DESMOPASSION n°34, le magazine du D.O.C. BELGIUM

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ASSEN PRAMAC WORLD DUCATI WEEK ROSSO CORSA PICCOLO CAFE RACER Who’s Who D.O.C. BELGIUM MARSHALLS


N°34 - septembre 2014

Calendrier

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Editorial

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ASSEN

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ROSSO CORSA

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WORLD DUCATI WEEK

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PICCOLO CAFE RACER

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Who’s Who WDW

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DOC BELGIUM - DSB Staff & Crew

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MARSHALL RECRUTEMENT

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WORLD DUCATI WEEK

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WDW - GRAZIE !

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DOC BELGIUM APPARELS

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E DITO Pa r Fre d Pour fêter nos 10 ans d’existence, le calendrier 2014 se voulait riche en événements de qualité et à la hauteur de la réputation de notre Desmo Owners Club.

jamais égalé jusqu’à présent tandis que dans le même temps, le nombre de membres adhérents ne cesse de croître.

St-Desmo nous a entendu (en partie) puisque les événements du calendrier se succèdent et rencontrent un taux de participation

Bien entendu, nous sommes très fiers de ce succès car c’est la preuve que nous allons dans la bonne direction et que nos activités répondent à vos attentes.

ses fonctions de secrétaire avec beaucoup d’entrain et d’efficacité.

suivies pour nous permettre de maintenir le cap.

Face à la charge de travail décuplée engendrée par l’ensemble de ces facteurs, il est devenu impératif que notre association puisse s’adapter à ces nouveaux défis afin de nous permettre de pouvoir continuer à l’avenir à pouvoir vous offrir le niveau équivalent de qualité qui a participé à la réputation de notre association.

Parmi celles-ci, celle de la poursuite du développement du Crew nous apparaît comme incontournable.

Outre l’élection à la fonction de secrétaire qui interviendra au plus tôt à l’occasion de notre prochaine assemblée générale, diverses pistes sont actuellement

Pour rappel, il y a deux ans déjà, une initiative avait été prise en ce sens en créant le « Crew », une équipe composée de membres actifs désireux de s’engager plus en avant en prenant en main différents domaines d’activités du club et ce aux côtés du conseil d’administration. Cette démarche fonctionne et nous sommes heureux de pouvoir

Les choses ne sont malheureusement pas si simples car vous n’êtes pas sans vous douter que ce succès a un impact important sur le plan de notre organisation qui pâtit malheureusement depuis la mi-saison et en outre, de l’absence d’un de nos administrateurs, Olivier Di Vito, qui remplissait

compter sur l’implication de ses membres mais de nouveaux besoins se font sentir. En effet et pour les raisons évoquées cidessus, il est devenu urgent de pouvoir compter au sein du Crew, sur une véritable équipe d’ouvreurs attitrés, formés, d’expérience et capables de développer une vision commune dans la manière de vous encadrer ou de réactions diverses liées à la gestion d’une balade organisée par le club. Quatre membres ont déjà réagi positivement et compris l’enjeu qu’un encadrement de qualité représente suite à l’appel


lancé sur le forum. Luc Nys, Morgan Goffaux, Alain Vanderbenden et Jean-Pierre Bodson ont ainsi décidé de monter à bord et de s’engager à nos côtés en prenant un poste de Marshal (ouvreur) au sein du Crew. Steve Marangon assurera quant à lui la coordination des activités du DSB Classic.

Au nom du staff, je tiens d’ores et déjà à les remercier pour leur engagement.

lui tient à coeur et qui apporterait une véritable plus-value au club.

Pour le reste, vous ne serez pas pardonné si vous passez à côté de l’exceptionnelle soirée que nous sommes occupés à préparer pour célébrer officiellement notre dixième anniversaire le samedi 06.12.14 !

Comme vous le voyez, toutes les bonnes volontés sont les bienvenues. Nous sommes convaincus qu’au sein du club, beaucoup d’entre-vous disposent de compétences nécessaires à la vie du club et/ou du temps à y consacrer. Prochainement, je vous inviterai donc à embrasser une fonction au sein du Crew. Dès lors, si vous avez envie de vous engager plus en avant, si vous vous posez des questions, répondez à cette newsletter et n’hésitez pas à me contacter pour en discuter.

Mais, vous l’aurez compris, ces équipes, le Crew, nécessitent d’encore grandir pour répondre à nos besoins. Parmi les fonctions recherchées, nous souhaitons notamment

Si cette date n’est pas encore pointée à votre agenda, faites le dès maintenant, bloquez là car nous mettrons les petits plats dans les grands ! Un programme V.I.P, ni plus ni moins ! Du cadre dans lequel nous vous accueillerons en passant par le repas, les invités, les animations (2 concerts !) et

renforcer l’équipe de graphistes (DSB Design Center), les modérateurs du forum (DSB Community), l’équipe Webmaster, le Rédac’team ou encore développer de nouvelles fonctions qui répondraient à des besoins ou au souhait de tout un chacun de prendre en main une activité qui

surtout l’ambiance, tout sera traité V.I.P ! Soyez au rendez-vous ! Grazie mille è a presto ! Frédéric Président

LAURENT


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ASSEN Pa r Bru n o ! Vous refuseriez, vous, une invitation à aller assister au Moto GP d’Assen, avec un Pass VIP du team PRAMAC ? Quand un ami m’a téléphoné pour me parler de ce bon plan, j’ai évidemment sauté sur l’occasion. Un frangin qui bosse dans le milieu de la F1 ET du Moto GP, et voilà ! Samedi matin, debout à 4h30 : pour quelqu’un qui a HORREUR de sortir de sa couette, faut être sacrément motivé … Et ce ne sont pas les 250 et quelques canassons de l’A7 Quattro qui nous conduit au GP qui nous feront arriver avant les embouteillages, la moitié de la planète semble s’être donné rendez-vous pour s’agglutiner aux Pays-Bas, et évidemment, les petits schtroumphs bataves se frottent les mains derrière leurs radars ! Là, ils ne se cachent même plus, il y a tellement de motos et de voitures pressées d’arriver qu’ils savent déjà que ce sera une journée faste pour eux … Sur place, le temps de retirer les Pass, on pénètre dans l’enceinte sacrée : après avoir montré patte blanche devant les cerbères de service,

on ne sait plus où tourner la tête. Les box Moto3 et Moto2 sont alignés dans une avenue, toutes devantures ouvertes. Des fourmilières, des ruches, qui bourdonnent d’activité, les mécanos tous habillés aux couleurs de leur team s’affairant autour des machines, en toute visibilité.

« public » malheureusement : il doit y avoir une armée d’employés affectés au nettoyage, mais on ne la voit pas. On traverse l’allée des « hospitalities » et on arrive près des box Moto GP : ceux-là ont leurs portes fermées, pas de risque de regards « indiscrets » …

Nous sommes comme des

On pénètre dans le monde des seigneurs de la vitesse.

gamins devant la vitrine d’un grand magasin de jouets, la veille d’une Saint Nicolas. On ne sait plus où donner de la tête. Mario, notre guide et notre hôte, nous conduit vers le box Pramac : il est ici comme chez lui … Les semi-remorques aménagées des camions d’usines sont là, rutilantes et alignées comme à la parade. Tout est propre ici, pas comme du côté

Mario ouvre la porte et salue Paolo, le Boss du Team Pramac, qui nous invite à entrer, un large sourire aux lèvres. Le Saint Graal !!! Nous y sommes ! Les box Moto GP sont bien plus grands que ceux des Moto2 et Moto3, au bord de la Pit Lane, et scindés en deux parties, une pour chaque pilote et ses machines. Et les mécanos d’Andrea

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tous parfaitement synchronisés : chacun sait quoi faire, pas un mot de trop ne fuse. Des ingénieurs s’affairent devant les écrans des nombreux ordinateurs qui prennent autant de place que les outils traditionnels des mécanos : on se croirait presque

Ianone ne travaillent que sur ses motos, même s’ils sont habillés comme ceux d’Hernandez, son coéquipier et voisin de box, qui dispose des siens. Les motos !!! On nous laisse passer, nous nous approchons timidement des monstres, attirés

comme des papillons de nuit par une source de lumière. Scène impressionnante et irréelle à la fois, on croit rêver. Un silence religieux plane parmi nous ; ça tombe bien, ici règne une ambiance feutrée mais active. Gestes précis des mécanos, concentration,


dans un bloc opératoire, si les occupants du box étaient habillés en vert ! Je décide de me focaliser sur Andrea Ianone. Un gars vêtu aux couleurs d’Ohlïns passe dans le box mais n’y reste pas: les suspensions des Ducati Pramac doivent être opérationnelles … Andrea Ianone arrive et s’installe sur son siège de toile, un ingénieur prend place à côté de lui et une discussion est aussitôt entamée. Chacun écoute l’autre avec la plus grande attention : si on n’entend pas ce qui se dit, on comprend que chaque mot est capital pour la course qui s’annonce. Une heure avant le départ, Mario m’explique qu’un

contrôle (très strict) de la température de l’essence que contiennent les réservoirs des motos qui vont prendre le départ va être effectué : celle-ci ne peut être trop basse. La capacité d’essence embarquée étant règlementée, sachant que si celle-ci était conditionnée à très basse température elle occuperait moins de place et qu’on pourrait alors en mettre plus, la tolérance zéro est appliquée avec la plus grande rigueur. Nous sommes reçus à l’hospitality comme si nous étions chez nous : buffet italien évidemment, sur des tables imprimées aux couleurs du team. Coin relax avec fauteuils et écran près de la sortie, tout est fait ici pour vivre la

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sortons et choisissons un point de vue au bord de la piste. Mais nous sommes évidemment cantonnés derrière le grillage : pas très pratique pour les photos …

course confortablement … Retour au box : changements de pneus pour les motos : la météo faisant des caprices (grêle juste avant le départ Moto2 !), le bal des mécanos ne s’arrête pas. Ces contretemps n’agacent personne, on est chez des pros et ça se voit. Le démarrage des machines est plus qu’impressionnant ! Dire qu’à Spa, on est recalé pour quelques petits DB « de trop » ferait sourire ici … Au fracas des moteurs qui sont lancés,

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des frissons parcourent ma colonne vertébrale. Vingt minutes avant le départ, Andrea Ianone est assis dans son fauteuil de toile, la combinaison et les bottes déjà enfilées. Il a les yeux perdus dans le vague, ses jambes tremblent sans arrêt. Images qu’on ne voit pas à la télévision. Le temps semble avoir ralenti sa course, les outils qui trainaient encore sont rangés, le panneauteur vérifie son matériel, chacun se prépare dans le calme. Pour le départ, nous

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Le vacarme qui envahit le circuit et ses alentours indique le départ du Warm Up. Déjà, un pilote glisse et chute pas loin de nous. Pas de casse, mais on suppose qu’il va vite se faire gronder ! Départ ensuite, annoncé par un vacarme assourdissant : les vitesses atteintes lors du premier tour sont hallucinantes ! Et Doviziozo en tête, c’est la fête !!! Durant la course, nous chercherons d’autres endroits pour « mieux voir », mais c’est finalement devant l’écran de l’Hospitality qu’on voit le mieux ce qui s’y passe, comme à la maison … Et tour après tour, les


Ducati tiennent bon ! Merci la pluie cette fois … Peu avant l’arrivée, nous retournons au box Pramac : je veux voir les pilotes rentrer, voir ce qui se passe après la course pour ceux qui n’ont pas accédé au podium. Ianone rentre, sixième. Applaudissements dans le box. On l’aide à descendre de sa moto, à retirer son casque. Il reçoit une boisson fraîche. Assis de nouveau sur son siège de toile, pas le temps d’ouvrir sa combinaison pour « refroidir », l’ingénieur est déjà assis à côté de lui pour le débriefing, carnet de notes à la main. D’autres sont déjà assis devant les PC pour communiquer ou rentrer des données. Discussion technique animée. Le pilote raconte sa course à ceux qui préparent déjà la suivante. Même après la course, chaque seconde est exploitée.

Nous rejoignons le pied du podium, images de trois pilotes vidés mais souriants qui sabrent le champagne sous les acclamations du public, mais ça, vous connaissez … On ne traîne pas sur les lieux : pour éviter les plus gros bouchons, il faut sortir rapidement. Une heure d’embouteillage heureusement évitée, nous reprenons l’autoroute, sous une pluie diluvienne. Des

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centaines de motards sont arrêtés sous les ponts ou sous les abris des stations de carburant, sur plus de cent kilomètres ! Surprenant aussi, tous ces Hollandais amassés sur les talus ou sur les ponts qui enjambent l’autoroute, pour faire signe aux motards. Ils sont des centaines eux

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aussi, de tous les âges, malgré le déluge qui s’abat sur eux … Une coutume chez eux, paraît-il ! Pas sûr pourtant qu’avec ce qui dégringole les motards les voient ! Durant le retour dans l’ambiance feutrée de l’A7, je me remémore la journée. Je sais déjà que je

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ne verrai pas le prochain MotoGP à la télévision tout à fait comme avant. Et ce sera sans le son « en live » et l’odeur de la course …


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RO S S O CO R S A Pa r Bru n o A l’initiative de Motosport 62, DS du Pas de Calais, le 11ème Rosso Corsa a eu lieu le 23 juin sur le circuit de Croix-en-Ternois. Si l’organisation particulière des groupes de pistards amateurs mélange les débutants avec les plus chevronnés (catégories selon les types de motos et non selon le niveau de conduite/pilotage), le

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Rosso Corsa rencontre toujours un beau succès de participation. Ce 23 juin, la météo étant excellente, ce fut encore une belle journée ! Partis avec la bande habituelle (Christian et son proto, « Vava », Ugo et moi) et nos moitiés, nous retrouvons avec plaisir l’ambiance bon enfant qui règne toujours

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sur le parking. Eric est là avec sa famille dont le fiston, dont beaucoup d’entre vous ont pu admirer le style à Mettet … Evidemment, le temps de tout installer, de s’inscrire au bureau, on loupe le premier run … Mais ce n’est pas grave, je sais d’expérience que la précipitation peut s’avérer lourde de


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conséquences dans ce genre d’entreprise ! Nous partons à quatre pour le second run, première expérience de la piste pour Ugo … Je n’avais plus roulé à Croix depuis la réfection du circuit : le tarmac est de nouveau accrocheur et propre. Oubliées les longues traînées noires de gomme laissées par le passage des voitures de course sur le grand

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gauche qui suit la passerelle, on est tout de suite en confiance ! La boucle droite, élargie lors des travaux, qui suit la parabolique gauche est nettement plus agréable aussi, et permet une vitesse de passage plus élevée. Le CRRRR jouissif des sliders qui lèchent la piste m’amène instantanément la banane sous le casque, mais que

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c’est bon … Retour du premier run, tout de suite vérifier la pression des pneus : je retirerai 300 g des slicks Pirelli SBK ! J’ignore toujours la composition de ces gommes, mais on a dû y mettre de la colle … Et 200 g retirés également des Race Tech de la 999 de Ugo. Si le proto de Christian est léger (127 kg !), cette énième journée


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de test lui démontrera que le choix de plus petits gicleurs n’est pas payant : la moto a visiblement perdu de son potentiel. Finir un proto demande du temps, de la maîtrise et des compétences, mais aussi de nombreux essais de validation pour chaque option prise. Mais Christian ne lâche rien : il remettra l’ouvrage sur le métier au retour ! Et perfectionniste comme il l’est, l’outil sera de plus en plus affûté …

on peut continuer le run !

Les gars de Desmo sont d’ailleurs là pour un reportage sur sa réalisation, c’était prévu, mais avec Marc ... Impossible de compter les prises de vues de Karl, le photographe, et Alain Berson passera pas mal de temps à poser des questions à Christian et à remplir son carnet de notes. Du boulot de pro !

Fin de run, déjà : on le retrouve dans le parking, il a toujours le sourire ;-). Il serait possible pour lui de repartir, pas bien compliqué de trouver de quoi réparer, même provisoirement. Mais un doigt enflé et douloureux le dissuadera de continuer ... Aujourd’hui seulement, parce que l’envie de s’y remettre (pas au tas, mais sur la piste) est déjà là !

Troisième run (second pour nous), le plaisir s’installe dès le tour de chauffe passé, une injection massive de bonheur … OUPS, Ugo en perdition dans la parabolique ! Glissade … Mais il se relève tout de suite et redresse sa moto avec l’aide d’un commissaire de piste : tout va bien,

Verdict : sélecteur de vitesses « crollé » (une vraie permanente, tu voudrais faire ça avec des bigoudis, t’y arriverais jamais, travail de pro aussi !!), levier d’embrayage cassé et poly baptisé, mais surtout, surtout … pas de « bobo » pour Ugo ! Un peu trop d’optimisme … Position sur la moto à travailler : le métier rentrera mon p’tit gars !

Et comme chaque fois, les pauses ravitaillement/rafraîchissements des pilotes et des machines alternent avec les runs, et on profite des moments de détente pour regarder passer les petits camarades de jeu des autres groupes.

De chouettes rencontres aussi, avec d’autres pilotes qui viennent passer un bon moment sur le tarmac de Croix, en toute modestie mais parfois avec du talent aussi … C’est ça aussi, l’ambiance des journées de roulage sur circuit !


I N S C RIP T ION S UR D U CATI. C OM Pa r l e S t a ff

Suite aux nouvelles instructions de DUCATI et à notre volonté d’optimaliser la mise à disposition des Welcome Kit, il est désormais IMPERATIF que vous soyez enregistré sur DUCATI.COM. En effet car une fois connecté à votre profil et en cliquant sur l’onglet MY CLUB (voir illustration), vous devrez y imprimer votre DOC MEMBER CARD provisoire (dans l’attente de la réception de votre welcome kit 2014) sur laquelle figure votre numéro de membre, le sésame qui vous permettra de disposer de nombreux avantages lors des événements que nous organisons. Ne négligez pas cette étape car il vous sera désormais demandé de présenter systématiquement votre carte de membre lors de chacun de nos événements.

P.S : Fonctionne uniquement si vous utilisez les mêmes coordonnées que celles dont nous disposons (e-mail, adresse, etc ...)

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Dans ce tome 4 (oui 4!), Marc Poels retrace la période de la 748 Desmoquattro à la fin des Mostros à carbus en passant par les 851 de long en large, les SS à carbu Mukini, des Bimota, les 888 et même le Supermono À mettre entre toutes les mains d’urgence!

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WOR L D D U CAT I WE E K Pa r Ch ri s t o p h e r

Un mois après mon retour, je ne sais toujours pas quelle est la chose la plus marquante de mon voyage.

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Récent motard, je n’avais jamais entendu parler de cette évènement, référence des amateurs de Ducati du monde entier. C’est par l’intermédiaire du club que j’ai appris son existence et je m’étais dit alors « pourquoi pas ?»…



Le déclic s’est fait à l’Assemblée générale, par une présentation du voyage du DSB, une promesse de 10 jours exceptionnels. Je devais y être. Et après ce voyage, je dois dire que ce fut grandiose : des routes superbes, des paysages à couper le souffle et de la bonne humeur. Dix jours dont je ne saurais énumérer les moments de rire partagés avec les membres du club, les sensations sur les routes de ce voyage. Un pur plaisir du début à la fin. Je suis rentré impatient. Impatient de retrouver tout ça !



PI CC O LO CA FE R AC E R ou l e s a v e n t u re s d e MO MO Voilà, Momo est prête pour sa première sortie depuis sa restauration, sa nouvelle plaque collée au derrière. Et très franchement, son arrièretrain ne s’en trouve pas vraiment enjolivé  …

tour sur sa poignée sonne bien ! Et enfin, histoire d’agrémenter l’aspect et la sonorité de cette petite 125, un mégaphone Megaton a remplacé le silencieux Lafranconi

Par Bruno et honnêtes (une fois n’est pas coutume): le fait que ces pièces n’amélioreront en RIEN les performances de l’engin les rend strictement INDISPENSABLES pour tout passionné … Oui Madame, farpaitement. Nous sommes sur la bonne longueur d’ondes, là … Ce dimanche matin, le soleil brille et Momo est fièrement campée sur sa béquille. Elle a rendezvous avec des consoeurs de son âge sur la place de Saint Symphorien, et elle est impatiente. Moi aussi d’ailleurs …

Un gros lange sur un si joli petit cul, c’est en plus d’un anachronisme saisissant ! Mais la loi est la loi, il faut bien s’y conformer. Par contre, elle vient d’être équipée d’une jolie paire de bracelets avec les leviers Tomaselli (qui comportent chacun un ressort de rappel des leviers !) et d’une poignée de gaz à tirage rapide du même fabricant, utilisée en course il y a … quarante ans ! Clac ! Le retour du câble enroulé d’un quart de

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d’origine, qui soigneusement emballé, a rejoint le stock de pièces d’origine des autres motos dans le grenier (le tas de caisses monte …). Exit le collier de raccordement au collecteur qui équipait l’ancienne sortie, mon ami Christian m’a réalisé une jolie réduction en inox qui confère une finition à l’échappement inconnue à l’usine de Bologne dans les années 70’. Tiens tiens, la petite Morini rouge est née à Bologne aussi … Alors, soyons clairs

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Un peu inquiet aussi : arrivera-t-elle jusquelà ? Une petite trentaine de kilomètres pour l’aller et un peu plus pour le retour, par les petites routes … J’espère qu’elle ne va pas me faire le coup de la panne … Mais comme TOUT a été refait et vérifié, il n’y a pas de raison que ça arrive ! Mouais … Contact (avec cette clé en forme de clou), ouverture du robinet d’essence, titillage du Dell Orto, choke, recherche du PMH avec le kick, petit coup de jarret énergique et le Poum Poum du ralenti répond présent …


Jet sur la tête, gants enfilés, j’enfourche la vieille demoiselle (…). Petit, mais alors tout petit coup de gaz : BROAR !!! Oups, c’est vrai que ça sonne fort … Première vitesse enclenchée (à droite), c’est sur un filet de gaz que je quitte le quartier, ne tenant pas à m’attirer

les foudres du voisinage. En route ! Sur un bout de ligne droite, je me rends vite compte que les perfs de ce petit mono ne sont guère impressionnantes … Qu’importe, je souris dans mon foulard, heureux de sentir ce petit berlingo vivre, et de l’entendre (ça, pour

l’entendre …). J’enroule, sur les mi-régimes … entre 70 et 80 km/h ! Pas besoin de surveiller le Coyote ou les éventuels radars … La BANANE … SI SI … Je te jure, faut essayer ça pour comprendre … Les

voitures

me

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dépassent, je surprends des regards qui s’attardent sur Momo et moi : c’est évident, passer inaperçu sera un exercice difficile. Bah, au moins, à l’allure où je roule, les curieux ont le temps de regarder … WABROOO … WABROO … Deux gars en sportives nipponnes ralentissent à ma hauteur (expression inadéquate, puisqu’on est assis très bas sur cette petite moto). Je devine des regards curieux derrière les écrans fumés des intégraux. Un pouce se lève puis … WOOOOOO, les GSXZR1 s’éloignent

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en un éclair. Le temps de l’écrire, ils m’ont mis un kilomètre dans la vue. Les gars, je suis A L’ARRÊT sur Momo ! Bon. On va pas en faire un fromage, encore dix bornes à faire : je ravale la bave d’escargot qui me vient aux lèvres et continue tranquillement à enrouler au rythme de mes petits culbuteurs, pas de raison d’affoler les deux minuscules soupapes … Saint Symphorien : j’arrive sur la place. Une vingtaine de vieilles automobiles ont investi les allées (Porsche, Alfa Romeo, Citroën, MG, Jaguar, Américaines,

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Fiat …) et quelques motos sont garées à l’entrée : quelques vieilles Anglaises, une Sarolea, des neo retro japonaises et anglaises, mais aucune Italienne ! Qu’à cela ne tienne, Momo représentera toute seule le savoirfaire transalpin au milieu de tout ce petit monde. Garée à côté de ces imposantes machines, elle attire aussitôt les participants du rassemblement. Des appareils photo/GSM sortent et la mitraillent sous tous les angles. Là, Momo se la pète, elle fait sa diva …


Je surprends exclamation :

une

Je t’avais bien dit que c’était une Morini ! J’ai reconnu tout de suite le bruit, avant de la voir ! Je m’approche et salue les admirateurs. Séquence émotion ! Des gars de mon âge pour la plupart s’approchent et racontent leurs souvenirs d’une époque que les moins de cinquante ans n’ont pas connue … Séquence reconnaissance aussi : je reçois les félicitations de chacun pour la restauration dans les règles de l’art pour Momo. Ben ça fait plaisir, les gars ! Parce qu’elle était enfermée

dans mon bureau depuis son lifting, jalousement cachée aux yeux de tous comme la cassette d’Harpagon … Une heure passe vite, la pluie est annoncée, et comme je ne tiens vraiment pas à souiller Momo de la moindre tache, je me remets en route. La séance de démarrage a son petit succès aussi ! Finalement, le bouton magique du démarreur, dont nous étions si fiers dans les années 70’ sur nos premières grosses motos, est devenu si commun … Même les vélomoteurs et les tondeuses à gazon en sont aujourd’hui équipés ! Non, le rituel du coup de

Kick reste un geste viril, sauvage et rebelle ;-) … BROAR !!! Le mégaphone crache ses décibels rauques (à défaut de chevaux) et nous repartons Momo et moi, à la conquête de la route !!! Montée de Casteau vers Soignies : j’aperçois le feu en face du SHAPE. Toujours rouge pour moi d’habitude, évidemment. Mais là … Il est VERT !!! Cette fois, étant donné la vitesse - démoniaque de 80 km/h péniblement atteinte dans la montée, c’est inespéré !! TOC, poignée vissée, aplati comme un fax sur le réservoir, les narines dans les compteurs, je

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compte les secondes – non les minutes – qui me séparent de ce feu qui me nargue … MRD MRD MRD trop taaaard … ROUGE !!! Bah, au moins, je teste les freins. COUIIIIIIIC … ça « pile net » les monstrueux 90 kg de Momo et mon gabarit de grenouille dessus. Et j’ai vaincu la montée infernale de Casteau . Déjà a casa … Mouarf ! Je me suis pris UNE mouchette sur le casque … Quand même ! Là, je prends ces photos de Momo, elle l’a bien mérité … Finalement, montre en main, si j’étais allé en voiture à Saint Symphorien, je ne suis pas certain que j’y serais arrivé plus vite … Et je me serais bien ennuyé durant le trajet ! Ce matin, j’ai pris ma dose de bonheur, du concentré celui-là, qu’il aura fallu mériter pour que Momo retrouve sa nouvelle vie. Cette petite balade avait un goût d’aventure inédit … Vivement la prochaine ! Et puis, quand tu roules en ancienne, il y a parfois des trucs curieux,

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bizarres, qui se produisent. Un exemple : avant que je parte avec Momo, Aurora m’avait demandé de la prévenir quand je serais arrivé à destination, pour être rassurée. D’habitude, quand je pars avec une Duc’ dix fois plus puissante, elle se tracasse moins … Alors, un beau mono Ducati, ça ne te dit rien ? T’es vraiment sûr ? Découvrir (ou redécouvrir) une autre façon de vivre ta passion, c’est pourtant si agréable … Démodé ? Obsolète ? Pas si sûr ! 5 bonnes raisons de rouler en ancienne : Le plaisir de rouler sur

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une moto d’exception, voire de légende. Celui de rouler autrement (et plus raisonnablement). Celui de disposer d’une mécanique simple et accessible, et donc Celui de pouvoir intervenir soi-même sur sa moto. Il y aura bientôt plus de radars que de platanes sur les bords des routes, les permis de conduire commencent à avoir la vie dure, les portefeuilles aussi … On parle sous ? 5 bonnes raisons de rouler rétro : Le coût réduit de la moto (à moins évidemment de choisir de rouler en 1000 Vincent ou en MV 750 America).

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Le coût réduit des consommables, des pièces d’usure (110 euros le train de pneus neufs, qui dit mieux ?). Le coût réduit de l’assurance et de la TMC. Une restauration à prévoir ? Momo m’a coûté moins cher qu’un scoot’ 125 neuf, achat et restauration inclus … On trouve aussi des modèles dans un bon jus ou restaurés à prix correct, il suffit de se documenter et d’être patient. Une ancienne ne perd pas sa cote !!! On parle passion ? 5 bonnes raisons de craquer pour une classique : Valorisation et préservation d’un patrimoine, de l’histoire d’une marque : valorisant pour soi aussi.


Prise de conscience du savoir-faire des anciens, de la définition d’autres priorités que celles des concepteurs d’aujourd’hui. On en prend d’ailleurs encore mieux conscience si on entreprend une restauration complète, plaisir également très valorisant ! Une moto ancienne est également un faire-valoir pour les motos modernes (quand on remonte sur une moderne, on mesure l’étendue du chemin parcouru en 40 ans !). Le plaisir est pris en amont comme en aval … Pour ceux qui ont décidé de retrouver leur première moto : élixir de jouvence à effets garantis ! Pour tous : retour aux sources, effet garanti quelle que soit la monture …

Non, les pièces de toutes les anciennes ne sont pas introuvables.

tous au quotidien …

Non, les anciennes ne sont pas des enclumes, il y en a même pas mal qui roulent fort, très fort …

Mouais … Tu réfléchis, hein ?

Non, toutes les anciennes ne demandent pas d’attentions particulières pour être utilisées (sinon, il n’y en aurait plus aucune nulle part !).

Si ça te fait rêver, c’est que t’es ferré

Et non, rouler en ancienne ne requiert pas d’aptitude particulière : en leur temps, les anciennes ont été des modernes, des nouveautés même, utilisées par

Et capital sympathie assuré ! Enfin, 5 vérités pour tordre le cou aux préjugés qui ont la vie dure: Non, toutes les anciennes mécaniques ne sont pas des nids à problèmes qui pissent de l’huile, démarrent quand elles veulent, tombent tout le temps en panne ou cassent comme du verre.

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D O C B E L G I UM at WD W Pa r p l e i n s d e p h o to g ra p h e s




D.O.C. BELGIUM DUCATI SUD BELGIO ASBL. Comme toute Association, elle est faite par ses membres pour ses membres.

D.O.C. BELGIUM DUCATI SUD BELGIO STAFF : Président : Frédéric Laurent Vice président : Marc Jacqmin Trésorier : Stéphane Bloquiau Secrétaire : Pour aider le Staff dans l’organisation le D.O.C. BELGIUM - DSB CREW a été crée

D.O.C. BELGIUM DUCATI SUD BELGIO CREW : DSB Safety : A. Patte DSB Classic : P. Weber, S. Marangon DSB Shop : L. Fallais DSB Design : O. Elvanian, F. Rossi DSB Community : O. Di Vito, M. Poels DSB Webmaster : S. Nunes DSB Donne : D. Loroy (Belgium), C. Schottner (International)

DSB Desmo Ride : A. Patte, E. Bouserouel.

DSB Rédac’Team : B. Buy, S. Jager.

Membres effectifs: AMAND Joël, BLOQUIAU Stéphane, BOUSEROUEL Eddy, COLART Yves, CUGNON Jacques, CWIKLINSKI Pascal, D’ANGELO Jean-Pierre, DE FAYS Xavier, DRICOT Philippe, FALLAIS Laurent, GASQUET Valéry, HAMES Christian, HERMAN Marc, HEUBERT Simon, JACQMIN Marc, JAGER Samuel, JANSSENS Guy, LABRADOR RUIZ Daniel, LAURENT Frédéric, LEJEUNE Jacques, LOROY Dominique, MORISSET Vincent, NTAHO Yannick, NUNES Sebastien, PARIS Luc, PATTE Alain, RECOURA Jean-François, RENAUD Anne-Sophie, SCIAGURA Francesco, SIGURA Bruno, TASSIGNON Manu, VANDERBRACHT Thierry, VIROUX Fabienne. D’autres postes sont disponibles si tu veux t’engager avec le Staff et le Crew pour D.O.C. BELGIUM. MERCI pour votre engagement futur !


RE CR U T E M E NT Pa r St a ff groupes plus restreints lors de nos sorties. Tu aimes rouler avec d’autres passionnés, tu adores l’ambiance du club, les sensations partagées, tu fais partie de celles et ceux qui trépignent à l’approche de la date d’une balade organisée par le DSB, tu vérifies ta Ducati trois fois bien avant de partir … Ceci est POUR TOI !!! Nous sommes de plus en plus nombreux – tant mieux ! -- à nous rassembler lors de balades organisées, ce qui multiplie les groupes de roulage et diminue ainsi que la taille de ces groupes. Etant donné que la sécurité de chacun(e) reste LA priorité du Staff D.O.C Belgium, nous avons besoin d’étoffer le Marshal Crew (les ouvreurs et fermeurs de groupes) afin de garantir l’encadrement de

Point besoin de Bac+7 pour assurer ces missions, il suffit d’avoir la passion de rouler ensemble et le souci du bien-être de ses compagnons de route ! Envie de rejoindre le Crew ? Envie de partager plus encore ta passion ? N’hésite pas, prends contact avec Fred ! Une séance d’info et de préparation sera bientôt organisée, afin que la coordination soit assurée pour nos prochaines sorties ;-) Bienvenue déjà aux nouveaux Marshals !

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Y


2004 - 2014

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YEARS OF PASSION


WO R L D D U CAT I WE E K Pa r T i t i ( Sy l v ie ) Bonjour à tous, Je me présente : MAGERMANS SYLVIE, alias Titi. J'ai 33 ans et je suis originaire de Welkenraedt, village situé à 15 km de la frontière avec l'Allemagne. Je ne suis pas un vrai motard car je suis simplement passagère. Je n'ai pas la même passion que certains ou certaines, ou la même excitation que la vôtre quand vous partez en balade avec votre machine. C'est mon compagnon, Hoss Pascal, qui possède une Ducati et qui a cette passion dans la

peau, même si parfois je pourrais être jalouse de sa Streetfighter 848, car il lui procure beaucoup plus d'attentions. C'est grâce à Pascal que je suis rentrée dans le club du DSB cette année. Malheureusement, nous n'avons pas toujours la chance de participer aux différentes activités que propose le club car une trop grande distance nous sépare des rassemblements. C’est aussi une difficulté d’organisation qui nous barre la route, puisque nous avons un petit garçon de 4 ans, Hugo, et qui commence lui aussi à avoir la même

passion que son papa. J'ai connu mon premier World Ducati Week en juin 2012 avec Pascal. Nous avions envie de vivre cette expérience et j'avoue que je partais plus dans l'esprit soleil, vacances, piscine et Pascal plutôt dans l’optique motos, pilotes, circuit... Mais j'ai bien été bluffée, car quand je suis arrivée au circuit pour la première fois, j'étais sur une autre planète. La fameuse « planète rouge ». Là, je me suis sentie une vraie Ducatiste. Ça a été un week­end inoubliable. Je me réjouissais déjà de participer au prochain rassemblement


Ducati. Deux années se sont écoulées depuis et nous parlons à présent du World Ducati Week 2014. J’étais trop excitée, l'attente fut longue, mais voilà que le jour « J » arrive. Jour –J Mercredi,16 juillet, dernière journée au bureau. Moto sur la remorque, un dernier selfie avant de partir et Go pour 1300km ! Il était prévu de partir vers 20h, mais comme notre fils était à la mer avec sa mamy, je ne voulais pas partir cinq jours sans lui dire au revoir. Nous avons donc pris 1h de retard

sur notre planning. La route a été mouvementée : d’abord, quelques camions se rabattaient avant de nous laisser passer, puis, un grand Boum ! Nous avons cru avoir crevé, mais ouf ce n'était qu'une sangle qui avait lâché. Et pour clôturer cette journée en beauté, un goût de salé nous est resté dans la bouche, celui de l’amende que la Polizei allemande nous a collée pour un excès de vitesse. Et oui … en Allemagne, la vitesse sur autoroute est limitée à 80km/h avec une remorque ! Nous voici donc déjà « allégés »

de 188,5 € (en Suisse, c’est bien plus cher ! NDLR). Vers 9h30 arrivée à la maison mère de DUCATI, où j'ai pu rencontrer les membres du club qui avaient fait le voyage. J'ai eu la chance de revoir deux copains que nous avions rencontrés au WDW 2012, avec lesquels nous avions beaucoup sympathisé et passé de super bons moments. Après une visite de l'usine et du musée, nous avons repris des forces dans une sandwicherie située juste à côté et bien sûr, nous avons fini dans le super grand Ducati Store. C'était le monde


à l’envers ! Mon homme faisait du shopping et de l'essayage et c'est moi qui attendais ! Hihihi ! Vers 16h, enfin arrivés à l'hôtel *** après beaucoup de persévérance, on repère quelques coins que nous avons connus il y a 2 ans. Le design, la situation, l'accueil sont vraiment au top, une bonne adresse pour le WDW 2016. Voilà les valises déposées. Et nous sommes prêts pour un week­ end pas vraiment de tout repos. Comme nous étions très fatigués après tous ces kilomètres, nous avons décidé de faire une petite sieste au bord

de la piscine. Aux alentours de 21h nous avions rendez­vous avec le reste du club DSB à l’hôtel qui lui était réservé, pour aller manger un bout dans un restaurant. C'était l'occasion de revoir le groupe (que dis­je la famille). Au menu : ambiance, rigolades, rencontres, histoires, expériences, une soirée pleine de richesses. Jour 2 Debout dès 7h du matin, un bon petit déjeuner pour prendre des forces, et nous sommes prêts pour une journée riche en émotions. Nous avons rendez­vous avec

le club devant son hôtel. Toutes les motos sont prêtes, même le drapeau arborant le logo du DSB que Jean­Luc a eu l'idée d'accrocher à sa moto. Chacun porte le super beau t­shirt du club spécialement conçu pour l’évènement. Nous voilà, les petits belges sont prêt à ouvrir le bal du WDW 2014. Plus de 30 motos se suivent. Arrivés dans l'entrée, on prend quelques photos souvenirs des hommes mais aussi des desmo Donne pour montrer la présence féminine, car oui, « les femmes savent pourquoi » aussi. Une entrée grandiose


au circuit, appelée Red Snake, formée par Ducati West Europe (BeNeLux et France), quelques photos et vidéos de notre arrivée ; Jean Luc n'est évidemment pas passé inaperçu avec son chapeau aux couleurs de la Belgique. Un vrai roi des Belges …Une fois arrivés sur cette planète rouge, on y retrouve des animations de folie, des voitures de luxe (Audi et Lamborghini), des stands de nourriture, des stands d’accessoires siglés Ducati, une mini plage,

des ventilateurs à gogo et des motos pleins les yeux, de beaux pilotes (à croquer) et aussi des bimbos. Une fois au circuit la journée passe tellement vite! Nous rentrons vers 12h à l'hôtel

pour y manger quelque chose et pour se rafraîchir, car par 38° on dégouline. C'est vers 14h que nous retournons au circuit. Ce qui est chouette, c'est de croiser les gens du club


où d’aller voir les stunteurs. Impressionnants ces motards. De retour à l'hôtel, on prend une petite douche pour être tout beau à l’occasion de l’apéro offert par le club. Nous sommes tous rassemblés autour du président pour écouter son discours, toujours dans une bonne ambiance. Après ce moment fort agréable, nous voilà repartis en direction du circuit pour participer à

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la grande parade. C'est une image incroyable ! Imaginez plus de 10.000 motos sur le circuit de Misano. C’est un des moments forts du week end. Parader dans les rues de Misano et Riccione, être entourée de la foule avec le sourire aux lèvres (surtout les touristes lol), des enfants qui vous font signe, il faut le vivre pour y croire. Après avoir eu le feu au cul (au sens

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propre, car le moteur de la Street était à 120° et le pot d'échappement bouillant), je n'étais pas mécontente d’arriver enfin à la soirée de la « Scrambler Beach Party » qui se déroulait sur la plage de Riccione. Personnellement ce ne fut pas ma plus belle soirée. Ça ressemblait plus à une soirée VIP et, pour ma part, il n'y avait pas beaucoup d'ambiance, c'est d’ailleurs pour


cela que nous n’y sommes pas restés très longtemps. De toute manière notre estomac nous rappelait à l'ordre, alors avec une partie de la bande nous sommes allés manger un petit bout dans un snack pour reprendre des forces. La nuit ne faisait que commencer ! Une fois l'estomac bien rempli, nous sommes repartis à Misano pour le célèbre café « Dolce Vita » où

le son des rupteurs ne s'arrête pas, complété par celui des burns parfumés par l'odeur des pneus qui imprègne doucement nos vêtements. Une nuit bien agitée ! Jour 3 Comme toujours, le soleil était au rendez­ vous. Nous avons alors décidé de prendre notre petit café du matin à « Tavullia », le village de

Valentino Rossi. Un village typique d’Italie, avec sa belle église et surtout toutes les photos de Rossi un peu partout. Un petit tour dans le shop VR46, petit coucou dans le bureau du fan club, quelques photos et hop, nous voilà de retour au circuit pour ne pas rater le moment des autographes des pilotes. L'attente y fut longue, mais vite oubliée quand

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nous sommes repartis avec de chouettes signatures sur nos casquettes, de belles photos des pilotes ou encore une belle photo de moi avec Chaz Davies. Comme d'habitude, on quitte le circuit à midi pour aller

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manger à l'hôtel. C'est là que je m'accorde un moment de détente au bord de la piscine pour améliorer mon bronzage. Je laisse Pascal aller seul au circuit. On se retrouve quelques heures plus tard pour

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se promener le long de la Plage, en amoureux. Nous avons rendez­vous avec toute la bande vers 19h pour le barbecue géant sur la Pitlane. Le service fut encore long, mais le féminin l'emportant toujours, les


femmes étaient servies d’abord. J'ai d’ailleurs eu l'occasion de recevoir mon pain saucisse

de faire un tour au bord du circuit et c'est en nous baladant que nous avons croisé Carlos

à l'italienne des mains de Claudio Domenicali. Après avoir mangé, Pascal et moi décidons

Checca. Là aussi, j'en ai profité pour faire une photo avec lui. Enfin, direction la tribune pour

voir le show final. Là, je dois dire que Ducati a fait fort car en comparaison avec celui du WDW 2012, c'était vraiment grandiose ! Animations, remerciements des des pilotes, des responsables de chez Ducati, du bourgmestre de Misano et surtout le remerciement des D.O.C à travers le monde via leurs présidents, le tout ponctué des fameux shows, stunts, avec en clôture un magnifique feu d'artifice. Dimanche, le dernier jour, fut assez vite passé : Pascal avait une session sur le circuit à 9h50, moi je suis restée à l'hôtel pour faire les valises. A midi, tout était prêt pour quitter la côte Adriatique. Pour ne pas devoir faire le trajet d'une seule traite, nous avons passé une nuit au bord du lac de Constance et nous sommes arrivés à la maison le lundi après-midi. Voilà mon histoire, mon ressenti de mon World Ducati Week 2014. Ça reste encore une expérience inoubliable et ce que je peux dire en conclusion, c'est : « Rendez­vous dans 2 ans ! ». @ Bientôt Titi

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WO RL D D U CAT I WE E K - GR A Z IE ! Pa r Fre d l e prèz’ Le mot du Président D.O.C BELGIUM@ WDW2014 - Grazie ! Vous le savez, cette édition 2014 était très spéciale pour le club car elle intervenait après les tragiques événements que nous avons malheureusement connus ces derniers mois. Olivier Di Vito, notre secrétaire avait travaillé d'arrache-pied pour que plus que jamais et à l'occasion de nos 10 ans, cette édition spéciale soit couronnée de succès. Malgré la peine, nous avons décidé de la maintenir et lui avons dédié entièrement. Et ce fut un énorme succès pour le club tant la

solidarité, le respect, la convivialité, l'ambiance et l'amitié furent au rendez-vous ! Par la présente, je souhaite donc vous remercier d'y avoir participé aussi nombreux (+ 60), d'avoir fait honneur à notre Desmo Owners Club en le représentant comme vous l'avez fait sur la scène internationale, en portant fièrement nos couleurs et en respectant ses valeurs ! Ca n'a d'ailleurs pas échappé aux officiels et à la presse qui s'est empressée, au travers notamment de la vidéo officielle du World Ducati Week 2014, de montrer aux Ducatistes du monde entier comment vit la passion sur vos visages. Vous pouvez en être

fiers et Olivier l'aurait été autant que nous ! Je vous donne d'ores et déjà rendez-vous pour la prochaine édition qui se déroulera vraisemblablement en 2016. Merci également à tous ceux qui de près ou de loin, ont œuvré à la préparation et à la concrétisation de ce programme (Road-books, transport des bagages, encadrement des groupes, ...). See you in 2016 ! Grazie, Frédéric LAURENT Président


Belgian Red Planet t-shirt Représentant un symbole fort de notre pays, notre t-shirt n'est pas passé inaperçu et se classe dans les trois plus beaux t-shirts du concours !


moto était retenue par le staff technique, et le magazine INMOTO accordait également un prix. Son proto TT3 a dès lors obtenu la victoire finale sur base des votes du public. Merci à toi Bernard d'avoir aussi et à ta façon, représenté les couleurs du club. Nous en sommes fiers ! Voici un extrait du message laissé par Bernard sur notre forum :

WDW2014 Ducati Garage Contest Bernard Mont, D.O.C BELGIUM Member, remporte le 1° prix ! Ce concours se déroulait sur base d'une présélection établie via un comité composé du directeur technique et

du directeur du DUCATI Design Center, avec 10 motos retenues et exposées sur un stand spécifique à Misano . Le public (65.000 visiteurs) était appelé à voter pour sa moto préférée, Bayliss et Checa élisant également leur préférence en deuxième position, une troisième

" ... je tiens à remercier particulièrement tous les votants du DSB sans qui cette expérience ne se serait pas concrétisée ..., les amis cette victoire est la vôtre, et je suis fier d'y avoir représenté votre, notre club ... Je voudrais aussi y associer tout spécialement nos 3 amis disparus récemment, Roland qui par sa curiosité technique n'avait pas manqué de relayer mes travaux sur le forum ARTUS CAFE racer , Oli qui suivait mes avancements avec assiduité et curiosité, et bien entendu Marc avec qui


nous venions de boucler l'article dans la dernière édition du magazine Desmo... c'est évident que ces 3 peyes sont indissociables de cette récompense .. Thanks dudes ..." Album photos Nous souhaitons réaliser un album rassemblant les plus belles photos de notre voyage et représentant le mieux les membres ainsi que l'ambiance et le club. Si vous souhaitez y

contribuer, merci de me contacter par mail pour organiser le transfert des photos. World Ducati Week 2014 : un succès retentissant ! WDW2014 a égalé le record de fréquentation 2012, attirant 65.000 Ducatisti, malgré un jour de moins que lors des éditions précédentes. Cet événement Ducati unique sur le circuit de Misano "Marco Simoncelli" se termine après 3 jours de spectacles, de sensations fortes... et des milliers

de motos. La zone Scrambler a attiré d’immenses foules : pendant trois jours, dans un flux incessant, les amateurs ont attendu leur tour pour avoir un avant-goût du prototype. La huitième édition de la World Ducati Week, le rassemblement international de tous les Ducatisti a été un succès remarquable, capable de faire vibrer les dizaines de motards venus sur le circuit international de Misano « Marco Simoncelli » du vendredi

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18 au 20 juillet et qui ont prouvé leur fidélité, leur amour et leur passion pour Ducati et les motos de légende fabriquées à Borgo Panigale. La passion des Ducatisti s’illustre très bien avec

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les chiffres : quelques 65000 personnes ont participé à cette édition de 3 jours et ont égalé le record de l’édition de 2012 qui, elle, se déroulait sur 4 jours. Les participants sont arrivés des cinq continents

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et de 56 pays différents. 60% d’entre eux auraient pu logiquement être italiens mais les « locaux » représentaient 40%, confirmant ainsi que le monde entier a répondu à l’appel lancé par Ducati. Les 60% restant sont venus de toute l’Europe, mais aussi des EtatsUnis, d’Australie, de Russie, d’Inde, du Brésil, de Chine, de Malaisie et même étonnamment du Gabon, de l’Islande ou encore du Népal !Tous unis par une même passion « Desmo » qui classe cet événement comme étant hors normes.


A cette occasion, de nombreux fans se sont retrouvés sur les routes de France, du Benelux mais aussi de toute l’Europe pour arriver de concert au WDW2014. Ce vendredi matin 18 juillet a vu la formation finale du « Red Snake » emmenée par Thierry Mouterde (DG Ducati West Europe), Satya Oblette (ex égérie JeanPaul et Kenzo) et Régis Laconi (ex-pilote Officiel Ducati WSBK). De ces trois jours, le plus intense fut le samedi 19 juillet qui a attiré un très grand nombre de

participants. En plus de la grande variété d’événements, le point culminant de la journée a été la finale de la « Tudor Diavel Drag Race » qui a vu les pilotes Ducati Corse (MotoGP et SBK) en découdre au guidon de Diavel Carbon. La victoire est revenue au français Régis Laconi (ex-pilote officiel Ducati) devant Matteo Baiocco (actuel pilote d’essai pour Ducati SBK) et Andrea Dovisioso (Team Ducati MotoGP) devant Michelle Pirro (pilote d’essai Ducati MotoGP) pour la quatrième place. De grands noms (du passé et actuels) ont participé à cette épreuve : Troy Bayliss, Carlos

Checa, Andrea Iannone, Yonny Hernandez, Davide Giugliano, Chaz Davies ainsi que le « King » Carl Fogarty et Pierfrancesco Chili. Immédiatement après la course, devant une foule estimée à plus de 10.000 personnes, tous les pilotes, ainsi que le CEO de Ducati Motor Holding, Claudio Domenicali, et le CEO d’Audi, Rupert Stadler saluèrent le public. Pour finir cette incroyable journée, un spectacle son et lumière a été donné lors de la soirée sur le circuit. Le dernier jour de cette 8ème édition de la WDW a vu des milliers de

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Ducatistes au guidon de leurs motos envahir le paddock du circuit de Misano, tous désireux de profiter de leur dernière journée avant de rentrer avec la certitude de revenir dans deux ans pour le WDW2016. Comme prévu, l’espace Scrambler a suscité un intérêt considérable et connu un énorme succès. Cela a permis aux amateurs présents de profiter de l’occasion unique de

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découvrir le Scrambler Ducati en première mondiale. Cette Ducati est attendue en concession début 2015 et a attiré une interminable procession de spectateurs qui des heures durant ont attendu sous le soleil avant d’entrer dans le fameux « conteneur » et obtenir un avant-goût du prototype. Quelques chiffres pour rappeler ce qu’était l’excellente 8ème édition de

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la World Ducati Week : 65,000 personnes sur trois jours Un total de 10 192 tours effectués sur le circuit à moto et en voiture durant cette édition 2014 72,000 photos ont été prises par les photographes du staff Ducati WDW2014 a attiré des fans de 56 pays


Un barbecue de 200 mètres de long – la fameuse “Rustida” – a été installé sur la pit lane du circuit

600 participants ont répondu à 13000 questions (sur un thème Ducati) pendant les trois jours

60 sauveteurs-secouristes de la Riviera Romagnole et 25 cadres de Ducati ont cuisiné et servi le dîner aux Ducatisti

7000 post ont été mis sur la page dédiée wdw. ducati.com pendant la WDW2014.

58 événements différents et spectacles ont eu lieu sur la piste pendant ces 3 jours. 18'20 " ! C’est le temps mis par le cortège de motos Ducati pour quitter le circuit " Marco Simoncelli " deMisano et former la« parade » en direction de Riccione

Les pilotes réunis pour la Tudor Drag Race possèdent ensemble pas moins de 11 Champion du Monde (4 WSBK, 2 Superstock, 2 Supersport, 2 titres de Champion du Monde 125, 1 titre de Champion du Monde 250) + 4 titres de Champion d’Italie (2 Superstock et 2 Superbike). 50 Monster 821 ont été

conduit par 50 employés Durant la Racetrack Show du samedi soir. Plus de 700 motards ont testé le nouveau Monster 821 118 Présidents de Clubs D.O.C venus 26 pays étaient attendus lors de cette édition 38 heures de couverture ont été produites en direct par la Chaîne TV WDW Il y a eu 360 minutes de streaming sur la chaîne You Tube Ducati 16 Pirelli “Diablo Rosso II” de 240 mm ont été “burné” jusqu’au bout pendant la Tudor Diavel Drag Race

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beach party” Pendant les 35 heures d’exposition dans « l’Espace Scrambler » : 4,000 personnes ont vu le nouveau Scrambler Ducati 3,500 parties de pingpong et de billards joués 20,000 bracelets Scrambler and 6,000 badges ont été distribués 3,000 fausses moustaches and 3,000 colliers de fleurs ont été offert pendant la “Scrambler

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803 T-Shirts édition-limitée vendus 20 heures de musique live jouées par “Recrive” 240 journalistes (130 italiens and 110 étrangers) étaient présents. Le WDW2014 a bénéficié d'un soutien exceptionnel de ses principaux partenaires, TUDOR, Termignoni et TIM, ainsi que de nombreux autres partenaires officiels, y compris les grandes marques telles

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q u e Pirelli, Bosch,Shell et Canon. Il y avait aussi une longue liste de partenaires techniques : Arai, Brembo, Cartorama, Dainese, Element Case, Garmin, Gates, Givi et SamAuto. Une fois de plus, la WDW a pu compter sur l'aide constructive des Mairies de Misano, Cattolica Riccione et de l'administration de la République de Saint-Marin, qui a organisé la logistique et des événements pour


les fans qui arrivaient des quatre coins de la planète. Dernier point mais non des moindres, un rôle clé a été joué par le circuit international "Marco Simoncelli" de Misano, qui a accueilli chaque édition du WDW depuis la toute première en 1998.

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