Ecole Montbrillant (Lyon)

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Graines de lecteurs RĂŠcits

École Montbrillant - Classe de CM2 de Claire Pelletier


Histoires écrites par une classe de CM2 de l’école primaire Montbrillant (Lyon) Avec l’aimable collaboration de Jean-Philippe Arrou-Vignod



Jean-B, enquêteur professionnel

par Blanche, Inoké, Noé, Thierno


Chapitre 1 « Salut, sac de patate, qu’est-ce-que tu fais chez mes grand parents ? j’ai demandé. - On ne dit pas «salut, qu’est-ce-que tu fais ?» mais «bonjour, que faistu ?» C’était le jour ou j’ai rencontré ce garçon si étrange. Un an plus tard le P.T.B.(Personne Trop Bizarre) m’appelle. «Mon cher Jean-B., je t’invite dans ma demeure voir, la star, la plus belle, la plus grandiose de toutes les inventions… J’ai raccroché et j’ai couru dans la chambre de Jean-A. pour qu’il me conduise à l’internat. Après 18 accidents je suis enfin arrivé. En arrivant dans le box de P.T.B. il m’a fait tout un discours. «Et voici et voila la plus belle des inventions inventée par… - Ben, elle est où ? - Quoi ! Elle a disparu ! Chapitre 2 - Oh, non, ma bibiche, mon petit chou, donnez moi mon sandwich tabasco-banane sinon je vais tomber comme une vulgaire fiente. Il m’a regardé fixement et il a dit : - Bon tu vas chercher des indices. J’ai cherché et toutes les dix secondes P.P. m’appelait . «Jean-B. vient regarder sous les placards.» J’ai cherché et au bout du 6ème placard, j’ai trouvé un gant et je l’ai montré à P.P . - C’est aussi moche que les affaires des cousins Fougasse, je me suis exclamé. Vu qu’ils nous donnent tous leurs vêtements, c’est sûrement à ma famille. - Euh et elle est où ta famille ? - Chez mes grands-parents à St Vivien. Chapitre 3 On court à la voiture mais P.P. s’arrête devant une fille. - Mon invention a disparu ! - Celle que tu as inventé aux ruines ? - Oui, c’est bien elle ! La plus révolutionnaire de toutes mes inventions !


Chapitre 4 Une heure plus tard, dans la maison des grands parents. - Que fait cette photo de postérieur dans la maison ? me demande P.P. - Euuuuuuuuuuh. j’ai dit en faisant semblant de ne pas savoir. - Eh toi ! Le garçon avec la tortue ! Tu peux venir s’il-te-plait ! appela Mathilde en apercevant Jean-F. P.P. commence : As tu vu une sublissime invention ? - Zorro, Zorro, Zorrooooo ! - Attend, je note. Euh, qui est ce Zorro? a chuchoté P.P. à Mathilde. - Hein ! Tu connais pas Zorro ! s’est exclamé Mathilde. - Attends, ça ne sert à rien, barre tout ce que tu as écrit, j’ai dit à PP. - Non je garde, ça peux être très utile. - Eh toi ! Le garçon avec le poisson ! Tu peux venir s’il-te-plait ! a demandé Mathilde. -Bonzour ze m’appelle Zean-Euh et voizi Suppozitoire, a zozoté Jean-E. - As tu vu une invention inventée par un inventeur génialissime qui est beau, intelligent et qui a déjà gagné plein de concours et compte encore en gagner, a déclaré P.P. - Z’est quoi une zinvention ? - Laisse tomber P.P. il ne sait même pas ce que c’est une invention. Chapitre 5 - Eh, mon jeune garçon peux-tu venir s’il te plait ? a dit P.P. - Oui, quoi ? Ah oui, tu es le gros garçon qui est tombé en panne devant chez nous, a dit Jean-D. en ricanant. P.P. a froncé les sourcils et a dit : - Mais non ! Je ne suis pas gros, petit espiègle ! - As-tu vu son culbero-machin-truc ? j’ai demandé. - Quoi ? Nous sommes attaqués par des pirates chinois ! Ils ne m’auront pas, ya, ya, ya ! a crié Jean - Laisse tomber, il est en pleine guerre avec ses pirates, a dit Mathilde désespérée. - Oui, allez m’en chercher un autre. - Eh toi viens ! criait Mathilde.


- Ah bon ? - Non mais , banane, on est devant toi ! - Bref, as-tu vu un dinosaure à roulettes ? - Quoi ? Les dinosaures existent encore ? Ils vont nous envahir ! Ahh ! - Mais non ! idiot ! - As-tu écris cette lettre ? a demandé PP - Non, il est trop nul en orthographe. - Ok ! Connais-tu ce gant ? a questionné Mathilde - Ah oui c’est le gant de Jean-A. ! Vous voulez lui rendre ? On s’est regardé fixement dans les yeux et on est parti. Chapitre 6 On a emmené Jean-A dans la cabane. On avait l’impression qu’il surveillait quelque chose. P.P. commença : - Sais-tu pourquoi tu es ici ? - Non, a dit Jean- A en continuant à se prélasser sur sa guitare. - Tu es ici pour une enquête de niveau cinq. Une invention qui va révolutionner le monde a été volé. - Ce ne serait pas toi qui l’aurait volé ? a dit Mathilde. - Moi, a ricané Jean-A. Jamais je n’aurais fais ça ! - Et que faisais-tu à 23 heures le 22 Mars ? - Ah ! elle est ici ! Il fixait cet endroit tout à l’heure ! J’ai crié. Quand on a soulevé le drap, P.P. a crié : - C’est bien elle ! Je t’ai cherché pendant si longtemps. Mais pourquoi l’avais-tu pris Jean-A. ? - J’étais jaloux de ta célébrité et de tes inventions. Quand ils sont partis ça a été une grande déception pour moi. Ils m’ont rendu le gant et Mathilde a dit : - Attendez ! il reste encore une question ! Elle était pour qui la lettre d’amour ?


Le mystère de l’invention

par Emma Romain, Eliane et Liam


Chapitre 1 - Bip, bip, bip, sonna le téléphone. C’ est ce « génie » de PP qui m’ appelle . D’ ailleurs je vais vous raconter comment on s’est rencontré. J’étais chez mes grands-parents quand ce petit grassouillet est tombé en panne devant chez eux. Il m’a bizarrement demandé si j’avais un sandwich miel, Nutella , concombre , cornichons. Il m’a plu ce rondouillard donc on est resté en contact. - Bip, bip, bip... - Bonjour mon cher ami viens voir la génialissime invention du PierrePaul Louis De Culbert . me dit-il - Oui j’ arrive ! m’ exclamai-je. Chapitre 2 - Voici la géniale invention du magnifique Pierre-Paul-Louis de Culbert ! s’exclama P.P. - Elle est où ton invention ? demandai-je. - Devant toi mon cher Jean-B. répondit P.P - Mais pas du tout !! - AAAAAAAH ! La géniale invention du magnifique Pierre-Paul-Louisde-Culbert a disparu ! hurla P.P. Mon fantastique cerveau de génie va s’éteindre comme l’espèce des dinosaures. On doit immédiatement aller chercher Mathilde mais avant ça, va me chercher un sandwich au… - Pas le temps on verra le goût plus tard espèce de gros gourmand ! coupai-je. - On ne me traite pas comme ça, je suis Pierre-Paul-Louis-de-Culbert, vous me devez le respect. - Regarde, dis-je, j’ai marché sur quelque chose. - Un gant ! s’exclama PP. Regardons dedans ! Il y a une lettre ! - C’est un gant de la Famille Moderne, j’en suis sûr je le reconnais, dis-je


Chapitre 3 P.P., affolé, courait dans les couloirs du pensionnat. - Où vas-tu comme ça ? Attends-moi ! criai-je - Je vais chercher Mathilde, une fille que Pierre-Paul-Louis-de-Culbert trouve intelligente. - Une fille ? m’étonnai-je. - Oui, mais ce n’est pas n’importe quelle fille. On a fait plein d’enquêtes géniales et dangereuses ensemble, expliqua P.P. - Mathilde, j’ai un énorme problème. Ma star… - C’est bon P.P ! Epargne-nous ça. J’ai compris. Ton invention a disparu tout simplement. - C’est grave mais c’est à peu près ça… Chapitre 4 - Arrête-toi ici P.P., on est arrivé. - C’est parti ! Allons interroger ce petit bonhomme là-bas, commença Mathilde. - Alors, petit, as-tu vu ou touché une invention qui sert à... - Rien ! le coupai-je en rigolant. - N’importe quoi, ça sert à attirer le monstre du Loch Ness... - Et ça fait beaucoup de bruit, continua Mathilde. - Zorro, Zorro ! dit Jean-F. - Non ! Note pas P.P., c’est juste le générique de sa série préférée. - Tout peut servir, répliqua P.P. - Allons plus loin, dit Mathilde, Tiens ce petit qui gratte la terre. Allons l’interroger. - As-tu volé ma cornemuse ? demanda P.P. - Ze zais pas ze que z’est une cornemuse mais ze vais demander à mes poizzons, répondit Jean-E. - Non, non, c’est bon ! dit P.P. Chapitre 5 - Alors Jean-D., répond-moi franchement, as-tu volé la cornemuse de PP ? questionnai-je. - Franchement ce n’est pas moi, allez voir Jean-C., vous aurez peutêtre plus de chance, dit-il.


- Eh toi jeune homme ! Serais-tu le coupable d’une invention de génie ? interrogea PP. - Non ! C’est pas moi qui l’ai volé mais par contre j’ai vu Jean-A. avec une machine bizarre et qui ne sert à rien. - Mais ma magnifique invention n’est pas bizarre et elle sert à quelque chose petit ingrat ! répliqua P.P. Alors elle sert à quoi ta machine ? Patate ! - Elle est magique, magnifique, incroyable, tous les adjectifs de génie: elle peut voler, aller dans l’espace , elle est de très haute technologie et que moi Pierre Paul Louis De Culbert puisse la réaliser c’est un grand pas… - C’est bon P.P., pas besoin d’étaler ta science on a compris, dis- je, allons plutôt trouver Jean-A.! Chapitre 6 Dix minutes plus tard : - Je ne l’ai pas trouvé ! s’exclama P.P. - Moi non plus, m’écriai-je à bout de souffle. Mais, j’entends des bruits inhabituels qui viennent de la cabane ! - Allons voir ! s’écria Mathilde. - Le dernier dans la cabane est une poule mouillée, m’écriai-je. - Aucune galanterie mon cher Jean-B. ! lança P.P. En voyant Mathilde courir, il s’écria désespéré : -Tu ne vas pas t’y mettre toi aussi ! Arrivé devant la porte de la cabane, P.P se mouche. - Qu’est-ce que vous faites là ? demanda Jean-A. - On va te poser quelques questions ! dit P.P. - Non ! Ce n’est pas moi ! Tu me crois, hein Jean-B.? - Mais si c’est toi qui l’a volé, révéla Jean C qui n’avait pas perdu une miette de la conversation. Je t’ai vu avec dans un couloir de la maison et tu m’as même dit de ne le dire à personne. - Rend la moi ! Mais pourquoi tu me l’as volée ? questionna PP - Parce que je voulais être inventeur et impressionner tout le monde ! avoua Jean-A. - Avec MON invention ! Quel culot ! lança P.P.


Plus tard, dans la voiture, Mathilde s’exclama : - On a encore résolu une enquête ! Mais ? Il reste encore un question : elle était pour qui la lettre d’amour ?


Le voleur d’une invention pas comme les autres

par Eurydice Capucine, LĂŠo et Jules


Chapitre 1 : La disparition Salut ! Moi c’est Jean-B. Il y a à peu près un an, alors qu’on jouait dans le jardin de nos grands parents, on entendit un énorme bruit. C’était un énorme patapouf qui conduisait une moto très étrange. Il s’avança et dit « vous n’auriez pas des cornichons car ma vespa se nourrit de ça ». Cette rencontre était vraiment mémorable avec ce Pierre-Louis je sais plus quoi. Un an plus tard. - Bonjour mon cher Jean-B., viens voir l’unique, la lumineuse invention de Pierre-Paul-Louis de Culbert !!!! Il a du culot quand même P.P de faire tout un flan pour une invention qui je pense ne m’impressionnera pas tellement. Mais bon… Quelques heures plus tard. - Voici la magnifique invention du superbe, du magnifique et merveilleux Pierre-Paul-Louis de Culbert. - Tu te fiches de moi ? m’exclamai- je - AAAAHHH, MON INVENTIOOONNNN !!! Chapitre 2 : Premier indice - T’en fait trop ! C’est pas comme si Mickaël Jackson était mort une 2ème fois ! - Alors n’attendons pas plus longtemps ! Cherchons des indices ! lança P.P - Ca signifie qu’on va remplacer Sherlock Holmes et Dr Watson ! m’exclamai-je - En quelques sorte oui. Quelques minutes plus tard. - Quel est cet objet étrange ? lança P.P. En m’approchant, j’ai expliqué : - C’est un gant de la Famille Moderne. - Un quoi !! s’écria P.P. - Un gant de la Famille Moderne ! Tous mes frères en portent ! Ah ! Il y a quelque chose à l’intérieur. Une lettre ! - Ce n’est pas qu’une lettre, précisa P.P., c’est une lettre d’amour. - C’est signé Jean ! dis-je. J’en déduis que c’est un Jean qui a volé ton


invention et mes frères s’appellent tous Jean-Quelque-Chose. Et ence moment, ils sont chez mes grands-parents. Chapitre 3 : Une fille aux commandes - Allons chercher Mathilde ! cria P.P. - Allons chercher qui ? Une fille ? - Je t’expliquerai en chemin. Vite ! Cinq minutes plus tard. - Mathilde ! s’exclama P.P. - Qu’est-ce qu’il y a ? demanda Mathilde. - Mon invention a disparu ! cria P.P., tout essoufflé. - Ouais d’accord, j’ai compris. Vous avez trouvé quelque chose. - Oui ! Un gant avec une lettre ! répondit P.P. - Et ça nous mène où ? dit Mathilde. - Chez mes grands- parents, dis-je, car là-bas, il y a une belle brochette de bananes qui peut nous aider. Chapitre 4 : Les petits Arrivés chez les grands parents des Jean. - Aïe ! Au moins si Rémi avait été là pour conduire on n’aurait pas aussi mal au dos ! dit Mathilde. On arriva pour l’appel du 15ème brossage de dents. - Oh ! il est trop chou ce bébé ! Si on l’interrogeait ? proposa Mathilde - Bonjour petit, à qui est ce gant ? demanda P.P à Jean-F. - MEFTOU ! - C’est noté, dit P.P. mais qu’est ce que ça veut dire ? - Ca veut dire «pardon» en latin, répondis-je, c’est ce stupide Jean-A qui lui a appris. - Salut ! Est ce que tu as vu la cornemuse aquatique de P.P ? interrogea Mathilde en s’adressant, cette fois, à Jean-E. - Est ze que z’est bon pour mes poizons ? - Non ce n’est pas pour tes poissons Jean-E, dis-je, c’est pour notre enquête. -Z’est quoi une zenquête ?


Chapitre 5 : Les moyens - Bonjour, as-tu vu ma merveilleuse cornemuse ? demanda P.P. - Non. Et vous ? Vous avez des patates pour ma carabine ? dit Jean C. - Hein ? quelle carabine ? demanda Mathilde. Ils sont tous aussi bizarres tes frères ? Deux minutes plus tard. - Salut Jean-D. ! m’écriai je. - Que veux-tu ? - Est-ce que tu as des indices sur le vol de mon invention ? dit P.P. - Ben non. Pourquoi j’aurais des indices. - Bon, on voulait savoir si tu n’avais pas vu la cornemuse de P.P. ? précisai-je. - Non ! J’ai juste vu Jean-A. monter précipitamment dans la cabane avec une sorte de gros pistolets à fléchettes, répondit Jean-D. - Bon, dit Mathilde, résultat des courses le carnet de P.P est aussi vide que les souterrains du collège. Chapitre 6 : La dernière découverte - Tiens ? Nous ne sommes pas allés demander à Jean-A ! m’exclamaije. - Tu as raison allons voir dans la maison ! - Mais non ! Il est dans la cabane du jardin, nous cria Jean-D. Quelques minutes plus tard devant la porte fermée de la cabane. - Quel est ce son horrible ? dit P.P - C’est le bruit de mon frère qui a coincé son pantalon à pattes d’éléphant dans sa guitare. rigolai-je. A peine entrer dans la cabane, - Mon invention ! s’exclama P.P - Heu... je... je l’ai vu par terre et je l’ai ramassée pour la réparer, bredouilla Jean-A. - Ouais c’est ça ! dit Jean-C. - Bon, dit P.P. soulagé, ce n’est pas grave tant qu’elle est en bon état. Quelques minutes plus tard. - Ce qui est bien c’est que tout le monde est réconcilié. Mais quand même Jean-A., voleur, c’est la cerise sur le gâteau ! déclarai-je Mais au fait ! dit Mathilde. Il reste quand même une question. Elle était pour qui la lettre d’amour ?


La nouvelle équipe de détectives

par Maya, Tess, Cenzo et Noé


Chapitre 1 J’étais en train de perfectionner ma carabine à patate quand soudain j’entendis un bruit. C’était de la fumée noire qui sortait d’une moto dans la rue. - Salut gros mouton, qu’est ce que tu fais là ? - Je ne suis pas gros et je ne suis pas un mouton, je suis Pierre-PaulLouis de Culbert ! corrigea Pierre machin. C’est comme ça qu’on s’est connu. Et malgré tout ça, une très belle amitié a commencé. Un an plus tard. Bip-bip-bip-bip, sonna le téléphone. - Allo ? Jean-B. ? Aurais tu l’obligeance de venir voir la magnifique, la sublime, la majestueuse invention du siècle ? Rendez vous à 17h à l’internat Châteaubriant, précisa P.P. Bip-bip-bip ... Je n’ai même pas eu le temps de lui répondre qu’il avait déjà raccroché. Chapitre 2 Quand je suis arrivé au collège, P.P. m’a dit : tu es en retard de 1 minute et 31 secondes. - Bon, viens voir mon invention !! dit-il excité. Dans le box de P.P. : - Voici mon amour, ma célébrité, ma star, ma… - OK. Il y a un problème… je crois - Quoi ! Non ! Ma star !!! Elle a disparu ! - Regarde ! Là ! sur le lit ! Un gant qui traine, dis-je. Pendant que P.P. était en train de s’apitoyer sur son sort, je mis la main dedans et je sortis une lettre en papier blanc. - Eh oh P.P. ! J’ai trouvé un gant et une lettre d’amour à l’intérieur, elle est signée Jean. - Ho, Ho ! des indices ! se réjouit P.P. - Ce gant me rappelle quelque chose, dis-je. Je pense qu’il appartient à quelqu’un de ma famille. Il n’y a que nous qui portons des habits de la Famille Moderne. - Allons-y ! L’enquête commence ! s’exclama P.P.


Chapitre 3 - Allo ! Ma très chère Mathilde ! C’est la fin des sandwichs au nutella et au jaune d’œuf donc la fin des homo-sapiens ! L’invention du siècle a disparu ! - Quoi, mais quelle invention ? - Mais l’invention faite par le génialissime Pierre-Paul Louis de Culbert. - Ah ! Ton Culberodactyle ! - Oui, celle que j’ai fabriquée de mes propres mains aux… - Ouais, on a compris c’est bon ! coupai-je. - … aux corneilles, insistait P.P. - J’arrive ! s’écria-t-elle. Bip-Bip-Bip... Plus tard. - C’est elle Mathilde ? interrogeai-je. - C’est qui lui ? dit Mathilde en fronçant les sourcils. - Moi, c’est Jean-B. ? bredouillai-je un peu vexé. - Je meurs de faim ! s’écria P.P - Pas le temps de brouter comme un gros mouton ! On y va ! lança Mathilde. Chapitre 4 Quand nous sommes arrivés chez mes grands-parents, c’était la bagarre générale de chaussettes sales, tandis que Jean-E. donnait des cornichons à ses poissons Wellington et Zakouski qui n’avaient pas l’air intéressé. - HOULA ! lança Mathilde. Tout le monde tourna la tête vers Mathilde et la bagarre continua. J’allai aux toilettes pour échapper aux cris de Jean-F. qui hurlait pendant la bataille. Quand je revins P.P. était en train de l’interroger. - Alors, petit, as-tu des indices ? - Meftou, répondit Jean-F. - Ca veut dire « pardon » en latin et c’est le premier mot qu’il a dit, expliquai-je. «Meftou», nota P.P. avec un regard suspect. Pourquoi pardon ?


- Et si nous allions interroger le nourrisseur de poisson là-bas, s’exclama Mathilde ! - Bonzour, ze zuis Zean-E. - Bonjour, moi, c’est Mathilde. As-tu été témoin de quelque chose pour notre enquête ? - Ze sais pas ze que z’est une enquête. Une nouzelle nourriture pour poizzons ? Elle me regarda avec ses yeux de merlan frit et elle dit : - Et si on allait interroger quelqu’un d’autre ? Chapitre 5 Une fois dans la chambre de Jean-D. et Jean-C., nous les interrogeons : - Aurais-tu vu une espèce de ptérodactyle métallique ? questionna P.P. - J’en sais rien, dit Jean-C. - Quoi ?! Rien ! on a fait tout ce chemin pour rien !!!! - Laisse tomber, Jean-C. est tout le temps dans la lune. Il ne pourrait même pas voir ton ptérodactyle. Et puis, il reste Jean-A. et Jean D. disje à P.P. pour le rassurer. - D’accord, allons les interroger. - Alors, as-tu des indices, des informations pour notre enquête, petit ? interrogea Mathilde. - Quoi ! Ce sont les grands qui vous envoient pour me punir de ma bêtise d’hier soir !!! YA ! YA ! YA ! je suis un indien. Vous ne m’aurez pas, vous ne m’aurez pas !!! hurla Jean-D. - Il est bizarre ton frère, dit Mathilde. - Il a toujours été comme ça, affirmai-je Chapitre 6 - J’entends du bruit dans la cabane ! Nous courrions dans le jardin tandis que Jean A montait dans la cabane. Je fis signe à P.P et Mathilde de le suivre.


- On sait que c’est toi le voleur, car le gant est à ta taille et que tu es le seul à pouvoir l’avoir volé ! hurla Mathilde. Nous montâmes dans la cabane tandis que Jean-A. essayait de nous en empêcher. Mathilde ouvrit la porte et l’invention était là. - Mon bébé, mon amour, ma sublime invention ! s’écria P.P. Je t’ai retrouvé ! - Et pas comme quand tu as retrouvé ton invention en miettes aux Corneilles, précisa Mathilde. - Oui, c’est vrai, là elle est comme neuve, elle est sublime ! - Que voulais-tu faire avec cette invention ? demanda Mathilde - Je voulais ce dinosaure pour impressionner toutes les filles de mon lycée mixte, expliqua Jean A. - Et du coup, dit P.P. Elle était pour qui la lettre d’amour ?


A la recherche de l’invention

par Raphaël, Elise, Rawan et Sasha


Chapitre 1 - Allo ? Jean-B. ? C’est Pierre-Paul, il faut absolument que tu viennes voir mon super Culbérodactyle rétrécissant demain à 13h 30. - C’est quoi un Culbéromachin… ? P.P. est quelqu’un que je ne connaitrais pas s’il n’était pas tombé en panne devant chez mes grands-parents. P.P., je l’adore mais parfois il est énervant et il ne pense qu’à manger. Le lendemain, j’arrive au collège Châteaubriant. - Bonjour mon cher ami ! s’exclama P.P. Tu viens voir la super, la meilleure, la plus belle et l’unique invention de Pierre-Paul Louis-deCulbert. Ettttttttt… LA VOILAAAA ! - Bah elle est où ? Chapitre 2 - Ah oui ? C’est une invention invisible ? me moquai-je. - Mais non, on me l’a volée, pleurnicha P.P. Mais comment je vais faire sans mon invention ! - Qui te l’a volée ? C’est sûrement le pape hein ? dis-je ironiquement. P.P. commença à tourner en rond. - Mince, j’ai marché sur mon sandwich steak haché nutella bretzel mayonnaise ! Ah non, c’est un gant ! Mais que fait ce gant dans mon box toujours bien rangé ? HA HA HA l’enquête commence, je suis sûr que c’est le gant du voleur ! - Mais quoi..., c’est un gant de la Famille Moderne... Comment estce possible ? Il n’y a que nous qui portons des habits de la Famille Moderne. P.P. passa la main dans le gant : - Tiens, une lettre, peut-être un indice. Oh non ! C’est une lettre d’amour, dit-il tristement. Chapitre 3 - Je connais quelqu’un qui pourra nous aider. Je l’appelle. me dit P.P. - Allo ? Viens en urgence parce que... - OK ! j’arrive !... C’est bon je suis là ! Qu’est ce qui ce passe ? P.P, fille, ça ne vas pas du tout ensemble, pensai-je.


- On m’a volé mon Culberodactyle ! - Et tu as des indices ? - Oui ! Un gant de la Famille Moderne et il n’y a que ma famille qui porte des habits de la Famille Moderne. - T’es qui toi ? demanda Mathilde. - Je m’appelle Jean-B. et je suis le pote de P.P. - Tiens, il a l’air sympa lui. marmonna Mathilde - Allons chez mes grands-parents. On trouvera sûrement d’autres indices.

Chapitre 4 - Ah, enfin arrivé ! m’exclamai-je. - On commence par lui dit P.P. en montrant Jean-F. - Mais non, il est trop mignon pour être interrogé, dit Mathilde. - Mais bien sûr que si, il peut être interrogé ! De toute façon on interroge tout le monde, s’exclama P.P. Alors le gant est à qui ? - Ble blan blè bla blan bla, répondit Jean-F. - Et c’est qui ? demanda P.P. - Non laisse tomber ! C’est un bébé. Il ne sait même pas parler, répondi-je . - Allons interroger Jean-E., dit Mathilde. - Alors Jean-E., qui a volé l’invention de P.P. ? demanda Mathilde. - Z’est quoi une zinvenzion ? - S’il ne sait même pas ce qu’est une invention, on va voir Jean-C.

Chapitre 5 - Alors Jean-C.? As-tu vu un truc en métal, une sorte de ptérodactyle ? interrogeai-je. - Mais j’en sais rien. J’étais chez Mme Schwartzenmachin en train de manger ses gâteaux horribles, répondit Jean-C. - Bon allons voir Jean-D. - Est-ce-que quelqu’un de ta famille a perdu un gant ? demandai-je.


- Ah oui ! Jean-A. a perdu un gant en allant au collège et je l’ai aussi vu mettre un drôle de machin dans la cabane. Il m’a dit : - Dis rien sinon je te pique tes pistolets à fléchettes ! - Bon allons voir ce Jean A ! dit PP.

Chapitre 6 Toc, toc, toc - C’est qui ? cria Jean-A. - C’est première et deuxième chaine ! - Entrez, dit Jean-A. - Toi ! attaqua Mathilde. Qu’est ce que tu as fait de l’invention de P.P. ? - Mais, mais, mais qu’est ce que vous dites ? Eh, eh, eh pas du tout ! bredouilla Jean-A. très stressé. A ce moment, Jean-D.débarqua dans la chambre de Jean-A. et dit : - C’est moi qui leur ai tout dit ! - Mais pourquoi, pourquoi tu leur as dit ! Traitre ! Rapporteur ! s’exclama Jean-A. - Parce que tu nous laisses jamais entrer dans la cabane de papi et mamie, expliqua Jean-D. - C’est mon invention et tu me l’as volé. A cause de toi, je n’ai pas pu participer au concours de la meilleure invention ! s’énerva P.P. -Et où est-elle ? réclamai-je -Dans la cabane, ronchonna Jean-A. - Ah ! La voilà ! Mon bébé d’amour que j’aime de tout mon cœur ! Je t’ai retrouvée ! pleura P.P. - Pourquoi avais-tu besoin de cette invention ? demanda Mathilde - J’avais dit à ma prof que je pouvais l’étonner en faisant quelque chose d’incroyable, expliqua Jean-A., un peu honteux . Plus tard, dans la voiture... Mais au fait, elle était pour qui la lettre d’amour ? demanda Mathilde.


L’enquête du culbérodactyle volé

par Roksanna, Cassandra, Xiandro et Romain


CHAPITRE I Il y a un bout de temps que j’ai rencontré ce rondouillard. Il s’appelait Pierre-Paul-je-sais-plus-quoi. Il était tombé en panne devant chez mes grands-parents. Il avait besoin de blanc d’œufs pour sa vespa. Un drôle de personnage mais ça ne nous a pas empêché de devenir amis. - Bip, bip, bip, Allô ? C’est Pierre-Paul ! Je t’invite à venir voir la magnifique, la splendide et l’unique culberodactyle ! Rendez-vous dans les souterrains de châteaubriand à 16h00 pile ! Trois heures plus tard. - Bonjour mon cher ami, je te présente l’invention du siècle ! - Bah, elle est où ton invention ? - Juste devant tes yeux, cher ami. - Alors ça veut dire que c’est une invention invisible.

CHAPITRE II - Ah mon invention !!!! Mon amour d’invention ! s’affola P.P. - Allons chercher Mathilde, annonça P.P., elle pourra nous aider à chercher la magnifique, la splendide invention créée par le génie Pierre-Paul-Louis-de-Culbert. - Allez cours Jean B. ! ordonna P.P. - Tu te fous de moi, tu cours comme un boulet , constatai-je. Après 5 minutes de course folle, - Alors, présentation : Mathilde, Jean-B., Jean-B., Mathilde. - Enchanté Jambon. - Euh, C’est Jean-B. pas jambon. - Pourquoi êtes- vous venus me voir si tard ? - C’est parce que PP court comme un... - On m’a volé mon bébé, ma magnifique invention ! pleurnicha-P.P. - Ok ! Allons sur les lieux du vol ! s’exclama Mathilde

CHAPITRE III - Oh ! Regardez ! Un gant ! cria P.P. - Il y a une lettre aussi, précisa Mathilde.


- Il y a une lettre aussi, précisa Mathilde. - Tu as des yeux plus beaux que la lune. Pour toi, je la décrocherai. Jean . - Sûrement une lettre d’amour ! dit P.P - Attendez, ce gant me dit quelque chose et Jean… Mais oui c’est un gant de la Famille Moderne ! Ma famille ! Il n’y a plus un instant à perdre !!! m’exclamai-je. CHAPITRE IV - Ah enfin ! Nous sommes arrivés. J’ai failli rendre mon sandwich jaune d’œuf, Nutella ! s’exclama P.P. - Qui est ce petit, trop choupinou ? demanda Mathilde - C’est Jean-fait-plein-mes couches alias Jean-F., expliquai-je. - Allons l’interroger ! s’écria P.P. - Pas la peine, il ne sait pas parler, leur dis-je. - Tout le monde est suspect ! coupa P.P. - Comme tu le sens P.P., marmonnai-je. - Jean-F. à qui appartient ce gant, demanda Mathilde. - Abbbreu, répondit Jean-F. - Je prends note, dit P.P., allons interroger Jean-E. maintenant ! -Jean E, expliqua P.P., nous sommes en train de mener une enquête car mon culberodactyle a disparu. - Z’est quoi une enquête? zozota Jean-E. - Mais non il est trop petit et trop chou pour voler l’engin, affirma Mathilde. - J’ai dit tout le monde est suspect ! cria P.P. Sais-tu si quelque chose a disparu dans ta famille ? - Bah, il y a le calezon rose à cœur de Zean B. - Je note, se précipita P.P. - Pas la peine P.P., essayai-je. - Mon nom est Pierre Paul Louis De Culbert et tous les indices sont cruciaux ! hurla P.P. CHAPITRE V T’aurais pu passer un casting avec ta voix de casserole, lançai-je. - Ça ne fait pas avancer l’enquête de s’énerver, intervint Mathilde.


- Bouger vos matricules ! Bande de patates sautées ! Allons interroger Jean-C.! m’exclamai-je. -J ean C, est-ce que ce gant t’appartient ? - J’en sais rien - On ne dit pas « j’en sais rien » mais « je ne sais pas », corrigea-P.P. - Laisse tomber il ne sait rien dire à part ça. Plus loin, avec Jean-D. - Est-ce qu’il s’est passé quelque chose de bizarre dans ta famille ? demanda Mathilde. - Il y a Jean-A. qui a perdu un gant, à part ça, rien, répondit Jean-D. - Attends ! Tu viens de parler d’un gant ? s’écria P.P. - Bah Ouais, confirma Jean-D. - Merci. En route, mauvaise troupe !

CHAPITRE VI - Le voleur démasqué Dix minutes plus tard. - Alors as-tu perdu un gant ? demanda Mathilde - Bah, bah, bien sûr que... que... non, bégaya Jean-A. - Sérieusement, j’en doute fort, répliqua Mathilde. - Fait le craquer s’il te plait, chuchotai-je à l’oreille de Mathilde. Après réflexion, Mathilde secoua ses cheveux. - Ah oui ce gant ? Je l’ai perdu au collège Chateaubriand, marmonna Jean-A. - Nous t’avons démasqué, voleur ! cria PP. Dis-nous, tout de suite, où est le magnifique, le splendide culbérodactyle ? - Non, je ne le dirai pas, protesta Jean-A. - Tu l’dis, sinon je te fais bouffer les gâteaux de Madame Schartzenbaum ! le menaçai-je - OK, OK, il est dans la cabane ! avoua Jean-A. - Ah mon culbérodactyle, mon bébé, le plus magnifique de tous mes bébés, pleura P.P. - Et bien voilà ! Notre enquête est terminée ! dit joyeusement Mathilde. - Mais finalement, elle était pour qui, la lettre d’amour ? interrogea P.P.


L’invention a disparu

par Vivien, Paul, Ritej et Anaïs


Chapitre 1 Dring ! Dring ! - Oh ! Impossible de lire «Le club des cinq» tranquillement, pensai-je, Bip... Allô ? - Bonjour mon très cher ami, c’est Pierre-Paul-Louis de Culbert. PP, c’est mon ami que j’ai rencontré à saint Vivien chez mes grandsparents. Il était sur un scooter aussi gros que lui. «Bonjour excusez moi de vous déranger est ce que vous avez du jus de merguez car mon scooter est en panne.» Il s’est cru dans une boucherie ou quoi ? P.P. est bizarre, très prétentieux et très gourmand mais finalement sympa. - Bon tu es encore là ! dit P.P. au téléphone - Oui, je suis encore là ! - Alors, continua P.P., j’ai l’honneur de te présenter ma star, ma célébrité. Viens demain à 14h pile et pas une minute de plus ! - Ça commence mal, me dis-je. Le lendemain, je me rends au collège de P.P. - Bon, mon très cher ami, il est temps que je te montre la plus célèbre de toutes les machines, la plus splendide des machines de tout l’univers et… La voilà ! - Bah elle est où ‘’ta célébrité’’, me moquai-je. - QUOI ! AAAAAH mon invention ! Chapitre 2 - Ma célébrité ! Ma star ! Elle était là tout à l’heure, dit PP. Donnez moi du saucisson sinon je vais m’évanouir. - Tu veux pas plutôt les bretzels de madame Schwartzenbaum ! - C’est qui celle-là ? pleura P.P. - Laisse tomber, répondis-je. - Mais je crois que j’ai vu un intrus dans ton box. C’est un gant, un gant de la Famille Moderne ! Comment est ce possible ? Il y a que ma tribu qui porte des gants de la Famille Moderne ! - Tu veux dire que c’est quelqu’un de ta famille qui a volé mon invention ! C’est odieux ! - Je savais que c’était tous des bananes mais pas au point de voler, dis-je désespéré.


Chapitre 3 - Je connais quelqu’un de très intelligente ! s’exclama PP en sortant son téléphone. - C’est pas le moment de faire des présentations, dis-je. - Mais ! C’est pas pour te présenter des filles, espèce de petit espiègle ! réagit P.P. Celle ci va nous aider, je l’appelle tout de suite ! - Allô ? Mathilde ? continua P.P. J’ai un énorme problème : ma star, ma célébrité, ma… - C’est bon P.P. je crois qu’elle a compris, coupai-je. - Elle a dit qu’elle arrivait et je ne m’appelle pas P.P. mais PIERREPAUL- LOUIS DE CULBERT ! - Salut ! lança Mathilde en arrivant, ah euh bonjour. - J’aime mieux ça, dit P.P. -Bon, qu’est ce qu’il y a dans ce gant, commença Mathilde. -Bah une lettre d’amour ? répondit PP. -Signée Jean, précisai-je. Du coup, ça appartient sûrement à un des mes cinq frères.

Chapitre 4 - Donc on n’a pas une seconde à perdre ! On y va ! ordonna Mathilde. Une fois sur place on interrogea tout le monde. - Alors, dit P.P. As-tu vu une super méga cornemuse aquatique ? - Gaga brou brou ! cria Jean-F. - D’accord, nota P. P. Gaga brou brou est le petit huberlu qui a volé ma star ? - Jean-F. est un bébé, expliquai-je. - Et alors ? dit P.P. - Mais enfin ! il sait à peine marcher donc c’est pas lui, affirma Mathilde. Ensuite ils voulurent interroger Jean-E. - Alors, dit Mathilde, un indice ? - Deza, commença Jean-E., ze ne suis pas un voleur donc arrêter de dire que z’est moi car z’ai rien fait, ze suis innocent ! - Bon, ça peut pas être lui non plus, conclut Mathilde. - Pour l’instant on ne sait toujours pas qui a volé ma star ma célébrité, ma …


- C’est bon P.P. ! coupa Mathilde.

Chapitre 5 - Venez, on va interroger Jean-D. et Jean-C. - Jean-D. ! C’est toi qui a volé l’invention de P.P. ! - Je ne m’appelle pas P.P. mais Pierre-Paul-Louis de Culbert ! Mais, oh, qui a lancé cette flèche ? Mais quel manque de respect ! - Non, ce n’est pas moi qui ai volé votre machin, je ferai quoi avec ? dit Jean-D. - Il a raison ! Je pense pas que ça l’intéresse celui là ! dit Mathilde. - Bon, allons voir Jean-C. dis-je. - Ah, salut Jean-B. ! s’exclame Jean-C., un arc à la main. Salut P.P. ! - Je ne m’appelle pas P.P., mais ... - Bon, on a compris, répondis-je. - Tu n’aurais pas vu la plus sublime des inventions ? demanda P.P. - Tu veux dire les bretzels de Mme Schwartzenbaum ! dit Jean-C. - Bon, ça ne peut pas être lui, il est trop étourdi et un peu bête quand même ! dit Mathilde. Chapitre 6 - Bon, maintenant on a interrogé tout le monde, non ? - Euh non, il reste Jean-A., corrigeai-je. - C ‘est lui qui a volé ma chérie, ma vie, mon cœur ! hurla P.P. - Mais bien sûr ! Je suis sûr que c’est lui ! Il n’y a que lui pour être amoureux dans notre tribu de bananes ! Allons à la cabane ! C’est là qu’il doit être ! - Jean-A.! Avoue que tu as ma machine ! cria P.P. en entrant dans la cabane. - Euh non, dit Jean-A. tout blanc. - Si ! débarqua Jean E, c’est Zean-A. qui a le machin truc aquatique ! - Bon ok, Jean-A., j’ai la machine. - Pourquoi t’as fait ça, banane ? lançai-je. - Pour faire peur à cette sacrée tribu sauvage de castors ! avoua Jean-A. Plus tard, devant la machine retrouvée. - Ah la voilà, dit Mathilde, c’est réglé !



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