Magazine AMVOQ - Printemps 2021

Dans cette édition : Volume 31, numéro 1 Printemps 2021 www.amvoq.ca

Envoi de Poste-Publications / Numéro de convention 41167017 AMVOQ, 5300, boulevard des Galeries, local 305, Québec (Québec) G2K 2A2

Les 4 éléments à considérer avant de modifier vos assurances

Le prix de vente d’un véhicule automobile : légal ou pas?

Étiez-vous au courant? Comme plusieurs, probablement pas!

Volume 31, numéro 1 | Printemps 2021

Sommaire

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Pneus d’hiver en été : pas une bonne idée après tout!

Message du président

Que nous réserve 2021?

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Mot du directeur général Combien ça va?

Présentation du nouveau comité de discipline de l’AMVOQ

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Les 4 éléments à considérer avant de modifier vos assurances

La pharmacie postale, une solution pour réduire les coûts des régimes d’assurance collective

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Étiez-vous au courant? Comme plusieurs, probablement pas!

La vente virtuelle est là pour rester

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Les intentions d’achats automobiles restent élevées en 2021

L’entretien préventif : un secret bien gardé

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Comment aider vos clients à apprécier le processus d’achat de voitures usagées

Renouveler son adhésion, c’est payant!

21 L’opinion juridique Le prix de vente d’un véhicule automobile : légal ou pas?

35 Nos partenaires et services

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La revue AMVOQ est publiée par l’Association des marchands de véhicules d’occasion du Québec (AMVOQ).

Elle est distribuée aux membres de l’AMVOQ ainsi qu’à certains intervenants du domaine de l’automobile et aux encans.

Direction de la publication Catherine Langlois

Conception graphique Steve Harrison

Conseil d’administration de l’AMVOQ Roger Beaupré

Luc Pharand

Daniel Pucella

Éric Fréchette

Alain Guy

Michel Parent

Claude Malo

Rock Tremblay

Héloïc Bourgon

Président

Vice-président Secrétaire

Trésorier

Administrateur

Administrateur Administrateur

Administrateur Administrateur

Pour connaître les coordonnées complètes des membres du conseil d’administration, voir le site www.amvoq.ca.

Photo de la page couverture

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Dépôt légal

Bibliothèque nationale du Québec Envoi de publication canadienne Convention no 40051661

5300, boulevard des Galeries Local 305 Québec (Québec) G2K 2A2 Téléphone : (418) 627-2164 Sans frais : 1 800 569-7007 Télécopieur : (418) 627-0349 www.amvoq.ca / info@amvoq.ca

Message du président

Roger Beaupré Membre de l’AMVOQ et Président du CA

Que nous réserve 2021?

L’année 2020 avait bien commencé au chapitre des ventes, mais la Covid est venue tout chambouler en forçant un confinement durant l’une des meilleures périodes de l’année pour la vente de véhicules. Des ventes en ligne se sont faites, mais rien de comparable avec un mois d’avril normal.

A

u sortir du premier confinement, malgré les appréhensions de plusieurs, les acheteurs de véhicules d’occasion étaient au rendez-vous. Plusieurs marchands membres de l’AMVOQ ont d’ailleurs fait de très bonnes affaires.

Un des plus gros problèmes de l’année 2020 fut l’approvisionnement en véhicules. Il faut se rappeler que, quelques semaines avant le début de la pandémie, nous avons eu un blocus ferroviaire qui a eu des conséquences sur les usines de véhicules neufs et sur les arrivages. Cette situation a affecté passablement la chaîne d’approvisionnement. De plus, la force du dollar américain n’a fait qu’accentuer le transfert de nos véhicules d’occasion de l’autre côté de la frontière.

Que nous réserve 2021?

Ma boule de cristal est pas mal embuée. Ce deuxième confinement sera-t-il prolongé? Bien que depuis son creux en mars 2020, la valeur du dollar canadien s’est accrue de presque douze cents, pour l’instant, rien ne semble vouloir essouffler la demande américaine pour les véhicules en provenance du Canada.

Et cette forte demande américaine, jumelée au manque d’inventaire de véhicules neufs, ne fait qu’accentuer la baisse de véhicules d’occasion sur le marché canadien. On a qu’à regarder la baisse des inventaires dans les différents encans physiques ou virtuels pour s’en convaincre. Comme l’offre et la demande régissent nos marchés, la rareté des véhicules pousse donc les prix à la hausse. Selon plusieurs études, c’est une situation qui devrait se résorber. Espérons qu’elles aient raison et que les choses rentrent dans l’ordre le plus rapidement possible.

De plus, la peur de la Covid fera-t-elle en sorte que les gens vont délaisser le transport en commun au profit d’un véhicule?

D’un autre côté, quel sera l’impact du télétravail sur les besoins en transport? Que nous réserve donc 2021? Bien malin celui qui peut répondre à tous ces inconnus.

Une chose est certaine, en 2021, les marchands doivent faire preuve d’agilité et d’originalité pour se démarquer. Pour y arriver, les membres de l’AMVOQ ont à leur disposition une panoplie de services et de programmes. Merci à nos différents partenaires qui sont présents du début à la fin de la transaction.

Qu’on parle d’approvisionnement, de reconditionnement, de mise en marché, de publicité, de web marketing, d’assurance, de financement, de solutions numériques, d’aide juridique et j’en passe, votre association et ses partenaires se sont donnés un objectif commun : vous accompagner à servir vos clients de la façon la plus professionnelle possible. Vous êtes des professionnels, faites donc affaire avec des professionnels… Vos partenaires.

Cette année, à défaut de tenir notre congrès, vos partenaires et votre association vous présentent des webinaires sur les différents services qu’ils vous offrent. Si vous n’avez pu y assister en direct, sachez qu’ils sont disponibles sur notre chaîne YouTube via les liens reçus par courriel.

Si vous avez des questions, des interrogations, communiquez avec votre représentant, il se fera un plaisir d’y répondre.

Bon printemps à tous et que COVID se tienne loin de vous. La lumière commence à se pointer au bout du tunnel. On espère se revoir en présentiel bientôt.

Printemps 2021 |

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Mot du directeur général

Steeve De Marchi, MBA Directeur général AMVOQ sdemarchi@amvoq.com

Combien ça va?

Eh non, iI n’y a pas d’erreur...

La question est bien : « Combien ça va ? » et non pas « Comment ça va ? ».

Et cette question n’est pas banale.

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| Printemps 2021

E

n fait, je suis toujours surpris du mystère qui entoure les réponses des commerçants de véhicules d’occasion lorsqu’on leur parle de résultats. Au fil des années, je me suis rendu compte qu’interroger un commerçant de véhicules d’occasion est un peu comme interroger un politicien.

Il y a beaucoup de belles réponses et parfois de grandes réponses, mais dans les faits, bien peu d’information est partagée...

Par exemple, si on demande à un marchand comment se compare son année à celle de l’année précédente, il répond généralement : « pas si pire » ou « moins bonne » ou encore « à peu près pareille ». Si on veut en savoir plus et que l’on demande combien il a vendu de véhicules, on obtiendra des réponses du genre : « pas mal » ou « moins que l’an passé ». Si on pousse la démarche plus loin et qu’on pose des questions plus pointues comme « et comment est votre moyenne F&I totale incluant les ventes au comptant » ou encore, « quel est votre investissement marketing par véhicule vendu », on obtient généralement des réponses nébuleuses ou on nous dit ne pas avoir la donnée.

Moins, pas mal, pas gros, pas pire… Voilà des réponses intéressantes, mais bien peu utiles pour nous aider dans nos réflexions stratégiques.

Face à de telles réponses (ou absence de…), je me demande parfois si c’est parce qu’on n’a pas de réponse à nous donner ou si c’est plutôt parce qu’on ne veut pas donner de réponse. La réalité se situe probablement entre les deux. J’ose espérer que

la grande majorité de nos membres maitrisent bien les informations de gestion à leur disposition. Ils seraient donc « hésitants » lorsque vient le temps de partager leurs données? Je sais que plusieurs ont peur que leurs informations tombent entre les mains des concurrents. Après tout, un marchand de véhicules « indépendant » est par définition « indépendant »... Il y a aussi ceux qui ne connaissent pas en détail tous les résultats de leur entreprise. Évidemment, quand ça va bien, tout est parfait. Mais il est tout de même important de savoir ce qu’on fait de bien pour être en mesure de le refaire... Ou d’apporter des changements lorsque les choses vont moins bien.

En période de changements comme celle que nous vivons présentement, il est important aussi pour l’AMVOQ d’avoir une image précise du marché si elle veut remplir sa mission. Tous s’entendent pour dire que la vente de véhicules d’occasion a énormément évolué au cours des dernières années. La pandémie n’a fait qu’accélérer le rythme de ces changements.

Qu’est-ce qui a changé?

Le grand changement dans le processus d’achat d’un consommateur est, bien sûr, la multiplication des sources d’informations à sa disposition, tant en qualité qu’en quantité.

Certains nostalgiques parmi vous se souviennent de l’époque où le magasinage se faisait presque exclusivement dans la cour du commerçant. L’attraction de la clientèle se faisait par les drapeaux, les banderoles et les enseignes. Un peu de pub dans les journaux et les napperons de restaurants et le reste du « closing » se faisait sur place. Aujourd’hui, le client visite rarement plus de 2 commerces et certaines sources situent la moyenne canadienne à 1,75 visite. Vous espérerez alors que votre commerce sera la visite 1 et non pas la 0,75...

La pandémie a accéléré les tendances, mais elle n’est pas responsable du virage vers le magasinage en ligne. L’arrivée du web et ses différentes options de communications ont déplacé votre inventaire de la cour où il se trouve vers une cour virtuelle où se trouvent des milliers de véhicules. Cette cour est maintenant provinciale et les outils pour trier cet inventaire ne cessent de se développer. En plus des recherches par véhicule, par options et par prix, les médias sociaux et sites d’avis offrent maintenant aux consommateurs la possibilité de faire le tri parmi les marchands qui semblent dignes de confiance (ou pas...).

Et qu’est-ce qui demeure?

reste le même... Valider qu’on fait un bon deal, valider qu’on a le bon véhicule et, aussi, valider qu’on a le bon commerçant pour nous accompagner pendant – et après – la transaction. L’effet le plus évident des changements pour nos membres concerne la recherche par ceux qui veulent le « bon deal » ou, devrait-on dire, le bon prix. Ce sont eux qui sont les plus « bruyants » et dont on entend parler le plus avant la 1,75 visite. Évidemment, l’Internet est un outil de choix pour ces consommateurs qui veulent un prix. Il faut bien attirer les clients et un bas prix est un facteur d’attraction non négligeable. Malheureusement, certains marchands se concentrent seulement sur cet élément (voir la course vers le bas...) et négligent les autres facteurs d’attraction comme la confiance dans le véhicule et la confiance dans le commerçant.

Il ne faut pas oublier que la révolution dans les outils de communication permet aussi aux consommateurs de valider facilement et rapidement la réputation en ligne.

Comment l’AMVOQ peut-elle vous aider à attirer et fidéliser vos clients?

La barre est de plus en plus haute dans la course aux clients et le marketing devient une science. Il faut non seulement jongler efficacement avec le prix, l’accessibilité de nos plateformes, la présence et la réputation en ligne, mais surtout et par-dessus tout, il faut assurer la continuité de l’expérience lorsque le client passe de l’environnement virtuel à l’environnement présentiel (du web au commerce...).

Le rôle de l’AMVOQ est de vous aider autant que possible à naviguer dans cet environnement en changement. Pour y arriver, nous avons besoin de votre aide. Au printemps 2021, nous entreprendrons un exercice de planification stratégique visant à arrimer nos actions aux nouvelles réalités du marché. Cette année plus que jamais, nous avons besoin de votre implication pour réaliser cet exercice. Nous aimerions en savoir davantage sur votre situation et avoir votre opinion sur votre environnement.

Nous avons donc décidé de vous solliciter directement par un sondage aux membres. Le sondage est en ligne depuis quelques jours et vous avez peut-être même eu l’occasion d’y répondre. Si c’est le cas, MERCI... Sinon, nous vous demandons de prendre le temps de le compléter. Il s’agit d’une démarche essentielle pour nous aider à vous aider.

Sur ce, je vous souhaite un beau – et prospère – printemps, sous le signe de l’ouverture...

La manière dont les consommateurs accèdent à l’information a bien sûr changé et il est fort à parier que ces changements ne sont pas terminés. Il faut faire avec... Malgré cela, certains éléments du processus de magasinage demeurent les mêmes.

Essentiellement, les recherches dans les cours visaient une chose : valider un niveau de confiance suffisant pour faire une transaction. La manière pour l’obtenir a changé, mais le but visé Printemps 2021 |

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Assurance

Les 4 éléments à considérer avant de modifier vos assurances Le contexte actuel de la pandémie affecte tout le monde sans exception. En tant qu’entrepreneur dans le domaine de l’automobile, même si le secteur tire son épingle du jeu, cette situation amène de nombreux défis.

E

n ces temps incertains, il est logique, même légitime, de vouloir épargner et revoir ses postes de dépenses. La tentation peut être forte de réduire ses couvertures pour diminuer sa prime d’assurance. Toutefois, à trop vouloir couper ou à couper aux mauvais endroits, il peut arriver qu’on mette l’entreprise encore plus en péril, surtout advenant un sinistre.

En tant que courtier, notre rôle demeure celui de vous conseiller adéquatement et de vous inciter à être prudent lorsque vient le temps de choisir ou de modifier vos protections.

Pour vous aider à y voir plus clair, DPA Assurances vous formule quatre conseils :

« Vouloir réduire sa prime d’assurance est tentant et légitime, mais cela ne devrait jamais se faire au détriment des protections essentielles dont une réduction ou le retrait peut mettre en péril le travail de plusieurs années. »

1. Assurez-vous que votre courtier connaisse la nature de votre entreprise, afin d’obtenir de judicieux conseils personnalisés. Mieux il connaîtra votre réalité, plus efficaces seront ses conseils. N’hésitez pas à vérifier ses connaissances et à lui demander combien de clients lui font confiance dans votre domaine. De plus, demander des références peut s’avérer utile pour choisir le bon courtier avec qui une relation de confiance pourra s’établir.

2. Posez des questions sur l’assureur que vous propose votre courtier. Expert dans son domaine, votre courtier est en mesure de bien connaître les assureurs et opter pour celui qui vous convient. Ainsi, posez-lui des questions sur la taille,

l’expertise, le service de réclamations, etc. Par exemple, cet assureur a-t-il une équipe interne pour gérer ses réclamations ou fait-il affaire avec des firmes externes?

Sachez que la qualité du service est très différente et que le traitement des réclamations par une équipe locale est souvent garant d’une plus grande satisfaction, notamment en réduisant les délais et le nombre d’intervenants.

3. Demandez-lui de vous expliquer les protections essentielles et les nouveautés sur le marché. En plus des couvertures de base, demandez-lui qu’il vous parle des nouvelles assurances disponibles. Par exemple, l’importance d’une protection de cyber-risques, la couverture tremblement de terre, les programmes d’assistance disponibles auprès de l’assureur, l’importance d’être assuré à la juste valeur, etc.

4. Questionnez-le sur la prime. Les primes trop basses peuvent cacher de mauvaises surprises! Assurez-vous que votre prime est compétitive, mais sans faire de compromis.

Plus l’écart de prix est grand, plus vous devez poser des questions concernant les protections, les montants assurés, les franchises et le service de réclamations.

Pandémie ou pas, revoir vos assurances entreprises régulièrement demeure une bonne pratique. Non seulement vous comprendrez mieux ce qu’offre votre contrat actuel, mais vous pourriez mieux cerner si vos modifications amélioreraient votre situation ou si au contraire, vous la mettriez à risque.

Entre bonnes mains…

Votre programme d’assurance, développé par Intact Assurance et DPA, a déjà franchi toutes les étapes de certification quant à sa qualité et l’excellence de son rapport qualité-prix. Il ne fait aucun compromis quant à la qualité des protections offertes, est distribué par des courtiers experts de votre industrie et propose une prime compétitive. Profitez-en en toute tranquillité d’esprit.

dpaassurances.com 1 800 361-9866

Printemps 2021 |

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Crédit

Réal Breton Président-Directeur général Iceberg Finance Inc.

Étiez-vous au courant?

Comme plusieurs, probablement pas!

L

e but de cette chronique est de mettre en avant-plan les bénéfices et la polyvalence du programme IF Xpress.

Le programme IF Xpress propose un plan de financement de 1 000 $ à 5 000 $ afin de vous accompagner dans la vente de vos véhicules usagés, du financement de vos produits d’assurance et de garanties, des équipements, etc. Nos termes jusqu’à 60 mois permettent une mise en marché exceptionnelle de vos produits et permettent à vos clients de prévoir une dépense quelquefois inattendue en cette période complexe.

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Maintenant que le plus grave de la pandémie semble derrière nous, les prochains mois seront extrêmement importants au niveau de la rentabilité pour tous les commerçants dans l’industrie automobile.

Chaque opportunité d’affaire doit être considérée et pour ce faire, nous devons avoir en main tous les outils pour faire face aux besoins croissants et particuliers de nos clients. La crise a pu être profitable pour certains consommateurs, alors que pour plusieurs, la situation a engendré un endettement généralisé et une détérioration de leur score de crédit. sera impactée positivement grâce à un usage stratégique de ce produit.

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Affaires en ligne

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Les intentions d’achats automobiles restent élevées en 2021 À l’approche de la date d’anniversaire de déclaration d’une pandémie au Canada, nous avons sondé les visiteurs de la place d’affaire en ligne autoHEBDO.net afin de caractériser leurs intentions d’achats pour 2021.

A

u cours du mois de janvier, nous avons interrogé 300 consommateurs déclarant une intention d’achat automobile au cours des six prochains mois. Leurs réponses nous permettent d’entrevoir une perspective positive pour les ventes automobiles en 2021, en particulier chez les concessionnaires et marchands qui continuent d’investir en ligne.

Tout au long de la pandémie de COVID-19, nous avons remarqué une stabilité quant aux intentions d’achats de véhicules neufs et usagés sur un horizon de 6 mois. Ainsi, cette mesure a fluctué entre 16 % et 18 % au cours des derniers mois et elle s’établit présentement à 17 %.

Alors que les concessionnaires optent de plus en plus pour la transparence tout au long du processus d’achat automobile, tout en tenant compte des exigences de distanciation physique, les consommateurs acquièrent la confiance requise pour conclure leur démarche d’achat. En effet, les consommateurs se sont adaptés et habitués à rechercher de l’information en ligne, en utilisant des outils qui leur permettent de magasiner en toute sécurité et de franchir par eux-mêmes un plus grand nombre d’étapes du processus d’achat avant de se déplacer chez un commerçant.

Ainsi, il semblerait que ces facteurs aient raccourci le temps passé en présence des commerçants pour conclure un achat automobile. Si on retourne en mars 2020, 72 % des consommateurs avec une intention d’achat déclaraient anticiper qu’il

leur faudrait plus de temps que d’habitude pour acheter un véhicule en raison de la pandémie. Toutefois, cette perception a fortement diminué, alors que c’est aujourd’hui 46 % des répondants qui anticipent une prolongation de leur processus d’achat automobile. Comme nous l’avons déjà recommandé, les concessionnaires et marchands doivent continuer à fournir aux acheteurs une variété d’outils d’achat en ligne : ce sont des moyens sûrs pour procéder à une inspection visuelle du véhicule convoité, effectuer un essai routier et proposer un processus d’achat sans discontinuité ni répétition. La mise en place d’un processus prévisible est beaucoup plus attrayante pour les acheteurs, mais aussi pour les commerçants, c’est pourquoi cette nouvelle façon de procéder devrait perdurer après la pandémie.

Parmi les principales sources d’informations utilisées au cours du processus d’achat, les acheteurs de véhicules d’occasion indiquent utiliser les places d’affaires en ligne (57 %), les sites web marchands (32%) et même les sites web des fabricants (39 %). Comme on peut s’y attendre, l’importance des activités qui nécessitent des contacts en personne (par exemple, les visites chez les commerçants et les discussions avec les parents et amis) a diminué depuis le début de 2020.

Si on regarde maintenant du côté des éléments déclencheurs poussant à l’achat d’un véhicule, ceux-ci enregistrent peu de Suite à la page 15 Printemps 2021 |

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changements. Ainsi, les deux principaux éléments sont l’âge actuel du véhicule (29 %) et le désir de se procurer un véhicule plus récent ou agréable (24 %). À la suite du point culminant d’infections en janvier dans la plupart des provinces canadiennes, on a remarqué une hausse de l’inquiétude relative à la COVID-19 par rapport à la vague de sondages précédente. Il est toutefois intéressant de noter que même si la COVID-19 suscite une préoccupation croissante, cela ne s’accompagne pas d’une montée d’inquiétude relativement à l’économie, aux finances personnelles ou à la capacité d’achat.

En fait, ces pourcentages sont en baisse. Au début de la pandémie, 68 % des acheteurs anticipaient devoir retarder leur achat en raison de la COVID-19 alors qu’aujourd’hui, ce nombre a diminué de 20 points pour se fixer à 48 %. En ce qui concerne la capacité d’achat, 56 % des consommateurs déclaraient à l’époque être nerveux à l’idée d’acheter un véhicule en raison de la pandémie, alors que dans nos recherches les plus récentes, ce chiffre a diminué à 38 %.

Lorsqu’on demande ensuite à ces consommateurs si le moment présent est approprié pour effectuer un achat important, 40 % conviennent que c’est le cas, tandis que 23 % affirment le contraire. Fait intéressant, 48 % des consommateurs estiment qu’en raison de la pandémie, ils sont en mesure d’épargner plus qu’auparavant, ce qui leur permet de financer des achats plus importants.

Ce qu’il faut retenir de ces résultats, c’est que l’intention d’achat automobile demeure forte et inchangée en 2021. De plus, les ressources en ligne restent la source d’information la plus importante, ce qui signifie que si vous n’offrez pas ce que les acheteurs recherchent, vous risquez de perdre des ventes. Si vous souhaitez continuer à bien vendre, assurez-vous d’investir dans les bonnes plateformes de vente en ligne, de maintenir votre présence sur les places d’affaires en ligne et de continuer à offrir un solide site web. De plus, ne négligez pas l’importance de vos investissements dans vos outils en ligne, comme la suite de vente à distance ou même le système de vente au détail numérique: ils demeurent plus essentiels que jamais pour inciter les consommateurs à se lancer dans le processus d’achat ou à passer à l’étape suivante.

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Information

Drew Harden Directeur, Recherche et informations CARFAX Canada

Exploiter les informations

Comment aider vos clients à apprécier le processus d’achat de voitures usagées En tant que directeurs et employés de concessionnaires automobiles canadiens, vous avez un travail difficile: aider des millions de Canadiens à trouver la voiture parfaite pour eux.

N

ous avons demandé aux Canadiens ce qu’ils pensaient du processus d’achat de voitures usagées et avons constaté que seulement 51 % d’entre eux ont dit qu’ils l’appréciaient. Alors, qu’est-ce qui empêche les gens d’apprécier le processus d’achat d’une voiture et que pouvezvous faire pour améliorer le processus pour tous ces clients mécontents?

La confiance a été brisée Les Canadiens sont déjà stressés par l’achat de leur véhicule, 9 sur 10 conviennent que l’achat d’une voiture usagée est une décision importante. Dans une tournure inhabituelle, être un acheteur de voiture expérimenté pourrait même aggraver les choses, car 47 % des acheteurs de voitures usagées au Canada disent avoir déjà eu une mauvaise expérience d’achat de voiture.

Alors, quelles parties du processus sont à l’origine de cette perspective négative? Nous avons constaté que 71 % des acheteurs de voitures usagées estiment que les concessionnaires profitent d’eux lorsqu’ils achètent leur voiture. L’un des principaux contributeurs à ce sentiment est que 66 % des clients pensent qu’ils sont sous pression lors de l’achat chez un concessionnaire. Que pouvez-vous faire pour aider?

1. Allez-y doucement Les Canadiens veulent avoir le temps de réfléchir aux choses.

88 % des acheteurs de voitures usagées déclarent vouloir prendre leur temps lors de l’achat d’un véhicule. Prenez le temps d’aider vos clients à réfléchir à toute objection et à comprendre ce qui pourrait les aider à prendre une décision. Demandez la commande une fois que le client sait qu’il obtient exactement ce qu’il veut, ou regardez pour une autre option si le véhicule n’est pas le bon choix.

2. Renseignez-les sur le véhicule Lorsque nous avons demandé aux acheteurs de voitures usagées s’ils se sentaient à l’aise d’évaluer l’état des voitures usagées, 48 % ont répondu que non. Cela vous donne l’occasion d’être leur guide dans l’évaluation d’une voiture. Faites connaître le véhicule à votre client en le guidant à travers son historique et assurez-vous qu’il fasse un essai routier. Assurez-vous que votre processus confirme qu’ils obtiennent une excellente voiture, de cette façon, ils ont l’impression d’avoir suivi les bonnes étapes.

3. Facilitez la négociation 51 % des acheteurs de voitures usagées n’aiment pas négocier le prix de leur voiture. Ne pas pousser vos clients dans un va-et-vient de négociation et concentrez-vous plutôt sur la justification du prix. Après tout, ils sont probablement venus chez vous parce que vous aviez un bon prix de départ et que vous leur avez déjà démontré qu’ils obtiennent un excellent véhicule qui répond à leurs besoins. Expliquez comment vous êtes arrivé à votre prix compétitif et démontrez la valeur incluse dans ce prix. Lorsqu’un client sait que votre prix est justifié, il ne se sentira pas exploité.

En fin de compte, votre client est la personne la plus importante sur le terrain. Prenez le temps de gérer ses objections, informez-le sur le véhicule et aidez-le à comprendre le raisonnement derrière le prix. Cela vous aidera non seulement à conclure l’affaire, mais aussi à engendrer des acheteurs de voitures heureux qui reviendront chez votre concessionnaire et vous recommanderont à leurs amis.

Exploiter les informations répond à vos questions sur les acheteurs canadiens de voitures et les transforme en réponses! Notre recherche exclusive examine de près les motivations et les comportements des acheteurs de voitures d’aujourd’hui et révèle des informations exclusives que vous ne trouverez nulle part ailleurs. Si vous souhaitez que nous répondions à une question, écrivez à insights@carfax.ca.

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Pneus

Sophie Mailhot Coordonnatrice aux communications marketing Distribution Stox

Pneus d’hiver en été

Pas une bonne idée après tout!

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ous pouvez tirer avantage de cette fenêtre d’opportunité pour fournir à vos clients des informations convaincantes, et qui sait, vous pourriez faire des ventes de pneus supplémentaires. Les pneus d’hiver sont spécialement conçus pour les basses températures et ce que la plupart des gens ne savent pas, c’est que le composé de caoutchouc est plus souple que celui des pneus d’été ou des pneus toutes saisons.

Par conséquent, lorsqu’ils sont utilisés par temps chaud, leur performance en termes de tenue de route est affectée. Le risque d’aquaplanage augmente, la distance nécessaire au freinage est plus longue et la capacité est réduite dans les virages. De plus, leur efficacité sera considérablement diminuée s’ils sont utilisés l’hiver suivant, sans parler de l’usure prématurée qu’ils auront subie. Les pneus Goodyear et les pneus Kelly offrent une panoplie de choix pour bien conseiller vos clients. Nous en avons retenu quelques-uns qui méritent votre attention : le pneu Assurance Maxlife, le pneu Assurance A/S et le pneu Edge A/S. Le pneu « touring premium » Assurance Maxlife de Goodyear est sans contredit le meilleur choix. Avec la technologie TredLifeMC, ce produit offre une fiabilité en toutes saisons et une résistance maximale à l’usure. Il est doté d’une jauge d’usure intégrée qui procure une lecture visuelle pratique de la profondeur de la bande de roulement. Il ne fait aucun doute qu’il s’agit d’un produit de haute qualité qui se distingue particulièrement parmi les conducteurs qui préconisent la durabilité avant tout, mais également parmi ceux qui recherchent un confort de conduite élevé.

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Au printemps, vous devez souvent rencontrer des clients qui prévoient laisser les pneus d’hiver sur leur voiture pendant l’été.

En effet, on pense généralement qu’il n’y a rien de mal à les utiliser durant la saison chaude, mais ce n’est pas tout à fait vrai.

Les clients sont toujours heureux d’entendre « meilleur rapport qualité/prix », ça tombe bien, car avec le pneu toutes saisons Assurance A/S de Goodyear, vous pouvez l’utiliser allègrement.

Il compte plusieurs attributs, mais on l’apprécie beaucoup pour sa bande de roulement qui propose de larges rainures qui évacuent bien l’eau et la gadoue et qui améliorent la traction sur sol mouillé. Ses multiples arêtes mordantes offrent une traction remarquable en toutes saisons dans des conditions de conduite sur chaussées humides, sèches et enneigées. De toute évidence, il a toutes les qualités requises pour être un excellent choix.

Le pneu Edge A/S des pneus Kelly est un produit 4 saisons intermédiaire conçu pour une conduite sécuritaire. Il se démarque par ses blocs de sculpture avec arêtes mordantes pour une tenue de route par temps humide, sec et hivernal. Ses amples rainures aident à évacuer l’eau et la gadoue, améliorant ainsi son adhérence. Pour ses nombreuses qualités et sa durée de vie, le Edge A/S est manifestement un bon choix.

Voilà! Vous avez maintenant une proposition de trois produits intéressants à offrir. Nous espérons que ces informations vous aideront à aiguiller vos clients afin qu’ils puissent prendre des décisions éclairées sur le choix de leurs pneus pour les temps plus chauds.

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Me Marc-Antoine Couture

Droit

Conseiller juridique AMVOQ macouture@amvoq.com

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L’opinion juridique Le prix de vente d’un véhicule automobile : légal ou pas?

Depuis mon arrivée à l’AMVOQ, plusieurs marchands m’ont questionné quant à différents aspects du prix de vente d’un véhicule automobile dont ils font la vente, que ce soit au niveau des frais de dossier ou même du prix affiché.

C

ertains membres m’ont informé avoir reçu des constats d’infraction, dont le total dépasse les vingt mille dollars (20 000 $) pour certains! Devant une accumulation de constats d’infraction aussi salée, je me permets une révision des principes de base en matière de prix de vente.

I. Le prix de vente affiché doit comporter tous les frais

En vertu du Décret d’application de règles de conduite aux commerçants d’automobiles d’occasion (ci-après désigné le « Décret »), le prix affiché et ce, tant dans une publicité qu’au commerce, doit comporter tous les frais, à l’exception de la TPS et de la TVQ : « Annoncer, tant dans la publicité que dans les établissements du commerçant, un prix de vente, ou une valeur au détail lorsque l’automobile d’occasion annoncée est offerte en location à long terme, qui comprend tous les frais, à l’exception de la Taxe de vente du Québec (TVQ) et de la Taxe sur les produits et services (TPS), devant être payés pour obtenir l’automobile d’occasion. Le prix de vente ou la valeur au détail, à l’exclusion des taxes, ne pourra être augmenté que si des produits ou services sont ajoutés à la demande du consommateur et uniquement pour une somme égale au prix des produits ou services ajoutés. »1 [nos soulignés] 1

Décret d’application de règles de conduite aux commerçants d’automobiles d’occasion (chapitre P-40.1, r. 4), annexe.

En d’autres mots, lorsque vous indiquez un prix de vente sur un véhicule, celui-ci doit comporter tous les frais que le consommateur devra acquitter pour se procurer l’automobile, à l’exception de la TPS et de la TVQ. Ainsi, tout ce qui concerne les « frais administratifs », les « frais de dossier » ou même les « frais de gestion » ne sont pas permis.

De plus, il est possible d’ajouter des frais, et ce, seulement si ces frais sont ajoutés à la demande du consommateur et pour une somme égale au prix des produits et services ajoutés.

Par exemple, il est possible d’ajouter la somme de trois cents dollars (300 $) à titre de frais esthétiques. Toutefois, ces frais seront « légaux » dans la mesure où le consommateur en aura fait la demande. En d’autres mots, vous ne pouvez pas imposer au consommateur de tels frais. Afin de limiter vos risques, je vous recommande de demander au consommateur d’apposer ses initiales à côté de ces frais sur le contrat de vente.

II. La publicité sur les différentes plateformes Plusieurs marchands font de la publicité à leur commerce, mais aussi sur plusieurs plateformes web, dont Autousagée.ca.

Plusieurs marchands utilisent plusieurs de ces plateformes à la fois. Cette pratique, bien que très répandue dans l’industrie, peut s’avérer très coûteuse.

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En effet, la Loi sur la protection du consommateur (ci-après désignée la « Lpc ») prévoit notamment qu’un commerçant ne peut pas exiger, pour un bien ou un service, un prix supérieur à celui qui est annoncé (art. 224 c) Lpc). Contrevenir à cette disposition est une infraction pénale (art. 277 Lpc), dont le contrevenant est passible d’une amende allant de 600 $ à 15 000 $ pour une personne physique, alors que l’amende pour une personne morale peut varier de 2 000 $ à 100 000 $. En cas de récidive, ces amendes sont portées au double (art. 278 Lpc).

Ainsi, vous devez être très prudents lorsque vous apportez des modifications à vos prix. Par exemple, il est possible que vous décidiez de faire une promotion et de réduire le prix de vente de vos véhicules de mille dollars (1 000 $) pour une période de deux (2) mois. Une fois la promotion terminée, il sera alors primordial d’aller modifier le prix de vente de vos véhicules sur toutes les plateformes web utilisées.

Le prix devra alors être le bon et ce, sur toutes les plateformes publicitaires que vous utilisez. Le fait d’exiger un prix plus élevé, bien que le prix encore réduit n’apparaisse qu’à un seul endroit, est une infraction à la Lpc. Si plusieurs véhicules sont visés par cette « erreur de prix » dans une publicité, vous commettez autant d’infractions que de véhicules visés par cette erreur. Tel que mentionné précédemment, ce ne sont pas seulement que les entreprises qui peuvent être visées par une amende, mais aussi le propriétaire de l’entreprise. D’ailleurs, cette situation est malheureusement arrivée à quelques-uns d’entre vous.

Pour conclure, les règles encadrant le prix de vente d’une automobile sont claires : que ce soit dans une publicité ou au commerce, le prix affiché doit inclure tous les frais que le consommateur doit acquitter afin de se procurer l’automobile, à l’exception de la TPS et la TVQ. Tenter de contourner les règles établies dans la Lpc ou le Décret pourrait vous coûter cher, pourquoi prendre un tel risque inutile?

Présentation du nouveau comité de discipline de l’AMVOQ L’AMVOQ a récemment fait un appel de candidatures afin de mettre en place un comité de discipline conformément à ses règlements généraux. Suite au processus de sélection effectué par le conseil d’administration de l’AMVOQ, les membres du comité de discipline sont les suivants :

M. Steeve De Marchi, Directeur général de l’AMVOQ;

M. Luc Pharand, Pharand Autos & Camions (membre du conseil d’administration);

Mme Paige Roy, G.R. Autos Usagées;

M. Roch Bégin, Alain Bégin Autos;

M. Benoît Desjardins, AutoStudio 72.

Rappelons que le comité de discipline a notamment pour fonction de recevoir et d’examiner toutes les plaintes justifiées d’un consommateur à l’égard d’un marchand membre de l’association. Ce comité peut faire des recommandations au conseil d’administration de l’AMVOQ concernant le marchand visé par une plainte. Ces recommandations sont, par exemple, la suspension du marchand, son expulsion de l’association ou toute autre mesure jugée appropriée.

Par ailleurs, le comité de discipline se réserve le droit de consulter le conseiller juridique de l’AMVOQ dans le cadre de l’étude des dossiers qui lui seront soumis.

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La pharmacie postale, une solution pour réduire les coûts des régimes d’assurance collective La mission de la pharmacie postale est de contrôler les coûts des médicaments et de faciliter la vie des utilisateurs. Celle-ci offre un service de pharmacie complet, en mode virtuel.

L

e premier avantage de la pharmacie postale est que vous pouvez facilement obtenir un prix pour vos médicaments en demandant une soumission en ligne ou par téléphone. Le coût d’exploitation de ce type de pharmacie étant moindre, vous économisez sur les honoraires facturés par la pharmacie.

Comme la mission est de contrôler les coûts, les stratégies de base vous sont automatiquement proposées, telles que l’achat de médicaments de maintien pour une période de trois mois et l’utilisation des médicaments génériques.

Leur système de rappel par courriel, message texte ou par téléphone favorise une meilleure observance de vos traitements.

Il est facile de prévoir un réapprovisionnement de vos médicaments de maintien. Vous avez aussi accès à votre dossier en ligne incluant le nombre de renouvellements restants.

Il est possible de communiquer avec votre pharmacien par téléphone ou de prévoir une consultation vidéo. Ceux-ci offrent les mêmes services que les pharmaciens en pharmacie traditionnelle, tels que le prolongement d’ordonnance et la possibilité de prescrire des médicaments pour des conditions mineures.

Il est possible de vous procurer une grande variété de médicaments en vente libre, tels que Tylenol, Advil, sirop pour la toux, etc. Vous pouvez communiquer avec eux pour obtenir des conseils sur l’achat de ces médicaments.

Leur système de livraison est très efficace et rapide. Vous recevrez normalement vos médicaments dans un délai de 24 à 48 heures. Dans certaines régions, il est même possible de vous faire livrer la journée même! Il n’y a pas de frais additionnels pour la livraison.

Les colis ne sont pas identifiés au nom de la pharmacie, ce qui vous procure une totale discrétion et vous permet de vous faire livrer partout au Québec. Vous pouvez donc vous faire livrer où vous le voulez, même au chalet! Si vous prenez des médicaments qui nécessitent une réfrigération, ne vous en faites pas, ils ont tout prévu. Ils offrent aussi des services de piluliers. De plus, vous pourrez suivre votre colis avec un lien qui vous sera envoyé lors de l’expédition.

Vous sauverez du temps... Fini l’attente à la pharmacie!

Avec les nouvelles mesures dues à la pandémie de la COVID-19, la pharmacie postale est une solution parfaite pour rester en sécurité et éviter les files d’attente.

En plus de l’économie sur votre part des frais, l’économie sur la part payée par l’assureur améliorera l’expérience de votre entreprise et aura un effet sur les primes d’assurance de votre régime d’assurance collective dans les années à venir. Vous obtiendrez donc une économie individuelle et collective.

La demande du prix en ligne est sans engagement. Si vous choisissez de transférer votre dossier à une pharmacie postale, vous n’aurez rien à faire, ils s’occuperont de tout. Et si vous n’êtes pas satisfaits, vous pourrez retourner à une pharmacie traditionnelle aussi facilement.

Pour plus d’informations sur les principaux fournisseurs et les impacts de l’utilisation de la pharmacie postale sur votre régime d’assurance collective, n’hésitez pas à communiquer avec nous.

Carol Fréchette Groupe Conseil Giguère et Fréchette 1 888 686-3264 poste 29 Printemps 2021 |

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Mario Loubier

Chronique

Auteur et consultant 514 434-9423 info@marioloubier.com

La vente virtuelle est là pour rester Je ne crois pas que les appels de vente virtuelle cesseront de sitôt, étant donné que les clients y ont maintenant goûté. Je veux partager avec vous 5 erreurs courantes commises lors d’un appel de vente virtuelle et surtout, quoi faire pour les éviter.

1. L’improvisation Si vous n’avez pas d’agenda précis, vous n’aidez pas du tout votre client et vous nuisez à vos chances de conclure une vente.

Vous devez vous approprier l’agenda et le présenter à votre client.

Voici donc mon conseil pour vous : avant de commencer, notez seulement trois points que vous voulez accomplir avec votre prospect puis partagez-les avec lui ou elle au début de la conversation. « Monsieur Tremblay, si vous êtes d’accord, j’aimerais bien vous poser d’abord quelques questions sur (objet de la demande) et ensuite, je vous montrerai (votre produit). Si tout vous convient, vous pourrez décider si vous voulez aller de l’avant avec une décision d’achat aujourd’hui. » 2. Attitude sans émotion Votre client prendra exemple sur vous pour son énergie.

Vous devez vous approprier la mise en place et le maintien de l’attitude émotionnelle de l’appel. La réalité est que nous faisons cela tout le temps dans nos présentations de vente en face à face. Lorsque l’énergie baisse, vous perdez l’intérêt des clients et finalement, vous pouvez perdre la vente. Vous savez comme moi que les clients prennent leurs décisions en se basant principalement sur leurs émotions. Laissez-moi donc vous faire une suggestion : pensez à noter sur un post-it les mots « +Positif Seulement+ » avec un gros sourire. Mettez-le sur le devant de votre écran, tout près de votre caméra. C’est vous qui dirigez l’attitude émotionnelle et pas l’inverse.

3. Réglages techniques La première impression compte. Que se passe-t-il lorsque vous vous connectez et qu’un client vous voit mal ou qu’il a de la difficulté à vous entendre de la bonne façon? Il y a un remède simple à tout cela. Il suffit de vous enregistrer pendant 10 secondes et d’écouter l’enregistrement immédiatement par la suite. Imaginez que vous êtes un acheteur et que vous avez à

évaluer votre première impression à partir de ce que vous venez d’enregistrer. Vous saurez rapidement ce que vous devez corriger.

Profitez-en donc pour mettre toutes les chances de votre côté.

4. Trop parler Imaginez quelqu’un qui parle trop vous faisant face. Imaginez la même chose mais dans un écran. Vous n’avez aucune chance.

Vous changez de chaîne ou vous faites autre chose! Le problème, c’est que notre capacité d’attention est limitée. Les recherches nous apprennent que les gens ne peuvent pas écouter très longtemps. Cependant, lorsqu’on peut interagir, on écoute beaucoup plus attentivement. Voici donc la suggestion que je vous fais pour améliorer ce point. J’utilise cette méthode qui s’appelle « la règle des feux de circulation ». 30 secondes sans interaction, feu vert. 30 à 60 secondes sans interaction, attention, feu jaune.

60 secondes ou plus, c’est un feu rouge. Les gens cessent d’écouter.

5. La plus grande erreur Ne pas demander la vente. C’est sans aucun doute le point le plus défaillant des appels de vente virtuelle. Commencez toujours votre conversation avec l’idée en tête que vous terminerez la conversation en demandant une vente ou en la faisant avancer. Ce concept doit guider l’ensemble de l’appel.

Précisez-le dès le début. En fait, dans le premier élément de ce texte, je vous ai montré comment faire. « Si vous êtes d’accord, j’aimerais bien... » Vous devez toujours débuter l’appel avec un plan. Si tout est au goût du prospect, vous serez en mesure de lui montrer comment acheter aujourd’hui ou sinon, de faire au moins avancer votre vente.

Passez en revue cette liste de cinq choses avec l’un de vos pairs et entraînez-vous les uns avec les autres. C’est cette pratique qui consiste à devenir meilleur afin d’être plus performant. Ne soyez pas naïf, la vente virtuelle est là pour rester.

Bon succès.

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Jocelyn Jargot

Michel Gagnon

Conseiller en prévention Auto Prévention

Conseiller en hygiène industrielle Auto Prévention

© François Bélanger

Santé et sécurité du travail

L’entretien préventif : un secret bien gardé En plus d’augmenter la sécurité des équipements, l’entretien préventif est le secret de leur longévité.

L’entretien préventif permet de :

Diminuer les risques d’accidents dus au fonctionnement des appareils;

Planifier l’entretien dans les périodes creuses;

Diminuer les coûts reliés à un bris inopiné;

Augmenter la durée de vie des équipements.

Bref, c’est exactement comme pour l’automobile : un bon programme d’entretien préventif vous évitera de tomber en panne au milieu de nulle part.

Comment mettre en place l’entretien préventif sans perdre la tête Comment manger un éléphant? Une tranche à la fois et, surtout, en prenant son temps! Il en va de même pour un programme d’entretien préventif. Pour y arriver, il faut y aller méthodiquement et graduellement pour optimiser les résultats de ce programme.

Voici donc les étapes essentielles pour implanter avec succès votre programme d’entretien préventif.

1. Faites l’inventaire des équipements Commencez par dresser une liste des équipements, département par département. Ensuite, dans chaque département, identifiez les équipements les plus à risque afin de commencer votre programme par ces équipements. Pour rester dans la limite de vos moyens, commencez par choisir les équipements utilisés le plus fréquemment ou ceux pouvant occasionner des accidents graves.

2. Préparez le calendrier des tâches d’entretien à l’aide de la fiche d’entretien préventif Pour les équipements jugés critiques, vous devez identifier les tâches d’entretien requises et leur fréquence. Pour ce faire, référez-vous aux manuels des fabricants et consultez les Suite à la page 31 Printemps 2021 |

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utilisateurs. Vous pourrez ainsi préparer une fiche d’entretien préventif propre à chacun de vos équipements.

3. Planifiez les activités et attribuez les tâches

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Auto Prévention vous propose des fiches simples à utiliser.

© Marine Charette

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Regrouper les activités au sein des opérations un peu comme si vous étiez votre meilleur client! Un système bien apprécié consiste à utiliser les bons de travail. En effet, vous pourriez utiliser le système des bons de travail à votre profit. Chaque équipement pouvant être vu comme un véhicule client, vous pourrez ainsi vous faire des rappels et surtout, faire le suivi des entretiens. En agissant ainsi, il est plus facile de planifier les activités pour chaque semaine et aussi, de s’assurer que les techniciens ont le temps nécessaire pour les réaliser.

4. Faites le suivi annuel Il est avantageux de réviser périodiquement votre programme pour l’optimiser. Ainsi, vous constaterez peut-être que certaines fréquences d’entretien doivent être augmentées ou que certains entretiens majeurs gagneraient à être effectués à d’autres moments. © Auto Prévention

5. Ajoutez graduellement de nouveaux équipements Fort de votre expérience, ajoutez quelques nouveaux équipements chaque année. Vous construirez ainsi, au fil des ans, un programme d’entretien préventif complet qui vous aidera à diminuer les coûts, à augmenter la durée de vie de vos équipements et surtout, à diminuer les risques d’accidents au travail.

Pour optimiser les résultats de ce programme, il faut y aller méthodiquement et graduellement. © Auto Prévention

Des nouvelles fiches d’entretien et une nouvelle causerie pour vous aider.

Nous avons révisé et simplifié notre approche de l’entretien préventif. Procurez-vous nos nouvelles fiches disponibles sur notre site Internet dans la section Autres thèmes SST > Gestion de la prévention > Entretien préventif.

Venez en discuter en vous inscrivant à notre toute nouvelle causerie.

Printemps 2021 |

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Catherine Langlois

Information

Directrice du développement et marketing AMVOQ clanglois@amvoq.com

Renouveler son adhésion, c’est payant! © Fotolia.com + Shutterstock.com

Nous sommes en pleine période de renouvellement d’adhésion à l’AMVOQ. Année après année, une centaine de marchands confondent ce renouvellement avec celui du cautionnement.

C

e sont 2 éléments complètement différents et le cautionnement ne va pas sans votre adhésion. Vous ne pouvez bénéficier des avantages tarifaires du cautionnement si vous n’êtes pas membre de l’Association.

Par ici les économies! Ça fait un peu plus de 12 ans que je fais partie de la belle famille de l’AMVOQ. Quand j’y suis arrivée, on parlait souvent que de cautionnement, que plusieurs de nos membres n’y étaient que pour la caution... Eh bien je peux vous dire que si vous n’y êtes encore que pour ça aujourd’hui, vous passez peut-être à côté d’une foule de services et de programmes avec lesquels vous pourriez économiser temps et argent. En fait, c’est à ça que ça sert l’AMVOQ! On vous déniche des ententes de partenariats avec les meilleurs de l’industrie et si nous sommes en mesure de fabriquer nous-même le produit ou service à un prix plus avantageux, nous le fabriquons. C’est la troisième partie de la mission.

L’année 2020 a été difficile pour la plupart d’entre vous...

Pourquoi ne pas vous assurer de profiter au maximum des programmes et services offerts par nos partenaires et votre Association? Voici quelques exemples d’économies que vous pourriez faire ou de ristournes que vous pourriez recevoir :

Achetez pour 40 000 $ de pièces chez NAPA vous donne une ristourne approximative de 1 200 $ annuellement, en plus d’avoir une tarification AMVOQ avantageuse;

Être assuré chez Intact Assurance peut vous procurer une économie de plus de 2 000 $ lorsqu’on parle de police commerciale et d’un inventaire de 40 véhicules;

Pour seulement 89,99 $, utilisez le Gestionnaire de véhicules d’occasion (GVO) pour faire vos contrats de vente et étiquettes de vitre, afficher sur Autousagee.ca et syndiquer vers nos partenaires Trader, Kijiji Autos et CarGurus; • De plus, n’ajoutez que 100 $ par mois et vous obtenez votre site web!

Achetez pour 40 000 $ en pneus vous donne une ristourne approximative de 3 000 $, en plus d’avoir une meilleure tarification et un accès au compte national pour les achats Goodyear, Dunlop et Kelly

Un conseiller juridique dédié à répondre à vos questions, vous aider dans vos transactions ou lors d’un litige avec un consommateur et ce, gratuitement!

Miroir, miroir Les critères d’admission pour un commerçant qui désire devenir membre de l’AMVOQ se sont beaucoup resserrés depuis les sept dernières années. L’image visuelle et réputationnelle a pris davantage de place dans les discussions au conseil d’administration et au comité de direction. La valeur d’être membre de l’AMVOQ, c’est aussi ça. Ne rentre pas qui le veut.

Je pense que vous serez d’accord avec moi, on ne veut pas devenir élitiste mais on veut se différencier des autres par le service, l’image et la réputation globale des membres face aux consommateurs. Comme dirait Steeve De Marchi : « À choix égal, les consommateurs devraient choisir un membre de l’AMVOQ ».

C’est vers là qu’on s’en va. En tant que porte-parole, je veux pouvoir crier haut et fort dans nos publicités qu’on est tous les meilleurs!

Vous vous demandez si on peut en faire plus pour vous?

Je vous invite à contacter votre agent au développement AMVOQ dès aujourd’hui pour vous en assurer. Ils est là pour vous!

P.S. La date limite pour renouveler votre adhésion est le 30 avril prochain; n’attendez pas à la dernière minute pour le faire!

Bon printemps, on a hâte de vous voir la binette en VRAI! Printemps 2021 |

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Nos partenaires et services Vos associés en affaires Pièces d’autos

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Produits financiers et assurance-crédit iA VAG

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Garantie mécanique, assurance-crédit 1 866 723-4402 Produits de garantie mécanique et d’assurance de remplacement, assurance vie et crédit. Soutien aux marchands: formation (vente et gestion).

1 855 694-0960 Financement 2e et 3e chance au crédit, financement de produits SSQ, avance d’argent pour une équité négative, un comptant, des accessoires, etc.

SSQ Garantie mécanique, assurance-crédit

Encan en ligne

1 866 723-4402 Produits de garantie mécanique et d’assurance de remplacement, assurance vie et crédit. Soutien aux marchands: formation (vente et gestion) et consultations en ventes et commercialisation après-vente.

TradeRev Encan en ligne Système d’encan en ligne de véhicules permettant aux concessionnaires et aux marchands de vendre et d’acheter en temps réel.

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