Servir - Vol. 28/No 13 – 13 juillet 2022

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SERVIR

Vol. 28/No 13 - 13 juillet 2022 Journal bimensuel de la communauté militaire, région de Montréal journalservir.com • jservir

Photo : Sgt Allard

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Photos: Cpl Zami Muminiar – Imagerie Saint-Jean

Le colonel Ménard commande le Groupe de soutien de la 2e Division du Canada Yves Bélanger, Servir

C’est le 8 juillet à la Garnison Montréal que le colonel Jason Langelier a cédé le commandement du Groupe de soutien de la 2e Division du Canada (GS 2 Div C) au colonel Serge Ménard.

Au tout début de la cérémonie, la Musique du Royal 22e Régiment (R22eR), sous la direction du major Vincent Roy, a interprété une version inachevée de la toute première marche du GS 2 Div C. Celle-ci a été commandée il y a quelques mois par Col Langelier en vue du dixième anniversaire du Groupe de soutien, en 2023. C’est sergent Guillaume Larouche, de la Musique du R22eR, qui a entrepris la tâche de composer cette marche.

Visiblement très ému, Col Langelier a remercié chaleureusement tous ceux et celles qui l’ont accompagné au cours de son mandat. Il a déclaré avoir un profond sentiment de fierté et d’appartenance au GS 2 Div C. «Je réalise maintenant la contribution indispensable de cette organisation, de ce soutien institutionnel dans le cadre de la mission des Forces canadiennes.»

Dès son arrivée en poste en 2020, Col Langelier dit s’être reposé sur le succès des analyses de son prédécesseur, brigadier-général Dave Abboud, et a poursuivi la mise en œuvre de l’optimisation GS 2 Div C et de ses unités. «Nous avons revu notre structure, nos méthodes, en plus d’effectuer la mise à jour de nos catalogues de service, nos directives et nos outils de gestion, d’information et de ressources.» Il a assuré que l’agenda des changements effectués, qui d’ailleurs se poursuivent, positionne favorablement le GS 2 Div C pour le futur.

Colonel Serge Ménard.

Colonel Jason Langelier.

Quant à la lui, le commandant désigné du GS 2 Div C, colonel Serge Ménard, a remercié la chaîne de commandement pour la confiance témoignée à son égard. Il a également eu des bons mots pour l’équipe du GS 2 Div C pour son support envers les différentes organisations afin qu’elles soient en mesure d’accomplir leur mission. «Lors de mes visites et interactions au cours des deux dernières semaines, j’ai été très impressionné par l’ampleur de la tâche à accomplir ainsi que par le professionnalisme et le dévouement de nos membres.» >3130-22s01

Il a par la suite dressé la liste de certains accomplissements au cours de son passage. Il a soutenu que les deux dernières années ont été très exigeantes. «Malgré la pandémie et la complexité de l’environnement dans lequel nos équipes devaient œuvrer, nos membres ont su surpasser les attentes.»

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Photo : Sgt Allard – 2 GPRC

Photo : Cplc Bertrand – 2 GPRC

Photo : Sgt Allard – 2 GPRC

Le tir à l’arc était au programme au cours de la semaine d’activités.

La tyrolienne a été fort appréciée par les jeunes participants.

Grand retour du camp OKPIAPIK Photo : Cplc Bertrand – 2 GPRC

Yves Bélanger, Servir

Après deux ans d’absence en raison de la pandémie de la COVID-19, le camp OKPIAPIK était de retour au Centre d’entraînement des Cadets de Valcartier. Près de 300 Rangers juniors canadiens (RJC) provenant de 35 communautés éloignées ont participé à l’événement entre le 26 juin et le 2 juillet.

Avec la tenue de cette activité, le 2e Groupe de patrouilles de Rangers canadiens (2 GPRC) souhaitait revigorer l’intérêt des jeunes provenant des communautés éloignées et isolées à participer à ce programme jeunesse adapté à leur culture et à la réalité de leur communauté. «Le camp OKPIAPIK propose aux RJC de notre zone de responsabilité un échange formateur d’une semaine entre la jeunesse inuite, crie, innue, naskapie, francophone et anglophone des quatre coins de la province», a rappelé lieutenant-colonel Nicolas Hilaréguy, commandant du 2 GPRC.

Photo : Sgt Allard – 2 GPRC

Des invités de marque ont eu l’occasion de visiter le camp: madame Hilda Snowball, présidente de l’Administration régionale de Kativik, monsieur Rémi Vincent, Chef de Wendake, lieutenant-général Jocelyn (Joe) Paul, commandant de l’Armée canadienne, accompagné de l’adjudant-chef James Smith, sergent-major de l’Armée canadienne, brigadier-général Stéphane Boivin, commandant de la 2e Division du Canada et de la Force opérationnelle interarmées (Est) accompagné de l’adjudant-chef Michael Forest, sergent-major divisionnaire, et la lieutenantecolonelle honoraire du 2 GPRC, Dre Geneviève Auclair.

Une petite visite à Abraska.

Photo : Sgt Allard – 2 GPRC

Tout au long de leur séjour au camp, les RJC ont acquis des connaissances et une expérience de vie qu’ils et elles pourront utiliser lors de leur retour dans leur communauté.

Les jeunes étaient divisés en trois niveaux selon leur expérience et leur âge: base, avancé et leadership. «Tout au long de la semaine, le rôle quotidien de leadership était pris en charge par des Juniors-cadres, leur permettant de parfaire leur leadership tout en recevant le soutien et les conseils des Rangers et des instructeurs», précise capitaine Julie Pagé, officière d’affaires publiques du 2 GPRC.

Un vol d’hélicoptère qui a plu à plusieurs jeunes.

Quoi de plus agréable qu’une sortie en canot ?

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C’est le 21 juin qu’a eu lieu la parade de passation de commandement du 25e Dépôt d’approvisionnement des Forces armées canadiennes (25 DAFC) entre le capitaine de frégate Andrew Cauty, commandant sortant, et le lieutenant-colonel Jérémy Lajeunesse, commandant désigné.

L’événement a eu lieu dans l’édifice principal du 25 DAFC en présence du commandant du Groupe de soutien en matériel du Canada (GSMC), le capitaine de vaisseau Bruce Creighton, et l’adjudant-chef du GSMC, l’Adjuc Don Cormier.

Le nouveau commandant a profité de l’occasion pour présenter officiellement le nouveau sergent-major du 25 DAFC, l’adjudant-chef Louis Thivierge, qui arrive de l’Institut de la profession des armes adjudant-chef Robert Osside. (YB)

Photo : Cpl Zami Muminiar – Imagerie Saint-Jean

Un nouveau commandant au 25e Dépôt

Le commandant sortant du 25e Dépôt d’approvisionnement des Forces armées canadiennes, le capitaine de frégate Andrew Cauty, le commandant du Groupe de soutien en matériel du Canada, le capitaine de vaisseau Bruce Creighton, et le commandant désigné, le lieutenant-colonel Jérémy Lajeunesse.

Photos : Cplc Nédia Coutinho – Imagerie Saint-Jean

Major Xavier Dubois prend le commandement du Service TI

Au cours de la cérémonie, une passation des pouvoirs a aussi eu lieu entre l’adjudant-chef Bruno Thibault et l’adjudant-maître Philippe Joseph Gagné.

Ce dernier est devenu le sergent-major désigné du Svc TI. (YB)

Adjudant Bruno Thibault, sergent-major sortant du Svc TI, présente le fanion de l’unité à major Alan Tarrondeau, commandant sortant.

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Maj Dubois détient un baccalauréat en génie électrique de l’Université de Montréal et une maîtrise en administration des affaires de l’Université Laval. Au cours de ses dernières mutations, celui-ci a été directeur

de projet pour la modernisation du quartier général déployable interarmées et du régiment des transmissions (2019-2021).

Il a également été officier d’état-major pour le vice chef d’état-major adjoint de la Défense.

pour

Le 5 juillet, major Alan Tarrondeau a cédé le commandement du Service des technologies de l’information du Groupe de soutien de la 2e Division du Canada (Svc TI GS 2 Div C) au major Xavier Dubois. La cérémonie était présidée par le commandant du GS 2 Div C, colonel Jason Langelier.

À l’arrière: adjudant Bruno Thibault, sergent-major sortant, adjudant-chef Éric Normand, sergent-major du GS 2 Div C, et adjudant-maître Philippe Joseph Gagné, sergent-major désigné. À l’avant: major Alan Tarrondeau, commandant sortant, colonel Jason Langelier, commandant du GS 2 Div C, et major Xavier Dubois, commandant désigné.

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Vendredi et samedi 11h à 15h.

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Une cérémonie bien réussie!

Sergent Pascal Caron, recruteur, Centre de recrutement des Forces canadiennes Québec – Détachement Sherbrooke

La cérémonie d’assermentation est sans doute la dernière étape à franchir afin d’être enrôlé au sein des Forces armées canadiennes (FAC).

Pendant cette cérémonie, le futur membre des FAC prononcera un serment d’allégeance et obtiendra son premier grade.

Le mercredi 29 juin 2022, sous la présidence d’honneur de lieutenante-colonelle Caroline Chartier, commandant adjoint du Collège militaire royal de Saint-Jean

(CMR Saint-Jean), 74 hommes et femmes de la région montréalaise et sherbrookoise ont été reçus officiers dans les FAC lors d’une cérémonie d’assermentation au CMR Saint-Jean.

Enrôlés dans le cadre du Programme de formation des officiers de la Force régulière (PFOR), les nouveaux élèves-officiers débuteront la qualification militaire de base des officiers (QMBO) à l’École de leadership et de recrues des Forces canadiennes située à la garnison Saint-Jean, pour ensuite entreprendre des études dans différents domaines universitaires liés à l’ingénierie, aux sciences et aux arts.

Près de 300 parents et amis ont applaudi chaleureusement les élèves-officiers et les aspirants de marine. Ils les ont ainsi encouragés à poursuivre leurs rêves. Lcol Chartier a profité de l’occasion pour remercier les familles de leur implication et de leur soutien tout en rappelant aux jeunes leaders qu’ils auront besoin de cet appui durant les années à venir. Le premier maître de 2e classe Alexandra Miller, sergent-major régimentaire de l’escadron des élèves-officiers du CMR Saint-Jean s’est également adressé aux nouveaux enrôlés en soulignant qu’«Il faut être patient!

Les épreuves qui vous attendent seront

parfois faciles, parfois difficiles, mais la patience vous permettra de vivre le meilleur de ce que peut offrir une carrière extraordinaire».

Par l’entremise d’un processus de sélection rigoureux, ces candidats ont été choisis en raison de leur potentiel de leadership, leur bagage académique, leur implication dans la communauté et leurs réalisations sportives. Ils fréquenteront le CMR Saint-Jean ou le Collège militaire royal du Canada à Kingston.

Un grand défi attend ces candidats et nous leur souhaitons un bon succès!

Photo : CRFC Québec – Sherbrooke

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La Fondation Noble Wildcat voit le jour Photo : courtoisie

Yves Bélanger, Servir

Nommé colonel honoraire du 438e Escadron tactique d’hélicoptères (438 ETAH) en novembre 2020, M. Jacques Duchesneau avait comme projet de mettre sur pied la Fondation Noble Wildcat. L’organisme de charité a obtenu sa charte en décembre 2021 et vient tout juste de procéder à la nomination de sa présidente, Mme Mélissa Haney.

Le Col (h) Duchesneau est très fier du choix de la présidente de la nouvelle fondation.

«Elle est pilote pour la compagnie Air Inuit.

Elle est la première Inuit à devenir capitaine pour cette compagnie.»

Il mentionne que Mme Haney est une véritable pionnière. «Elle est un modèle dans sa communauté et partout au Canada. Elle a écrit une page d’histoire. En 2016, un timbreposte a d’ailleurs été créé en son honneur.»

Le Col (h) du 438 ETAH est particulièrement heureux d’avoir une femme à la tête de sa fondation. «Je trouve positif qu’il y ait plus de femmes en position de leadership à

M. Jacques Duchesneau, colonel honoraire du 438e Escadron tactique d’hélicoptères, Mme Mélissa Haney, présidente de la Fondation Noble Wildcat, et lieutenant-colonel Stéphane St-Onge, commandant du 438 ETAH.

l’unité.»

LA FONDATION

M. Duchesneau explique que la Fondation Noble Wildcat est une institution indépendante, privée et autofinancée par des fonds également privés. «Celle-ci se veut la gardienne du patrimoine du 438 ETAH et elle soutient six mandats. Le premier est de financer les activités reliées au jour du

Souvenir, au décès de membres actifs ou de retraités.» La fondation a aussi pour mission de souligner le travail exceptionnel de membres de l’unité, soit par le biais de désignations d’employé du mois et de l’année.

Elle remettra également des bourses d’études pour le développement de nouveaux talents et pour permettre le perfectionnement au sein de l’unité de réserve.

«Un autre mandat consistera à offrir du

mentorat et de la relation d’aide, entre des leaders et des jeunes à la recherche de modèles à suivre.» Immortaliser l’histoire et le patrimoine du 438 ETAH par l’intermédiaire d’expositions, de conférences, d’activités muséales et de production de livres sera également au programme.

Finalement, le dernier mandat de la Fondation Noble Wildcat sera la création d’un fonds d’urgence afin de soutenir de façon ponctuelle les familles des militaires du 438 ETAH qui éprouvent des difficultés financières. «Le but est d’amasser un capital de 200 000 $. D’ici deux ans, nous comptons remettre 5 % de ce capital en dons.»

Le Col (h) Duchesneau mentionne qu’avec la situation économique actuelle, ce fonds d’urgence sera le bienvenu. «Nous avons des familles et des mères monoparentales parmi nos réservistes qui n’ont pas la vie facile et qui ont déjà de la difficulté à boucler leur fin de mois. Un peu d’aide financière ne pourra qu’être bénéfique pour elles.»

Notons que seuls les militaires membres du 438 ETAH pourront bénéficier de ce fonds d’urgence.

Personnel militaire: du financement pour votre retour aux études Major André F Berdais Officier d’affaires publiques, ACD

Un nouveau programme de remboursement des frais de scolarité a été mis en service en août 2021, rouvrant les possibilités de poursuites de qualifications pédagogiques ou professionnelles et son financement aux membres des Forces armées canadiennes (FAC) – Régulier et de la Réserve primaire.

Le nouveau programme d’auto-développement des FAC (Instr Pers Mil des FC 01/21) permet aux membres des FAC de soumettre de nouvelles demandes dans le logiciel du programme de remboursement des frais de scolarité (PARFS).

Les plans d’apprentissage individuel (PAI) approuvés antérieurement dans le système électronique du PAI continueront d’être gérés et financés jusqu’à la fin de l’exercice 2022-23, date à laquelle ils seront officiellement annulés conformément au CANFORGEN 96/22. Les membres de ces anciens PAI devront faire la transition de leurs PAI vers le nouveau programme s’ils souhaitent continuer à demander un remboursement en vertu de la nouvelle politique. Au cours de la transition, les membres ayant des PAI plus anciens devront soumettre un plan d’auto perfectionnement dans le nouveau système PARFS conformément à la nouvelle Instruction 01/21 du personnel militaire des Forces canadiennes.

Le nouveau Instr Pers Mil des FC 01/21 décrit également le processus de soutien aux membres malades et blessés de la Force

régulière dans l’examen de leurs options de transition.

Les membres de la Réserve primaire continueront d’avoir droit à un remboursement des études et devront soumettre leur PAI et leur plan de développement personnel au cours de l’année où ils demandent un remboursement. Comme pour les membres des Forces régulières, il est nécessaire que les réservistes respectent les échéanciers de la politique pour réclamer les fonds admissibles.

Le nouveau programme d’auto-développement des FAC représente une modernisation de l’actuel programme CF Mil Pers Instr 17/04 et est conçu pour offrir des programmes de remboursement des frais d’éducation d’auto-développement à un plus grand nombre de membres des FAC. Le nouveau programme veillera également à ce que le financement de l’Académie canadienne de la défense (ACD) soit fourni dans le cadre d’enveloppes de financement définies, tout en étant suffisamment souple pour répondre aux augmentations de financement, si ces possibilités se présentent. Cela permettra une répartition plus équitable des possibilités d’éducation à tous les membres des FAC. Le modèle de financement sera basé sur un processus d’approbation «cours par cours», à l’aide d’une matrice de priorisation publiée sur le site Web du PARFS (SDPEER-PARFS). Les membres sans ou avec un accès limité au Réseau étendu de la Défense (DWAN) peuvent postuler via le service d’assistance: SDPEERPARFS@forces.gc.ca

QUAND ET COMMENT?

Le perfectionnement professionnel et l’avancement académique des militaires apportent une valeur importante aux FAC, car ils apportent les idées nouvelles, la pensée critique et les perspectives plus profondes requises par les forces armées professionnelles modernes et efficaces. Le nouveau Programme d’auto-développement des FAC veille à ce que les activités éducatives des militaires soient soutenues dans les limites des allocations financières disponibles.

Le processus de demande et d’approbation prend environ une semaine. Cependant, le financement d’un cours doit être soumis deux mois avant le mois au cours duquel le cours commencera et, par conséquent, les membres des FAC sont encouragés à soumettre leur demande et leurs cours le plus tôt possible.

Notez que le programme de remboursement des frais de scolarité est pour un maximum de quatre cours financés par exercice financier. Chaque date de début de cours doit être au cours d’un mois différent, par exemple les militaires ne peuvent pas être remboursés pour deux cours commençant en septembre. Cette limitation, qui pourrait être perçue comme bureaucratique, repose sur la mise en place d’un programme de remboursement des études plus souple, plus équitable et mieux géré qui sera accessible à tous les membres des FAC dans les limites du budget alloué.

L’instrument de politique et le programme seront régulièrement examinés afin d’apporter les améliorations nécessaires.

Le nouveau Programme d’auto-développement des FAC est prêt à recevoir de nouvelles demandes de la part des membres des FAC. Pour présenter une demande pour un nouveau programme d’auto-développement, toutes les demandes doivent être soumises par l’entremise de la nouvelle demande PARFS à l’adresse suivante : https://sdpeer-parfs.forces.mil.ca/ (accessible uniquement sur l’intranet de la Défense).

Pour de plus amples renseignements, veuillez communiquer avec le site Web du Centre d’intervention administrative du Commandement du personnel militaire à l’adresse http://cmp.mil.ca/en/support/ military-personnel/administrativeresponse-centre.page ou par courriel et par téléphone au CMPARC.CRACPM@ FORCES.GC.CA et au 1-833-445-1182.

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Elle héberge une famille ukrainienne Photos : courtoisie

Yves Bélanger, Servir

Depuis le 30 mai, la famille de Marie-Emmanuelle Porlier, enseignante en langue seconde au Détachement Saint-Jean de l’École de langues des Forces canadiennes, accueille chez elle trois réfugiés ukrainiens: Wiam Abou Omar, sa conjointe Anna-Maria et leur fille de quatre ans, Halyna.

Mme Porlier soutient que ce projet familial a tout d’abord été initié par son conjoint, Patrick Smith. «D’habitude, c’est moi, qui propose les projets spéciaux et il se montre ouvert. Cette fois, c’est lui qui, au printemps, a proposé d’accueillir chez nous une famille ukrainienne cherchant à fuir la guerre initiée par les Russes.»

Après en avoir discuté longuement, la petite famille a décidé d’aller de l’avant avec ce projet humanitaire. «Il était important que tous soient d’accord, même nos fils Benjamin (10 ans) et Nicolas (7 ans), car notre maison n’est pas si grande. En plus, nous n’avons qu’une seule salle de bain. Chez nous, c’est un chaos organisé. Il faut être prêt à vivre dans une telle situation», lancet-elle en riant.

L’IMPORTANCE D’UN BON JUMELAGE

Marie-Emmanuelle Porlier explique qu’il y a plusieurs façons de venir en aide aux réfugiés ukrainiens. «Nous avons choisi de les héberger et de les nourrir pour une durée de six mois.

Toutefois, nous aurions pu donner aussi notre nom uniquement pour faire du transport, donner de l’argent ou donner des cours de langue.»

Après avoir effectué différentes démarches auprès d’organismes d’aide, le jumelage a finalement eu lieu. «Nous avons pris le temps de discuter avec eux par le biais du Web pour apprendre à nous connaître. Il est important, dans

À l’arrière: Patrick Smith, Wiam Abou Omar et sa conjointe Anna-Maria. À l’avant: Benjamin Smith, Marie-Emmanuelle Porlier, Nicolas Smith et Halyna Abou Omar.

un tel projet, de s’assurer que le pairage soit bon, car vivre en promiscuité peut quelquefois créer certaines frictions.»

vaillons présentement. En attendant, l’entreprise pouvait l’embaucher dans un poste autre que celui d’ingénieur.»

C’est le 30 mai que leurs hôtes sont arrivés en sol canadien. «En fait, ils n’étaient pas en Ukraine quand la guerre a débuté. Ils étaient au Liban, le pays d’origine du père, puisque la mère de ce dernier était très malade. Apprenant que leur maison à Kharkiv était détruite, ils n’ont pas pu retourner chez eux.»

M. Omar ayant désormais un emploi, les nouveaux arrivants ont pu entreprendre rapidement la recherche d’un endroit où s’installer. «Ils ont déjà signé leur bail et pourront sous peu débuter leur nouvelle vie ici.»

L’INTÉGRATION VA BON TRAIN

Dès son arrivée, Wiam Abou Omar avait déjà un emploi qui l’attendait chez FDC Aéro Composites. «Il détient un baccalauréat en génie aérospatial ainsi qu’une maîtrise en géo composite. Pour le moment, ses diplômes ne sont pas reconnus ici, mais nous y tra-

Yves Bélanger, Servir

Au cours des dernières semaines, la majorité des employés des Programmes de soutien du personnel (PSP) de la garnison Saint-Jean ont intégré leurs nouveaux locaux dans le Fieldhouse.

D’une superficie de 10 000 pieds carrés, le nouveau centre sportif compte un immense gymnase divisible, muni d’une piste de course intérieure de 200 mètres. On y retrouve aussi une salle de musculation et une salle destinée à la réhabilitation, toutes deux de grandes dimensions. Des planchers résilients recouvrent ces deux salles ainsi que la piste de course.

Ces installations permettront entre autres de mieux répondre aux besoins de l’École de leadership et de recrues des Forces canadiennes et des autres unités de la région. «L’équipe des PSP est impatiente d’accueillir sa clientèle dans les nouveaux locaux. Nous travaillons avec tous les partenaires du projet afin que l’ouverture se concrétise au courant de cet été», a mentionné Sébastien Despars, gestionnaire supérieur adjoint PSP Ouest et responsable du projet Fieldhouse.

Servir vous présentera un reportage photo lorsque les travaux d’aménagement seront complétés.

À la fin août, elle fréquentera l’école La Relance dans le but d’y apprendre le

DES LIENS QUI PERDURERONT

Mme Porlier est très contente du geste posé à l’égard de la jeune famille ukrainienne. «C’est évident que des liens se sont développés entre nous et que nous comptons les conserver une fois que nos deux familles seront séparées physiquement.»

En attendant, les deux familles profitent de l’été pour effectuer différentes activités telles qu’aller aux fraises, marcher dans les bois ou se promener à vélo.

Photo : Cplc Nédia Coutinho – Imagerie Saint-Jean

Le déménagement tire à sa fin

L’enseignante en langue seconde raconte qu’elle a aussi réussi à trouver une sage-femme pour Anna-Maria qui porte actuellement un deuxième enfant. «Celle-ci devrait accoucher à l’automne. Cela lui causait beaucoup d’inquiétudes. Elle est maintenant rassurée.»

français. Son époux suivra pour sa part des cours intensifs à l’automne afin de se familiariser avec la langue de Molière et favoriser son intégration. «Cette famille souhaite s’adapter rapidement afin de retrouver une vie normale.»

L’équipe des installations des PSP de la garnison Saint-Jean, formée de Denis Maure, préposé, Jean-Philippe Daoust-Guernon, coordonnateur, ainsi que de Dave Delaperralle et Camille Fugère, préposés, a grandement contribué au succès de l’opération de déménagement.

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Faire du bénévolat pour toutes sortes de raisons Marie Belle Meunier Agente au bénévolat, CRFM

compter plusieurs vétérans parmi nos bénévoles dévoués. Le bénévolat leur permet de demeurer actifs dans leur communauté. De plus, le service de halte-garderie étant offert gratuitement lors des périodes de bénévolat, plusieurs jeunes mamans s’y retrouvent également.

Il y a plein de bonnes raisons pour faire du bénévolat. Ce n’est pas qu’un acte altruiste, on le fait également pour nous-mêmes. Bien sûr, il est toujours valorisant de donner de son temps pour une cause qui nous tient à cœur, mais on peut en retirer plusieurs autres avantages.

RELEVER DE NOUVEAUX DÉFIS

Que ce soit au sein du conseil d’administration du CRFM ou en menant de nouvelles initiatives pour la communauté, le bénévolat regorge d’occasions de relever de nouveaux défis. Plusieurs nouveaux projets ont pu voir le jour grâce aux idées et à l’implication des bénévoles.

FAIRE DE BELLES RENCONTRES

Plusieurs bénévoles du Centre de ressources pour les familles des militaires (CRFM) nous ont indiqué participer au bénévolat de groupe afin de rencontrer de nouvelles personnes et mieux s’intégrer dans leur communauté.

Certains s’y sont faits des amis pour la vie.

La mixité des groupes de bénévoles est également une belle occasion de pratiquer une langue seconde. Il est

fréquent de voir les participants des cours de langues se joindre aux groupes de bénévolat afin d’avoir une occasion supplémentaire de pratiquer leurs nou-

veaux acquis.

RESTER ACTIF

Au CRFM, nous avons la chance de

Vous avez des idées ou vous désirez vous impliquer auprès du CRFM? N’hésitez pas à communiquer avec moi au 450 358-7099, poste 2915 ou à marie-belle.meunier@forces.gc.ca

Qu’est-ce qu’une crise?

C’est un moment temporaire où une personne est confrontée à une nouvelle situation comme, par exemple, un changement d’emploi, un déménagement ou une rupture.

Chaque personne a des stratégies pour passer à travers ces changements qui font partie de la vie. Certaines personnes vont faire de l’exercice pour diminuer l’anxiété, d’autres vont aller voir des amis pour se changer les idées. On parle de crise lorsque toutes les stratégies habituelles ne donnent rien et n’ont aucun effet. La personne se retrouve donc dans une impasse, ne sachant plus quoi faire pour se sortir de cet état IL Y A DIFFÉRENTES SORTES DE CRISES

La crise psychosociale Elle apparaît lorsqu’il y a un changement dans notre routine: rupture amoureuse, deuil, congédiement, changement d’affectation, déménagement, changement d’école, grossesse, retraite, etc. La personne qui habituellement est «capable d’en prendre» a soudainement du mal à passer à travers cette période.

La crise psychopathologique On parle de cette crise lorsque la personne est déjà vulnérable avant l’événement

déclencheur. On parle de vulnérabilité lorsque, par exemple, une personne est déjà épuisée. Elle peut avoir un trouble de santé mentale passager ou non (dépression, anxiété généralisée, bipolarité). Elle peut avoir une dépendance (alcool, drogue, jeux ou autre). Elle peut avoir un trouble de la personnalité comme, par exemple, le trouble de la personnalité limite, borderline ou narcissique.

La crise psychotraumatique Elle apparaît lorsqu’une personne vit un événement qui suscite une réaction intense de peur ou d’impuissance. Par exemple, une confrontation avec la mort, être victime d’un viol ou être exposé à un événement traumatique.

IL FAUT DEMANDER DE L’AIDE!

Dans tous les cas, il est important de ne pas rester seul. Les travailleurs sociaux du Centre de ressources pour les familles des militaires (CRFM) sont là pour accompagner les militaires, les vétérans et les membres de leur famille. Nous sommes disponibles pour accompagner la personne en crise, pour la conseiller et/ou la diriger vers le bon service.

N’hésitez pas à contacter l’accueil psychosocial au 450 358-7099, poste 2917.

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Annie Leclerc Travailleuse sociale, coordonnatrice au programme de prévention, soutien et intervention – CRFM

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Si le caporal Goelen pouvait changer de métier Le caporal Charles Goelen, du 34e Bataillon de services, a plusieurs champs d’intérêt dans la vie. Avocat dans un cabinet privé, le réserviste est notamment ceinture noire au karaté.

Son plus grand rêve est toutefois de devenir chanteur professionnel.

L’artiste priorise actuellement l’anglais pour ses compositions. «J’ai toujours beaucoup aimé la musique anglophone.

En plus, c’est la langue qui a la plus grande portée au niveau musical.»

Le militaire d’origine belge explique que dès l’enfance, il a été attiré par la musique.

«De 6 à 14 ans, mes parents m’ont fait suivre des cours de chant.»

Une fois rendu au cégep, il a fondé ou s’est joint à différentes formations musicales, dont un groupe de chant a capella.

Il aimait également chanter seul en s’accompagnant à la guitare. «C’est d’ailleurs au Collège Champlain, en 2014, que j’ai présenté mon premier spectacle solo.»

AUTEUR-COMPOSITEUR-INTERPRÈTE

La passion de la musique du Cpl Goelen ne s’arrête pas à l’interprétation, puisqu’il est également auteur-compositeur. Il a déjà trois chansons à son actif, dont Superglue, que l’on peut entendre sur la plupart des plateformes de musique. «Je n’ai pas nécessairement beaucoup de temps pour

Éventuellement, il compte aussi composer en français. «C’est toutefois moins évident pour moi, car mon registre vocal est complètement différent si je chante dans ma langue maternelle.»

Bien entendu, ces chansons étaient interprétées à la façon de l’artiste. «C’est bien évident que j’aime mettre mes propres couleurs quand j’interprète les chansons des autres. C’est ma façon d’exprimer ma personnalité.»

Il ne compte toutefois pas remonter sur les planches au cours de la saison estivale.

Le militaire confirme qu’il est difficile de se faire une place dans le milieu des arts et du spectacle où il y a beaucoup de candidats, mais où peu finiront par percer. «Être connu du public est un très grand défi, mais je demeure confiant. De toute façon, j’adore ce que je fais.»

L’auteur-compositeur-interprète soutient qu’avec ses différents métiers et ses nombreuses passions, il réussit malgré tout à trouver du temps pour se reposer et vivre de bons moments avec ses amis. «Je suis un gars très occupé, mais je considère que ma vie est tout de même bien équilibrée», assure-t-il en riant.

CET ÉTÉ

Le 1er juillet, le Cpl Goelen a présenté un spectacle dans un bar de la rue SaintLaurent, à Montréal. En plus de ses compositions, le chanteur a effectué des reprises de succès d’artistes tels que Stromae, Ed Sheeran et Charles Aznavour. «J’ai même osé une chanson de Serge Lama.»

UN MILIEU DIFFICILE

Le caporal Charles Goelen, lors d’un spectacle solo.

«Je veux profiter de la période des vacances pour consacrer du temps à la composition.

Bien entendu, je vais également publier sur les réseaux sociaux pour continuer à me faire connaître et découvrir mes chansons.»

Quand on le questionne sur le métier qu’il mettrait en priorité s’il avait le choix, sans hésiter il répond celui de chanteur. «C’est sûr que j’aimerais quand même continuer à toucher aux autres domaines quand j’ai le temps, mais mon principal rêve concerne vraiment la musique.»

Photo : courtoisie

Attention: Militaires en transition

NOUS EMBAUCHONS À propos de WithYouWithMe

Nous aidons gratuitement les anciens combattants et les familles militaires en transition à occuper des emplois dans le domaine de la technologie. Si vous connaissez quelqu’un qui peut en bénéficier, envoyer-le à WYWM. Cette exposition estivale sera présentée du mardi au dimanche, de 10h à 18h, jusqu’au 21 août 2022.

Les uniformes du 12 Régiment blindé du Canada à l’honneur e

Yves Bélanger, Servir

Cet été, l’exposition du Musée militaire de Trois-Rivières s’intitule L’uniforme militaire: témoin de son époque.

Celle-ci met de l’avant les uniformes et autres accoutrements ayant été utilisés depuis plus de 150 ans par les militaires de Trois-Rivières.

Le tout est présenté sous forme d’artéfacts et de textes qui accompagnent chaque période visée. «En plus de cette exposition estivale, vous pourrez aussi voir une exposition permanente composée de près de mille artéfacts,

répartis dans une quarantaine de présentoirs dans la salle d’armes et sur la mezzanine du manège militaire. Vous verrez armes à feu, munitions, armes blanches, médailles et décorations, uniformes, pièces d’équipement, outils, appareils et instrument de toutes origines, canadiens, britanniques, français, américains, allemands et autres», rappelle Daniel Robert, conservateur.

Le Musée militaire de Trois-Rivières est logé dans le manège militaire du 12e Régiment blindé du Canada situé au 574, rue SaintFrançois-Xavier, à Trois-Rivières. (YB)

POUR SUIVRE LE CHANTEUR

Avantages Télétravail Aucune expérience n'est requise Soyez prêt à travailler en 100 heures Cours techniques gratuits à vie Salaires à partir de 60 000 $ à 120 000 $

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composer, mais j’adore cela.»

Photo : courtoisie

Yves Bélanger, Servir

I Servir I 13 juillet 2022

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Reconnaître l’apport des employeurs de réservistes Photos : courtoisie

Yves Bélanger, Servir

Au cours des dernières semaines, cinq cérémonies de reconnaissance ont eu lieu en présentiel ou en virtuel afin de souligner l’apport important des employeurs de réservistes pour les Forces armées canadiennes (FAC).

Ces cérémonies étaient organisées par la Direction des programmes pour l’appui des employeurs (DPAE), sous l’égide du Chef des Réserves à Ottawa, et par le Conseil de liaison des Forces canadiennes.

Mme Diane Lemieux, PDG Commision de la construction du Québec.

Lieutenant-colonel François Couture, officier de liaison à la DPAE, soutient qu’il est important de reconnaître et de remercier les employeurs et les institutions d’enseignements qui ont permis à des réservistes de contribuer à la mission des FAC et à servir leur pays. «De façon continue, nos réservistes sont invités à nommer eux-mêmes leur employeur pour les remercier de leur appui pour les congés qu’ils ont obtenus.»

Il rappelle que depuis toujours, et particulièrement au cours des dernières années, les militaires de la Force de réserve ont répondu à l’appel et ont contribué de façon tangible aux nombreuses opérations des FAC canadiennes à l’étranger, que ce soit en Afghanistan, en Afrique et même en Ukraine. «Ils ont contribué significativement aussi au Canada et au Québec, dans le cadre d’opérations en soutien aux autorités pour la population.»

de 1re classe Patrick Landry • M. Christian Faucher directeur général Pratt & Whitney (PW), Gestion du cycle de vie produit PW; M. Frédéric Chapleau, directeur-associé, développement des affaires sécurité et défense PW; M. Scott McElvaine - VP développement des affaires PW; lieutenant-colonel François Couture, officier de liaison à la Direction des programmes pour l’appui des employeurs; Me Marie-Claude Jarry, directrice du Conseil de liaison des Forces canadiennes; Mme Nelly Sirieix – gestionnaire senior, développement commercial PW; caporal Éric Mayo; lieutenant-colonel Richard Gosselin, commandant du 34e Bataillon des services; M. Luc Lemay, gestionnaire principal gestion digitale du produit PW; adjudant-maître Ross McLellan, représentant du sergent-major régimentaire; et M. Ghislain Goyette, gestionnaire définition du produit PW.

LES EMPLOYEURS HONORÉS

Plusieurs employeurs ont été reconnus: •

Nelley Sirieix, Pratt & Whitney: soumis par caporal Éric Mayo

•

Nicole Valois, Université de Montréal:

soumis par soldat Amy Beyer •

Centre du Religieux Contemporain, Université de Sherbrooke: soumis par lieutenant de vaisseau Toni El-Hage

•

Jean-Philippe Arcand, Inveris trainning solutions Canada inc: soumis par maître

Diane Lemieux, Benoît Thibault, Yves Miron et Sylvain Trempe, Commission de la Construction du Québec: soumis par caporal Phillip Flanagan

D’AUTRES À VENIR

Lcol Couture mentionne que d’autres cérémonies de reconnaissance auront lieu au cours de l’année. Il invite par ailleurs les militaires réservistes à ne pas hésiter à nommer leur employeur lorsqu’ils estiment qu’il mérite une reconnaissance. «C’est une équipe à Ottawa qui reçoit chaque nomination. Celle-ci communique ensuite avec l’unité pour amorcer la coordination de l’événement.»

POUR SOUMETTRE LE NOM D’UN EMPLOYEUR

LA PISCINE EXTÉRIEURE EST OUVERTE

Les détenteurs de la carte de membre PSP (abonnement au centre sportif) ont accès gratuitement à la piscine en tout temps.

Depuis le 11 juillet, la piscine extérieure de la Garnison Saint-Jean est ouverte à tous. Elle le restera jusqu’au 11 septembre.

Pour tous ceux qui n’ont pas la carte de membre PSP (incluant les militaires actifs ou les vétérans, les employés de la fonction publique et la population générale), les coûts sont les suivants:

Durant la semaine, elle est accessible de 11 h 30 à 13 h 30 et de 16 h 30 à 19 h. Les samedis et dimanches, les heures d’ouverture sont de 10 h 30 à 18 h.

COÛTS Les militaires actifs ont un accès gratuit du lundi au vendredi, de 11 h 30 à 13 h 30.

• • • •

Enfants de moins de 6 ans: gratuit 6 à 12 ans: 6 $ par visite 14 à 17 ans: 7 $ par visite 18 ans et +: 8 $ par visite

Information: 450 358-7099 # 7262

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I Servir I 13 juillet 2022

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Un camp pour les amateurs de course à pied

Michael Maillet, moniteur de conditionnement physique et sport pour les PSP, en était le responsable. Il est très satisfait du succès remporté par l’activité. «Il est clair que ce type d’entraînement manquait à notre clientèle qui en a été privée en raison de la crise sanitaire.»

Il mentionne que tout au long du confinement imposé par la pandémie de la COVID-19, beaucoup de gens ont commencé à pratiquer la course à pied. «C’était l’une des disciplines sportives facilement accessibles malgré les mesures sanitaires.»

DEUX GROUPES

M. Maillet indique que dès le début du camp, deux groupes ont été formés. «Étant donné que nous avions des gens qui étaient déjà des adeptes et d’autres qui voulaient commencer à courir, il a été plus facile de séparer le groupe afin d’offrir des ateliers plus adaptés aux besoins de chacun.»

Chaque atelier d’entraînement était composé d’une période d’échauffement. «Nous consacrions également cinq à dix minutes à des capsules d’informations.»

Bien entendu, entre les ateliers, les participants étaient invités à courir à raison de trois à cinq fois par semaine. «On ne peut pas atteindre l’objectif de courir 5 km en ne s’entrainant qu’une fois par semaine, lors des ateliers. Nos coureurs l’ont très bien compris et ils étaient très motivés.» À SURVEILLER

Devant le succès de ce camp de course à pied, Michael Maillet soutient que l’activité sera renouvelée. «On ne sait toutefois pas quand on sera en mesure de le faire.»

En attendant, il invite les amateurs de course à ne pas manquer les prochaines activités organisées par les PSP. «Le 6 octobre, nous aurons entre autres la Course à obstacles que nous organiserons à la Garnison Montréal.»

Lieutenant Philippe Desharnais, du Service des technologies de l’information du Groupe de soutien de la 2e Division du Canada, était l’un des participants au camp de course.

Photo : archives

Du 17 mai au 29 juin, un camp de course hebdomadaire a été tenu à la Garnison Montréal. Trente-six membres de l’Équipe de la Défense, principalement des militaires, ont accepté l’invitation des Programmes de soutien du personnel (PSP). Restez à l’affut, car un autre camp est prévu.

Les débutants ont entre autres appris les notions de base afin d’éviter des blessures inutiles. «Petit à petit, nous les avons amenés à compléter un circuit de 5 km.» Avec le groupe intermédiaire, ce sont plus des trucs et astuces qui ont été partagés afin d’améliorer leurs performances.

Photo : Cpl Bruno Ringuette, 3 USC

Yves Bélanger, Servir

Michael Maillet, moniteur de conditionnement physique et sport pour l’équipe PSP de la Garnison Montréal.

QUELQUES CONSEILS POUR LES NOUVEAUX COUREURS • • • • •

Prendre le temps de bien s’échauffer avant l’activité physique Bien s’hydrater tout au long de la journée Augmenter progressivement les durées d’effort et l’intensité Courir régulièrement et avoir une foulée plus courte pour éviter les blessures S’il y a des changements à apporter, le faire progressivement

«Le mieux demeure toujours de contacter un kinésiologue ou un entraîneur qualifié en course à pied pour être accompagné dans la pratique de ce sport», rappelle Michael Maillet, moniteur de conditionnement physique et sport à la Garnison Montréal. «N’hésitez pas à vous adresser au personnel des PSP si vous avez des questions!»

ELRFC

Plusieurs réaménagements et déménagements ont eu lieu et auront lieu à la garnison Saint-Jean.

Installée depuis plus de 12 années dans le B-129, la section multimédia de l’École de leadership et de recrues des Forces canadiennes (ELRFC) est déménagée au sein de la division Soutien, dans les locaux A-221, A-222 et A-223. En effet, l’absence de climatisation dans la bâtisse B-129, qui datait des années 50, a précipité un déménagement attendu depuis l’arrivée du bâtiment académique.

RASSEMBLER L’ÉQUIPE

L’équipe multimédia de l’ELRF existe depuis une vingtaine d’années. À travers le temps, elle a été installée à plusieurs endroits, dont la division

Soutien à laquelle elle appartient. «La section multimédia vient compléter notre équipe au sein de nos lignes», mentionne major Shona Couturier, commandante de cette division. Elle ajoute qu’il est agréable d’avoir ses membres rassemblés, ce qui lui permet d’échanger plus régulièrement avec eux.

La gestionnaire de la section, Christine Geoffrion, espère que l’emplacement actuel sera permanent.

«L’équipe est bien installée et nous sommes très heureux d’être de retour dans la Division», ajoutet-elle.

Il ne reste plus que le studio de photo à déplacer.

Pour le moment, celui-ci demeure dans la bâtisse B-129, local 111, jusqu’à ce qu’un nouvel endroit soit identifié.

Vol. 28/No 13 13 juillet 2022

TIRAGE : Édition numérique seulement

Photo : Raynald Brochu, multimédia ELRFC

Ça bouge à la garnison Saint-Jean!

Antoine Dubois-Coutu, technicien multimédia à l’ELRFC depuis quelques mois, a activement participé au déménagement de la section.

Garnison Saint-Jean, bur. K-125, B.P. 100, Succ. bureau-chef Richelain QC J0J 1R0 T. 450 358-7099 • F. 450 358-7423 servir@forces.gc.ca • journalservir.com

ABONNEMENT ET PETITES ANNONCES :

ÉDITEUR : colonel Serge Ménard

• Claude Tourville 514 252-2777 # 4993 claude.tourville@forces.gc.ca

CONSEILLERS MILITAIRES :

GESTIONNAIRE : Guylaine Fortin 450 358-7099 poste 7426 • guylaine.fortin@forces.gc.ca

GRAPHISTE : Gillian Ottaway ISSN 0384-0417

commandant GS 2 Div CA

• Capitaine Steve Comeau 450 358-7099, poste 6570 steve.comeau@forces.gc.ca • Capitaine Frédéric Thouin 514 252-2777, poste 4530 frederic.thouin717@forces.gc.ca

JOURNALISTE : Yves Bélanger

450 358-7099 poste 7330 • yves.belanger@forces.gc.ca

CONSEILLER EN PUBLICITÉ : François Ménard 450 346-2300 • servir@tictactoecommunication.com

Bélinda Raîche 450 358-7099 poste 6346 • belinda.raiche@forces.gc.ca

Les articles publiés dans ce journal sont la propriété de Servir et ne pourront être publiés, utilisés ou reproduits sans l’autorisation de la rédactrice en chef ou de l’auteur.

Servir féminise les grades. Dans un souci d’inclusion et de respect de la diversité des genres, si vous ne voulez pas voir votre grade féminisé, veuillez communiquer avec la rédaction.

Prochaine parution 17/08/2022 Date de tombée 08/08/2022

• Servir est une publication non officielle autorisée et publiée bimensuellement avec la permission du commandant du Groupe de soutien de la 2e Division du Canada. Les opinions et les points de vue exprimés ne sont pas nécessairement ceux du MDN, des FAC et des SBMFC/ Personnel des FNP. • Les demandes de publication doivent être acheminées en Word par courriel. La rédactrice en chef se réserve le droit de rejeter, de modifier ou de publier tout matériel rédactionnel ou publicitaire.

I Servir I 13 juillet 2022

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Voilà ce que nous rappelle la thématique de la 29e Semaine nationale de prévention de la noyade qui aura lieu du 17 au 23 juillet.

Malgré son aspect tragique et inattendu, la noyade est effectivement évitable dans la plupart des cas. Comment? Par l’adoption de bonnes pratiques!

LA NOYADE EST ÉVITABLE! PORTEZ VOTRE VFI

Au Québec, plus de sept noyades sur dix se produisent en eau vive. Sans risque la planche à pagaie (Stand Up Paddleboard ou SUP)? Pas vraiment… Malgré son accessibilité et le caractère calme et paisible de sa pratique (certains l’utilisent même pour faire du yoga), cette activité à la popularité grandissante comporte son lot de dangers méconnus: • Risque de faire de l’hypothermie • Risque de faire une chute accidentelle en raison de la météo et de la • Risque de se faire emporter par température de l’eau le courant Conseils préventifs: • Assurez-vous de savoir manier la planche à pagaie avant de vous aventurer au large • Surveillez la météo (vents, précipitations, température) • Portez (et non emporter!) votre vêtement de flottaison individuel • Soyez sobre et visible • Si vous le pouvez, remontez le courant et/ou faites face au vent au départ de la balade, et non au retour

En navigant avec les facultés affaiblies, on risque non seulement sa vie, mais celles des passagers et des autres plaisanciers. On s’expose par ailleurs à des conséquences similaires à celles applicables en cas de conduite sur la route avec les facultés affaiblies.

AYEZ L’ŒIL SUR LES ENFANTS Autre triste statistique: chez les enfants, le manque de supervision est en cause dans près de neuf cas de noyades sur dix.

Une supervision adéquate n’implique pas seulement d’être physiquement près de la piscine. On doit également être concentré sur ce qui se passe dans l’eau!

Pas de place ici pour le télétravail ou le cellulaire!

PETITES ANNONCES

à partir de 5$ pour 150 caractères Date limite pour l'édition du 17 août: jeudi 11 août 2022 450 358-7099 # 6346 servir@forces.gc.ca

112 - 9e Avenue Saint-Jean-sur-Richelieu huglariviere@notarius.net

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Annuellement, l’alcool serait en cause dans plus de 30 % des noyades au Québec. Sur l’eau comme sur la terre ferme, la consommation d’alcool abaisse la faculté de jugement, augmente le temps de réaction et provoque certaines difficultés de motricité. Sur l’eau, ses effets sont toutefois renforcés en raison de l’exposition prolongée au vent et au soleil, de la déshydratation et de la fatigue.

Les clapotis des vagues et les mouvements de l’embarcation peuvent également agir sur l’équilibre des personnes à bord.

NOTAIRE CONSEILLER JURIDIQUE

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L’EAU ET L’ALCOOL, UN BON COCKTAIL?

B.A., LL.L., D.D.N.

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REDOUBLEZ DE PRUDENCE EN EAU VIVE

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Neuf fois sur dix, la victime de noyade ne portait pas du tout ou pas correctement sa veste de flottaison. Un vêtement de flottaison individuel (VFI), c’est comme un casque de ski ou de vélo: on devrait le porter, pas seulement l’emporter!

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