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Matteo Salvini, garde-côte européen

Matteo Salvini, European Coast Guard

As Italian Interior Minister between 2018 and 2019, Matteo Salvini refused to allow a ship full of migrants land on the Italian coast. e message was clear: anyone who wants to land in Italy will not be allowed to do so, especially when the country is being blackmailed by unscrupulous NGOs.

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For six days, the ship anchored not far from Sicily, making the situation untenable. A Sicilian court order nally allowed it to dock.

However, Matteo Salvini's courage was greatly appreciated among the continent's patriotic forces, who saw Salvini as a hero capable of coming to the rescue of their country. e Italian government had supported the Lega strongman's decision. Ministre de l’Intérieur italien en 2018 et 2019, Matteo Salvini avait refusé qu’un bateau rempli de migrants accoste sur les côtes italiennes. Le message était limpide : ne rentrerait plus qui veut en Italie, encore moins lorsqu’est exercé sur le pays un chantage par des ONG peu scrupuleuses.

Pendant six jours, le navire mouilla non loin de la Sicile, rendant la situation di cilement tenable. Une ordonnance de la justice sicilienne lui permit nalement d’accoster.

Toutefois, le courage de Matteo Salvini fut souligné parmi les forces patriotes du continent, voyant en Salvini un de ces héros capables de venir au secours de leur pays. Le gouvernement italien avait soutenu la décision de l’homme fort de la Lega.

After his immunity was lifted by the Senate, for petty political reasons, Matteo Salvini was brought to trial for "kidnapping and abuse": this is how the political correctness lobby translates acts of bravery.

However, in reality the leader of the Lega had merely defended the Italians, something which is expected of all political leaders.

A rst court ordered that the case be dropped in Catania, but Salvini could not avoid a second trial in Palermo. e show trial is in full swing, with Richard Gere expected to take the stand. Après la levée de son immunité par le Sénat, pour des raisons bassement politiciennes, Matteo Salvini fut nalement traduit en justice pour « séquestration de personnes et d'abus » : c’est ainsi que l’on traduit, en terres politiquement correctes, les actes de bravoure.

Le leader de la Lega n’avait pourtant fait que défendre les Italiens, ce qu’on attend, en somme, de tous les dirigeants politiques.

Un premier tribunal avait ordonné l'abandon des poursuites à Catane, mais Salvini ne put éviter un deuxième procès à Palerme. La justice-spectacle pouvait battre son plein, avec Richard Gere attendu à la barre.

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