Numéro 13

LE RETOUR DU WEI

Ça bulle !

Sur les traces de Loa

Villages des sciences

Quand NAO joue avec le bateau POP-pop

L'ENSIM fait la fête !

Gala et BDE sont prêts à assurer les festivités !

Chère Ensim, Nous voici de retour pour un treizième numéro. Depuis le précédent, l'équipe de L'Ensimien s'est agrandie et nous sommes désormais heureux d'accueillir des acousticiens dans nos rangs. Je remercie donc les nombreux ensimiens ayant contribué de près ou de loin à ce journal. Un grand merci également aux étudiants Erasmus qui nous ont envoyé toutes ces photos. Quelques changements se sont produits avant la parution de ce numéro : afin de ne pas véhiculer une mauvaise image de l'école et des ensimiens, nous avons décidé de limiter les références à l'alcool. Enfin, et pour clore cet éditorial, je tiens à saluer les individus qui ont placé dans notre boîte à idées les objets suivants : des sauces piquantes pour la pizza, un jeton de machine à café, un préservatif, une petite voiture de police.

Alice Delbecque

L'Ensimien n°1 3 (novembre 201 6) Rédactrice en chef : Alice Delbecque • Mise en page : Thérésien Esberard • Couverture : Bertrand Devaux (photomontage), Kieran Hill (photo du WEI) • Conception des jeux : Elisabeth Saliou • Équipe : Constance Bocquet, Louis Dutriaux, Antoine Mariton et Gautier Gillot • Contact : Assos'n'sim / ENSIM / Rue Aristote / 72085 Le Mans lensimien@gmail.com

Quoi de neuf ?

L’année avance bien et l’association du Gala se prépare déjà à la grande soirée du Gala au thème toujours secret. Afin de financer cette importante soirée, le Gala commence avec la journée Halloween ainsi que la vente de chocolats.

Halloween Halloween arrive à grand pas et l’asso’ du Gala compte bien vous en mettre plein la vue. En effet, une journée entièrement dédiée à cette fête est prévue le vendredi 4 novembre. Outre la décoration, le Gala vous proposera un repas Halloween le midi à 3d et une soirée à l’ENSIM. Afin de coller au mieux au thème de la soirée, un concours de déguisement sera organisé avec une récompense spéciale pour le grand gagnant.

Au cours de la soirée, divers groupes de l’école joueront :

20h30 : La Compagnie du Lendemain

21 h1 5 : Benthic

22h00 : FNKDP

23h00 : Cellular Crew + Lény

C’est l’occasion pour les personnes hésitantes à rejoindre l’association de voir ce qui s’y fait.

Des chocolats belges à la nougatine en passant par les truffes, l’équipe du Gala propose toute une gamme de gourmandises. En plus de remplir votre ventre, cette vente a pour but d’aider au financement de la grande soirée du Gala. Les commandes se font directement à la K’fet auprès des membres du Gala, vous pourrez également y prendre un catalogue pour saliver devant tout ce qui vous y est proposé.

Quoi de neuf ?

La rentrée de l’ENSIM a été marquée par une succession d’événements : appartathon, barathon, laser game, soirée des parrainages ou encore barbecue des associations. Le tout s’est achevé par le week-end d’intégration, organisé par La Beaufrérie, qui s’est tenu du 1 6 au 1 8 septembre 201 6. Des performances du BDE aux exploits des 3A, retour sur ces trois jours les plus marquants de la rentrée.

Suite à leur victoire aux élections du BDE, il était temps pour les membres de La Beaufrérie de discuter du WEI. Les mois passaient et le projet commença à se concrétiser. Pendant qu’une rumeur circulait dans l’ENSIM en prétendant que le thème était “l’artisanat”, ce fut le thème “pays du monde” qui fut choisi par le BDE. Cependant, La Beaufrérie faisait face à un gros problème : le lieu du WEI, qui ne fut trouvé qu’au mois de juillet, ce qui retarda les membres dans la préparation de l’événement. Néanmoins, il n’était pas question pour chacun des membres de baisser les bras puisqu’entre-temps, des pôles de travail furent mis en place au sein du BDE afin de planifier la préparation du WEI : activités,

Le totem, l'une des réalisations du pôle décoration

La Chevalerie de Sacé à Brain-sur-Allonnes (49) décoration, cuisine et bar, son et lumière.

Une fois le lieu trouvé, chaque pôle put travailler en fonction du budget qui était proposé. C’est ainsi que pendant les vacances, certains membres des pôles activités et décoration se mirent, après avoir prévu les activités, à concevoir tous les objets qui servirent au WEI : pancartes, pyramides ou encore totems.

Pour ce qui est du pôle cuisine, les idées commencèrent aussi à émerger : l’équipe souhaitait que chaque repas puisse représenter une zone géographique.

Lorsque le mois de septembre arriva, certains se chargeaient des derniers préparatifs du WEI tandis que d’autres s’occupaient de l’organisation des événements de la rentrée.

Le WEI débuta pour certains le 1 5 septembre, date à laquelle des membres du BDE sont arrivés pour préparer le

lieu : activités, décoration, son et lumière ou encore nourriture. À l’aller, les voitures étaient pleines à craquer. Une fois tout le monde arrivé, chacun allait s’occuper à sa tâche. Du côté activités et décoration, les uns mettaient en place le parcours de “Pablo Escobar s’échappe de prison” tandis que les autres testaient le “Combat de sumos”. L’équipe chargée des sons et lumières installait le matériel nécessaire pour les soirées. Enfin, du côté cuisine, le groupe commençait à préparer le premier repas du WEI. Sept membres restèrent sur place toute la nuit et travaillèrent jusqu’à 2h00 du matin.

Le grand jour arriva, le “World Wide WEI” allait débuter. À l’ENSIM, les membres du BDE regardaient les 3A passer leur “test de positionnement en mathématiques et sciences physiques” avant de pouvoir faire monter et

Quoi de neuf ?

Témoignage

Le rougail saucisses a rencontré un franc succès lors du WEI accompagner les participants dans les cars pour le WEI. L’équipe du BDE ayant passé la nuit sur le lieu du WEI, debout depuis 8h00 puis rejointe par d’autres membres dans la matinée, se mit à continuer de faire ce qu’elle avait commencé la veille.

Ainsi, vers 1 3h00, La Beaufrérie était prête à accueillir les participants au WEI à la Chevalerie de Sacé, un site médiéval situé à Brain-sur-Allonnes, non loin de Saumur, à 80 km du Mans.

L’accueil fut marqué par la traditionnelle bataille de mousse à raser. Après que tout le monde se “nettoya”, tout le monde partit manger. Au menu du premier repas : l’Afrique avec le rougail saucisses, l’un des plats emblématiques de l’Île de La Réunion. Suite à cela, il fallait enchaîner la journée avec les activités. Hélas, le beau temps n’étant pas au rendez-vous, il fallut en vitesse réorganiser le planning des activités.

Toutefois, l’enthousiasme des participants n’empêcha pas le bon déroulement des activités, ce qui a pu se voir à l’activité “Combat de sumos”.

Le soir, chacun partit chercher son hotdog et ses frites, emblèmes de l’Amérique du Nord, avant de commencer la première soirée, où tout le monde devait être déguisé. Par la suite, le BDE était réparti en cinq groupes

Très loin du bizutage, le WEI de ce début d’année a ravi tous les 3A et les prépas.

L’avis général est que l’objectif, à savoir l’intégration des prépas et des 3A, a largement été atteint.

Vendredi 8h, en amphi… le commencement des festivités pour les 3A. Enfin cela dépend pour qui : pour Pascal Picart, notre surveillant de DS (pourtant décrit comme un « vrai gentil avec beaucoup d’humour » par un de ses collègues) a joué le rôle du professeur tyran à merveille et avec beaucoup de plaisir, tandis que nous, pauvres 3A, avons dû plancher sur un sujet confectionné par La Beaufrérie avec soin et difficultés. L’échec à cet examen marquait la fin des grasses mat’, remplacées par des heures de soutien les samedis matins suivants.

Mais quelle ne fut pas notre surprise de découvrir nos copies et les commentaires associés sur le chemin du bus ! Big Up à ceux, qui comme moi, ont pris la chose au sérieux et à ceux qui n’allaient pas au WEI mais qui ont quand même dû se lever tôt. Bref revenons au trajet du bus : trois équipes (les rouges, les bleus et les verts) en route vers une destination inconnue (ou presque puisque les bus affichaient « SaintPhilbert-du-Peuple »). Mais peu importe, nous ne savions pas que le week-end se passerait entre originalité et histoire : dans un site médiéval.

La sortie du bus marqua le début de l’intégration par une marche des canards, des saute-moutons, à la sauce « mousse à raser, œufs, farine, … » et le tout sous une pluie harassante, qui s’est (heureusement) calmée par la suite. L’intégration se poursuivit par des épreuves de badigeonnage de mousse à raser sur corps (qui a permis à l'une d'entre nous de se dévoiler et avec grand plaisir) et d’animaux étranges à manger.

Que serait un WEI sans les soirées ?! Lors de la soirée déguisée, on a pu voir Marge Simpson se faire servir à boire par la reine d’Angleterre, rien que ça ! Sans oublier la seconde soirée où les looks étaient un peu moins assurés mais la bonne humeur était décuplée.

On se souviendra de la Ginette et du coin chill, zone meublée par du matériel de récup très efficace et qui porte bien son nom.

Et les nuits… On a même vu des chaises se perdre dans des tentes. Et rien de mieux que de s’endormir sous de douces berceuses de Concerto en Ut Majeur, une version revisitée de l’Alarme incendie pour Bombarde.

Je terminerai cet article en rappelant à tous qu’« y’a des pâtes » et en me souvenant de la bonne cinquantaine de virages, panneaux de signalisation et ronds-points, tous célébrés par les membres du bus rouge, encore euphoriques de leur victoire aux épreuves.

Quoi de neuf ? durant la soirée : le premier était au bar, le deuxième faisait des rondes sur le site pour voir si tout allait bien, le troisième découpait jusqu’à 4h00 les fruits et légumes nécessaires à la cuisine du lendemain, le quatrième profitait de son WEI et enfin le dernier dormait. La soirée fut aussi marquée par l’arrivée de l’unité mobile de premier secours (UMPS) qui prit en charge le poste de secours tout au long de la soirée. Elle fut acclamée par tous les participants dès son arrivée.

La journée commença par un petitdéjeuner. Rien n’était prévu pour la matinée, le temps que tout le monde se lève calmement. Plus tard dans la matinée, l’équipe cuisine préparait les nouilles aux champignons, poivrons et oignons, destinées à représenter la zone Asie-Moyen-Orient. Le service du midi se termina par une salade de fruits, melons et pêches, préparée la veille. Le succès était une fois de plus au rendez-vous.

S’enchaînèrent ensuite les activités. Cette fois-ci le temps était au beau fixe, ce qui était bon signe. L’équipe chargée d’organiser les activités était plus confiante car elle savait mieux comment gérer. De plus, tous les participants se prêtèrent aux jeux. Au programme : Roulette Russe, Mario Kart, mimes, concours de la plus longue ligne humano-vestimentaire ou encore course à obstacles. Pendant ce temps, du côté cuisine, l’heure était à la préparation du chili con carne, plat latino-américain tandis qu’une fine équipe composée de membres extérieurs aidait à la découpe des melons et des pastèques, prévus pour la soirée.

La seconde soirée débuta par une version live inédite du Beaufrérap et du Beaufrédub, elle fut aussi marquée par le retour de l’UMPS, à nouveau acclamée par les ensimiens, tandis que le BDE était réparti en quatre groupes : ceux qui étaient au bar, ceux qui faisaient la ronde, ceux qui dormaient et ceux qui profitaient de leur WEI.

Ce fut après une dernière nuit que tout le monde se leva petit à petit dans la Chevalerie de Sacé. Pour clôturer le WEI, tout le monde eut le droit un brunch “à la bonne franquette”, pour symboliser l’Europe. Dans l’après-midi, le BDE donna l'équipe gagnante du “World Wide WEI” avant que les participants et les accompagnateurs reprirent les cars pour rentrer au Mans. Une fois que tout le monde était parti, il fallait donc tout ranger et nettoyer. Ce fut grâce à la bonne volonté de tous, dans la joie et la bonne humeur, que tout put être accompli avant la tombée de la nuit.

Le WEI 201 6 de l’ENSIM était fini.

C’est avec de la joie, des regrets, du soulagement, de la tristesse mais surtout beaucoup de souvenirs mémorables qui ont fait de ces quelques jours une expérience de vie enrichissante, que La Beaufrérie conclut son week-end d’intégration. C’est ainsi que toute l’équipe de La Beaufrérie vous donne rendez-vous pour la soirée “Retour du WEI” qui se tiendra le jeudi 1 7 novembre 201 6 à l’ENSIM, afin de revivre le temps d’un soir ces trois jours de folie !

Jean-Eude, la mascotte du World Wide WEI

En bref Revivez les temps forts du WEI au cours d'une soirée riche en émotions et en sensations fortes. Des surprises sont au programme. Soyez au rendez-vous !

En décembre, venez fêter Noël le temps d'une soirée avec le BDE ! Le programme sera communiqué dans les prochaines semaines.

Chaque semaine, retrouvez sur la page Facebook de La Beaufrérie l'Agenda pour vous informer des événements, soirées et concerts à venir sur Le Mans.

Quoi de neuf ?

[1 ] Louise Combe expliquant le principe du bateau pop-pop • [2] La transimission sonore par induction en présentation [3] Gaël Senée expliquant la transmission sonore laser • [4] NAO prêt à danser.

À l'occasion de la Fête de la Science, plusieurs Villages des Sciences émergèrent en France le temps d'un week-end. Dans la Sarthe, ces Villages étaient à Sablé-sur-Sarthe les 8 et 9 octobre ainsi qu'à l'Abbaye de l'Épau d'Yvré-l'Évêque les 1 5 et 1 6 octobre. L'ENSIM y tenait un stand. Reportage.

À l'ENSIM, les Villages des Sciences sont un projet 3A au cours duquel les membres doivent assurer un stand présentant des expériences scientifiques ainsi que des démonstrations avec le robot NAO. Sachant que le public est essentiellement familial, la présentation des activités doit être accessible à tous. L'équipe de cette année, menée par Gaël Senée, se donna pour objectif de mener à bien ces consignes.

Il fallut ainsi quelques mois pour que l'équipe parvienne à concrétiser son projet. Ainsi, il fut décidé de proposer quatre expériences ainsi que deux démonstrations avec le robot NAO. Parmi les expériences figuraient le thermomètre à eau, le bateau pop-pop, la transmission sonore par induction ainsi que la transmission sonore laser. Quant à NAO, il allait exécuter des mouvements en lien avec l'initiative "Manger Bouger" : reconnaissance vocale pour "Manger" et danse pour "Bouger".

Les activités prêtes, il ne restait qu'à attendre les visiteurs. On compta 400 visiteurs à Sablé-sur-Sarthe et 1 500 à l'Abbaye de l'Épau. Les gens étaient curieux et intéressés par les réalisations de l'équipe. Tandis que NAO eut droit comme chaque année à son moment de gloire, les expériences eurent aussi un grand succès, notamment le bateau pop-pop. Le public était conquis à tel point que la presse parla des Expériences sciensationnelles. Une fois de plus, le succès était au rendez-vous pour l'ENSIM.

Point Culture

Bienvenue à toi lecteur de L'Ensimien ! Aujourd'hui, nous allons nous intéresser à une œuvre hybride, entre la BD franco-belge et le manga japonais, avec… un manga français ! Il s'agit de la série Loa, publiée chez Delcout, de Guillaume Stey, présent sur les trois tomes de la série à la fois au scénario, au dessin, et à la couleur pour les rares pages colorées.

Texte : Antoine Mariton . Illustrations : Guillaume Stey.

La série débute sur une planète lointaine, où Eline, une jeune fille, sauve par hasard Loa, un garçon étrange, à la recherche des Stolysces, artefacts d'une technologie perdue, pour accomplir son rêve. Mais il n'est pas le seul à les convoiter…

On assiste là à une œuvre à casting très réduit en personnages (moins de dix personnages nommés, trois réellement principaux), qui vont donc avoir le temps de se développer au mieux.

Le premier tome pose l'univers, le deuxième les enjeux. Le dernier va constituer l'apothéose de l'ouvrage, où la ligne entre le bien et le mal sera profondément malmenée… L'arrièrepropos, qui se développe de plus en plus au long de l'histoire, finit par poser plus de questions qu'il n'y paraît, dévoilant toute la profondeur de l’œuvre.

Le dessin, bien qu'un peu hésitant sur le premier tome, se fluidifie au mieux dans les deux tomes suivants, avec des

paysages de ruine surréalistes du plus bel effet. Le trait de l'auteur, puisque l'on y vient, exprime bien l'hybridation qu'est le « manga français ». Avec des influences aussi bien européennes que nippones, on y retrouve également des codes employés chez les auteurs de BD et les mangakas, donnant une saveur très particulière à Loa, appréciable aussi bien pour les amateurs de BD classique que par les inconditionnels du manga. Cette sensation est accentuée par la narration et le traitement des thèmes, là encore à mi-chemin entre les deux écoles…

Loa est donc une série que je conseille à tous, et qui vous donnera l'occasion d'ajouter à votre collection l'un des étranges mélanges dont est seul capable le manga français. En bonus, une petite surprise qui nous vient directement de l'auteur] !

À prendre si :

• vous vous demandez à quoi peut ressembler un enfant entre les Dragon Ball et les Méta-Barons ; • vous êtes ouverts aux mélanges culturels ; • vous voulez vous initier au manga (le sens de lecture est européen !)...

À éviter si :

• le manga, pour vous, c'est uniquement japonais ; • vous comptez vous arrêter au premier tome (la série va crescendo) ; • vous n'êtes pas encore prêt pour le noir et blanc (seules quelques pages sont en couleur).

Voyages

Des ensimiens en vadrouille Angleterre, Allemagne, Canada, République Tchèque… ils sont nombreux nos camarades à être partis pour le semestre à mille lieux de l’ENSIM. Ils vous manquent - parfois - et vous leur manquez - un peu. Pour vous, l’équipe de L’Ensimien a décidé de les contacter et a récupéré ces quelques photos.

Texte : Alice Delbecque. Photos : Alice Delbecque, Mathieu Dupont, Alban Rousseau et Alex Vion .

« We didn't choose the thug life, the thug life chosed us - Merci my lord - Oh yes Josh » Alex Bonnet et Mathieu Dupont, Angleterre

À Prague, Alex Vion et Benoît Dionnet en plein tournoi de beerpong dans les dortoirs de l’université.

Un jeu allemand, le Funkyball, découvert par Alban Rousseau et Marc Leroux...

Et toujours à Prague, d’autres étudiants français s’incrustent sur les photos et saluent les ensimiens.

… les voici d’ailleurs tous les deux en pleine partie.

Vendredi 28 octobre, jour de fête en République Tchèque, on en profite pour fêter Halloween

Détente Des extraterrestres vous ont capturé avec neuf autres représentants de l’espèce humaine. Ils veulent savoir s’ils peuvent nous manger, leur philosophie étant de ne manger que des espèces incapables de raisonnement. Saurez-vous sauver l’humanité ?

Allez-vous réussir à résoudre cette énigme ?

Vous êtes placé sur une ligne, du plus grand au plus petit. Vous ne pouvez pas vous retourner ou vous décaler. Chacun de vous a sur la tête un chapeau noir ou blanc, de façon aléatoire. Vous ne savez pas combien de chapeau de chaque couleur il y a. Quand les extraterrestres vous le diront, vous devrez chacun votre tour deviner la couleur de votre chapeau, en commençant par la personne la plus grande. Vous ne pouvez pas dire autre chose que “Blanc” ou “Noir”, ou vous serez pulvérisé.

Si au moins neuf d’entre vous devinent correctement, vous serez sauf et pourrez retourner chez vous. Sinon, vous serez les premiers à être dévorés et vous resterez connus à jamais dans l’histoire comme les humains dont la stupidité nous a conduit à notre perte. Vous avez deux minutes pour trouver une stratégie en groupe, avant de recevoir vos chapeaux.

Détente Règles : barrez chaque mot au fur et à mesure que vous les entendez dans un cours. Si vous avez une ligne, une colonne ou une diagonale longue entièrement barrée, levez-vous et criez "Bingo Barjo".

La rédaction décline toute responsabilité en cas d'expulsion de cours.

Je vous propose de suivre avec moi les aventures de Marge dans sa découverte de la vie mancelle. Une vie qui va complètement la retourner. Mais voyons plutôt...

Commençons par nous intéresser à la personnalité de Marge, une fille au nom bien coté. Sympathique, amusante, même si elle paraît timide à force d’être butée, je pense sincèrement qu’elle a tout pour qu’elle vous plaise et vous botte. Côté cœur, cette jeune veuve adore les nuls, ce que nous verrons par la suite.

Jusque là, notre héroïne habite Laval, situation dont elle va s’empresser de s’échapper, suite à sa rencontre incroyable avec Jean-Luc, son nouveau prétendant. En effet, l’aspirant habite Javel, et malgré son désintérêt pour elle, il est trop bon pour la quitter. Elle y tient à ce gars, il sort quand même de l’école nationale des mines de Paris !

La voilà donc partie sur Le Mans, pour se rapprocher de son ami, ne voulant pas emménager près de ces sites de banlieue qu’on trouve près de la capitale. Ça tombe bien, elle pourra profiter des Chimères durant l'été, elle qui déteste les mythes abolis, mais surtout, ce qui caractérise Marge, c'est qu'elle est folle de la messe ! Et avec la jolie cathédrale, qu'elle avait déjà fréquentée du temps où le Pape avait cassé le banc d'un Cubain (tout le monde se souvient de cette histoire de « Jean-Paul, le pape hautain »), la voilà comblée ! Ça l'arrange aussi, car dans son ancienne église, le prêtre est fou, et elle en avait assez de conter la Bible à tout le quartier.

Bref, elle arrive bien contente au Mans, en pull Lacoste avec des bottes en plastique, et prépare son aménagement. Et quel sac de nœuds encore ! Et ça ne fait que commencer...

La contrepèterie, kézako ? Il s'agit du fait d'inverser l'ordre des syllabes, des lettres ou des mots d'une expression, pour modifier le sens, afin de produire des phrases burlesques ou grivoises. Exemple : " Mieux vaut tard que jamais." donne "Vieux motard que jamais.".