DESMOPASSION n°33, le magazine du D.O.C. BELGIUM

PRESENTATION UGO ESSAI PANIGALE HOMMAGES A MARC &OLIVIER LES VOSGES ROULER AUJOURD’HUI EN ANCIENNE Who’s Who D.O.C. BELGIUM SUPERLEGGERA NOUVELLES DU CLUB

N°33 - juin 2014

Calendrier

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Editorial

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PRESENTATION UGO

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ESSAI PANIGALE

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HOMMAGE A OLIVIER

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VOSGES

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L’ARRIVEE AU DSB

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INSCRIPTION

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HOMMAGE A MARC

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ROULER EN ANCIENNE

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VOSGES

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Who’s Who D.O.C. BELGIUM

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Le Club

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SUPERLEGGERA

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DOC BELGIUM APPARELS

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NOUVELLES DU CLUB

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E DITO Pa r Fre d Cari Ducatisti, membri,

cari

Cette dernière édition de votre magazine a pris du retard ... et elle n’aurait pas du ...

Une tragédie est passé par là et s’est permis de se mêler de la vie de nos amis, de la nôtre, de la vôtre, de la mienne, de celles de familles, d’enfants, de celle de notre club et de la communauté DUCATI toute entière ...

Tout était prêt et dans les temps pour partager une fois de plus et avec vous la passion des uns et des autres, l’actualité de la marque, du club, bref, tout ce qui fait notre raison d’être, celle de votre magazine.

Mais voilà, depuis quelques semaines, rien ne sera plus jamais comme avant ... il va nous falloir vivre sans Roland, sans Olivier, sans Marc, notre Mr Sleop de Belgique national ... partis poursuivre leurs aventures sur d’autres routes ... encore plus viroleuses, plus joyeuses, j’espère ...

Nous n’étions pas préparé à ça, nous qui nous félicitions encore dernièrement de n’avoir jamais connu en dix années d’existence une telle douleur.

Nous ne les oublierons jamais ! Ils font partie à jamais de nos mémoires et de celle du club pour lequel, Marc et Olivier, en particulier s’étaient donnés corps et âmes ...

Alors, c’est vrai, pas mal de choses, de questions, de sentiments ont traversés nos esprits, le mien, par rapport à la suite ... certains ont imaginé que ce serait le coup de grâce ... mais il n’en est rien, il n’en sera rien ! Parce que vous êtes là, ducatistes, membres, potes ... amis (!), que nous avons encore tant de choses à vivre ensemble ... et qu’ils ne l’auraient pas voulu autrement !

D.O.C BELGIUM poursuivra donc sa route et continuera sur sa lancée, avec le même entrain, le même dynamisme, la même détermination, la même passion !

THE SHOW MUST GO ON comme disait Freddy ... et les occasions ne manqueront pas puisque nous avons décidé de maintenir les événements programmés au D.O.C BELGIUM CALENDAR. Parmi ceux qui feront «le show», il y a bien entendu l’édition 2014 du World DUCATI Week que vivront en live une soixantaine d’entre-nous (!) et qui s’annonce d’ores et déjà comme un succès interplanétaire et une nouvelle aventure pour 27 d’entreeux qui eux, la vivront par la route et au cours d’un voyage extraordinaire organisé par le club !

C’est sûr, la Belgian Red Planet marquera l’événement de son passage et elle le marquera certainement aussi lors de notre sortie du 15 Août au Grand-Duché de Luxembourg !

Il y a aussi la D.O.C BELGIUM TRACK DAY EXPERIENCE qui se déroulera sur le circuit de METTET le dimanche 07.09.14 et dont les 25 premiers inscrits pourront bénéficier d’une réduction exceptionnelle (voir tarif en page intérieure) !

Ne tardez donc pas à réserver dès à présent !

Et pour finir, un événement à ne rater sous aucun prétexte, le grand show, la grande soirée d’anniversaire des dix ans du club à laquelle nous vous attendons très nombreux le samedi 06.12.14 et pour laquelle nous vous réservons des surprises de taille !

Vous le voyez, les occasions de renforcer encore les liens dans le club sont nombreuses ! Saisissezles, soyez de la partie et vivez pleinement la D.O.C BELGIUM Experience !

Vous le savez, l’organisation de tout cela demande un investissement très important de la part des membres du staff et des membres actifs; aussi, nous vous demanderons à l’avenir, une plus grande rigueur dans le respect des canaux, modalités et délais d’inscription aux différents événements.

Notre objectif est de tendre vers toujours plus de qualité mais nous ne pourrons l’atteindre que si chacun d’entre-nous y met du sien.

D’avance merci pour ça.

A presto è forza D.O.C BELGIUM !

Frédéric LAURENT Président

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DEUX AFFAIRES EN OR !

En décembre 2013, DUCATI BRUXELLES a immatriculé 2 Panigale: une 1199s noir mat et une 1199s Tricolore. Ces deux motos n’ont jamais roulé! Elle vous sont proposées respectivement à 20.500 euros et 21.500 euros. C’est pas une affaire, ça?

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P R E S E NTATIO N Pa r U g o Enfin, je me présente plus complètement dans le Desmo Passion.

Il était temps vous ditesvous … « Mieux vaut tard que jamais », non ?

prise de tête avec mon entraîneur de l’époque m’a coûté ma sélection pour l’année suivante en Division 3 nationale. A dix-sept ans j’avais déjà compris que ce n’était pas forcément un cerveau qui prenait des décisions …

C’est à dix-neuf/vingt ans que ma très jeune petite carrière footballistique touche à sa fin

Pour ceux qui ne me connaissent pas encore, on me prénomme Ugo depuis cette fabuleuse journée du 31 octobre 1988. Oui, un scorpion…

Un VRAI avec le caractère qui va avec… Borné « football » depuis mon plus jeune âge, je suis vite devenu un Tifoso de l’Inter Milan ainsi que de la Squadra Azzura. J’avais cinq ans quand mes parents m’ont inscrit dans un club, le Royal Francs Borain à l’époque, où je me suis fait une place au fur et à mesure des années jusqu’à mes dixsept ans. Et là, une grosse

suite à une blessure qui m’aura éloigné cinq mois des terrains. Le courage et l’envie ne sont pas revenus une fois guéri …

Entretemps, à mes dixhuit ans comme la plupart des jeunes, je me suis retrouvé avec le permis voiture en poche. Après m’être fait la main sur une Fiat Punto 2, ensuite

sur une Fiat Punto 3, je me paye ma première voiture neuve en 2010: quoi, encore une Fiat ?

Presque … Depuis ma naissance, je baigne dans la culture Italienne, un père italien fou de voitures italiennes, un oncle fana de Ducati (plus trop maintenant vu que Ducati a été racheté par Audi…

Vous voyez à quel point

on aime l’Italie), je ne pouvais donc qu’aimer les belles choses ! Je me suis donc décidé pour une Alfa Romeo MiTo Rosso Alfa (les plus belles, les plus rapides, c’est connu) pour me diriger deux ans et demi plus tard vers mon actuelle perle, encore une Italienne, je vous l’ai dit plus haut que j’étais d’origine italienne, donc sans surprise,

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une Alfa Romeo Brera 1750 Tbi Rosso ! Oui, Alfa encore et toujours!

C’est ainsi qu’à l’âge de vingt et un ans j’ai débarqué presque comme un cheveu dans la soupe dans le monde des motards. Ma première acquisition fut une superbe Aprilia RS 125 de 2008 full power. Un 2 temps, on dit que c’est l’école du pilotage, en tout cas l’Aprilia était une superbe petite bécane pour découvrir le monde des deux roues. Un an plus tard, la moto étant devenue ma nouvelle passion, j’ai décidé de passer le permis « gros cube ».

Licence en poche, je décide illico de mettre en vente l’Aprilia pour trouver ma première « vraie » moto, mon premier gros cube. Après quelques recherches j’ai flashé sur un superbe Monster 695 noir avec le cadre rouge et ses deux sorties courtes Mivv en carbone … De toute beauté !

L’année qui suit, permis gros cube en poche, mes yeux et mon cœur se tournent vers la moto que j’ai adorée dès qu’elle est sortie : vous savez, celle que vous découvrez

et dont vous dites « un jour, cellelà sera la mienne ». Je vends la Monster 695 et me mets à la recherche de ma perle. Et je l’ai trouvée ! Enfin, la moto de mes rêves est devenue mienne, je l’ai enfin ma Ducati 999 ! Bon sang que je suis content!

Pourtant, un an plus tard, donc fin 2013, je me dis que la 999 pour

la route ce n’est pas ce qu’il y a de mieux, mine de rien … Après un petit essai de l’HM 1100 de mon ami Bruno, je me dis que ce n’est pas si mal, tout

compte fait, cette bécane sur la route. De plus ma petite femme, Cynthia, me dit « j’essayerais bien de remonter avec toi à moto, mais sur quelque

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chose qui soit quand même confortable».

Ah oui, je ne vous l’ai pas dit ? Le 26 juillet 2011 lors de nos vacances en amoureux en Italie, Cynthia et moi avons été victime d’un grave

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accident de circulation : un chauffard en voiture n’a rien trouvé de mieux à faire que de venir nous percuter de plein fouet alors que nous étions bien tranquillement sur notre bande en scooter…

C’est Cynthia qui a tout pris … Tout ! Tibia et

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péroné fracturés en plusieurs morceaux, pied à moitié ouvert, deux côtes fracturées ainsi que deux doigts … Cinq mois de chaise roulante suivis d’environ un an de béquilles avant de pouvoir reposer le pied sans soutien et ce

n’est pas encore fini …

A l’heure actuelle elle est toujours en train de souffrir mais elle le montre le moins possible…

Je me décide donc pour l’achat d’un Hypermotard 1100 (occasion peu kilométrée). J’en trouve un dans mon budget dans la région de Liège, et nous voilà partis pour le voir.

Après le feu vert de Bruno pour l’état de la moto, j’entre en jeu pour les négociations qui seront vites réglées. Papiers signés, une semaine plus

tard elle est dans mon garage. Me voilà donc avec les deux bécanes à la maison, quel bonheur !

Voilà, vous me connaissez un peu plus maintenant et vous savez aussi pourquoi j’étais si heureux de faire le « kikiroule » enfin le « Desmo Ride » de Dinant en duo avec Cynthia et que ça se soit super bien passé !

sur la route ou sur une terrasse, le DSB c’est un club, c’est une façon d’être, et pour moi, c’est surtout le plaisir d’en faire partie ! Merci à tous pour votre attention.

UGO.

Je vous dis à tous à très vite, en solo ou en duo,

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ES S A I PANIGA L E Pa r Bru n o Le fiston a touché sa 1199 Panigale, une occasion française de 500 km. A 31 ans, il n’a pas changé : je le revois tout petit au pied du sapin de Noël, à quatre pattes ! Ou à ses quatre ans, quand Saint-Nicolas lui avait apporté une Italjet …

La Panigale est destinée à remplacer sa 1098 de piste, après un rodage sur route de 2000 km.

L’entretien des 1000 km est fait, avec la libération de la cavalerie …

Papa, si tu veux la roder, moi je n’en ai pas le temps …

Mais mais mais voyons,

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pas de Nicolas 

problème

retrouver les départementales françaises !

J’étais tombé à genoux devant la Diva à Milan en octobre 2011 et depuis, elle hante mes nuits : je vais ENFIN avoir le plaisir d’essayer LA Panigale.

Alors les bracelets, c’est franchement pas ce qu’on a inventé de mieux pour la route …

Et pourtant j’ai voyagé plus de 20 ans en sportives. Et le premier qui dit que ce n’est plus de mon âge, je le …

RV dimanche matin chez Ugo pour une balade et une prise de contact pour moi avec la belle.

Ah, son Hypermot’ 1100 chante déjà mieux avec le 2/1 Termi !

Direction Erquelinnes, vers la frontière. Ben oui, pas envie de me faire secouer sur nos «routes » (croûtes ?) parsemées de trous ou de vilains raccords, plutôt

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Suspensions sèches (le colson posé sur un fourreau de fourche en témoigne !), moteur qui grogne, râcle, hoquette et manifeste sa désapprobation à bas régime (à côté, ma MTS 1200s est SOUPLE et mon HM 1100 à peine moins poli !), démontrant ainsi que cette moto n’est

absolument pas faite pour les déplacements quotidiens, la ville et nos routes en général !

On sent la poussée des deux grosses gamelles qui grondent d’impatience …

Panigale va pouvoir mieux s’exprimer ! La route se dégage, de belles grandes courbes en direction de Virelles, Mariembourg et Couvin.

La frontière passée, ça va mieux : enfin un revêtement digne de ce nom et de belles petites courbes.

Bien calé malgré une selle un peu longue pour moi, je laisse partir la moto. Passé 6000 tours, le moteur se réveille, à 7000 l’élastique se tend … Je ne ferai que quelques brèves incursions à ce régime, une courte à 8000 tours, juste pour voir : là, je sens que l’usine à gaz se réveille dans les flancs du carénage, que le moteur crache

Petites courbes, routes étroites d’une bande …

Non, pas encore ce qu’il lui faut à la demoiselle !

Val Joli, sur la route d’Avesnes, puis finalement direction Chimay : oui, c’est par là que la

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Et là, c’est LA révélation !

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sa rage. Au-delà, ça doit être violent : pas le moment d’essayer, par respect pour la mécanique en rodage, et pas l’endroit non plus, les vitesses atteintes sur les intermédiaires étant inavouables.

Révélation pour le comportement dynamique aussi : la moto est hyper incisive dans les entrées de courbe et stable à la remise des gaz en sortie. Aucun tassement de l’arrière, plongées limitées du train avant sur les gros freinages : ce n’est pas pour rien qu’elle n’aime pas les trous et les pavés ! Et

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là, la position est parfaite. Cette moto est faite pour la piste … et rien d’autre ! Ou alors, il ne faudrait que des routes comme celles de Virelles, sans radars, sans feux ni carrefours, sans voitures, sans vélos et sans bikers cool …

M’enfin Bruno, tu hallucines, là !

Ecran TFT : tout simplement parfait, surtout avec l’affichage du rapport engagé. Tiens, l’écran affiche RACE …

Ben tiens, sacré Nicolas … Mais après tout, tant qu’à faire, il a raison !

Les Supercorsa SP sont parfaits également pour cet usage sur un beau revêtement sec (prochaine monte sur mon HM ?).

Ugo me rejoint : Impossible de suivre ce rythme avec le HM sur un tel parcours, mais ça, on le savait déjà tous les deux en partant. Sauf si la route se resserre, et si en plus elle se dégrade … Là, le HM reste scotché à la Panigale !

Je pense à la Ferrari croisée du côté de Couvin : parfaitement inadaptée aux conditions de circulation, les proprios de tels engins doivent

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être frustrés chaque fois qu’ils montent … euh non, descendent dedans. J’ai ressenti ça avec la Panigale, bien plus qu’avec toutes les motos que j’ai utilisées sur la route.

Retour plus calme vers Mons (par Beaumont, c’est tout droit et jouer à « saute-voiture », ce n’est pas très amusant).

Rentré à la maison, je suis partagé entre pas mal de sensations : magnifique moto, usine à plaisir et à courbatures (sur mauvais revêtement et en ville), flingue à jouer à la roulette russe pour le permis, et sûrement pas à mettre entre les mains d’un débutant !

Mais quel pied j’ai pris !

J’ai gardé la moto une semaine, l’ai essayée sous la pluie (no comment) et suis content que Nico la reprenne ce WE. Si, si …

Lundi, avec Nico, on démonte tous les plastocs qui l’habillent (et il y en a …) et on lui passe ses polys et ses slicks : je pense sincèrement qu’elle va se sentir mieux en tenue de piste.

Nico se marre: Alors, tu me la rends quand même ? Pas de

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regret ?

Ben non …

T’es sûr que tu n’en veux pas une, pour remplacer ta 999 sur la piste ?

Alors là, NON ! Celle-là, je me la garde et elle me va bien ! Au moins, je peux la mettre dans tous les sens (c’est pas Eric qui me contredira ;) M’en fous qu’elle aille moins vite !

Oups … mon nez ??

Meuh non qu’il ne s’allonge pas !

Et pour la route, je serai bien content de reprendre la MTS ou mon « vieil » HM 1100 !

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H O M M AG E A O livier D i Vit o

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Oli n’est plus parmi nous. Le compagnon de route infatigable qu’il était nous a été enlevé lui aussi.

Il s’était impliqué à fond dans le club, ne se ménageant jamais, tout en restant aussi attentif à sa famille, à ses amis et à son travail : un défi dont chacun peut mesurer l’ampleur.

Olivier se donnait entièrement à ceux qu’il aimait, à ce qu’il aimait. Un « bosseur », toujours le nez dans le guidon, qui savait savourer les moments de partage auprès de nous tous, sur sa moto ou autour d’une table, où il savait mettre l’ambiance.

Chacun se souviendra de son sens pratique de l’organisation et de son efficacité lors de chaque manifestation de notre club: il était partout en même temps, toujours le sourire aux lèvres.

Il manquera à ses enfants, son épouse, et à ses amis.

Sa disparition laisse un grand vide au sein du staff et dans le cœur de tous ceux qui ont connu le bonheur de le rencontrer.

Adieu Oli !

VO S G E S Pa r Pa s c a l Mini trip Vosges 2014 Bonjour à tous, Je me présente : Pascal Hoss, j’ai 40 ans et

Depuis 2012, je suis également membre du DSB mais je n’ai malheureusement pas toujours le temps de participer aux différentes activités que propose le club.

Voici enfin arrivé le jour J. Debout à 7h00, la moto est déjà sur la remorque derrière la voiture (110 km jusqu’au point de rassemblement), départ 7h30.

Arrivé vers 8h30 chez le Vice-président dit « l’Instit », j’aperçois déjà quelques Ducati alignées devant la maison. Le temps de descendre la moto de la remorque, voici déjà le reste de la meute qui arrive.

Après une bonne tasse de café bien chaud et un croissant, le petit briefing d’usage, c’est l’heure de faire la photo des participants.

je suis originaire de Welkenraedt, village situé à 15 km de la frontière allemande et à peine à 35 km de chez notre Roger

Cette année, je me suis tout de même décidé à participer au Mini-trip dans les Vosges.

Kockelmann.

Après discussions pour avoir l’aval de Madame et la permission de prendre un jour de congé auprès de mon employeur, je me suis enfin inscrit à un événement du DSB !

J’ai acheté ma première Ducati en 2012 ( il faut dire que j’ai mon permis moto seulement depuis 2009, je n’ai donc pas trop tardé à rejoindre la grande famille des Ducatisti ;-): une Streetfighter 848.

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Jour J

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Deux groupes sont formés pour le trajet, avec le même RB que celui du premier mini-trip organisé par le club, il y a juste 10 ans.

Le groupe dont je fais partie est composé de 6 motos. Nous sommes prêts pour le départ et je suis tout excité. Petit bisou à ma femme et à mon fils qui m’ont accompagné jusqu’au point de départ et c’est parti pour +/- 500 km de trajet ... sans autoroute

SVP !

Tout se passe au mieux, ça roule bien, le temps est sec.

A la sortie d’un virage, je ne vois pas des gravillons qui avaient servi à une « réparation » de la route et ... « Bardaf c’est l’embardée » : je perds l’arrière de la moto, qui glisse et je me retrouve à terre.

Je regarde l’état de la moto : ouf, elle n’a pas grand-chose d’abîmé !

Un levier d’embrayage et un sélecteur de vitesses cassés, c’est la protection de la pompe à eau qui a tout pris : je me félicite de l’avoir achetée ;-).

Persuadé que mon voyage était compromis, j’étais loin de m’imager avec qui j’étais en route.

Fabienne me dit qu’elle a un sélecteur de réserve avec elle – premier problème résolu - reste le problème du levier ... Quelques minutes

de réflexion plus tard, j’entends quelqu’un me dire qu’il a la solution.

YES ! C’est Manu, qui se dirige vers sa moto et revient avec une clé de 10 qu’on fixe sur le maître-cylindre d’embrayage à l’aide d’un colson et d’un morceau de « tape ». Un levier de fortune ! Merci Manu !

Arrivés en France, on s’arrête à une stationservice pour faire les pleins et on en profite pour faire un petit break et manger un bout.

On repart assez vite pour ne pas avoir trop de retard à l’arrivée.

Quelques km plus loin, on décide de s’arrêter

pour prendre un café sur une place bien sympathique. Le ciel s’assombrit et on repart en combinaison de pluie.

Evidemment, quelques minutes plus tard, la pluie fait son apparition et ne nous lâchera plus jusqu’à l’hôtel.

Je dois vous avouer que pour moi, la pluie, c’est une première, (mon baptême) et avec ma chute du matin, je ne me sens pas vraiment à l’aise.

Je ne suis pas mécontent d’arriver à destination.

Beaucoup d’émotions pour cette première journée!

Après une bonne douche

(pas la pluie!), c’est l’heure de l’apéro, l’occasion de faire connaissance avec tout le monde et évidemment parler moto avec les passionnés qui m’accompagnent.

Le dîner est excellent mais je suis tout de même content d’aller retrouver mon lit.

Jour 2 La nuit fut bien agitée !! Je partageais ma chambre avec Manu qui devait rêver de bicylindre avec des échappements sans DB killer car c’est à peu de chose près le son qu’il a produit toute la nuit :-) Lever matinal pour moi :j’en profite pour frotter un peu ma monture qui n’a jamais été aussi sale depuis son acquisition

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c h e z Ducati » me dit-il ... avant d’aller prendre le petit déjeuner.

Le départ de la balade du jour (le tour des lacs) est prévu à 9h00. J’en profite donc pour descendre jusqu’à Mulhouse (50 km) au Ducati Store pour changer mon levier d’embrayage et mon sélecteur de vitesse.

Arrivé sur place, je me dirige vers l’atelier, explique au vendeur mes exploits de la veille et lui demande s’il peut me fournir les pièces dont j’ai besoin. Il ne les a pas! Quelqu’un qui a entendu la conversation demande au vendeur de démonter un levier d’embrayage sur une Panigale 899 et de le monter sur la mienne : il s’agit du patron. « Il faut garder l’esprit motard, surtout

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Voilà une b o n n e chose de faite !

En quittant la concession, je vois une enseigne « Expert pneus moto ».

Je décide de m’arrêter et d’acheter un train de Dunlop Sportsmart 2 que je fais monter sans tarder pour ensuite retrouver le groupe au restaurant à Munster. En effet, suite à une discussion la veille au sujet de gommards, j’avais entendu que le Prez et Olivier étaient super contents de ces Dunlop. Comme mes pneus étaient en fin de vie, j’en ai profité pour les remplacer par des neufs.

Après une bonne « Flammeküch » (tarte flambée) nous voici repartis en balade pour l’après-midi entre grosses et

... petites pluies !

Rentrés à l’hôtel vers 18h00 où nous attendent d’autres membres venus renforcer le groupe pour le week-end, nous voici à 21 personnes du DSB pour le souper du soir (excellent encore).

Pour ne plus trop entendre les RRRRRR de Manu durant la nuit, j’avale deux ou trois verres de vin en plus qui en complément de la fatigue m’assomment bien ...

Jour 3 Après une nuit plus ou moins bonne, j’ouvre les rideaux et là, mauvaise surprise :brouillard, humidité et froid !

J’en ai plein les bottes de cette météo, mais il faudra bien s’en accommoder. Le départ est à nouveau prévu à 9h00

et nous voilà partis pour le tour des châteaux (+/- 280 km).

courage, je décide de continuer la balade.

La première heure se déroule bien mais évidemment, plus on monte en altitude, plus il fait froid et plus il y a du brouillard. Je vois les degrés qui diminuent de plus en plus : 9°, 7°, 4°... puis 2° sur les hauteurs ! Brrrrrr je suis frigorifié !

Avec ce brouillard je me retrouve tout à coup dans le groupe de Froggy : mon groupe a disparu dans le brouillard ! Mais Froggy m’assure que j’ai gagné au change !On décide de ne pas s’arrêter à Riquewihr et d’aller directement au Resto car on a déjà perdu pas mal de temps au matin.

On roule à 25km/h et je songe sérieusement à rentrer à l’hôtel pour me remettre au lit, mais n’écoutant que mon

On repart après le dîner pour rejoindre le château du « Haut Köenigsbourg » où l’on fera une photo de groupe.

Pour le trajet du retour vers l’hôtel, je reste dans le groupe de Froggy.

Après un ravitaillement de carburant, nous décidons d’écourter le RB car il fait vraiment trop froid. En rentrant à l’hôtel je fais une petite sieste (que ça fait du bien) et me voilà en pleine forme pour l’apéro et pour (déjà) le dernier soir où un cochon à la broche nous attend.

Jour 4 Pour le dernier jour de notre mini-trip, quelle belle surprise ! Un ciel bleu et un beau soleil nous accompagneront !

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jour. Mais il est hors de question pour moi de me retrouver sur l’autoroute ou des voies rapides.

Ma confiance étant revenue et la météo de notre côté, nous serons 5 à suivre le RB initial. Mon choix s’avère payant car le retour fut fabuleux, par de belles routes et des virolos à gogo.

Petit coup de chaleur pour Olivier qui s’est fait arrêter par la gendarmerie nationale mais pas de panique, pour un simple contrôle des papiers.

Et zou, toutes les motos s’alignent sur la terrasse pour la photo du départ.

A hauteur de Longwy, je quitte le groupe pour remonter par le G.D du Luxembourg. Et retour à la maison vers 18h00 avec 1550 km au compteur.

Les groupes seront vite constitués car la plupart d’entre nous décident de rentrer au plus vite et de zapper le RB du

En résumé, ce fut un beau mini-trip : dommage que la météo

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n’ait pas toujours été de la partie mais ce fait mis à part, j’ai rencontré des personnes exceptionnelles, toutes super sympa. Je me suis régalé à écouter mes compagnons de voyage !

Quand on dit que Ducati est une grande famille, ce n’est pas moi qui vous dirai le contraire ...

Ce qui est sûr, c’est que ce ne sera pas mon dernier mini-trip et sûrement pas ma dernière activité avec le DSB ...

Vivement le BBQ fin juin, le WDW 2014 en juillet et ce qui suivra !

Pascal Hoss

L’A R RIVE E AU D S B Pa r U g o Ma venue au Dsb : débauché par Jack2000 sur un autre forum Ducati, voilà que je débarque gentiment sur le forum du « Ducati Sud Belgio » courant l’été 2012. Après quelques contacts via le forum avec plusieurs membres, arrive le jour de la première rencontre avec un gars du forum : Bruno !

Suite à un problème d’embrayage de ma 999, je pars à sa rencontre pour qu’il fasse un tour d’essai avec ma belle et voilà le début de mon histoire dans le Dsb. Quelques jours plus tard, on se rend ensemble à Mettet où il me présente une partie des membres du Dsb. Ca y est ! Là, on est vraiment dans l’ambiance Ducati, des passionnés, des mordus de Ducati.

Suite à cette journée, mon adhésion n’a pas du tout tardé à suivre.

Ce qui nous amène déjà à la primavera, celle où nous avons été roulés en Allemagne. WAOUW !

Quelle balade ! C’est donc ça le Dsb? Une organisation de pro, une ambiance de pote, un staff qui met à l’aise, des membres qui s’entraident (double panne pour ma première

balade, fallait le faire!).

Bref le bonheur !

Plus les évènements passent, plus je prends mon pied et plus j’attends, avec impatience, les prochains rendez-vous !

Mais le Dsb, ce n’est pas que ça !

J’y ai fait une rencontre avec un gars, Bruno, bah oui s’était pas compliqué a trouvé. Il a répondu présent tout de suite dès que j’avais un souci, besoin de conseils, de faire des changements sur les bécanes,…

Quand on parle de moto,

je parle de lui comme de mon mentor pour le deux roues, je roule beaucoup avec lui, j’essaye de le suivre, de voir « comment faire » pour avoir une bonne conduite, pouvoir arsouiller comme un goret… peut être qu’un jour c’est lui qui me suivra !!!.

En tout cas Bruno, encore une fois je te remercie pour tous ce que tu m’as appris, que tu m’apprendras, sur la moto, en dehors de la moto, dans la vie…

Bref merci pour tout mon pote, mon Ami !

I N S C RIP T ION S UR D U CATI. C OM Pa r l e S t a ff

Suite aux nouvelles instructions de DUCATI et à notre volonté d’optimaliser la mise à disposition des Welcome Kit, il est désormais IMPERATIF que vous soyez enregistré sur DUCATI.COM. En effet car une fois connecté à votre profil et en cliquant sur l’onglet MY CLUB (voir illustration), vous devrez y imprimer votre DOC MEMBER CARD provisoire (dans l’attente de la réception de votre welcome kit 2014) sur laquelle figure votre numéro de membre, le sésame qui vous permettra de disposer de nombreux avantages lors des événements que nous organisons.

Ne négligez pas cette étape car il vous sera désormais demandé de présenter systématiquement votre carte de membre lors de chacun de nos événements.

P.S : Fonctionne uniquement si vous utilisez les mêmes coordonnées que celles dont nous disposons (e-mail, adresse, etc ...)

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Dans ce tome 4 (oui 4!), Marc Poels retrace la période de la 748 Desmoquattro à la fin des Mostros à carbus en passant par les 851 de long en large, les SS à carbu Mukini, des Bimota, les 888 et même le Supermono À mettre entre toutes les mains d’urgence!

Offre Spéciale pou 45€ (au lieu de 49.9r les membres!!

0€) + 8€ de fdp. à verser sur le com pte

de Marc POELS en précisant le Tome et votre appartena IBAN B E 2 4 6 1 1 nce au club : 4 5799 2038

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H O M M AG E à Marc Po e ls

Le DSB perd son fondateur Marc Poels a perdu la vie sur une petite route du sud de la France, au guidon de sa fidèle ST4s jaune, fauché par une voiture folle.

Marc était la discrétion personnifiée, et pourtant ... Son immense culture, ses nombreuses passions, dont celle qui nous anime, sa capacité de travail, ses dons pour la recherche et sa faculté de communication peu commune l’ont conduit à une notoriété dont nous ne mesurons pas l’étendue. « Personne n’est irremplaçable » ... Adage faux ! Il existe une catégorie de personnes d’exception qui ne sont jamais remplacées, et Marc en faisait partie. « Monsieur Sleop, de Belgique » était un être clairvoyant : un esprit critique, analytique, qui a toujours su garder vis-à-vis des événements la distance nécessaire pour garder son libre-arbitre, la seule VRAIE liberté qui soit ...

Mais c’était aussi et surtout peut-être, un être proche de ses semblables, toujours disponible pour guider les brebis égarées que nous sommes sur le chemin de la connaissance, technique ou autre !

Et Marc se donnait avec empathie et simplicité, chacun qui l’a approché a pu s’en rendre compte.

Au-delà du puits de sciences qu’il représentait pour beaucoup de monde, bien au-delà de nos pauvres frontières, c’est l’image de lui qui restera auprès de celles et ceux qui ont eu la chance de le rencontrer.

Adieu l’Ami !

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RO U L E R AU JO U R D ’H U I E N A NC IENNE Pa r Bru n o Dédié à Marc,

Allain, Moriniste acharné et pistard depuis bientôt cinquante ans (voir DP 31) roule également au quotidien en Ducati 239 MK3 dans son Luberon d’adoption.

Pourquoi sur une telle machine ? Il y a des acharnés qui ne jurent que par les motos italiennes des années 70, et dans le cas d’Allain et de quelques autres « résistants », par des monocylindres à quatre temps.

Quand on y a goûté, on comprend plus facilement …

Et puis, avec un peu de savoir-faire et un

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minimum de bon outillage, on peut intervenir sur la maintenance ou les réparations de ces motos, ce qui devient de moins en moins facile sur les machines actuelles, il faut bien en convenir. Ceci peut constituer un critère de choix lors du moment de décider d’acquérir une belle ancienne dans le but de l’utiliser « au quotidien ».

La disponibilité des pièces de remplacement ? Pas un gros problème pour Allain, à condition de prendre le temps de se constituer un bon carnet d’adresses (idem pour les anciennes

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ndlr).

Morini,

La Ducati d’Allain date de 1975, une « carter large », dernier des monos de la marque.

Produite à 250 exemplaires seulement, c’est un objet rare … Pour comprendre l’origine de cette cylindrée plutôt inhabituelle, il faut se rappeler qu’à l’époque et en France, une taxe de 33% (dite alors taxe de « luxe » !) frappait les motos d’une cylindrée de 240 cc ou plus. La taxe était alors de 20% sur les motos de cylindrée inférieure.

Afin de se garantir des parts intéressantes

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du marché hexagonal dans le segment des « moyennes cylindrées » alors très en vogue, et à la demande de l’importateur français, les têtes pensantes de l’usine décidèrent d’adapter simplement la cylindrée des 250 monos destinés au marché français à la législation en la diminuant légèrement sans pour autant grever la puissance des machines. Ainsi apparut la 239 MK3 chez nos voisins (l’ « exception française », selon l’expression de Marc Poels).

(la MKIII, celle d’Allain), l’autre un système desmodromique.

La cylindrée exacte de ces deux versions était de 239,58 cc, obtenue par un alésage de 72,5

Deux versions furent d’abord commercialisées : l’une utilisant une distribution classique

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mm et une course de 57,8 mm. Une même puissance de 22 CV était annoncée à un régime de 7500 tours/minute, soit deux CV de plus que sur la 250, grâce au carburateur Dell’Orto de 30 mm

emprunté à la 750 GT, à une modification de l’arbre à cames (diagramme d’admission différent) ainsi qu’à l’adoption d’un échappement Lafranconi.

L’équipement de la 239 différait de celui de la 250 notamment par le remplacement de la fourche Marzocchi par une Ceriani plus performante ainsi que par l’adoption d’un frein avant double came signé Brembo.

Elle était également équipée d’une boîte à cinq rapports, d’un tableau de bord complet pour l’époque,

puisqu’il incluait en plus du compteur un compte tours mécanique. Et, fait rare alors, la visserie qui l’équipait était de type BTR. Privilège des fins de séries ?

Dans un premier temps, ces modèles furent montés avec un grand guidon.

Allain a acheté cette moto strictement

d’origine (jamais restaurée mais étonnament bien conservée !) à « l’ami d’un ami », un spécialiste … Lequel lui avait assuré que le moteur avait été « refait » : après 300 km d’utilisation prudente, piston troué !

Allain peste mais ne se décourage pas : il faut trouver l’origine du problème. Une inspection minutieuse lui permettra de découvrir que c’est le joint épais d’admission au carburateur devenu poreux qui a causé une prise d’air fatale au piston.

Allain serre les dents et commande les pièces neuves nécessaires à la réfection

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de son moteur (trouvées sans problème !).

Il remonte et rode son moteur. Au moins, maintenant, il sait « ce qu’il y a dedans » …

Le moteur rodé, il s’offre une première sortie pour tester sérieusement la bête : le Mont Ventoux, pas très loin de chez lui et qu’il connait bien notamment par les courses de côtes, représente la destination idéale.

Le mono craque au premier coup de kick, malgré la cheville d’Allain entièrement « prothésée ». Le mono vibre pas mal, même au ralenti sur sa béquille. Traversée des champs de Lavande vers le plateau de Sault, Allain découvre

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le caractère joueur de la 239.

broncher, déjà quarante kilomètres de bonheur.

Ligne droite de 5 km, Allain pousse les rapports : 7000 tours en cinquième, le berlingo est volontaire ! A la sortie du virage gauche qui suit, ça ne rate jamais, les Pandores bleus sont là et l’arrêtent, mais juste pour taper la discute sur les Ducati ! Les considérations motocyclistes terminées et les Pandores contentés, Allain repart à la conquête des nombreux virages qui mènent au plateau de Sault. Un vrai régal, la tenue de route de la petite Ducati est excellente grâce à la rigidité de son cadre, les suspensions avalent les difficultés sans

Pause à Sault, avant l’ascension du Ventoux, et premier bilan : le moteur est nerveux et souple, malgré un appétit d’oiseau. Le petit mono tient bien ses promesses !

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La montée du Ventoux se déroule avec le même bonheur.

La descente par Bédoin sera un peu différente : en effet, Allain, pistard chevronné toujours à la recherche des limites, jugera le frein avant « moyen » et cherchera la « bonne course » pour le dosage de l’homologue arrière. Pied trop lourd, blocage de roue arrière assuré ! Quelques tout droits (sans mal) lui

permettront de jauger le point de la limite : Allain est un fana des descentes …

Retour par les gorges de la Nesque, enfilades sur enfilades, il joue du sélecteur à double branche et goûte à un vrai plaisir. Selon lui, la course importante du levier oblige à « lever souvent le pied » (pas pour aller moins vite !!), mais il s’y habitue facilement.

La descente achevée, une ligne droite et un léger vent dans le dos lui permettront d’accrocher les 160 km/h au compteur. (La moto était « donnée » pour 144 km/h par le constructeur, « Histoire de Ducati » par Marc Poels, tome I, page 209). Pas mal pour

un petit mono à quatre temps de quarante ans, « dégonflé » pour de vieilles et idiotes raisons fiscales !

L’avis d’Allain (fin connaisseur des monos italiens) sur la 239 : c’est une moto attachante qui demande peu d’entretien, mais celui-ci doit être fait (ne surtout pas négliger le nettoyage annuel de l’épurateur d’huile situé en bout de vilebrequin). Le moteur est sensible aux réglages (carburation et allumage) et si ceux-ci sont incorrects, des retours de kick manifesteront sa désapprobation.

Consommation : 3,7 L aux 100 km. Le réservoir ayant une capacité de 13 L dont 4 L de réserve, les stations de ravitaillement

en essence peuvent être rares …

Cette attachante petite moto serait à vendre (Allain n’est jamais à cours de projets !), si un amateur était prêt à y investir le prix d’un scooter neuf mais de cylindrée bien inférieure … Une alternative originale et finalement pas si déraisonnable que ça compte tenu de son excellent état, de son appétit modéré et de l’usage convivial qu’elle permettrait dans le cadre de trajets urbains quotidiens et de virées dominicales sur les petites routes … avec l’agrément de « rouler autrement », l’originalité de la rareté et le panache en plus !

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VO SG E S Pa r E d d y A vrai dire, je me suis inscrit au minitrip D.S.B. des Vosges un peu par hasard ...

du bien un petit weekend sympa à moto, découvrir de nouveaux horizons ...

Le matin du départ: le niveau d’huile de la moto est bon, les pneus sont correctement gonflés, le GPS est chargé, les clés sont dans la poche, les valises et le petit sac arrimés ... Et j’ai déjà fait dix fois le tour de la Multi.

Tout ce que j’attends en fait, c’est de monter sur la moto, accompagné de ma moitié, et d’arriver à Stenay, pour retrouver quelques-uns de mes futurs compagnons de voyage.

Tout à commencé lorsque j’ai acheté ma première Ducati.

Freddy Bologna, mon concessionnaire, a pris l’excellente initiative de m’inscrire au Ducati Sud Belgio, à mon insu.

Quelques clics plus tard, nous voilà inscrits pour une randonnée de quatre jours, sans même connaître ceux avec lesquels nous partagerons notre escapade.

Un soir de mars, en m’installant devant mon PC, j’ai trouvé sur ma boîte mail un courriel avec le mot «Ducati», qui a titillé ma curiosité.

- Un «minitrip» dans les Vosges, qu’en pensestu Véro ? Ca nous ferait

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C’est donc à cet endroit que nous saluons les premiers compagnons de route qui nous accompagneront, Corinne et Jean-Pierre. A peine le temps de faire connaissance, Fred arrive avec ses acolytes. Un peu

d’essence pour remplir les réservoirs, et nous voilà partis pour notre petite virée dans les Vosges.

Quelques boulangeries, stations services, et place de pic nique près du boulevard des allongés, nous voici arrivés à l’hôtel du Rouge Gazon. « Bonjour, bonjour, bonjour, ... » Que de nouvelles têtes !

Je n’aurai jamais assez des quatre jours pour parler à tout le monde ...

Un bon repas et quelques présentations plus tard,

je me retrouve dans mon lit à rêver de toutes les bonnes aventures du jour.

Vendredi, le déjeuner avalé, nous prenons la route sous un ciel mitigé entre pluie et éclaircies.

La route humide reste agréable. Les virolos vosgiens et alsaciens se dégustent avec plaisir. Le Tripy nous amène sur des petites routes tellement jolies que je les referais volontiers une deuxième fois. La matinée s’achève dans un restaurant à Munster.

Nous y sommes en

compagnie des fameuses cigognes occupées à se lisser les plumes dans leur énorme nid, au dessus de l’église. Des liens se créent entre les participants. Certains commencent même, à mon grand plaisir, à me chambrer sur mon coup de fourchette légendaire ! L’air de la campagne, ça donne faim, non ?

L’après-midi, c’est reparti pour un tour.

Comme durant la matinée, du bonheur tout le long du parcours. Un petit groupe homogène et bien sympa. Chacun

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s’attend, personne n’est laissé pour compte, tout le monde s’amuse.

C’est du lourd cette organisation !

Rentrés à l’hôtel, petite douche, et nous revoilà à l’apéro du soir (eh oui, la fourchette ... ) J’arrive enfin à mettre un nom sur chaque visage : - Corine et Jean-Pierre, les premiers rencontrés, - Fred, le président, à l’écoute de tout le monde Olivier, le secrétaire, notre premier contact au D.S.B., - Stéphane, le trésorier, et Béné, sa charmante compagne, - Marc, notre aîné et fondateur du club, toujours prêt à nous aider avec nos valises, Lôôôrent, dit «Froggy», ouvreur averti et fêtard aguerri, - Fabienne, toujours le sourire, même les pieds et mains gelés, Florence et Jacques, accueillants, et bienveillant avec les nouveaux venus (comme Véro et moi par exemple), Marc l’instit et Anne Sophie, on aime leur présence et leur largesse d’esprit,

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DESMOPASSION /2014 DESMOPASSION N°33 N°33/2014

- Manu, réservé et tellement attachant par sa gentillesse, - Donato, discret, mais toujours à l’écoute, Titi et Titine, servez-leur du Munster à toutes les sauces, ils adorent, - Pascal le solitaire, un exemple question nettoyage de Ducati, - et enfin Philippe et Viviane, sur leur BMW, (eh oui, ils ne voulaient pas salir leur Multi) pour qui la moto n’a plus de secrets, accompagnés de Kenzo qui surveillait le compteur de « papa ».

Heureusement, le patron nous rappelle en soirée que la journée de samedi

sera bien chargée, et qu’il est l’heure d’aller se coucher.

Samedi matin: on ne sait pas trop si le soleil s’est levé car le brouillard qui s’est installé est à couper au couteau. Quoi qu’il en soit, on selle les montures et nous voilà partis pour la randonnée du samedi. Les routes sont plus sèches, mais la journée est très froide.

Le brouillard tenace nous force à modifier le roadbook, pourtant très bien ficelé, afin de regagner des vallées plus claires et plus chaudes. On découvre des paysages

magnifiques, des nuages accrochés aux montagnes, des rivières limpides, des courbes serrées, (ben oui, on fait de la moto quand même !). Le repas de midi (ou de 14heures, je ne me rappelle plus) nous permet de nous réchauffer un peu pour attaquer la seconde partie de la journée, une petite escapade sur les routes de la région du haut Koeningsbourg.

Pour ce dernier repas à l’auberge, cochon de lait à la broche s’il vous plaît ! Le patron nous a bien chouchoutés pour

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ce dernier festin dans sa demeure. Je suis fatigué et heureux comme un enfant de cinq ans le jour de Noël. Nous avons passé un bon week-end. Je regarde autour de moi et je vois des gens tout aussi fatigués, mais contents d’être ensemble, autour d’une table.

Je vois un staff qui se congratule en voyant le résultat du travail acharné d’organisation des mois précédents.

Leur stress retombé,

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ils puisent à présent une quantité maximale d’énergie positive en notre compagnie, afin d’avoir le courage et la volonté nécessaires à la poursuite de futurs projets.

Mais il est déjà tard, tout le monde se dit au revoir, et chacun regagne sa chambre pour un repos bien mérité.

Déjà dimanche: on referme les valises, on embrasse le patron de

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l’auberge, motard, lui aussi, on fait une photo de groupe, et nous voilà repartis pour un dernier trip jusqu’à la maison.

La température et le soleil sont de la partie aujourd’hui. Nous remontons tranquillement vers la Belgique par les petites routes «qui vont bien». Habitant le sud, j’aurais déjà dû bifurquer vers la droite depuis un moment, mais je n’arrive pas à me résoudre à quitter le groupe. Je profite encore

de sa compagnie pour le casse-croûte de midi au bord d’une rivière, puis nous reprenons la route.

Une heure plus tard, me voilà chez moi. Ma Multi n’a jamais été aussi sale.

Il faut vider les valises, enlever la combi, ranger «tout le bazar».

En direction de Verdun, je vois le premier panneau qui annonce la proximité de Longwy. Allez hop, je continue encore. Puis vient le second. Toutes les bonnes choses ayant une fin, je tourne à droite en lançant un coup de klaxon. Les mains se lèvent pour un dernier au revoir et je vois tous mes potes d’un weekend s’éloigner vers leur destination.

Je me retrouve assis dans les escaliers, le cœur plein de souvenirs, et je me dis: «Cela fait dix ans que ce club existe et c’est ma première sortie avec ses membres. Il va falloir que je me rattrape sur ce coup-là».

Eddy, le nouveau.

Merci à vous tous pour ce minitrip mémorable.

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RE P R E SE NT DO C B E L GIUM WORLD Pa r p l e i n s d e p h o to g ra p h e s

D.O.C. BELGIUM DUCATI SUD BELGIO ASBL. Comme toute Association, elle est faite par ses membres pour ses membres.

D.O.C. BELGIUM DUCATI SUD BELGIO STAFF : Président : Frédéric Laurent Vice président : Marc Jacqmin Trésorier : Stéphane Bloquiau Secrétaire : Olivier Di Vito Pour aider le Staff dans l’organisation le D.O.C. BELGIUM - DSB CREW a été crée

D.O.C. BELGIUM DUCATI SUD BELGIO CREW : DSB Safety : A. Patte DSB Classic : M. Poels, P. Weber, S. Marangon

DSB Shop : L. Fallais DSB Design : O. Elvanian, F. Rossi DSB Community : O. Di Vito, M. Poels DSB Webmaster : S. Nunes DSB Donne : D. Loroy (Belgium), C. Schottner (International)

DSB Desmo Ride : A. Patte, E. Bouserouel.

DSB Rédac’Team : B. Buy, S. Jager.

Membres effectifs: AMAND Joël, BLOQUIAU Stéphane, BOUSEROUEL Eddy, COLART Yves, CUGNON Jacques, CWIKLINSKI Pascal, D’ANGELO Jean-Pierre, DE FAYS Xavier, DI VITO Olivier, DRICOT Philippe, FALLAIS Laurent, GASQUET Valéry, HAMES Christian, HERMAN Marc, HEUBERT Simon, JACQMIN Marc, JAGER Samuel, JANSSENS Guy, LABRADOR RUIZ Daniel, LAURENT Frédéric, LEJEUNE Jacques, LOROY Dominique, MORISSET Vincent, NTAHO Yannick, NUNES Sebastien, PARIS Luc, PATTE Alain, POELS Marc, RECOURA Jean-François, RENAUD Anne-Sophie, SCIAGURA Francesco, SIGURA Bruno, TASSIGNON Manu, VANDERBRACHT Thierry, VIROUX Fabienne.

D’autres postes sont disponibles si tu veux t’engager avec le Staff et le Crew pour D.O.C. BELGIUM. MERCI pour votre engagement futur !

119 9 S U P E R L EGGE R A Pa r Se b a s t i e n « La matérialisation d’un rêve » c’est avec ces mots que Claudio Domenicali décrit la Superlegerra et on ne pourrait lui donner tort !

Si pour beaucoup la Panigale est la Super Bike de référence, la version Superlegerra est tout simplement hors-norme!

D’abord par sa production… 500 exemplaires seulement et ne vous précipitez pas chez votre DS préféré, elles sont toutes vendues depuis belle lurette. Mais ce qui impressionne le plus c’est la fiche technique de l’engin, visez un peu : 155kg à sec pour 200CV soit le meilleur

rapport poids/puissance jamais atteint sur une moto de production de toute l’histoire !

Mais attendez qu’on vous détaille comment le département Corse est parvenu à un tel exploit : le cadre monocoque? En magnesium.

Les roues ? Forgées en magnesium également!

La carrosserie ? En fibre de Carbone ! Tout comme la boucle arrière!

La visserie ? Quasi exclusivement en Titane!

L’échappement ? En titane pour l’intégralité de la ligne et fabriqué par Akrapovic. Je pourrais encore vous énumérer une longue liste car au final ce sont près de 200

pièces de la Panigale ont été retravaillées exclusivement pour la Superlegerra pour gagner au final 12kg sur la balance!!

Alors quand notre partenaire Kockelmann Motos nous prévient qu’il aura bientôt un exemplaire dans son show room, il ne nous a pas fallu longtemps pour prendre notre téléphone et proposer à Roger une session photo sur le plus beau circuit du monde qui est juste en bas de sa rue. Quelques coups de fil plus tard le rendez-vous était pris et les autorisations accordées pour accéder à la piste.

Vous imaginez un peu le

scénario ?! Approcher la moto la plus exclusive de la production actuelle sur le superbe tracé de Francorchamps ! C’était un peu comme un rêve, mais fois deux !

Si la fiche technique de la Superlegerra est impressionnante, voir cette dream bike en vrai vous donne des frissons. Même la pluie qui s’était invitée sur le circuit à notre arrivée a été impressionnée et a cédé la place au soleil pour notre shooting. Tout de suite la moto en impose beaucoup plus qu’une

« simple » Panigale, sa robe rouge-orangée n’y est pas étrangère mais c’est avant tout le soin apporté aux détails qui vous saute aux yeux : les retours en carbone sur les flancs de carénages, les pieds de fourche taillés (gain de poids d’1.5kg sur la fourche uniquement), le T de fourche supérieur usiné

également allégé au maximum et numéroté ou l’amortisseur Ohlins TTX36 avec son ressort en Titane. Quelque soit l’angle sous lequel vous examinez la moto, elle semble parfaite et vous vous mettez immédiatement à rêver de piloter cette machine d’exception sur les plus beaux circuits du monde !

La moto étant vendue, on ne pourra évidemment pas la faire rouler, mais nous avons pris le temps de l’examiner dans les moindres détails et sous tous les angles !

Impossible de lui trouver un défaut et pourtant on a essayé ! Et cette moto n’est pas destinée à rester dans un salon ou un musée, la preuve ? La

commande qui permet de raccourcir ou allonger la course du levier de frein d’une simple pression du pouce gauche comme sur les motos de SBK ! Alors si vous aimez l’exclusivité,

soyez patient pour dénicher un exemplaire à vendre mais sachez tout de même qu’elle est vendue 65’000EUR.

Un tout grand merci à notre partenaire Kockelmann Motos Francorchamps de nous avoir consacré du temps et rendre ce shooting possible sur le plus beau circuit du monde !

DU C AT I S U D B E LGIO - D OC B E LGIUM APPARELS Pa r St a ff La collection «DSB Apparels» s’agrandit !

Réservez votre t-shirt ‘DSB Classic Dept 2014» Après 10 ans d’existence et la création de la section classique du club, voici venu le temps de vous proposer la collection «DSB Classic».

Avec la collection «Powered by passion», elle viendra ainsi compléter notre offre de vêtements de club.

Et pour inaugurer cette collection que nous comptons étendre par la suite, nous vous proposons un superbe t-shirt qui illustre un des plus beaux logos que la marque nous ai donné.

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5 JUILLET 2014 INSCRIPTIONS SUR : DUCATICLUBBELGIUM.BE Rassemblement et balade de DUCATI Sportclassic et DUCATI Classique en direction du circuit de Spa-Francorchamps à l'occasion des Biker's Classic.

Rendez-vous : Domaine du Château de Modave à 10:00 Pic-Nic : 12:00 Sur le stand de D.O.C BELGIUM (inclus) Grande parade sur l'ancien tracé du circuit de Spa-Francorchamps pour les participants (inscription préalable obligatoire)

Tarif spécial D.O.C BELGIUM : 20 Euros (billet d'entrée inclus)

D.O.C BELGIUM - CIRCUIT DE METTET

DIMANCHE

7 S E P T. CIRCUIT DE METTET www.circuit-mettet.be

TARIFS Roulage libre

+ 5 ateliers théoriques (pour tous les motards en Ducati)

Roulage libre

+ 5 ateliers théoriques (D.O.C Member)

Roulage libre

155€ 140€

+ 5 ateliers théoriques

130€

Roulage libre

125€

(25 premiers D.O.C BELGIUM Members)

sans ateliers théoriques

INSCRIPTIONS :

www.mertensschool.com

inscription@mertensschool.com

DUCATI DESMO RIDING TOUR 2014 Le DESMO RIDING TOUR sera présent spécialement pendant cette journée.

Venez essayer les machines dont vous rêvez !

Bien plus qu’une simple concession moto, Ducati Liège vous propose un espace et un atelier intégralement dédiés à la marque Ducati

OUVERT LE VENDREDI JUSQUE 20H Rue de L'Yser, 372 4430 - Ans - Belgique Tel.: +32.(0)4.384.82.22

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DU C AT I S U D B E LGIO - N E WS Pa r St a ff

Voici quelques nouvelles de votre club en un clin d’oeil !

Depuis le trip des Vosges, beaucoup d’évènements ont eu lieu.

Certaines sont tristes et d’autres nous mettent en joie. Ce fut le cas d’une réunion de préparation au World Ducati Week. L’occasion de mettre un nom sur chacune des têtes qui partageront desmoments fabuleux lors de cette semaine de voyage et de découverte sur la route mais aussi sur la PLANETA ROSSA!

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Il faut aussi evoquer un Barbecue spécial «10 ans» qui malgré une météo capricieuse a été une superbe réussite avec un banquet gargantuesque et de grande qualité préparé par des membres du club qui n’ont pas leur coeur dans leur poche, le tout dans un cadre idyllique proche de la Sibérie !!!

Les namurois comprendront...Ou pas !

Reste plus qu’à organiser un Elephanten Treffen ou un Millevaches à la Belge en italien : le concours du meilleur nom est lancé.

Autant de moments pour discuter Ducati et partager des bons moments.

Merci à tous.