LYONPEOPLE JUILLET AOUT 2010

www.lyonpeople.com

LEs 21 REnDEz-vOus

qu’il ne fallait pas rater

N°99 - Eté 2010

LES HaLLES DE LyoN EN GUERRE CONTRE GÉGÉ

HÉLIE DE SAINT MARC Monument d’honneur roLaND BErNarD CHEvALiER DE LA LÉGion D’HonnEuR HAuTE GAsTRonomiE BOCUSE D’OR EUROPE SPECiaL FETES TOQUES AND GREEN RALLYE SMART LE BOUDOIR EN ROSE

ERIC OBEUF Bons baisers de Saint-Tropez

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EDiTo Eté 2010

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EAU NOUV C E I SERV SS E EXPR

QUaND La CriSE NoUrriT La CriSE

T

raditionnellement, le mois de juin est le mois de toutes les fêtes. Malgré la météo maussade et la crise persistante, cela a encore été vrai cette année, comme en témoigne le volumineux cahier que nous leur consacrons en seconde partie de notre magazine. Des évènements qui resteront gravés dans nos mémoires de papier. A deux exceptions près, cependant. La tour Oxygène et le nouveau site d’Apicil sont les deux déceptions de ce premier semestre. Au vu de l’ampleur des investissements réalisés, on s’attendait à des fêtes grandioses, à la hauteur des profits dégagés par leurs commanditaires. Rendez-vous en page 8 pour connaître notre sentiment sur le lancement en catimini du nouveau building de Sogelym Steiner. Quant à l’inauguration minimaliste du nouveau bâtiment d’Apicil à Vaise (50 invités), elle nous renvoie à un Lyon gris et planqué qu’on croyait disparu. C’est là que les responsables concernés sortent les parapluies : en période de crise, il ne faut pas faire d’esbroufe. Encore moins dans le bling bling (le nouveau tabou du moment). Néanmoins, en organisant une inauguration digne de ce nom, Apicil aurait fait d’une pierre deux coups. D’une part, il aurait ravi ses nombreux clients (dont nous sommes) qui contribuent par leurs cotisations à l'excellente santé du groupe. C’est bon pour le moral. D’autre part, il aurait fait travailler directement une bonne quinzaine d’entreprises lyonnaises (imprimeur, routeur, sécurité, hôtesses, traiteur, vignerons, photographes, agence événementielle, sonoriste, éclairagiste, vidéo…) sans compter les sous-traitants et autres fournisseurs. Morale de l’histoire : la sortie de crise, mieux vaut la provoquer que d’en parler…! Marco

Lyonpeople.com n°99 - Eté 2010 Sur une idée originale de Marc Engelhard et Nicolas Winckler Couverture : © jean-Luc mège Directeur de la publication nicolas Winckler nicolas@lyonpeople.com - rédacteur en chef marc polisson marco@lyonpeople.com - Graphiste maquettiste Elodie Aguettant pao@lyonpeople.com Conseillère éditoriale Françoise petit francoise.petit@lyonpeople.com Webmaster Fabrice schiff webmaster@lyonpeople.com. ont collaboré à ce numéro Christophe magnette, Julien smati, nadine Fageol, Adeline Grégoire, Alain vollerin, Lilou, Jean-marc Requien et yves Espaignet.

Photographes Jean-Luc mège, Fabrice schiff, saby maviel et Lionel pinar.

Chef de Publicité séverine Ciampi severine@lyonpeople.com 06 11 19 04 43 attaché commercial Bruce mathieu bruce@lyonpeople.com

100 000 lecteurs tous les mois

Etude médiamétrie - 05/2005

Lyonpeople est certifié par l’ojD Bp 6171 - 69469 Lyon Cedex 06 rédaction Tel 04.72.82.97.78 Publicité Tel 04.72.43.02.47 Fax : 04.72.43.92.05

supplément gratuit du www.lyonpeople.com. impression Chirat. ne peut être vendu. ne pas jeter sur la voie publique. La reproduction des textes, dessins et photographies publiés dans ce numéro sont la propriété exclusive de Lyonpeople, une marque de Jetpeople.com sARL au capital de 186 420 €. RCs Lyon 493 132 252. Elle se réserve tous droits de reproduction dans le monde entier. Dépôt légal à parution. issn : 19527772. Abonnement pour 1 an = 49 €. Abonnement à vie = 399 €.

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SommairE Eté 2010

NEWS 8 La vie lyonnaise 10 La vie juridique 12 La vie économique 14 Brèves de comptoir P. 8

PEoPLE

18 Roland Bernard 22 Eric Obeuf

30 Hélie de Saint-Marc

36 Saâd Bendourou 38 Maier Vintage

P. 22

STyLE

40 Auto 42 Food

44 Villa Marie 46 Kenzo Shopping P. 44

VU !

48 Mois par moi

52 Les 21 soirées

qu’il ne fallait pas rater !

P. 57

ET aUSSi…

82 Carnet mondain

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d’infos sur

www.lyonpeople.com

P. 82

Juin 2010

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NEWS LA VIE LYONNAISE Par Marc Polisson

EN BREF COUPE DU MONDE Des Lyonnais exemplaires

TOUR OXYGENE INAUGURATION MANQUEE

Inutile d’épiloguer sur le cauchemar français en Afrique du Sud, mais dans cette ambiance "caillera land", il faut souligner l‘attitude et l’état d’esprit des joueurs de l’Olympique lyonnais. Au milieu de ce festival de vulgarité encapuchonée, Jérémy Toulalan et Hugo Lloris ont tenté de porter haut les couleurs françaises. Pour les soutenir malgré tout, Richard Brumm, Guy et Pascale Mathiolon, Olivier et Xavier Ginon, et bien entendu Jean-Michel Aulas avaient fait le voyage. Ils en conserveront certainement un souvenir impérissable…

Nora Berra Croc en jambes

En matière de notoriété , Lyon la timorée a encore passé son tour

L

e 4 janvier dernier, le monde entier avait les yeux tournés vers Dubaï, qui inaugurait en grandes pompes Burj Khalifa, la tour la plus haute du monde (photos ci-dessus). Le petit émirat, que l’on disait en perdition, répondait de façon magistrale et éclatante à ses détracteurs. Six mois plus tard, Lyon inaugurait sa Tour Oxygène… Nous n’avons pas de photos à vous montrer car l’évènement est passé complètement inaperçu… même des Lyonnais. Certes 1 500 personnes ont assisté au cocktail mais avouez que sur une agglomération de 1 400 000 personnes, ça fait peu. D’un côté, une tour qui fait le tour du monde. De l’autre, celle qui fait le tour du microcosme… Point commun : les deux évènements ont été conçus par des Lyonnais. A Dubaï, Pierre Marcout (Prisme International) a mis ses «corones» sur le billot et monté en 6 semaines l’un des plus beaux shows de sa carrière. «Si ça n’avait pas marché, on sautait !» avoue le frère de Jacques avec le recul. A Lyon, sur injonction de Sogelym Steiner et Unibail-Rodamco, Carole Dufour (Idées en Têtes) et Xavier Dullin (Package) nous ont servi un spectacle minimaliste et décevant. Certes les budgets ne sont pas comparables mais s’il avait été acté, l’embrasement de la Tour Oxygène serait lui aussi passé en boucle sur les télés françaises et aurait constitué un formidable pied de nez à la crise. Mais entre les ambitions internationales que nourrit Gérard Colomb pour sa ville et le manque de panache de ses élites économiques, il y a encore un fossé que notre candidat à la présidence de la République aura bien du mal à franchir.

Remise des insignes de chevalier de la Légion d’Honneur à Roland Bernard. Après son discours, très élégamment perchée sur ses hauts talons, la secrétaire d’Etat aux Ainés a trébuché en descendant de la tribune. « Ce n’est pas moi qui l’ai poussée ! » déclare en riant Gérard Collomb qui la suivait de près.

Hamelin, Broliquier, Havard ont également juré qu’ils n’y étaient pour rien ! Et pour cause, ils ont brillé par leur absence...

ROLAND GARROS 2010 On vous salue Marie Ne parlez pas de retraite tennistique à Marie Roussille ! Ni de baby blues post GPTL ! A l’occasion du Grand Chelem parisien, la papesse des relations publiques sportives a reçu au Roland Garros Country Club de nombreux chefs d’entreprise dont le président Aulas le jour de la finale. L’occasion pour nos Lyonnais de croiser de sémillants people dans les allées du village le plus VIP de France. Rendez-vous avec Marie à l’Arena de Montpellier en octobre prochain. Lyon People sera du voyage… La vidéo sur www.lyonpeople.com

Marie Roussille et Jean-Michel Aulas

TELEX

Bruno (Augis 1830) et Agnès Cromback (Tiffany) avec Réjane Lacoste

Suite au succès de Courir pour Elles (650 féminines rassemblées au Parc de Lacroix-Laval), Sophie Moreau a reversé les bénéfices aux associations caritatives sélectionnées pour cette première édition.

Soit un montant de 15 000 euros. Bravo ! n n n Forts du succès de l’édition lyonnaise, les anciens de Sepelcom croyaient dur comme vert à la transplantation parisienne du Salon des énergies renouvelables alors que les patrons de GL Events étaient dubitatifs. Après plusieurs années de tergiversations, ils se sont laissés convaincre. Bien leur en a pris, puisque le salon parisien qui s'est déroulé le 15 juin a été un franc succès. n n n L’agence de publicité Brain Storming fait l’objet d’une procédure de sauvegarde (TC 29/04/2010). n n n Le magazine Cote a été liquidé (TC 15/06/2010).

8

ÉTÉ 2010

Pour ceux que l’histoire de Lyon passionne, nous conseillons cet ouvrage de Philippe Valode et de Francis Guyot qui retrace les parcours de Victor Augagneur, d’Edouard Herriot, de Louis Pradel, de Francisque Collomb, de Raymond Barre et de Gérard Collomb.

Editions Lyonnaises d’Art et d’Histoire 191 pages – 20e

Photos © Fabrice Schiff et DR

7 Maires de Lyon depuis 1900

EXCèS DE ViTESSE Tous LEs RisQuEs EnCouRus

Il existe aujourd’hui différentes limitations de vitesse de circulation en fonction du type de route emprunté : 50km/h en agglomération, ou 30km/h dans les « zones 30 », 70km/h sur les routes nationales ou départementales, 90 km/h sur le réseau secondaire, 110 km/h sur les voies rapides et sur l’autoroute en cas de pluie et enfin 130km/h sur autoroutes.

N

aturellement, le dépassement des vitesses maximales autorisées vous expose, non seulement à une mise en danger pour vous-même et pour autrui mais encore à des sanctions pénales et administratives lourdes prévues par les articles R 413-14 du code de la route. Ainsi, il convient de savoir que les dépassements de vitesse entrainent, outre le paiement d’une amende, les retraits de points suivants : Dépassement inférieur à 20km/h : 1 point Entre 20 et 29 : 2 points Entre 30 et 39 : 3 points Entre 40 et 49 : 4 points 50km et plus : 6 points outre le retrait de points, un dépassement de la vitesse de plus de 30km/h vous expose également à une suspension de votre permis de conduire pouvant aller jusqu’à 3 ans ! En outre, en cas d’interception par les services de police et de verbalisation pour un excès de vitesse supérieur à 40km/h, une rétention immédiate de votre permis peut être effectuée pour une durée maximum de 72h. pendant ce délai, le préfet peut prendre une mesure de « suspension administrative » de votre permis de conduire ne pouvant excéder 6 mois. Dans ce cas, il vous faudra attendre d’être convoqué devant le tribunal de police pour connaitre la sanction judiciaire qui sera prononcée : en général, une amende et une nouvelle peine de suspension de votre permis dite « suspension judiciaire » de laquelle il convient de déduire la durée de la suspension administrative déjà effectuée. pour un excès de vitesse de plus de 50km/h, les sanctions encourues sont les mêmes. Cependant, si l’excès de grande vitesse est une contravention de 5ème classe, il devient un délit s’il est commis en état de récidive légale, c'est-à-dire dans les 5 ans suivant une précédente condamnation. vous comparaitrez alors devant le tribunal correctionnel et encourrez une peine d’emprisonnement pouvant aller jusqu’à 3 ans. Attention, le permis blanc qui permettait d’obtenir un aménagement de la suspension n’existe plus. Enfin, les amendes encourues sont les suivantes : 90 € si vous réglez dans les 3 jours suivant l’infraction, 135 € au-delà des 3 jours et avant l’expiration du 45ème jour, 375 € au-delà pour l’amende forfaitaire majorée. une amende pouvant aller jusqu’à 1500 € peut être prononcée, par le tribunal, pour le grand excès de vitesse. O Maître Aurélie Cottendin Aurélie Cottendin Avocat - Droit routier - 54, cours Lafayette - 69003 Lyon - 04 37 45 42 45 Courriel : ac@cottendinavocat.fr - Site web: www.cottendinavocat.fr 10

ÉTÉ 2010

TELEX QUaND FiDaL CHaPEroNNE GEoLiD Fidal, premier cabinet en droit des affaires en France, accompagne Geolid, éditeur lyonnais de marketing on line, lors d’un premier tour de table de 1,8 millions d’€ avec A Plus Finance, visant à favoriser son développement hexagonal. Dix-huit mois après un premier tour de table d'amorçage qui lui a permis de collecter 250 K€ auprès de trois business angels de la région lyonnaise, Geolid concrétise une augmentation de capital de 1,8 million d’€ auprès d'A Plus Finance. Cette levée de fonds devrait permettre à la jeune start-up innovante d‘implanter une nouvelle agence commerciale dès septembre à paris et de recruter une trentaine de commerciaux d’ici la fin de l’année. Geolid - conseillée par Fidal depuis sa création en mai 2008 - développe et distribue de nouvelles solutions de référencement sur internet à destination des pmE, TpE, réseaux de franchises et artisans. La société se positionne ainsi sur le marché prometteur de la publicité locale sur internet, et ambitionne de devenir d’ici trois à cinq ans l’un des acteurs européens incontournables de ce secteur. Elle emploie actuellement une dizaine de personnes et envisage de réaliser un chiffre d’affaires de 800 K€ cette année. L’équipe corporate de Fidal à Lyon (anne-Fréchette kerbrat, associée, assistée d’Eric reynaud, collaborateur) a conseillé Geolid et ses fondateurs dans le cadre de cette opération.

aVoCaTS ET PôLE EmPLoi maiN DaNS La maiN Début juin, pôle emploi Lyon Cadres, représenté par sa directrice anne Vandenberg, et l’ordre des avocats du Barreau de Lyon via son Bâtonnier, maître myriam Picot, ont signé une convention qui vise à assurer un accompagnement personnalisé aux demandeurs d’emploi porteurs d’un projet de création ou de reprise d’entreprise. il faut dire que l’ordre des Avocats de Lyon mène depuis plusieurs années des actions de coopération en vue d’accompagner le dirigeant d’entreprise tout au long de son activité, confirmant ainsi la place prépondérante de l’avocat dans le processus de création et de transmission de l’entreprise.

Dans le même temps, pôle emploi a développé une offre de service spécifique pour les porteurs de projets qui souhaitent créer ou reprendre une entreprise. C'est donc naturellement que les deux partenaires ont décidé de mettre en commun leurs compétences afin de proposer information, conseil et accompagnement aux demandeurs d’emploi qui souhaitent créer ou reprendre une entreprise. La convention signée entre les deux partenaires, leur permet de bénéficier gratuitement de l’expertise de l’ordre des avocats. Les demandeurs d’emploi inscrits au pôle emploi Lyon cadres, dans le parcours création ou reprise d’entreprise, pourront quant à eux échanger lors d’un rendez-vous avec un avocat ; ces rencontres sont planifiées, en lien avec leur conseiller référent.

Photos © Fotolia et Fabrice Schiff

NEWS LA VIE JURIDIQUE

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Par Yves Espaignet

Lyon tient son « Université d’été de la Mode »

Une université d’été entre Rhône et Saône, il ne s’agit pas d’un des multiples carrefours politiques qui ponctuent l’actualité estivale, mais de celle de la mode ! Une université de la Mode peut surprendre certains esprits tant ce domaine d’enseignement et de recherche semble inhabituel.

I

l suffit d’écouter la directrice du département, Martine Villelongue, dans sa démonstration sur les influences orientalistes dans la Haute Couture occidentale et notamment française pour comprendre tout l’intérêt de ce département de l’université Lyon II dans le soutien qu’il peut apporter à une filière durement touchée par la concurrence internationale. Indépendamment du secteur «textile», l’activité «habillement» en Rhône-Alpes représente plus de 500 entreprises, 7500 salariés et un chiffre d’affaires dépassant les 1,7 milliards d’euros… Le cours d’économie s’arrête là. L’événement est ailleurs, dans l’organisation chaque été depuis 2003 d’un véritable cursus universitaire consacré à la mode. Les étudiants et les jeunes professionnels étrangers sont «managés» désormais par une jeune designer en maroquinerie d’origine lilloise, Estelle Bollengier, primée «Griffe Lyonnaise» en 2007. «Ils viennent pour se confronter à la création française au travers de la réalité lyonnaise. Il s’agit d’un cycle complet bilingue avec des cours donnés par les enseignants de Lyon II et des visites d’entreprises de la région» précise cette dernière. Les cours portent notamment sur le «business» de la mode car la finalité est avant tout économique même si le rayonnement de la ville n’est pas à minorer : «Il s’agit avant tout, pour eux, de se familiariser avec notre filière, sa culture, afin de mener à bien leurs activités» prolonge Martine Villelongue.

Le postulat de la réussite est simple : la mode exige une parfaite maîtrise technique par le choix et le travail des matériaux mais cela ne suffit pas ! Pour parvenir au succès, il est indispensable d’allier l’esprit de création. Aussi «l’intelligence de la mode» est de rechercher à tous les stades, depuis l’élaboration à la distribution, la meilleure synergie. La démonstration par l’exemple suit… « En effet, nous les emmenons visiter les plus grandes entreprises régionales comme le Roannais Devaux SA, Broderie Deschamps à Pontcharra, le passementier Julien Faure à Saint-Etienne ou encore Hermès à Pierre Bénite » précise Estelle Bollengier. Pas question d’oublier des acteurs innovants comme l’atelier croix-roussien de recyclage artistique, Art-Gens, qui conçoit des accessoires, Laspid au Village des Créateurs, réalisant des vêtements en coton bio issu du commerce équitable. Faire prendre le pouls de la mode à Lyon et sa région, cette ambition se comprend mieux au regard du programme dense offert pendant ces trois semaines car les entreprises tissent des liens avec ces jeunes acteurs internationaux et développement des relais. Dans le même esprit, cette initiative reçoit l’appui de l’association ModaLyon, présidée par Eric Sommier qui place son mandat sur le renforcement des relations entre l’université et les responsables économiques et industriels. Ils témoignent de la même volonté : obtenir une reconnaissance internationale pour l’Université de la Mode. Cette septième édition du rendez vous de l’été y contribue.

TELEX

Eden en force à EuroSatory

Le cluster régional EDEN (European Defense Economic Networks), présidé par JeanLuc Logel, PDG de Centralp Automatismes (Vénissieux) a constitué l’un des centres d’intérêt du dernier

salon EuroSatory, le «mondial» de la défense militaire et de la sécurité qui s’est déroulé à Paris à la mijuin. EDEN compte désormais 41 entreprises rhônalpines, positionnées sur les domaines high-tech. www.eden-defense-cluster.com 12

ÉTÉ 2010

Olivier Luisetti Expert des réseaux sociaux

Les réseaux sociaux font de plus en plus souvent les « unes » de la presse qui souligne l’impact de ces nouvelles formes de vie communautaire dans notre vie. Un Lyonnais, Olivier Luisetti, est sans contexte un spécialiste en ce domaine. Il a plus de 160 000 contacts sur un seul réseau social et anime plus de cinquante réseaux économiques, baptisés par lui «micro-clusters d’expertise». Derrière ces chiffres, Olivier Luisetti dévoile un esprit d’anthropologue des sociétés modernes. Avec un évident sens de la formule, il définit un réseau comme un «écosystème où l’on regroupe des experts» et ce, par un effet de grappe où le cercle ne cesse de s’élargir. Et de souligner : «Depuis le début de mon action professionnelle de développement à l’international pour plus grands groupes, je me suis attaché à fédérer toutes les personnes rencontrées. Il est essentiel d’établir un contact par une relation de proximité tout en sachant la démultiplier avec les relais apportés par l’internet». La problématique d’action économique via les réseaux sociaux constitue son centre d’intérêt pour mener à bien le développement des entreprises (son carnet comprend les plus grands noms de l’industrie française). Sa force est d’en faire un outil d’aide à la décision pour les directions, par des réponses concrètes avec la mise en relation des bonnes personnes au bon moment. « Lyonnais, je considère que l’un des plus bels exemples de ce que peut être un réseau social est OnlyLyon où chacun apporte ses connaissances afin de construire une démarche commune et en bénéficier ». www.luisettinetworks.com

Phoenix Solar rayonne depuis Lyon

La filiale française de l’allemand Phoenix Solar, un des nouveaux géants de l’énergie solaire, a été créée à Lyon-Saint-Priest en 2009. Son PDG, Bernard Mormiche vient de dévoiler, au Salon des énergies renouvelables de Paris, les objectifs de son entreprise. De nouveaux procédés vont permettre de mieux répondre aux attentes des particuliers. Enfin, elle compte s’inscrire dans le schéma de développement rapide du «photovoltaïque» en France notamment par le biais de centrales comme celle lancée il y a quelques mois au Lauzet dans les Alpes de Haute-Provence (puissance 1,5 MW). www.phoenixsolar.fr

Photos © Fabrice Schiff et CCI

NEWS LA VIE ÉCONOMIQUE

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Chapitre 1.

NEWS BRÈVES DE COMPTOIR Par Marc Polisson

Les nouvelles heures du Victoria Hall

Bienvenue chez les nouveaux maîtres des lieux, Ludovic et Samuel Campus qui vous reçoivent en famille, comme deux cousins… Derrière le haut portail, en façade de cette très belle maison de maître, rendez-vous dans une cour pavée, arborée, où l’on peut déjeuner ou dîner à l’abri de l’olivier centenaire… Les tables et chaises d’osier tressé, aux plateaux et services contemporains, se prolongent d’un espace lounge bar où l’on peut, à l’abri des regards indiscrets, prendre un verre sur tapis vert… entourés d’une élégante végétation. Désormais, la terrasse intérieure de la maison vit à l’italienne et en toute discrétion. On accède au Victoria Hall par la rue Garibaldi où un voiturier vous attend, ainsi qu’un parking privé situé au n° 353 de la dite rue. Dès la pelouse d’accueil, l’ambiance maison est donnée : parasols, lumière, arbres invitent à la découverte…

Un bistrot comme on aime Entre les halles de la Martinière et le mur peint des lyonnais, le «potager» de Franck Delhoum prend ses aises. Exit le bar Madison, welcome le Bistrot du potager, jouxtant le restaurant qui grignote une vue imprenable sur le fameux trompe l’œil. En couple, avec la délicieuse Maï, notre toque blanche poursuit avec Florian Remont, une belle aventure culinaire à fleur de Saône. En salle, Claire Brillet et Florence Greppo sont de divines complices. L’ex disciple de Bocuse (14 ans de brasserie) attire par son talent les amateurs d’émotions gourmandes et offre aujourd’hui une possibilité de plus à sa clientèle. Petite restauration (de 8h30 à 23h) côté bistrot. Au menu : café crème, croissants ou esprit tapas terroir, terrines, plats simples et vins de discrets vignerons. Une palette de propositions avec en sus de la bonne humeur ! FP 1 et 3, rue de la Martinière - Lyon 1er

Cabale au Canada

Invités par Mumm à l’occasion du Grand Prix de F1, Albert Dray (Café du Pond), les chefs Christophe Marguin et Frédéric Berthod (33 Cité) ont passé plusieurs jours à Montréal et dans la forêt canadienne.

Pour chasser la renne ? « On n’a pas bougé une oreille ! » nous ont-ils assuré à l’unisson…

L’Hôtel de la Cité Concorde Chouchoute ses clientes

Cette fois-ci, l’hôtel de la Cité Concorde a choisi la boutique MAC de Lyon pour offrir à ses clientes une soirée privée placée sous le signe de la féminité, un soir de match de Coupe du Monde.

Démonstration, techniques & réponses à toutes les questions qu'on se pose chaque matin dans sa salle de bains ! Chacune des professionnelles de l’équipe MAC Lyon s'est entièrement consacrée à ces dames pour des entretiens personnalisés: conseils et astuces pour faire du maquillage un moment de plaisir en moins de 10 minutes! Une soirée où chacune a pu suspendre le quotidien pour ne penser qu'à soi et uniquement à soi!

n n n Le restaurant Chabert de la rue des Marronniers a fêté ses 20 ans au cours d’un mâchon matinal dans la plus pure tradition des bouchons lyonnais, en présence de Denis Broliquier, maire du 2ème (photo ci-contre). n n n On a retrouvé Patoche à Villeurbanne n n n Notre magazine est désormais disponible au DéKalé, le petit bistrot haut en couleurs de Sébastien et de Daly, sis à l’angle de la rue Garibaldi et de la rue Tronchet. n n n Yannick Bourgeois-Faucon (L’Auberge du Château à Bully) est l’heureux lauréat du Trophée Jacquart « L’Etoile Montante de la Gastronomie ». n n n Les vendredis soir, c’est au B52 de Dardilly que ça se passe. Ses afterwork cartonnent. n n n Sur le site de l’Antiquaille, à quelques pas de son nouveau restaurant gastronomique, Christian Têtedoie a ouvert Testa D’Oca, cuisine italienne.

Philippe est aux manettes. n n n Crêpes et glaces à la Buvette des Célestins (quai Saint Antoine), le nouveau fief de Jean-David Perthuis. n n n Propriété de Claude Clevenot puis de Jean-Paul Lacombe, Le Coq à Julienas a été racheté par Bertrand Alizer moyennant la somme de 155 000 euros. n n n L’heure de la retraite a sonné pour Marie Danielle qui a confié les clés du Poêlon d’Or (rue des Remparts d’Ainay) à Mickaël Lorini et Yann Lalle. n n n Lundi 7 juin, Fabrice Sommier chef sommelier chez Georges Blanc à Vonnas, a remporté le titre de meilleur sommelier de France de vins de Porto à l’ambassade du Portugal et s’est vu récompensé par Claude Brasseur, président d’honneur du jury de la finale et parrain de cette 14ème édition. n n n 14

ÉTÉ 2010

Photos © Fabrice Schiff

TELEX

LE myTHE GoRDini Au BaroC Renault, la marque au losange vient de rééditer son modèle "Gordini", un mythe des années 70. pour le lancement tant attendu de la petite citadine bleue aux bandes blanches, c'est à l'agence WelcoMm qu'ont été confiées les relations publiques. Durant 3 semaines, ses deux ambassadeurs Claire Faure et romain ont parcouru la ville, ses restos branchés, ses jolies fêtes, afin de créer LE buzz sur le web avec l'impact que peuvent avoir les réseaux sociaux et le marketing alternatif.

LAnCEmEnT Du GuiDE BiEn mAnGER à Lyon L’ESPaCE CarNoT

C’est dans le salon privatif de l’Espace Carnot, la brasserie relookée et relancée avec succès par martine et andré Chapot qu’alain Vollerin et Paule martigny ont accueilli partenaires et kiosquiers à l’occasion du lancement du BmL 2010. Autour d’un dîner concocté par roger jaloux et Cyril romero.

André Chapot et Jonathan Bourru (L’Espace Carnot)

Roger Jaloux, Alain Vollerin et Cyril Romero (L’Espace Carnot)

Sylvie Copeaux, Bernard et Paule Martigny

Pascal Petris (LCL), Martine Chapot et Jean-Luc Coperet (LCL)

Jean-Philippe Arboi (Kiosque Place Bellecour) et Richard Martinez (RM Promotion)

Thierry et Antonia Ordas (Tabac Presse Métro Foch)

Gérard et Marianne Perret (Maison de la Presse)

Serge Petit et Alain Therras (Presse des Lumières)

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NEWS BRÈVES DE COMPTOIR Par Julien Smati

Thierry Philip, Gérard Collomb et Marie-Odile effectuant une tournée triomphale aux Halles lors des vœux 2010.

De l’histoire ancienne !

Les Halles de Lyon en guerre contre Gégé Gérard Collomb aurait-il perdu l’appétit ? A-t-il envie de se voir servi une copieuse soupe à la grimace lors de ses prochaines courses aux Halles de Lyon ? Toujours est-il que sa dernière initiative (malheureuse) brouille encore un peu plus son image et suscite la colère de commerçants qui l’ont toujours accueilli à bras ouverts…

C

limat de guerre froide entre Gérard Collomb, Marie-Odile Fondeur, son adjointe au Commerce, et l'Association des 58 commerçants des Halles de Lyon présidée par Yannis Rousseau. Imposé par la Ville de Lyon, le renouvellement des contrats de concession arrivés à terme (soit 33 boutiques) fait l'objet de tractations tendues avant le vote prévu au conseil municipal du 21 juin. Depuis le déclenchement des hostilités en mai 2010, la mairie centrale n'a reçu qu'une seule fois l'association et émis deux propositions de contrat. Mercredi 16 juin, arriva la troisième et dernière version des contrats proposés. Fin des négociations et état d'urgence déclaré ! La petite association sonne le branlebas de combat pour organiser une rencontre avec la presse dès le lendemain. Dans l’urgence, Gérard Collomb décide d’avancer la date de sa conférence de presse pour la placer juste après celle des Halles ! Le dernier qui a parlé a toujours raison. Gégé prit aussi le soin d'envoyer une taupe (peu discrète en costume 3 pièces-cuisine et attaché case !) afin d'anticiper les questions des journalistes arrivant des halles. Son rapporteur

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lui fit un brief conséquent, engendrant un retard certain à sa conférence initialement prévue à 17h30.

Argument phare de la mairie centrale : Les concessions commerciales des halles doivent être réévaluées pour faire face à un déficit de 100 000 euros (source : association des commerçants des Halles). Un effort sur les loyers que les commerçants acceptent de consentir car il n'est pas acceptable de faire payer le contribuable à leur place. Des propositions de nouveaux loyers et contrats sont faites aux commerçants par la Ville de Lyon. La première offre établit une concession de 7 ans (au lieu des 15 ans habituels) à 219 euros par m2 et par an avec un renouvellement par appel d'offre, au lieu de la tacite reconduction traditionnelle. Cette option permettait de rétablir un équilibre financier mais posait un obstacle majeur aux investissements. « Avec une vue sur sept ou dix ans, un renouvellement non garanti et aucune propriété commerciale, les banques ne peuvent adhérer aux projets des actuels ou futurs entrepreneurs » assure Yannis Rousseau,

président de l'association des commerçants.

Gérard Collomb ferme les yeux sur ce point pourtant crucial pour les entrepreneurs en déclarant que ce problème de banque ne le concerne pas et évoque seulement sa «mission» de mettre au diapason juridique l'ensemble des halles...

Claude Polidori, ancien président de l'association des commerçants, soulève le problème de la dévalorisation des boutiques avec le système de l'appel d'offre. Les locataires entrent dans une précarité certaine et n'ont aucune garantie de conserver leur commerce. Le cahier des charges est établi par la ville pour le successeur. La peur du favoritisme est bien présente.

Gérard Collomb refuse de garantir les transmissions de père en fils, qui ont pourtant constitué l'esprit et la pérennité des halles. Le maire qui se dit soucieux des lois assure que la tacite reconduction est illégale et l'appel d'offre obligatoire.

Un point juridique essentiel contesté par Claude Polidori : « Aucune juridiction n'impose l'appel d'offre, la ville est floue sur ce point ». « De nombreuses procédures juridiques légales peuvent

être mises en place sans appel d'offre » confie Arnaud Languille (Clostan), le traiteur de l'Elysée et du Conseil d'Etat, «ces nouvelles dispositions sont défavorables au bon développement des halles».

«Pourquoi investir dans ces conditions ?» lance le MOF Etienne Boissy qui envisageait de rénover la Fromagerie Maréchal qu'il a repris récemment.

Alain Cellerier a également décidé de geler les projets de modernisation de ses boutiques. Aucune raison d'investir avec de tels contrats et l'heure est à l'inquiétude. «Avec ces contrats, nos commerces n'auront plus de valeurs dans quelques années» renchérit Franck Berthet, nouvel associé de Chez Antonin, «nous en serons réduits à faire de la quantité au détriment de la qualité et de l'investissement.» «Au lieu de chercher l'excellence, nous servirons des moules frites avec du mauvais vin aux étrangers», s'agace Eric Giraud, cogérant de Chez Antonin. «La beauté des Halles vient des investissements réalisés dans l'agencement de nos boutiques» continue Franck. «Nous sommes le troisième lieu le plus visité de Lyon et notre renommée gastronomique dépasse les frontières».

«La mairie n'a toujours pas compris le fonctionnement d'une entreprise» s'exaspère Gilbert

Vincent des Garçons Bouchers. «Elle scrute les chiffres d'affaires mais jamais les charges, les investissements ou les bénéfices !»

La deuxième proposition de la ville offrait une durée de dix ans avec un loyer de 350 euros/ m2. Une augmentation de 131 euros par m2 par rapport à la première offre, soit 150% pour certains. Dernier acte : la formule retenue, sans consultation, fut envoyée le 16 juin par communiqué municipal. Il s’agit d’une concession de 10 ans, 270 euros/m2 et procédure d'appels d'offre pour le renouvellement. Claude Polidori s'étonne de cette valse de chiffres (de 219 à 350 euros) censée répondre au même objectif: couvrir les frais. Gérard Collomb trouve cette variation financière tout à fait logique puisqu'elle suit, selon lui, la durée des concessions : «plus la concession dure, plus son prix augmente, c'est normal !» nous dit-il avec le sourire ! Les frais à couvrir augmentent-ils avec la durée ou est-ce une manière de palier à la disparition prochaine de la taxe professionnelle ? Ces augmentations de loyer coïncident hélas avec les travaux de la tour Incity puis le réaménagement de la rue Garibaldi.

Des années de travaux pour une perte annoncée de chiffre d'affaires. N'oublions pas les graves erreurs du passé avec la délocalisation des Halles en 1971 et la destruction de la magnifique halle des Cordeliers au profit d'un parking. L'histoire du quartier Grolée ne doit pas se répéter car elle serait sans doute fatale à la vitrine de la gastronomie lyonnaise. Alain Cellerier et Claude Polidori avaient demandé il y a longtemps la possibilité de reprendre la gestion des halles, la mairie s'y était toujours opposée. Gérard Collomb trouve aujourd'hui l'option envisageable, sous réserve de vente des murs et des fonds, sous forme de Groupement d'Intérêt Publique. Encore faudraitil savoir à quel prix la mairie accepterait de céder l'ensemble ayant une forte valeur immobilière.

Après la nuit lyonnaise, c’est donc au tour des halles de Lyon d’entrer en résistance contre le maire de Lyon. Un maire que ces deux secteurs professionnels ont pourtant largement contribué à réélire en 2008.

Epilogue : Lors du conseil municipal du 21 juin, loyer porté à 270e/m2/an avec bail de 15 ans.

Reconduction par appel d'offres. O

Le boucher des Halles dépité Maurice Trolliet, le boucher de Bocuse arrivé en 1992, craint pour la transmission de son entreprise à son fils. Prés de 45 ans de travail investis sur la boutique avec l’incertitude de pouvoir rester à long terme.

A

yant de bonnes relations avec Gérard Collomb, il ne comprend plus son attitude distante toute récente : «Il n’écoute plus et ne réunit pas, on ne le voit pas. L’élève de Charles Hernu oublie les leçons de proximité avec les commerçants (Maurice Trolliet était commerçant aux Gratte-Ciel en 1962). Hernu était un maire à l’écoute et travaillait en concertation avec les commerçants». Ses ambitions nationales changeraient-elles notre maire ?

Maurice pense qu’une opération immobilière pourrait voir le jour d’ici dix ans pour délocaliser les Halles, comme cela avait été déjà proposé vers la place de l’Europe. Avec une superficie d’un hectare, les Halles sont dans l’axe de développement de la Part Dieu et des nouvelles tours. Une délocalisation serait un désastre pour les commerçants avec des investissements, en temps et en argent, réduits à zéro. Il s’étonne aussi de la polémique créée par la mairie autour du déficit des Halles. « Aucun chiffre ou bilan ne nous ont été transmis. Les emprunts pour la construction des halles ont été largement remboursés, il s’agissait d’un prêt sur 25 ans. La méconnaissance du métier des commerçants en particulier et du monde de l’entreprise en général peut s’avérer destructrice pour la vitrine gastronomique lyonnaise à l’international ».

Emmanuel HameliN à la rescousse !

Dans le conflit qui oppose les commerçants des Halles à la mairie centrale, le dernier candidat UMP déclaré aux prochaines municipales a choisi son camp. Celui des commerçants. mmanuel Hamelin estime que Gérard Collomb agite des arguments illusoires pour défendre des positions inacceptables : « Les points juridiques évoqués sont faux de toute pièce. Il essaye encore une fois de passer en force ! Les commerçants sont d'accord pour une augmentation de loyer raisonnable pour réduire le déficit de la halle: Passer de 199 euros le m² à 219 euros le m², avec un bail de 30 ans. Cette durée est cohérente quand on veut investir et convaincre les banques. 10 ans de concession comme le propose le maire de Lyon n'est pas acceptable. Pourquoi vouloir mettre en péril un système qui fonctionne, et qui participe à la renommée de notre ville. Au lieu de promouvoir et de développer les Halles, Gérard Collomb les fragilise...».

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Photos © Fabrice Schiff

PEOPLE NEWS

Roland Bernard

Chevalier de la Légion d’Honneur

C’est au sein du quartier qui lui tient à cœur, la Confluence, que Roland Bernard s’est vu remettre par Nora Berra, secrétaire d’Etat aux Aînés, les insignes de chevalier dans l’ordre national de la Légion d’Honneur, en présence de Gérard Collomb, son ami de trente ans et de Gabriel Paillasson, son grand frère.

Une cérémonie durant laquelle le protocole a vite laissé la place à l’émotion et à l’esprit de fête. Bilan : 800 invités conquis. Par Marc Polisson

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Nora Berra « C’est pour la représentante du gouvernement, pour l’élue lyonnaise que je suis mais surtout l’amie, une joie, et un moment particulièrement fort d’avoir aujourd’hui la mission d’accueillir Roland Bernard dans le premier ordre de la République. »

Gabriel Paillasson, président de la Coupe du Monde de Pâtisserie et Jean-Paul Mauduy, président de la CRCI

Jean-Jack Queyranne, président du Conseil Régional

François Turcas, président de la CGPME

Le général Michel Commun et Philippe Goetzmann (Crédit Mutuel)

Michaël Peters (Euronews) et Karine Dognin-Sauze, vice-présidente du Grand Lyon

Michel Margnes et Matthieu Bonnet (CNR)

Une brassée de roses pour Marie-Claude Bernard

Roland Bernard, sa fille Virginie Kolesnikov (Citigroup), Nora Berra et Marie-Claude Bernard

Yvan Patet, président du LOU Rugby et Patrice Duret, président des Prud’hommes de Lyon

Pierre-Eugène Pitance

Roland Bernard « Mes chers amis, je souhaite maintenant vous dire ô combien je suis heureux, ce soir, de vous accueillir sur ce site au symbole fort… la confluence. Car pour moi, depuis toujours, la politique au sens noble du terme, rapproche lorsqu’elle sert la cause publique. Merci à tous d’y croire comme moi. » JUIN 2010

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Remise de la Légion d’Honneur à Roland Bernard, vice-président du Grand Lyon

Hervé Bal (Editions HB), Caroline Auclair, Martine Bal et Roland Bernard

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PEOPLE NEWS Roland Bernard, Chevalier de la Légion d’Honneur

Jean-Paul Mauduy, Nora Berra, Roland Bernard et Alain Audouard, président de la Chambre des Métiers

Le cadeau de la ville de Lyon remis par Nadine Gelas

Claude Polidori (Maison Victoire), Jean-Pierre Calvel, vice-président du Grand Lyon, Roland Bernard et Jacques Pitance

Armand Bahadourian, Roland Bernard, Gérard et Caroline Collomb

Bernard Fontanel, Roland Bernard et Jean-Louis Maier

Marie Guyon

Geoffrey Mercier (Le Progrès) et Lionel Rimoux, directeur de cabinet de Nora Berra

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Roland Crimier, vice-président du Grand Lyon

Bernadette Avillaneda (Grand Lyon)

Jean-Paul Mauduy, Mohamed Seghrouchni, Roland Bernard et Touria Seghrouchni

Elisabeth Thion

Jean-Luc Da Passano, vice-président du Grand Lyon

Fernand Galula

Bernard Guth et Roland Bernard

Evelyne Haguenauer, adjointe au maire

Daniel et Marie-Claude Bouvard

Michel Margnes (CNR), Josianne Beaud (SNCF), Roland Bernard et Thomas Collomb

Stéphane Péré (CNR)

Christine, Cécile Monnier, Severine Bienfait et Pascale Pauget (Crédit Mutuel)

Jean-Christophe Larose (Groupe Cardinal), Roland Bernard et Jean-Paul Viossat (Rhône Saône Développement)

Sophie Braillard et Lauren Gauthier (Groupe Cardinal)

Sonia et Fouyza Bouzerda, Anne-Sophie Condemine, Roland Bernard et Florence Verney-Carron, consul des Seychelles

Léandre Borbon (LOU Rugby), Manan Atchekzai (SFIP), Jean-Yves Sécheresse et Michel Develay

Thomas Collomb et Sandrine Frih, vice-présidente du Grand Lyon

Samira Anaf, Marie-Claude Bernard, Marie-Cécile Jarry et Myriam Dumortier (Axotel)

Bernard Fontanel, Jean Nallet, Roland Bernard, Jean Verrieres, Mario Mainenti et Yves Gazil

Geneviève et Paul-Henri Watine Photo de famille avec le Medef

Jérôme Chabannes (Piano à Lyon) et Marco (Lyon People)

Pierre Nallet (AnaHome Immobilier)

Gérard Angel

Gérard Collomb, Roland Bernard et Caroline Collomb

Maitre Joseph Aguera

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EN COUVERTURE

Eric Obeuf

Bons baisers de Saint-Tropez

Photos © Jean-Luc Mège

La quille pour le directeur général du Sofitel qui a transmis le relais à Silvio Iacovino, le 30 juin dernier. Avant de tourner la page, rendez-vous avec Eric Obeuf sur la plage de Pampelonne. Peu savent que le directeur général du Sofitel a passé une partie de son enfance à Saint-Tropez, où sa maman a été postière durant 25 ans, à côté de la mythique caserne rendue immortelle par De Funès et Galabru. Pèlerinage au pays des gendarmes. Par Marc Polisson

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Eric Obeuf Digest 1949 – Naissance à Tunis 1956 – Arrivée à Toulon 1958 – La famille Obeuf s’installe à Saint-Tropez 1963 – Déménagement à Ramatuelle 1963-1967 – Job d’été à l’Hôtel de Paris 1965 – Ecole hôtelière de Nice dont il est renvoyé 1966 – Hôtel Bays Water à Londres (GB) 1967 – Excelsior Hôtel à Cologne (RFA) 1968 – Hôtel PLM de Marseille 1968 – Saison d’été au Byblos de Saint-Tropez 1969 – Service militaire à Toulon.

Maître d’hôtel de l’amiral sur le cuirassier Jean-Bart 1970 – (Eté) Maître d’hôtel au restaurant du Byblos 1970 – (Octobre) Chef de rang au Plazza Athénée (Paris). En parallèle, suit des cours de gestion et de marketing hôtelier 1972 – Premier maître d’hôtel au Plazza Athénée 1973 – Décès de son père Sylvère, 44 ans, des suites d’un cancer 1973 – Mariage à Ramatuelle 1974 – Sous-directeur du Sofitel Porticcio 1975 – Naissance de Cristelle à Ajaccio 1976 – Sous-directeur du Sofitel Lyon, au côté de Lucien Chappat 1980 – A 30 ans, est nommé directeur du Sofitel Nantes 1980 – Naissance d’Emeric 1983 – Directeur général du Sofitel Porticcio 1989 – Directeur général du Sofitel Lyon 1989 – Second mariage 1990 – Naissance d’Anthony 1993 – Naissance de Clara 2010 – Eric transmet les clés du Sofitel Lyon JUIN 2010

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EN COUVERTURE 10h

Café des Arts Petit-déjeuner autour de Marcel Aubour, 70 ans, une figure lyonnaise et tropézienne. Lyonnaise car ce footballeur international (20 sélections en équipe de France) a gardé les buts de Gerland de 1960 à 1966 et remporté la Coupe de France avec l’OL en 1964. Tropézienne, car né dans la cité corsaire, au sein d'une famille nombreuse où il est l’unique garçon au milieu de 7 filles ! Ce sont les parents Aubour qui ont créé l’Hôtel de Paris, aujourd’hui détruit, mais qui renaitra de ses cendres dans deux ans (c’est l’immense trou qui accueille aujourd’hui les visiteurs à l’entrée de Saint-Tropez). C’est là que l’ado Eric Obeuf, 15 ans, fait ses premiers pas dans l’univers de l’hôtellerie.

Un job d’été qui a laissé des traces dans les mémoires des sœurs Aubour : « Il cassait beaucoup d’assiettes ! » s’exclame la coquine Henriette, dite Yennette. « Déjà très gourmand, il raffolait de la tarte à la framboise de maman ! » renchérit Nicole (son fils Christophe tient la plage Morea). Mais le métier, Eric l’avait déjà dans le sang. « Il a l’œil, il ira loin ! » avait prédit Marcel Aubour, le père, en l’observant quatre étés durant.

10h35

Ecole Louis Blanc Sylvère et Brigitte Obeuf, débarqués de Tunisie en 1956, font une courte escale à Toulon avant de rallier Saint-Tropez deux ans plus tard, quand maman (fonctionnaire des PTT depuis 1945) y est nommée postière. Ils inscrivent Eric et sa sœur Sonia à l’école publique de la place des Lices.

C’est sur ces bancs qu’Eric a essuyé ses fonds de culotte en compagnie de Roland Bruno (maire de Ramatuelle) et de Patrice de Colmont. Quatre ans de primaire avant de traverser la place pour la suite secondaire dans le petit immeuble qui accueille aujourd’hui les guichets de la Caisse d’Epargne.

L’instituteur ««Tonton Boyer», «un vrai de vrai», selon l’expression du patron du Club 55, leur fait chanter la Marseillaise et les fait courir autour de la citadelle.

11h10 Le bureau de poste Séquence émotion et coup de tampon pour Brigitte Obeuf. Avec l’aimable autorisation de ses anciens collègues, la maman d’Eric s’installe au guichet numéro 1. Un siège qu’elle a occupé de 1960 jusqu’à sa retraite en 1985. Vingt cinq ans plus tard, sa présence fait encore son effet. Des clients la reconnaissent, ravis et amusés. Pimpante et souriante, elle nous livre avec plaisir les anecdotes du central téléphonique et de la poste restante. Vaudeville assuré. D’une époque pas si lointaine, sans portable et sans e-mail. A l’entrée du village, la poste est le passage obligé des anonymes et des stars. C’est ainsi qu’entre deux prises dans la gendarmerie voisine, Christian Marin (Merlot), Michel Galabru (adjudant Gerber), Jean Lefebvre (Fougasse) et leurs collègues – qui logeaient chez les Aubour à l’Hôtel de Paris - viennent faire la queue pour téléphoner. Tous, sauf de Funès « qui se tenait à l’écart » se remémore Madame Obeuf qui papote avec les comédiens en attente de connexion avec le «22 Asnières» ou qui reçoit des mains de l’artiste-peintre Vincent Roux, une jolie aquarelle.

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13h15 Plage de Pampelonne

Club 55

« Avec Eric, on était très complices. Je n’aurais pas imaginé qu’il fasse une carrière brillante dans l’hôtellerie » assure d’emblée Patrice de Colmont qui nous accueille pour déjeuner au Club 55. « C’est vachement courageux, poursuit-il. Il faut bien avouer que Saint-Tropez, à l’époque petit paradis, a plutôt accouché de fainéants ! Eric est l’exemple contraire ! » s’amuse-t-il avant d’aller accueillir une famille de millionnaires américains. Dans les années 60, la famille Colmont qui résidait 6 mois en haute Savoie et 6 mois à Ramatuelle vivait dans trois cabanons (réunis aujourd’hui pour former la plage mythique que nous connaissons). Tous les matins, le car de ramassage chargeait Patrice, Eric et leurs copains, Gérard Sorrente, Palmari (Tahiti) pour les emmener à l’école de Saint-Tropez. «C’était une époque extraordinaire ! »

16h30 Ramatuelle En 1963, la famille Obeuf déménage dans la petite cité médiévale, avenue Clémenceau. Sylvère, le père d’Eric, qui travaillait auparavant à la DCN de Toulon vient d’y être nommé postier. Il assurera la distribution du courrier jusqu’à son décès en 1972. Entre deux réunions avec le préfet, Roland Bruno s’échappe une petite heure pour retrouver Eric, son camarde de classe. Le premier magistrat de Ramatuelle, élu maire depuis 2001, a grandi au pays (son père cultivait la vigne) avant de faire carrière en tant qu’ingénieur civil à la DCN. Il se souvient de parties de foot enflammées avec son copain Obeuf, sociétaire comme lui, de l’Union Sportive Tropézienne (UST). Eric Obeuf est toujours resté fidèle au petit village varois dont le festival a assuré la renommée artistique. C’est alors qu’il est directeur général du Sofitel Porticcio qu’Eric se lie d’amitié avec Jean-Claude Brialy. Pendant 7 ans, il participe à ses côtés à l’organisation du festival dont le Sofitel est alors un des partenaires de référence.

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EN COUVERTURE

Eric Obeuf

« J’ai le sentiment du devoir accompli ! »

A

près 21 ans à sa direction générale, vous quittez le Sofitel Lyon Bellecour. Quel est votre sentiment ?

J’ai plusieurs sentiments. Tout d’abord de travail accompli, et bien sûr des regrets. On ne quitte pas un établissement où on a donné 21 ans de sa vie sans un pincement au cœur.

Pourquoi avez-vous décidé d’arrêter ?

Parce que tout a une fin dans la vie.

J’arrive à un âge où j’ai d’abord envie de profiter de la vie et puis c’est un métier qui m’a beaucoup pris, où j’ai donné beaucoup de mon temps, beaucoup de ma vie personnelle. Donc aujourd’hui, je laisse la place aux jeunes.

devenu lyonnais. Mes enfants sont nés à Lyon, donc je me sens maintenant lyonnais.

Quels sont les Lyonnais qui comptent désormais parmi vos amis ?

J’ai des amis qui ne sont pas forcément lyonnais.

Je suis devenu ami avec Gilles Moreton et André-Claude Canova. Je suis devenu ami avec

avez suivi de près la métamorphose ?

Je trouve qu’elle s’est bien internationalisée mais pas assez à mon goût. Cela aurait été bien si cette ville avait un vrai aéroport international.

Avec des lignes sur l’Asie, sur l’Amérique du Nord, l’Amérique du Sud. C’est mon seul regret. Sinon la ville a beaucoup changé avec l’explosion de l’Olympique Lyonnais, l’arrivée d’Interpol et la venue du G7.

Vous anticipez les mesures gouvernementales en matière de départ à la retraite ?

Pas tout à fait, parce que j’ai plus de 60 ans, j’ai 61 ans révolus. Et j’avais les 40 trimestres aussi, donc je suis dans les temps.

Flashback 1976. Quel accueil vous réservent les Lyonnais lors de votre arrivée ? Vous êtes alors sous-directeur.

D’abord l’accueil ne peut pas être le même lorsqu’on est numéro deux, jeune, 25 ans, avec un grand directeur à l’époque, Lucien Chapat, lyonnais d’origine, qui a ouvert cet hôtel. Donc je suis dans l’ombre. Pendant 4 ans, j’apprends, j’écoute, j’observe, je m’inspire.

Cela a été un élan.

En 1988, vous en prenez la direction générale. Le regard des Lyonnais change-t-il ?

Douze ans après, la ville et les mentalités avaient changé. Cette ville s’est ouverte avec l’apport des gens de l’extérieur. En 1976, elle était beaucoup plus refermée sur elle-même. Des entreprises internationales sont venues s’installer. La ville est alors beaucoup moins provinciale que celle j’ai connue en 1976.

Pensez-vous avoir été accepté par la ville ?

Complètement. À la limite, je suis presque 26

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Hillary et Bill Clinton lors du sommet du G7

Avec Paul Bocuse et Gilles Moretton lors du Grand Prix de Tennis dont le Sofitel était partenaire – © Serge Philippot

certains chefs de cuisine. Mais aussi avec des Lyonnais qui ne sont pas connus, des Lyonnais pur cru. Ça fait partie de l’intégration. Mais pour être adopté dans une ville, l’effort doit venir de celui qui arrive.

Quel regard portez-vous sur Lyon dont vous

Vous avez connu quatre maires successifs. Comment résumeriezvous leur action ?

J’ai démarré avec un Collomb et je termine avec un Collomb.

Francisque Collomb était l’homme du cru, il était avant tout tourné vers la ville et ses habitants. Michel Noir a éclairé la ville, Raymond Barre l’a internationalisée en faisant venir le G7. Et Gérard Collomb est en train de la rendre culturelle.

Gérard Collomb joue plus sur la carte du sérieux, il est train de lui donner une image d’ouverture. Le 8 décembre, c’est lui qui l’a fait, il faut le dire ! La première chose qu’il a faite, c’est d'inviter tous les maires des communes européennes !

Gérard Collomb construit une autre image, beaucoup plus culturelle, beaucoup plus festive.

Une ville où l’on a envie de venir et de revenir.

Quels ont été les moments forts de votre carrière de directeur ? À l’occasion du G7, nous avons reçu Bill Clinton. Ça fait partie des expériences inoubliables. Il est clair que dans une carrière de directeur, recevoir le président des États-Unis, avoir son hôtel 100% réquisitionné par la délégation américaine (avec une grosse sécurité) est une expérience qui ne se reproduit jamais 2 fois.

Avez-vous fourni un lit garni à Bill Clinton ?

(Rires) Ce n’était pas nécessaire, il est venu avec son épouse !

Vous avez également accueilli d’autres personnalités marquantes !

Il est clair que nous avons reçu beaucoup de

personnalités dont Mikhaïl Gorbatchev et Luciano Pavarotti, qui chantait à la Halle Tony Garnier. Il a réservé deux chambres attenantes, pour transformer la salle de bain de la seconde en cuisine pour faire cuire ses pâtes. Puisque personne d’autre que lui ne pouvait cuire ses pâtes. Nous avons dû apporter un fourneau, des bassines, des égouttoirs pendant 3 jours. Ont également résidé ici, le maire de Chicago, différents présidents africains, les deux présidents chinois, l’actuel et son prédécesseur, le premier ministre égyptien, beaucoup de ministres étrangers, que ce soit de Tunisie, du Maroc, et nombre d’ambassadeurs parisiens.

Quelle est la demande la plus extravagante qu’on vous ait faite ?

Celle de deux couples de Russes qui voulaient un cognac spécifique, de telle année. Nous avons fait le tour des caves, des restaurants étoilés, le tour des hôtels de la ville, nous n’avons pas trouvé. Seul le Royal à Evian en possédait un flacon.

J’ai envoyé quelqu’un le chercher avec la voiture. C’était une bouteille qui coûtait très cher à l’époque, autour des 3000€. Et le drame, c’est qu’on a surpris nos clients la consommer à 16h au bar, avec des omelettes ! (Rires) Il paraît qu’héberger Vanessa, ce n’est pas toujours le paradis ?

Quand elle est venue ici, et qu’elle débutait dans la chanson, on lui avait offert un petit labrador, qui venait tout juste de quitter sa mère et qui m’a complètement abimé la suite dans laquelle elle couchait. Il a fallu changer la moquette et il avait mordillé tous les pieds de chaises.

D’ailleurs quand elle est venue présenter son film, il y a 2 mois, je lui ai rappelé l’épisode et elle a rigolé en disant qu’elle s’en souvenait très bien.

On imagine que vous recelez de nombreuses anecdotes coquines, comme celles des joueurs de l’OL… (Rires) Il y a des choses qui ne se disent pas. Directeur d’hôtel, c’est un peu comme médecin, il y a des choses qu’on ne doit pas dire.

Vous avez travaillé 36 ans au sein de la chaîne Sofitel. Comment a-t-elle évolué ?

Le groupe Accor emploie aujourd’hui près de 165 000 employés dans le monde, ça veut déjà tout dire. C’est devenu le 2e groupe mondial. Forcément ça passe par une évolution dans toutes les marques.

La chaine Sofitel a évolué. Elle a connu une période compliquée. Au départ, elle était toute seule, après on a racheté des hôtels UTAH puis les hôtels Francotel.

Ensuite, il y a eu un passage avec les hôtels

Jacques Morel, donc forcément tout ce ramassis d’hôtels n’était pas bien ciblé. Aujourd’hui, depuis 3 ans, il y a eu un élagage des hôtels qui n’étaient pas conforme à l’image, qui ont été affectés à d’autres marques, ou rendus à leurs propriétaires. Aujourd’hui, je crois que Sofitel est vraiment sur la voie d'une chaine internationale avec une vraie culture, une vraie identité, des vrais standards de services, conforme à l’enseigne.

Mikhaïl Gorbatchev et son interprète en décembre 1996 – © Michel Godet

Vous transmettez le flambeau à Silvio Iacovino. Comment va-t-il gérer votre succession ?

Il est jeune, il a une culture internationale, il est Italien d’origine, il vient du Luxembourg, qui est une ville internationale. C’est bien d’avoir du sang neuf dans une entreprise.

Vous pensez qu’il va réussir à s’adapter au microcosme lyonnais ?

Les Italiens s’adaptent facilement. Je pense que s’il avait été nordique, il aurait peut-être eu plus de difficultés. Et encore. Mais il ne faut pas oublier que Rome a été la capitale de la Gaule donc on parle tous un peu italien (rires).

En provenance directe de la Maison blanche, la lettre de remerciements de Bill Clinton adressée à Eric Obeuf

Vous avez transmis les rênes du Club Prestige Rhône-Alpes à Vincent Leroux.

Pour qu’il reste dans la famille ?

Le Club Prestige regroupe les hôtels prestigieux, plutôt 5 étoiles et les tables triplement étoilées de la région, en l’occurrence Bocuse, Blanc, Troisgros, Pic, et aussi Veyrat avant qu’il n’arrête malheureusement. J’ai souhaité passer le flambeau à quelqu’un qui travaille dans le luxe, puisque c’est le manager de Paul Bocuse. Quelqu’un qui a travaillé avec moi dans l’hôtellerie pendant plusieurs années, et quelqu’un de jeune pour avoir du sang neuf. Histoire de rester dans la lignée tout en donnant un coup de jeune.

Que comptez-vous faire désormais de vos journées, une fois que vous aurez rendu les clés ?

Alors c’est très clair : je prends deux mois de vacances. Je pars en Corse faire du bateau et je ferai comme les écoliers, on verra à la rentrée.

Vous avez bien une petite idée de la rentrée qui vous attend ?

Je ferai du conseil dans ce que je sais faire, l’hôtellerie et la restauration. O Propos recueillis par Marc Polisson

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EN COUVERTURE Toute la ville au pot de départ D'

Eric Obeuf

Certes, Gilles Pelisson est Lyonnais et sa ville une place forte du groupe Accor. Néanmoins, sa présence à Lyon pour saluer Eric Obeuf est un signe d’amitié rare et apprécié comme tel. Dans les salons du Sofitel, plusieurs centaines de personnalités de la vie lyonnaise sont venues embrasser un Eric très ému et saluer son successeur. MP

C

’est à Gérard Collomb d’ouvrir le bal, entre deux TGV, en axant son discours d’adieu sur « la perfection et la générosité » qui caractérisent, selon lui, la méthode Obeuf. Tout comme son implication dans le développement et le rayonnement de la ville à la tête du Sofitel Bellecour, «figure de proue du tourisme lyonnais». «Merci de tout ce que vous avez fait pour Lyon !» conclut-il à la sauvette, laissant le soin à Jean-Michel Daclin de lui remettre la médaille de la Ville. Le PDG du groupe Accor est un gestionnaire avisé, pas un tribun.

Néanmoins, Gilles Pelisson a su trouver les mots pour rendre un triple hommage à l’un de ses directeurs préférés à qui sera décernée la «Bernache d’or», sorte de bâton de maréchal des directeurs d’hôtel au sein du groupe Accor.

Gilles n’est pas venu les mains vides puisque son groupe offre à Eric un tour du Monde dans les plus beaux palaces du groupe. « C’est un vrai cadeau d’être ton ami », conclut-il. Derrière ses fines lunettes d’écaille, Eric Obeuf a du mal à contenir son émotion. Rien de tel que l’humour pour la désamorcer. « J’aurais pu être gendarme à Saint-Tropez ! » s’amuse-t-il en évoquant son enfance du côté de Ramatuelle. « Il y a deux hôtels de ville dans la Presqu’île, celui du maire et le mien ! » Avant de rendre hommage à ses mentors Gérard Pelisson et Paul Dubrule, les fondateurs du groupe Accor, ainsi qu’à Lucien Chapat, son prédécesseur à la tête du Sofitel Bellecour. Et de remettre symboliquement la clé de l’hôtel à Silvio Iacovino. « J’espère qu’on te fera une piscine ! » conclut-il. Avec ou sans, son successeur est déjà dans le bain ! O 28

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Présentation du nouveau directeur Silvio Iacovino

Bernard Jandard et son épouse Lucie (Jandard Immobilier)

Séverine (Office du Tourisme de Lyon), Philippe et Carla Obeuf

Laetitia Pepino (Pack Event) et Michel Canellas

Nico (Lyon People), Elie Cunat (BMW Maublanc) et Yves Hunckler

Marco (Lyon People), Robert Batailly et son épouse Irène

Marie-Claire et Alain Deville (Les 3 Dômes) Frédérique Arderighi (Sofitel Lyon Bellecour)

Denis de Bénazé (IDRAC) et Denis Broliquier, maire du 2ème

Eric Obeuf, Laura Maier (Rolex), Fernand Galula et Marc Fraysse

Geneviève Watine et Sophie Turion (Agence Sophie Turion)

Séverine Ciampi (Lyon People) et Olivier Saulneron (Breitling)

Carine et Silvio Iacovino, Eric et Sylvia Obeuf

Marino Faccioli (OL), Eric Obeuf et Olivier Blanc (OL)

Jacques Gerault, préfet du Rhône, Evelyne Haguenauer, adjointe au maire et Eric Vernusse (Banque Rhône-Alpes)

Le chef Alain Senderens, son épouse Eventhia et Jean-François Mesplède

Jacques Bertoni (Porsche), Eric Obeuf, Florence Bertoni et Pascal Blache

Jean-Paul Mauduy, président de la CRCI, Eric Obeuf et Maurice Fusier (France Info) Fabienne et Jean-Paul Lacombe, Françoise et Philippe Bernachon

Le cadeau de départ d’Eric : une Rolex Daytona affinée par l’horloger Jean-Louis Maier

Eric Obeuf, Camille Vautier (Sofitel Lyon Bellecour) et Vincent Leroux, directeur du restaurant Paul Bocuse

Thierry Braillard, adjoint aux sports et son épouse Sophie (Tendances)

Dominique Del Rizo, Yann et Grégory, les barmen du Sofitel

Marie Roussille, Patricia Tronel, Inès Bourit et Sylvie Perruchon (Shine)

Olivier Ginon, PDG de GL Events et ses amis

Photos © Fabrice Schiff

Pierre Bancel (Sofitel) et André-Claude Canova (Soierie Canova)

Jean-Michel Daclin, adjoint au rayonnement international, Gérard Collomb, sénateur maire de Lyon, Silvio Iacovino, nouveau directeur général Sofitel Lyon Bellecour, Eric Obeuf, Dominique Colliat, directrice générale Sofitel Europe– Afrique-Moyen Orient et Loïc Fauchille, directeur délégué Europe du Sud

Carole Dufour (Idées en Têtes), Isabelle Salomon, Elisabeth et Jean-Jack Queyranne, président du Conseil Régional et Maitre André Soulier

Monsieur et Madame Georges (Cerutti)

PEOPLE AT HOME

Hélie Denoix de Saint Marc Monument d’honneur Résistant à dix-neuf ans, déporté, lieutenant blessé en Indochine, « soldat perdu » en Algérie… la vie d’Hélie est fascinante au-delà du roman. De guerre lasse.

Par Nadine Fageol

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Photos © Jean-Luc Mège

PEOPLE AT HOME catholique, légitimiste et juriste par tradition.

Forte nature, l’avocat salue de son chapeau en ville tout porteur d’étoile jaune et sera élu bâtonnier de l’Ordre des avocats de Bordeaux à deux reprises. Dernier de sept enfants, Hélie est élevé dans la rigueur et l’austérité. La devise du père, « travail, travail, et travail » ; Hélie qui goûte peu les études pimente son univers de longues lectures : « Charrette, Cadoudal, Corday et tous les grands sabreurs de la Révolution et de l’Empire… » Il découvre l’aventure coloniale auprès de Gallieni, Lyautey, le père de Foucauld et puis Kessel, Mermoz… London, Conrad, Kipling, Stevenson nourrissent une soif infinie d’aventures. « Je m’intéressais plus aux hommes qu’aux événements. J’aimais les destins fulgurants et tumultueux. Soit inconsciemment, le culte du héros. Mais pourquoi pas ? » expliquet-il dans la biographie signé de l’historien Laurent Beccaria. La guerre arrive, la route de Bordeaux au Périgord entaillée par la ligne de démarcation, seuls ses parents obtiennent un laissez-passer. L’adolescent connaît la région sur le bout des doigts, s’affranchissant de tout, il emprunte à vélo les sentiers déserts et, surveillant le passage des patrouilles, franchit la ligne. Régulièrement. Il transporte paquets ou

aide un ami à passer sans oublier de rajouter une once de frayeur. Début 1941, une convocation du recteur de son collège de Tivoli le fait basculer dans l’armée des ombres. Le supérieur prévenu de ses escapades illicites lui demande de rendre service à un ami, le colonel Arnould, un des fondateurs de la Résistance dans le Sud-ouest via le réseau Jade-Amicol. Agent de liaison, Hélie disparaît des jours entiers. Côté études, rien de folichon, il échoue à la prépa de Saint-Cyr. La France occupée, les études déconnectées de la réalité, l’avenir paralysé, sur un coup de tête Hélie décide de partir pour l’Espagne avec des copains de collège. Toute la bande est arrêtée, vendue aux Allemands par le passeur. Accusé de vouloir échapper au STO, Hélie l’agent de liaison inconnu de la Gestapo, est expédié à Buchenwald. L’horreur n’a pas de nom, il en découvre les variantes pendant deux ans. Sauvé par deux fois, un docteur vend son bien pour lui procurer des médicaments et un détenu qui travaille à sa place vole de quoi le nourrir.

C’est un quasi mourant qui entend sonner le tocsin de la Libération. Passé

les retrouvailles en Périgord, il retente

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O

n l’attend dans un appartement cossu du sixième arrondissement ponctué d’objets d’une vie, épées, photos, livres, nombreux sur l’armée, l’Asie, des toiles des ancêtres en perruques et puis Monique, dame de compagnie aussi menue que prévenante. C’est à Blandine Peillon, ancienne communicante aujourd’hui à la tête de Jours de Printemps, une société de services à la personne et créatrice de l’association « Xvân, les enfants de l’avenir » que l’on doit cette rencontre avec un Monsieur hors norme, Hélie Denoix de Saint Marc. Il arrive enfin, replié dans un fauteuil roulant.

Les mains fines et froissées, le cheveu blanc en bataille et des yeux intensément bleus, presque hypnotiques. À 87 ans, la maladie gagne, la vieillesse ronge et la parole a du mal à se frayer un chemin, mais Hélie force, pousse les mots dans la gorge caillouteuse. Intéressé, il s’enquiert sur le support Lyon People, son mode de financement… La vivacité d’esprit reste furieusement intacte. L’histoire d’Hélie démarre avec le siècle quand Madeleine Buhan, opulente famille bordelaise anoblie par Louis XVI, épouse en 1900 Joseph Denoix de Saint Marc issu d’une vieille famille du Périgord Vert

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1 - A 88 ans, une force de conviction intacte

2 - Dans une petite fiole, le sable du cimetière de Talung où reposent les habitants assassinés par les vietcongs après le départ précipité de la Légion étrangère en février 1950. « Pendant des années les cauchemars liés à l’évacuation de Talung ont rejoint ceux de la déportation. J’avais le sentiment d’avoir été parjure. Ce mot veutil dire encore quelque chose à une époque où la notion d’honneur est passée à l’arrière-plan ? Disons qu’il ne s’agissait pas d’un serment chevaleresque. Tout simplement de centaines d’hommes et de femmes dont, parfois, les moindres traits sont inscrits dans ma mémoire et à qui, au nom du pays, j’avais demandé un engagement au péril de leur vie. nous les avons abandonnés en deux heures. nous avons pris la fuite comme des malfrats. ils ont été assassinés à cause de nous. sachez-le, c’était un crime. » écrit Hélie de saint Marc

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PEOPLE AT HOME x

Saint-Cyr. S’impliquer, défendre la patrie, sa vie a désormais un sens même s’il mesure la complexité de l’âme humaine. Au camp, il a fréquenté toutes les nationalités, c’est donc naturellement qu’au moment de choisir son corps d’armes, il opte pour la légendaire Légion étrangère. Rivées sur la reconstruction du pays, les autorités françaises négligent l’empire colonial en déroute. En trois séjours en Indochine, Hélie mesure la valse hésitation des politiques qui va d’ordre en contre-ordres. Sur le terrain, cela se traduit pour Hélie et ses hommes en renoncements terribles ; l’abandon aux représailles Vietminh de villages entiers armés par les Français. Les images restent tenaces comme celle de ces gens qui tentent de rallier son bateau, le jour du départ vers… l’Algérie où se noue un autre drame. Cette guerre pudiquement nommée «événement». Hélie qui va aimer l’Algérie autant qu’il a adoré l’Asie est pris au piège des tergiversations politiques : on demande aux militaires de défendre une «Algérie Française», thèse soutenue par Hélie dans un idéal généreux, des droits identiques

pour tous, Pieds Noirs, Harkis indigènes. À force de contradictions gaullistes, la rumeur puis la révolte monte au sein de la Grande Muette.

Homme de discipline, droit dans ses bottes, Hélie franchit le Rubicond en avril 1961 au côté du général Challe. À la tête du 1er REP, régiment d’élite, il prend Alger ! Le putsch dure le temps que Challe voit ses soutiens s’évaporer comme peau de chagrin, la cause ne pèse plus grand chose face aux individualismes menacés, quand bien même la communauté française attend le souffle court sur la grand’ place d’Alger. Hélie aura la politesse de ramener son régiment à la caserne. Procès, prison, destitué de ses droits civils et militaires, il lutte dans l’univers carcéral d’une prison de Clairvaux pour ne pas sombrer dans la dépression. Manette, sa jeune femme rencontrée à Alger, gère au mieux. Libéré le 25 décembre 1966, «le soldat perdu» doit cette fois apprendre à vivre avec une France qu’il ne connaît pas… Quelques amis se mobilisent, Hélie qui a repris les études en prison trouve une place de chef du personnel dans une entreprise lyonnaise. Le temps passe, une vie se reconstruit,

Hélie a une quatrième fille, un appartement près du parc de la Tête d’Or, une maison en Drôme pour renouer avec la nature et des amis, des nouveaux et quelques fidèles parmi les anciens, ceux de sa trempe. Son père décède lors de son séjour en prison, un membre de la famille obtient une autorisation de sortie agrémentée d’une déclaration sur l’honneur qu’Hélie refuse de signer. Il n’assistera pas aux obsèques de son père. « Je ne pouvais pas signer cette déclaration car je savais que j’aurais tenté de faire la belle ».

Mélange d’audace et de retenue, Hélie de Saint Marc a finalement vécu le nazisme, l’émergence du Tiers Monde, la montée des jeunes nationalismes, la poussée du communisme en Asie, le réveil du fondamentalisme religieux, les grands changements du siècle… Il a surtout rêvé d’une décolonisation qui ne soit pas une déchirure. En vain. O À lire : « Hélie de Saint Marc » par Boland Beccaria – Éditions Perrin, 1988 « L’Aventure et l’Espérance », Editions Les Arènes, 2010

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3 - Une impressionnante collection de médailles et de décorations…

Grand-Officier de la Légion d'honneur, en date du 28 novembre 2002 ; Croix de guerre 1939-1945 avec 1 citation ; Croix de guerre des TOE avec 8 citations ; Croix de la valeur militaire avec 4 citations ; Médaille de la résistance ; Croix du combattant volontaire de la Résistance ; Croix du combattant ; Médaille coloniale avec agrafe « Extrême-Orient » ; Médaille commémorative de la guerre 1939-1945 ; Médaille de la déportation et de l'internement pour faits de Résistance ; Médaille commémorative de la campagne d'Indochine ; Médaille commémorative des opérations au Moyen-Orient (1956) ; Médaille commémorative des opérations de sécurité et de maintien de l'ordre en Afrique du Nord (1958) avec agrafes « Algérie » et « Tunisie » ; Insigne des blessés militaires ; Officier dans l'ordre du mérite civil thaïlandais Sip Hoc Chau…

4 et 5 - ... qui ne lui permettront même pas d’échapper à la prison pour sa participation active à la défense de l’Algérie française

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Consulat général du Maroc

Une fête du Trône très attendue

A 47 ans, il est l’un des plus jeunes consuls de carrière à exercer à Lyon. Marié et père de deux enfants, Saâd Bendourou est épaulé par une trentaine de collaborateurs. Sa juridiction couvre une dizaine de départements du sud-est. A l’occasion de la fête du trône, le Consul Général du Maroc nous a reçus dans ses bureaux de la rue de Carry. Propos recueillis par Marc Polisson

L

e Maroc vient d’entamer les festivités marquant le 11ème anniversaire du règne du roi Mohammed VI. Quel est son bilan ?

Le Maroc fête plus d’une décennie riche en évènements et en symboles depuis l’intronisation de Sa Majesté le Roi Mohammed VI. Une décennie qui a donné naissance à beaucoup de réalisations. Le Maroc s’inscrit dans une dynamique de changements et d’évolutions, marquée par une confiance renouvelée quant aux projets de société moderne, démocratique, développée et solidaire que Sa Majesté le Roi a mis en œuvre. Il s’agit d’un projet de société qui s’articule autour d’une vision claire et aucun aspect n’est occulté, car il embrasse autant la dimension économique, sociale, politique, religieuse, culturelle et éducative, que celle des droits de l’Homme.

Dans ce contexte de crise mondialisée, comment le royaume du Maroc s’en sort-il ?

Le Maroc a très tôt adopté un certain nombre de mécanismes adéquats, préconisant la régulation et la diversification. Le pays a absorbé à sa manière l’onde de la crise mondiale grâce à la diversification des sources de croissance, le développement de différents secteurs

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d’activités économiques, l’accélération de programmes d’infrastructures et la promotion du développement humain. Le Maroc consolide ses activités traditionnelles et développe une série d’activités économiques nouvelles, à travers les « Nouveaux Métiers du Monde », liées aux nouvelles technologies de l’information. Le Maroc met en place un ensemble de technopôles et de zones industrielles qui accompagnent cette démarche internationale. Notre pays a aussi reconsidéré le développement de l’activité agricole à travers le Plan Maroc vert, il améliore le cadre des affaires, et renforce les capacités d’exécution et de coordination des grands chantiers au Maroc.

Vous êtes en poste à Lyon depuis septembre 2009. Quel accueil avez-vous reçu lors de votre arrivée ?

Un accueil chaleureux, convivial et fraternel.

Je me sens parfaitement dans une ambiance de partenariat maroco-française, et mon souhait est de contribuer modestement au développement de cette si belle relation entre nos deux pays au niveau régional.

Vous avez fait toute votre carrière dans la diplomatie. Par hasard ou par vocation ?

Beaucoup plus par vocation. Un métier passionnant qui nous permet de visiter des lieux mythiques, particuliers.

S’agit-il d’un atavisme familial ? Que faisaient vos parents ?

Ils étaient fonctionnaires, également.

Pourquoi avoir choisi cette carrière-là ?

J’ai suivi une formation juridique, avec une spécialisation en relations publiques internationales et j’éprouve un vif intérêt pour les relations internationales.

A 47 ans, vous avez déjà occupé plusieurs postes à responsabilité à Rabat, Bruxelles et Paris. Quel est celui qui vous a le plus enthousiasmé ?

Je dirai que toutes les missions sont passionnantes et enthousiasmantes…

Votre excellence manierait-elle la langue de bois aussi bien que le français ?

(Rires) Non pas du tout, je vous assure. Ma mission à Bruxelles était vraiment passionnante.

J’ai vécu une étape importante de l’histoire des relations entre le Maroc et l’Union européenne, avant, pendant et après la signature de «l’Accord d’Association». Je faisais partie de

Photos © Fabrice Schiff

PEOPLE STORY

l’équipe qui a préparé les premières fiches et les premières notes sur l’accord d’association. J’ai vécu aussi l’après signature en accompagnant pendant quelques années la ratification de l’accord par les différents membres de la communauté européenne. C’était donc un moment passionnant et captivant. Par la suite, j’ai été nommé à l’ambassade à Paris en qualité de conseiller économique pour gérer une autre dimension et une part importante des relations économiques entre le Maroc et l’Union européenne. C’est pour cela que je dis qu’à chaque mission il y a une vie, il y a effectivement du boulot derrière et on y met beaucoup de cœur. Ma nouvelle mission à Lyon est aussi très enrichissante.

Avez-vous pris vos marques dans notre capitale ?

Quels sont vos endroits préférés ?

Tout d’abord, je tiens à rappeler qu’être consul est un métier prenant, on exerce cette fonction 24h/24. Quand je prends le temps de vivre à Lyon, j’apprécie les balades le long des quais de Saône et du Rhône, et au parc de la Tête d’Or. Des endroits agréables à vivre et à redécouvrir à chaque fois. C’est une belle ville, une ville internationale à découvrir complètement sous toutes ses facettes.

La coopération décentralisée entre les collectivités territoriales marocaines et françaises est une coopération très particulière, pour ne pas dire exemplaire. Nous avons plus d’une centaine de coopérations décentralisées entre le Maroc et la France. La coopération décentralisée entre la Mairie de Lyon et la ville de Rabat, entre la Région de Rabat Zemmour Zaer et la Région Rhône-Alpes fait partie de ces relations très particulières. C’est une coopération dynamique, marquée par une série d’activités et d’implication de la Mairie de Lyon et de la Région Rhône-Alpes sur un grand nombre de projets dans la Région de Rabat.

Et au niveau régional ?

Il existe également d’autres coopérations décentralisées aussi importantes dans la région, notamment celle qui existe entre la ville de Clermont-Ferrand et celle de Marrakech, qui a été marquée d’ailleurs par un échange de visites entre les deux maires ; la coopération décentralisée entre le Conseil de l’Isère et le Conseil Régional de Souss-Massa-Drâa, entre le Conseil de l’Isère et le Conseil Régional

Vous allez célébrer le 30 juillet la fête du trône comme chaque année à Lyon. Quel est l’état d’esprit de cette fête ?

La fête du trône, au Maroc, est une fête nationale importante qui marque l’intronisation de Sa Majesté le Roi sur le trône de ses glorieux ancêtres.

Cette fête est marquée par le discours de Sa Majesté le Roi adressé à la Nation marocaine. Un discours très attendu chaque année sur les Gérard Collomb sur le stand du Maroc différentes réalisations et qui lors des fêtes consulaires de 2010 donne les grandes orientations sur les stratégies nationales et la politique internationale. C’est un Tadla-Azilal, la coopération entre la ville de moment marqué, également par la cérémonie Vienne et de Khemisset et l’annonce récente d’allégeance (la Beiaâ) à Sa Majesté le Roi. également d’un certain nombre de coopérations C’est une occasion de partager et de célébrer décentralisées qui pourraient se concrétiser avec les autorités régionales et les opérateurs dans les prochains mois, par exemple entre la politiques, économiques et sociaux-culturels ville de Villefontaine et Tamanssourt, et d’autres de la région lyonnaise ce moment à travers une qui sont en cours d’examen par les différents réception, une rencontre et des échanges. responsables des collectivités territoriales concernées.

Comment se matérialise concrètement l’amitié franco-marocaine ?

Combien de départements et de Marocains Les relations entre le Maroc et la France dépendent de votre consulat ? s’inscrivent dans un contexte international La juridiction couvre 10 départements et plus évolutif et changeant. Elles s’inscrivent de 100 000 Marocains dans la région. également dans le cadre du nouveau partenariat stratégique mis en place en 2003, qui recadre Quelles relations le Grand Lyon entretientcette dimension, mettant en avant le rôle de il avec le Royaume du Maroc en termes nouveaux acteurs, notamment les collectivités économiques ? territoriales et la société civile dans cette La densité, la diversité et le dynamisme des relation dense, dynamique et diversifiée. relations bilatérales se reflètent aussi au niveau régional par un échange régulier entre Les collectivités territoriales de Lyon et sa opérateurs politiques et économiques. Depuis le région sont-elles présentes au Maroc ? mois de septembre, il y a eu un échange de visites

assez régulier. Je citerai à titre d’exemples les visites au Maroc de Monsieur Alain Audouard, président de la Chambre des Métiers, de Monsieur François Turcas, président de la CGPME Rhône-Alpes ; les différentes missions économiques de la Chambre de Commerce et d’Industrie réalisée par le président Guy Mathiolon, les missions de prospection de part et d’autres ; sans oublier, bien entendu, la dernière visite de Monsieur Gérard Collomb au Maroc, et d’autres visites qui sont annoncées pour les prochains mois. Les relations sont également marquées par la présence d’une importante communauté marocaine dynamique et entreprenante, qui joue un rôle majeur dans le rapprochement entre la région et le Maroc.

La Royal Air Maroc et l’Office Marocain du Tourisme sont des acteurs reconnus de la promotion du Maroc. Comment vous répartissez-vous les tâches ?

L’action de l’Office Marocain du tourisme et de la Royal Air Maroc s’inscrit dans le cadre d’une stratégie globale «Vision 2020». L’Office du Tourisme, à partir de Paris, développe toute la stratégie touristique sur la France et d’autres destinations européennes. L’activité de la Royal Air Maroc s’inscrit également dans le cadre de cette stratégie et développe des liaisons aériennes de ville à ville. Je souligne au passage le dynamisme de Monsieur Aziz Lamrani, représentant régional de la Royal Air Maroc à Lyon qui a lancé une nouvelle liaison aérienne entre Lyon et Agadir, le 13 février 2010, qui rapproche davantage les Rhônalpins du Maroc.

Les dernières fêtes consulaires auxquelles vous avez pris part ont été un succès.

J’étais très heureux de vivre ce moment formidable. Les fêtes consulaires ont été l’occasion de présenter le rôle du Consulat Général et d’échanger avec les Rhônalpins et les Lyonnais qui sont venus nombreux sur le stand du Maroc. Une occasion de présenter aussi la nouvelle interface de communication www.consulmaroc-lyon.fr et de démystifier un peu le travail consulaire qui ne consiste pas seulement en la remise de documents administratifs. Ces fêtes ont été également un moment fort avec une nouvelle rencontre avec les responsables régionaux, notamment Monsieur Gérard Collomb, sénateur-maire de Lyon.

Que pensez-vous du dynamisme du corps consulaire lyonnais ?

Le corps consulaire lyonnais est un corps dynamique, formidable qui est marqué par un esprit amical et fraternel. On se voit régulièrement et je salue au passage le rôle que joue Monsieur Gérard Herrbach, son secrétaire général. O JUIN 2010

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Photos © RBBA Associés Bernard Aulagne

PEOPLE ECO

intage MaierHVmoins…

Le buzz bat son plein entre Rhône et Saône. Il se dit que Jean-Louis Maier, LA référence lyonnaise en matière d’horlogerie, s’apprête à ouvrir une nouvelle – sa troisième ! – boutique… Ne dit-on pas qu’il y rarement de fumée sans feu ? Alors, oui, c’est vrai !

L

e 25 août prochain, Maier Vintage - une nouvelle adresse pour les amateurs de montres anciennes - verra le jour. Une ouverture en temps et en heure… « La définition du vintage en matière d’horlogerie ? Regardez : une Patek Philippe 1977, première génération. Ça, c’est l’essence même de la montre ancienne et de ce que les gens pourront trouver chez nous. » Ainsi s’exprime Alexandre Lonza, directeur de Maier Horlogerie, le regard illuminé, sous le regard approbateur de Jean-Louis Maier.

Les deux partagent une même folie : les montres. Et en devisent avec une faconde similaire, mâtinée d’une indéfectible passion.

Le 25 août 2010, au 6 rue Simon Maupin, Maier Vintage ouvrira donc ses portes. Après Maier Haute-Horlogerie en 1998 et la boutique Rolex en 2008, Maier Vintage, le troisième étage de la passion Maier prend forme. « Un emplacement délibérément peu visible » dixit notre passionné de voitures anciennes et de grands vins (dont un Pommard de chez De Montille…). 80m2 donc, dédiés aux montres anciennes, offertes aux yeux du public dans un cadre 100 % rétro pensé par le décorateur Bernard Aulagne : esprit cosy, chic, cuir taupe,

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bois foncé, du verre ici-et-là… Par terre ?

«Faut que ça grince (sic) !» Un investissement d’un million d’€ pour s’ouvrir les portes d’un nouveau monde. Pour l’heure, il est acquis que Maier Vintage abritera quatre marques. Et non des moindres : Girard-Perregaux, Vulcain, Glashütte et Jaquet-Droz. Deux autres grands noms arriveront sous peu…

Objectif : enrichir l’offre de la métropole lyonnaise. Ambitionnant un

chiffre d’affaires de l’ordre de 1,5 à deux millions d’€ sur les trois premières années d’exercice, Jean-Louis Maier aspire également à instiller un zeste de synergie entre ses trois entités. Une volonté qui se matérialisera d’abord, de manière visuelle : les trois enseignes verront leurs façades refaites à l’identique. Dans sa quête de faire de la capitale des Gaules, la capitale de l’horlogerie entre Paris et la côte d’Azur, notre homme n’en finit plus d’affirmer son identité

lyonnaise. « Mon dessein ? Enrichir l’offre de notre métropole. » Tout simplement. Pas franchement impacté par les atermoiements économiques, Jean-Louis Maier est un homme serein qui, à l’entendre, «frise l’euphorie (sourire)» Tout juste, consent-il une légère frustration par rapport… au temps ! «J’ai l’impression que ça va trop vite.» Pour ce contemplatif patenté, «une montre est un jouet». Et il s’amuse. L’aiguille tourne. Pour lui, dans le bon sens. O Christophe Magnette

Tro p M hée eil s po leur de l ur Co a G les nc as Te ep tro rra t d no ss e l mi es ’an e e du né t d Po e 2 es nd 00 Vin 9 s

photo © Jean-Luc Mège

Tournoi de pétanque le mercredi 21 juillet à 18h30

Apéro du lundi au samedi Plat du jour à 11 € Menu à partir de 16 €

Ouvert tous les jours même le dimanche

11, place Maréchal Lyautey - 69006 Lyon - Tél. 04 78 52 39 99 - www.ilovedupond.com- P Morand

Ouvert midi et soir sauf le dimanche

© Saby Maviel - Mandrak Studio

Le Théodore

34, cours Franklin Roosevelt - Lyon 6 - Métro Foch - Tél : 04 78 24 08 52

ESSAi AUTOMOBILE

POinT PAR POinT Avec la Mini Cooper S 185 CV Délaissant les biberons le temps de quelques tours de piste, Catherine Condamin, jeune maman du petit Oscar (1 mois) et Scarlett (4 ans et demi), a imprégné de sa touche glamour le circuit d’Actua. Adepte de Mini depuis plus de 10 ans, la directrice de la boutique Baccarat (rue des Archers, Lyon 2) a savouré cette escapade sportive et s’est plu à troquer l’univers du cristal contre celui tout aussi élégant de Mini le temps d’une matinée. Avec 1’24 au chrono, Catherine s’est prise au jeu et a opté pour une conduite à son image, détendue mais néanmoins assurée.

Catherine Condamin (Baccarat)

© JL Mège

Gunther Doll (BMW Gauduel) et Florian Guigue (Actua) remettent le trophée « Mini Cup » à Catherine Condamin pour sa participation si glamour !

LE COnsEiL Du MOis

Regardez loin devant vous la trajectoire que vous voulez. Si toutefois votre voiture perd de l’adhérence, regardez loin devant vous la trajectoire que vous souhaitez, votre regard conditionne vos mouvements : où vous regardez, vous vous dirigez. Sous la pluie, il n’est pas interdit de freiner, au contraire cela permet de ralentir votre véhicule, mais ceci doit se faire avec modération, en fonction du coefficient d’adhérence du revêtement sur lequel vous vous trouvez. Ne pas oublier qu'avec votre véhicule équipé d'ABS (Anti-blocage de roues), celui-ci gère pour vous ! N'hésitez pas à freiner et ne relâchez pas, même si vous sentez une vibration désagréable sous le pied, celle-ci est tout à fait normale. Et si vous perdez l'adhérence ? Dans tous les cas, gardez votre calme, pas de mouvement brusque et regardez là où vous voulez aller (la voiture va "suivre" votre regard). Si vous vous êtes fait peur car vous ne saviez pas quoi faire, venez nous voir, nous vous enseignerons les bons réflexes lors d'un stage MINI's COOL. Renseignements sur www.mini-gauduel.com

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Catherine, véritable inconditionnelle des lignes élégantes de Mini, en est actuellement à sa 4ème ! « Elles sont comme un accessoire de mode, on a toujours envie du dernier modèle », « on aurait presque envie d’assortir ses tenues à sa Mini».

Vraie fidèle parmi les fidèles, on comprend que Catherine n’est pas prête à délaisser sa voiture favorite de si tôt !

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Roger-Frederic (Allo-Taxi) 1’ 10’’7’’’

Hervé (Alpes Nettoyage) 1’11’’5’’’

6, rue Joannès Carret - 69009 LYON - Tél. 04 72 53 88 88 www.mini-gauduel.com/www.actua-pilotage.com

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Philippe (Gravexia) 1’11’’0’’’

© Jean Luc Mège

STYLE Food

La Reine Astrid

DANS LES CUISINES BERNOLLIN Il n’y a pas de fumée sans feu !

Je ne vous parle pas seulement des volutes qui enveloppent les soirées du club cigares de la Reine Astrid, mais si l’hôtel 4 étoiles du boulevard des Belges bénéficie aujourd’hui d’une belle image et d’une forte notoriété, c’est grâce à Ali Afshar, son directeur aux yeux persans qui a trouvé en Nicolas Crépeau un nouveau souffle dans sa cuisine. A déguster, terrassé ! MP

Photos © Jean-Luc Mège

En présence de Jean Burdy (Champagne Mumm), Arnaud Bernollin, Nicolas Crépeau (Chef de la Reine Astrid), Borhane Ben Ali (Directeur de l’Office National du Tourisme Tunisien), Ali Afshar (Directeur de la Reine Astrid) et Gilles Taraquois (Pal Zileri)

Nicolas Crepeau sur le grill d’Arnaud Bernollin AB : Dis-moi Nicolas, c’est plein de belles couleurs, de saveurs exotiques et épicées ton repas. D’où te vient tout ça ? Parle-moi de ton parcours !

Salade de homard breton et jeunes légumes de saison

NC : Je suis Vendéen d’origine, et puis, en arrivant à Lyon, j’ai travaillé au restaurant de l’hôtel Métropole, avec Frédéric Côte, j’ai été second chez Guy Lassausaie, chef à l’Orangerie de Sébastien, et depuis 3 ans à la Reine Astrid.

AB : Et tu t’y plais ? Un restaurant d’hôtel, ce n’est pas toujours très facile…

NC : On a d’abord plaisir à travailler dans une ambiance décontractée et un cadre plus qu’agréable ! La clientèle de l’hôtel est très internationale et c’est très enrichissant. Et puis de nombreux clients de l’extérieur ont plaisir à venir déjeuner ou dîner sur notre belle terrasse.

AB : Où tu as envie d’aller manger en ce moment ?

Pavé de bar sauvage, girolles fraîches a la ciboulette et beignet de courgette

NC : J’ai d’abord envie d’aller Rue LeBec, par curiosité, et puis une ou deux adresses dont j’entends du bien comme Le Potiquet, dans le 1er, ou encore chez Frederic Côte, Au Colombier à Anse. uc Mège Photos © Jean-L

AB : Tu as sûrement vu les derniers reportages sur la cuisine « toute prête », on trouve du Davigel dans ton garde manger ?

NC : A la Reine Astrid, on travaille essentiellement du frais, et on est livré tous les jours, en primeurs par la maison Bail et en poisson par le Homard acadien. Mais cela ne veut pas dire que les produits dont tu parles sont tous mauvais. J’utilise quelques produits Brake et Davifrais, qui sont bien sélectionnés.

Tomate grappe confite aux fruits exotiques et à la vanille Bourbon de Madagascar

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ÉTÉ 2010

AB : Nicolas, merci pour ce bon moment et à bientôt sur cette belle terrasse du boulevard des Belges.

Arnaud Bernollin et Nicolas Crépeau

Cuisines Bernollin - 27, rue du 3 septembre 1944 - Anse - Tél. 04 74 67 04 08 Cuisines Bernollin - 5, place Puvis de Chavannes - Lyon 6ème - Tél. 04 78 93 00 61

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STYLE EVASION

LE DÎnER

Bernollin Villa Marie LE CHARME DE LA RiviERA

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n charme qui prend tout son sens quand vous arrivez de nuit chez Marie. A l’entrée de Saint-Tropez, feu vert pour la route des plages. La voiture bifurque sur le chemin Val de Rian et se faufile jusqu’au portail en fer forgé de la villa. Qui s’ouvre, comme par enchantement, sur de petits lacets bordés de buis et hâlés d’une douce lumière tamisée, grimpants vers la longue bâtisse endormie.

Surgissent alors de beaux chasseurs (alpins), tout de blanc vêtus qui vous débarrassent sans vous embarrasser. Mario, le matou mascotte vous précède en ronronnant. Dès le premier regard, nul doute possible, on est chez les Sibuet. Et de deviner, sous vos paupières mi-closes, l’univers familier qui a déjà fait le

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ÉTÉ 2010

succès des Fermes de Marie ou du Mont Blanc à Megève. Objets chinés, étoiles de mer, consoles en équerre et commodes arbalète… la déco fait flèche de tous bois. Peints de préférence.

Impression confirmée au petit matin quand vous ouvrez les yeux depuis l’une des 42 chambres uniques et personnalisées. Avec salle de bains ouverte et plongée sur la piscine céladon, bordée d’une pinède de trois hectares. Au loin, la baie de Pampelonne s’apprête à accueillir des yachts venus d’une autre planète. Mais pour ceux que les embouteillages du boulevard Patch révulsent, tout est prévu pour les garder bien à l’abri de cet éden intemporel. Le chef Sébastien Lefortier est déjà au piano, avec à sa carte tomates cœur de bœuf au basilic, tartare de bœuf, viandes

et poissons grillés. De retour de lézardage à la piscine, passage par le SPA Pure Altitude, un havre de paix en 4 cabines. Un équipage d’une soixantaine de personnes s’affaire ici chaque été sous la houlette de Madame Vareon et de sa douce chef de réception, Sonia Morel. Des saisonniers « maison » que vous retrouvez au Lodge Park de Megève dès la bise venue. En toute saison, l’esprit Sibuet est ainsi bien gardé.

O Marc Polisson Villa Marie – Sibuet hôtels et spa Route des plages – chemin Val de Rian 83350 Ramatuelle Tel 04 94 97 40 22 www.villamarie.fr

Photos © Jean-Luc Mège

Chaque mois, les cuisines Bernollin organisent la rencontre d’un grand chef et de papilles très vip. Un bon moment en bonne compagnie..

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Restaurant - Terrasse

Tout l’été, le restaurant

«BAROC by Maison LUCY» vous accueille tous les midis du lundi au dimanche inclus sur la terrasse de son restaurant Suggestions du jour / Menu à la carte

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Photos © Saby Maviel - Mandrak Studio

sHORT 132 € au lieu de 189 €

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VU ! CHRONIQUE

MOis PAR

moi

Les jolies sorties et belles rencontres de Françoise Petit.

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a galerie Estades expose l’été grâce à la palette ensoleillée de michel Calvet. Le peintre aux accents toulousains nous plonge dans quelques rythmes et ambiances un peu comme Nougaro dans ses chansons. En juillet, place au thème de new-york, chaque toile transpire les bruits et les énergies de la ville des passionnés du nouveau monde. michel Calvet propose aussi ses fantasmes outdoor avec péniches amarrées, marchés du sud, arènes au taureau.

L’artiste distille sa façon instinctive de peintre jusqu’au 31 juillet. photographié in situ avec sa femme Lesley, marie Dessalle et isabelle Nicolas de la galerie Estades quai st vincent www.estades.com Photo 1 Bruno Davanzo et Pascal Héritier orchestrent une programmation al dente pour ce cher Théâtre Tête d’or. En toute discrétion mais avec une efficacité rare, ils affichent un enthousiasme communicatif, chacune de leurs conférences de presse est un show de stars. La saison 2010/2011 donne bonne mine au spectacle vivant avec cet inventaire à la prévert : jean-Pierre marielle (les mots et la chose de jean-Claude Carrière), Lorànt Deutsch (Boubouroche de Courteline) jean-Luc moreau (l’illusion conjugale), jean Piat (« vous avez quel âge ») de Françoise Dorin, les chansonniers jacques mailhot, Pierre Douglas, jean roucas (liberté, égalité, hilarité), Pascal racan (un beau salaud), la divine isabelle Tanakil (Que viva offenbach), Gérard Hernandez, Danièle Evenou dans "Toc Toc" (la comédie de Laurent Baffie).www.theatretetedor.com Photo 2 Le trophée Jacquart, la belle marque de champagne met en lumière une étoile montante de la gastronomie dont la caractéristique est d’avoir moins de 35 ans et d’officier dans son propre établissement.

Le gagnant 2010 s’appelle yannick Bourgeois Faucon, et exprime son art à l’Auberge du Château (Bully). Ce jeune papa, fou de cuisine nature a fait ses armes chez les plus grands, de Guérard à Chapel et plus récemment chez Gilles Goujon (une belle référence à en croire le Michelin). En 2005, il s’installe dans l’ancien café- restaurant du village aux pierres dorées. C’est joseph Viola qui parrainait ce chef pétillant. Deuxième, Thomas Ponson, « Chez Thomas » Lyon 2ème, (parrain : Franck Delhoum). Troisième : martin Schmied, «magali et martin» (parrain Christian Têtedoie).

Le jury s’était réuni à l’institut Bocuse, sous la houlette d’ Emilie Guth et de Catherine Saignes de la maison Jacquart. Photo 3 "Ballades à boire" est un rendez-vous étonnant qui associe le Domaine Georges vernay et la Compagnie nationale du Rhône. La nuit et la vigne, surlignées par le coteau du vernon, fût divine à Condrieu. Christine Vernay et son mari Paul amsellem ont illuminé une soirée de plus en plus courue par les amateurs de vin et de musique. Leurs enfants Hugo et Emma dégustaient l’événement avec les yeux de la jeunesse. Au programme l'orchestre symphonique "l'Ensemble parisien" dirigé par alexis roy, la soprano Chantal Perraud, le comédien alain Carré, l'acrobate marie-Lise Guirronnet et "Tout Feu, Tout Femme" (pyrotechnie). un spectacle éblouissant suivi par de nombreuses personnalités dont le président de la CnR michel margne, sponsor principal avec mathieu Bonnet et Stéphane Pere, jean-Christophe Larose (Groupe Cardinal), Gabriel Seradieu (smAC), le préfet de Région jacques Gérault, le président de ÉTÉ 2010

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5 la région, j.j Queyranne, ou le député maire de vienne jacques remiller. Photos 4 et 4 bis La dernière soirée du Wine & Business Club Lyon était présidée par son fondateur alain marty. Côté conférence, sur le thème «l’entreprise verte est-elle rentable ? » un quatuor d’intervenants nous rassurait : alicia moya (orange), François Bernet (Toupargel), Didier Hamm (Lafuma), et anne joly (journaliste Entreprises RhôneAlpes). Côté vignes, Eric de Saint-Victor nous invitait à «bandoler» avec ses «Château de pibarnon» lors d’un dîner d’exception d’alain Desvilles aux Trois Dômes.

Brunot alart, président du Club de Lyon et Fabrice Sommier, qui commentait la dégustation, rendaient hommage ce soir là à Eric obeuf qui contribe au succès du Wine&Business au Sofitel. olivia Cuir (Esprit des sens) en atteste ! Photo 5

Jeudi 29 juillet dès 20h Soirée spéciale Fille

Un cadeau offert pour chaque personne vêtue de rose...

VU ! CHRONIQUE

MOIS PAR ve nè àDe Ge notre envoyée spéciale

moi

Photos © Saby Maviel

Françoise Petit

Le podium du Bocuse d’Or Europe 1er Danemark Rasmus Kofoed (déjà Bocuse de Bronze et d’Argent, il vise l’Or à Lyon en 2011) Restaurant Zlotan (Copenhague) 2ème : Norvège Gunnar Hvarnes (Restaurant Hos Ingrid - Stavenger) 3ème : France Jérôme Jaeglé (Christian Têtedoie - Lyon) avec Yannick Gallet Ses deux plats (les produits imposés, le Sterling flétan blanc et le veau suisse à réaliser en 5h35) : 1. Le poisson : flétan retour de nasse, coque Nantua, chartreuse d’asperges vertes aux mousserons des prés. 2. La viande : carré de veau en tradition lyonnaise rognonnade, bourgeon d’artichaut calice, feuille de laitue farcie, jus mélilot.

Damien Gagnieux, Anna Pernet et Anthony Robin (GL Events Exhibitions)

D Jérôme Jaeglé (Christian Têtedoie) et Yannick Gallet

Christian Bourillot, Vincent Leroux, Marie-Odile Fondeur, Pierre Orsi et Odile Mattéi

Florent Suplisson et Paul Bocuse

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ÉTÉ 2010

es drapeaux qui claquent, un brouhaha façon cours de récréation, quelques bruits de casseroles pour accompagner les olas, une pincée de colifichets… les supporters d’une Europe des passions plongent au cœur des cuisines brillantes d’inox et surlignées de couleurs lavandines et parme.

Une vague blanche s’active dans ces boxes classieux installés dans le parc d’exposition de Genève. 20 candidats déjà sélectionnés par leur pays, sont les acteurs d’une pièce studieuse et gourmande sur cette scène lumineuse. Parfumé de toques, rythmé par des musiques de chef, le Bocuse Europe, premier du nom ouvre l’ère des nouvelles règles de sélections entre deux SIRHA lyonnais. Cette première édition merveilleusement organisée en Suisse confirme le formidable engouement de cette manifestation unique au monde consacrant une fois de plus les gens du Nord… Auraient-ils dans l’assiette le soleil qu’ils n’ont pas dehors ? Tommy Myllymäki, Suédois, - Scandinavie toujours -, obtenait le prix du meilleur plat de poisson. 12 candidats sur les 20 présents à Genève participeront au concours mondial organisé en janvier 2011 à Eurexpo. Ils ont été adoubés par un jury composé d’étoiles ou cuisiniers du siècle avec en tête de talents : Philippe Rochat, président du Bocuse d’Or Europe 2010, Fredy Girardet, président d’honneur, et Daniel Boulud, président du jury international, venu spécialement de New York (après l’inauguration de son nouveau restaurant à Londres).

Marco (Lyon People), Hélène Luzin (le Chef), Jérôme Bocuse et Françoise Petit (Lyon People)

Régis Marcon et Frédéric Blanc

Daniel Boulud, Odile Mattei (France 3), Françoise Petit (Lyon People) et Olivier Ginon, PDG de GL Events

L’ESPACE CARNOT B r a sse r i e - R e s tau ran t

Le bistrot dans l’air du temps.

Modernité et tradition, terroir et bon vivre.

Terrasse de mars à octobre petit déjeuner - glacier apéritif - restauration

Dans une ambiance brasserie, la nouvelle direction et son équipe vous accueillent agréablement afin de déguster la cuisine de Cyril Romero, élève de Roger Jaloux, Chef pendant 40 ans dans un célèbre restaurant 3 macarons au guide Michelin.

L’abus d’alcool est dangereux pour la santé. A consommer avec modération. Crédit photo : Bernard Langenstein

Ouvert 7 jours / 7 de 7h à 1h du matin Place Carnot - 69002 Lyon - Métro Ampère Tél. 04 72 41 98 40 - espacecarnot@orange.fr

ICEO restaurant paquebot

Le meilleur de la cuisine méditerranéenne tout l’été dans votre assiette Une terrasse de 50 couverts.

Magnifique caveau à jambon privatisable jusqu’à 20 personnes assises ou 40 en format cocktail. Privatisation partielle ou totale du restaurant pour vos repas d'affaires ou réceptions.

Apéros tapas du lundi au samedi à partir de 18h30.

Ouvert 7 jours / 7 : du lundi au vendredi de 11h00 à 14h00 et de 19h00 à minuit, samedi de 11h00 à 15h00 et de 19h00 à minuit, Brunch le dimanche midi.

04 78 92 82 96 45-47, rue de la Bourse - 69002 Lyon lyon@zinczinc.fr - www.zinczinc.com

Accès : Métro ligne A, arrêt Cordeliers - Parking : Cordeliers et Grôlée

Ouvert midi et soir tout l’été Fermé le samedi midi et dimanche 147, avenue Jean Jaurès Lyon 7 tél. 04 72 73 00 00

VU ! PEOPLE EVENTS

LEs 21 événEMEnTs

qu’il ne fallait pas rater + de photos sur

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RoAD sHoW moBiviLLE Q BoaT

C’est sur les berges du Rhône que Guillaume Guttin et Luc Billot ont présenté leur dernier support publicitaire écolo à deux roues. Et plutôt qu’une plate démonstration institutionnelle, ils avaient choisi de faire pédaler annonceurs et hommes politiques. une petite course de vitesse qui s’est conclue autour d’un verre. un lancement décalé que les organisateurs ont accompagné d’un geste de solidarité en offrant une campagne au centre Léon Bérard et à Docteur Clown.

DoCkS 40

Le 16 juin 2010 a été lancé le premier site internet dédié aux loisirs des Grands Lyonnais : www.monweekendalyon.com. passer ses weekends à Lyon sera maintenant une évidence. initié par Lyon Tourisme et Congrès, cette innovation a pour but de valoriser l’agglomération en termes de loisirs et de culture. www.monweekendalyon.com rassemble plus de 4500 offres de loisirs proposées par les 57 communes du Grand Lyon.

Toutes les photos sur www.lyonpeople.com / Business.

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ÉTÉ 2010

aWarDS oNLy LyoN 2010 AERopoRT DE BRon

L’aéroport de Lyon Bron, emblème de l’aviation lyonnaise d’affaires internationale, accueillait dans son nouveau hangar H8 la soirée des ambassadeurs Only Lyon pour les Awards 2010. L’occasion de souligner les performances des quatre entreprises les plus dynamiques ayant leur siège à Lyon. prés de 1300 personnes ont marqué une assiduité exemplaire lors de la remise des prix avant de se laisser aller aux délices des buffets pantagruéliques sur le tarmac de l’aéroport.

Toutes les photos sur www.lyonpeople.com / Les fêtes.

Photos © Smart Angel Media et Fabrice Schiff

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LAnCEmEnT DE monWEEKEnDALyon.Com

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EXCLUSIVIT

Super star Dj San Francisco (production de Deep Dish), Miami, New York dj résident Pacha, Space et Amnesia à Ibiza

Mercredi 14 juillet

Ibiza Sexy Pool Party l’après-midi Chic & Glamour le soir

Resto - Brunch- Bar festif - Barbecue au feu de bois - Pool party tél. 04 37 50 30 50 www.legend-loungeclub.fr

Dress code : Chic & Glamour

444, route de Saint Bel 69210 Lentilly (GPS : Le Poirier)

VU ! PEOPLE EVENTS

Les 21 RENDEZ-VOUS

qu’il ne fallait pas rater

Eric Marcel et Jean-François Bochard (Design Bois)

Monique et Pierre-Marc Garcia (Mc Donald’s)

Pierre Gaumond (Société Pallanche), Philippe Gauthier (Becsi) et Christophe Hauss (Mc Donald’s)

Carine Bourasson (Mc Donald’s), Monique Garcia et Virginie Plazanet (Mc Donald’s)

Roseline Lepercq (Octopus Studio), Philippe Debort (BRB Construction) et Capucine Gragez (Octopus Studio)

Photos © Fabrice Schiff

Le discours de bienvenue

4 INAUGURATION Design Bois Lozanne

Le 10 juin 2010, clients, partenaires, banquiers et architectes ont répondu présent à l’invitation de Jean-François Bochard et Eric Marcel, deux patrons passionnés de bois qui ont créé leur entreprise il y a 4 ans. Une soirée au niveau de leur ambition qui a marqué les esprits des invités venus découvrir les nouveaux locaux et l’activité de la société grâce aux démonstrations de ses spécialistes en agencement de bureaux et de magasins, en aménagement d’espaces, création de mobilier pour professionnels, habillages muraux. Toutes structures en bois complémentées par verre et/ou métal. Un côté créatif appuyé par le défilé de mannequins de Glady’s Fashion, sur une mise en scène de Pack Event. BM

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Llibérez-vous de la peau d’orange, des capitons disgracieux et des centimètres superflus

Séance d’essai à 30 euros Résultat mesurable après seulement une séance de 30 minutes

31, Grande rue de Vaise - Lyon 9 - tél. 04 74 01 07 73

Le Salon National des Antiquaires de Bourg-en-Bresse Un voyage extraordinaire à travers le temps !

Qui n’a jamais rêvé de voyager dans le temps ?

Ce rêve deviendra réalité du 4 au 12 septembre 2010, date à laquelle le Hall B d’Ainterexpo se transformera en écrin pour accueillir la 27ème édition du Salon National des Antiquaires de Bourg-en-Bresse.

A cette occasion objets d’art, peintures, meubles d’époque, bibelots précieux et bijoux vous raconteront leur histoire et vous entraîneront dans un incroyable périple à travers les siècles.

Les soixante exposants présents vous aideront à percer le secret de ces trésors, vous inviteront à franchir les frontières du temps et des cultures et vous serez emportés dans un univers merveilleux et éblouissant.

INformAtIoNS prAtIQUeS

du samedi 4 au dimanche 12 septembre 2010 AINTEREXPO • PARC DES EXPOSITIONS ET DES LOISIRS DE L’AIN 25, avenue du maréchal Juin - 01000 BoUrG eN BreSSe • Horaires : tous les jours de 10 h à 19 h Nocturne le vendredi 10 septembre jusqu’à 22 heures • Entrée : 6 e • Tarif réduit (étudiants, groupes et jeunes de 12 à 17 ans) : 3 e • Gratuit pour les enfants de moins de 12 ans accompagnés • Parking gratuit et restauration de qualité sur place • renseignements Ainterexpo Tél. 04 74 22 12 33 - Fax : 04 74 22 02 33 accueil.info@ainterexpo.com www.antiquaires-bourgenbresse.com www.ainterexpo.com

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5 Nuits de Fourvière

La Banque Rhône-Alpes

"Une autre vision de la Banque" telle est la devise de la Banque Rhône-Alpes. Bruno Deschamp, Président du directoire de la banque a souhaité profiter du site exceptionnel des "Nuits de Fourvière" afin d'inviter quelques clients, au cours de 3 soirées. Cette démarche témoigne une nouvelle fois de la relation de proximité que la banque développe avec ses 130 000 clients en région Rhône-Alpes.

Richard Brumm, adjoint aux Finances et son épouse Dominique

Catherine Vernusse et Catherine Deschamp

Christian Gauduel, président du Groupe Gauduel et son épouse Aline

Marie-Josèphe Laurent (Cabinet Brumm) et Dominique Joly

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ÉTÉ 2010

Frédérique et Olivier Malfait (Groupe Samse)

Philippe Calmels et Bruno Deschamp (Banque Rhône-Alpes)

Vincent Labruyère, président du Prisme et son épouse Evelyne

Bruno Sapin (Cabinet Sapin) et son épouse Anne

Maitre Bernard Sabourin et son épouse Elisabeth

Laurence Balas et son époux Cyril (Perroux)

Pierre Fanneau (Le Progrès) et son épouse Raphaële

Eric Vernusse (Banque Rhône-Alpes), Sophie Cournol et son époux Stéphane

Photos © Fabrice Schiff

Guy Malher, ancien président de la CCI et son épouse Myriam

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6 Inauguration dU Show-Room Déco Saint Priest Daniel et Romain Buguet

Corinne Minichelli (BDMV avocats) et Thierry Glories (Groupe Floriot)

Daniel Buguet, président d’UTD, a lancé à Saint Priest (6, rue de Genève, à proximité de la RN6) le 17 juin 2010, un show-room de plus de 2000m² consacré aux projets Déco, à destination des professionnels et des particuliers. Nouveautés tendances sont à découvrir dans cet espace de rencontres et d’échanges à la fois pratique et convivial. MP

Maître Jean-Pierre Durand (Juris), Monique Pillot, Jean-Lou François (ABN) et Myriam Durand

Paola Carbone (Domitalia), Daniel Buguet et Chantal Lance (Domitalia)

Isabelle Sournac (Wanimo.com), Deny Sournac (Médic Créa), Thierry Grisard (Clinique équine, Neyron) et Sybille Grisard (Dédicace)

Evelyne et Manuella (Atelier de Lyon)

Jean-Patrick Coquillat (Central auto), Isabelle et Jean-Claude Burtin (IOMA)

Ghislain Sentis (Forestyle) et Nathalie Buguet (Show Room Déco)

Jean-Philippe et Fabienne Ekert, architecte d’intérieur du Show Room Déco

Hugues Richard (Oudart Gestion), Anne-Carinne Carillo (CIC) et Olivier Mages (Sogelym)

Rémy Fourmaux, architecte de l’opération, Romain Buguet et Françoise Marcel

Photos © Lionel Pinar

Daniel Buguet, PDG de Show Room Déco, Martine David, maire de Saint Priest et François Turcat, président de la CGPME Rhône-Alpes

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qu’il ne fallait pas rater

Cyril Meaudre (Domo Déco) et David Bonnefon (Mind Logistic)

Patrice Olivier (Le Bad’s), sa fille Sophie (Bionops) et Bruno Mages (Alfa Roméo)

Dalil Merad (DComMedia) et Anne Fleuret Truche (Agence Truche)

Les 21 RENDEZ-VOUS

Isabelle Nicolas (Domo Déco) et Marco (Lyon People)

Amandine Gros (Calligaris), Ysabelle Leriche (Le Progrès), Jean-Noël Giraudon (Calligaris) et Candice Augugliaro (Le Progrès)

Ali Afshar, directeur de la Reine Astrid, Béryl Maillard, consul de St Domingue et Gilles Taraquois (Pal Zileri)

Michel Bernini (Théâtre Lulu sur la Colline) et Barth (OL TV)

Pierre Nicolas (I Way), Mehdi Navah (Altitudes) et Xavier Velasco (Cave à Cigare)

Bruno Mages (Alfa Roméo), Christiane et Fiorel Colatosti (Icéo), Achille Lanzuolo (IL Italiana di lione) Claude Pulcina (6ème Avenue Mini), Jennifer Latorre et Marc Nicoloso (Novella Alfa)

Photos © Fabrice Schiff

Lucie, Laurie, Olivier Monnet (Monnet Automobiles), Sébastien Chenevez (Fiat France) et Anthony Berthault (Intermap)

7 Docks 40 Nouvelle Guilietta Alfa Roméo

A l’invitation de la concession Novella, plusieurs centaines d’aficionados d’Alfa Roméo sont venus découvrir la nouvelle Giulletta sur la terrasse du Docks 40. Synthèse de sportivité et d'élégance, elle est issue de la nouvelle inspiration stylistique et technologique d'Alfa Romeo, inaugurée par la « supercar » 8C Competizione. Cette vision, caractérisée par un retour aux consonances italiennes, fait non seulement référence au passé glorieux de la marque, mais projette aussi dans l'avenir ses valeurs technologiques et émotionnelles.

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Raphaël Cucco, Bruno Mages et Rudis Donna (Alfa Roméo)

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Photos © Fabrice Schiff

Michel Ide (Ville de Lyon), Virginia Bernoux (Cogedim), Nathalie Berberian (Lamy), l’architecte Stéphanie Caille et Pierre Nallet (AnaHome Immobilier)

8 Café du Pond

Trophée de pétanque Lamy

Lamy exerce les métiers de gestion locative et de syndic de copropriété et commercialise des biens immobiliers de qualité. Ce qui explique sa proximité avec les professionnels de la promotion lyonnaise qui roulent leur bosse dans un contexte économique difficile et de concurrence exacerbée. Des promoteurs qui déposent leurs armes au vestiaire une fois l’an autour d’un verre de rosé et des boules de pétanque du Trophée Lamy. Merci Nathalie ! MP

Philippe Delorme (Bouygues Immobilier), Vincent Jacquemot (Cogedim), Jean-Jacques Garand (Icade), Sylvie Collier (Les Nouveaux Constructeurs) et Sébastien Kenck (Cogedim)

Frédéric Marchal, président FPC et Nathalie Berberian (Lamy)

Vincent Jacquemot (Cogedim) et Philippe Delorme (Bouygues Immobilier)

Frédéric Chival (Diagonale), Jacques Flukiger (Kaufman & Broad) et Stéphane Giraud (Lamy)

Philippe Delorme (Bouygues Immobilier), l’architecte Stéphanie Caille et Gregory Gaume (Promogim)

Philippe Hyvernat (Nexity), Catherine Noailly (Lamy) et Alexandre Chmelewsky (Nexity)

Frédéric Marchal, président FPC, Nathalie Berberian (Lamy), Jean-Jacques David, maire du 6ème et David Kadous (MCA)

Laurent Barillet (Lamy), David Kadous (MCA) et Nicolas Elie (Cogedim)

Jean-Jacques David, maire du 6ème entouré de l’équipe Lamy

Nathalie Berberian (Lamy), Franck Ponsonnet (Diagonale) et Catherine Noailly (Lamy)

Luc Vergonjeanne (Eiffage Immobilier) et Nathalie Berberian (Lamy)

Jean-Jacques David, maire du 6ème, Nathalie Berberian (Lamy) et Gilles Buna, adjoint à l’Urbanisme

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Claire Lesprit (Forum Eco), Luc Verstraete (Les Petites Affiches Lyonnaises) et Valérie Kern (Reine Astrid)

Brice Champeley et Nathalie Dugourd (Groupe JDL / SFR)

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Fetia Knani et Borhane Ben Ali (Tourisme Tunisie)

Luc Verstraete (Les Petites Affiches Lyonnaises) et Thierry Bouchet (Champagne de Venoge)

Le chef Philippe Lechat, Caroline Cyrielle Toldo et Frédérique Rousseau (Imprimerie Dugas)

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Les 21 RENDEZ-VOUS

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Ugo Joubert (Golf du Gouverneur) et Eric Bettant (Smart)

Rrenaissance : Candice Pinti, Michelle Balme et Patricia Champourlier

Stéphane Flamand, directeur Golf du Gouverneur, et Philippe Liucci (Ivanhoé)

Jean-Pierre Blein (Domaine de la Destinée) et Pierre Folliet (Le Bonheur est dans les Vignes)

Ali Afshar (Reine Astrid), Pascal Auclair (Objectif Une), Gilles Traquois (Pal Zileri) et Borhane Ben Ali (Office National du Tourisme Tunisien)

Philippe Bettant (Smart), Claire Bianchin (Oscience), Philippe Liucci (Ivanhoé), Maurice Bettant (Smart), Gérard Auboeuf (Only Lyon), Thierry Baglan (Greater Geneva Bern aréa) et Olivier Juredieu (Secret des Dames)

Pierre Masia, sa petite-fille Candice Guillon et son épouse Nicole Chevassus

Photos © Smart Angel Media

M.Bernard (Bernard Matériaux) en musique !

9 Trophée Smart 2010 Golf du Gouverneur

Encore une édition qui s'est déroulée sous les meilleurs auspices entre une météo radieuse sur les deux jours du trophée et la venue de cinq cent golfeurs sur le green. Les partenaires réunis dans un grand village ont assuré une animation constante et variée. Ambiance détonante entre mélanges de styles musicaux et exposition d'œuvres artistiques. La soirée de clôture, très people, a pris des airs de garden-party entre invités distingués et buffets raffinés ! Décidément smart jusqu'au bout en partenariat avec l'agence Ivanhoé. JS

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ÉTÉ 2010

L’Italie à table

Tous les dimanches midi et soir, pour nos gastronomes en herbe, le menu enfant est offert (jusqu’à 12 ans)

Cuisine familiale italienne 49 rue de la Bourse 69002 Lyon 04 37 57 92 50 - itavola.fr

VU ! PEOPLE EVENTS

LEs 21 REnDEz-vOus

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Nathalie Bériard (JLO Conseil), Adeline Andrieux (BPI) et Stéphanie Carlier (consultant RH coach)

RéGAL GLACE RéGALE LA CROIX-ROUSSE !

Après Annecy, Christophe Seilhean poursuit le développement de ses boutiques lyonnaises (mercière, st Jean) avec un nouveau spot gourmand conçu par Philippe magnin du Sauzey. Clientes et amis sont venus fêter son implantation au 155, boulevard de la Croix-Rousse, autour d’un buffet salé arrosé de Château peyrassol (rosé) et de punch, suivi bien entendu d’une dégustation de glace à discrétion. un évènement chanté par marion et imaginé par Delphine Lalliard de Millesime Events. MP Martine et Françoise (EV Diffusion)

Maître Delphine Ghi-Ghi, Delphine (Millésime Event’s) et le docteur Rana

Yvan et Dorothée (Aquarium du grand Lyon) et Christophe Seilhan (Régal Glace)

Eric (Champagne Billecart Salmon), Alban, Audrey (L’Ecrin des soins) et Jean-Louis

Christophe Seilhan (Régal Glace), Albert (Café du pond), Aude et Roger

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ÉTÉ 2010

Delphine (Millésime Event’s), Michel Neyret, le réalisateur Olivier Marchal et Christophe Seilhan

Karim, Célia, John et Sonia

Justine, Denis (MEC 3) et Christophe Seilhan (Régal Glace)

Vanessa et Sania (Régal Glace)

Photos © Lionel Pinar

Mélanie et Ofra (Street connexion)

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Corinne et Dominique Perben

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Les folies du

Café du Pond

L’amicale en famille

Michel Duong et Karen Finzi (Repérage shopping)

Photos © Lione

l Pinar et Mario

Gurrieri

"Familles, je vous aime !" Repère des noctambules chics, le Café du Pond est également l’un des spots préférés des jolies mamans du 6ème qui peuvent siroter un verre entre elles tout en veillant sur leur turbulente progéniture. Lesquelles étaient à la fête en cette ensoleillée « journée des folies » organisée par Delphine (Millesime Events) avec moult animations pour petits et grands. Une réunion de famille intergénérationnelle à l’image des amours d’Albert ! MP

Katy (Wesford), Delphine (Millesime Events)

Damien Gouy-Perret et Lisa Thevenet

Hervé Giughese et Avril (H come H)

Anne-Sophie et Véronique

Valentine, Christine et Morgane

L'équipe du Café du pond La paella préparée par Cuisines du Sud (Halles de Lyon)

Grand-père Albert et ses deux fils

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Pédrini, les mousquetaires du golf

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GOLF CLUB DE LYON

Le groupe FINEGIL et l’équipe d’AQUASOURCA remercient l’ensemble des participants à la compétition du 30 Juin 2010 sur le parcours exceptionnel du Golf Club de Lyon Un grand BRAVO à Gilbert Reboul et son équipe. « A l’année Prochaine ! ».

Frédéric Frèrejean (Cabinet Frèrejean), Maxime Visseaux (HSBC), Jean-François Dubant (Airia) et Constance Dubant

Pierre Nallet (AnaHome Immobilier), Gilbert Reboul (Golf Club de Lyon), Sophie Defforey (Aquasourca) et Albert Constantin (Ateliers de la Rize)

Georges Perrillat (Finegil), Thierry Glories (Floriot), Christian Assant (Maestria) et Gaby Fangemann (GSE) Jean-Claude-Claude Brument, Richard Suscillon (Vetur), Nicolas Trompille (Iliade Ingénierie) et Claude Villard (Mairie de Jons)

Francis Torre (Frappa), Yann de Kertanguy (Addax), son épouse Véronique et Jordan Bruyère (Frappa)

Belu, Cindy, Marilyne, Sandrine et Félix Brahim Khalil (AFPA), Jacques Chalvin (Double Mixte), Antoine Samson (Straeg’ Alliance) et Guy Guedj (Consultant)

Richard Foucher, Jean-Claude Vernay (RFE), Yvan Chassoulier et Jean-Christophe Tomassone (ABCR)

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ÉTÉ 2010

Eric Rostagnat (GL Events), Jean-Patrice Bernard (Bernard), Vincent Hebert (BNP Paribas) et Guillaume Maillard (Rothschild)

Nicolas Sene (Babolat), Alexandre Boucharlat (Segeco Consulting), Christophe Viornery (Finegil) et Stéphane Gilleron (GS Conseil)

Photos © Fabrice Schiff

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Trophée Finegil-AQUASOURCA

Philippe Brunet Lecomte (Mag 2 Lyon), Nicolas Roux (Europe Garage), Sophie Defforey (Aquasourca), Antoine de Raemy (One FM) et Philippe Marcel (Aquasourca)

Georges Perrillat (Finegil), Gaby Fangemann (GSE), Thierry Glories (Floriot), Christian Assant (Maestria) et Thierry Bouchet (Champagne de Venoge)

Rejoignez nos équipes !

L’accueil est notre métier

LYON – PARIS – NICE TEL : 04 78 24 24 56 | 01 44 31 52 50 | 04 93 92 82 44

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Joël Gaudiller, Bruno Malterre (InEo Com), Eric Adam (Gattefosse), Eric Troisfontaine (InEo Com) et Jonathan Richer (Gattefosse)

Franck Perrot (Savour Club) et Joël Gaudillier (InEo Com)

Michel Bourgeat, Véronique Pachoud (Alptis Assurances) et Philippe Picard (InEo Com)

Paul Cheucle et Fabienne Chaboud (Force Plus)

Hervé Issaly (Adrea), son épouse Ghislaine et le magicien Pierre Manu

Benjamin Robert et Gilles Benso (SAD)

Patrick Latour (InEo Com) et Christophe Chaize (Kéolis Lyon)

Xavier Thomas (InEo Com) et Henri Modrak (CAPV)

Bruno Allenet, directeur délégué Grand Lyon GDF Suez et Eric Troisfontaine, directeur régional InEo Com Centre Est

INEO Com, l’intégrateur qui vous accompagne dans vos projets

Photos © Fabrice Schiff

Bruno Meunier (Aris), Christian Thinard (Activ Ingénierie) et Yanis Boyer (Aris)

Robert Favre (Temporel), Muriel Perichon (Mutualité Française) et François Basirico (DDT)

Conseil, Conception, Déploiement, Formation, Maintenance, Exploitation, Infogérance de Systèmes de communication d’entreprise permettant de véhiculer l’ensemble des Flux VDI (Voix, Données, Images) sur une infrastructure IP sécurisée et performante. Acteur majeur du marché français, INEO Com (Groupe GDF Suez), propose une offre complète de solutions et de services autour des domaines d’expertises : les communications unifiées, la mobilité, les réseaux, la sécurité, le datacenter, la sûreté et la santé avec le Terminal Multimédia Patient.

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13 Ambiance « Féerie & Technologie » DomO

Entouré de ses partenaires stratégiques du monde IT, INEO Com certifié Cisco Gold, Alcatel-Lucent Premium, Aastra Gold et AVM multimédia, ouvre de nouveaux horizons aux solutions techniques de demain ! A l’occasion de sa Soirée Privilège dans une ambiance lounge animée par l’illusionniste Magic Influence, plus de 200 invités sont venus découvrir les tendances et solutions pour la communication d’entreprise au restaurant le Domo, le jeudi 24 juin. C'est au travers d'ateliers novateurs favorisant le dialogue et le contact direct qu'INEO Com démontre son savoir-faire et son expertise d'intégration : Le Datacenter pour tous, la sécurité des Systèmes d’Informations, la sûreté, les nouveaux usages des systèmes de communication pour optimiser les flux… Après les succès stéphanois et lyonnais : Rendez-vous à Dijon en octobre !

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ÉTÉ 2010

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Equipe smart Ecully Lyon

14Rallye Smart 2010

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Photos © Smart Angel Media

Julien Smati (Smart Angel Média) et Willliam Houzet (Normydro)

Avec cette 11ème édition, le fameux Rallye Smart démontre son extraordinaire créativité qui ne cesse de nous étonner et de nous ravir. Les smartiens constituent avec brio une famille de nature ludique, curieuse et dynamique. Les organisateurs continuent à insuffler les valeurs de la marque autour de la simplicité, la convivialité tout en attisant la recherche avant-gardiste des possesseurs de ce petit bolide raffiné. L'occasion cette année d'explorer le Dauphiné entre son passé chargé d'histoire, de Crémieu à Morestel, et son arrière-pays doté d'une qualité de vie d'un autre temps par le biais d'une astucieuse chasse aux indices hors chrono. Des activités récréatives prirent ensuite place dans le cadre magique du Château de Chapeau Cornu, également dotée d'une piscine très prisée en cette belle journée d'été ! JS Les 3 premiers équipages gagnants

Le podium

Les smartiens prennent leurs aises au château...

L'armada Serge Magner

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ÉTÉ 2010

Stickage des véhicules par ordre d'arrivée

Laetitia Gignoux (Happy), Rémy Sabatier (smart) et Emilien Jeannot (sportdomicil)

Nathalie Caille (Mercedes Benz & smart Entreprise) et Laurie Beaujouen (boutique Smart)

L'Equipe de France en convalescence surveillée

Les caves du château de Chapeau Cornu

Coaching pour Anne Sabatier par Sophia et Emilien (Sportadomicil)

Le chef Philippe Lechat, Erick (Totem Store) et Fiona, responsable communication

Kamel Lhelali et Hélène Fourrière (La Reine Astrid)

Le signe de ralliement des smartiens…

Cédric, Caroline et Pierre (L'Animal rit)

Institut Carita Lyon 2 : Claude Delval, Gwendoline Meunier et la responsable Diva Volle

Nicolas Lafon (Société Générale) et Reda Benaci (Lexmark)

Smart glaces

Marie-France Aussenac (ATC Groupe), Joséphine et Jean-Michel Clauss

Ophélie Tanguy Jan et Emilie Ribes

Emmanuel Gaydon (SCP) et Cédric Godard (Mont Blanc)

Céline Gaimard et Noémie Prost (ATC Groupe)

Méryl Viteta (Mobil Board) Restaurant Au Bord de l'eau : Renaud, le propriétaire Pierre Muguet, Quentin et Alban

Pierre Boussac et Aurélie Petiot (Danone)

Jean-Robert et Adeline Floirat (Fermetures Pontille) JUIN 2010

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L’un des évènements golfiques les plus attendus chaque année réunit sur les greens de Villette d’Anthon golfeurs et chefs de cuisine sous le patronage de Pierre Nallet (AnaHome Immobilier) et de Frédéric Mansard (SFR). Tous les trois trous, un chef membre des Toques blanches lyonnaises accueille les équipes pour une dégustation. Chaque plat est accompagné d’un vin mystère à découvrir. Un concept original proposé par Carole Dufour (Idées en Tête).MP

Bruno Dufour, Marc Lourdeaux, Barnas (Marguin), Patrice Rosier et Bernard Rivalta

Pierre Nallet, Stéphane Cerdan, Benoit Licour, Xavier Gauduel reçus par les chefs Christophe Marguin et Joseph Viola Nicolas Trompille et Stéphane Berger

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ÉTÉ 2010

Photos © Fabrice Schiff

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Toques & Green 2010 AnaHome Immobilier & SFR

Les 21 RENDEZ-VOUS

Millefeuille de Saint Jacques, Quinoa, sauce acidulée aux agrumes by Laurent Bouvier

Au club house, autour d’un verre avant le départ

Frédéric Frerejean, Valérie Melon, Fabrice Volle et Cyril Arlin

Tartare d’espadon aux parfums asiatiques

by Frédéric Berthod (33 Cité)

Mehmet Meric, le chef Mathieu Viannay, Philippe Pipier, Patrice Pedrini, Nicolas Trompille et Grégory

La chevauchée fantastique…

Pascal Auclair, Philippe Magert, Laye Diop, Lionel Caron et Serge Gradante

A l’année prochaine pour de nouvelles aventures !

Christophe Gruy, Richard Brumm, le chef Frédéric Berthod, Richard Bret et Stéphane Berger

Benoit Licour et Pierre Nallet

Pierre Nallet (AnaHome Immobilier), Eric Merriaux (Agence Papoo Maroc) et Jean-Luc Spohn Villeroy (SFR)

Soupe glacée aux herbes, saumon mariné aux condiments by Mathieu Viannay

Chez Daniel et Denise : Frédéric Barba (Golf club de Lyon), le chef Joseph Viola, Jordan, Patrick Aubry, Franck Avazeri, Philippe Rollet et André Claude Canova

Roland Botella, Gérard Emica, Jean-Luc et Annie Wagner

Catherine Nadobny, Blandine Brochier, Gratiella et Stéphane Fernandez (Steff), Carole Dufour, Béatrice Maillot et Laurence Le Lann

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Les 21 RENDEZ-VOUS

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Sonia Guillet, Yves Grardel et son épouse Sabina (Radisson Blu Hôtel)

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Radisson Blu HoteL FÊTE DE L’éTé

Le Radisson Blu Hôtel a fêté l’arrivée de l’été le jeudi 24 juin 2010. Yves Grardel et son équipe ont souhaité faire de cet évènement, une soirée haute en couleurs. Les invités ont pu déguster le cocktail dinatoire en admirant la vue panoramique qu’offre la Tour Part-Dieu. MP

Jean-Marc Podvin (Martinon), son épouse Christine (Guerlain) et Pierre Castagné (Radisson Blu Hôtel)

Mireille Bouvier (Depuy France) et Eliane Serve (Renault Trucks)

Maitre Gérald Petit, Séverine Ciampi (Lyon People) et François–Edouard Coze (Champagne Duval-Leroy)

Amandine Berthier et Christophe Martinez (Beauvallet)

Tiffany Vidal, Loïc Peyrard et Jocelyne Berodier (Rezidor)

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ÉTÉ 2010

Agnès Jacquemin (Areva), Marie-Claude Porfido (Objectifs Séminaires) et Régine Lombard (Areva)

Gwendoline Meunier, Patrick Volle et Diva (Carita)

Pierre Larregain (Elysée Hotel) et Chantal Naviau

Isabelle Favier (Bibliothèque de Ste Foy les Lyon) et Colette Hernandez (Sanofi Pasteur)

Frédérique Doratti (Randstad) et Christel Schenck (Merial)

Séance relaxation

Photos © Fabrice Schiff

Photo de famille

VU ! PEOPLE PARTY

Alain et Katy (avec Shango)

Patrice et Aline

Linda, Tom Jo et Hervé, alias Néné

Monique, Stéphane (ApériKlub) et Ambre

Eglantine, François (Legend club), Coco (RT conseil) et Ally (Global IP)

Stéphanie et Jean-Michel

Hassan, Carole-Anne et François (Legend club)

Valérie (Jols Limonest) et Nina (Bossuet coiffure)

Jim, Thierry et Kevin (Legend club)

Kelly et Xavier

Cédric et Nico (Lyon people)

Ravin (DJ Bouddhabar) et le docteur Cédric Martin

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Buddha Bar XII

Legend Lounge Club

Zénitude absolue autour de la piscine du Legend Lounge Club à l’occasion du lancement en exclusivité du dernier album de la saga Buddha Bar. Répondant à l’invitation de Cédric Martin, DJ Ravin est venu en personne mixer sur son douzième opus à Lentilly. Ouvert tout l’été, le Legend Club (route de Saint Bel) est un restaurant festif, idéal pour les soirées barbecue et les pool parties.

Photos © Lionel Pinar

Catherine, Christian et Sylvie (Parc avenue) et le docteur Cédric Martin (chirurgien international)

VU ! PEOPLE PARTY

Colette Bavasso (SET) et Christine Pigeroulet (Enjoys)

Les 21 RENDEZ-VOUS

qu’il ne fallait pas rater

Valéry Callies (Luc) et Sylvie Roche-Loron

Joce et Pascal (Lubricante)

Dorothée (City One) et Pierre (Martinon)

Nico (Lyon people), Christian Lafaye et Pierre-Yves Flory (Sainte Foy immobilier)

Cyrus et Isabelle

18 Les Mardis des Planches Sous le signe du Brésil

Valérie, Jean-Louis (JLB prestige auto location) et Géraldine

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ÉTÉ 2010

Joëlle-Marie (Jo elle), Richard (Régie Gambetta) et Martine

Laly et Cathy (Les Pussycat)

Photos © Lional Pinar

Sevrés depuis des semaines, les aficionados des mardis se sont rués à Albigny sur Saône pour retrouver l’ambiance festive des bords de Saône et ses pantagruéliques buffets. Au son des cariocas brésiliens, les noctambules ont fêté le retour du soleil jusque tard dans la nuit. Pourvu que ça dure ! MP

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Guillaume (Les Planches)

Serge Vareon (ESI)

Isabelle, Jean-Louis (Les Planches), Valérie et Jean-Louis

Pascale (Les planches) et Xavier Bourit (Moët & Chandon)

Philippe L’Héritier (Le Yes), Julien (Les Planches), Charles et Adrien (Le Yes)

Sylvie et Louis (Event’s)

Sylvie, Dali et Alison (Boutique Moreteau)

Jean-Louis, Julien (Les Planches), Sophie (Le Charles) et Nicolas Tournier (Les Caves Courchevel)

Christel (groupe Lépine) et Axelle (groupe Silliker)

Margot, Lilou, Lesly (Les Affranchis) et Charlène Bejuy (Valauris H conseil)

Jean-Louis Maier et Maryse Vareon

Pascale (Les planches) et le photographe Lionel Pinar

Florent (Bijouterie Aigue marine) et Christelle (Moreteau) Henri et Patricia Junique (Régie Chapot)

Inès Bourit (La boite aux idées) et Pascale (Les Planches) JUIN 2010

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VU ! PEOPLE PARTY

Les 21 RENDEZ-VOUS

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19 Gala de Boxe du JALB Casino Lyon Vert Grosse ambiance à l’occasion de la seconde édition du gala de boxe du JALB, le club où s’entraîne la bande de copains de Philippe Liucci, d’Eric Pelet et de Michel Uzel. 20 boxeurs amateurs pour 10 combats qui ont rythmé le délicieux dîner préparé par Philippe Gauvreau et les cuisiniers du Pavillon de la Rotonde… Respect à nos quadras et à nos quinquas ! MP

Les organisateurs ont reversé 1500 euros à l’association Habitat Saint Roch

Cathy et Frédéric Berthod (33 Cité)

Richard, Chantal Sansavini (Arrivetz) et Nico (Lyon People)

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ÉTÉ 2010

Agnès Chalvin (Air France) et Alice Dietsch (Dune)

Coralie Hoernel (Consultys), Christophe Capelli (Capelli) et son épouse Laure

Les trois drôles de dames

Aurélie Cellerier et Christian Mouleyre

Emmanuel Hamelin et Olivia Thibault

Marie-Pierre Michaud-Andrillat (Mignola Carrelages), Benoît Licour (Maïa) et Sandrine

Marco (Lyon People) et Véronique César (Service compris)

L'horloger Jean-Louis Maier et ses deux plus beaux bijoux

Maître Olivier Costa, le Magellan 1m86, 80kg, 36 ans Maître Jacques Dufour, le marathonien 1m75, 78kg, 50 ans

Commissaire Jean-Marc Rebovillat, Bebel le divisionnaire 1m75, 70kg, 49 ans Jean-Marie Mathon, Jim H 1m74, 71kg, 47 ans

Eric Monget, Mong le trappeur 1m90, 90kg, 46 ans Maître Michel Uzel, le taureau de Neuville 1m88, 97kg, 50 ans

Bertrand Bourgeron, Bébert l’Ukrainien 1m83, 90kg, 47 ans Olivier Lamiche, Mouche le yéti de villa Roger 1m80, 75kg, 42 ans

Jean-Marc Gemet, le Danois du 42 1m79, 77kg, 44 ans Stefan Martin, le pitbull de Chatillon 1m72, 80kg, 45 ans

Olivier Martin, Lélé le Prince de la Baleine 1m70, 71kg, 45 ans Pierre Guy Cellerier, la patte gauche des Halles 1m73, 73kg, 42 ans

Amaury de Rouvray (l’Astelle) 1m78, 78kg, 45ans Franck Zimmerman (Adi Ampère) 1m78, 78kg, 45 ans

Laurent Daublain, Sdaub le tout puissant 1m78, 100kg, 45 ans Philippe Liucci, Liouch le Gitan 1m85, 60kg, 30 ans

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Les 21 ÉVÉNEMENTS

qu’il ne fallait pas rater

Béryl Maillard, consul de Saint Domingue, Philippe Mazmanian (Rhodia), Stéphane (Broc bar) et Véronique Ginon (Frédéric Moreno)

Sandrine et Alain Muller (JT Trade)

L’équipe de BMW 6e Avenue

Monique Roux et le docteur Christine Dubost (10e Trophée Rose des sables)

Photos © Alain Rico

Habib et Sandrine (Le Boudoir)

Arnaud et Patoche, entourant Sandrine Michel, Pierre, Frédéric et Julia, Franck Rebmann (6e avenue BMW)

20 La soirée rose du Boudoir

Le Chef Frédéric (Le Boudoir)

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Marco (L’Est) et Edouard Gonzales (Laurent Perrier)

Sandrine, Philippe et Sandrine Bettant (Smart)

ÉTÉ 2010

Autant vous le dire d’emblée, ce n’était pas gagné d’avance ! Ciel maussade, température polaire et pluie fine à vous transpercer jupettes et chemisettes… les noctambules lyonnais allaient-ils rester sous planqués sous la couette ? Que nenni mon ami ! La belle terrasse du Boudoir s’est rapidement remplie, couvrant de rose les joues des clients épanouis. Alors que rosé, mojitos framboise et champagne coulaient à flot, l’ambiance est rapidement montée d’un cran, on a chanté, on a dansé et envoyé le mauvais temps… sur les roses ! MP

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Pierre-Gilles et Claudine (salon Dolores), entourant Sandrine, et un ami

Sandrine, François et Corine Bettant

Eve et Nathalie (Steiner)

Pauline Thomas (SJM Médical), Denis Combrichon (TPA), Stéphanie Ulrich (S déco) et l’horloger Jean-Louis Maier

Dansez maintenant !

L'équipe du Boudoir

Christophe Verpillot (Valority), Stéphane et Emilie Lambert (Lambert immobilier)

Karine (Chanel) et Albert Cadoche

Patrick Derard (Maisons & Appartements), Marie Canzano, Stéphane Pellettier, le couturier Nicolas Fafiotte et Clotilde Dupont (Résidence Décoration)

Stéphane (Broc bar), Sandrine (Le Boudoir), Jérôme (Les Carnets d’Edouard) et Eric (Broc bar)

Sylvie (L’Enchantement), Laye Diop (Hilton) et Sandrine

Sandrine, Laurence, Karine et Séverine (Coté Maison)

Christine (Marie-Catherine), Sophie (Louise Della), Audrey (MarieClaire), Astrid (Séminaires & Business) et Séverine (Lyon People)

Florence Laffin (Teamrush), Emilie Beynet, Gilles Jurano (beauty-tout go) et Bruno Benguigui (Easy cover)

JUIN 2010

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VU ! PEOPLE PARTY

LEs 21 événEMEnTs

qu’il ne fallait pas rater

Hélène, Charles et Julie

Zineb, Pierre, Zac et Rita

21 FIRST REVOLUTION

NEWLOOK OFFiCiAL TOUR

Chaque mois, le magazine newlook sélectionne le meilleur du sexy, de l'extrême et de l'insolite. mais il arrive parfois que ses beautés dénudées quittent leur cocon de papier glacé pour aller à la rencontre de leurs jeunes aficionados. Le 11 juin, la tournée a fait escale au Brotteaux le temps d’une soirée chaude comme la braise… mP

Lucie et Matilde Tara, Diana et Soso

L’équipe du First

Nicosax

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ÉTÉ 2010

Lionel (ApériKlub)

Sacha, Marina et Tiphany

David et Laura

Sam, Clem, Zac, Max et Alex

Amélie, Nédia et Christine

Photos © Alain Rico

Audrey (le K), Yamina et Corinne

Angle rue Lavoisier 67, rue Des Rancy 69003 lyon tel 04 81 91 6000

samedi 17 juillet avec lalY de secret storY

CARNETin

monda

MARiAGE ALAiN ET NAWEL FRECHET

il n’a jamais failli à sa vocation. Depuis plusieurs décennies, alain Frechet sillonne les boites de nuit de la région Rhône-Alpes pour prêcher la bonne parole de Dom Pérignon et de Moët & Chandon. sa bonne humeur et sa joie de vivre, tignasse au vent, ont séduit la belle Nawel. Les deux amoureux ont choisi la date du 19 juin pour officialiser leur union, devant le maire de Lorette à 15h, autour d’un vin d’honneur avec les professionnels de la nuit à 17h sur la terrasse de l’AperiKlub puis dès 20h au milieu de leurs amis réunis au B52. L’équipe de Lyon People adresse ses vœux de bonheur aux deux tourtereaux. MP

LES MARiAGES 10/07/2010 Fanny Boyer et Frédéric masveyraud Laurence Rivat et Fabrice palatin Anne Gaessler et Guillaume Duc 17/07/2010 Laurence Lépine et Bastien de Breuvand stéphanie Tixier et Cédric Bertonnier 24/07/2010 Eline Decelle et valery Giroud 31/07/2010 Judith spindler et matthieu Rossetto 07/08/2010 Alix Delôme et François-Louis Krempp 14/08/2010 Florence mermet et Damien Chabert d’Hieres 21/08/2010 marion Essig et Jérôme martin 28/08/2010 sophie Rondelet et pierre d’Autryve

LES DiSPARiTiONS

Dans nos intentions de prière, monsieur Baptiste Florentin (photo), le fils de Philippe Florentin (Zinc Zinc, Abel) ; monsieur Georges Fenech, ancien député et ancien maire du 9ème, le baron Bernard de Leusse de Syon ; madame jean Senellart de Vrière ; monsieur Georges roibet et monsieur andré Bal, papa de l’éditeur Hervé Bal. nous nous associons à la douleur des familles et leur présentons nos sincères condoléances.

NOMiNATiON BENoiT TErrièrE

nouveau venu chez Syntagme, il participera à la gestion et au développement du pôle Affaires publiques (lobbying réglementaire, relations extérieures, marketing territorial, communication institutionnelle, communication d'influence…). Titulaire d'une maîtrise de sciences politiques et d'un DEA de sociologie politique, Benoit Terrière a débuté sa carrière comme assistant parlementaire avant de rejoindre une autorité régulatrice de transport. il travaillait depuis 4 ans pour le groupe Communiquez.

ADiEUX

HARRY SULLiVAN CONSUL GéNéRAL DES ETATS-UNiS C’est dans les salons du Chalet du parc qu’Harry et julia Sullivan ont fait leurs adieux au corps consulaire lyonnais. Après 3 ans de présence entre Rhône et saône, le consul général des Etats-unis rejoindra en août 2010 sa nouvelle affectation au Japon. « Nous avons été séduits par la Ville de Lyon où nous nous sommes faits de nombreux amis.

J’espère que nous garderons le contact ! » C’est en ces termes que le diplomate américain a conclu son mot d’adieu devant une trentaine de ses homologues, remerciant au passage Béryl maillard et Gérard Herrbach de leurs attentions et de leurs cadeaux. Le secrétaire général du corps consulaire avait en préambule salué Harry Sullivan et son épouse, « un couple charmant qui, pendant 3 ans, a su conquérir le cœur des Lyonnais. » une histoire d’amour qui devrait en toute logique se prolonger, puisque le consul général a acheté un appartement dans le 3ème arrondissement « pour y revenir dans sa seconde partie de vie ». MP

samedi 26 juin 2010, le cardinal Philippe Barbarin a ordonné huit nouveaux prêtres à la primatiale saint-Jean. pour le diocèse de Lyon : jean-Luc Baritel, originaire du Beaujolais, membre de la communauté du prado et François Labadens, originaire de Besançon, membre de la communauté de l’Emmanuel ; pour la communauté du Chemin neuf : krzysztof Charanczuk, originaire de pologne, Sylvain Lefort, originaire du Canada et jacek mieczko, originaire de pologne ; pour les salésiens de Don Bosco : Emmanuel Besnard, originaire de la région parisienne ; pour la communauté des frères assomptionnistes : Paul Tran minh Hai, originaire du vietnam ; pour le diocèse de Gonaïves (Haïti) : Wilguens Saint-Fleur, originaire d’Haïti, membre de la communauté du prado.

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ÉTÉ 2010

Photos © Daniel Gomez - Fabrice Schiff et DR

ORDiNATiONS

Postez vos témoignages d'amitié sur www.lyonpeople.com /rubrique les Gens.

Tout l’été, à Lyon !

Dès le 21 juin, près de chez vous, sur les places, dans les parcs, découvrez des pièces de théâtre, des concerts, des projections de films en plein air, de la danse, des jeux…

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Les inédits :

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14 juillet : Grand bal populaire

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