de ses patients après avoir été contraints de se cacher dans une grotte de sel lors du bombardement de l'Allemagne à l'époque. Cependant, certains psychologues estiment que le sentiment de récupération du patient au cours des séances dans ces grottes de sel, n'est qu’un leurre, du à l’ambiance psychologique induite. Ainsi qu’à l’effet de la promotion de ce genre de grottes.

Selon Naji Al-Jamal, dermatologue : «Certains pensent qu'un traitement pour les maladies de la peau passe par des séances dans une grotte de sel. L’avis manque de précision». Il ajoute que «l'eau de mer naturelle et la chimiothérapie constituent le traitement meilleur de certaines maladies de la peau et des rhumatismes. Et non étant assis dans une grotte contenant du sel gemme».

D'autres perçoivent la guérison naturelle à travers la grotte de sel comme une sorte de traitement, à l’instar de l'eau sulfurique à Hélouân, au sud du Caire, qui traite de nombreuses maladies.

Et qui sont des lieux naturels, sans aucune intervention humaine, surtout concernant les matériaux qui les contiennent.

Certains pensent que la promotion intensive des grottes de sel, vise à promouvoir le tourisme. Ainsi que le sentiment de confort, de tranquillité d'esprit et de confiance en soi, chez les visiteurs. A l’instar de la grotte de sel de Charm el-Cheikh,

Séance de relaxation dans une grotte de sel

première du genre pour le traitement des affections thoraciques et de relaxation, à Taba, la grotte de sel est riche en iode, brome, magnésium, fer, sodium et potassium.

Selon un voyagiste, pour les clients égyptiens et étrangers résidant à Taba, les grottes de sel sont situées dans les hauts plateaux adjacents à la ville, et la majeure partie du sel utilisé provient de l'oasis de Siwa et de la mer Morte.

Certaines grottes de Taba mesurent environ 100 mètres carrés, ce qui en fait l'une des plus grandes grottes de sel au monde.

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Dans le nord-ouest de l'Égypte, des grottes de sel se sont récemment répandues dans plusieurs régions pour tenter de tirer profit du nombre croissant de visiteurs sur la côte nord, en particulier l’été. La plus célèbre est celle de la ville de Marsa Matrouh, située, à environ 5 kilomètres à l'ouest de la ville.

«La conception de la grotte de sel dans ce village a été réalisée dans le même style qu'en Europe», explique Mahmoud Hussein, l'un des responsables du projet, situé dans un village appelé «Village Bédouin». Des experts en design ont été embauchés, après avoir

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rapporté des tonnes de sel de l’Oasis de Siwa. Soulignant que l'ouverture d'une grotte de sel dans la région des pyramides à Gizeh, près du Caire, s’inscrit dans le même objectif.

Les types de sel utilisés dans la construction des grottes, diffère pour les plafonds, les murs et les colonnes, ainsi que le gravier, qui recouvre complètement le sol. Dans certains pays, une variété de sel est utilisée plus qu’une autre… Ceci, en fonction de l’environnement d’extraction et des possibilités offertes. À Dubaï, la grotte du sel est une destination pour le traitement de quelques 18 maladies, notamment le psoriasis, l'arthrite, l'asthme, l'anxiété, le ronflement, les allergies, le rhume et les otites.

L’expérience arabe dans les grottes de sel, tente de tirer parti de celles d’autres pays, tels que l’Allemagne, qui s’appuie principalement sur la rareté de son sel bleu. Ainsi que sur la méthode de répartition du sel à l’intérieur de chaque grotte, à savoir que certaines salles contiennent au moins 40.000 cristaux de ce sel. «Il y a aussi l'expérience polonaise qui utilisait les grottes de sel pour traitement de l'asthme et exploration des énergies de guérison. Sans oublier que l'expérience ukrainienne et bien d'autres», a conclu Hussein.

Certaines grottes de sel proposent leurs services et tentent d'attirer les visiteurs, en annonçant d'autres traitements symptomatiques courants tels que les problèmes respiratoires chez les fumeurs, et le traitement de la fibrose kystique, en inhalant de la poussière de sel non visible à l'œil nu, selon l’un des responsables de la grotte la plus récente, sise sur la plage de Marsa Matrouh, près de la célèbre plage du Lido.

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Entre silence et hypocrisie, l’industrie alimentaire, continuent à mettre sur le marché de quoi rendre les enfants obèses et menacer de la sorte la santé publique

La nutrition enfantine: Combat de Sisyphe!

Nasreddine Ben Hadid Si la publicité est de nature agressive, concernant les enfants, elle devient vorace. Aussi, si une publicité est contestée, celle adressée aux enfants est la plus problématique. Car elle s’adresse à des mineurs, qui certes, ne sont pas créateurs de richesses, mais disposeraient d’une influence plus que considérable et pèseraient plus que lourdement dans les choix des parents.

Les commissions d’étiques, et autres pouvoirs de contrôles mais aussi de médiations, sont unanimes : Le point faible des enfants, que ciblent des annonceurs, est celui des produits alimentaires.

Et parmi ces aliments, le goûter retient l’attention de toutes les marques.

Dans tous les pays industrialisées et même ceux en voie de développement, la qualité de ces goûters, est mise à l’index.

Au point, où, nutritionnistes, médecins et même les pouvoirs publics, sont en train de lancer des mises-en-gardes.

«Porte d'entrée vers la connaissance, le goût est au cœur de l'éducation». Cette phrase n’a pas été prononcée par un nutritionniste ou un médecin, mais paradoxalement, par le ministre français de l’Education même, Jean-Michel Blanquer.

Plus grave que le constat en soi, il vient en aveu de désolation d’un pouvoir exécutif, qui parait plus que jeter l’éponge : Il l’annonce même…

La publicité adressée aux enfants, est parmi les plus agressives, laissant planer un doute quant à la légitimité de harceler des mineurs.

Les nutritionnistes sont unanimes, sans la moindre discorde : Il faut éviter la nourriture industrielle. De quoi jeter toutes les publicités à la poubelle, mais aussi, faire que des milliers d’usines et autres unités de productions, mettent la clé sous la portes. Et de ce fait licencient des centaines de milliers de personne : Impensable en termes de logique économique, mais surtout en raison de la sacrosainte «raison d’Etat» protectrice de la stabilité sociale. Qui elle-même garante de l’équilibre politique.

Quand Laurent Chevallier, médecin consultant en nutrition, attaché au CHU de Montpellier décrit un bon goûter, il explique bien qu’il faut éviter la nourriture industrielle : «Si la consommation de viennoiseries et biscuits est estimée à environ sept à neuf kilos par an et par habitant, avec une assez grande variabilité de composition, ils ne sont pas recommandés pour des consommations régulières, car ils incitent au grignotage et, en rassasiant, empêchent indirectement de s'orienter vers d'autres produits nécessaires comme les fruits.»

La solution : Penser l’industrie alimentaire autrement, surtout celle destinée aux mineurs. Mais ce grand virage à entreprendre, reste difficile et même impossible, pour ne dire impensable, à l’échelle de la France uniquement. Car la France devrait instaurer des services de douanes aux frontières avec l’Europe !!! Même pas en rêve, répondraient les politiques. Surtout ceux et celles, qui tiennent le destin du pays, ou du moins, participent à Paris, Strasbourg ou Bruxelles, à l’élaboration de la politique aussi bien nationale qu’européenne.

Etrange dilemme : Continuer à pratiquer la politique de l’autruche, tout en lançant des mises-en-gardes, ne mènerait à rien. Entreprendre une refonte de la logique alimentaire en général et enfantine en particulier, relèverait de la science fiction.

Entre silence et hypocrisie, la santé des français se dégradent, et celle des enfants en particulier. La preuve : l’obésité augmente

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Un garçon participe à la course à pied de l'IRONKIDS devant l'IRONMAN 70.3 (Getty Images)

Des écolières participent à une séance de yoga en plein air pour marquer la Journée internationale du yoga à Srinagar.

(Getty Images)

en pourcentage, mais surtout en conséquence immédiate sur le bien-être. La moyenne d’âge d’atteinte des maladies chronique, est en de chuter d’une année à une autre.

Autres que les conséquences sanitaires directes : Le coût de cette

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malbouffe est vertigineux : La Sécu commence à s’écrouler sous le poids du déficit. De quoi penser à mettre la responsabilité aux cous des industriels. Tant les marques de tabac, sont responsables du cancer du poumon.

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Après le quadruplé d’Al-Ittihad d’Alexandrie dans le championnat égyptien ...

Mohamed Youssef a déclaré à La Majalla que son équipe souffrait d›absences répétées

L’entraineur d’Al Ahly : «Nous respectons l›ES Sétif ... Nous sommes confiants de pouvoir nous qualifier pour la finale de la Ligue d’Afrique des champions Le Caire: Abdel Hakim Abu Alam

général et membre du comité du football, en plus de sa qualité de directeur technique adjoint d›Al Ahly, Mohammed Youssef: celui qui gagnera, nous le le français Patrice Cartieron, est conscient de la bénirons et le soutiendrons dans la finale s›il affronte difficulté du match et de son importance pour son club une équipe non arabe, et nous exhorterons celui qui et pour les supporters égyptiens.

Il parle de tous les détails dans cet entretien avec la perdra car il suffit qu›il ait pu atteindre ce stade.

Majalla.

Mohamed Yousuf, l›entraîneur et directeur par intérim de l›équipe de football égyptienne d›Al Ahly, * Pourquoi cette inqui »tude avant d›affronter l›ES a déclaré avant son match contre l›ES Sétif en demi- Sétif? finale de la Ligue des champions à Alger que son équipe souffrait d›une absence récurrente de joueurs - C’est tout à fait naturel… Nous sommes arrivés à ... mais qu’il était confiant d’une qualification et ce l›avant-dernier stade du plus important tournoi du avant qu’Al Ahly ne s’incliné 0-4 face à Al Ittihad au continent, la Ligue africaine des champions, et nous sommes confrontés à une équipe solide dans un dixième tour de la Premier League égyptienne. contexte marqué par des absences massives au sein La première équipe de la Ligue nationale égyptienne de notre équipe… il s›agit donc d›une préoccupation de football traverse une phase très dangereuse lors de normale mais pas d›une peur. sa rencontre à l›ES Sétif, qui se déroulera mardi 23 octobre, au stade du 8 mai à Sétif, en Algérie, au cours * Quelle est la différence entre l›anxiété et la peur en de laquelle Al Ahly a remporté le match aller avec football? deux buts à zéro.

L’entraineur d›Al Ahli, Mohammed Yousuf, directeur - Trop grande… Une anxiété qui ne transcende pas

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Mohamed Youssef avec des joueurs d›Al Ahly lors des récentes séances d’entrainement au Caire.

le cadre naturel est une bonne chose. Cela aide à re penser à tout, à recalculer et à se préparer pleinement à l›adversaire, alors que la peur n›a pas sa place dans le football, un sport qui ne reconnaît pas ce statut…

Car, qui a peur ne joue pas le football.

La sélection malgache a obtenu son billet grâce à un but de Njiva Rakotoharimalala.

* Pourquoi ne craignez-vous pas l›ES Sétif?

Arabes, mais nos confrontations ne sortent pas du cadre du match. L›Espérance sportive de Tunisie, est l’une des équipes les plus importantes du continent ...

On fait un match nul au Caire, on gagne le match à Rades... Vous regardez sur le terrain un match d(une grande intensité, force et enthousiasme, mais une fois que l›arbitre siffle la fin de la partie, nous nous serrons * N’êtes -vous pas inquiets pour l›ambiance? la main avec le plus grand amour, et même ses fans - Non ... Absolument ... Nos relation au sein d’Al encouragent et soutiennent leur équipe avec force et Ahly avec tous les clubs arabes, sont excellentes. une fois le jeu terminé, ils encouragent nos joueurs.

Nous sommes en contact permanent avec ce club, Ce sera la même chose à Setif et rien ne dépassera avant même de nous rendre à Sétif ... Les responsables le cadre du match. Nous sommes frères et celui qui de l›ES Sétif nous ont parlé et nous ont promis le gagnera le match, nous le soutiendrons dans la phase meilleur traitement, comme ils l›avaient été au Caire, finale si l›équipe qu’il rencontrera ne sera pas arabe face à Al Ahly ... Nous avons beaucoup d(adversaires et nous exhorterons celui qui perdra considérant que - Je respecte beaucoup cette équipe, il est le champion de l›Algérie et le dernier détenteur du titre de la Ligue africaine des champions. Il a écarté le Marocain Wydad Casablanca dans les huitièmes de finale, mais nous faisons confiance à nos joueurs.

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c’est déjà un mérite que d’atteindre cette phase-là. * Mais il manque beaucoup de joueurs à Al-Ahly ?

C’est vrai… il y a des absences massives… Il y a la blessure dont souffre le Tunisien Ali Maaloul, et avant lui Junior Ajay et Rami Rabia, en plus du départ d’Abdullah Al-Saeed et à la fatigue de la plupart de nos joueurs internationaux. Cinq joueurs reviennent aussi de leurs blessures, à savoir Ahmed Fathi, Hossam Ashour, Saad Samir, Salah Mohsen et Amr Sulayman, mais nous leur faisons confiance et comptons sur eux pour nous qualifier.

Pourquoi se concentrer avec insistance sur ce tournoi?

- La Ligue africaine des champions est le titre de prédilection des supporters égyptiens. Ce championnat est absent du Caire depuis 2013 et nous voulons le fairecrevenir et jouer dans la Coupe du Monde des Clubs. Ce championnat nous a beaucoup manqué d’autant plus qu’il se déroulera dans un pays arabe chèr à nos cœurs, à savoir les Emirats Arabes Unis. * Quels sont les points forts de l›ES Sétif?

- À mon avis, c’est une équipe au jeu collectif ... Elle a de bons joueurs qui sont jeunes et qui disposent d’un dispositif technique de haut niveau. ils joueront aussi chez-eux et en présence de leurs supporters. * Et comment allez-vous y faire face?

compétitions auxquelles il participe?

- Nous avons une grande expérience et beaucoup de confiance dans notre équipe.

Cette saison est la plus difficile pour Al Ahly au cours des dix dernières années ... non seulement en raison de la vigueur de la compétition, mais aussi de * L›issue du match du Caire sera-t-elle un facteur la fréquence des matches avec une liste comportant décisif?

25 joueurs mais participant à quatre tournois en même temps. Nous jouons dans la ligue nationale, la Coupe - Nous avons demandé à nos joueurs d›oublier la d›Egypte, la Coupe Arabe des clubs Champions et victoire au match aller avec deux buts. Je leur ai dit nous avons beaucoup de joueurs blessés et beaucoup de considérer cette rencontre comme un match à part. d’autres fatigués.

Nous allons jouer pour une victoire ou un match nul en Algérie. * Y-a-t-il un nouveau apport en joueurs ? * Loin de la Ligue africaine des champions ...

Nous avons d’excellents joueurs Voyez-vous Al Ahly capable de remporter toutes les

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et, en janvier,

Khalid Kamar AlIttihad d›Alexandrie a marqué le deuxième but d’une série de quatre buts qu’il a logé dans le but du club égyptien Al-Ahly.

Juniors Ajay aura récupéré, ainsi que Ali Maaloul et Rami Rabia. Ce sont de bons joueurs. Il y a également des pourparlers avec le comité du football dirigé par le légendaire Mahmoud Al Khatib, pour recruter de nouveaux joueurs recommandés par le français Patrice Cateron . * Qui sont ces joueurs?

Son système ... Nous travaillons tous dans ce club par amour parce que nous sommes d’abord ses enfants ...

Il existe un «système» sur lequel nous nous adossons .. Chaque personne a un rôle auquel il s’en tient, ne s›en écarte pas et ne s›immisce pas dans le travail des autres ... Nous nous complétons et ne nous affrontons pas ... Alors, c’est le système qui domine tous et tout le monde fonctionne comme les aiguilles d’une horloge.

À Al-Ahly, nous ne citons de noms qu›après le contrat officiel, il n›est pas correct de dire ou de mentionner Et puis, il ya un autre élément important, ce sont les le nom d›un joueur alors qu’il évolue encore dans une masses qui populaires qui adorent ce club follement.

Ils constituent un terrible acteur qui dépasse la barre autre équipe. des 70 millions de personnes qui soutiennent ses joueurs d’une manière que vous ne pouvez guère * À votre avis ... Qu’est-ce qui distingue Al Ahly ?

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