École Léon Jouhaux Brunet

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Graines de lecteurs Récits

École XXXX - Classe de XXX


Histoires écrites par des classes de CE1-CE2-CM2 de l’école primaire xxxxxxx Avec l’aimable collaboration de xxxxx



L’élève peureux

par Fadi, Noé et Sam


Je m’appelle Houssama. Dans ma classe, mes camarades me traitent de poule mouillée car j’ai peur de tout. Un jour, pendant la séance d’histoire où nous parlions du Moyen Age, je me suis mis à rêver et je me suis retrouvé à Dragon Ville. C’est une ville dans laquelle vivent de nombreux dragons très colorés : certains ont des taches, d’autres des griffures, des poils ou encore des cornes. Au loin, j’aperçois un château. Je décide d’aller le voir de plus près. A l’entrée du château, je vois écrit sur une immense planche de bois l’inscription suivante : Le palais du roi dragon. J’entre dans le château. Des gardes s’approchent de moi et me demandent : « Que faites-vous ici ? - Je cherche le roi. - Nous allons vous emmener jusqu’à lui. Suivez-nous. » Une fois arrivé devant le roi, je me présente et je lui demande s’il peut m’aider à être plus courageux. Le roi me répond : « Peut-être que je peux t’aider en te proposant des épreuves. Si tu les réussis tu auras la médaille du courage. » Je lui réponds : « Pourquoi pas ? Que me proposez-vous ? » Le roi m’explique les différentes épreuves : « La première est la suivante : tu dois franchir un parcours semé d’obstacles en évitant des dragons. Dans la deuxième, tu dois traverser une grotte sombre dans laquelle il y a des dragons camouflés. Dans la troisième, tu dois rester dix minutes sur le dos d’un dragon en vol. Et enfin, dans la dernière tu dois aller dans la forêt du malheur pendant une heure sans te faire repérer par les dragons. » Je réussis toutes les épreuves imposées. Le roi me remet la médaille du courage. C’est alors que j’entends une voix, de plus en plus forte : « Houssama, Houssama, Houssama. » Je me réveille en sursautant. Ce n’était qu’un joli rêve. Dommage… Si seulement un jour il pouvait devenir réel !


La chaise râleuse

par Coleen, Luna, Rayan, Alyssia et Astrid


Ce matin, comme tous les matins, ma chaise est en train de dormir… Quand j’essaye de m’assoir sur elle, elle sursaute. J’essaye à nouveau de m’assoir, elle me repousse en riant. « Pourquoi me repousses-tu ? lui dis-je - Car tu te balances trop Thomas ! me répond la chaise - Mais je dois bien m’assoir pour travailler ! - Je m’en fiche, j’ai mal aux pieds ! - Mais j’ai besoin de me concentrer ! - Tant pis ! - Mais je ne serai pas à l’aise ! - J’ai mal au dos car je suis trop vieille ! » Je travaille donc toute la journée par terre. Après la classe, je rentre chez moi. Pendant toute la nuit, je réfléchis à un plan pour m’assoir à nouveau sur ma chaise. Le lendemain matin, je déjeune et je me prépare. J’arrive à l’école, il est temps de mettre mon plan à exécution. La maîtresse frappe des mains. J’enlève mon manteau tout en récapitulant rapidement mon plan. Lorsque j’entre dans la classe, je vois que ma chaise a disparu. Je la cherche partout en vain. Je décide d’aller voir la directrice dans son bureau. C’est alors que je découvre ma chaise en train de se plaindre à la directrice. « Alors Thomas, il paraît que tu maltraites ta chaise ? me dit la directrice - Mais non, ce n’est pas vrai ! C’est elle qui me cherche ! - Est-il exact que tu te balances sur elle ? - Oui, mais c’est lorsque je m’ennuie, réponds-je à voix basse - Et moi, madame la directrice, je veux partir dans une autre école ! crie la chaise - Et moi, comment vais-je travailler … ! » Ma chaise prépare sa valise, achète un ticket de bus et part. Une fois arrivée devant sa nouvelle école, elle sourit. Elle entre et se dirige vers le bureau du directeur.


« Bonjour, excusez-moi de vous déranger, dit la chaise - Vous ne me dérangez pas, que puis-je pour vous ?, demande le directeur - Je viens m’inscrire dans cette nouvelle école. - Bien sûr, en plus nous sommes en manque de chaises. - Mais pourquoi manque-t-il des chaises ? - Bah justement, on n’en sait rien du tout ! » La chaise se demande toute la nuit pourquoi, dans cette école, ils manquent de chaises… Le lendemain matin, elle se rend dans sa nouvelle classe, et se présente : « Bonjour, je m’appelle Gislaine, et j’ai 50 ans. Et je serais très heureuse de partager de bons moments avec vous. » Elle trouve un bureau sans chaise, et s’y installe. Tout se passe bien jusqu’en début d’après-midi. Puis les élèves s’agitent, se mettent à hurler, à se balancer, à crier jusqu’à l’heure de la sortie. Gislaine, affolée, se tourne vers sa voisine chaise et lui demande : « C’est comme ça tous les jours ? - Oui, malheureusement ! Cela fait des années que nous voulons nous échapper mais le directeur nous en empêche car les élèves travailleraient assis par terre ! » Pendant la nuit, Gislaine décide de réunir toutes les chaises de l’école à la cave. Ne supportant plus cette situation, elles réfléchissent ensemble à un plan pour se révolter le lendemain matin. Le lendemain, les chaises se réunissent dans la cour pour se révolter. Elles brandissent une banderole sur laquelle est écrit : « Nous en avons marre de votre école, trop de cris, trop de hurlements, trop de maltraitances, NOUS PARTONS !!! » Les élèves les regardent bouche bée ! Le directeur accourt, paniqué et verrouille toutes les portes ! Les chaises partent se réfugier dans les toilettes et s’échappent par la fenêtre. Elles décident toutes de rentrer chez elles sauf Gislaine qui retourne dans son ancienne école.


Pendant tout ce temps, Thomas travaille sagement, les fesses par terre... Les élèves entendent frapper à la porte de la classe. C’est Gislaine ! « Gislaine tu es de retour !?!, dit Thomas - Et oui, je suis de retour !, répond-elle - Et pourquoi es-tu là ? - Je croyais qu’ailleurs ce serait le paradis, mais c’est pire qu’ici ! - Mais pourquoi ? - Car là-bas tous les enfants se balancent et crient ! - Est-ce que tu veux à nouveau que je m’assois sur toi ? - J’accepte mais fais un peu plus attention à moi. - Je te le promets. » Thomas et Gislaine se réconcilient et travaillent ensemble jusqu’à la fin de l’année !


La gomme qui se prenait pour la maĂŽtresse

par Cyrine, Laura, Romance et TĂŠliau


Un lundi matin, alors que je joue dans la cour avec mes copains, je sens quelque chose de mou sous mon pied. Au début, je crois que c’est un chewing-gum. Je regarde et je vois que c’est une gomme aux couleurs vives, très jolie. La maîtresse siffle. Je la mets dans ma poche et je vais très vite me ranger. Nous commençons la matinée par une évaluation de géographie. La maîtresse nous demande de sortir un crayon à papier et une gomme ! Mais j’ai oublié la mienne chez moi ! Tout à coup, je me rappelle que j’en ai une sur moi. Je la sors et je fais mon évaluation. Quelques minutes plus tard, je décide d’écrire un mot à mon copain. Au moment de former la dernière lettre, la gomme hurle : « IL A ECRIT UN MOT ! ». La maitresse me punit et félicite la gomme rapporteuse. Pour la remercier et comme elle avait tous les diplômes pour enseigner, le directeur de l’école lui a confié une classe. On peut désormais lire sur une des portes de l’école : « Classe de Mme Gommella ». Depuis, tous les élèves rêvent d’être dans sa classe car ils ont entendu dire qu’elle effaçait leurs erreurs et qu’elle ne mettait que des A+ …


Les craies magiques

par Corentin, MathĂŠo et Marouane


Un matin, alors que ma maitresse écrivait la leçon d’histoire au tableau, elle se rendit compte qu’elle n’avait plus de craies. Elle écrivit donc la leçon sur une ardoise géante avec des feutres Velleda. Cela me donna une idée ! Puisque c’était l’anniversaire de la maîtresse le lendemain, et que j’avais des craies chez moi qui ne me servaient à rien, je n’avais qu’à les lui offrir. Lorsque je rentrais chez moi, j’allai dans ma chambre et j’ouvris le placard dans lequel j’avais rangé mes craies pour vérifier qu’elles s’y trouvaient toujours. Lorsque je les aperçus, je fus rassuré. Le lendemain, en me levant, j’ouvris le placard pour prendre les craies. Elles avaient disparu… Je fouillai partout dans ma chambre. Il fallait absolument que je les retrouve avant de partir pour l’école ! C’est alors que j’entendis maman me crier : « Prépare-toi Pierre, il est l’heure de partir pour l’école ! » Qu’allais-je faire lorsque tout le monde allait offrir un cadeau à la maîtresse sauf moi !!! Je me demandais comment les craies avaient fait pour s’échapper du placard, en une nuit seulement. C’était très bizarre cette histoire. Sur le chemin de l’école, je sentis quelque chose bouger fortement dans mon cartable. Puis, d’un coup ça s’arrêta. Que se passait-il dans mon cartable ? Je décidai de ne pas regarder. En arrivant à l’école, tous mes copains me demandèrent ce que j’avais comme cadeau pour la maîtresse. Je leur dis : « Ben, en fait je voulais lui offrir des craies. Mais ce matin, en regardant dans mon placard, elles avaient disparu… A cause d’elles, je n’ai plus de cadeau à offrir à la maîtresse ! » Mes camarades me répondirent : « Mon pauvre ! C’était une bonne idée pourtant ! » « Et vous, vous avez des cadeaux pour la maîtresse ? - Moi, j’ai une boîte de chocolats. - Et moi plein de capsules de café. - J’ai un bouquet de fleurs avec un mot sur lequel j’ai écrit Chère maîtresse, je vous souhaite un joyeux anniversaire avec un bouquet de fleurs exceptionnel ! J’espère que nous passerons une bonne fin d’année scolaire. De la part de David La maîtresse siffla pour que l’on se mette en rang. Je me rangeai avec un air malheureux. J’avais vraiment honte de ne pas avoir de cadeau pour la maitresse. Arrivés dans la classe tous les élèves crièrent « Joyeux anniversaire maitresse !!! »


Moi, je ne dis rien et j’entrai tout penaud dans la classe. Soudain, je repensai au moment où j’avais senti bouger quelque chose dans mon cartable. Quand la maitresse demanda d’ouvrir les cartables et de sortir les trousses, je vis les craies !!! Je n’en croyais pas mes yeux !!! Elles me regardèrent tout excitées et me dirent : « Nous sommes magiques ! » Je restai bouche bée. « C’est un secret, d’accord ? - D’accord » Du coup, je ne savais pas quoi faire : est-ce que je donnais les craies à la maîtresse ou est-ce que je les gardais pour moi ? Après avoir réfléchi, je décidai de les donner à la maîtresse. Le jour suivant, la maîtresse utilisa ses nouvelles craies pour écrire sur le tableau. Mais elle ne savait pas qu’elles étaient magiques… A la récréation, je remarquai que les craies étaient dans ma poche ! « Que faites-vous ici ? - Nous voulions juste venir avec toi, me répondirent les craies » En remontant en classe, la maîtresse nous dit : « Nous allons continuer à écrire la leçon d’histoire. » La leçon était tellement longue que les craies rapetissèrent de plus en plus… J’étais triste car mes craies étaient en train de disparaître. La maîtresse dit : « Allez, cette fois, il faut toutes les jeter ! » « Noooooooooooooon, criai-je - Pourquoi Pierre ? - Vous ne pouvez pas comprendre, mais s’il vous plaît, ne les jetez pas ! Donnez-les moi. - D’accord, tiens. - Merci !!! » Je les pris dans mes mains. Elles firent un bond et quelques secondes après, elles retombèrent dans ma paume. Mais… elles avaient grandi !!! Elles étaient comme neuves, elles avaient la même taille que lorsque je les avais offertes à la maîtresse. Ces craies étaient immortelles !!!


La tableau mou

par Noé, Clémentine, Nicolas, Julia etTom


Ce matin, la maîtresse m’interroge. Je vais au tableau. A peine ai-je commencé à écrire la réponse de l’exercice de science que le tableau essaie de m’avaler. Je lutte de toutes mes forces mais il est plus puissant que moi. Il finit par m’aspirer ! A l’intérieur, je découvre des centaines de maîtresses poussiéreuses : des jeunes, des vieilles, des blondes, des rousses, des grandes, des petites… « Que faites-vous là ? dis-je - Nous sommes prisonnières du tableau, comme toi ! Nous sommes dans son estomac ! Nous ne pouvons pas sortir. - Ah bon ! - Il y a peut-être une sortie mais nous ne l’avons jamais cherchée… ! s’exclament les maîtresses. - Eh bien, trouvons-la ! » Ensemble nous partons à la recherche de cette fameuse sortie. Nous nous retrouvons perdus dans un labyrinthe rempli de vieux morceaux de craie et de bouts d’éponge tout secs dans lequel il y a des règles et des équerres immenses qui nous barrent la route ! Malgré ces obstacles, nous réussissons à avancer. Tout à coup, nous nous mettons à glisser de plus en plus vite. Au bout d’un moment nous nous arrêtons enfin. Nous sommes entrain de marcher tranquillement, lorsqu’une échelle se dresse devant nous. « Quelle haute échelle ! s’écrient les maîtresses. - Oui, c’est vrai, montons-la quand même ! » Nous avons enfin fini de monter cette échelle géante. Désormais nous marchons tranquillement sur un sol très lisse, quand nous apercevons une lumière. Nous nous approchons de plus en plus d’elle… Nous sentons soudain une tornade de bouts de craies et d’éponges qui nous propulsent en l’air. Nous atterrissons dans une classe ! Je la reconnais, c’est la classe située à côté de la mienne. « Que faites-vous là !? dit la maîtresse. - Bonjour, nous sommes des réparateurs, nous venons remplacer votre vitre cassée. Voulez-vous bien nous la montrer ! dis-je en rougissant. - Non, nous n’avons pas de vitre cassée, ce doit être dans la classe voisine. - Ah bon !?! On nous a dit que c’était au 2ème étage à droite en sortant de l’escalier. - Ah non ! Ils se sont trompés, c’était à gauche. - Alors allons-y. » C’est ainsi que j’ai pu retrouver ma classe après un long voyage dans les coulisses du tableau. Quant aux maîtresses qui m’accompagnaient, certaines ont repris leur travail et d’autres sont parties à la retraite.


La règle folle

par Enzo, Marc-Olivier, Badis et Naelys


C’était la fin des vacances d’été. La rentrée approchait. Je devais acheter mes fournitures. Il me manquait une règle. Ma mère et moi, nous sommes allés au supermarché pour me l’acheter. Nous avons trouvé une règle superbe avec des décorations et en plus elle n’était pas chère ! J’ai demandé à ma maman de me l’acheter, elle était d’accord. Quelques jours plus tard c’était le jour de la rentrée. Tout le monde était en classe et c’était l’heure de la géométrie. Le maître nous a demandé de tracer des segments. J’ai à peine posé mon crayon contre ma règle qu’elle s’est mise à danser du hip-hop en criant : « Allez, danse avec moi. Après on ira manger une glace !! ». Manque de chance, le maître était juste derrière moi, il m’a dit : « Merci, j’aime danser et j’adore les glaces mais là on est en classe ! » L’heure de la récréation a sonné. Dans la cour, j’ai vu des élèves attroupés dans un coin. Je suis allé les rejoindre et j’ai aperçu la règle danser… Elle faisait des figures acrobatiques géniales ! Elle tournait tellement qu’on aurait dit qu’elle était devenue folle. « Wahoo, tu danses vraiment bien ! lui dis-je en souriant - Merci. Veux-tu que je t’apprenne ? - Oui, avec plaisir mais pas devant tout le monde car je ne sais pas danser… - Retrouve-moi sous le préau après l’école, nous serons seuls. » Je suis retourné en classe et je me suis assis sur ma chaise. La règle était de nouveau dans ma trousse calme et immobile… Le soir venu, comme promis, la règle m’a appris à danser. C’était super ! A la fin elle m’a dit : « On va la manger cette glace ? - Oui ! Cool ! »


L’horloge qui aimait bien dessiner

par Dzejna, Constance et Tanya


Aujourd’hui, c’est le jour de la rentrée. Au revoir les vacances, la plage, les grasses matinées… Bonjour le CM2 ! Ce premier jour d’école est long. J’attends la récréation avec impatience… Je regarde l’horloge et je vois que ses aiguilles ne tournent pas rond, j’ai l’impression qu’elles font quelque chose de bizarre… Je m’approche et là, je découvre que l’horloge, au lieu de donner l’heure, est en train de dessiner ! Elle utilise ses aiguilles comme des mines de crayon ! Oups, je n’ai pas vu l’heure … Les élèves sont sortis. J’en profite alors pour aller voir l’horloge de plus près. Je m’approche d’elle et je lui dis : « Bonjour, je m’appelle Clémentine. » L’horloge est paniquée, elle tourne ses aiguilles dans tous les sens… Puis elle se calme et me chuchote : « Je m’appelle Lucie. - Mais, tu es vivante ? Comment ça se fait ? Tu parles, c’est super ! Peux-tu m’apprendre à dessiner ? - C’est d’accord, mais les autres élèves ne doivent pas nous voir. On commencera demain matin pendant la récréation, dans la classe. - Ok, à demain. » Pendant la nuit, je ne réussis pas à dormir. Je pense à l’horloge. Le lendemain matin, je décide d’aller à l’école avant l’ouverture. J’entre par la porte de la cantine. Vite ! Une dame arrive. Je cours au troisième étage. Arrivée devant la classe, l’horloge m’aperçoit. Elle demande à la porte, son amie, de m’ouvrir. « Comment vas-tu ? dit Lucie. J’ai pensé à toi toute la nuit. - Je vais bien mais j’ai beaucoup dessiné. Maintenant je suis fatiguée. J’ai besoin de me reposer, on se verra tout à l’heure. Un peu plus tard, lorsque mes camarades et moi entrons dans la classe, la maitresse s’écrie : « Pourquoi l’horloge est-elle repliée sur elle-même ? - Euh …euh maîtresse, en fait l’horloge est vivante ! AAAAAH !!! - Elle est vivante ? C’est vrai ? - Je vous jure ! » La maîtresse ne me croit pas… Mais ce n’est pas grave car l’horloge est devenue ma meilleure amie. Elle m’apprend à dessiner toutes les anciennes et belles maisons dans lesquelles elle a vécu.


16 classes de CM1, CM2 et 6è ont lu, rencontré et écrit avec : A4-cmjn-VECTO.indd 1

Guillaume Guéraud Yves Grevet Pascal Vatinel Hervé Walbecq

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