La Première Rue 2016 - Program / Guide

> LA PREMIÈRE RUE 2016 PROGRAMME / GUIDE

Cité Radieuse Le Corbusier Briey

> SOMMAIRE :

> INFORMATIONS PRATIQUES :

VISITES GUIDÉES ET ACCUEIL

pages : 4-5

> TOURISME : UNE CITÉ RADIEUSE LE CORBUSIER BRIEY_GRANDE RÉGION

pages : 6-11

> LES EXPOSITIONS : À LA GALERIE BLANCHE

pages : 12-21

> SPECTACLES : À LA PREMIÈRE RUE

pages : 22-31

> OUVERTURES : VERS DE NOUVELLES RELATIONS COLLABORATIVES

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pages : 32-37

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> INFORMATIONS PRATIQUES : ACCUEIL ET VISITES GUIDÉES La Première Rue peut vous accueillir en accès libre ou bien vous accompagner lors d’une visite guidée.

Accès libre : Du lundi au jeudi de 9h à 12h30 et de 14h à 17h30, le vendredi jusqu’à 12h30.

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Pour les week-ends, jours fériés et vacances scolaires, merci de bien vouloir nous contacter quinze jours avant.

Les premiers dimanches du mois de mars à octobre de 14h à 17h30.

Association La Première Rue 131, Cité Radieuse Le Corbusier 1, Av. Dr Pierre Giry, 54150 Briey-en-Forêt, France

Visite guidée :

Tél. / Fax : 03 82 20 28 55 lapremiererue@gmail.com

Pour les groupes à partir de 10 personnes, possibilité de visites guidées également les week-ends et jours fériés, sur réservation préalable.

Merci de bien vouloir nous contacter au moins 15 jours avant la date souhaitée.

Durée de la visite guidée : prévoir entre 1h30 et 2h00.

Tarif des visites guidées : - 3,50 euros par personne en visite individuelle, - tarifs préférentiels pour les groupes, se renseigner auprès de l’association.

La visite, à dominante didactique est proposée sur réservation et s’adapte à tous les publics (groupes touristiques et scolaires, étudiants, particuliers...).

Lors du parcours l’Association vous propose une découverte de l’Unité d’Habitation conçue par l’architecte le Corbusier à travers son histoire, sa façade, le couloir polychrome, appelé "rue" et l’appartement témoin conservé dans son état d’origine.

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Une immersion étonnante entre utopie et réalisme donnera à voir et à comprendre les clés essentielles à l'interprétation de cette architecture moderniste.

www.lapremiererue.fr

> INFORMATIONS PRATIQUES : ACCUEIL ET VISITES GUIDﾃ右S

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> TOURISME : UNE CITÉ RADIEUSE LE CORBUSIER BRIEY_GRANDE RÉGION

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> PATRIMOINE CORBUSÉEN : LES UNITÉS D’HABITATION Le Corbusier (1887-1965) est, parmi les architectes du XXe siècle, le plus connu.

Sa notoriété dépasse le cercle des spécialistes pour atteindre le grand public. Cette situation, rare pour un architecte, n’est pas uniquement française. Elle se vérifie au plan international.

De la maison particulière (villa Savoye) à la grande cité moderne (Chandigarh), Le Corbusier a élaboré de très nombreux projets. Ses œuvres sont unanimement respectées comme des contributions décisives à l’architecture du XXe siècle.

Les historiens de l’architecture ont vu dans "l’Unité d’Habitation" l’une des "hypothèses les plus intéressantes" de la période moderne. Elle est l’aboutissement d’un long travail théorique. Ses prémices remontent à 1922. Le Corbusier voulait créer alors des "cités jardins verticales", capables de répondre simultanément à l’aspiration à la maison individuelle (au contact de la nature) et aux avantages de l’immeuble collectif (au contact des équipements). Cette idée, perfectionnée durant les années trente, déboucha, en 1939, sur un projet de grand immeuble, avec "rues intérieures", appartements en "duplex", toit terrasse équipé et commerces intégrés. Cette proposition ne trouva sa concrétisation qu’au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, à Marseille, grâce à une commande exceptionnelle du Ministère de la Reconstruction. Mené durant cinq années, le chantier de Marseille s’acheva en 1952, sur une architecture à la plastique superbe.

Après Marseille, quatre unités nouvelles seront construites : à Rezé (Nantes), à Berlin, à Briey et à Firminy. À travers ces cinq réalisations (toutes différentes les

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unes des autres) Le Corbusier a donné forme à l’une des recherches les plus originales de l’architecture et de l’urbanisme du XXe siècle. Issues d’une approche complexe de la question du logement, ces cinq unités cristallisent les données économiques, sociales et culturelles de l’Europe d’après guerre.

Le Corbusier y a mis en œuvre tous les moyens expérimentaux - théoriques, plastiques et techniques - dont on pouvait disposer dans les années 50. Réponses abstraites aux problèmes de l’habitat collectif de la ville moderne, elles offrent aussi, par la diversité des rapports qu’elles ont noués avec leur site particulier, une richesse expérimentale remarquable. Elles constituent, de ce fait, un authentique patrimoine. Nous possédons, en Meurtheet-Moselle, un immeuble important : l’un des cinq exemplaires construits par Le Corbusier sur ce thème de "l’Unité d’Habitation".

> PATRIMOINE CORBUSÉEN : LES UNITÉS D’HABITATION

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> LA CITÉ RADIEUSE DE BRIEY : BRIEY-EN-FORÊT L’importance et la spécificité de l’Unité d’Habitation de Briey par rapport aux quatre autres existantes, viennent du fait qu’elle est la seule réalisée entièrement dans les crédits réglementés OPHLM des années 60.

Cependant, André Wogenscki, l’architecte et ingénieur qui a dirigé le chantier de construction, a mis un point d’honneur à ce que les principes pratiques et esthétiques du concept de "Cité Radieuse" de Le Corbusier ne soient pas altérés par les moyens modérés mis en œuvre.

Construite entre 1959 et 1961, l’Unité d’Habitation de Briey-en-Forêt a traversé de graves difficultés. Dès 1966, la Cité Radieuse va être confrontée au départ des familles américaines (basées à Etain dans le cadre du traité de l’O.T.A.N), puis à la crise de la sidérurgie. A ceci s’ajouteront les problèmes financiers de gestion de l’immeuble, ce qui entraînera sa désaffection progressive, sa fermeture en 1983 et, pour finir, un projet de démolition.

Sauvée à la fin des années 1980 grâce aux efforts de la municipalité de Briey et de l’État, elle est aujourd’hui entièrement habitée sous la forme d’une copropriété et a retrouvé tout son sens et son éclat.

Le réaménagement des abords de la Cité Radieuse en 1999 conçu par l’architecte suisse Bruno Reichlin et l’agence VW Architectes à la demande de la ville de Briey, de même que la récente réfection de la façade (2007-2009) par le cabinet d’architectes Medrea, Ferauge & Iung Architectes, témoignent de ce souci de protection et de valorisation de cet élément phare du patrimoine architectural régional.

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Cette reconnaissance est également marquée par l’inscription à l’Inventaire supplémentaire des Monuments Historiques de certains éléments du bâtiment : les façades, la toiture, le hall, la Première Rue et l’appartement témoin.

Situation géographique : Briey se trouve à une trentaine de kilomètres de Metz, une centaine de kilomètres de Nancy et à une cinquantaine de kilomètres du Luxembourg.

> LA CITÉ RADIEUSE DE BRIEY : BRIEY-EN-FORÊT

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> LES EXPOSITIONS : À LA GALERIE BLANCHE

dede type "nuage"_17 octobre 2014 – 08– février 2015_ proposé par le Frac Lorraine > Yona Yona FRIEDMAN FRIEDMAN: :Prototype Prototypeimprovisé improvisé type "nuage"_17 octobre 2014 08 février 2015_ proposé par le Frac Lorraine

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> LOLA FAIRISE : "TOUT COMMENCE PAR UN RÊVE..."

"Le meilleur moyen de réaliser l’impossible est de croire que c’est possible" Lewis Carroll

Du jardin des Merveilles au royaume de la Nuit... Où peut-on, sait-on encore poursuivre avec Alice le Lapin Blanc de nos rêves d'enfant ? Le temps d'une exposition, La Galerie Blanche se transforme en champ de foire imaginaire, en explorant l'autre côté du miroir des parcs à thème.

Disneyland, Europaparc et le Futuroscope ont été retenus, en France et en Allemagne. Ils ont été choisis en fonction de leur forte notoriété, de leur attractivité, et du caractère emblématique bien différencié de leurs ambiances.

En les parcourant, l'immersion dans un univers imaginaire est totale : ces espaces sont conçus comme des parenthèses temporelles et spatiales enchantées.

D'autres règles prévalent, qui ne sont plus celles de la vie quotidienne, et que nous acceptons pour ce moment, nous visiteurs. L'architecture et l'ingénierie sortent de leur rôle de disciplines sérieuses et consacrées à des problèmes ordinaires.

Elles sont pour un temps au service d'une scénographie de l'émerveillement, qui utilise tous les artifices : jeux des matériaux, des compositions, des couleurs, des lumières, des sonorisations...

L'exposition se veut elle aussi un univers immersif, jouissif, festif. Les photographies de Lola Fairise, architecte, reflètent la tentative de rendre compte de mondes parallèles en laissant intact leur magie.

Si nous sommes bien cet animal postmoderne décrit par Lyotard, dans un monde qui a dépassé les méta-récits fondateurs, alors l'exposition TCPUR est à notre image : fragile, ludique, décalée et sophistiquée.

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Alexandra Schlicklin Commissaire de l’exposition Élise Pagel-Prévoteau Scenographie

> LOLA FAIRISE : "TOUT COMMENCE PAR UN RÊVE..."

26 février - 20 mai 2016 vernissage le vendredi 26 février à 18:30

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> EDOUARD OLSZEWSKI : "Confluences"

Lorsque Diana Heimbruch a sollicité Edouard Olszewski pour photographier ses dernières créations et qu'elle a évoqué avec lui l'ambiance qu'elle souhaitait pour cette ligne de vêtements, le choix de l'Unité d'habitation, comme toile de fond à la présentation de cette collection, s'est tout de suite imposé comme une évidence au photographe originaire de la région.

Diana souhaitait une atmosphère calme, douce avec des lignes épurées, une ambiance (à l'image) qui rappelle à la fois la douceur et le naturel des matières qu'elle aime travailler mais également la rigueur des coupes résolument moderne de ses réalisations. Cette évocation a tout de suite éveillé les souvenirs d'Edouard.

Durant sa jeunesse, la visite du bâtiment et l'image de ce grand paquebot flottant fièrement au dessus de la forêt l'avaient effectivement profondément marqué.

Tout comme l'architecte, le créateur de mode édifie et c'est à la fois la superposition et la proximité de deux constructions qu'Edouard a cherchées à rendre dans ce travail. Si Le Corbusier a su jouer sur l'opposition des matériaux en alliant la froideur du béton à la chaleur des boiseries et des couleurs, Edouard et Diana, tout en travaillant "à la manière" de l'architecte ont voulu jouer avec le contraste des matières et des lignes ; l'austérité du béton et les lignes pures de Le Corbusier, opposées au naturel, à la fluidité des textures et du style de la jeune créatrice.

Ce travail est aussi l'exploration et la confrontation entre les notions d’éphémère et de permanent. De l’espace et du temps, permanence de l’œuvre corbuséenne et variations infinies des formes du temps.

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C'est muni de son Hasselblad 500 c/m, qu'Edouard Olszewski a choisi de nous faire découvrir et partager les liens privilégiés qu'entretiennent la mode et l'architecture. Des connexions au carrefour des arts, de la pensée et de la communication. L'interaction entre ces univers n'est pas seulement formelle. Au travers de cette exposition nous pourrons découvrir ce qui les rapproche : leur fonction d'exprimer une identité personnelle, politique, religieuse ou culturelle.

"Photographier dans ces conditions, en m'inspirant de cette architecture si novatrice et de l'esthétique des vêtements de Diana Heimbruch, tout en étant soumis aux contraintes techniques imposées par le Hasselblad, cet outil si particulier, m'a naturellement contraint à un rythme de travail très éloigné des cadences imposées de nos jours pour les photos de mode.

Il m'a fallu prendre mon temps pour composer chacune des images. J'ai patienté, comme autrefois, le temps du développement des négatifs et du travail sur les photos pour, enfin, vous présenter le résultat de notre collaboration sur les murs de la Cité Radieuse.

Un lieu quasi-mythique, un appareil photo d'exception, une collection de mode moderne, alliant laine et coton, matières traditionnelles par excellence, ne pouvait qu'être davantage magnifiée par l'architecture de Le Corbusier."

Edouard Olszewski

Modèles : Fauve Hibon et Annick Stoldt

> Edouard OLSZEWSKI : "Confluences"

27 mai – 23 septembre 2016 vernissage le vendredi 27 mai à 18:30

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> DOONAM BACK & YANN CACLIN : DENSITÉ ET SIMPLICITÉ / DONNER FORME À L’USAGE

Tout projet (à quelques exceptions près, que la théorie architecturale a su brillamment discerner) répond à un usage. Mais cet usage n’est pas nécessairement créatif, ou plus exactement, il n’engendre pas mécaniquement, dans le processus de conception de l’œuvre, une heuristique susceptible de l’enrichir de manière productive. De nombreux projets subissent passivement l’usage. Ils prennent en compte, avec conscience, le programme qui leur est imposé, laissant se déployer dans l’espace, sans rien leur opposer, les demandes préalables.

Cette attitude conciliatrice n’est pas celle adoptée par Doonam Back et Yann Caclin.

Et pourtant, comme le revendiquent ces jeunes architectes, il existe une continuité absolue entre la demande initiale et l’édifice réalisé... "Un projet, déclarent-ils, naît toujours d’un besoin, il répond à une utilité ordinaire" et les réponses qui en découlent restent intimement liées, d’un bout à l’autre du processus, à ce besoin premier qui offre un fil conducteur à leur approche. Car l’usage ne se réduit pas, dans leur univers, à la destination de l’édifice. Il constitue un garde-fou contre le formalisme. L’usage revêt l’épaisseur du quotidien. Il est traité comme une matière, au même titre que l’environnement physique du projet ou les matériaux de construction et implique, en écho, un travail rigoureux sur la forme. Ce travail puise dans un magma complexe d’informations et d’expériences, de voyages proches et lointains, d’accumulations…

Mais la mise en forme du projet aspire à la simplicité afin de préserver les pratiques de tout encombrement symbolique et leur offrir un écrin digne et fluide.

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Deux pôles virtuels émergent ainsi dans la démarche de l’agence, l’un centré sur le concret du lieu et des personnes, l’autre, diffus, ouvert sur la question climatique et sur la perception, de l’Asie aux États-Unis, d’une culture universelle en fusion. "Nos voyages, expliquent Doonam Back et Yann Caclin, transforment notre regard sur les choses". Comme le montre la cohérence de leurs réalisations (gymnase à NeuvesMaisons / aménagement de combles industriels à Maxéville / extension d’une salle polyvalente à Vagney / passerelle du Haut Fourneau U4 à Uckange…), leur pratique, infiniment subtile, porte en germe une solide théorie du projet qui ne demande qu’à éclore…

Joseph Abram Commissaire de l’exposition

photographies : ©Cyrille Lallement

> DOONAM BACK & YANN CACLIN : DENSITÉ ET SIMPLICITÉ / DONNER FORME À L’USAGE

10 juin - 23 septembre 2016 vernissage le vendredi 10 juin à 18:30

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> MODERNITY - LOVED, HATED OR IGNORED? EXPOSITION DU PAVILLON DU LUXEMBOURG LORS DE LA BIENNALE DE VENISE 2014

Le LUCA Luxembourg Center for Architecture, commissionné par le Ministère de la Culture du Grand-Duché de Luxembourg, pour l'organisation de la participation nationale à la Biennale d'Architecture de Venise proposera ainsi au grand public cette exposition réalisée - suite à un appel à projets lancé par le LUCA en 2013 - par l’équipe composée par l'architecte Stéphanie Laruade, le photographe Bohumil Kostohryz et la metteure en scène et comédienne Sophie Langevin.

Pour répondre à la thématique proposée par le commissaire de la Biennale - l'architecte Rem Koolhaas - remettant en question la modernité et les identités culturelles nationales, une sorte d'évidence formelle a aussitôt animé le projet des curateurs : le désir d'ouvrir des enquêtes "policières" à la façon du personnage central de Twin Peaks à la recherche du meurtrier de Laura Palmer.

Ici commence l'enquête au Luxembourg de la modernité ! Les curateurs ont choisi de répondre à cette question en plaçant la "grande histoire" de la modernité au milieu des gens, en sondant leurs ressentis, en cherchant ce que la construction de bâtiments modernes a modifié dans leurs quotidiens d'utilisateurs mais aussi dans leurs appréciations culturelles et esthétiques…

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Au fil de ces enquêtes, de nouvelles questions ont émergé : - Comment la modernité s’est-elle imposée dans notre quotidien ?

- Quel regard portons-nous sur les bâtiments que nous côtoyons chaque jour ?

- Rejet, appropriation ou indifférence ?

Ainsi par le biais d'échanges renouvelés, il sera possible de continuer à s’interroger sur la question posée par Rem Koolhaas : "Absorption de la modernité 1914-2014 / La modernité a-t-elle effacé les caractéristiques nationales ?"

Curateurs - exposants : Stéphanie Laruade, Bohumil Kostohryz, Sophie Langevin Commissaire : LUCA Luxembourg Center for Architecture

photographies : © Bohumil Kostohryz

> Modernity - loved, hated or ignored?

EXPOSITION DU PAVILLON DU LUXEMBOURG LORS DE LA BIENNALE DE VENISE 2014

14 octobre - 29 décembre 2016 vernissage le vendredi 14 octobre à 18:30

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> SPECTACLES : À LA PREMIÈRE RUE

> ALPHONSE ANOUGNA TRIO :"GHOST NOTES"_le vendredi 6 mars 2015

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entrĂŠe libre sur rĂŠservation

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> LOU & DUST > Date : le vendredi 18 mars 2016 Lieu : Appt 112 à la première rue Horaire : 18h30 – 19h15 Genre : Pop cosmique

Contacts :

LOU & DUST c’est la poésie des nuits d’hiver, l’élégance folk qui danse avec une pop électronique aux couleurs chaudes et aérées.

MiüZik Prod / Booking / Management Mickaël / Président de Miüzik Prod miuzik.prod@gmail.com + 33 (0) 6 21 11 39 37

Deux paires de lunettes, une guitare acoustique, le tout mélangé à quelques machines pour partager l’intime d’un univers presque cosmique.

LOU & DUST lou.dust@gmail.com

Aïcha et Esther, les deux musiciennes aux origines franco-guinéennes et francoespagnoles, se sont rencontrées il y a deux ans avant de monter sur scène.

Depuis l'harmonie opère. Leurs morceaux sont des boîtes à souvenirs, délicatement partagés, qu'elles racontent à leur public.

A l’origine, les deux musiciennes se produisaient seules dans une configuration acoustique plus folk. Elles sont désormais accompagnées sur scène par Maxime Picquart, à la guitare électrique.

Leur premier EP "REFLECT", sorti le 10 juin 2015, est composé de 5 titres originaux. Un EP intimiste qui reflète l’âme du duo, un dévoilement musical. Parmi les titres," Emptiness" et "Don’t You Cry", ainsi que 3 autres morceaux inédits.

"Leur musique est planante, tenue par des guitares électriques vibrantes et menée par deux voix joliment soul qui se marient sur des harmoniques. C’est à la fois mélancolique et apaisant, et c’est beau." Léa Bucci, Madmoizelle.com

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"Subtil et recherché, mélancolique et mélodique, l'album de Lou & Dust fait écho à ce que nous avons tous connu (ou que nous connaitrons un jour)" Grégory de MyLorraine.fr

Durée du spectacle : 45 mn

> LOU & DUST le vendredi 18 mars 2016 concert de 18:30 Ă 19:15

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> STRANGE LADIES : BITTER SWEET ROCK > Date : le vendredi 29 avril 2016 Lieu : Appt 112 à la première rue Horaire : 18h30 – 19h30 VOICES – VIOLIN – KEYBOARDS CLARINET Genre : Indie Présentation : Hannah Berga, Valentine Mali Deltrecq, Elaine Winston… ou peut-être Hermione Bingen, Victoire Monte-Danceon, Estelle Wilfried… ? Un trio de giRRRls en tous cas, qui chante l’amour, la rage, le désir ou la mélancolie avec le plaisir des langues ; poésie surréaliste, série américaine sulfureuse, punk anglais, cabaret berlinois, les arrimages sont multiples.

L’esprit des Pixies et de Jeanne Moreau en 3 corps, 3 voix et quelques instruments.

Chansons, mais pas que. Textes, mais pas que. Musiques sans aucun doute.

Autant d’autodérision que de gravité.

Un insolite bonbon acidulé.

Création du trio au printemps 2015, avec quelques premiers concerts, notamment au Festival Musique Action (SN de Vandoeuvre-lès-Nancy -54).

Le groupe travaille dans un principe sensible de désir et d’associations d’idées, favorisant une composition partagée, non hiérarchisée, qui intègre volontiers les identités, expériences et bizarreries de chacune. Si les sonorités sont largement rock, les approches sont autant harmoniques, bruitistes que textuelles, elles puisent dans des écritures musicales et poétiques européennes - en anglais, français, allemand ou italien dans le texte…

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Chansons, variations instrumentales, ruptures, larsens, grincements ou suaves mélodies… il en résulte une musique originale hybride et riche, aux dissymétries audacieuses ; une atmosphère à la fois mélancolique et compacte, créant un trouble étrangement excitant et dont la singularité est précisément de n’être pas univoque, de s’échapper toujours des différents tiroirs où l’on voudrait la ranger…

Durée du spectacle : 60 mn

> STRANGE LADIES : BITTER SWEET ROCK

le vendredi 29 avril 2016 concert de 18:30 à 19:30

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> Dr Geo : (onemanband) > Date : le vendredi 7 octobre 2016 Lieu : Appt 112 à la première rue Horaire : 18h30 – 19h30 Site : https://drgeo.bandcamp.com/ Genre : Lo-fi music, Psychedelic blues Label : Chez Kito Kat, Specific Recordings

Sa prestation à la Cité Radieuse de Briey s'accompagnera de projections visuelles triturées en live par le VJ et réalisateur expérimental Bertrand Ricciuti. Le deux se connaissent bien puisqu'ils ont déjà collaboré ensemble sur "a Lo-fi movie", court métrage sensoriel et psychédélique qui tire sa bande son des "Lo-fi studies", disque phare du musicien, sortie en vinyle chez Specific Recordings en juin 2015.

Durée du spectacle : 60 mn

Bio : Rescapé de formations légendaires oubliées des livres d'Histoire de la Musique (le hardcore chaotique de DEAD FOR A MINUTE, l'emo jazzy d'ALL IT FEELS 101, le rock'n'roll psychédélique de MENY HELLKIN, l'électro sucrée d'ORANGE BROWN), Geoffrey Lolli s'émancipe en solo depuis bientôt 10 ans et ses premiers disques DIY inauguraux (Crooner for cows, Download a part of a room).

Expert en brouillage de pistes musicales et expérimentateur de génie, le guitariste messin n'a de cesse d'explorer un univers en constante expansion, passant d'un style à un autre, disque après disque (pour des labels aussi défricheurs que Chez Kito Kat ou bien encore Specific Recordings). Du delta blues (The endless thanxlist) au dub (the Lo-fi studies) en passant par le rock psychédélique (Sergio Pepper sessions), la pop acide ou bien encore la musique de librairie, c'est bien en live que tout le talent versatile du "Doc" (comme le surnomment affectueusement ses groupies mâles en chaleur) s'exprime via son Lo-Fi Band, supergroupe formé afin de soutenir ses dernières productions en date. Des éclats scéniques d'une électricité ébouriffante qu'il sait également tempérer lors de prestations plus intimistes, seul, armé de sa vieille Gibson antédiluvienne soutenant son blues émotionnel unique.

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photographie : ©Pascal Volpez

> Dr Geo : (Onemanband) le vendredi 7 octobre 2016 concert de 18:30 Ă 19:30

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> "LA VOIX DE SON MAÎTRE" : TEXTE DE RAYMOND DEVOS... > Date : le vendredi 18 novembre 2016 Lieu : Appt 112 à la première rue Horaire : 18h30 – 19h30

Au delà de l'hommage à Devos, Bourvil, Brel, Brassens, "La Rue Ketanou"..., Philippe Voivenel et Denis Herrmann souhaitent réveiller notre mémoire collective pour que ce patrimoine culturel ne soit pas oublié.

L’association organisatrice

Les artistes: Hier, fondateur et directeur du théâtre de la Seille, aujourd’hui consultant en management, communication et projets culturels, Philippe Voivenel revient sur scène avec passion et dévouement pour son métier de comédien et de metteur en scène avec "la voix de son maître" spectacle qui nous replonge dans la poésie drôle et absurde de Monsieur Devos et dans l’univers des chanteurs qui ont marqué la deuxième moitié du vingtième siècle.

Le Comité d’Historicité Européen de la Lorraine, présidé par madame Faessel, a pour vocation d’étudier l’histoire pour mieux comprendre le présent et suggérer des pistes de travail pour l’avenir.

Cette association s’impose un devoir de mémoire sur tous les pans de notre histoire: social, politique, événementiel, conflictuel, patrimonial, artistique, ...

Durée du spectacle : 60 mn

Il partage la scène avec Marie-Lou Bistocchi, musicienne premier prix de conservatoire et comédienne.

Gourmande de projets innovants, elle s’engage aujourd’hui avec bonheur dans ce devoir de mémoire artistique en prêtant son talent en toute humilité.

"Approchez, approchez Mesdames et Messieurs car aujourd'hui grande vente aux enchères. Dans quelques instants, nous, apprentis saltimbanques allons vous "présentationner des ....... mots !"

La Rue Ketanou "Ces apprentis saltimbanques" vous parleront de leur vie avec leurs amours, leurs amants, leurs croyances et leurs voyances... Ces farceurs vous offriront les mots pour rire, les mots composés, les mots intrigués, les mots chantés, leurs maux de tête et leurs mots clés. Ce flux et reflux mis bout à bout est un condensé d’humour et de poésie.

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Kiosque presse et tabac en 1961-62

> "LA VOIX DE SON MAÎTRE": TEXTE DE RAYMOND DEVOS

le vendredi 18 novembre 2016 spectacle de 18:30 à 19:30

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> OSMOSIS CIE - ALI SALMI Forbach / Nancy, France

> LE FONDS BELVAL Esch-sur-Alzette, Luxembourg 32

> OUVERTURES : Vers de nouvelles relations collaboratives

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> CITÉ RADIEUSE / DANSE RADIEUSE : OSMOSIS Cie - ALI SALMI - Studio 122 SAISON CHORéGRAPHIQUE RADIEUSE 2016

La compagnie Osmosis poursuit sa recherche chorégraphique et d’énergie dansante au sein de la Cité Radieuse au travers son Studio Chorégraphique LA RADIEUSE Appt 122 - 1re Rue. Des artistes de corps - contorsionnistes, trapézistes, acrobates, danseurs - mais aussi ceux qui les font vibrer - musiciens, dj, plasticiens, photographes, architectes, créateurs lumières, vidéo - prendront à nouveau possession de l’appartement 122 / 1re rue, pour vous inviter à des traversées sensibles de la tombée de la nuit au petit matin pour redécouvrir cette fabuleuse Machine à habiter qu’est la Cité Radieuse et son écrin de verdure, sa forêt de piliers des vents...

Mais aussi, se rencontrer, s’émerveiller, rencontrer ses voisins d’ici ou d’ailleurs, danser ensemble…

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Trois rendez vous à retenir : GOLD SPRING / PRINTEMP AVRIL 2016 : Evènement Studio Chorégraphique LA RADIEUSE : Appt 122 week-end du 30 Avril GOLD SUMMER / ETE JUIN 2016 : Evènement Studio Chorégraphique LA RADIEUSE : Appt 122 week-end du 25 Juin GOLD AUTUMN / AUTOMNE SEPT 2016 : Evènement Studio Chorégraphique LA RADIEUSE : Appt 122 week-end du 24 Septembre ................................................................................

Site web dédié : http://www.osmosiscie.com

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OSMOSIS Cie-ALI SALMI Compagnie conventionnée par : Le Conseil Régional de Lorraine et La DRAC Lorraine - Ministère de la Culture et de la Communication - en tant que Compagnie Chorégraphique.

Compagnie subventionnée par : La DRAC Lorraine, La Direction Générale du Conseil Artistique - Arts de la Rue - Ministère de la Culture et de la Communication, L’institut français, le Conseil Régional de Lorraine, le Conseil Général de Moselle.

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photographie : ©Vitale Design

> CITÉ RADIEUSE / DANSE RADIEUSE : OSMOSIS Cie - ALI SALMI - Studio 122 SAISON CHORéGRAPHIQUE RADIEUSE 2016

> CITÉ RADIEUSE / DANSE RADIEUSE : OSMOSIS Cie - ALI SALMI - Studio 122_27 juin 2015

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> LE FONDS BELVAL :

Visite du haut fourneau

VISITES GUIDÉES ET EXPOSITIONS

Le haut fourneau A est accessible en visite libre sur un parcours balisé jusqu’à une hauteur de 40 m (180 marches).

La Première rue vous invite à découvrir le site de Belval, ancienne friche industrielle en reconversion au Sud du Luxembourg, à travers des expositions et visites guidées.

Le Fonds Belval, maître d’ouvrage de la Cité des Sciences, organise régulièrement des conférences, des débats et des expositions temporaires liés aux projets architecturaux et urbains qu'il pilote, à l’histoire du bassin minier et au développement de la région.

Expositions : Belval & More Installée dans l’ancien hall industriel massenoire, l’exposition "Belval & More" présente la Cité des Sciences sur la Terrasse des Hauts Fourneaux à Belval et évoque le développement urbain de l’agglomération d’Esch-Belvaux par une grande maquette, des bornes interactives et des projections de films.

Une exposition temporaire de photographies "Workers" rend hommage à tous ceux qui ont contribué de leurs mains à la construction de la Cité des Sciences. entrée libre

Massenoire, avenue du Rock’n’Roll (face à la Rockhal) L-4361 Esch-sur-Alzette Ouvert du mercredi au vendredi de 12h00 à 18h00 (19h00 à partir du 1er avril), le samedi de 10h00 à 18h00 et le dimanche de 14h00 à 18h00.

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Ouvert à partir du 1er avril du mercredi au vendredi de 12h00 à 19h00, le samedi de 10h00 à 18h00 et le dimanche de 14h00 à 18h00. Tarif : 5 euros

Visites guidées : Cité des Sciences et haut fourneau Le Fonds Belval propose des visites guidées du quartier de la Cité des Sciences et du haut fourneau A. La visite du quartier comprend une présentation du développement de Belval et des projets de la Cité des Sciences suivie d’un tour à pied. Le haut fourneau est accessible en visite libre jusqu’à une hauteur de 40 m (180 marches) ou en visite accompagnée.

Pour les horaires et tarifs des visites guidées veuillez consulter le site www. fonds-belval.lu. Réservations pour groupes sur rendez-vous.

Visite nocturne du haut fourneau : le 7 mai, fête des hauts fourneaux : les 2 et 3 juillet 2016.

Informations : Le Fonds Belval : Tél : +352 26 840-1 fb@fonds-belval.lu, visite@fonds-belval.lu www.fonds-belval.lu © Le Fonds Belval

> Le fonds belval : VISITES GUIDﾃ右S ET EXPOSITIONS

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: OSMOSIS CieCie - ALI SALMI - Studio 122_27 juin juin 20152015 > CITÉ CITÉ RADIEUSE RADIEUSE//DANSE DANSERADIEUSE RADIEUSE : OSMOSIS - ALI SALMI - Studio 122_27

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