Painlevé

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Graines de lecteurs Récits

École Paul Painlevé (Lyon) - Classe de CM1



La rédaction du rêve Agathe Rivière-Cazaux


Chapitre 1

Moi je suis Blandine, je rentre un mardi soir, en devoir : une rédaction. Le sujet : « une chose bizarre que j’ai vécue. » Je ne trouve pas. Je vais me coucher, et je m’endors et je pars dans un rêve. Dans le ciel une porte, je l’ouvre et derrière la porte il y a LE VIDE ! Moi j’aime les couleurs mais il y a le vide, le blanc. J’ai un crayon dans ma poche. Alors je dessine une boite de crayons de couleur. Elle devient réelle. Avec, je dessine dans le vide des arbres, des animaux, des prairies… Hum ! Il manque quelque chose. « Oui c’est l’humain ». Voilà c’est fait je me retourne il ne manque rien et je sors en me disant que ce monde était joli mais dans mon cœur je sens un grand vide.


Chapitre 2

Et là, dans le ciel encore une porte. Je l’ouvre et derrière la porte il y a encore le vide. Je prends ma boite que j’avais dessinée puis je crayonne le vide en faisant des planètes, des comètes… ZUT ! Il manque quelque chose. Je sais ! Il manque les étoiles les constellations VOILA ! C’est fait ! Ça brille ! Je décide qu’il ne faut surtout pas mettre de vie, sauf sur une planète qui s’appelle la Terre. Je me retourne puis je m’en vais en me disant qu’il manque quelque chose, surtout dans mon cœur.


Chapitre 3

Et là dans les airs encore une porte, je l’ouvre et derrière la porte encore le vide. À mes crayons ! Je dessine des poissons, des algues, les mers, les océans, c’est joli toute cette eau bleue. Je sais, il manque les crustacés. Voilà ! C’est dessiné ! Je me retourne. Et si je rajoutais des poissons géants ? Non ! Il ne faut pas traumatiser les humains qui iront sur l’eau. Je n’ai jamais vu rien de si beau, mais je ne suis pas si contente alors je m’en vais.


Chapitre 4

Encore une porte ! Je n’en peux plus. Je l’ouvre et la ENCORE DU BLANC !!! Je prends mon crayon et je dessine tous ensemble les quatre mondes que j’ai créés. Enfin voilà un monde qui me plaît vraiment, les planètes, les humains, les poissons… MAGNIFIQUE ! Je vais encore partir ? NON ! Je reste dans celui-ci ! Je m’élance dans un très long champ en courant et en criant ma joie.


Chapitre 5

Et oui, je reste dans ce monde j’apprends aux autres humains à créer leur propre monde. DRIIIIIING ! DRIIIIING ! Que se passe-t-il ? Mais je suis dans mon lit ! Je pense que c’était un rêve. Mais la boîte à crayon de couleurs de mon rêve est là, à côté de moi ! Voilà le sujet de ma rédaction. Maintenant pas de zéro pour ma rédaction !




Le serpent gĂŠant Akram Mekhalfi


Je m’appelle Akram j’ai 10 ans j’habite à Lyon rue Paul Bert. Derrière la porte de la cave en 1862, j’ai vu un serpent géant, il mangeait des hommes. Tout à coup il a tourné sa tête vers moi et il allait me manger. J’ai crié. Le serpent s’est arrêté puis je me suis évanoui. Il m’a pris, avec sa queue et il m’a serré de toutes ses forces. Le serpent s’est reculé, puis il a foncé sur moi.

Mon tonton est venu me sauver et il a tué le serpent géant. Puis je suis sorti de la porte et je ne suis plus revenu de ma vie. Mais le serpent géant n’était pas mort, il faisait exprès. Un jour, le serpent est sorti de la porte et il a détruit les villes, les maisons.


Mais j’ai vu que le serpent avait un bout de verre sur sa langue. Je suis venu avec une pince mais le serpent géant avait peur ! Le serpent a crié.

La mère du serpent est arrivée, puis le serpent a tourné sa tête j’en ai profité pour lui sauter dessus. Le serpent géant a tiré sa langue et j’ai enlevé le bout de verre. Le serpent est parti avec sa mère.



La chasse à la clé Ambre Gouga


Je suis une fille j’ai 11 ans. Dans mon appartement tout au fond du couloir il y a une porte. Derrière la porte fermée à clé, j’entends du bruit mais pas beaucoup. Je vois une boîte dans un placard. Mais je n’arrive pas à l’atteindre. Je prends un tabouret, j’attrape la boîte, sur laquelle il est écrit : « NE PAS OUVRIR ». Tout d’un coup j’entends du bruit, je cours vite dans ma chambre avec la boîte entre mes mains. J’essaie d’ouvrir la boîte, mais la boîte est fermée à clé. Je suis tellement énervée que je jette la boîte par terre. La boîte s’ouvre. Je regarde dedans. Il y a une autre boîte je la prends dans mes mains. Elle est aussi fermée à clé. Alors je vais dans la chambre de ma mère. Je fouille dans sa chambre, je vois une nouvelle boîte. Je la prends, je l’ouvre et j’y trouve à peu près 100 clés. Je cours pour aller dans ma chambre, mais j’entends des pas. C’est ma mère ! Je ne peux pas filer dans ma chambre, alors je me cache sous son lit. Malheureusement en me cachant sous son lit je perds la boîte. C’est à ce moment-là que ma mère arrive et prend la boîte à côté de son lit. Elle part et je vais vite dans ma chambre. Je dois trouver une solution. Cling ! Voilà ma solution ! Je dois suivre ma mère ! Je la suis et elle fait tomber une clé. Je m’empresse de ramasser la clé et je cours jusqu’à ma chambre. J’essaye d’ouvrir la boîte, et ça marche je suis trop contente. A l’intérieur, je trouve un message : « FAIS 5 PAS EN AVANT, FAIS 2 PAS SUR LA GAUCHE, FAIS 3 PAS DE L’AUTRE CÔTE, ET DONNE UN GROS COUP DE PIED SUR LE PLACARD ». Dans le placard il y a une grande clé, et sur la grande clé il y a un bouton. J’appuie sur ce bouton et je vois dans la grande clé une petite clé, je la prends. Je cours, j’ouvre la porte et là mes amis et ma famille crient : « surprise ! »


Ils ont fait tout ça pour moi, juste parce que je leurs prêtais des jouets. J’ouvre un cadeau et dedans il y a un petit chiot. Je dis « MERCI IL EST TROP MIGNON ! ».



Un voyage vers l’inconnu Anaelle Hue


J’étais derrière la porte de ma chambre. Moi Hélène Parker. Mes copines étaient justes derrière la porte. Je leur ouvris, il y avait Enid, Hortense, Charlie, Geneviève. Dehors il neigeait, toutes enneigées comme elles étaient, elles ne pouvaient plus parler. Elles se sont époussetées sur le palier puis sont rentrées dans la chambre. J’ai dit : « tout le monde est là ? - Oui !!! » Puis nous sommes entrées dans le livre que j’avais écrit, le livre magique. A la première page il y avait des fées, des elfes. Ouah !!!Que c’est beau !!! Nous avons avancé, là il y avait un arc-en-ciel. « Montons dessus, dit Hortense. D’accord !!! » Et nous sommes montées dessus. C’est géant !!! Tout d’un coup, nos pieds ont décollé. Nous étions en train de partir dans les airs.


Quand soudain Geneviève crie : « je suis en train de foncer dans Saturne !!! » C’est là qu’Enid a pris son courage à deux mains. Elle s’est jetée sur le côté, elle a attrapé Geneviève et elle sont passées juste en dessous de Saturne et ont vu Mars puis Pluton et ainsi de suite… Quand nous sommes redescendues sur la terre ferme nous étions sur une montagne. Montagne enneigée, oui. Bien même ! Par chance, nous avons vu des planches de bois. Excellent pour des skis. Et nous nous sommes lancées. Aïe !!! Charlie est tombée. Quand nous sommes toute descendues nous enlevons nos skis et nous marchons. Là il y a des fleurs, des oiseaux. Mais… Mais il y a 5min nous étions en train de faire du ski et là nous sommes en plein soleil.

« Et oui, mais as-tu oublié que nous sommes dans le livre d’Hélène ? » Tout d’un coup, Geneviève qui s’est remise à crier : « Là !! Un lac !!!! » Nous nous sommes jetées à l’eau. Après s’être bien baignées, nous avons fait un petit somme. Puis nous avons repris la marche pour aller dans la savane. Tout d’un coup un énorme rugissement. Un lion, un vrai.


Il est là devant nous. Enid maintenant tremble de peur. Ce n’est que moi et Hortense qui sommes prête à l’action. « Moi je vais à droite toi tu vas à gauche ! » « 1-2-3 go !!! » Le lion ne prête pas attention à nous. Alors nous tirons sur la queue. Là il s’en rend compte. Nous l’attirons vers une oasis non loin de là. Nous avons plongé. Le fauve lui ne sait pas nager et se noie. Après avoir traversé la savane, nous sommes arrivées au pays des pirates. Là, il y a Barbe Noire, Barbe Rousse, Charlotte est aussi là. Soudain Barbe Noire et Barbe Rousse se levèrent. Ils dirent, « le Black-Phœnix va partir ! » Ils embarquent, Charlotte, le quartier maitre, les matelots les esclaves. « Et si on embarquait, dit Hortense. » Tu es folle, il y a Barbe Rouge, Barbe Noire, Charlotte et le quartier maitre. « Mais ça fait quoi ? » « Ca fait que ce sont des PIRATES ! » « Ce n’est pas grave. » Et elle embarqua.


Charlotte la vit et dit : « Qui es-tu ? » Hortense lui dit par pure imprudence : « Je m’appelle Hortense. » « Et pourquoi es-tu là ? « J’aimerais monter sur ce bateau que je trouve fort beau ! « Bon monte. » Le bateau s’en alla et les 4 amis restèrent bouche bée se regardèrent et s’en allèrent.



Le grand dragon Antony Camus


Chapitre 1 Je suis un Imperiaux et je m’appelle Alvor. Je vis dans un monde où il y a plein de portes. Derrière une porte il y a un village avec un grand dragon acharné en train de tout glacer et moi je l’attaque avec : un arc nordique antique, un espadon d’acier... Le dragon meurt et je fabrique une armure impériale mais une personne m’emprisonne. Au secours !!! Je vais me faire trancher la tête. Heureusement un autre dragon arrive sur une tour et me sauve. On devient amis. Mais, le dragon ressuscite l’autre dragon que j’avais tué. Alors je m’en vais et mon ami me suit. Il s’appelle Vilgax.

Chapitre 2 Cette fois derrière la deuxième porte il y a un monde avec plein de dragons et un petit garçon emprisonné. -On dirait qu’il est en état de mort le petit garçon, dis-je Le petit garçon dit : « Aaah je vais mourir dans d’affreuses souffrances, 5 ans de souffrances. Pourquoi moi ? » Il se fait brûler. Les dragons me voient. Comme ils n’aiment pas les humains ils m’attaquent mais mon ami les tue. Il me sauve encore une fois.


Chapitre 3 On est encore dans le même monde. Je pars loin vers les ténèbres. Il y a un grand soleil noir en train de tout détruire en utilisant des boules noires. Pour me protéger, je m’enfuis. Je vois une grande porte verte, c’est ma couleur préférée. Elle est ouverte, je rentre dedans mais la porte se ferme devant Vilgax. Je suis tout seul et personne ne peut me sauver cette fois. J’en suis sûr je vais mourir !!! Mais, il ne faut pas se décourager. Je vois 3 passages. Je prends celui de gauche. Il y a un coffre, je vois un fil qui déclenche un piège. Je prends mon arc. Je tire dessus. Le piège se déclenche. Je saute pour l’éviter et je vais à côté du coffre. Je regarde dedans il y a de l’or, des diamants, un arc nordique antique et une tenue de dragon : le casque est en forme de tête de dragon, le plastron en forme de personne hyper forte par rapport à moi. Ce n’est pas grave. Je la prends quand même. Je reviens devant les trois passages. J’avance vers la porte en face de moi. Je vois un dragon noir et je l’attaque avec mon arc nordique antique qui m’a rendu invincible. J’essaye de partir et je vois la porte verte. Je sors mais mon ami Vilgax a disparu. Je cherche partout mais je ne le trouve pas. Je rentre à nouveau derrière la porte verte. Je vais à droite. Je vois le dragon noir en train de combattre Vilgax. Je tue le dragon noir et je sors avec Vilgax.

Chapitre 4 Je sors dans la rue, je reviens devant mon manoir de briques. Il est devenu noir et a absorbé tous mes amis. Je suis aussi absorbé par le trou noir. Je cours mais ça ne se finit jamais. Je continue et je vois une cage avec mes amis. J’essaye de l’ouvrir mais il me faut une clé. Je trouve une clé j’ouvre la cage mais un dragon m’attaque. Heureusement Vilgax vient m’aider. Il tue le dragon et on sort du trou noir. Tous ensembles on fait la fête, Vilgax, les amis et moi.



Isabella le fant么me C茅cilia Chuffard


Derrière la porte il y a Isabella le fantôme. Elle s’appelle Isabella. Elle a les yeux rouges. Elle a des poils. Elle est grosse. Elle veut manger les gens de l’hôpital. Elle est sortie de l’hôpital depuis quelques jours. Elle boit du café à l’humain au petit déjeuner. Maintenant elle sort. Lorsqu’Isabella va au restaurant, Isabella mange les gens qui sont dans le restaurant. Elle va dans des boutiques. C’est la même chose, elle sort. Ensuite elle retourne dans l’école. Elle monte dans la classe. Ensuite elle mange les enfants et la maitresse se fait aussi dévorer. Elle sort de l’école. Ça sonne c’est l’heure de la sortie. La gardienne monte. La gardienne voit les enfants morts. Elle va dire aux parents que leurs enfants sont morts. Les parents vont le dire au policier. Le policer leur demande : «  comment ça s’est passé ? ». Elle dit je ne sais pas je n’étais pas là.

Isabella va au magasin de bijoux. Elle mange encore les gens. Va au Mc Do. Elle mange les parents et les enfants. Elle va demander un café à l’humain. Le monsieur dit : « On n’a pas de café à l’humain. » Elle insiste. Le directeur appelle les policiers. Les policiers voient les yeux du fantôme. Le directeur du Mc Do se fait manger. Et les autres policiers rentrent au commissariat.


Isabella va au commissariat. Elle mange les policiers et les policières. Elle s’enfuit.

Lila, elle, était malade elle n’a pas pu aller à l’école. Comme c’est son anniversaire, sa maman lui offre un chien qui s’appelle Violetta. Isabella arrive et mange le chien. Lila est tellement triste que ça rend triste Isabella. Alors elle arrête de manger les gens. Elle s’enfuit au pays des fantômes.



Derrière la porte... Charles Beffort


Derrière la porte, j’ai vu une chaussure rouge. Et j’ai vu un chat détective qui a pris la chaussure. C’était la porte du bureau de John Chatterton détective. Une dame est rentrée dans le bureau. Elle était angoissée, déprimée, parce qu’elle avait perdu sa fille. Le détective lui a demandé comment sa fille était habillée. « Elle était habillée en tout rouge et les cheveux rouges. Je vous en prie, aidez-moi ! » John Chatterton est parti chercher des empreintes dans la forêt. La dame a téléphoné à sa mère-grand et à ses amis. Mais la petite fille n’était pas chez les amis et chez sa grand-mère. Et après il croise la petite fille et John chatterton dit : « On rentre chez toi ! » Après ils sont coincés par le loup, et le loup l’attrape et jette le détective dans un cachot. La fille pleure parce qu’elle veut voir sa maman, il lui a caressé la joue


pour qu’elle arrête de pleurer. Alors John à une idée. Son idée, c’est de sortir par la fenêtre mais la fille à peur : le loup est en train de dormir. Ils passent discrètement sans faire de bruit, ils se retrouvent alors dans la rue. Et la maman arrive et court pour attraper la fille et la maman est contente de retrouver sa fille donc elle donne un cadeau pour John Chatterton. Et John rentre dans son bureau, seul. Voilà, l’histoire est finie.



Mon cheval et les fant么mes Dina Safdari


Derrière la porte c’est quoi ? Une selle de cheval. J’ai envie de monter et de sauter dans la forêt. La Jument c’est un Pégase. Elle est toute noire et sa tête est blanche. Elle est fatiguée, elle ne veut plus sauter. Elle enlève sa selle. Elle veut dormir. Le fantôme est gros comme une grosse tomate. Il est méchant. Elle, la jument, est dans sa cabane. Le fantôme lui fait peur. La jument a peur des fantômes. Elle crie comme un loup. Le fantôme a peur et s’enfuit.


Elle va dehors. Elle se sert de sa bouche pour ouvrir une autre porte. Derrière cette porte, il y a ses amis. Comme ça elle s’amuse beaucoup avec ses amis. Ils s’appellent Dola, Shana, Zoulfiya, Arash, Maryam, Akbar, Cécilia et Rayana. Elle fait une course avec ses amis. Elle dort avec ses amis. Elle leur raconte l’histoire : « Le petit chaperon rouge. » Elle regarde le soleil et ses amis. Ils se lèvent pour faire encore une course et s’amuser ensemble. Elle a gagné la course. Elle rentre chez elle avec ses amis et ils font une grande fête.



La fĂŞte de Violetta Dola Trabelsi


Derrière la porte il y a une gentille dame. Elle s’appelle Violetta et porte une robe rose et blanche. Elle a une copine qui s’appelle Tamila. Ces dames-là sont cuisinières. Elles aiment beaucoup la cuisine. Violetta invite Lune, une autre copine, à son anniversaire. Tous les invités sont contents parce qu’il y a des gâteaux au chocolat et à la vanille, des beignets aux framboises et aussi des boissons. La fête commence, Violetta offre des bonbons. Tamila est jalouse de sa copine Lune car elle la voit avec son amoureux.


Lune est contente. Tamila fait la tête. Violetta ne comprend pas. Au bout d’un moment, Tamila réalise que Lune ne lui volera pas son amoureux. Lune n’est pas du tout comme ça, elle est très gentille. Après Tamila lui demande: « Est-ce-que tu me pardonnes ? ». Et Lune pardonne à Tamila. Puis Tamila explique tout à Violetta. Violetta se réjouit et tout le monde peut enfin faire la fête.



La porte n°13 DorothÊe Delord


PROLOGUE Il m’a dit que derrière la porte n°13 il n’y a personne mais moi je crois que ce n’est pas vrai. Il dit ça juste parce que c’est un nombre qui porte malheur et qu’il n’y a jamais de lumière. Je pense le contraire parce que quand je rentre de l’école j’entends du bruit comme s’y on lançait des assiettes en verre par terre. Je me demande pourquoi il n’entend pas ces bruits. Peut-être parce qu’il ne rentre pas en même temps que moi et qu’il n’habite pas au 4ème étage. J’ai essayé de le convaincre mais il ne m’écoutait même pas. Bah ! T’en pis pour lui. Un jour j’en ai parlé à ma mère et je lui ai demandé si elle entendait les mêmes bruits que moi. Elle m’a répondu qu’il valait mieux que j’arrête de m’imaginer ces bruits. Je lui dis que j’allais essayer.


CHAPITRE 1 Vous devez vous demander qui est ce « moi » et qui est ce « il ». Ce « moi » c’est le personnage principal. Je m’appelle Anaïs je suis en cm2 et j’ai 11ans. Je fais du piano. J’habite 28, rue les noirs au 4ème étage à la porte n°16. Je n’ai jamais connu mon père. Ma mère m’a dit qu’il était mort dans un accident de moto. Mais je ne sais pas si je la crois parce que dès que je lui pose des questions sur lui, elle change de conversation ou dit qu’elle a du travail et s’en va. Bon revenons aux présentations. Ce « il » c’est un garçon qui a 14 ans et qui habite l’appartement au-dessus du mien. Il s’appelle Alexis. Il y a que le lundi et le mardi qu’il rentre en même temps que moi parce que les autres jours il rentre soit avant soit après moi. Le lundi et le mardi il n’y a jamais de bruits. Un jour j’avais essayé d’entrer dans l’appartement n°13 mais je n’ai pas pu y entrer car la porte était fermée. Je me demande qui peut bien y habiter et ce que la personne peut bien y faire enfin s’y on peut dire que c’est une personne. Je suis sur le chemin pour aller à l’école et je suis très fatiguée pour penser au contrôle qu’on a aujourd’hui. Hier vu qu’on était lundi et que je n’entendais pas de bruits, je suis vite rentrais chez moi sans dire au revoir à Alexis. J’ai ouvert la porte d’entrer et je suis allée dans ma chambre sans dire bonjour à ma mère. Je voulais entrer dans l’appartement n°13 donc je décidai de faire un plan. Quand ma mère m’appela pour manger je n’avais pas encore fini de préparer mon plan. Elle me demanda pourquoi je ne lui avais pas dit bonjour. J’inventai une excuse et lui dis : « Je devais finir mes devoirs. - Et alors ce n’ai pas une raison. - Si ça en est une parce que le prof nous a donné beaucoup de devoirs pour demain. - Bon si tu le dis. - Et si on parlait de papa ? - Non désolé je suis fatigué je vais me coucher. S’il te plaît quand tu auras finis de manger, tu pourras débarrasser la table ? - Oui maman bonne nuit. - Bonne nuit » Et voilà encore une fois elle ne voulait pas me parler de mon père. Vu que j’avais fini de débarrasser la table, j’entrai dans la chambre de ma mère pour voir si elle dormait. C’est bon elle s’était endormie.


Je sortis discrètement de chez moi et je me dirigeai vers la porte n°13.

Chapitre 2 J’essayai d’ouvrir la porte de toutes mes forces. En vain elle ne bougeait pas d’un millimètre. J’étais découragée. Mais j’entendis des bruits de pas qui étaient de plus en plus fort. Ces bruits se dirigeaient vers moi !!! Je courus me cacher derrière la porte de mon appartement. Mais je ne courus pas jusqu’à ma chambre, je restais derrière la porte parce que j’entendis dehors une clé tourner dans une serrure. J’entrouvris ma porte pour mieux voir. Et là, je vis une personne qui ouvrait la porte n°13. Ça devait sûrement être le propriétaire parce que je ne l’avais jamais vu. C’était un homme, il était assez grand et assez maigre. Mais je n’eus pas le temps de voir son appartement parce que ma mère arriva et me dit : « Qu’est-ce que tu fais ici ? Tu devrais être en train de dormir. - J’ai vu le propriétaire de la porte n°13. - Tu ne va pas recommencer avec ça ? Combien de fois je vais devoir te le dire, personne n’habite dans cet appartement. - Et bah tu te trompes viens voir. - D’accord comme ça je vais te prouvais qu’il n’y a personne. » Et ma mère avança et regarda par la porte et elle me dit : « Tu vois il n’y a personne le couloir est vide. - Mais je t’assure il y avait quelqu’un toute à l’heure. - Peut-être mais la porte est fermée. - C’est normal tu as mis trop de temps pour venir voir et du coup il est entré dans son appartement. - Tu dis n’importe quoi alors maintenant va te coucher il est tard et tu as école demain. - D’accord. Et voilà comment ça s’est terminé. Donc c’est pour ça que, aujourd’hui, je suis fatiguée. Arrivée à l’école, je vis Claudine ma meilleure amie. Elle se dirige vers moi et me dit : « Salut. - Salut ça va ? - Oui et toi ? - Oui mais je stresse pour le contrôle. - Quel contrôle ? - Celui de math.


- Ho non, j’ai oublié de réviser à cause de la porte n°13. - Quelle porte n°13 ?!? - Celle de mon immeuble. - Et bah elle n’a rien de spéciale ta porte n°13. » J’en ai tellement marre qu’elle me pose des questions que je lui explique toute l’histoire. Heureusement elle me croyait ce n’était pas comme ma mère et Alexis. Au moins je sais que je pouvais lui faire confiance. La cloche sonne, et on va se mettre en rang. En classe la maîtresse nous distribue les évaluations. Vu que je n’avais pas appris ma leçon elle n’était pas facile. Vingt minutes plus tard la maîtresse ramasse nos évaluations. Je sais que je vais avoir une mauvaise note. A la cantine je dis à Claudine : « Si tu veux ce soir tu peux venir chez moi. - Ça ne va pas déranger ta mère ? - Non ce soir elle rentre tard, elle a une réunion. - D’accord comme ça on va essayer de trouver un plan. - Oui et aussi je pourrai te montrer un morceau au piano. - Bon aller, on va manger parce que sinon on va louper notre tour. » Après avoir mangé, on va lire en attendant de remonter en classe. Cette après- midi on a sport. On fait du demi-fond. Pour courir, on passe par deux. Je passe avec Claudine. Elle est beaucoup plus forte que moi. Heureusement qu’elle était là parce que je courais au ralentit. Après le sport la maîtresse me demanda si elle pouvait parler à ma mère. « Désolé mais elle travaille. - D’accord alors peut tu me passer ton carnet s’il te plait je vais lui mettre un mot.» Après qu’elle m’ait mis un mot, je récupère mon cahier, le mets dans mon sac et sors de l’école. Claudine m’attendais dehors. Sur le chemin elle me dit : «Tu ne ferais pas mieux d’appeler ta mère ? - Non il ne faut pas l’appeler quand elle est en réunion. - Oui tu as raison. - Et ce que tu as dit ça pour la prévenir que tu viens chez moi? - Tu voudrais que ce soit pour quoi? - Je ne sais pas. - En fait pourquoi tu n’es pas sorti en même temps que nous? - La prof m’a demandée si elle pouvait voir ma mère. - Et tu lui as répondu quoi? - Je lui ai dit qu’elle travaillait alors elle m’a mis un mot.»


Pendant le reste du chemin on ne parla pas. Arrivées chez moi, on passe devant la porte n°13. Il n’y avait pas de bruit alors Claudine me dit : « Tu vois il n’y a pas de bruit, je crois que je commence à croire ta mère, - Mais c’est normal je te l’ai déjà dit, le lundi et le mardi il n’y en a pas. - D’accords pas la peine de t’énerver. »

Chapitre 3 On entre dans mon appartement. Je dis à Claudine de poser son sac dans ma chambre. Après on va dans la cuisine et elle me dit : « Tu as au moins une idée pour le plan, parce que il ne faut pas qu’on nous voie. - Non je n’en ai pas. - Bon, on va devoir en trouver un. - Avant on fait nos devoirs. - Je sais. » Après avoir mangé, on va dans ma chambre pour faire nos devoirs. Avec Claudine, on continue notre exposé. Nos affaires sorties, on se met au travail. Mais le téléphone sonna. C’était ma mère qui me dit : « Bonjour ça va Anaïs ? - Oui et toi ? - Non la réunion n’a pas commencé et du coup je vais rentrer tard. - Maman ça ne te dérange pas que Claudine soit à la maison ? - Non tu peux lui proposer de dormir ici. - D’accord merci. - Bon je dois raccrocher au revoir. - Au revoir maman. » Claudine me rejoint dans le salon et me demande : « Alors elle t’a dit quoi ? - Que tu pouvais dormir ici et qu’elle va rentrer plus tard que prévu. - D’accord alors il faut que j’appelle mes parents ? - Prends le téléphone et appelle-les. » Claudine tapa le numéro. Sa mère décrocha. Elle resta au téléphone longtemps. Je ne sais pas pendant tout ce temps se quelle racontait parce que j’étais retournée dans ma chambre pour continuer l’exposé. Au bout d’un


moment elle me rejoint et me dit : « Mes parents veulent bien mais je dois aller mes affaires. - Tu veux que je t’accompagne ? - Comme tu veux - D’accord alors je t’accompagne. » Quand on arriva en bas de l’immeuble il était 19 h 30. Claudine sonna (vu qu’elle avait oublié ses clé.) et on entra. Dans l’appartement de Claudine Angèle (la mère de Claudine) était dans le salon et son père(Sébastien) je ne savais pas où il était. Angèle nous dit bonjour. Elle dit à Claudine: - Je t’ai préparé ton sac. - Merci c’est gentil mais il est où papa ? - Il est dans la cuisine. - D’accord j’y vais. » Elle alla jusqu’à la cuisine et dit: - Bonjour papa. - Bonjour Claudine ça va ? - Oui. - Est ce que Anaïs et avec toi? - Bien sûr elle est dans le salon. - Je vais aller la voir. - Bonjour Anaïs comment va tu ? - Très bien et vous ? - Ça va. - Claudine dit Angèle va chercher ton sac il est dans ta chambre. - J’y vais. » Peu de temps après elle revient avec un sac à la main. On dit au revoir aux parents. Sur le trottoir mon portable sonne. C’est ma mère qui m’appelle pour me dire qu’il reste encore 2 heures avant que la réunion se termine. Une fois la conversation terminée je raccroche. Claudine qui a entendu (j’avais mis le haut-parleur) me dit qu’on doit se dépêcher pour rentrer. Alors on coure jusqu’à la rue les noirs et j’arrête brusquement Claudine à l’angle de la rue. Elle me dit : « Pourquoi tu m’arrête comme ça. Ce n’est pas marrant. - Tais-toi et regarde discrètement dans ma rue. - Il y a rien. - Regarde mieux.


- Tu parles de l’homme habillé tout en noir, devant la porte de ton immeuble ? - Oui c’est le propriétaire de l’appartement n°13. - Comment tu le sais ? - C’est celui que j’ai vu la nuit dernière. - Alors viens on va lui parler comme ça on va mieux le connaître. - Non on va l’espionner. - Pourquoi ? - Si on va lui parler il va nous mentir. - D’accord mais ça ne se fait pas d’espionner les gens. - C’est pas grave parce que lui il se cache. - Bon on ne va pas se disputer. Il faut entrer parce qu’il est parti depuis longtemps, et mon sac est lourd. » On entre et on voit que l’ascenseur n’est pas libre. Alors on va dans les escaliers et on entend un gros bruit et Claudine me dit : « C’était quoi ça ? - Je ne sais pas. - Il faut vite qu’on monte pour voir ce qui se passe. - Tu as raison » Arrivé en haut on est essoufflée. La porte n°13 est fermée. Je m’avance doucement vers la porte, je me baisse et regarde dans le trou de la serrure. Je ne vois rien que du noir. J’ai l’impression qu’il n’y a aucun meuble. Je reste au moins 5 minutes à regarder, puis je recule pour laisser la place à Claudine. Pendant qu’elle essaye de voir quelle que chose je me dirige vers mon appartement. Puis j’appelle Claudine qui me dit : « Qu’est ce qu’il y a ? - Viens voir ma porte et grande ouverte. - Tu es sûr de l’avoir fermée ? - Oui est puis de toute façon je ne la laisse jamais grande ouverte. - Ça veut dire que quelqu’un est entré. - Oui c’est bon je sais pas la peine de me le rappeler. - C’est sûrement le propriétaire qui est entré. » On entre dans l’appartement. Derrière la porte on voit plein d’eau, des morceaux de verres, des fleurs et de la terre. Je prends mon portable et j’appelle Alexis. Je lui dis : « Alexis vient vite chez moi.


- Pourquoi ? - Ne te pose pas de questions et viens. - D’accords j’arrive. » Deux minutes plus tard il entre dans mon appartement et vois les dégâts. Il nous demanda : « Qu’est-ce que vous avait fait ? - Ce n’est pas nous pas vrais Claudine ? - Oui c’est le propriétaire. - De la porte n°13 ? - Oui. - Claudine il ne faut pas croire ce qu’Anaïs te raconte. - C’est la vérité. » Vus qu’il ne nous croit pas on lui explique ce qui c’était passé. Il nous dit : « Je veux bien vous croire mais pourquoi veut-il allait chez toi Anaïs ? - J’aimerais bien le savoir. - Tu ferais mieux d’appeler ta mère me dit Claudine. - Non elle va m’en vouloir si je la dérange. - C’est plus important ce qui se passe. - D’accords je vais l’appeler. » J’appelle ma mère qui me dit : « Anaïs je t’es déjà dit de ne pas me déranger. - Il faut que tu viennes c’est urgent. - Je ne peux pas. - Tu es obligé. - Bon je vais essayer de venir mais je ne suis pas sûr de pouvoir. - D’accords au revoir. Je raccroche. Je dis à Claudine et Alexis qu’elle n’était pas sûre de venir quand tout d’un coup on entend une porte qui claque.

à suivre



Chichi, le chat coquin Enzo Rogier


Je m’appelle Enzo, j’habite en Inde à Goa. Je suis le maître de Chichi le chat, je suis médecin et vais vous raconter mon histoire. Derrière la porte de mon salon, il y a du grabuge. Je dis : - Chichi je veux que tu sortes. - Mais dehors c’est un vrai déluge. - Et bien va t’abriter sous un arbre ! - Mais dehors ça glisse et le sol est en marbre. - Chichi tu es un chat. - Oui mais je ne suis pas en chocolat.


- C’est bon tu as gagné. Mais ne viens pas me déranger. 3H plus tard… Je dis encore : - Chichi il est tard ! Va te coucher. - Mais je n’ai pas goûté. - Tu n’avais qu’à pas faire l’idiot. - Tu n’es pas rigolo. Chichi sortit. Et dehors il vit une ombre. C’était Kio le chat le plus dangereux de la ville. Ils menèrent un combat acharné.

Chichi allait perdre mais ses amies les souris vinrent l’aider et Chichi l’emporta. Il remercia ses amies les souris. Puis gravement blessée, il rentra à la maison. - Chichi que t’est-il arrivé ? Demandai-je. - Je me suis battu avec Kio. - Viens je vais te soigner. Je lui mis du spray et un bandage. Et Chichi guérit.



Bretonne Eve Soriano


Chapitre 1: 10 ans J’avais maintenant 10 ans, je m’appelais Anna j’ouvrais la porte vers l’âge de plus que de raison. Derrière cette porte, disait ma mère, il y avait des gens qui travaillaient. Moi ce que je voyais, c’est que les gens qui travaillent étaient paresseux et lâches. Alors j’embarquai sur mon bateau, j’arrivai au cap Fréhel. Tantôt je me baladais le soir dans l’écume de la plage de Pros Gwenn, tantôt je regardais les bateaux arriver au port. Un jour je décidai d’aller à la pêche de 18h. Je rentrai ensuite à l’hôtel. Je me laissai tomber sur mon lit quand mon téléphone sonna, je lus ce sms : « AU RENDEZ-VOUS DES PIRATES. »


Chapitre 2: au rendez-vous des pirates Je sortis. Il faisait nuit noire il n’y avait personne, à l’exception de quelques marins qui faisaient encore la fête. Je pris mon bateau. Un « Ah » de surprise m’échappa quand je regardai au loin. Il était grand il avait fier allure !

Chapitre 3: qui ? C’était un vrai bateau de pirate, vite je montais sur le navire un peu terrifiée. « Bienvenue au club des pirates de Bretagne, es-tu prête à te battre ? » « Euh non euh ...pas vraiment. » Dis-je un peu hésitante. « À l’abordage ! » crièrent les pirates.


Chapitre 4 : A l’abordage ! Une fois sur le bateau que nous décidâmes d’attaquer je sautai dans la cabine. C’était le fameux capitaine Desflots. Je m’apprêtais à le tuer quand il me dit : « Notre bateau est en train de couler ! En voyant notre bateau en faiblesse ton capitaine s’est précipité vers nous car notre bateau contient un trésor, celui de la cale. Si tu veux nous aider va chercher les bouées dans la cale. » Le trésor y était. Je pris les bouées et je remontai. Vite le bateau commençait a couler. J’étais partagé entre aider mon navire de départ en rapportant le trésor ou aider ce pauvre capitaine Desflots. Je laissai le trésor et je partis sur mon bateau après avoir remonté les bouées. Plus tard notre bateau se mit lui aussi à couler. Je faisais tout pour ne pas que le bateau coule mais rien à faire nous échouâmes sur une ile déserte. Sur la plage, un autre pirate vint me parler il me dit : « C’est fou ce que tu as pu faire pour nous sauver j’aime bien les filles comme ça. » -Oh ça va là !dis-je en sursautant Mais une troupe de corsaire venait d’accoster sur l’île qui n’était plus du tout déserte ! Ils nous emportèrent comme esclaves du roi. En trois jours nous nous retrouvâmes devant le roi. Pendant 3 mois notre emploi du temps était : Matin : cuisine Midi : service Après-midi : cuisine Soir : service Nuit : ménage Un soir alors que je débarrassais la table, le capitaine Desflots vint nous libérer, nous repartîmes.


Je restais pirate jusqu’à la fin de mes temps…



Le stade mĂŠchant Halim Zidane


Derrière la porte il y avait un monde où il y avait un stade avec un bouton qui était au milieu du terrain. Mais quand on appuyait dessus le stade se transformait en avion. Et en-dessous il y avait un aimant relié à l’avion. Cet aimant permettait de transporter ce qu’on voulait où on voulait. Le directeur du stade aimanta les autres stades et mit les stades au fond de la mer. Et il transforma son avion aimanté qui redevint un stade. Un jour plus tard tout le monde vint à son stade et il gagna beaucoup d’argent. Une semaine plus tard, des voleurs vinrent dans le stade dans la nuit. Le lendemain le directeur réalisa qu’on lui avait volé sa fortune.


Il se mit à pleurer. Il n’aurait jamais dû appuyer sur bouton !



Un monde en symétrie Hélinand Robin


Je m’appelle Hélinand j’ai 9 ans je suis né en 2003, j’habite à Lyon et j’aime les aventures. Le soir, je marche dans un champ d’herbe jaune et je trouve une porte, une seule porte. Elle est marron et je ne sais pas ce qu’il y a derrière, et c’est à ce moment précis que ma mère m’appelle au loin pour venir diner, mais je n’obéis pas et je reste, ensuite je vois mon copain en train de m’observer en cachette. Je lui dis qu’il peut sortir de sa cachette. Il me demande: - Il y a quoi derrière cette porte ? - Je ne sais pas. - Alors ouvre-la. - Non. - Si. - Non. - Si. - Non. - Si. - Non. - Ouvre-la ! - Non ! - Alors fais le pour me faire plaisir ! - Bon voilà je l’ouvre ta porte.


On découvre un monde parallèle en symétrie.

Ce monde est fait de ligne avec beaucoup de couleurs, formant des petits carrés. Ce monde est presque comme le monde de maintenant (les maisons, la végétation, les montagnes). Mais, ce monde est fait de triangles, carrés, rectangles en symétrie qui forment des îles autour desquelles il y a la mer. Pour accéder d’une île à l’autre, il faut prendre des bateaux ultras perfectionnés appelés Equisocèle. Et comme j’adore la symétrie, je vais passer toute mes vacances dans ce paradis.



Le dragon Rock and Roll Henrick Yette


Derrière la porte de la maison, il y avait un petit dragon qui s’appelait Mark. Il jouait de la guitare dans un groupe de musique, le groupe s’appelait « Les jeunes Dragons ». Un jour le dragon partit en tournée dans toute l’île des Dragons. Mais le 7 septembre, le jour où il devait rentrer chez lui, il ne revint pas. La maman de Mark commença à s’inquiéter.


Sa mère appela le manager de Mark, mais il dit que Mark avait pris le train hier. La mère de Mark appela le directeur de la gare Sncf pour dragons. Le directeur répondit et la mère du dragon demanda : « Mon fils avait pris le train qui démarrait de Petiville et son terminus était Dragonville. Il devait revenir aujourd’hui à 00h55, mais il n’est pas arrivé. Pourquoi le train n’est-il pas arrivé hier soir ? ». Le directeur répondit d’une triste voix et dit : « Le train a déraillé et a percuté un autre train. Quel est son nom madame ? - Son nom est Mark, et il avait une guitare, dit la maman. - Je suis désolé, il est mort de froid. On a essayé de le sauver mais il était glacé. La mère raccrocha triste et s’allongea sur le canapé en pleurant. Une semaine plus tard, c’était le jour de l’enterrement. Une fois Mark enterré, sa mère est allée manger dans un restaurant avec toute la famille présente à l’enterrement.



Un week-end dans la forĂŞt Jade Blanc-Hivert


Chapitre 1 : Je découvre Je m’appelle Lou. J’ai 9 ans. J’adore faire du vélo. J’aime beaucoup le camping. Le week end dernier, il m’est arrivé quelque chose d’extraordinaire. J’allais camper avec mes parents. Nous venions de trouver une place dans la forêt. J’ouvris la porte de la voiture. Derrière la porte de la voiture je découvris enfin l’endroit où on allait camper. J’avais emmené mon cheval parce qu’on est inséparable. - Maintenant il faut vite monter la tente j’ai l’impression qu’il va pleuvoir, dis-je - Viens donc nous aider au lieu de dire cela, dit maman - Ok ok j’arrive ! Quelques instants plus tard. - C’est bon la tente est montée maintenant au dodo, dis-je.


Chapitre 2 : Mes parents se réveillent C’est le matin je me suis réveillée à 6 heures (donc la première comme d’habitude). Quand mes parents se sont réveillés, je me suis jetée sur eux en disant : - Une promenade à vélo, une promenade à vélo ! Mes parents m’ont répondu : - Hein quoi, ah heu oui d’accord.

Chapitre 3 : La promenade en vélo. J’ai crié toute joyeuse : - C’est bon tout le monde est prêt, alors c’est parti ! Alors nous sommes partis. Nous discutions en regardant autour de nous : - C’est fou cette végétation. - C’est normal on est en pleine forêt, dit ma mère. Au bout d’un moment mes parents se sont mis à parler juste tous les deux, ça m’énervait puis à un moment, je me suis endormie sur mon vélo.

Chapitre 4 : Je panique Quand je me suis réveillée j’ai tout de suite paniqué. Pourquoi ? Parce que je ne voyais plus mes parents, alors j’ai pensé à plein de choses horribles. Je me suis mise à crier : - Au secours, au secours ! Mais quelque chose d’étrange était là devant moi.

Chapitre 5 : Les feux follets

Il y avait des feux follets, ce sont de petites flammes bleues. J’ai passé un bon moment à les regarder, puis je me suis demandée si je devais vraiment les suivre. Je me suis dit que de toute façon je n’avais pas besoin de revenir puisque j’étais perdue. Alors


je les ai suivis. J’ai marché bien deux trois heures avant d’arriver enfin près d’une maison. J’ai frappé à la porte parce que je suis polie. Personne ne m’a ouvert. On aurait dit que cette maison n’avait pas été visitée depuis très longtemps. Je me suis mise à visiter toute la maison. A un moment la maison s’est mise à tourner, tourner.

Chapitre 7 : Le pays imaginaire Dès que la maison s’est arrêtée de tourner, j’ai couru vers la fenêtre pour voir où j’avais été transportée. Et là j’ai vu un pays imaginaire. Il neigeait alors je me suis bien couverte et je suis sortie. Mon habitude c’est de tendre la langue pour avaler les petits flocons qui tombent .Mais là ce n’était pas de la neige mais du sucre glace. Je suis allée frapper à la porte d’une autre maison. On m’a ouvert. La dame qui m’a ouvert a tout de suite dit : - Mais qu’est-ce que vous faîtes là ? Vous ne faîtes pas parti du pays imaginaire. Elle m’a laissée entrer et je lui ai raconté mon histoire.

Chapitre 8 : La mission Elle m’a dit que le seul moyen de rentrer dans mon monde et de retrouver mes parents était d’aller en haut de la plus grande montagne. Et là je trouverais une pierre précieuse. J’ai pleuré et Mme Bonbonne m’a consolé : - Ne t’inquiète pas je vais t’aider. J’ai répondu en reniflant : - Merci c’est bien gentil. Elle m’a répondu : - Vite ne perdons pas de temps. Alors nous nous sommes vite préparées, et nous avons commencé notre chemin. Il faisait très froid, j’avais 2 paires de gants sur les mains et j’avais toujours aussi froid aux mains. Au bout d’un moment il y a eu une tempête de neige, nous nous sommes vite réfugiées dans une grotte toute noire. Au fond de la grotte j’ai vu quelque chose qui brillait alors j’ai dit : - C’est quoi au fond ? Je vois que ça brille. - C’est la pierre, vite prend là. Nous sommes enfin arrivées j’ai pris le diamant et ma luge. Nous avons donc descendu la pente en luge. Mme Bonbonne m’a dit que cette pierre


me ramènerait chez moi mais aussi qu’elle arrêterait les guerres. Je l’ai remerciée pour son aide et je suis retournée dans la cabane qui s’est mise à tourner comme à l’aller. Je me suis retrouvée sur la route, allongée par terre. J’étais tombée de mon vélo et mes parents essayaient de me réveiller.



Jade et la chambre des secrets Jade Galindo


Je rentrais de l’école et derrière la porte d’entrée de mon appartement, tout avait changé. Il y avait un monde avec de l’herbe partout, une forêt derrière moi, et devant un grand château. Je vis une chouette qui m’apportait une lettre et un petit cadeau. J’allais oublier, je m’appelle Jade et j’ai treize ans. Sur la lettre il était écrit qu’il fallait acheter des livres de magie et dans le petit cadeau, il y avait une baguette. Et c’est ainsi que je compris que j’étais à Poudlard. C’était un grand château, avec plusieurs tours, que j’avais uniquement visité dans les films. Tout d’un coup une robe de sorcier apparut sur moi, j’entrai à Poudlard. Je pris le Choixpeau magique qui était devant moi. C’était un chapeau qui parle. Il me dit dans quelle tour aller : « Gryffondor ! »

Chapitre 2 : Le Basilique J’entendis des applaudissements à la table de Gryffondor. Je vis une fille monter dans le dortoir, je la suivis, elle se retourna et elle me dit : « Bonjour je m’appelle Victoria et toi ? - Je m’appelle Jade et je suis la sœur de Kévin.


- Tu es en première année ? - Oui ! - Tu viens, je vais te montrer ton lit. - D’accord. » Il y avait aussi Léon mon ami d’enfance, qui en récompense de sa gentillesse avait reçu le sceptre de Gryffondor. Le lendemain Victoria se leva tôt pour aller à la bibliothèque, je la suivis (je suis curieuse). Je l’entendis crier : « Ahhhh ! » Je courus et je vis Victoria pétrifiée : « J’en étais sûr, le Basilique une bête infâme et pitoyable ! » Dis- je.

Chapitre 3 : La chambre des secrets. J’allai tout de suite dans les toilettes où Lili Magique une ancienne élève fantôme, pétrifiée par le Basilique, me raconta toute l’histoire. Pour tuer le Basilique il fallait entrer dans une salle secrète en-dessous de l’école avec le sceptre de Gryffondor. Pour ouvrir la porte de cette salle, il fallait appuyer sur la tête de serpent près de la fontaine qui était dans les toilettes. J’ouvris le mécanisme et je me fis assommer mais Léon était là pour moi. Une grande course-poursuite a eu lieu. Je me suis réveillée, le Basilique était MORT ! Léon était blessé. « Léon tu vas bien ?


- Oui oui très bien. » Dit Léon souffrant en silence Nous sommes allés dans le bureau de Dumbledore (notre directeur). Tout d’un coup, Victoria entra en trombe et me demanda : « Jade tu vas bien ? Je te croyais morte ! - Oui je vais bien Victoria » dis-je en riant, je vis Léon faire un sourire (je pense un faux).Je me demandai si en dessous de sa robe (de sorcier) il saignait beaucoup.

Chapitre 4 : Le sorcier maléfique. Pendant qu’on discutait un sorcier laid, crapoteux et grand avec plein de cicatrices sur le visage nous a dit « Boujlour jvevouledré voulre Dumbeltrulc. - J’ai rien compris, dit Léon en marmonnant. - Ah, jeunetluc comment vas-tu ?, Dit Dumbledore. -Binze UH UH UH ! » L’homme s’était mis à rire comme un dingue, mais Dumbledor le regarda d’un air louche. Dans sa bouche un petit truc électronique clignota et tout d’un coup il nous sauta dessus. Léon prit le septre (de Gryffondor) et il lui arracha le visage et il tomba par terre. Le lendemain je dis au revoir à mes amis parce qu’il y avait trop d’aventures à Poudlard et je refermai la porte. Je repris ma vie d’avant.




Mon cheval est malade Jasmine Berkhane


Bonjour je m’appelle Jasmine et j’ai 10 ans, j’habite à la campagne. Un jour j’étais derrière la porte du ranch de mon oncle. Je l’entendis confier à ma mère que mon cheval Tonnerre allait bientôt mourir. J’étais très triste.

Je courus dans ma chambre. Puis je m’enfermai. Ma mère entra et me dit : - Qu’est- ce qu’il se passe ? Je lui répondis : - Ne fais pas comme si rien ne s’était passé. - Mais enfin ma chérie qu’est-ce qu’il t’a pris? - Je sais que mon cheval va mourir. J’ai tout entendu.


- Mais enfin qu’est-ce que tu as entendu ? - Je t’ai entendu parler avec tonton. - Je vais t’en racheter un autre, ma chérie. - Non je n’en veux pas un autre !!! Elle avait l’air triste elle aussi. Elle me tendit une boîte, et me dit: - Maintenant elle est à toi. Je lui dis : - Merci mais à quoi sert cette boîte ? Elle me répondit : - Laisse la boîte te l’expliquer ! J’ouvris la boîte, et là je vis un petit papier où il était écrit : « Tu n’as droit qu’à un seul vœu, pour qu’il se réalise il faut que tu y penses très fort et il se réalisera. Mais surtout ne le dis à personne. » « J’aimerais que mon cheval guérisse très vite. » Pensai-je très fort Je remerciai maman et me précipitai vers le box de mon cheval. - Tonnerre mon cheval !!! »M’écriai-je Je lui fis un très gros câlin et je lui expliquai que j’avais fait un vœu pour lui. Mais le lendemain Tonnerre était toujours malade. Je dis à maman que son truc ne fonctionnait pas. Elle me répondit: - Mais enfin un vœu ne se réalise pas du jour au lendemain il faut attendre encore un peu. D’accord ? Donc j’attendis. Trois jours après, mon vœu se réalisa. Mon cheval avait guéri, j’étais très contente. J’ai sauté dans les bras de ma mère et je lui ai dit : « merci, merci maman. »



Les aventures dans le temps Kevin Le


Chapitre 1 Je m’appelle Kevin. L’histoire que je vais vous raconter s’est passée quand j’avais 21 ans. Chez moi, il y avait une porte dans ma chambre mais cette porte était spéciale. C’était une porte spatio-temporelle que je n’avais encore jamais essayée. Je me dis alors que je pouvais tenter de changer d’espace-temps. Je tapai 3000 sur les touches car je voulais visiter l’an 3000 et j’ouvris la porte. Je me retrouvai donc en l’an 3000. Je vis une télévision en 4D. Il y avait des magasins mais tout était gratuit. Je ne vis personne marcher dans les rues qui étaient des tapis roulants. Il y avait des fusées dans lesquelles on pouvait entrer et voyager dans l’espace. Il n’y avait plus de policiers mais des robots-policiers. Je rentrai chez moi et fermai la porte. J’allai à -700 000. Je me retrouvai à la préhistoire et je vis des mammouths mais très peu d’hommes. Il y avait plein de guerres de mammouths. Puis je rentrai chez moi. Je choisis alors de vivre en l’an 3000, dans le futur.


Chapitre 2 Je vécus tranquillement. Pas d’impôts, pas de fatigue, seulement des jeux vidéo en 3D ou en 4D. Pas de violence, pas de criminels, plus d’armes. Un jour, alors que je sortis de mon petit chez moi, je vis un dragon en 4D. Tous les robots-policiers affrontaient le dragon en 4D. Mais il les détruisit tous et je me dis que je pouvais les sauver avec plus d’armes. Je pris 500 bombes dans les poches, je pris aussi un revolver, et plein d’autres armes. J’arrivai à temps pour le combattre, je lui enfonçai un poignard mais il résista. Alors je lui lançai mes 500 bombes. Je lui tirai la peau, elle s’enleva car il s’agissait d’un déguisement. Tout à coup, je vis que c’était un robot déguisé en dragon. Je le détruisis avec ma tronçonneuse. Je pris des indices pour trouver le coupable qui avait construit le robot. Sur son dos, il y avait l’adresse où il habitait : 54 cours Lafayette. Je trouvai le coupable et je le tuai avec mon revolver, j’avais sauvé le futur !!!


Chapitre 3 Je venais de sauver le futur. Je rentrai chez moi et je décidai de retourner en l’an -700 000 pour arranger les choses qui n’allaient pas à la préhistoire. J’ouvris la porte et je m’y retrouvai. C’était nul car il n’y avait pas d’habitations autres que les grottes. Je décidai de m’en construire une avec tout ce que je trouvai. Mais quatre heures plus tard, ça n’avançait pas. Un australopithèque arriva et il m’aida. On eut plus de facilité pour construire l’habitat. C’était une grande réussite mais il faisait froid et on décida de réchauffer l’habitat car le chauffage et le feu n’existaient pas. J’essayai donc de frotter rapidement pour réchauffer les murs mais ça ne marchait pas, les murs refroidissaient. Je décidai alors d’inventer le feu.

Chapitre 4 Inventer le feu n’était pas du tout facile. On essaya avec deux bâtons mais ce n’était pas suffisant. Alors j’essayai avec deux bâtons plus grands mais ça ne marchait toujours pas. Cette fois-ci, je pris trois bâtons mais je n’avais plus de temps car un dinosaure apparut et détruisit tout y compris mon habitat. Je ne pouvais pas le poursuivre car il courait trop vite. Mais un autre problème survint, il y avait d’autres australopithèques qui attaquaient mon ami australopithèque. Ils voulaient le capturer et le tuer. Mon australopithèque fuis et les autres m’attaquèrent. Je fuis aussi mais ils me rattrapaient donc j’accélérai. Comme je courais à la vitesse d’un éclair le sol se réchauffait. En courant, je fabriquai du feu, je pris donc un bâton et l’enflammai. Je courus vers eux. Comme ils virent l’espèce d’arme et qu’ils ne la connaissaient pas, ils fuirent. L’australopithèque sortit de sa cachette m’applaudit. J’attrapai un mamouth et, avec le feu, je le fis cuire. On le dégusta. Je rentrai chez moi.

Chapitre 5 Je venais de sauver l’australopithèque. A mon retour, comme je m’ennuyais chez moi, je tapai 1297 et je me retrouvai au Moyen-Âge. Au Moyen-Âge j’aimais le fait qu’il y avait des guerres, des châteaux-forts et des croisades. Je me retrouvai devant le château-fort de France et un soldat m’emmena à l’intérieur du château. Il me demanda ce que je voulais devenir, je répondis : « soldat ! ». Il me mit les accessoires de soldat sur le dos car la guerre contre les anglais était déclarée. Il me donna une


arme : une arbalète, et on alla au combat. Les anglais étaient 90 : 15 avec des arcs, 32 avec une épée, 22 avec une massue, 20 avec un marteau, un capitaine et le chef, John.

Chapitre 6 La bataille commença, c’était une grande bataille. Nos 90 soldats français et les 90 soldats anglais passèrent à l’attaque mais ces derniers avaient élaboré une stratégie : 45 soldats attaquèrent mais les 45 autres se replièrent derrière et tuèrent ceux qui traversaient le champ de bataille. La bataille était difficile pour nous car 25 soldats de notre armée étaient morts, mais eux n’en avaient perdu que 3. Je décidai d’intervenir, je tirai 3 fléchettes avec mon arbalète mais je ne réussis à tuer que 2 personnes. Il restait à l’armée anglaise 85 soldats vivants et nous 75. Je pris un canon et je mis 100 fléchettes dedans. Je tirai, c’était un grand succès car il y eut 25 morts. Il ne leur restait plus que 60 soldats. Les 30 premiers soldats batirent en retraite mais 30 soldats qui étaient surpuissants restèrent. Je repris ma porte temporelle et je pris un bazooka, je revins sur le champ de bataille. Je tirai, c’était mortel. Il y eut 10 morts mais John leur chef tira sur moi et me blessa. Je tirai à mon tour sur John, il mourut et les anglais fuirent. Les soldats m’applaudirent car j’avais sauvé les français mais avant de rentrer chez moi ils m’ont soigné. Je rentrai chez moi sans oublier mon bazooka. J’étais devenu un grand voyageur dans le temps.



Les aventures de ZĂŠlina Lina Gouga


Derrière la porte, de mes escaliers, il y a une pièce avec un très vieux bureau. Un jour pendant que mes parents dormaient je voulais voir cette pièce, alors j’ai décidé d’y entrer. J’ouvre la porte, et derrière la porte un bureau tout sale, avec derrière moi une grande bibliothèque. Tout d’ un coup je suis tombée : « PAM ! AIE ». Il y avait une autre porte et derrière la porte il y avait du bruit. Cette porte menait jusqu’à une pièce magnifique. Dans cette pièce il y avait un trésor que peut-être mes parents connaissaient. Du coup, en cachette tous les jours je dormais dans ma nouvelle chambre qui était ma pièce secrète. Un jour alors que j’allais dormir, ma mère m’avait suivie pour me dire bonne nuit. Tout d’ un coup des voleurs arrivent et ils nous emprisonnent dans le couloir, entre l’escalier et la porte du bureau. J’étais à la fois contente d’être avec ma mère et à la fois malheureuse parce que je ne voulais pas que maman apprenne mon secret. Mais les personnes qui nous ont emprisonnées voulaient voler des objets en or qui étaient dans ma pièce secrète. J’avais aussi fait une très grosse bêtise, j’avais donné de l’or à la mauvaise


personne parce que il n’avait plus d’argent. Et en plus mon père et ma mère connaissaient cette pièce qui poureux était très chère à leurs yeux. Alors comment faire pour que les voleurs ne prennent pas l’or et comme nt nous sortir de la ? secret pour rentrer dans la pièce secrète, il est rentré en cachette. Dans notre pièce secrète, dans un tiroir caché, il y avait un pistolet mais un vrai pistolet. Mon père est venu dans la pièce que les cambrioleurs volaient et en cachette il a pris le pistolet. « PAM ! PAM ! » Mon père les a blessés. Mais derrière la porte de ma maison les voisins avaient appelé la police, parce qu’ils avaient entendu du bruit. Alors, la police est arrivée et a cru que c’était mon père le voleur parce qu’il avait les pistolets dans la main. Maman et moi n’arrivions plus à parler tellement nous avions eu peur. Mais, là police a embarqué mon père au commissariat et nous aussi pour nous questionner. Elle a emmené les voleurs à l’hôpital. Une fois arrivés au commissariat, moi et maman avons tout raconté et papa a dit : « Il y avait 2 cambrioleurs qui voulaient voler nos objets en or de mon grand-père. » Les voleurs n’étaient pas morts mon père les avait juste blessés. A la fin les 2 voleurs ont été condamnés à 3 ans de prison. Papa a eu 2 ans de prison. Maman et moi avons dit « au revoir papa. » et nous sommes rentrés à la maison. 2 ans plus tard, nous sommes allées chercher papa au commissariat, puis nous sommes partis au restaurant, et c’était la fin de cette histoire. J’ai dit : « J’espère que ça n’arrivera plus ». Nous sommes partis du restaurant et j’ai invité mes amies à dormir chez moi. On a joué dans la pièce secrète qui n’était plus ma pièce secrète. « Tout s’est bien terminé » Nous avons même fait une surprise à mon père. Nous avons nettoyé le vieux bureau tout sale. Pour lui offrir.



Le pays imaginaire Malou Gaudillière


Je m’appelle Malou, j’ai 9 ans, j’habite à Lyon dans le 3ème arrondissement, cours de la Liberté. Je vais vous parler de la porte de l’aventure, qui se situe dans ma chambre. Cette porte, personne ne peut la voir, sauf moi. J’y vais toujours quand je m’endors.


Pour aller au pays imaginaire j’ai mis un pull violet, et mon plus beau jean celui que j’avais eu pour mes 8 ans. De l’autre côté il y a une ville charmante, je la connais, il y a beaucoup d’immeubles surtout avec des balcons. Il y a des boutiques. Beaucoup sont des boutiques de magie. Il n’y a pas beaucoup d’enfants il y a plus d’adultes. Je m’y suis déjà rendue 5 fois. Cette fois-ci, je suis allée au conseil de la magie. On m’a engagée pour une superbe et très difficile mission. Ma mission était de sauver le pays imaginaire de plusieurs pirates très méchants. Leur chef était Jack le Rouge. Je me mis directement au travail. On a mis à ma disposition des objets pour que la mission soit plus facile. On m’a donné une potion pour s’envoler et une autre pour les tuer 1ère étape trouver les pirates. Je les ai trouvé tout de suite ils étaient dans la rue en train de terroriser les passants. Je me suis envolée vers eux. J’avais mes armes mais le pirate Jack le rouge était le plus fort des pirates. J’ai quand même tenté ma chance. Avec toute ma potion je les ai vaincus. Pour leur faire boire cette affreuse potion, je leur ai fait croire que c’était de l’alcool et que je voulais faire la paix avec eux. Ils m’ont cru. J’ai sauvé le pays ! J’ai gagné la médaille du pays imaginaire. Je suis rentrée chez moi heureuse d’avoir sauvé mes rêves.



Cristiano et Messi Moktar Aidani


Derrière la porte des vestiaires, Ronaldo est parti avec ses copains. Son match contre Messi n’est pas tout de suite. Il faudra attendre 10 mois. Alors Ronaldo rentre dans le stade d’entrainement et fait des petits jongles avec Benzema et Kaka. Pendant 10 mois Ronaldo passe du temps chez lui.


Et voilà, le jour du match est arrivé et comme Ronaldo ne se sent pas prêt, il part dans les vestiaires espionner Messi. Messi Est là-bas pour s’échauffer. Ronaldo espionne. Le match commence. Pour le match Real Barca Ronaldo dribble Messi a honte. Tous ses supporters le laissent tomber, et encouragent Ronaldo. Puis Ronaldo continue jusqu’à ce qu’il devienne champion du monde.

Messi invite Ronaldo à faire un concours de jongle pour se venger. Puis c’est fini, Ronaldo gagne le concours de jongle et aussi le trophée de meilleur jongleur. Depuis Messi arrête le foot parce qu’il ne veut plus se faire humilier par Ronaldo et en plus il doit s’occuper de son fils. Quand il rentre chez lui. Il s’amuse à la Play 3 avec son fils.



La crypte terrible Na誰la Belbriki


Introduction Je m’appelle Naïla, et je suis curieuse, nous sommes en hiver. Je vais vous raconter une aventure en ce moment même ! Derrière la porte du cimetière près de chez moi que se passe-t-il ? Quand j’entends un bruit je rentre tranquillement chez moi. Le lendemain, je grille d’envie d’y retourner, finalement j’y vais à 20h00. Ma mère rentre à 21h00. Il fait tout noir dehors, je rentre dans le cimetière je vais plus loin que la dernière fois. J’essaie de partir mais quelque chose m’en empêche : la curiosité. Je touche une tombe. Soudain un tremblement de terre. Je recule de la tombe. Ensuite tout s’arrête Je recommence plusieurs fois. Ceci commence à me faire peur. Au bout de 4 fois je ne recule plus et la porte d’une crypte s’ouvre mais que va-t-il se passer ??


Chapitre 1 : La Crypte TERRIBLE Je suis tellement curieuse que je vais rentrer dans la crypte mais quelque chose me fait peur. Et si la porte se refermait et que j’étais enfermée ? Qui peut savoir ce qu’il y a dedans ? Je rentre avec beaucoup de courage et aussi de la peur. Quand je rentre j’entends un grincement et ce n’est pas la porte d’entrée. Je regarde ma montre. Il est minuit « je dois rentrer! » Puis ma montre explose! J’entends des claquements de talons. Je commence à avoir très peur. Quelqu‘un se dirige vers moi, Je me dis : «au secours je veux partir ! » Mes pieds se collent. J’enlève mes chaussures ! Je pose mon pied par terre et il se colle à son tour. Je crie. « AU SECOURS LAISSEZ-MOI PARTIR ! » J’entends les chaussures derrière moi, j’ai peur. Je dis : « qui êtes-vous? »

Chapitre 2 : le kidnapping C’est une femme, elle est derrière moi je dis : - Qui êtes-vous ? Elle me répond : - Tu n’as pas à le savoir. Elle doit être recherchée par la police. Je me débats comme un tigre et je réussis à m’échapper. Je pars en courant. La femme est à ma poursuite. Quand j’arrive chez moi, je vois sur la pendule qu’il est 21h00 je vais dans ma chambre, je me vois en train de dormir dans mon lit. Je crie et soudain je me réveille c’était un cauchemar. Mais depuis ce cauchemar j’ai peur des cimetières.


Chapitre 3 : La revenante Ma mère a reçu un coup de téléphone. J’ai entendu que mon grand-père était mort. J’étais triste. Par contre quand j’ai entendu le mot cimetière, inquiète, je demande : «on ne devra pas aller au cimetière ? » Devinez ce qu’il s’est passé ! Le lendemain, je vais au cimetière. Chez moi les cérémonies ont lieu la nuit. Au milieu de la cérémonie je revois la crypte et je pars en courant. MAIS QUE VA-IL SE PASSER ? Imaginez la fin de mon histoire à votre façon…




L’horloge Nina Siagian


Je m’appelle Nina et j’ai 10 ans, je suis à l’école quand tout d’un coup, j’entends un grincement, c’est une porte qui s’ouvre : j’entre et derrière la porte, tout est noir, il n’y a personne. J’essaie de sortir de cette pièce mais la porte s’est coincée. Je la pousse de toutes mes forces mais impossible de l’ouvrir. Je marche tout droit devant moi. J’atteins une autre porte, je l’ouvre et je vois une autre salle toute jaune et remplie de meubles. Je les escalade car il y a encore une autre porte qui elle n’a pas de poignée. Au milieu de la porte, il y a quelque chose de gravé, ce sont des lettres. Je pose ma main sur la porte qui s’écroule tout à coup. Elle n’est pas très solide. Sur la porte les lettres gravées sont : « teanointtuouart !!! » Je m’assois et j’essaie de déchiffrer ce qu’il y a marqué sur la porte. Au bout d’un moment, je me décourage car je n’arrive pas à déchiffrer ces mots puis je me rappelle soudain que j’ai encore mon cartable sur mon dos. J’en sors une feuille et un stylo et j’écris les lettres. En réfléchissant, je commence à trouver « attention au trou ». J’avance vers le mur prudemment puis je tombe dans un trou et en atter-


rissant, je me rends compte que le sol s’est ouvert. À l’endroit où j’avais atterri, il y avait 1 autre porte, elle était bleue. J’entre et à l’intérieur, je vois un objet brillant autour d’un fond tout bleu. Je cours vers cet objet et je constate que ce sont des aiguilles. Je retourne vers la porte. En faisant un pas derrière moi je tombe encore dans un trou, j’entre par la porte qui, elle, est verte. Tout est vert et au milieu il y a quelque chose qui ressemble au contour d’une horloge. Je l’emporte. En faisant un pas derrière moi, comme tout à l’heure, je tombe dans un autre trou et je vois cette fois 3 portes. Deux blanches et une multicolore. J’entre par la porte multicolore et là juste devant moi il y a des arbres, de la nourriture, de l’eau, des animaux, pleins de plantes, un pré et une maison.


Je vais dans la maison qui est à deux étages et à l’intérieur, il y a tout ce dont on a besoin pour vivre dedans. Je visite cette maison : il y a six pièces. La cuisine, le salon, une salle de bain et trois chambres. La 1ère contient un bureau, un lit, une armoire et plusieurs meubles. Dans les deux autres, il n’y a rien à l’intérieur. Je sais que ce sont des chambres car sur chacune des portes est marqué le nom de la pièce. Je mange, je bois puis je dors car la nuit tombe. Le lit est très confortable. Le lendemain matin j’en oublie même que je suis perdue. En ouvrant le placard de la chambre où je dormais il y a à peine dix minutes je découvre dans un coin du placard tous les balais et autres pour faire le ménage. Je ne m’ennuie pas car la maison me plaît mais elle n’est pas très propre. Avant de commencer à nettoyer la maison, je remarque qu’il y a une coupure d’eau. Dans le pré, je vois des vaches. Comme je constate qu’il n’y a plus d’eau dans toute la maison et que j’ai très soif, je vais traire les vaches. Ensuite de retour à la maison, je fais tout le ménage mais, à la fin, je me rends compte que j’ai oublié de nettoyer une pièce. En enlevant la poussière, je vois des outils sous le lit. Je les mets sur la table du salon où est aussi posé ce que j’ai trouvé dans les autres endroits. Je m’assois. Dans les outils que j’ai découverts, il y a un marteau, une scie et plusieurs tournevis. Je vais dans le pré et puis je sens sous mes pieds quelque chose. C’est une plaque métallique. Je la prends et je la retourne, il y a des nombres comme sur une horloge. Je comprends qu’il est temps que je m’en aille car il n’y a pas d’autres choses. Je pars en emportant quelques provisions : du pain, des fruits, de l’eau et pleins d’autres choses, sans oublier les outils et ce que je pense être les morceaux d’une horloge. Je sors, j’entre alors par une des portes blanches. Dans cette pièce il y a un matelas, je me mets dessus. Je me dis que ça ne sert à rien alors je pars. Dans la dernière salle, il n’y a qu’une autre porte. J’entre par cette porte et là aussi il n’y a qu’une seule porte. Je commence à désespérer mais en ouvrant je vois le mur couvert d’une écriture colorée. C’est écrit : « Mode d’emploi pour construire une horloge… » Je sors alors les ustensiles et je fais ce qui est marqué et puis à la fin l’horloge devient plutôt réussie. Ensuite je regarde l’heure : 02 h 15 « Elle ne doit pas être à l’heure » me dis-je. Vu qu’il n’y a pas de bouton pour régler l’horloge je tourne les aiguilles et puis là je ne suis plus au même endroit : je suis devant la porte que j’ai fait tomber, où était marqué : teanointtuouart.


Je me rappelle alors que quand j’étais à l’école il était exactement : 16h32 c’était l’heure de sortir de l’école. Je tourne alors les aiguilles sur 16h32 et je me rends compte que je suis revenue à l’endroit où tout a commencé. J’entends un grincement, mais cette fois, je me retourne puis je rentre chez moi.



Un carnaval magique Rayana Tagirova


Notre histoire commence derrière la porte de ma chambre, le jour de mardi gras. Quand j’ouvre la porte il y a un carnaval et je crie : - Maman maman ! Ma mère arrive et elle me demande : - Mais que se passe-t’il ? - Regarde dans ma chambre maman. - Il y a quoi dans ta chambre ? Il n’y a rien dans ta chambre. - Mais il y a un carnaval je le vois maman. - Tu es bizarre. Pourquoi tu dis ça ? - Mais je vois vraiment un carnaval. Arrête de dire des choses bizarres. Habille-toi pour aller au magasin. Alors je m’habille mais j’entends une sorcière qui me dit de ne pas partir. Je lui demande pourquoi et elle me dit de rester avec elle sinon elle me transforme en crapaud. - Bon d’accord je vais demander à ma mère si je peux rester à la maison. - Maman.


- Quoi ! Mais tu ne vois pas je suis en train de faire les sacs. - Est-ce-que je peux rester à la maison ? - Pourquoi ? - Parce qu’il y a une sorcière qui m’a dit de rester. - Mais, ça n’existe pas les sorcières. Tu as l’air malade. Tu peux rester à la maison pour te reposer. A tout à l’heure Lisa. Quand ma mère part, la sorcière vient vers moi avec ses amis. Elle me demande si je veux jouer avec eux. Là je m’amuse avec mes nouveaux amis. Ensuite ils partent. Je m’endors. Ma mère arrive et elle ne voit pas le carnaval et ne me croira jamais.



Le fant么me de la maison Shana El Boughanmi


Derrière la porte de ma nouvelle chambre j’ai vu un fantôme, je lui ai demandé : « Comment t’appelles-tu ? Et d’où viens-tu ? - Je m’appelle Camélia et je suis le fantôme de la maison, dit-elle. - Qu’est-ce qu’il y a derrière la porte du placard ? - Tu verras, ça peut être dangereux. Tu dois deviner le mot magique. - Mmm, je ne sais pas… Le lendemain matin je retourne voir si elle est toujours au même endroit. Elle dort tranquillement sur mon nouveau lit. Une heure plus tard elle dort encore mais ma couverture a changé de couleur et de motif. Sous mon oreiller, je vois deux clés qui dépassent, je les prends pour ouvrir la porte car je me dis : « Et si Camélia disait vrai, et s’il y avait quelque chose de dangereux derrière la porte? ». J’entre sans faire de bruit et je vois une pièce vide avec une simple boite. Dessus, c’est écrit: « Ne pas toucher ». Mais je suis tellement curieuse que j’essaie d’ouvrir la boite. Je n’y arrive pas. Je vois une petite serrure et je me dis : « et si j’essayais d’ouvrir la boite avec l’autre clé trouvée sous mon oreiller… ». J’essaie d’ouvrir et ça marche. Youpi, j’ai réussi !


Mais il y a des jeux de société magiques dans la boîte secrète. J’ai réveillé Camélia, elle se lève de mon lit et part voir dans la pièce secrète. Elle se dit qu’il y a quelqu’un dans la pièce. Mais je ne dis rien et elle retourne se mettre derrière la porte pour surveiller que personne n’entre. Lorsque je veux sortir de la pièce, je me rends compte qu’elle a fermé la porte à clé. Elle avait un double des clés. Et moi qui ai l’autre clé j’ouvre la porte et je sors en douce de la pièce secrète. Camélia me voit et me dit. « Que caches-tu dans ton dos ? - Rien Camélia. » Alors je mets la boite sous mon lit pour m’amuser plus tard dans un parc avec mes amis.



Pirates Vs Vikings Thibault Carabeuf


Vers le début du neuvième siècle, dans les mers des Caraïbes, il y avait un pirate très gentil. Il s’appelait Samofar, il avait 59 ans. Il était capitaine du bateau « Fausse Licorne » et n’était pas du tout riche. Un jour, Samofar, avec ses 20 pirates, attaqua le bateau de Petit Moussaillon. Il était tout seul mais possédait un gros bateau. Ce bateau s’appelait « Léon ». Derrière la porte de la cale, il y avait de la poudre magique pour les canons. Le capitaine Samofar essaya de prendre la poudre magique, pour attaquer d’autres bateaux. Arrivé dans la cale il tomba sur Petit Moussaillon. Petit Moussaillon n’était pas d’accord alors ils combattirent. Le combat fut acharné, Petit Moussaillon s’écroula à terre, mais ne se décourageant pas, il combattit avec plus de force.


Il resta par terre un moment, un peu plus longtemps que la première fois. C’est alors qu’un bateau plein de vikings arriva ! Les vikings aidèrent Petit Moussaillon. Mais une fois à bord du « Léon », Petit Moussaillon était déjà mort ! Les vikings voulurent garder la poudre magique. Mais le capitaine Samofar appela ses pirates. Ils combattirent contre les vikings sur le bateau de Petit Moussaillon. Les vikings ne se laissèrent pas faire. Ils gagnèrent. Tous les pirates moururent sauf Samofar. Le capitaine Samofar fut abandonné sur une île déserte par les vikings. Heureusement il avait volé un peu de poudre magique et l’avait mise dans sa poche. La poudre magique se transforma en nourriture. Grâce à ça le capitaine Samofar constuisit un canon en bambou qui l’envoya jusqu’à « Pirategentilville ». Il construisit alors un nouveau bateau et repartit pour de nouvelles aventures.



Le vampire et la sorcière Timothy Paul


J’ai vu un vampire derrière la porte de ma maison. Derrière le vampire, il y avait une sorcière qui se promenait. Elle était méchante. Elle n’était pas belle. Elle était affreuse. J’avais peur. J’ai crié. Je me suis enfui par la porte de derrière. Le vampire et la sorcière m’ont suivi. Ce n’était qu’un jeu pour eux. Ils m’ont trouvé,


ils m’ont attrapé et ils m’ont jeté un sort et je me suis transformé en grenouille. Ils ont gagné et sont partis tranquillement. Les villageois étaient contents, heureux, car la sorcière et le vampire étaient rentrés dans leur monde avec la formule magique : « 74258100004 ». Après, je me suis transformé en humain car le sort était rompu. Je suis rentré à la maison. Je me suis endormi dans mon lit moelleux. Le lendemain, un nouveau jour se présentait à moi... C’est ainsi que mon histoire prend fin.



La musique avec les copines Victoria Naz


Chapitre 1 Bonjour je m’appelle Victoria j’habite en Italie et j’ai 20 ans. Avant j’habitais à Lamure sur Azergue. Je vais vous raconter ce qui m’est arrivé quand j’avais 17 ans. A cette époque, tous les jours je joue du piano dans une classe de musique avec deux amies : Malou et Jade. Derrière la porte de l’école il y a une classe où se trouvent un piano, un violoncelle, un violon, une guitare, une clarinette, une flûte, une batterie. Il y a mes amies : Eve, deux Jade, Agathe, Anaëlle, Naïla, Alexa, Malou et moi. Eve joue du violoncelle, une des Jade, Malou et moi jouons du piano (j’ai un bon niveau, j’en fais depuis 4 ans), l’autre Jade joue de la flûte, Agathe joue du violon, Anaëlle joue de la clarinette, Naïla de la batterie et Alexa joue de la guitare. À 12h30 nous sortons du cours de piano pour aller retrouver les autres puis nous retrouvons Eve qui est dehors avec son violoncelle, elle joue très bien.


Chapitre 2 : La nouvelle élève « Il y a une nouvelle ! s’écrie Jade. - On va la voir ? dit Malou - Oui, s’écrie Eve. Comment t’appellestu ? » - Je m’appelle Shana. - Tu joues de quel instrument ? dit Anaëlle - Je joue de la flûte. - Tu as quel âge ? dit Agathe - J’ai dix-huit ans - On va te faire visiter l’école de musique ! dit Victoria - Nous sommes neuf plus toi ça fait dix, remarqua Eve - Nous sommes beaucoup ! dit la cousine de Victoria, Eugénie. - Là, c’est la salle de danse, la prof s’appelle Sophie. Ici, la salle de chant avec M. Barth. Le prof de gym se nomme M .Tom. Le cours d’orthographe avec Monsieur Olivier, celui d’histoire avec Monsieur Dumont. Ta prof est Madame Delarive, elle aussi, elle joue de la flûte. Le directeur est Monsieur Xavier et son bureau est au fond à droite. Attention à Nabila, elle est très méchante, c’est la vipère de l’école. Il est l’heure d’aller manger, on va à gauche ou à droite ? demande Victoria. - À droite le restaurant est mieux, d’accord ? répond Eve. Tout le monde dit oui . - Nous mangeons et après nous retournons à l’école de musique, OK ? demande Alexa. Tout le monde dit oui. - Nous avons cours de chant il faut que nous partions. Nous allons rejoindre Monsieur Barth, précise Jade. - NON ÇA ME BARBE LA CHORALE ! » crie Eve - Lundi, Monsieur Barth avait mal à la gorge nous n’avons pas pu faire chorale » fait remarquer Victoria. - Tu vas venir avec nous ok, Eve ! s’énerve Agathe. - NON ! Comme je vous l’ai dit je ne veux pas aller en cours de chant. - TU NOUS SAOULES. TU AS COMPRIS ! s’écrie Anaëlle. - Oui, dit Eve d’un ton bas. - Alors nous y allons ensemble, OK ? interroge Alexa. - D’accord ? demande Malou.


- Oui, dit Eve d’un ton bas. Un peu de temps après nous arrivons à l’école de musique et nous entendons : - Monsieur Barth a une réunion à Paris ! dit le directeur. - Il ne va pas être là demain non plus ? S’inquiète Naïla. - Tu es gentille mais non il ne sera pas là. - Dommage - Mais il va revenir lundi, dit le directeur. - OUI SUPER ! dit Victoria d’un ton joyeux. - Vous êtes déçues, je sais mais moi aussi, dit le directeur d’un air malheureux.

Chapitre 3 : Le feu Aujourd’hui nous sommes le mardi 11 février, c’est un jour comme les autres mais nous somme 55 dans le groupe. Tout d’un coup nous entendons une alarme, M. Tom dit : - C’est une alarme incendie. Tout le monde effrayé, court de partout. Nous sommes vraiment secoués, étonnés comme s’il y avait un tremblement de terre. Le directeur rentre dans une salle de classe et voit brûler les instruments un par un, d’abord la flûte après le violon puis le violoncelle, la guitare, la batterie, la clarinette et en dernier le piano. Il referme la porte et crie : - Au feu ! Au feu … !


Tout le monde est encore plus stressé et court de partout, il s’écrie : - Sortez vite ! Sinon ça va vous brûler ! On est évacués très rapidement. L’école a dû être fermée pour une rénovation pendant deux longues années. Mais après j’ai dû partir en Italie avec ma famille. J’ai quitté toutes mes amies sans leur dire au revoir.



La petite fĂŠe Zoulfiya Tagirova


Un jour j’étais dans ma chambre où il y avait un placard. J’ai ouvert le placard, il y avait une porte et une petite fée derrière cette porte. Elle avait très faim. Je lui ai donné à manger. Elle a mangé et son ventre est devenu si gros qu’il a explosé. Il y avait de l’eau partout dans ma chambre, comme un océan.


Ma mère a eu peur, elle m’a dit: « ça va Violetta ? » J’ai répondu « Oui, ça va ». Maman est partie. La petite fée s’est guérie avec sa magie. J’ai dit à la petite fée de s’en aller mais elle ne voulait pas. Je lui ai demandé si elle pouvait faire disparaitre l’océan de ma chambre. Je me suis endormie, la petite fée a nettoyé. Lorsque je me suis réveillée, ma chambre était magnifique. Violetta et la petite fée sont devenues les meilleures amies.


7è m e s A s s i s e s I n t e r n at i o n a l e s du R o m a n 27 mai - 2 juin 2013

17 classes primaires du département du Rhône ont lu, rencontré et écrit avec :

Gilles Abier, Jean-Philippe Arrou-Vignod, Audren, Hélèna Villovitch Les versions intégrales des histoires écrites par les enfants sont disponibles sur www.villagillet.net Avec les Éditions Célestines : http://petits livres.free.fr


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