Dossier de presse FRAC Haute Normandie

DOSSIER DE PRESSE

DEUX SCÉNARIOS POUR UNE COLLECTION

PRINTEMPS-ÉTÉ 2021 AU FRAC NORMANDIE ROUEN

SOMMAIRE Communiqué de presse...................................................................................p.3 Présentation du scénario 1..............................................................................p.5 Exposition en chiffres....................................................................................p.10 Visuels pour la presse....................................................................................p.11 Autour de l’exposition.....................................................................................p.14 Expositions du Frac sur le territoire normand..................................................p.20 Présentation du Frac Normandie Rouen..........................................................p.22

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COMMUNIQUÉ DE PRESSE

DEUX SCÉNARIOS POUR UNE COLLECTION Oeuvres acquises par le Frac Normandie Rouen en 2018, 2019 et 2020.

Commissaire de l’exposition : Véronique Souben, directrice du Frac Normandie Rouen

Scénario 1 : Corps, couleurs, matières DU 13 MARS AU 09 MAI 2021 Scénario 2 : Plan, image, séquence DU 10 MAI AU 15 AOÛT 2021 au Frac Normandie Rouen Mac Adams, Circumstantial Evidence, 2016.

Collection Frac Normandie Rouen Crédit photo : Aurélien Mole /galerie gb agency Avec Ingrid Berger, Katinka Bock, Mathieu Bonardet, Ulla Von Brandenburg, Broomberg & Chanarin, Lynne Brouwer, Thomas Cartron, Jagna Ciuchta, Collectif d’en Face, Anne Collier, Dominique De Beir, Morgane Fourey, Marina Gadonneix, Nikolaus Gansterer, Marc-Antoine Garnier, Agnès Geoffray, Geert Goiris, Joseph Grigely, Raphaël Grisey, Christophe Guérin, Florim Hasani, Albane Hupin, Pierre Joseph, Hiwa K, Barbara Kasten, Julien Lelièvre, Élodie Lesourd, Mac Adams, Manuela Marques, Mathieu Mercier, Marianne Mispelaëre, Géraldine Millo, Matan Mittwoch, Karl Nawrot, Constance Nouvel, Estefanía Peñafiel Loaiza, Aurélie Pétrel, Diogo Pimentão, Julien Prévieux, Isabelle Prim, Eileen Quinlan, Sébastien Rémy, Sébastien Reuzé, Sebastian Riemer, Gilles Saussier, Timothée Schelstraete, Joachim Schmid, Pierre Seiter, Slavs And Tatars, Cally Spooner, Éric Tabuchi, Laure Tiberghien, Julie Tocqueville, François Trocquet, Francisco Tropa, Thu-Van Tran, Frédéric Vaesen, Erik Van Der Weijde, Ian Wallace...

Frac Normandie ROUEN 3 place des Martyrs-de-la-Résistance 76300 Sotteville-lès-Rouen T. 02 35 72 27 51 contact presse : Chloé Palau c.palau@fracnormandierouen.fr T. 07 72 03 61 36

Deux scénarios pour Une collection présente un panorama exhaustif des œuvres récemment acquises par le Frac Normandie Rouen depuis 2018 en proposant deux accrochages successifs dont les articulations et approches peuvent s’apparenter à deux scénarios distincts, à deux écritures.

Alors que le premier donne à voir, de manière sensible, différentes façons de représenter, mettre en scène le corps, la nature et la matière, le deuxième d’apparence plus conceptuelle, est guidé par la question du dispositif et agit comme un envers du décor.

Pensée selon deux abords spécifiques, l’exposition déploie ainsi près de 150 œuvres produites par 62 artistes de la jeune génération comme Pierre Seiter, Marc-Antoine Garnier, Laure Tiberghien, Raphaël Grisey, Constance Nouvel, Sébastien Rémy, ou plus confirmés de la scène nationale comme Aurélie Pétrel, Pierre Joseph, Marina Gadonneix, Julien Prévieux, Thu-Van Tran, Elodie Lesourd et internationale avec Slavs and Tatar, Broomberg & Chanarin, Ulla Von Brandenburg, Anne Collier, Mac Adams, Ian Wallace…. Parmi les œuvres exposées, beaucoup relèvent des grands axes qui orientent aujourd’hui la collection tels que l’environnement au travers de l’espace construit, du territoire, de la nature ; le corps dans sa dimension esthétique, sociale, politique mais aussi médiatique et performative, ou le récit dans des formes disruptives liées aux livres, à l’écriture, à l’image, à l’installation.

A travers ces deux temps, Deux scénarios pour Une collection offre également au public l’opportunité d’assister au décrochage du premier volet puis à l’accrochage du second volet par l’équipe de régie. Il s’entend ainsi comme un work in progress, un montage en cours qui donne un accès inédit aux coulisses de l’exposition.

INFO COVID En dépit de sa fermeture temporaire, le Frac poursuit son programme d’exposition. Des visites professionnelles, en petit nombre, sont proposées. Si les rendez-vous et événements annoncés ne peuvent avoir lieu au Frac, des versions numériques et en ligne seront imaginées. De plus, l’exposition sera accessible pour tous en visite virtuelle dès la fin mars.

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PRÉSENTATION SCÉNARIO 1

DU 13 MARS AU 09 MAI 2021

SCÉNARIO 1 : CORPS, COULEURS, MATIÈRES Du 13 mars au 09 mai 2021

territoire & SÉDIMENTATION

Hiwa K, One Room Apartment, 2008.

Photographie. Collection Frac Normandie Rouen

Christophe Guérin, Fendre les flots, 2016.

Vidéo. Collection Frac Normandie Rouen

L’exposition s’ouvre avec des oeuvres relevant de l’un des axes fort de la collection, le territoire. Les aquarelles de Florim Hasani et les photographies de Julien Lelièvre donnent à voir des architectures abandonnées. La maison en construction photographiée par Hiwa K, à proximité des champs de mines au Kurdistan irakien, reflète quant à elle une nouvelle forme d’habitation individuelle. L’œuvre, One room apartment, symbolise pour l’artiste une structure sociale tournée vers le repli sur soi induit par les mutations politiques et l’adhésion à une économie de marché mondiale.

Dans l’espace attenant, les photographies de Gilles Saussier, l’édition de Raphaël Grisey et la vidéo de Christophe Guérin sont le fruit de leurs expéditions.

Elles ont une approche documentaire. Gilles Saussier a ainsi imaginé pour son projet, 180 kilomètres avant la mer, un tracé qui prolonge en ligne droite l’avenue des Champs-Élysées jusqu’à la Manche, dans la perspective de l’axe historique parisien du Louvre à la Défense. Depuis il explore l’ensemble des lieux et des activités situés sur ce tracé, engageant à chaque étape des rencontres avec les habitants, les écoles, les associations… et réunissant des photographies, des récits, des objets...

Dans le même espace, les oeuvres d’Ingrid Berger et Albane Hupin invitent à explorer des paysages abstraits entre sédimentations et surfaces sensibles et à évoluer dans la matière pour un voyage onirique et poétique. Ces œuvres dans leur approche physique et organique amorcent la séquence suivante liée au corps, notamment celui de l’artiste impliqué dans le geste et la matière.

Ingrid Berger, Cosmos/fatigue, 2019.

Dessin, collage. Collection Frac Normandie Rouen

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LE CORPS EN SCÈNE Cette deuxième séquence rassemble un important corpus d’œuvres qui relève du domaine de la sculpture, de l’installation, de la photographie, de la vidéo et de la performance et reflète la prédominance du corps et de ses modes de représentation dans la collection du Frac. Le corps est alors envisagé dans ses relations à l’espace physique mais également à l’espace social, politique, médiatique…

Sébastien Rémy, A scenario for a silent play, 2019.

Installation. Collection Frac Normandie Rouen

Marianne Mispelaëre, Le superflu doit attendre, 2019.

Installation. Collection Frac Normandie Rouen © Adagp, Paris

Les installations de Mac Adams et de Sébastien Rémy évoquent le théâtre et par prolongement la mise en scène. Mac Adams propose un décor, celui d’une scène de détective, tandis que Sébastien Rémy s’occupe des costumes et accessoires en les présentant sur un portant. Ce côté théâtral se retrouve dans les photographies d’Agnès Geoffray.

Les corps, statiques, font leur apparition associés à des objets de mesure. Malgré le style encyclopédique de ces images, la finalité de telles postures restent mystérieuses. A. Geoffray cherche à reconstruire des fictions qui interrogent la réminiscence d’images, de récits qui s’ancrent dans nos mémoires plus ou moins consciemment.

Par ailleurs, certaines oeuvres gardent l’empreinte du corps. C’est le cas de l’installation d’ Ulla von Brandenburg dont la tenture laisse deviner la présence d’un corps renvoyant à une iconographie chrétienne, du Saint Suaire au voile de Véronique.

C’est également vrai pour l’oeuvre Le superflu doit attendre de Marianne Mispelaëre. Lors d’une performance sans spectateur, l’artiste attablée entreprend la lecture d’un ouvrage qu’elle a prélablement posé sur une plaque de cuivre, telle un sous-main ; s’inscrit alors sur sa surface l’oxydation des mains et des avant-bras produite au fur et à mesure de la lecture du livre dont elle porte le titre sérigraphié (La fiction réparatrice, d’Emilie Notéris, 2019). L’artiste veut imposer la lecture comme un travail intecllectuel mais aussi physique. Ce texte associé à cette plaque donne un ton féministe à ses lectures.

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LE CORPS SOCIAL

Slavs and Tatars, Love me, love me not (Ukraine-Yevpatoria), 2018.

Installation. Collection Frac Normandie Rouen © Adagp, Paris

Le travail du duo Slavs and Tatars témoigne de leur intérêt pour la géopolitique, plus particulièrement pour l’eurasie. Leur oeuvre Love me, love me not (Ukraine-Yevpatoria) est un miroir teinté sur lequel sont écrits les trois noms de l’actuelle ville cotière urkrainienne, Yevpatoriya. Appelée Kerkinitis à l’époque pré-romaine (500 av J-C), puis Kezlev par les Tatars de Crimée et Gozleve par les ottomans et enfin sous l’emprise de l’empire russe Yevpatoriya en 1784. Une façon de montrer que pour conquérir et coloniser l’Orient, il a tout d’abord fallu prendre le pouvoir sur le langage de l’Autre. Le miroir inclut le visiteur dans ce processus de transformation en reflétant son visage plus hâlé épousant alors le destin de la ville.

La représentation du corps médiatisé, celui notamment de la chanteuse, est utilisé par plusieurs artistes. Joseph Grigely, Sebastien Riemer, Cally Spooner exploitent tous les trois des images publiées dans la presse. Chez Cally Spooner, il s’agit du corps tronqué puis démultiplié de la chanteuse Beyonce recouvert par des lettres capitales. Le titre de l’oeuvre Due To the Weather, Due to the Delay, Due To No Soundcheck, I Did Not feel comfortable taking the risk reprend les paroles de la chanteuse justifiant son utilisant du play-back lors de l’investiture de Barack Obama à la Maison-Blanche. Une évocation de la facticité du discours dans la vie publique.

Cally Spooner, Due To the Weather, Due to the Delay, Due To No Soundcheck, I Did Not feel comfortable taking the risk, 2013. Photographie Collection Frac Normandie Rouen

Géraldine Millo, Les héritiers, 2016.

Photographie. Collection Frac Normandie Rouen

Alors que les oeuvres mentionnées ci-avant mettent en avant des personnalités médiatiques, les photographies de Géraldine Millo montrent des inconnus. Avec sa série « Les héritiers », en référence à l’ouvrage du sociologue Pierre Bourdieu, la photographe rend visible ces jeunes « poussés » en filière professionnelle. La photographie exposée au Frac montre trois jeunes filles dans l’exercice de leur formation, en l’occurence l’aide au soin et le service à la personne. Si les photographies de cette série interrogent les mécanismes de la reproduction sociale et le rôle qu’y joue l’institution clef qu’est l’école, elles conservent la distance du regard documentaire.

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JEU DE COULEURS

Laure Tiberghien, Screen #10 de la série Screen, 2019. Photographie.

Collection Frac Normandie Rouen © Adagp, Paris

Sébastien Reuzé, Soleil #04-2B-F08, 2017.

Photographie. Collection Frac Normandie Rouen © Adagp, Paris

Marina Gadonneix, Untitled (Lightning) de la série Phénomènes, 2016. Photographie Collection Frac Normandie Rouen

Au premier étage du Frac, c’est la couleur qui prédomine, plus précisement les couleurs. La pallette est large allant du jaune quasi monochrome de l’oeuvre de Pierre Seiter au noir all over de Matan Mittwoch en passant par les violets irisés de Laure Tiberghien. Parmi les oeuvres exposées, on trouve majoritairement des photographies. Certaines ont été acquises suite à leur présentation dans La photographie à l’épreuve de l’abstraction. C’est le cas de l’oeuvre Collision 4T de Barbara Kasten présentée précedemment au Frac ou encore celle de Sébastien Reuzé exposée au Cpif.

L’oeuvre Soleil #04-2B-F08 (2017) de S. Reuzé représente un coucher de soleil, sujet d’étude de l’artiste. Face à l’intensité et à la profondeur du jaune, le spectateur expérimente de façon quasi mystique la perception de la lumière. Cet astre fait également l’objet de la vidéo Coucher de soleil, Uchronie (2016) de Julie Toqueville. Ici, le soleil plutôt que d’amorcer une courbe jusqu’à son coucher, traverse l’image horizontalement suivant une ligne droite imaginaire. Le spectaculaire qu’on associe au coucher de soleil se dilue dans cette mobilité relative, tant elle relève de la lenteur, dans l’immuabilité de ce paysage urbain que ne vient animer aucun jeu de lumière. En toute discrétion, J. Tocqueville bouleverse les lois de la physique et oppose la simplicité de son geste artistique à l’extraordinaire de ce crépuscule qui n’advient jamais.

Une autre artiste, Marina Gadonneix, s’intéresse à la représentation des phénomènes naturels. Sa série « Phénomènes », débutée en 2014, documente des lieux de recherche scientifique consacrés à l’analyse et la reconstitution de phénomènes naturels, principalement météorologiques et astrophysiques.

Les trois photographies acquises par le Frac illustrent la foudre (Lightning), la tornade (Tornado) ou encore un impact de météorites (meteorite impact). À la faveur d’un constant jeu d’échelle entre le réel observé et sa simulation reconstruite, Gadonneix interroge la fabrication énigmatique de représentations issues de dispositifs d’expérience, d’observation et de manipulation, comme autant de sites paradoxaux de spéculation et de cognition aux confins du visible et de l’invisible.

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EFFETS DE MATIÈRE ET DE SURFACE Le triptyque d’Aurélie Pétrel, Ce matin à l’aube, (2012) rend compte également d’effets spéciaux expérimentés cette fois par l’artiste elle-même.

Dans une ambiance enfumée/vaporeuse, on devine certains éléments du mobilier de l’atelier de l’artiste.

Manuela Marques, Verre 8, 2014.

Photographie.

Collection Frac Normandie Rouen

De par leur rendu atmosphérique, les photographies de Manuela Marques semblent être au premier regard abstraites. Leurs titres au contraire les rattachent au factuel, à la réalité. Lac 2 Bis est une photographie dont la représentation s’efface pour offrir une expérience à la limite de la perception. On perçoit des végétaux sous une eau trouble et opaque.

La surface laiteuse du lac apparaît alors comme une métaphore de la surface sensible sur laquelle l’image se révèle, une mise en abime du médium photographique qu’induit ce temps nécessaire à la photographie pour apparaître et prendre sens à nos yeux. Verre 8 montre elle une surface vitrée obstruée par de la buée, sur laquelle on distingue des graffitis éphémères. La photographie Miroir 2 crée elle aussi une sensation de perte de repères, mais cela passe par sa composition qui met en abîme des recoins, ouvre et ferme de nouveaux espaces impossibles et anonymes.

A l’instar de Marques, les peintures de Timothée Schelstraete ont pour point de départ la réalité. En effet, l’artiste part de photographies numériques en basse définition et à l’exposition hasardeuse et retranscrit à l’huile des vues parcellaires d’artefacts industriels délabrés, de pièces métalliques oxydées, s’attachant à toujours souligner le caractère intrinsèquement fragmentaire de la saisie. Ainsi, ses formats pourtant grands peinent à contenir leur objet dans son entièreté : le cadre trop rapproché rogne le motif – toujours visiblement tronqué - excluant tout contexte, et serrant parfois même si près que la composition s’abstrait presque.

Timothée Schelstraete, 190216, 2019.

Peinture. Collection Frac Normandie Rouen © Adagp, Paris

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L'EXPOSITION EN CHIFFRES Combien de volets ?

2 volets pour une exposition dédiée aux acquisitions faites par le Frac en 2018, 2019 et 2020.

Combien d'œuvres EXPOSÉES ?

Le Frac a acquis en trois ans (2018, 2019, 2020) 296 œuvres. Ce qui revient à une moyenne d’achat par an de 100 œuvres. Environ 150 œuvres seront exposées.

Combien d'artistes ont produit ces 150 œuvres ?

On compte 62 artistes dont deux duos d’artistes : Broomberg & Chanarin et Slavs And Tatars.

Slavs and Tatars, Hymns of no Resistance, 2010-2014.

Installation. Collection Frac Normandie Rouen © Adagp, Paris

Qui sont ces 62 artistes de la collection ?

Parmi les artistes qui ont rejoint la collection ces trois dernières années, certains y figuraient déjà comme Manuela Marques, Gilles Saussier et François Trocquet, d’autres comme Anne Collier, Geert Goiris et Elodie Lesourd ont bénéficié d’une véritable actualité avec une exposition monographique. Si l’on y trouve des artistes confirmés de la scène internationale comme Ian Wallace, Ulla von Brandenburg, on y découvre des jeunes talents sortis des écoles d’arts comme Marc-Antoine Garnier, Albane Hupin, Pierre Seiter ou encore Julie Tocqueville.

Combien DE médiums représentés ?

Elodie Lesourd, Nature Coming Full Circle, 2015 (courtesy AkillsB) Peinture. Collection Frac Normandie Rouen

Il y a 8 typologies d’œuvres répertoriées. Parmi elles : la sculpture, les œuvres en 3 dimensions (ou installations), la peinture, le dessin, les nouveaux médias, les éditions ou livres d’artistes, les affiches ou posters (design graphique) et enfin la photographie. Les trois dernières typologies sont celles pour lesquelles on comptabilise le plus grand nombre d’œuvres.

François Trocquet, Sans titre de la série Grand-Quevilly novembre 2017 - juin 2018.

Dessin. Collection Frac Normandie Rouen

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VISUELS POUR LA PRESSE

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SCÉNARIO 1 TOUS LES VISUELS D’ILLUSTRATION SONT ÉGALEMENT DISPONIBLES SUR DEMANDE

Agnès GEOFFRAY, Les impassibles, 2018.

Série photographique Collection Frac Normandie Rouen

Mac Adams, Circumstantial Evidence, 2016.

Installation. Collection Frac Normandie Rouen Crédit photo : Aurélien Mole /galerie gb agency

Joseph GRIGELY, Songs without words (Fiona Apple) de la série Songs without words, 2020.

Photographie.

Collection Frac Normandie Rouen

Sebastian RIEMER, Soprano (Tyler) de la série Press paintings, 2016 Photographie.

Collection Frac Normandie Rouen © Adagp, Paris 2021

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SCÉNARIO 1

Eileen Quinlan, Smoke and mirrors #200, 2007.

Photographie.

Collection Frac Normandie Rouen

Timothée SCHELSTRAETE, 190530, 2019.

Peinture Collection Frac Normandie Rouen © Adagp, Paris 2021

Pierre SEITER, Corona, 2017.

Photographie.

Collection Frac Normandie Rouen © Adagp, Paris 2021

Thu-Van TRAN, Photogramme de résidus #1, 2013.

Photographie.

Collection Frac Normandie Rouen 13

AUTOUR DE L'EXPOSITION INFO COVID En dépit de sa fermeture temporaire, le Frac poursuit son programme d’exposition.

Des visites professionnelles, en petit nombre, sont proposées. Si les rendez-vous et événements annoncés ne peuvent avoir lieu au Frac, des versions numériques et en ligne seront imaginées.

De plus, l’exposition sera accessible pour tous en visite virtuelle dès la fin mars.

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LES RENDEZ-VOUS RÉGULIERS RENCONTRES AVEC LA COMMISSAIRE Samedi 13 mars et samedi 05 juin à 14h30 Visite de l’exposition avec Véronique Souben, directrice du Frac et commissaire de l’exposition.

RDV ENSEIGNANTS Mercredi 17 mars à 14h Présentation de l’exposition aux enseignants et éducateurs, propositions pédagogiques et inscription des classes aux visites et ateliers.

VISITES FLASH Mardi 13 avril et mardi 20 juillet à 12h30, Jeudi 25 mars, Jeudi 17 juin et Jeudi 12 août à 18h Sur le temps du déjeuner ou en fin d’après-midi, venez découvrir l’exposition en 30 minutes !

VISITES DU DIMANCHE 18 avril (LSF), 30 mai, 04 juillet (LSF) et 1er août à 15h30 Visites commentées de l’exposition.

ATELIERS EN FAMILLE Mercredi 28 avril et samedi 12 juin de 14h30 à 16h Découverte active de l’exposition via un parcours ponctué d’ateliers de pratique en lien avec les œuvres observées. Ce moment convivial entre parents et enfants âgés de 5 à 10 ans se conclut par un goûter.

SUR RÉSERVATION. VISITES LSF Dimanches 18 avril et 04 juillet à 15h30 Visites commentées d’une heure pour tous en lecture labiale et traduites en langue des signes.

UNE ŒUVRE, UNE HEURE Jeudi 06 mai à 14h30 Ce rendez-vous propose une description et une découverte approfondies d’une œuvre de l’exposition.

Il est ouvert à tous et adapté au public déficient visuel. SUR RÉSERVATION.

DES ŒUVRES ET DES CONTES Mercredi 19 mai de 14h30 à 16h En collaboration avec la bibliothèque de Sotteville-lès-Rouen, le Frac propose une visite ponctuée de lectures de contes choisis en relation avec l’exposition. Ce parcours, suivi d’un atelier, s’adresse aux enfants de 5 à 10 ans accompagnés de leurs parents. SUR RÉSERVATION AU 02 35 63 60 82

STAGE HOLIDAY (nouveau !)

Jeudi 8 juillet et vendredi 9 juillet de 14h30 à 16h30 Atelier programmé pendant les vacances pour initier les enfants de 6 à 10 ans aux notions et aux thèmes abordés dans l’exposition à travers une découverte ludique des œuvres et une expérimentation plastique en atelier. SUR RÉSERVATION Tous les rendez-vous sont gratuits.

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LES ÉVÉNEMENTs « ÉCOUTE L’ARTISTE » JULIEN PRÉVIEUX Jeudi 08 avril de 10h30 à 12h - auditorium du musée des Beaux-Arts

RAPHAEL GRISEY, Semer Somankidi Coura, une Archive Générative Au Théâtre de la Foudre - CDN de Normandie Rouen Exposition du 23 avril au 27 juin 2021 (sous réserve)

Ce cycle de conférences, organisé par l’association RROUEN (attention nouveau logo à demander à Raphaëlle) et présenté par Tania Vladova, professeure d’esthétique à l’ESADHaR-Rouen, donne la parole aux artistes qui font l’actualité.

Le Frac poursuit sa collaboration avec le Centre Dramatique de Normandie-Rouen et expose pour la réouverture du théâtre de la Foudre un ensemble d’œuvres de l’artiste Raphaël Grisey réalisées en collaboration avec Bouba Touré et Kaddu Yaraax. Mêlant formes documentaires et fictionnelles, perspectives historiques et politiques, cette installation propose une incursion inédite et parfois décalée dans le quotidien de travailleurs d’Afrique de l’Ouest.

En tant que membre de RROUEN, le Frac invite Julien Prévieux dont l’œuvre acquise en 2019 sera visible dans le scénario 2 de l’exposition. Grâce au médium le plus approprié, (vidéo, sculpture, dessin, performance…) Julien Prévieux fait œuvre de tout ce qui contrôle, conditionne, rentabilise nos corps et nos âmes, adoptant le plus souvent une posture burlesque face aux stratégies capitalistes d’aliénation et de formatage des comportements.

Date communiquée ultérieurement.

Julien Prévieux, What Shall We Do Next ? (Ultimate Pinch-toZoom), 2018. Collection Frac Normandie Rouen

Raphaël Grisey, Traana -Migrant temporaire, 2017.

Vidéo appartenant à l’ensemble « Semer Somankidi Coura, une Archive Générative ». ollection Frac Normandie Rouen

Musée des Beaux-Arts Accès rue Jean Lecanuet 76000 Rouen Entrée libre et gratuite

Théâtre de la Foudre Rue François Mitterrand, 76140 Le Petit-Quevilly Gratuit

Une rencontre avec les trois artistes, sous forme de dialogue, permettra d’en découvrir davantage sur ce projet singulier et engagé.

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« Pourquoi encore parler d’artistes femmes ? » Conférence d’Anne Creissels Vendredi 23 avril à 18h30 au Frac Agrégée d’arts plastiques et docteure de l’École des hautes études en sciences sociales en histoire et théorie des arts, Anne Creissels est enseignante à l’université de Lille et artiste dans le champ de la performance. Elle a écrit deux essais : Prêter son corps au mythe : le féminin et l’art contemporain en 2009 et Le geste emprunté en 2019, aux éditions du Félin.

En écho aux œuvres d’artistes femmes présentées dans l‘exposition qui interrogent les représentations féminines, Anne Creissels proposera un éclairage historique sur la répartition sexuée des rôles dans l’art et interrogera la survivance de mythes et les enjeux actuels d’une approche genrée.

DIALOGUE PIERRE JOSEPH & NICOLAS BOURRIAUD Jeudi 24 juin à 18h30 au Frac

L’artiste Pierre Joseph se fait connaître dans les années 90 avec ses « dispositifs à créer des images » dans lesquels il introduit les idées d’environnement, de jeux et de processus de communication, abolissant les barrières entre l’artiste et son public. Son travail sera alors présenté comme représentatif de l’esthétique relationelle, concept mondialement connu, développé par Nicolas Bourriaud, commissaire d’exposition, écrivain, critique d’art et théoricien.

Tous deux continuent, dans leur domaine, de nourrir des réflexions et analyses qui remettent en question les systèmes de production de l’art aujourd’hui. La présentation au Frac de la grande série photographique de Pierre Joseph est une belle occasion de les réunir pour une discussion.

Pierre Joseph. Vue de son exposition « Hypernormandie » à La Galerie, centre d’art contemporain de Noisy-le-Sec (2016). © Photo : Pierre Antoine.

Anne Collier, Woman with a Camera (Profile), 2016.

Collection Frac Normandie Rouen

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WEFRAC - Week-end des Frac Samedi 17 et dimanche 18 avril INVITÉE : LA ROMANCIÈRE MARIE NIMIER Rencontre avec la romancière, Marie Nimier, le samedi 17 avril après-midi Dans le cadre de WeFrac - Week-end des Fonds régionaux d’art contemporain - coordonné par Platform, regroupement des fonds régionaux d’art contemporain - chaque Frac invite une personnalité emblématique à porter un regard inédit sur sa collection.

Pour cette nouvelle édition, la littérature sera mise à l’honneur avec notre invitée, la romancière Marie Nimier.

Au sein de l’exposition, elle offrira une déambulation ponctuée de lectures choisies en regard des œuvres du Frac. Toutes ne retiendront pas son attention et c’est bien cela qui nous intéresse ! Vers quelles œuvres va-t-elle nous guider et de quelles manières ses textes teinteront notre perception ?

Portrait de Marie Nimier ©Tonatiuh Ambrosetti / Fondation Jan Michalski

Marie Nimier a écrit seize romans publiés chez Gallimard, largement traduits à l’étranger, dont Sirène (couronné par l’Académie Française), Anatomie d’un choeur, La Girafe et La Reine du Silence (Prix Médicis 2004). Elle écrit des fictions radiophoniques pour France Culture, des chansons, pour Clarika, Enzo Enzo, Juliette Gréco, Eddy Mitchell...mais aussi des albums pour les enfants. Elle est également auteure de nombreuses pièces de théâtre. Son roman L’Hypnotisme à la portée de tous a été adapté au cinéma, elle coécrit par ailleurs des scénarios. Elle vient de publier un nouveau roman intitulé Le Palais des Orties.

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« leS Frac À L'AIR LIBRE » AVEC Julien Lelièvre A l’occasion du week-end des Frac, ces derniers exposent une œuvre en extérieur. Intitulée « Les Frac à air libre », cette proposition inédite permettra au plus grand nombre de faire l’expérience singulière de ce dialogue entre espace urbain et art contemporain.

Le Frac Normandie Rouen a choisi d’inviter l’artiste Julien Lelièvre, très actif sur le territoire normand, à investir les murs de son bâtiment industriel. Son œuvre photographique porte une attention bienveillante à l’architecture banale et aux paysages modestes du quotidien périurbain. Si l’homme est souvent absent du décor, les traces de ses actions sont, elles, omniprésentes, dérisoires et involontairement belles : un thuya taillé au cordeau mais à moitié ; un graffiti vindicatif bombé à la va-vite sur un rideau de fer ; une longère normande chapeautée de tôle…

Saurez-vous trouver son œuvre ?

Julien Lelièvre, Sans titre, de la série « Bonjour l’ambiance » 2015.

Collection Frac Normandie Rouen

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EXPOSITIONS SUR LE TERRITOIRE NORMAND

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DÉJOUER FLAUBERT D’avril à décembre 2021 Le Frac célèbre le bicentenaire de la naissance de Flaubert en proposant une série originale d’expositions dans divers lieux culturels et patrimoniaux de Normandie.

Rassemblées sous l’intitulé « Déjouer Flaubert », ces expositions, conçues à partir d’oeuvres de la collection du Frac, invite à revisiter les grands thèmes qui jalonnent les romans du célèbre auteur. Plutôt que d’illustrer, il s’agit à travers chacune de ces présentations de renverser, de donner un éclairage volontairement décalé, une lecture à l’envers des singularités littéraires de l’illustre romancier, pour mieux en souligner l’actualité.

Plus d’infos sur www.fracnormandierouen.fr

VOISINS DE CAMPAGNE #2 « Matter-Of-Fact / les pieds sur terre » Du 19 juin au19 septembre 2021 Elina Brotherus en résidence au Domaine de Bois-Héroult

Elina Brotherus, Green Lake de la série “Artist and her Model” 2007. Collection Frac Normandie Rouen

Domaine de Bois-Héroult 400 rue du Château 76750 Bois-Héroult (route D61)

« Voisins de campagne » est né du désir de plusieurs familles, propriétaires de résidences remarquables, d’inviter un.e artiste à porter un regard singulier et contemporain sur leurs demeures, liées au patrimoine et à l’histoire normande. Coordonnée par la galerie Duchamp et le Shed, cette seconde édition offre l’opportunité à cinq artistes d’être accueillis et accompagnés dans un temps de recherche et création.

En tant que partenaire, le Frac invite Elina Brotherus, artiste de sa collection, en résidence au domaine de Bois-Héroult. La photographe produira des œuvres in situ qui seront ensuite exposées au sein du domaine ouvert au public pour l’occasion.

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PRÉSENTATION DU FRAC NORMANDIE ROUEN

Crée en 1982, le Fonds régional d’art contemporain (Frac) Normandie Rouen est une association culturelle destinée à soutenir et diffuser l’art contemporain grâce à un fonds d’oeuvres regroupant des artistes phares et signifiants de la création contemporaine.

Depuis 1998, le Frac Normandie Rouen est abrité dans un ancien bâtiment industriel datant des années 30, à Sotteville-lès-Rouen (face au jardin des plantes de Rouen). Le Frac dispose d’un lieu d’exposition pour présenter régulièrement et selon différentes approches une partie de ce fonds ainsi que des expositions consacrées à des artistes émergents ou confirmés de la scène artistique.

Il bénéficie également d’un espace pédagogique spécifique pour accueillir tout au long de l’année les publics les plus divers autour d’ateliers, de rencontres, de stages, d’événements, de conférences et de visites.

A ce jour, le Frac Normandie Rouen possède une importante collection riche de plus de 2600 oeuvres reflet de la diversité et de l’originalité des pratiques et des esthétiques les plus contemporaines (peintures, photos, vidéos, installations, oeuvres en volumes, dessins, livres d’artistes etc.).

Depuis 2011, le Frac Normandie Rouen propose une approche plus historique et scientifique de la collection. Ainsi le cycle de L’inventaire présente les oeuvres du Frac en fonction de leur année d’acquisition, tandis que les expositions dédiées à la pratique s’intéressent, quant à elles, à un médium spécifique. Parmi les médiums qui caractérisent la collection, ont été mis à l’honneur : la photographie en 2012 avec l’exposition Learning Photography, les livres et éditions d’artistes en 2014 avec l’exposition Bibliologie, le dessin en 2015 avec Fabriquer le dessin en dialogue avec les collections du MuMa et du musée des beaux-arts de Rouen et enfin l’affiche et le poster en 2017. A cela s’ajoutent des monographies plus particulièrement dédiées à des photographes (Gilles Saussier, Geert Goiris, Isabelle Le Minh, Anne Collier...) mais aussi à des artistes abordant les problématiques de l’espace, du corps et de l’environnement (Michael Sailstorfer, Sophie Dubosc...).

Outre son programme dans les murs, le Frac conçoit également un riche programme hors les murs afin de diffuser largement sa collection dans des lieux les plus divers de la région comme les musées, les centres d’art, les établissements scolaires, les universités, les hôpitaux mais aussi l’Opéra, les théâtres, les centres chorégraphiques, et ce, par le biais de dispositifs originaux comme le « Frac à…», « une espace pour une œuvre », ou encore « Une oeuvre, un établissement ». Tous les ans, le Frac initie également un focus territorial en investissant, par exemple, « Les Maisons des illustres » ou encore les Abbayes de Normandie avec une série d’expositions thématiques élaborées en dialogue avec le lieu d’accueil.

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PROCHAINE EXPOSITION AU FRAC

Exposition MONOGRAPHIQUE

SIMON NICAISE SEPT/DÉC 2021

Le Frac donne une carte blanche à l’artiste Simon Nicaise pour imaginer une installation in situ inédite dans l’espace d’exposition destinée à présenter l’ensemble des pièces qui jalonnent son parcours artistique depuis plus de dix ans.

Se définissant comme « bricoleur du réel », Simon Nicaise travaille souvent à partir d’objets de la vie courante qu’il détourne, transforme et charge de tensions pour révéler, entre autres, la fragilité de l’instant et du sens. Diplômé de l’école d’art de Rouen, l’artiste s’est notamment fait remarqué en 2009 au Salon de Montrouge et lors de l’exposition « Seconde Main » au Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris.

Récompensé du prix Jeune Création en 2009 et Science Po pour l’art contemporain en 2011, il est aujourd’hui représenté par le Galerie Backslash à Paris.

Il est également l’initiateur de la web Radio *DUUU.

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RENSEIGNEMENTS PRATIQUES FRAC NORMANDIE ROUEN 3 place des Martyrs-de-la-Résistance 76300 Sotteville-lès-Rouen T. 02 35 72 27 51 www.fracnormandierouen.fr Suivez-nous sur

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HORAIRES Du mercredi au dimanche de 14h à 18h Ouvert les jours fériés sauf le 1er mai Entrée libre et gratuite Accès handicapés En raison du contexte sanitaire actuel, nous vous invitons à vérifier les dates et horaires sur notre site internet.

CONTACT PRESSE Chloé Palau - Chargée de communication c.palau@fracnormandierouen.fr 02.35.72.27.51 / 07.72.03.61.36

LE FRAC NORMANDIE ROUEN bénéficie du soutien du Ministère de la Culture/ DRAC de Normandie, de la Région Normandie de la Ville de Sotteville-lès-Rouen.

Le Frac Normandie Rouen est membre de PLATFORM, Regroupement des Fonds régionaux d’art contemporain, de RN13bis -art contemporain en Normandie et de RROUEN, réseau des lieux d’art contemporain de l’agglomération rouennaise.