Comment se sortir de situations a priori désespérées

OLIVIER VACHEY

COMMENT SE SORTIR DE SITUATIONS

I R O I R AP DESESPEREES

INTRODUCTION

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PUISSANCE DES ÉLÉMENTS

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Non au coup de foudre !

10 , , Que d eau, que d eau... 12 Promenons-nous dans les flammes...

14 Mauvaise mer 16 Blizzard blizzard 18 Se faire secouer sans casse 20 Le nez sous la neige 22 Gare au caractere volcanique !

24 En terrain glissant 26 Comme un ouragan 28 Nouvelle vague 30

CHÈRE NATURE Naufrage involontaire Mauvaise chute Dejouer les mirages Devenir le roi de la jungle Pourquoi briser la glace ?

A fond de sable

NOS AMIES LES BÊTES Douloureuse piqure de rappel Gentil toutou ?

Couche sur les fourmis rouges Teddy Bearbare Loup y es-tu ?

Les dents de la mer Vilain gros minet !

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Buche a dents Halte a la tromperie Rhino feroce ?

Glouton, l,hippo ?

QUI VEUT VOYAGER LOIN Volant fou !

Pas de quoi s,emballer, dada O temps, suspend mon vol Comme un avion sans ailes Organiser une bonne reception Trop grande vitesse

LES BIENFAITS DU MONDE MODERNE

62 64 66 68

70 72 74 76 78 80 82

84

Tout feu tout flamme 86 Mauvais elevateur 88 Gare a la rame 90 Sur de mauvais rails 92 Touche coule 94 , Voie d eau-tomobile 96 La mauvaise mine 98 Revenir de six pieds sous terre 100 Au fond du trou 102

L’HOMME EST UN LOUP POUR L’HOMME

104

Contre coups 106 Face a la menace 108 Le bon otage 110 Calme anti-emeute 112 , En cas d enlevement... 114 L,apprenti chimiste 116 , Invisible a l invisible 118

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PUISSANCE DES ÉLÉMENTS : LA FOUDRE

Non au coup de foudre !

VOUS AVEZ UN PROBLÈME Laisser passer l’orage, c’est bien. Encore faut-il en avoir la possibilité !

Et aujourd’hui, ce n’est pas envisageable : vous êtes dehors en pleine tourmente, sous les nuages noirs, un tonnerre vrombissant et des éclairs dangereusement proches. Pour une fois, vous devez à tout prix éviter le coup de foudre !

LES RÉFLEXES QUI SAUVENT Penser petit La foudre frappe naturellement les objets dressés vers le ciel.

Tout le monde le sait, même si tout le monde ne sait pas que cette attraction est liée à une facilitation des échanges d’ions entre la terre et le nuage, phénomène à l’origine de la foudre. Bref, oubliez la mise à l’abri sous un arbre isolé, mais également sous n’importe quel arbre qui dépasse du haut d’un bosquet. Pour les mêmes raisons, le sommet d’une colline est déconseillé, à l’instar d’un promontoire et de tout ce qui « dépasse ».

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Métal foudroyant Laissez de côté les objets métalliques en votre possession, susceptibles de faire paratonnerre : parapluie, club de golf, vélo, canne à pêche, piolet, fourche… Écartez-vous aussi de vos éventuels compagnons d’infortune : un groupe a plus de probabilité d’être touché qu’un individu seul. Écartez-vous de plusieurs mètres les uns des autres. À savoir : les petits objets en métal que vous portez sur vous (clés, bijoux, téléphone…) n’attirent pas directement la foudre. Ils sont en revanche conducteurs et occasionnent des brûlures de contact en cas de foudroiement.

Tous aux abris Avancez baissé et regagnez l’abri d’une voiture (elle fera office de cage de Faraday), d’une futaie pas trop exposée ou d’une grotte suffisamment profonde. Attention : une simple anfractuosité dans la roche peut laisser le courant circuler à travers d’éventuelles fissures humides.

En pleine campagne, préférez les ravins et les vallons tout en veillant à ne pas vous exposer à un risque de crue subite provoquée par l’orage.

Étincelle d’espoir Vous êtes mal abrité ou à découvert et vous sentez vos poils se hérisser sur votre peau ? La foudre va frapper près de vous ! Accroupissez-vous talons joints, de façon à présenter la plus petite surface possible en contact avec le sol. La connexion entre les talons peut permettre à la foudre de passer « à travers vous » en infligeant moins de dommages, si vous veniez à être touché.

Enfin, gardez à l’esprit qu’une personne frappée par la foudre n’est pas chargée d’électricité, elle peut donc être manipulée sans danger pour recevoir les premiers soins.

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PUISSANCE DES ÉLÉMENTS : L’INCENDIE DE FORÊT

Promenons-nous dans les flammes...

VOUS AVEZ UN PROBLÈME Une allumette criminelle, un mégot mal éteint ou un simple manque de chance suffisent pour que la promenade en forêt se transforme en fuite au cœur des flammes. La vue de nuages de fumée noire peut permettre d’anticiper le danger et de faire demi-tour suffisamment tôt. Mais pour peu que la visibilité soit réduite ou que vous n’ayez les moyens physiques de vous éloigner rapidement, vous serez contraint de jouer avec le feu…

LES RÉFLEXES QUI SAUVENT Vent chaud En cas d’incendie de forêt, la moindre bourrasque devient votre pire ennemie. Déplacez-vous en évitant si possible de rester dans le sens du vent, qui propage les flammes. Idéalement, fuyez contre le vent.

Cherchez à rejoindre des zones basses ou encaissée plutôt que des hauteurs : l’air chaud grimpe le long des pentes et active l’embrasement des sommets. Méfiez-vous également des brandons, ces petits débris enflammés portés par le vent, parfois sur des kilomètres, qui peuvent déclencher des foyers secondaires.

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Stop feu Cherchez à rejoindre un espace brise-feu : idéalement une étendue d’eau, mais un vaste espace rocailleux, voire une route très large peuvent également servir de rempart. Si les flammes se rapprochent et que vous n’avez pas trouvé d’abri, allongez-vous dans un fossé, un creux ou toute zone de terre meuble et sans végétation, avant d’ensevelir le bas de votre corps. Posez également de la terre sur un vêtement en coton, à faire glisser au-dessus de votre tête et votre torse, dans le but de vous enfouir entièrement. Conservez un petit espace autour de votre bouche pour respirer et attendez que le feu soit « passé » sur vous avant de ressortir.

Casser la ligne Certains préféreront tenter de traverser la ligne de feu, pour peu que les flammes ne soient pas trop hautes et la visibilité suffisante. Ne foncez jamais à l’aveuglette. Il suffit souvent de progresser de quelques mètres pour atteindre la sécurité d’une zone déjà brûlée. Mais encore faut-il pouvoir faire ces quelques mètres ! Humidifiez au mieux vos vêtements, couvrez votre visage et votre bouche d’un linge mouillé et sprintez au niveau le plus étroit de la ligne de feu. Et quoi qu’il se passe, ne vous arrêtez pas…

Rodéo enflammé En voiture, profitez de l’abri que représente l’habitacle pour fuir, quitte à traverser le mur de flammes (là encore, ne prenez aucun risque en absence de visibilité). Si vous n’avez pas d’échappatoire, rejoignez un espace aride où vous attendrez que les flammes et la fumée vous dépassent, fenêtres et aérations closes. Le risque d’explosion ou d’asphyxie est très faible. Celui de brûlure en touchant l’extérieur du véhicule après le passage de l’incendie est plus important. Restez vigilant.

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FAUX PAS… EN PLEINE MER

Naufrage involontaire VOUS AVEZ UN PROBLÈME !

Se retrouver seul au beau milieu de l’océan n’est pas forcément un rêve. Surtout lorsque vous êtes dans l’eau et non à bord d’un voilier.

Une éventualité liée à une chute par-dessus bord, un naufrage ou un incident plus improbable, type amerrissage d’urgence, très grosse dérive en parapente, excès de zèle en kitesurf, etc. Toujours est-il que vous voilà le bec dans l’eau au milieu de nulle part, avec en tête une unique interrogation : comment vous en sortir vivant ?

LES RÉFLEXES QUI SAUVENT Les yeux dans l’eau Cas de figure le moins favorable : vous êtes seul, sans le moindre objet auquel vous raccrocher. Vous n’avez pas le choix, vous allez devoir nager… intelligemment. Il faut en effet gérer la direction et l’effort. Si vous avez une idée d’où se trouve la côte la plus proche, prenez ce cap et tenezle. Si vous êtes dans l’inconnu, laissez-vous porter par les courants pour éviter de trop vous fatiguer et, avec un peu de chance, vous rapprocher de la terre ferme.

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La longue nage Adaptez ensuite votre style de natation aux conditions marines.

En cas de mer plate, le dos crawlé est l’option la plus reposante. De fortes vagues incitent en revanche à nager sur le ventre, en crawl, brasse, nage indienne… Évitez seulement le « petit chien », particulièrement peu efficace et énergivore. Ôtez chaussures et vêtements gênants, à l’exception bien sûr de votre gilet de sauvetage, même s’il vous perturbe pour nager. Veillez à ne pas vous épuiser et gardez l’œil aux aguets. Pas pour repérer des dangers potentiels, mais dans l’espoir d’apercevoir un navire ou un radeau de fortune.

Vive la méduse Vous avez un peu de chance dans votre malheur : un élément flottant de bonne taille, idéalement un canot de sauvetage, vous assure de pouvoir attendre les secours au sec. Récupérez tout le matériel à proximité : nourriture, outils, toiles, tissus, récipients, feu de détresse…

Et mettez-le à profit pour vous alimenter, vous abriter du soleil, récupérer de l’eau de pluie et même créer un filet de pêche de fortune si vous êtes en eaux poissonneuses.

Un signal de détresse ne sera à utiliser qu’en cas de présence avérée de bateau, d’avion ou d’hélicoptère de recherche, afin de ne pas gâcher les munitions que vous aurez pris soin de faire sécher au préalable.

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FAUX PAS… SUR UN LAC GLACÉ

Pourquoi briser la glace ?

VOUS AVEZ UN PROBLÈME !

Ah, les grands lacs gelés, sources inépuisables de divertissements…

Et de chutes à travers la glace fragilisée. Ce type d’accident arrive régulièrement aux patineurs, pêcheurs et promeneurs inattentifs, avec à la clé un risque d’hypothermie et de noyade liée à ladite hypothermie. La chute dans l’eau glaciale est brutale et traumatisante.

L’organisme est comme saisi et le cerveau entre en état de panique instantanée : deux réactions contre lesquelles vous devez lutter pour optimiser vos chances de ressortir.

LES RÉFLEXES QUI SAUVENT Trou blanc Dans le pire des cas, vous n’êtes plus au niveau du trou dans lequel vous êtes tombé, mais sous la couche de glace. Lâchez tout ce qui pourrait vous alourdir et ôtez si possible vos chaussures et votre manteau, tout en essayant de repérer l’orifice de sortie. Sous l’eau, il peut apparaître plus clair si les rayons du soleil pénètrent à travers, ou plus foncé par comparaison à la glace blanche qui l’entoure.

Bref, repérez la zone de contraste et rejoignez-la.

Si le trou est trop éloigné, reprenez votre souffle au niveau d’une poche d’air sous la glace, mais ne lambinez pas… Dans une eau gelée en surface, une dizaine de minutes suffisent à engourdir un corps jusqu’à un point de non-retour.

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Dedans dehors Vous êtes enfin tête à l’air libre, mais comment vous extirper entièrement ? Aidez-vous d’un objet de type clé, bague, ou montre pour accrocher la glace et commencer à hisser le haut de votre corps.

Sans outil, conservez les bras légèrement écartés et les mains à plat.

Passez à l’horizontale en battant des pieds et sortez progressivement de l’eau, de préférence là où vous étiez avant la chute : si la glace a déjà tenu le coup, elle devrait continuer à le faire.

Une fois sorti de l’eau, restez allongé et roulez jusqu’à un espace sécurisé (glace épaisse, rive…). Cette position permet de mieux répartir votre poids et éviter un second plouf.

Non à l’hypo…

De retour sur terre, vous n’êtes pas totalement tiré d’affaire. Se réchauffer au plus vite est impératif pour lutter contre l’hypothermie. Retirez vos vêtements si vous êtes à l’abri du vent et placez-vous recroquevillé près d’une source de chaleur avec un maximum de couvertures sur le dos et une boisson chaude dans le ventre.

Si la sensation de froid perdure, un peu d’exercice, sauts, pompes, flexions ou ce que vous parviendrez à faire permettra de réactiver la circulation sanguine et de vous « réchauffer » par la même occasion.

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NOS AMIES LES BÊTES : LES HYMÉNOPTÈRES

Douloureuse piqure de rappel VOUS AVEZ UN PROBLÈME !

Abeilles, guêpes, frelons… La classe des hyménoptères regorge de représentants aux piqûres douloureuses et potentiellement mortelles.

Plusieurs centaines de personnes décèdent annuellement d’un choc anaphylactique ou, plus rarement, d’une défaillance organique faisant suite à des piqûres multiples.

De façon préventive, éviter de trop s’approcher des nids limite les risques d’être pris à partie. Il suffit cependant d’une erreur d’attention pour vous retrouver en quelques secondes entouré d’une nuée agressive, nécessitant calme, sang-froid et bonnes jambes.

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LES RÉFLEXES QUI SAUVENT Menace bourdonnante Théoriquement, plus vous êtes calme, moins le risque d’être piqué est élevé. Mais il n’est jamais nul. Si quelques hyménoptères commencent à vous tourner autour, le plus simple est de vous éloigner tout en repoussant doucement les insectes trop proches de votre visage.

Si le nombre et le bourdonnement augmentent, placez une protection suffisamment transparente sur votre tête (tee-shirt, mouchoir, paréo, sac plastique percé…) et continuez d’avancer le plus calmement possible.

L’essaim s’emballe Les guêpes, abeilles ou frelons ne vous trouvent pas assez calme ? Ils se font pressants et commencent à vous piquer ? Il est temps de changer de stratégie et de fuir à toutes jambes en espérant, là encore, sortir de leur « zone de défense ». Idéalement, rejoignez un endroit abrité (véhicule, bâtiment, tente…) ou plongé dans l’obscurité. Les hyménoptères préfèrent les espaces éclairés et se révèlent peu enclins à vous poursuivre dans l’ombre. Faute de mieux, plongez dans des buissons touffus, qui devraient faire office de grosse moustiquaire.

Cible unique Cette famille d’insectes ayant tendance à se focaliser sur une cible, il est tout à fait possible de se retrouver seul promeneur attaqué parmi tous les membres d’un groupe. S’il est compliqué d’aider une personne à se débarrasser de ses harceleurs, vous pouvez faciliter sa fuite en la guidant.

Rien ne garantit cependant que vous ne retournerez pas la furie des hyménoptères contre vous…

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NOS AMIES LES BÊTES : LE LOUP

Loup y es-tu ?

VOUS AVEZ UN PROBLÈME !

Promenons-nous dans les bois pendant que le loup… y est ? La situation est peu probable, les loups ayant tendance à fuir la compagnie des hommes, qu’ils repèrent aisément à l’odeur et au bruit. Mais ventre affamé n’ayant pas d’oreille, un mâle solitaire ou une meute désespérée peuvent à l’occasion tenter leur chance auprès de vous.

LES RÉFLEXES QUI SAUVENT Solitaire : le grand bluff Vous êtes là. Le loup solitaire aussi. La partie de poker menteur débute.

Tout (ou presque) est question de confiance. La peur est votre ennemie, il n’est donc pas question de paniquer ou de tourner le dos à l’animal.

Si le loup semble plus curieux qu’autre chose, reculez lentement sans le quitter du regard, mais sans le fixer directement dans les yeux, signe de provocation. S’il est ou s’il devient menaçant, ou s’il approche simplement un peu trop à votre goût, il est temps de passer à l’étape deux : l’intimidation. Essayez de paraître plus grand en tendant votre veste au-dessus de votre tête ou en agitant un bâton en l’air. Avancez vers lui en parlant fort ou en criant, mais toujours sans le fixer dans les yeux.

Alternative moins téméraire : l’arbre, le gros rocher, le muret… Mais soyez vif pour rejoindre votre perchoir et prêt à prendre votre mal en patience si la bête décide de squatter à son pied.

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Face à la meute Les loups arrivent en nombre, en mode chasseur ? La situation est délicate, mais pas désespérée. Vous devez à tout prix éviter de vous faire encercler. Adossez-vous à une paroi, un roc, un gros arbre… Et essayez d’effrayer les animaux en criant et en les menaçant avec tout objet contondant que vous aurez sous la main. Attaquer violemment le mâle dominant (supposément le plus agressif) ou le membre de la meute le plus proche de vous pour provoquer un effet de panique est une solution de dernier recours… à l’efficacité non garantie.

Dans les dents !

Si le(s) loup(s) passe(nt) à l’attaque, répliquez en visant la truffe ou les yeux. Frappez fort et sans relâche : montrez que vous êtes dangereux, que vous n’êtes pas une proie facile, et tâchez de ne pas perdre des yeux ses éventuels comparses. Les probabilités sont contre vous, alors laissez parler votre instinct de survie et libérez la bête en vous. Le loup étant rusé, ne baissez pas votre garde après un assaut raté et une retraite précipitée. Méfiez-vous de la deuxième vague !

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3 MDS : VA0030

NT N ÉTONNA U T N A R V U ONTER IT EN DÉCO ROCHE RAC P N QUE CE SO U T N A T RRIVÉE S, EN ÉCOU I LUI EST A U Q FAIT DIVER E IR O T BLE HIS D’ACTION L’INCROYA T UN FILM N A D R A G E EN R TOUTES OU MÊME E SORT DE S S O R É H ANTES, OÙ LE EXTRAVAG S U L P S E L TIONS UN JOUR : LES SITUA RCÉMENT O F E D N A E, MOI, ON SE DEM QUOI FAIR IS A R U A S UE JE ? ». « EST-CE Q M’ARRIVAIT E S O H C E L SI UNE TEL TOMBIEZ T, SI VOUS E F F E N E , TIEZ Z-VOUS SI VOUS É U O , QUE FERIE S R U LES ?

AVEC UN O AIM D’ABEIL NEZ À NEZ S S E N U R R SÉ PA ASCENSEU N U POURCHAS S N A D CÉ NT TIEZ COIN OITURE DO V E SI VOUS É N U S N ANS E OU DA TIEZ PRIS D É S U QUI CHUT O V I É ? S HE ?

ONT LÂCH E AVALANC N U S N LES FREINS A D FORÊT OU UN FEU DE E: NS CE LIVR A D T N O S S ÉCIS, S RÉPONSE UES ET PR IQ TOUTES LE T A R P S CONSEIL AGIR AVEC SES MMENT RÉ O C A R D N E PPR NT VOUS IL VOUS A I POURRAIE U Q S N IO T OUS AIS QUE V À 50 SITUA M , S E É R É P ÉSES RER !

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