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en souvenir de la bataille du col du Midi

Rene Bozon-qui-a-l-age-de-18-ans-a-participe-a-la-bataille-du-col-du-midi-etait-present-aux-côtès-dechasseurs-alpins-a-l-inauguration-de-cette-plaque-commemorative-installee-sur-la-terrasse-des-cosmiquesphoto-le-dl-b-s-1674912246

L’École militaire de haute montagne et la Compagnie du Mont-Blanc ont inauguré vendredi 27 janvier, en haut de l’aiguille du Midi, un panneau retraçant les combats ayant eu lieu en 1945 au col du Midi. Baptiste SAVIGNAC -

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Soucieux de rendre à la nature les portions de montagne où de vieilles installations subissaient les affres du temps, Mathieu Dechavanne ne savait pas qu’il s’apprêtait à supprimer les traces d’une bataille d’altitude historique. « Nous nous étions engagés à nettoyer le col du Midi de son vieux téléphérique. Je pensais naïvement bien faire »

Devenir chef d'équipe haute montagne, un bel et ambitieux objectif pour les 24 candidats au brevet de chef d'équipe haute montagne (BCEHM) qui a débuté le 9 janvier et qui se terminera le 3 février. Parmi les candidats, 16 ont été retenus après une semaine de test et de remise à niveau.

Les trois semaines de formation qui suivent, composées de courses en montagne et de cours théoriques, mettent l'accent sur le ski de randonnée, le ski alpin, le ski joering ou encore le ski avec pulka. Avec des ressentis de température allant jusqu'à -25, cette formation d'excellence demande effort, rusticité et discipline.

L'objectif du cursus est de former les militaires aux différents savoir-faire nécessaires pour conduire une cordée de plusieurs personnes au sein d'un détachement engagé en montagne et de tenir les fonctions d'aide-instructeur. Composé d'une partie été et d'une autre en hiver, ce brevet permet aux soldats d'accroître leurs compétences en montagne et de prendre des responsabilités plus importantes. Bravo à eux et bon courage pour la suite de ce stage !

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Chaque combat, gagné ou perdu, nous donne des forces pour celui qui reste à venir. Il n'est pas bon pour les hommes d'avoir une vie facile. Lorsqu'ils cessent de combattre, ils perdent leur vaillance et leur énergie. Certains ont besoin de subir une série de défaites pour développer la force et le courage de remporter la victoire" - Sagesse amérindienne

Guyane

La 2e compagnie du 9e RIMa a changé de chef après 4 mois de fatigue accumulée et d'infiltrations en Jungle harassantes pour désorganiser l'adversaire, la 3e compagnie du 35e régiment d'infanterie a transmis le relais à la 1re Cie du 7e Bataillon de Chasseurs Alpins

Le 28 et 29 janvier se tenait la 21e édition de la belle étoile, une course de skialpinisme dans le massif de Belledonne.

Au terme de deux jours d'effort, après 5 400 m de dénivelé positif et une cinquantaine de kilomètres, l'adjudant Clément et le CCH Mael se hissent à la 38e place du classement !

Félicitations à eux !

Pour marquer la fin de leur formation et entrer définitivement dans la famille du 27 et des chasseurs alpins, les jeunes de la section de l'adjudant Clément ont marché sur les traces de leurs anciens, tombés au champ d'honneur dans les Vosges lors de la Première Guerre Mondiale.

Pendant quatre jours, sous la neige, ils ont parcouru les lieux où le bataillon reçut ses deux premières citations.

Le baptême de la section "Capitaine Anjot" marque une nouvelle étape dans l'intégration de ces jeunes au sein de l'armée de Terre, des Troupes de montagne et du 27e Bataillon de chasseurs alpins. Ce fut également la première cérémonie pour Aïko, la nouvelle mascotte du bataillon !

1983 - 2023 Gap et le 4e Régiment de chasseurs, 40 ans d’histoire.

Nous sommes le 8 janvier, c’est l’occasion de vous rappeler que dans exactement 6 mois aura lieu, les samedi 8 et dimanche 9 juillet, le week-end de célébration des 40 ans de l’installation du 4e Régiment de chasseurs dans la ville de Gap ! De nombreuses animations sont prévues au régiment ainsi que dans le centre-ville. Venez nombreux(se) !

Du 23 au 26 janvier, l’escadron Lyautey a réalisé, en Haute-Ubaye, un raid en montagne hivernal de 60 kilomètres en autonomie.

Les deux détachements, soutenus par une petite équipe logistique, ont entamé leur raid à Jausiers, commune de la haute vallée de l’Ubaye avec laquelle l’escadron est jumelé, avant de le terminer à Maljasset en passant par le col Mary (2641m) qui est frontalier avec l’Italie.

D’importantes chutes de neige localisées sur la frontière en Queyras et en Ubaye, appelé communément retour d’Est, ont déposé 50 Cm de neige fraîche sur l’itinéraire, contraignant l’escadron à s’adapter à la météo exigeante et aux conditions nivologiques marquées.

Face au risque d’avalanche, les détachements ont emprunté les pistes militaires menant aux fortifications de la ligne Maginot des Alpes (Batterie de Roche la Croix), ou encore les fonds de vallons où il a fallu tracter les Pulkas à travers la végétation tout en effectuant une trace dans une neige profonde.

L’escadron a ainsi pu s’entrainer aux techniques employées en milieu grand-froid (tracter une charge lourde sur de longues distances afin de pouvoir vivre dans ce milieu hostile) tout en révisant des savoirfaire primordiaux tel que les abris en neige ou l’évacuation de blessés sur des traineaux de fortune.

Enfin, arrivés au col de Mary à la frontière Italienne, l’escadron Lyautey a vu le brigadier-chef de 1ère classe Loïs se faire remettre l’étoile d’éclaireur skieur du régiment. Cet insigne honorifique est décernée aux montagnards les plus investis du régiment.

Fidèle à la devise de l’escadron, qui « pige et qui galope » le représentant des militaires du rang de l’escadron est un bel exemple pour ses pairs qui doivent à leur tour suivre sa trace.

La semaine dernière, une section de la première batterie s’est entrainée à la progression en ski depuis le poste militaire de l’Alpe d’Huez.

Les Loups de la Vercors ont notamment recyclé leur brevet de skieur militaire (BSM) en gravissant le col du Rissiou à presque 2500m d’altitude.

Citius, Altius, Fortius !*

* "plus vite, plus haut, plus fort" est la devise de la première batterie, que les Loups ont encore appliquée cette semaine.

Vous les avez vu en préparation à Suippes, puis suivi sur l’exercice Cerces, les voilà maintenant en sortie de validation BSM avant leur départ en Opex cette semaine : ce sont nos artilleurs des ÉCRINS.

Le gel, le givre, la glace, la neige… Même pas peur, rien n'empêche.

Le 7e RMAT a reçu la visite d’une délégation des Jeunes IHEDN venue découvrir l’unité des spécialistes de la maintenance des troupes de montagne.

Accueillis par le chef de corps en salle d’honneur, les visiteurs se sont vus présenter un bilan de situation du régiment ainsi que son rôle essentiel joué au sein de la maintenance des forces. Cet événement était également l’occasion de leur dresser un témoignage sur la participation du 7e RMAT à l’opération BARKHANE au Mali, à la tête du groupement tactique désert logistique « TAILLEFER » durant l’été 2021.

La délégation s’est ensuite rendue dans les ateliers mobilité terrestre afin de rencontrer les maintenanciers en mécanique auto et engins blindés de la 1re CMM ainsi que les spécialistes en électronique de la 3e CMEA où plusieurs matériels leurs ont été exposés.

La visite s’est clôturée sur une présentation de la « supply-chain » approvisionnement, assurée par la 4e CAP, permettant ainsi un descriptif complet de la chaîne logistique de l’unité.

511e RT

Mise en condition finale OPEX- part 2

Une fois les savoir-faire fondamentaux révisés, place aux savoir-faire spécifiques. Le SGL Aigle regroupe en effet la majorité des spécialités présentes au 511e RT : transport de blindés, transport, ravitaillement, appui-mouvement.

Chaque détachement a pu se réapproprier ses mode d’actions spécifiques à travers divers ateliers : chargement et rupture de charge des ensembles porte-engins, signalisation, balisage, course d’orientation à moto ou reconnaissance d’axe pour les patrouilles de circulation ou encore convois de ravitaillement.

Dans le cadre de sa mise en condition finale avant départ en OPEX, le sous groupement logistique Aigle armé par les soldats du régiment a réalisé deux semaines d’entrainement au camp du Valdahon, profitant d’un terrain et d’une météo très proches de ce qu’il connaîtra lors de son déploiement.

Cette période a débuté par de nombreux ateliers qui ont permis à l’ensemble du détachement de driller les savoir-faire militaires généraux : transmissions, NRBC, armement, conduite de jour et de nuit, entretien courant des véhicules, etc.

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