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Le non-soi et la santé
Le centre du sacral ouvert.
Continuons le travail, car il faut le faire. Il faut dire oui, car autrement, on risque de manquer quelque chose. Je peux continuer. J’ai seulement besoin d’une tasse de café. Je peux faire cela aussi. Ce n’est pas un problème. Je ne suis pas encore fatigué. Je n’ai pas le temps de me reposer, car il y a trop de travail à faire. Je vais m’en charger, ils n’auront pas besoin de le faire. Je dois le faire moi-même. Il faut que je trouve un partenaire sexuel. De qui est-ce que je peux prendre soin? Qui veut dire non à une vie remplie d’occasions favorables? Je fais tout le travail, car quelqu'un doit s’en charger. Je peux en faire plus. Des limites, quelles limites?
Le centre splénique ouvert.
Je n’agirai pas, car cela me remplit d’insécurité. La peur m’envahit à l’idée d’agir. Je ne dirai rien de peur de bouleverser cette personne. Si je fais cela, j'ai peur de me sentir incompétent. La peur de l’échec me paralyse. J'évite d’assumer des responsabilités, car je crains les répercussions possibles et parce que j’ai peur de la critique. Je m’abstiens d’intervenir de peur de nuire à ma relation avec cette personne, car elle pourrait me quitter.
Le centre du plexus solaire ouvert.
Je n’irai pas là, car je ne veux pas risquer d’être confronté. Je vais aller à cet endroit, car je sais qu’il n’y aura aucune confrontation. Je ne dirai pas ça, car cette personne pourrait en être bouleversée. Je vais le dire gentiment, afin d’éviter le risque de confrontation. Afin qu’ils m’aiment, je serai gentil et souriant. Je n’irai pas là, car je pourrais être déçu ou être rejeté. Ça ne vaut pas la peine de me faire du souci, car j'ai bien peur que cela ne marche pas. J'ai peur de dire la vérité, car je ne veux pas le blesser.