POUR VENDRE OU ACHETER appelez sans hésiter Pierre Turmel Déjà 30 ans d’expérience. À votre service!
PIERRE TURMEL COURTIER IMMOBILIER AGRÉÉ
418 524-4441
•
21 juin 2017
• 418 649-0775
FONDS DE DIVIDENDE OBJECTIF DE
5
%
Juin 2017
Potentiel de gain en capital + objectif de 5% EN DIVIDENDE en dividende.
CONTACTEZ
Conseiller en placement
DANIEL LEMIEUX 418 654-2364
Recyclez S.V.P.
Claude Bernatchez,
DÉJEUNERS PRÊT-À-MANGER SOUS-MARINS
animateur de Première Heure à Radio-Canada
400, 3e Avenue (coin 4e Rue) 418-648-8614
LESCOLOCSCAFERESTO.COM
Claude Garneau, d.d. DENTUROLOGISTE • Prothèses complètes • Prothèses partielles • Prothèses sur implants • Service professionnel
386, RUE DORCHESTER 418-529-9278 Pour être vendu, faut être vu! VIA Patrick Alarie
SUIVEZ-NOUS SUR FACEBOOK!
Vol 23 #11
www.carrefourdequebec.com
HAUTE-VILLE BASSE-VILLE LIMOILOU VANIER DUBERGER LES SAULES SAINTE-FOY SILLERY CHARLESBOURG BEAUPORT
Photo : Marie-Claude Boileau
FACEBOOK.COM/LECARREFOURQC
AGENCE IMMOBILIÈRE
MIDDLEFIELD HEALTHCARE & LIFE SCIENCES
Dynamique Disponible Efficace
Agence immobilière
418-573-3994 VISITEZ PATRICKALARIE.COM Courtier immobilier
ÉQUIPEMENT VAL-BÉLAIR LOCATION D’OUTILS VENTE-LOCATION RÉPARATION TONDEUSE • SOUFFLEUSE OUTILLAGE 1525, AVENUE DES AFFAIRES PARC INDUSTRIEL VAL-BÉLAIR
418 842-7676
MARIE-CLAUDE BOILEAU
Est-ce que vos enfants vous écoutent? Ma fille qui a 18 ans oui quand elle se lève le matin. Elle est au Cégep donc elle se lève parfois tard. Mon gars qui a 22 ans, un peu moins. Mais ils ont été longtemps des auditeurs. À Trois-Rivières, je faisais l’émission du matin. Ma fille était à la maternelle à ce moment-là et mon gars en 2e année. Mes enfants ont connu presque juste leur papa morning man. jours pour Radio-Canada Service français où De quoi êtes-vous le plus fier? j’y ai travaillé pendant 5 ans. J’ai fait de l’ani- Je me rends compte que cette émission-là fait mation et du journalisme. Puis, ils ont ouvert partie du paysage de Québec. On a de bons un bureau à Trois-Rivières. Ils m’ont demandé résultats de sondage qui se sont confirmés d’aller faire de l’animation là-bas où ç’a duré encore dans les derniers. Je me dis que «wow, 2 ans et demi avant qu’on me on a vraiment bâti quelque demande de faire l’émission chose sur une longue péridu matin ici en 2005. ode». Quand on m’a demandé JE ME RENDS Êtes-vous natif COMPTE QUE CETTE de venir à Québec, je n’avais de Québec? ÉMISSION-LÀ FAIT jamais travaillé plus que 2 ou Oui. Dans un appartement de 3 ans dans la même chaise. Je PARTIE DU PAYSAGE pensais que ça serait la même la rue Belvédère. J’étais le DE QUÉBEC. 4e enfant. C’était trop petit. chose. Il y a eu des moments où j’étais fatigué et où j’avais Mon père a donc acheté un bungalow à Charlesbourg où j’ai surtout grandi. envie de faire autre chose. J’ai continué quand On avait un chalet au lac Saint-Augustin. J’ai passé même pour toutes sortes de raison. Après 12 beaucoup de temps là-bas parce que je suis allé ans d’animation, les gens sont encore avec nous au Séminaire Saint-François. Puis, j’ai étudié au et on fait partie des incontournables à Québec pour plusieurs personnes. Cégep Sainte-Foy et à l’Université Laval.
Québec — Claude Bernatchez est à la barre de Première Heure sur les ondes de Radio-Canada depuis 12 ans. Curieux et avide de connaissances, son métier lui permet de rencontrer toutes sortes de gens plus intéressants les uns que les autres. Dès le 22 juin, il quittera le confort de son studio pour l’Europea, un voilier néerlandais datant de 1911. Il voguera de Boston à Charlottetown où il réalisera des reportages. Le Carrefour s’est entretenu avec l’animateur (et apprenti-matelot!) pour en savoir plus sur sa carrière.
Qu’est-ce qui vous a amené vers la radio? C’est un hasard de la vie. J’avais terminé un bac en sciences politiques à l’Université Laval. Je devais aller en droit, mais je suis parti dans l’Ouest parce que je voulais faire autre chose et voyager. Je travaillais dans une petite communauté francophone du nord-est de l’Alberta. Puis, il y a un gars qui faisait de la radio communautaire qui cherchait du monde. J’ai joint son équipe. Il m’a tout montré. J’ai vraiment aimé ça. Dans les mois qui ont suivi, un poste s’est affiché pour Radio-Canada Service français à Edmonton pour une émission jeunesse. Je l’ai eu. Pendant combien de temps êtes-vous restés à Edmonton? Durant 9 ans. J’y ai fait de la radio et de la télévision. Après je suis déménagé à Toronto tou-
Avez-vous un moment cocasse à raconter? La première fois que j’ai animé une émission du matin, j’étais à Edmonton. Je venais de commencer en septembre à animer une émission jeunesse qui était une heure par semaine. Au mois de novembre, l’animateur de l’émission du matin tombe malade. J’ai 22-23 ans, le patron me fait venir dans son bureau me disant qu’il pense que je suis capable de faire ça. J’arrive très nerveux et intimidé la première journée. Puis, viens le moment de commercer l’émission. On est en studio. En régie, il y a un technicien et le réalisateur qui sont deux frères et deux airs bêtes. L’émission débute et je dis «bonjour, blablabla…» Puis, les deux pèsent en même temps sur le piton pour le talk back «Allume ton micro tabar…» C’est donc comme ça que j’ai entamé ma carrière de morning man en n’allumant pas le micro et en me le faisant crier dans les oreilles! C’était la nervosité. Après, ça a passé.
Lisez l’entrevue complète sur notre site web : carrefourdequebec.com.