École Marcel Pagnol

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Graines de lecteurs RĂŠcits

École Marcel Pagnol - Classe de CM2


Histoires écrites par des classes de CM2 de l’école primaire Marcel Pagnol Avec l’aimable collaboration de Guillaume Guéraud



La merveilleuse aventure d’Anna, Bouton-d’or et le plus mignon des renardeaux, Nick

par Noémie et Marion


Il était une fois une jeune fille qui vivait dans une cabane dans les arbres. À l’âge de 5 ans, elle était devenue orpheline et commençait déjà à bien se débrouiller toute seule dans la forêt. Elle avait une renarde domestique qui chassait pour elle et était son amie. C’était d’ailleurs sa seule amie. Cette femelle s’appelait Bouton-d’or et son petit se prénommait Nick. La jeune fille adorait jouer avec le petit Nick. Mais une nuit, Nick fut attiré par une petite lumière dans la forêt. Malheureusement pour lui, c’était des chasseurs de renards. Le pauvre petit était maintenant pris au piège. Il fut emmené à Bordeaux sur un énorme cargo. Au petit matin, quand Anna se réveilla avec Bouton-d’or, elles remarquèrent très vite que le petit avait disparu. Elles décidèrent alors de sillonner la forêt à sa recherche. Anna prit l’initiative de camper et de ne pas retourner à la cabane. La première journée, elles ne le retrouvèrent pas. Les deux filles s’abritèrent dans un arbre creux pour y dormir. Le lendemain matin, Anna et Bouton-d’or suivirent la piste des chasseurs jusqu’à la rivière. Il leur était impossible de la traverser à la nage. Anna demanda alors à la renarde si elle était d’accord pour utiliser comme embarcation un tronc d’arbre qui allait passer sous leur nez. Ainsi, elles pourraient rejoindre la mer. La renarde acquiesça et elles embarquèrent sur la rivière. Le lendemain, quand elles se réveillèrent, les filles regardèrent autour d’elles. Elles ne virent que de l’eau. C’était la mer. Bouton-d’or vit au loin un canot vide. Elle sauta dedans dès qu’elle le put et Anna l’imita. Cette dernière trouva des rames et se mit à ramer vers ce qu’elle pensait être le Nord mais qui était en fait l’Est. Heureusement pour elles, c’était la bonne direction : la direction vers une nouvelle aventure. Cela faisait maintenant 26 heures qu’elles étaient en mer sur leur canot, leurs ventres gargouillaient. Elles avaient faim. Elles ne savaient plus quoi faire. Elles étaient en pleine mer et il n’y avait aucune île à l’horizon. Anna et Bouton-d’or espéraient qu’une île ne soit pas trop loin. De plus, elles avaient bien remarqué que dans le ciel se préparait une horrible tempête. Pendant ce temps, le renardeau était toujours enfermé dans cet infect cargo. Il était toujours en mer pour aller à Bordeaux. Voyant qu’ils n’y avaient plus de nourriture, les chasseurs de renards débarquèrent sur une île proche appelée « L’île aux Bananes ». Des hommes sortirent du bateau pour aller chercher des provisions. Ils commencèrent à ramasser des fruits, surtout des bananes. Le renardeau attendit qu’il n’y ait plus de bruit pour s’enfuir. Quand le silence se fit, la frêle petite bête sauta dans la mer. Malheureusement pour elle, dans la précipitation, elle avait oublié que sa mère ne lui avait pas encore appris à nager. Hélas, ce qui devait se produire se produisit. Il coula et perdit connaissance.


Du côté des filles, tout ne se passait pas très bien non plus. La mer commençait à s’agiter et le ciel devenait d’une noirceur inimaginable. La tempête commençait. C’était vraiment horrible. Anna entendit un choc contre la coque de la barque. Elle s’exclama : « Bouton-d’or ! Vois-tu ce que je vois ? Un panier de bananes ! » Elles les mangèrent et s’endormirent le ventre plein malgré la tempête. Quand elles s’éveillèrent, la tempête faisait rage. Les filles s’accrochèrent le plus possible aux extrémités du canot. Au bout d’un moment, à bout de force, elles s’évanouirent. Quand la jeune fille sortit de son sommeil, elle se trouvait dans un lit de paille. Il était posé dans une chambre plutôt propre, toute en bois de cèdre. Bouton-d’or était déjà réveillée. Elle se trouvait, elle aussi, dans un lit de paille côte à celui d’Anna. Elles essayèrent de trouver la sortie mais une silhouette se dressa devant elle. Elle avait une allure plutôt féminine, des cheveux châtain et était plutôt grande. Bouton-d’or reconnut tout de suite son petit Nick qui était derrière les jambes de cette jeune fille. Elle s’appelait Émilie, Anna demanda ce qu’il s’était passé. Émilie raconta qu’elle avait trouvé Nick sur la plage. Anna remercia la jeune fille et elles repartirent avec Nick. La vie reprit son cours normal ou presque car Anna fonda une association pour accueillir des animaux. Au bout de trois ans, la fondatrice avait recueilli 150 animaux. Vous pensez peut-être que ce n’est pas beaucoup mais dans leur forêt, il n’y a pas grand monde.


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La fille du manoir

par Inès, Justine et Camilia


Il était une fois une femme qui vivait dans un grand manoir. Elle était belle et jeune. Dans ce manoir, il y avait cinquante-trois chambres d’amis plus deux chambres, une pour elle et une pour son chat Séréna. Il y avait une cuisine immense. Chaque chambre disposait de toilettes et d’une douche. Cette maison bourgeoise possédait beaucoup de pièces secrètes dont une contenait, d’après une vieille légende, un grand trésor. Son chat avait un pouvoir, celui de tuer des personnes grâce à ses griffes, car quand il était petit, il avait marché dans un produit toxique. Dans le village, il y avait quatre voleurs qui voulaient cambrioler le château. Ils étaient tombés sur une vieille carte du manoir sur laquelle l’emplacement du trésor était mentionné. Un matin, les bandits préparèrent un plan. Vers minuit, ils arrivèrent près du grand manoir. Arrivés dans la maison bourgeoise, ils marchèrent très doucement quand soudain, un des bandits s’entrava sur un canard en plastique. Séréna se réveilla en sursaut et courut vers les voleurs. Les voyous eurent très peur et sortirent de la maison en courant. Le lendemain, les bandits voulurent se venger. Ils désiraient assommer Séréna pour pouvoir piller les trésors de sa demeure sans aucun problème. A 23 heures précises, les méchants pénétrèrent dans la maison bourgeoise. Ils tendirent un piège à Séréna et l’assommèrent. Alors, ils purent entrer dans la salle des trésors. Ils prirent tout ce qu’elle contenait grâce à des chariots de supermarché. Les cambrioleurs sortirent de la maison, très fiers de leur travail. Le lendemain matin, Mauna se réveilla. Elle était en panique car elle ne trouvait pas son chat. Elle chercha partout et décida d’aller jusqu’au village. La jeune femme demanda au boulanger : «- Bonjour, avez-vous vu mon chat adoré? - Oui j’ai vu un petit chat passer avec des personnes bizarres. Ils étaient près du salon de coiffure.. - Merci !» Elle courut jusqu’au salon de coiffure, y entra et demanda à la coiffeuse : « - Bonjour Mme Sidère, avez-vous vu un petit chaton passer par là avec des gens louches ? - J’en ai vu un, hier avec des voyous, le chat n’arrêtait pas de miauler. Ils se dirigeaient vers le château de la princesse Sarah, à deux jours de marche du village. - Je vous remercie. À bientôt Mme Sidère.» Elle rentra chez elle pour se préparer. A ce moment-là, la jeune femme vit une porte de son manoir, qu’elle ne connaissait pas, ouverte. Mauna décida d’y entrer. Elle vit des petites pièces en or par terre et comprit que le trésor du château avait été volé. Elle prit un sac à dos et le remplit de nourriture et d’habits. La jeune femme se chargea également d’une tente


au cas où elle doive se reposer. La belle femme marcha pendant des heures et décida de faire une pause. Pendant qu’elle se reposait, une vieille dame apparut devant elle et lui demanda : «- Avez-vous un peu de nourriture et d’eau, s’il vous plaît mademoiselle ? - Oui. Je vais vous en donner tout de suite. - Merci beaucoup petite.» Mauna pris un sandwich et une bouteille d’eau et les donna à la dame. Une fois la pause terminée, la jeune femme reprit son chemin. Un peu plus tard, alors que le soleil venait de se coucher, elle décida de s’arrêter et installa sa tente près d’une forêt. Une fois la tente installée, Mauna se coucha et s’endormit profondément. Le lendemain matin, vers neuf heures, la femme mangea un bout de pain, rangea sa tente et partit. Celle-ci s’arrêta à quatorze pour manger. Elle décida de faire une sieste. Un écureuil profita de son sommeil pour lui voler son sandwich du lendemain. Le lendemain matin, elle reprit son chemin et remarqua qu’elle n’avait plus rien à manger. Elle marcha et trouva le château de la princesse. Arrivée devant la porte, elle frappa. La princesse interrogea : «- Oui ? - Bonjour. Avez-vous vu un chaton blanc aux yeux bleus votre altesse? - Oui, pourquoi? - Parce que j’ai perdu mon chaton et ai demandé à tout le monde où ils se trouvait. Une personne m’a dit qu’il était peut-être chez vous. Pouvez-vous me le montrer pour voir si c’est vraiment lui ? - Je vais vous le montrer tout de suite. Est-ce votre petit chat ? - Oui ! C’est celui-là ! - Très bien, je vous le rends. - Je vous remercie ! Ça ne vous dérangerait pas de m’aider à retrouver mon trésor ? Je suis sûre que vous pouvez m’aider. - Oui, pourquoi pas. Revenez me chercher demain à l’aube. - Mais il y a un problème, je n’ai plus de nourriture et d’eau. - Bah... Entrez ! N’hésitez pas, il me reste du couscous et du poulet. - Ah merci, c’est gentil. J’adore ça ! - Ça me fait plaisir de vous recevoir. J’ai rarement de la visite.» Une fois le repas terminé, elle demanda à la jeune princesse si elle pouvait rester dormir dans le palais car elle habitait assez loin. La princesse fut d’accord et lui proposa une chambre. Mauna la remercia et alla se coucher immédiatement. A l’aube, la fille, son chat et Sarah se levèrent comme prévue. Elles sortirent du château. Les jeunes femmes marchèrent, marchèrent et marchèrent quand soudain Mauna vit une grotte. Celle-ci décida d’aller jeter un coup d’œil près de cette grotte. La princesse la suivit. Dans la grotte, elle virent le trésor de Mauna. Elles coururent vers le trésor quand soudain, un


filet fit prisonnière Mauna. Alors, les voleurs apparurent. Séréna n’avait pas était prise dans le piège. Elle se cacha et attendit que les bandits partent. Ils rigolèrent en voyant leur prisonnière et décidèrent de la laisser là. Une fois les bandits partis, le petit chaton sortit ses griffes et sauta pour essayer d’atteindre le filet. Mauna réussit à détacher les cordes du piège. Les demoiselles purent alors sortir. Une fois dehors, elles se demandèrent comment récupérer toutes les pièces. Sarah vit quelques chariots. Alors, elle se dit qu’elles pouvaient les utiliser. Mauna et Sarah prirent tous les chariots et les remplirent de pièces et de joyaux. Elles partirent vite avant que les méchants ne reviennent. Mauna raccompagna la jeune et belle princesse dans sa demeure. A la porte du palais, elles se dirent au revoir et se firent le serment de rester amies pour toujours. Mauna du rentrer chez elle, mais avant, elle alla au commissariat pour porter plainte contre les voleurs. Quelques semaines plus tard, les voyous furent arrêtés. Quand à Mauna, son trésor resta bien caché. La jeune femme alla voir tous les mois son amie Sarah. Les voleurs, eux, restèrent en prison pour toujours sauf ceux qui parvinrent à changer. Les deux amies vécurent heureuses et n’eurent plus jamais de soucis.


Zombie attack

par Yassine et Jefferson


Il était une fois deux scientifiques Anès et Julien, qui faisaient une expérience en pleine nuit. L’expérimentation ne marcha pas. Une lumière verte arriva et ils se transformèrent en zombies. Ils se mirent à courir très très loin dans la forêt où ils trouvèrent une maison. Dans la maison, il y avait cinq pièces : un salon, deux chambres, un garage et une cuisine. La maison était assez neuve. Les deux zombies volèrent des vêtements, des meubles et tuèrent les humains qui habitaient là. Rapidement, ils comprirent que le jour, ils étaient humain et la nuit, ils se transformaient. Quelques jours après, Anès et Julien s’engagèrent dans l’armée de terre pour s’entraîner à tuer les chasseurs de zombies et les humains. Cinq ans plus tard, ils quittèrent l’armée pour envahir Lyon. Les deux zombies avaient préparé leur coup pendant deux ans. « - C’est bon. on arrive à Lyon à 20 h, expliqua Julien. - Tu as raison. Arrrrrrrrrrr ! cria Anès, on s’est transformé en zombies !!! - Viens ! On va transformer le fils du ministre et d’autres humains ! - Oui, tu as raison ! » Avant de transformer le fils du ministre, ils allèrent dans un hôtel deux étoiles qui se situait juste en face de la maison du ministre. La nuit arriva. Ils entrèrent dans un magasin d’armes et volèrent deux pistolets pour tuer les gardes de la maison. Anès et Julien tuèrent les gardes de la maison puis, ils transformèrent le fils du ministre. Après, ils retournèrent à l’hôtel. Les jours suivants, les trois zombies quittèrent l’hôtel et transformèrent plusieurs centaines de personnes. Le 6 juin 2050 arriva. C’était le jour des attaques à Lyon. Les 300 zombies envahirent Lyon mais il y avait dans cette ville trois ennemis très forts : un chasseur à l’arc et deux chasseurs de primes professionnels. Il était 22h30 quand commencèrent les attaques. Le tireur à l’arc tua à lui seul environ 150 zombies, comme les deux chasseurs de primes. Heureusement, Anès et Julien s’échappèrent sur une péniche abandonnée. Au bout de quelques jours, ils échouèrent sur une île inconnue. Deux ans plus tard, ils partirent vers New-York. Anès était très fatigué. Il vit un homme voulut lui manger la cervelle mais un chasseur de prime vint vers lui. Il s’échappa de justesse avec son ami. Ils prirent leur voiture et rentrèrent dans un appartement qu’ils avaient loué. Anès alla se coucher et Julien se mit sur l’ordinateur pour chercher une ville à envahir. Quand Anès se réveilla, en pleine nuit, il avait très faim : il dit à Julien de lui prêter les clefs de la voiture pour manger des cervelles d’hommes. Anès et Julien préparèrent leur plan d’attaque. Une fois le plan terminé, ils allèrent tuer des gens qui étaient dans leur immeuble. Dès qu’ils eurent fini, ils rentrèrent chez eux : « - Viens sur l’ordinateur, j’ai trouvé une ville ! s’exclama Julien. - Ok ! Ahhhh ! Tu veux envahir Madrid ?


- Oui ! Maintenant, je vais dormir. » Les deux zombies allèrent se coucher. Le lendemain, ils prirent l’avion et trouvèrent un hôtel. Dès la nuit venue, ils transformèrent tout l’hôtel en zombies. Le 8 juillet, l’attaque commença. Ils posèrent une bombe au centre de Madrid et tout explosa. Un chasseur à l’arc, nommé Bowman, les attaqua. Les monstres blessèrent le chasseur à l’arc qui saigna beaucoup. Il ne faisait pas beau du tout : il pleuvait, il y avait du vent. L’attaque était longue et Julien et Anès fatiguaient. Ils prirent des pistolets sur des policiers morts et tuèrent beaucoup de monde : «- Il faut rentrer ! dit Julien. - Pourquoi ? s’interrogea Anès. - Parce que si on ne rentre pas, on va mourir ! cria Julien. - Ok . Pfffff….. », râla Anès. Ils fuirent à New-York. Quelques jours plus tard, les deux bêtes virent une affiche d’eux. Anès s’inquiéta beaucoup en voyant des policiers. Les agents coururent après les deux zombies car il les avaient vus. Les deux monstres prirent des couteaux, tuèrent les 6 policiers puis rentrèrent dans leur maison. Le lendemain, Julien alla de nouveau au supermarché pour enlever l’affiche. Le monstre avait un pistolet pour se défendre si quelque chose arrivait. Au magasin, il y avait des écrans publicitaires et Julien entendit ce qu’ils disaient : « - On vous propose de gagner deux billets d’avion pour Pékin ! - Ah ! Si on gagne on pourra avoir deux billets je vais m’inscrire...pensa la bête. - Pour vous inscrire, il faut se rendre à la caisse principale de votre magasin !» Julien alla arracher l’affiche sans problème puis il se dirigea vers une caissière. Deux semaines plus tard, Julien gagna les deux billets et ils partirent pour Pékin. Dans l’avion, il commencèrent par réserver un hôtel. Puis, ils arrivèrent à Pékin. Dans leur chambre, Anès et Julien enrageait : ils voulaient tuer tout le monde. Ils avaient peur mais ils attaquèrent quand même. Quand la bataille commença, ils étaient au milieu de pleins de gens à transformer. Les deux monstres hésitaient entre tuer ou transformer les personnes : « - Moi, je veux en transformer une cinquantaine et après tuer tous les autres ! lança Julien à son ami. - NON ! Moi je veux tous les tuer !!! » Il y eut une grosse dispute mais Julien arriva à expliquer à Anès que ce serait très dur de les transformer parce qu’il y avait des policiers. Alors, les deux monstres rentrèrent dans un cinéma où il y avait beaucoup de personnes.


Cette fois, les conditions étaient parfaites. Ils tuèrent tout le monde sauf un enfant : « - Ne me faites pas de mal ! Je ne veux pas mourir ! cria l’enfant. - On ne va rien te faire ! On ne tue pas les enfants ! mentit Julien. - Si ! Moi je veux le tuer ! cria Anès. - Calme-toi et arrête de déborder ! affirma Julien. Anès prit son pistolet et menaça Julien et l’enfant. - Arrête ! Tu ne vas pas nous tuer ? - Désolé... Je me suis emporté... - Attention ! Il y a la police ! Cours vite ! » Les deux bêtes s’échappèrent et l’enfant alla vers la police. Les recherches des policiers durèrent 2 semaines mais les deux hommes réussirent à rentrer à New-York. Julien en avait marre de cette vie et voulait maintenant redevenir humain. « - Est-ce que tu veux redevenir humain toi aussi ? demanda Julien. - Non ! Pourquoi ? Toi, tu le veux ? - Parce que j’en ai assez de tuer tout le monde ! - Tu es sûr ? - Oui ! Et toi ? - Si tu veux, je te suis… soupira Anès ». Les deux zombies retournèrent dans leur laboratoire où ils avaient dissimulés plusieurs antidotes. Il manquait deux de leurs fioles mais il en restait largement assez. Ils burent deux antidotes et se transformèrent à nouveau en humains, pour toujours. Ils vécurent bien et n’eurent aucun enfant...


Prise d’otage

par Taouba et Morjiane


Il était une fois une jeune princesse qui s’appelait Sarah. Elle vivait dans un palais gigantesque car elle était riche. Un jour, alors qu’elle dormait devant la télé, un cambrioleur réussit à entrer dans le palais. Comme la princesse dormait le voleur avait le champ libre pour lui voler des objets. Cependant, le malfrat faisant trop de bruit, elle se réveilla et hurla en voyant un intrus. Tous ses gardes du corps rentrèrent précipitamment dans le palais car ils s’inquiétaient des cris de la princesse. Avant qu’ils n’arrivent, le voyou s’enfuit, emmenant avec lui la princesse. Les gardes du corps, ne voyant pas la princesse, partirent à sa recherche. Hélas, le voyou s’était réfugié sur une île. Le lendemain, le malfaiteur partit à la pêche pour nourrir la princesse. Quand il lui apporta son plat, elle comprit qu’il était empoisonné. En effet, pour le voyou, la princesse était juste une ennemie car il détestait les riches. En plus, il ne devait pas rester plus de trois jours sur cette île s’il ne voulait pas que les gardes les retrouvent. Sarah ne mangea pas et essaya de sortir de la cabane où elle était enfermée. Hélas, le bandit la rattrapa et l’amena sur une autre île. Partis à sa recherche, les gardes trouvèrent une petite maison et décidèrent de la fouiller. Ils découvrirent une boîte et décidèrent de l’ouvrir. Dedans, il y avait un chat. Le trouvant mignon, ils le ramassèrent et reprirent leur recherche. Alors, ils aperçurent des empreintes de chevaux et les suivirent croyant que c’était une piste. De son coté, le voleur, inquiet et ne sachant plus quoi faire, fit semblant d’aimer la princesse. Mais celle-ci y voyait clair dans son jeu et décida de lui tendre un piège. Elle lui proposa de rentrer au palais car elle commençait à tomber amoureuse de lui. Il accepta. Le bandit était soulagé. Il voulait l’épouser, profiter de sa richesse et ensuite la trahir. Une fois arrivés au palais, il lui demanda : « - Veux-tu m’épouser ? - Non je ne veux pas ! - Pourquoi ? - Parce que j’ai compris ton plan. » Dans sa tête, le malfrat se dit que son plan avait bel et bien échoué et il lui avoua la vérité : « - Oui, c’était un piège et tu y as échappé. Tu n’es pas aussi naïve que je le pensais. » A ce moment, les gardes entrèrent dans la salle et attrapèrent le voyou par surprise. Il dit : « - On se reverra ! » Mais ce qu’il ne savait pas, c’est qu’il resterait toute sa vie en prison. Sarah resta sereine après tout ce qu’il venait de se passer. Elle était fière que son plan ait marché. Deux jours plus tard, ses gardes lui offrirent le chat qu’ils


avaient trouvé dans la cabane. La princesse sauta de joie. Elle s’en occupa très bien sans savoir qu’il avait un pouvoir hors du commun. Elle l’appela Séréna car elle trouvait ce prénom très joli. Le lendemain, elle s’inquiétait car elle pensait que le voyou l’espionnait. Mais, les gardes du corps lui disaient qu’il n’y avait rien à craindre car ils seraient toujours là pour elle. À la nuit tombée, Sarah alla se coucher et, juste au moment où elle s’endormait, la jeune fille entendit un gros bruit. Elle eut peur et cria. Les gardes du corps accoururent. Elle leur dit qu’elle avait entendu des « boums ». Les gardes du corps lui assurèrent qu’il n’y avait personne. Durant cette nuit, elle fit trois fois le même rêve : elle croyait que le voleur était avec elle. Pour ne plus s’inquiéter les gardes du corps lui dirent d’aller voir le voyou en prison. Quand elle arriva, elle vit que le voyou n’était plus là. Il s’était échappé. Le lendemain matin, elle entendit le téléphone sonner. L’adolescente courut répondre : « - Allô ? - Vous êtes bien Sarah ? - Oui c’est bien moi. - Je vous conseille de surveiller votre chat... » et la personne raccrocha. Elle eut très peur. À partir de cet instant, Sarah faisait des crises d’angoisses régulièrement. Les gardes trouvaient la princesse très étrange. Elle en oubliait son chat qui commençait à avoir faim et soif car personne ne s’en occupait. Un soir, la jeune fille, fatiguée, s’endormit dans le canapé et le bandit entra dans le palais. Il aperçut tout de suite le chat et le prit. Il rentra chez lui dans son très bel appartement, au premier étage. Le chat s’énerva et griffa le voleur qui tomba immédiatement. Séréna prit la fuite. Avec son flair, il réussit à retrouver le chemin menant à Sarah. Celle-ci se réveilla en douceur et n’entendit plus jamais parler du bandit car celui-ci était mort. La jeune fille apprit la nouvelle par la presse. Sarah était à la fois triste et contente. Elle se posait un million de questions : comment ? Pourquoi est-il mort ? Elle décida de mener sa propre enquête. Elle prit son bloc-note et essaya de trouver l’appartement où habitait le voleur. La princesse voulait tout faire toute seule. La jeune fille amena son chat avec elle car elle tenait beaucoup à lui. Quand elle trouva l’appartement du malfrat, l’animal eut une réaction très étonnante mais Sarah le força à entrer. Le chat courut et sauta par la fenêtre. Elle dut rentrer chez elle et retrouva Séréna. Très tôt le matin, elle entendit frapper à la porte, ouvrit la porte et dit : «- Oui ? - Bonjour. Avez-vous vu un chaton blanc aux yeux bleus votre altesse?, lui demanda une jeune fille du nom de Mauna.


- Oui, pourquoi? - Parce que j’ai perdu mon chaton et ai demandé à tout le monde où ils se trouvait. Une personne m’a dit qu’il était peut-être chez vous. Pouvez-vous me le montrer pour voir si c’est vraiment lui ? - Je vais vous le montrer tout de suite. Est-ce votre petit chat ? - Oui ! c’est celui-là ! - Très bien, je vous le rends. - Je vous remercie ! Ça ne vous dérangerait pas de m’aider à trouver mon trésor ? » Sarah accepta. Leur conversation continua encore quelques heures puis elles allèrent dormir. Le lendemain, elle l’accompagna. Alors, ensemble, elles trouvèrent malgré quelques difficultés le trésor de Mauna. A partir de ce jour-là, elles devinrent les meilleures amies du monde.


Une aventure bien mystĂŠrieuse avec Coralie

par ThĂŠana et Emma


Il était une fois, une fermière de 16 ans qui vivait dans un petit village en Amérique. Elle avait une maison en bois dont le toit était en paille. Toutes les maisons avaient été construites par les habitants eux-mêmes. Le bois venait des troncs des noyers et avaient une couleur marron foncé. Toutes les maisons des habitants du village étaient construites pareilles. Elles étaient très lumineuses à l’intérieur. Le village était gouverné par un bandit sévère sur le travail et les impôts. Par jour, et avec plaisir, il pouvait tuer deux ou trois personnes du village s’ils ne travaillaient pas assez. Les villageois travaillaient donc jour et nuit. Ce gouverneur avait employé d’autres amis bandits qui n’hésitaient pas à brûler les maisons et détruire les potagers pour punir les paysans. Ils voulaient les rendre encore plus pauvres en détruisant tout. Coralie essaya de s’enfuir en demandant l’aide des gardes. Mais, ils étaient embauchés pour voir qui voulait s’enfuir. Ils capturèrent donc la jeune fille et la mirent dans un cachot. Les prisonniers n’avaient pas à manger. Heureusement, Coralie avait une barrette qui pouvait ouvrir toutes les serrures. C’était un cadeau de son grand-père. Pendant la nuit, elle s’échappa et prit la fuite avec le bateau du bandit. Elle partit très loin mais le bateau coula après avoir heurté un rocher. Courageusement, Coralie prit une planche de son bateau et rama avec sa main jusqu’au rivage. Elle avait voyagé de son village jusqu’en France. Elle arriva à Bordeaux mais il y avait des gens qui voulaient la tuer car elle était étrangère. Elle chercha un magasin pour s’acheter de nouveaux habits avec l’argent qu’elle avait trouvé dans le bateau. Elle s’acheta une belle robe et alla à Marseille. Le bandit de son village lança un avis de recherche dans plusieurs pays. Un jour, il appela la police de la ville de Marseille. Il demanda s’ils avaient vu une jeune fille et la décrivit : «- Est-ce que vous avez vu une fermière avec des cheveux noirs, des yeux bleus comme le ciel, des lèvres assez fines et une barrette en forme d’étoile ? Elle a à peu près 16 ans et elle s’appelle Coralie. » A ce moment-là, le bandit envoya une photo d’elle. « - Non ! Mais on va essayer de la retrouver », répondit un policier. Cinq espions du gouverneur de Marseille l’avaient aperçue dans une rue du quartier du Panier. Les policiers de la ville avaient questionné plein de jeunes filles mais ils n’arrivaient toujours pas à la retrouver. Un jour, alors qu’ils allaient attraper Coralie, un portail s’ouvrit devant la fermière et elle se fit aspirer à l’intérieur. C’était un portail de téléportation vers un monde parallèle. Elle arriva dans la même ville de Marseille, à la même époque, mais toutes les technologies étaient plus développées. Plein de robots et de personnes humaines se baladaient. Tout d’un coup, trois petits robots très gentils allèrent voir la jeune fille comme s’ils la connaissaient déjà. Le premier robot s’exclama : « - Coralie, venez avec nous ! Vite !


- Comment savez-vous mon nom ? demanda la jeune fermière. - C’est une longue histoire ! Allez ! Venez ! » s’écria le deuxième robot. Les robots emmenèrent Coralie très loin de Marseille, à Chicago dans une grotte. A leur arrivée, ils virent deux hommes en train de se faire agresser par des possédés. Une fois les possédés tués, les hommes s’exclamèrent : « - Suivez-nous, on va vous aider ! » Ces deux hommes connaissaient déjà la jeune fille. Il y avait Paul, un scientifique qui avait fabriqué les trois robots. Paul et son ami l’emmenèrent dans leur laboratoire et lui donnèrent une sorte de notice étrange. Ils ajoutèrent que ce document était très important et qu’il fallait qu’elle le garde. Alors, ils coururent jusqu’à une grotte. Elle essaya de les suivre mais elle les perdit. Alors, elle vit une jeune fille et lui demanda conseil : « - Bonjour, je suis perdue, pouvez-vous m’aider ? lui chuchota-t-elle. -Oh ! Vous avez l’air gelée. Venez chez moi, je vais vous réchauffer. » lui répondit la jeune fille étonnée de la voir ici en plein hiver. Cette jeune étudiante s’appelait Justine et venait de PolynésieFrançaise. Elle avait déménagé à Chicago pour ses études. Arrivée dans sa maison, Justine lui posa plein de questions. Coralie lui raconta toute son aventure et Justine lui demanda si elle pouvait l’accompagner. Celle-ci accepta. Coralie était ravie que Justine veuille l’aider. Justine lui montra la direction à suivre pour rentrer dans son village. Quand elles arrivèrent dans le village de Coralie, Justine confondit le bandit avec un simple villageois car Coralie ne lui avait pas montré de photo de lui. Elle lui demanda où se trouvait le chef. Mais celui-ci lui mentit et lui expliqua que le bandit était parti. Quand Justine alla visiter le village, le bandit s’approcha de Coralie et lui dit : «- Si tu ne me dénonces pas, je vous laisse la vie sauve et je vous rendrai toute la somme d’argent que je vous ai pris. - D’accord mais vous devez tenir votre promesse. », lui répondit Coralie. La jeune fille alla voir Justine pour lui dire la vérité. Célia, la meilleur amie de Coralie, courut voir Coralie pour lui dire que le bandit lui avait menti car jamais il ne les laisserait tranquille. La jeune fermière la rassura en lui disant qu’elle le savait déjà. Quand le soleil se coucha, tous les villageois retournèrent chez eux. Coralie invita Justine et Célia pour faire une soirée pyjama. Pendant la nuit, le bandit désespéré se tua. Le lendemain matin, Justine dut rentrer à Chicago car c’était la fin des vacances. Célia était triste qu’elle ne reste pas plus longtemps. Le père de Coralie l’emmena à l’aéroport le plus proche. Pendant ce temps-là, le village devait continuer à travailler. Un jeune homme remarqua que le bandit était absent. Coralie partit à sa recherche et avec sa barrette, elle réussit à entrer dans la maison du bandit. En arrivant dans sa chambre, elle le vit avec un couteau planté dans le cœur. Elle avança doucement vers lui et trouva une


lettre. Elle se précipita pour l’ouvrir : Cher Coralie, j’étais certain que tu remarquerais mon absence et que tu viendrais me chercher. Je n’arrivais pas à tenir ma promesse et je ne voulais pas vous décevoir. Coralie sortit et montra la lettre à tous les villageois. Quand le soir arriva, ils firent une immense fête. Tout d’un coup, un homme mystérieux arriva. Célia dit à Coralie que c’était le frère du bandit et qu’il avait déjà fait 5 ans de prison pour avoir organisé un cambriolage. Les villageois étaient terrifiés. Le frère du bandit, Baptiste, décida d’enterrer son frère et de prendre sa place sur le trône. Trois ans plus tard, Baptiste gouvernait toujours le village. Il était moins méchant que son frère. Un jour, tout était silencieux. Il y avait de la brume partout. Alors que Coralie et Célia travaillaient au village, elles aperçurent un homme à l’air suspect et l’arrêtèrent. Il leur avoua qu’il habitait aussi un petit village très pauvre, à proximité du leur. Le chef de son village l’avait envoyé pour voler de l’argent car c’était le meilleur voleur de son village. Coralie était étonnée qu’il y est un village près du sien. Le jeune homme s’excusa de sa méchanceté et rentra chez lui. Plus tard, Baptiste leur demanda de finir un travail avant la nuit. Elles auraient en échange une journée de repos le lendemain. Mais cette nuit-là, il se passa quelque chose de bizarre : un portail bleu identique à celui qui était à Marseille s’alluma dans le village. De nombreux robots arrivèrent par le portail et se promenèrent dans le village. Les villageois s’affolaient et couraient dans tous les sens. Coralie essaya d’aller vers le portail pour comprendre ce qui se passait. Hélas, un robot la frappa et elle tomba inconsciente. Célia comprit que la notice donnée par les scientifiques devait avoir un rapport avec ce portail étrange. Elle la lut et après plusieurs heures de travail, elle réussit à faire fonctionner le portail. Alors tous les robots furent aspirés dans le portail. Comme presque tous les villageois étaient inconscients, Baptiste fabriqua une potion pour les soigner. Coralie se réveilla doucement mais elle ne se souvenait de rien. Tous les villageois virent Célia debout et ils la questionnèrent. Célia devint l’héroïne du village ainsi que Coralie qui avait ramené la notice du portail. Coralie et Célia devinrent des personnes célèbres dans leur village. Voyant cela, Baptiste s’excusa et il décida de laisser sa place sur le trône aux deux jeunes filles. Mais Coralie et Célia n’en voulurent pas car elles ne voulaient plus de chef. Ils vécurent alors tous ensemble, libres et heureux.


Portés disparus

par Benoît et Loïc


Il était une fois un homme qui vivait dans une forêt. Il s’appelait Docteur Buie. Docteur Buie habitait dans un grand château. Il était très riche. Dans la forêt du Docteur, il avait beaucoup de randonneurs. Mais hélas, elle était très polluée. Les animaux et les arbres de la forêt étaient très malades. De plus, un voleur s’était spécialisé dans l’enlèvement de personnes. Ce voleur s’appelait Vernan Drupint. Il était très discret. Il possédait une chambre pour se cacher. Le Docteur Buie ne savait pas qu’il y avait un ravisseur dans sa forêt. Un soir, il entendit des bruits dans le couloir, c’était Vernan Drupint. Celui-ci l’assomma et l’amena dans une des voitures du Docteur Buie. Il se réveilla dans un lit situé dans une salle de torture : « - Que me voulez- vous ? dit le Docteur Buie. - Une rançon, répondit Vernan Drupint. Buie pensa alors que son cousin, le Docteur Tyri pourrait l’aider car c’était un espion qui vivait à Hawaï et se faisait passer pour un acteur de cinéma. - D’accord, appelle donc mon cousin, le Docteur Tyri. - Haaa.... Quel est son numéro ? - C’est le 229 228 007. - Ok, j’appellerai ce soi-disant cousin et j’espère que ce n’est pas une blague. » Dans la maison de Docteur Tyri, le téléphone sonna. « - Allô, qui est-ce ? - Celui qui a enlevé votre cousin, le Docteur Buie. - Que lui voulez-vous ? - Je veux une rançon de 9 000 000 €. - Rrr... D’accord. » Au fond de lui, le Docteur Tyri savait qu’il n’allait pas donner la rançon et qu’il libérerait plutôt son cousin. Le lendemain matin, le Docteur Tyri mit son costume d’espion et alla à l’aéroport prendre son jet privé. Juste au moment ou il rentrait dans le jet, son téléphone sonna. Docteur Tyri sut que c’était le ravisseur et répondit : « - Allô, je parie que vous êtes celui qui a enlevé mon cousin. - C’est exact. - Où doit-on se retrouver ? - La rencontre sera : avenue les trois mousquetaires, à 19h30. - D’accord. - Je te préviens, pas besoin d’appeler la police. De toute façon, j’ai des mercenaires armés avec moi et tu ne pourrais pas m’échapper. » Docteur Tyri loua dans un garage une mobylette très discrète et partit. Il arriva au point de rencontre bien avant l’heure. Il aperçut un tuyau


d’aération et y rentra. Une fois bien placé, il prit un BC821 (une carte en 3D). L’espion repéra l’endroit où était retenu son cousin. Il y avait des gardes. Il prit son a.k4 (un petit robot avec des yeux lasers) et l’utilisa. Des soldats arrivèrent avec deux mitrailleuses. Avec ses deux yeux lasers, le robot détruisit les mitrailleuses en tirant dans la bouche des canons. Trois autres mercenaires arrivèrent. Il y avait un grenadier (homme armé de grenades et d’un couteau) et deux hommes armés de chunk-gunks (armes hybrides entre le pistolet et le couteau). Le a.k4 ne trouvait pas de solution. Alors, L’espion lança des grenades paralysantes et tous les soldat tombèrent les yeux fermés. Le Docteur Tyri attendit quelques minutes et sortit de son conduit. Il prit son petit robot et rentra dans la salle où était enfermé son cousin. Il donna l’ordre à son a.k4 de le couvrir et à l’aide d’un petit stylolaser, il brisa les menottes : « - Enfin. je t’attendais ?! - On n’a pas le temps de parler !!! » Docteur Tyri porta son cousin et se laissa guider par son a.k4. Ils sortirent et croisèrent Vernan Drupint qui dit : « - Tu as libéré ton cousin. Bien joué ! Mais maintenant, tu vas en payer le prix ! » Vernan Drupint sortit un petit robot exactement comme le a.k4 mais en plus évolué. - Mon a.kkm est bien plus puissant que ton vieux modèle de robot ! » A ce moment-là, le Docteur Tyri ajouta un module que seuls les espions possédaient au a.k4. D’un coup de rayon laser, le a.k4 de l’espion fut touché. Mais son nouveau module le répara immédiatement. Alors, il lança à son tour un mini-missile qui vint se coller sur le robot de Vernan. Trois secondes après, celui-ci explosa et détruisit le robot. « - Co-co-comment as-tu fait ? - C’est toujours la justice qui gagne. » Le ravisseur s’enfuit à toute allure. A ce moment, la police arriva et inspecta toute la zone. Elle trouva les deux cousins. Toute la famille du Docteur fêta le retour de Buie à Hawaï en organisant une belle fête. Deux mois après, le bandit se fit arrêter et alla en prison. L’espion, lui, reçut la médaille du meilleur espion de l’année. L’homme riche créa une association contre la pollution pour protéger les animaux de la forêt. Dans sa prison, le voleur n’arrêtait pas de répéter la même phrase : -Vous me le paierez tous...


L’incroyable aventure d’Emilie

par Léona et Noémie


Il était une fois une jeune fille qui vivait dans une petite et vielle maison à la l’orée de la Forêt Noire, en France. Elle avait fuit les hommes depuis déjà 10 ans car elle était recherchée. A cette époque, elle vivait dans un orphelinat lorsque ses parents furent tués par leurs ennemis. Ces ennemies recherchaient maintenant leur petite fille. Elle n’avait pas vu d’homme depuis dix ans et en avait un peu peur. Sa petite et vielle maison était gardée par trois loups. Le premier avait le poil blanc. Il adorait les câlins. Le deuxième avait le poil noir était le dominant des trois loups et le troisième avait un comportement assez bizarre. Elle allait chasser presque tous les jours avec un arc de grande précision. Une de ses passions était de lire les lettres de ses parents. Elle les avait déjà lues de nombreuses fois. Elle adorait aussi coudre des habits. Un jour, elle lisait tranquillement une lettre de ses parents qui lui tenait vraiment à cœur : Chère Émilie, Nous t’avons laissée dans cette orphelinat car nous étions en danger et on ne pouvait pas te garder plus longtemps. On avait peur de te perdre. Désolé. Sache que ce n’est pas de ta faute. Tes parents destinée à Émilie Soudain, elle entendit de drôles de bruits. Elle prit son arc, s’approcha doucement du bruit et entra dans la Forêt Noire. Alors, elle vit un ours se battre avec un de ses loups. Elle visa puis elle tira. La flèche frôla le loup et atteint le buste de l’ours. Celui-ci s’enfuit dans la forêt. Le loup partit car il était blessé. Elle essaya de le rattraper mais elle n’arrivait pas à l’atteindre car il était trop rapide. Découragée, elle rentra chez elle. Le loup revint le soir avec une louve et un humain qui avait été élevé par cette louve. L’homme entra dans la maison la faim au ventre. La jeune fille eut un peu peur mais elle trouva le jeune garçon très beau. L’homme lui demanda du poisson mais malheureusement Émilie n’en n’avait plus : « - Allons en chercher », lui répondit Émilie. Ils étaient à la plage quand elle lui demanda son prénom : « - Au fait, comment tu t’appelles ? - Je m’appelle Thomas. » Une heure plus tard, alors qu’ils n’avaient toujours pas pêché de poisson, ils virent un renardeau dans l’eau. Émilie courut vers lui pour le prendre dans ses bras. Elle toucha son pouls et sentit qu’il était vivant. Le ciel


devenait gris. Il allait y avoir une tempête violente. Ils rentrèrent aussitôt à la maison. Elle mit ses mains fraîches sur le ventre de l’animal qui se réveilla en sursautant. Après la tempête, Émilie et Thomas retournèrent à la plage parce qu’ils pensaient que la maman du renardeau serait là. Tout à coup, ils virent au loin une personne et un renard. Ils étaient allongés sur le sable. Émilie et Thomas coururent les voir. Émilie sentit un frottement sur sa jambe. Elle baissa la tête et vit le renardeau qui aurait dû être normalement à la maison. Le renardeau trottina vers la fille et la renarde pour les lécher mais elles ne sentirent rien. Émilie et Thomas portèrent les naufragés pour les ramener dans la maison d’Émilie. Ils les posèrent sur des lits de paille. Ils allèrent à la cuisine et quelques minutes plus tard, ils entendirent du bruit. La petite boule de poils eut peur et alla se cacher derrière les jambes de la jeune fille. La renarde était dans la chambre et eut l’air de reconnaître le renardeau. La fille se réveilla et demanda ce qui c’était passé avec leur renardeau. Émilie et Thomas expliquèrent leur histoire et au passage, ils lui demandèrent leurs prénoms. Le renardeau s’appelait Nick, sa mère Boutond’or et la jeune fille Anna. Émilie raccompagna Anna, Bouton-d’or et Nick, jusqu’à leur barque : «- Bonne chance, dit Émilie. - Merci, répondit Anna » Puis ils repartirent. Émilie rentra, triste de les quitter et mécontente que Nick ait retrouvé sa famille. Elle alla dans sa salle de bain pour se débarbouiller le visage. C’est alors que Thomas arriva dans la salle de bain. : « - Je t’ai inscrite à un concours pour être Présidente des résistants contre nos ennemis. - Tu sais, j’ai un peu peur des hommes et ce n’est pas sûr que je gagne. Personne ne me connaît. - Mais je suis sûr que tu peux gagner, dit Thomas. » Soudain, ils entendirent un grand bruit qui fit trembler le sol. Surpris, ils allèrent vers la porte. Ils étaient sûrs que c’était leurs ennemis. Dans la maison, il y avait une porte de secours. Rapidement, elle prit son arc et les lettres de ses parents. Thomas, qui avait une épée, la prit : « - Sauve-toi, dit Thomas. - Fait attention à toi, répondit Émilie ». Émilie partit dans la forêt, laissant Thomas avec les attaquants. Elle avait très peur qu’il lui arrive quelque chose mais la jeune fille espérait, au fond d’elle, que le garçon allait s’en sortir. Émilie entendait plein de coups de fusil. Les ennemis avaient déjà tué tous les loups. Mais hélas, quand Émilie revint, Thomas était mort. Bouleversée, elle décida de s’inscrire au concours des élections pour être présidente des résistants contre ses ennemis.


La jeune fille sortit de la maison pour s’inscrire au concours. Mais quand elle entra dans la salle, il y avait beaucoup, beaucoup de monde. Émilie était un peu stressée car elle avait peur de perdre ce concours. Mais elle était quand même sereine en apparence. Elle s’approcha de la caisse et une dame lui donna une fiche avec des questions. Émilie alla dans une cabine et répondit sur cette fiche. Les questions étaient un peu difficiles, mais elle réussit quand même à répondre. Quelques minutes plus tard, Émilie redonna la feuille à la dame et partit s’asseoir. La jeune fille dut attendre que tout le monde rende sa copie. En fin d’après-midi, les concurrents allèrent de une cour pour savoir qui étaient le gagnant du concours. La dame se leva avec une enveloppe dans les mains, dans laquelle il y avait le nom du vainqueur. Elle ouvrit l’enveloppe et annonça le nom du vainqueur : « Émilie est la gagnante du concours ». La jeune fille était très contente d’avoir gagné ce concours. La dame lui demanda de monter sur scène, pour se présenter aux autres concurrents. Émilie monta sur scène pour faire son premier discours. Elle motiva les gens à rentrer en lutte contre leurs ennemis et secourir les faibles. Elle créa pour cela un mouvement de résistance. Après avoir mené la résistance, avoir sauvé les gens et arrêté ses ennemis, Émilie réussit à ramener l’équilibre dans la région et à réapprendre aux gens à être heureux. Pendant sa lutte, elle avait rencontré un jeune homme qui était tombé amoureux d’elle. Émilie était également amoureuse de lui. Quelques semaines plus tard, ils trouvèrent un appartement pour vivre ensemble afin de fonder une famille.


Le tueur de zombie

par Sulayman et Mourad


Il était une fois un chasseur de prime, téméraire, qui s’appelait Paul. C’était un homme surtout porté sur l’argent qui vivait dans une maison de luxe : une grande villa de 3 étages. Paul avait sa propre milice privée. Ce travail lui rapportait énormément d’argent. Surtout depuis que ses contrats se tournaient vers un nouveau fléau : l’élimination de zombie ! Et ces derniers pullulaient dans le secteur depuis quelques semaines déjà ! Paul avait une amie, Léa, qui lui fournissait des armes, légères ou lourdes. Il en avait bien besoin devant les attaques incessantes de zombies envers sa milice. En effet, ces derniers temps, le nombre des hommes de Paul diminuait considérablement. Il fallait donc régler ce problème rapidement. Sa technique était de les éliminer pendant le jour. Les monstres étaient comme inertes lorsque tout était calme. Par un jour d’été, sous une chaleur accablante, on sonna à sa porte. Paul jeta un regard à sa caméra de surveillance et comprit qu’une personne importante le sollicitait. Le ministre patientait dans sa limousine pendant que son garde attendait Paul devant la porte. Ce dernier se glissa , avec un air hébété, dans le véhicule du ministre, sous le nez du garde. Paul dit : « - Que me vaut l’honneur de votre visite M. le Ministre ? - Paul, j’ai besoin de tes services mais avant tout j’aimerais que cela reste confidentiel - Bien entendu! Que puis-je faire pour vous satisfaire ? - J’ai eu vent de vos derniers exploits envers ces monstres qui infestent notre ville. Cela dit, j’ai une révélation à vous faire. Mon fils, John, en fait partie ! - John ! Un Zombie ? - Moins fort Paul, même mes hommes ne sont pas au courant. - Qu’attendez-vous de moi M. le Ministre ? - J’aimerais une peu d’indulgence envers John si vous êtes amené à le croiser. - Que voulez-vous dire ? Que je l’épargne s’il m’attaque moi ou un de mes hommes ? - J’aimerais en effet que vous l’épargnez mais surtout que vous me le rameniez sain et sauf afin que je puisse le savoir auprès de nous, sa mère et moi ! - Mais c’est dangereux ! M. le Ministre, un zombie n’est plus humain, il ne vous reconnaîtrait pas. John ne ressent pas d’émotions, et encore moins de l’affection. Il vous mordra à la première occasion ! Dès lors, vous vous transformerez aussitôt ! - Je sais tout cela Paul ! J’aimerais qu’il soit enchaîné dans une cage pour notre sécurité. Nous nous occuperons du reste. - C’est une mission très difficile que vous m’apportez là M. le Ministre. Il est impossible de vérifier l’identité de chaque zombie avant de l’exécuter. Ces monstres sont rapides et j’ai déjà perdu beaucoup d’hommes... - Vous êtes le meilleur et c’est pourquoi je suis venu vous voir. Je compte sur


vous Paul. » La limousine s’en allait au loin pendant que Paul restait debout, pensif devant le porche de sa villa. Cette visite n’était pas un bon signe et la mission que venait de lui confier cet homme mettait sa vie et celle de ses hommes en danger. Une demie douzaine d’hommes étaient présents au quartier général. Comme chaque soir, ils se préparaient au combat. Paul demanda le silence et se mit à leur donner les instructions à suivre. Désormais, l’attaque des zombies se fera de manière différente : nous n’exterminons plus à l’aveuglette, nous devons ramener John sain et sauf ! Cette dernière directive laissa les miliciens perplexes mais ils obéirent.


L’invasion des zombies

par Quentin, Lucas et Jiyad


Il était une fois un adolescent qui se prénommait Bowman. Il était âgé de 17 ans et habitait à Lyon dans une grande villa. L’adolescent possédait des fusils à lunettes, des fusils d’assaut, des arcs et des flèches au phosphore. Bowman avait également un berger allemand. Un jour, Bowman trouva un puits carré abritant un laboratoire secret. L’entrée était fermée par quatre trappes secrètes. Quatre boutons ouvraient ces trappes. Il réussit à rentrer dans une d’elles et trouva deux fioles de potion sur lesquels il y avait écrit : antidote virus 61 15. Un jour, en 2050, le virus 61 15 s’était propagé dans tout Lyon et avait transformé beaucoup de monde en zombie. Les zombies ne sortaient que la nuit parce que le soleil leur brûlait la peau. Bowman s’était fabriqué une arme qui lançait du feu. Cette arme s’appelait le « Purificateur ». Il utilisait aussi beaucoup un de ses fusils : le Locus. Un soir Bowman réussit à tuer plus de cent cinquante zombies. Quelques jours après, ils partirent à Madrid où le virus avait réussi à se propager à cause de deux des zombies de Lyon qui s’étaient échappés. Ce fut un massacre. Tout ce sang dégoulinant n’était pas beau à voir ! Finalement, Bowman rentra à Lyon. Deux semaines plus tard, Paul, un ami de Bowman l’appela : « - Salut Bowman, c’est Paul comment vas-tu ? - Salut Paul. Bien et toi ? - Bien. - Je t’appelle pour te demander si tu peux venir à Pékin. Il y a des zombies qui sont venus ici aussi et j’ai besoin de ton aide pour les tuer. - Je pars demain à l’aube. - Merci à demain. - A demain. » Paul était un ami très gentil. C’était un chasseur de prime. Il essayait de capturer le fils d’un ministre qui avait été transformé en zombie. Il avait beaucoup de mal à réussir sa mission. Bowman espérait pouvoir l’aider. Le lendemain Bowman partit à Pékin et appela Paul : « - Allô ? - Oui. - Salut Paul. C’est Bowman - Salut Bowman - Tu es où à Pékin ? - Je suis à l’aéroport, je t’attends. - D’accord. À tout à l’heure. - À tout à l’heure et bon voyage. » Un peu plus tard, Bowman arriva à Pékin et vit Paul au loin : - Salut Paul. - Salut Bow, j’ai détecté des zombis qui vont pas tarder à attaquer. - Zut ! Tiens, je t’offre un antidote au zombiisme que j’ai découvert. Tu en


auras peut-être besoin. Il était 14 heures. Huit heures plus tard, le combat commença. Il tua soixantecinq zombis mais son chien fut transformé en zombis et mordit son maître. Bowman tua son chien, but un antidote et dut se cacher. Une semaine plus tard, Bowman et Paul mirent des pièges comme des mines et des filets carbonisant. Bowman utilisa des flèches explosives. Ainsi, le lyonnais tua les derniers zombies de Pékin et Paul réussit capturer le fils du ministre. Alors Paul lui fit boire le dernier antidote. A partir de ce jour-là, on entendit plus jamais parler de zombies. Bowman rentra à Lyon sans problème et devint policier.


L’installation des possédés

par Léandre, Côme et Axel


Il était une fois un adolescent qui vivait sur une île, près Chicago, dans un laboratoire. Ce lieu avait été découvert en 1995 par des scientifiques qui apparemment n’en étaient jamais revenus. Paul découvrit cet endroit en 2032, à l’âge de 16 ans. Depuis qu’il vivait là, il lui arrivait d’entendre une voix qui l’aidait souvent sans qu’il ne sache d’où elle venait. Ce jeune homme était très riche grâce à des inventions d’une technologie très futuriste. Hélas, sa richesse entraîna de grandes révoltes en ville car la population y était très pauvre. Un jour, un citoyen pauvre et affamé s’écria : « - Ouvre gamin ! - Sauve-toi petit…. », chuchota la voix de la personne inconnue. Paul ne comprit pas tout de suite la situation. Il entendit de nouveau la personne qui cria : « Et vite !!! » Paul eut peur et courut tête baissée. Tout d’un coup, un bruit de pétard résonna dans la pièce : l’inconnu avait tiré un coup de pistolet sur le citoyen. Il trouva ça très étrange. Puis, il vit une silhouette couverte de sang et qui lui sourit d’un air familier. Alors, il s’enfuit sans dire un mot… Paul s’envola à l’aide de son jet rempli de produits chimiques extrêmement toxiques qui pourraient détruire la terre. Soudain, la silhouette réapparut mystérieusement. Paul, distrait par l’inconnu, s’écrasa sur un rocher à quelques centaines de mètres de son laboratoire. L’ombre se présenta d’une voix grave : « - Je m’appelle Louis ! s’exclama-t-il. Et je suis ton parrain... - Quoi !!! cria Paul. - J’ai promis à tes parents de te protéger, car tu es en danger, annonça Louis. - En danger !? Que va-t-il m’arriver ? Et pourquoi suis-je en danger ? - Des citoyens possédés veulent te tuer ! - Possédés!!! Pourquoi et comment sont-ils comme ça ? - Une puce les contrôle et dans un an, ils envahiront la ville ! On doit se dépêcher ! - Mais comment va-t-on partir ? - Je ne sais pas ... Ton jet est cassé... BOOM !!! - C’est quoi ! cria Paul. - Des possédés ! annonça Louis terrifié. - Fuyons. Dépêche-toi ! - Trop tard ! Ils sont là ! », dit Paul. Les deux héros coururent, mais malheureusement pas assez vite. Un des possédés attrapa Paul et voulut lui mettre une puce afin de le contrôler. Heureusement, Louis fonça sur le possédé et l’assomma d’un coup sur la tête. Puis une voix sortie d’une grotte les interrogea : « - Qui êtes-vous ?


- Je suis Paul et voici mon ami, Louis. » Paul se rappela de cette fille qu’il connaissait et qui était à un des festivals de sciences auquel il avait participé. Ils entrèrent dans la grotte et ne virent que de la roche et des eaux qui coulaient. Les compères continuèrent à s’avancer et arrivèrent au bout de la grotte où ils virent la fille : « - Nous devons aller en France. - Et pourquoi en France ? On est bien ici ! » La jeune fille s’en alla sans un mot, sans un bruit et bien contrariée. - Heu… après réflexion, c’est moi qui devrais m’installer ici ? demanda-t-elle. Quelques minutes leur suffirent pour décider de leur réponse. ils acceptèrent et retournèrent au laboratoire. Les deux hommes lui firent visiter les lieux. Puis une question vint en tête de la fille. « Cette créature qui vous a attaqués, c’était quoi ? -Un possédé. C’est à dire une personne qui est contrôlée par une puce. » La jeune fille, effrayée, partit discrètement pendant que les garçons discutaient bruyamment. Au bout de trente minutes, ils découvrirent qu’elle avait disparu. Paul, fou de rage, prépara son sac pour partir à sa recherche mais Louis le stoppa : « - Tu fais quoi là ! demanda Paul énervé. - Je te retiens pour que tu ne puisses pas aller à sa poursuite. En revanche, on peut quitter cette île. Paul décida d’aller sur une île voisine en espérant trouver une chose qui pourrait l’aider à réparer son jet. Pendant ce temps louis tentait d’arranger l’engin volant. Des heures passèrent et le miracle arriva : la machine fut réparer. Louis se mit alors à parler tout seul : - Ça y est, terminé ! Paul t’es où ? Bon sang... Mais j’y pense... Pourquoi je ne rajouterai pas ma p’tite touche perso ! Vingt minutes après l’installation de la touche personnelle, Paul arriva : « - Je suis affamé. Tu n’as pas quelque chose ? - Non, mais j’ai quelque chose de plus important à te dire…Le jet est réparé !!! - Super, on décolle, mais avant, regarde. J’ai trouvé cette fleur étrange. - Quelle chance ! C’est un harmonium Portius, l’une des plus rare ici. Cette plante conserve une sève guérisseuse. - Tu penses qu’elle peut guérir les possédés ? - Nous devons essayer. Mais pour l’instant, on doit capturer un des leurs. - On ne sait pas où ils sont, il y a des tas d’îles ici ! » Louis eut soudainement l’idée de survoler les terres afin de trouver un groupe de possédés. Ils se mirent en route et commencèrent leur recherche. En vol, ils virent des possédés partir à la chasse près d’une forêt où couraient d’incroyables monstres aux griffes pointues. Les deux compères descendirent de leur véhicule. En chemin, d’horribles taches de sang coulait sur le chemin. Un cerf abattu avait eu la tête mangée par ces


humain contrôlés par une puce. Discrètement, les deux amis se faufilèrent derrière des arbres et essayèrent de les espionner. Chaque seconde passait avec des sons étranges, des cris, des gémissements. Paul, terrifié, recula. Une branche craqua et d’un coup, des possédés lui sautèrent dessus et les emmenèrent dans une des forteresses de Mick, un génie anglais traumatisé par les zombis. Celui-ci faisait beaucoup d’expériences. Mais son destin avait croisé le mal, et tout avait mal tourné. Tous les jours qui passaient étaient consacrés à sa nouvelle invention : la puce à posséder. Arrivé à la base, une grande armée remplissait le bâtiment et un homme sortie de l’ombre. Paul s’écria d’un ton courageux : « - Qui es-tu ? - C’est Mick… Un génie fou. », annonça son parrain. Puis le savant se mit à parler très longtemps. « - Louis, dit le jeune garçon timide, comment le connais-tu ? - C’est lui qui a tué tes parents. » Le silence régna un court instant. L’adolescent gardait toujours un couteau sur lui en cas de besoin. Les deux amis se délivrèrent. Paul désactiva toutes les puces afin que ce génie diabolique ne puisse plus donner des ordres à ses esclaves. Louis cassa la mâchoire du savant fou d’un seul coup de poing. Après un combat très facile, nos deux compères se remirent en route pour trouver un antidote guérissant les possédés. En effet, ceux-ci ne recevaient plus d’ordre mais ils restaient très agressifs. Les mois passaient et le médicament s’améliorait petit à petit jusqu’au jour où ils trouvèrent la bonne formule. À partir de ce jour-là leur mission fut de retrouver tous les possédés pour les guérir.


Laurine, Marie et l’attaque de zombies

par Elisa et Lison


Il était une fois une jeune fille qui s’appelait Laurine. Elle vivait chez ses parents. Laurine avait une grande chambre. Elle était au collège de St Pierre. La jeune fille avait beaucoup d’amies dont Marie sa meilleure amie et voisine. Un lundi matin, alors qu’elle arrivait au collège, elle vit des garçons de sa classe en train de parler fort et même très fort. C’était des garçons qu’elle connaissait bien car ils habitaient aussi dans son immeuble. Au milieu de ces garçons, Laurine vit Marie en train de se faire taper et insulter. Laurine essaya de s’approcher mais les garçons la repoussèrent car ils savaient que c’était sa meilleure amie. Alors la jeune fille appela du secours. A ce momentlà, la sonnerie retentit. Les garçons relâchèrent Marie qui était en pleurs et tous allèrent se mettre en rang. Ils lui avaient volé son portable et son argent de poche. Les deux jeunes filles montèrent en classe comme si rien ne s’était passé. Elles s’assirent puis se mirent au travail. Ce jour-là, sur l’emploi du temps en première heure, il y avait sciences. Le professeur arriva en classe et dit : - Sortez vos cahiers pages 144 , exercice de dissection de grenouille ! Marie lança un regard étonné à Laurine , puis dit en chuchotant : « - Elle n’est pas un peu bizarre la prof aujourd’hui ? - Oui je ne l’ai jamais vue comme ça ! » Puis elles continuèrent à travailler et la prof dit : - Bon…je vais vous distribuer les grenouilles mortes. Ensuite vous prendrez la pince, puis vous enlèverez les yeux, la peau et vous mettrez tout cela dans un récipient. Les élèves se mirent au travail. Marie et Laurine étaient binômes. Elles décidèrent d’enlever d’abord les yeux, puis la peau. Une fois la peau et les yeux de chaque grenouille enlevés, la prof expliqua : « Maintenant, vous prenez vos sécateurs… Vous mettez la grenouille sur le dos, puis vous ouvrirez le ventre délicatement. Ensuite récupérez les boyaux, le foie, puis l’intestin. » Marie se lança dans un décorticage minutieux de la grenouille. Ce n’était pas une partie de plaisir ! Laurine enleva les boyaux, puis l’intestin, puis le foie comme la prof l’avait dit. Elles étaient dégoûtées. Plus tard, la grenouille était vide. Le cours de science était fini. Ils se mirent en rang pour retourner en classe. Après les sciences, il y avait mathématiques : géométrie. Laurine sortit son cahier d’essai de maths. Au même moment les 3ème travaillaient sur les périmètres et les aires des triangles… Le professeur de maths traça un triangle quelconque au tableau. Il fallait en trouver l’aire et le périmètre. Plus tard , Laurine et Marie avaient terminé leur exercice. Il était déjà midi, au menu du self, il y avait steak frites. Laurine et Marie se mirent côte à côte à une table de six où il n’y avait personne. Puis les garçons qui avaient insulté et tapé Marie se mirent à côté d’elles. Ils commencèrent à regarder les filles de travers. Quand soudain un garçon agressa Marie :


« - Tu t’habilles n’importe comment et tu es moche ! - Tu sais ce qu’elle te dit celle qui ne sait pas s’habiller et qui est moche ? », répondit-elle. Laurine intervint dans leur discussion : « - Vous pouvez vous calmer? - Non, on ne peut pas se calmer. », répondirent les deux garçons. Puis Laurine prit son plateau et s’en alla. Mais, Marie et les garçons continuèrent à se disputer. Quelques minutes plus tard, la cantine était terminée. La sonnerie retentit. Ils allèrent se mettre en rang. Puis le directeur arriva et dit : « Bon ! Du calme ! S’il vous plaît, cet après-midi vous n’irez pas en classe. » Les élèves demandèrent pourquoi. Le directeur expliqua que des hélicoptères de l’armée allaient survoler la ville car il y avait eu une invasion de zombies place Bellecour la nuit précédente. « - Rentrez chez vous et restez-y toute l’après-midi », ordonna-t-il. Chacun rentra chez soi. Les garçons coururent pour monter dans le bus qui s’apprêtait à quitter son arrêt, tandis que les filles prenaient leur temps, en discutant. Alors que le bus passait devant Laurine et Marie, les garçons les narguèrent derrière la vitre. Peu importe, elles prendraient le suivant. Arrivées devant la porte de l’ascenseur de leur immeuble, une surprise les attendait. Des pleurs et des cris retentissaient : « Au secours! À l’aide! Maman ! J’ai peur ! » Elles se regardèrent et réalisèrent que les cris venaient des garçons qui étaient coincés dans l’ascenseur. Celui-ci était bloqué par des zombies entre deux étages. Les filles montèrent par l’escalier,très vite pour ne pas se faire prendre par les zombies. Elles tenaient leur vengeance. Les filles engagèrent une discussion depuis l’appartement de Laurine : « - C’est nous, Laurine et Marie, avez-vous besoin d’aide ? – Oh oui ! Appelez les secours qu’on puisse sortir. - Je ne sais pas. On dois rentrer chez nous et regarder la télévision. Ils passent des images spectaculaires de zombies en train de manger. Ils avaient envahi un restaurant et étaient en train de se goinfrer de steak, de frites, de glace et de clients. On voyait la nourriture passer dans leur ventre à cause de leur peau presque transparente et de leur chair moisie. - Soyez sympas les filles, il fait noir là dedans. - D’accord ! On va appeler la police et on leur expliquera aussi le vol de ce matin. - Non, pas la police ! On vous rendra tout ce qu’on vous a volé. - D’accord ! mais ça ne suffit pas, il manque quelque chose. Nous voulons des excuses. - OK ! », et c’est ce qu’ils firent aussitôt. Une fois délivrés par la police, les garçons promirent de ne plus jamais embêter les filles.


Anaïs

par Léa et Khadija


Il était une fois une femme qui vivait dans un petit appartement au centre de Paris. Comme elle venait d’emménager, elle devait déballer les cartons, monter son lit et faire les courses avant la fin de la journée. Une fois la journée finie, elle alla se reposer dans son lit quand soudain elle entendit des explosions. Elle vit des flammes arriver vers elle. Elle se précipita vers la fenêtre. Des gens criaient à cause de l’incendie : «- Mes enfants sont dedans ! Sauvez-les ! - Madame, calmez-vous, dit le pompier. - S’il vous plaît. - Arrêtez madame. Calmez-vous. - Ils sont à l’intérieur. Vous êtes pompier c’est votre métier! - Nous avons déjà essayé d’envoyer des personnes mais ils n’ont pas réussi à accéder au bâtiment. » répondit l’homme. Anaïs partit à la recherche de l’enfant. Elle passa un petit couloir étroit, entra dans une salle à manger et trouva un homme sous une table. Il était vieux. Il devait avoir 85 ans environ. L’homme la regarda et se leva. La jeune femme l’aida et lui dit d’une voix basse: «- Vous ne partez pas? -Non, je suis vieux et je devrais mourir dans peu de temps. Et puis, personne n’est venue me sauver alors qu’ils voyaient que j’étais vivant. Si je pouvais me tenir debout, j’aurais eu un peu d’aide et je ne serais pas là au moment où je vous parle ! Faites comme les autres et laissez-moi mourir! -Non, je ne vous laisserai pas ici, mais vous pouvez être sûre que je reviendrai.» Alors, elle le laissa sous la table et partit chercher l’enfant. Mais au lieu de trouver un enfant, elle en trouva deux. Les deux enfants allaient bien alors elle leur dit : «- Venez ici ! Nous partirons dehors mais nous allons chercher quelqu’un avant. - Non ! On attend maman. Elle nous a dit d’attendre, dit le petit garçon. - Mais venez! - Non on veut pas ! dit la petite fille. - Je pars le bâtiment est en feu ! cria la jeune femme énervée. - D’accord! On vous suit. » dit le petit garçon de 5 ans. Ils partirent en direction du vieil homme qui était toujours sous la table. Il se leva, aidé par Anaïs et leur dit : « - On peut y aller ? demanda le vieux monsieur. - Oui bien sûr, venez ! Répondit Anaïs. - C’est qui lui? Dit la petite fille. - C’est l’homme dont je vous ai parlé. -Ah, d’accord. »


Ils partirent en direction de la sortie quand soudain le plafond s’écroula. Ils coururent droit devant mais Anaïs reçut un morceau de plafond sur la tête qui la fit tomber. Les autres continuèrent ne l’ayant pas vue. Anaïs rampa vers la sortie pendant que les deux enfants retrouvaient leur mère. Des pompiers se dirigèrent verre elle pour la remercier et savoir si elle était blessée et la questionnèrent : «- Je vais bien, ne vous inquiétez pas... - Et les enfants, sont-ils blessés ? - Je ne crois pas. Ils avaient l’air d’aller bien. - Vous êtes sûr que ça va? Vous êtes pâle. - Je ne sais pas, j’ai la tête qui tourne. - Je crois qu’elle a respiré trop de fumée, dit le premier pompier. -Appelez un médecin ! Vite ! » Quand elle se réveilla elle était dans une chambre d’hôpital, une infirmière entra dans la salle et appela un médecin en voyant la jeune femme réveillée. Le docteur entra et lui dit : « - Bonjour comment vous sentez vous? - Qu’est-ce que je fais dans un hôpital ? Pourquoi je ne me souviens de rien ? - Si vous le voulez bien, répondez d’abord à ma question. - Désolée, je me sens bien. J’ai l’impression d’avoir dormi longtemps. - C’est normal, vous étiez dans le coma. - Le coma, c’est pas possible ! - Vous souvenez-vous de ce qui s’est passé ? - Non, juste de mon nom et prénom mais monsieur le coma ne peut pas causer de perte de mémoire si je ne me trompe pas? - Si, des fois ça arrive. J’ai été surpris quand les enfants m’ont dit que vous aviez été assommée et que vous étiez repartie en direction la sortie comme ci de rien n’était. - Ha bon ! Je ne me souviens plus de rien, à part que je venais d’emménager. - Vous devez vous reposer, je vous laisse appuyer sur ce petit bouton vert si vous avez besoin d’une infirmière. - Merci monsieur.» le médecin sortit de la pièce et la jeune fille essaya de se lever mais elle tomba sur son lit. Un mois plus tard, elle allait beaucoup mieux. Elle se rendit à l’accueil pour récupérer des papiers pour sortir. A l’accueil, elle vit un visage familier, cette personne s’approcha d’elle et dit: «- Bonjour Anaïs. Tu te rappelles de moi? - Non, mais je crois que je vous connais. - Bien sûr que tu me connais. Je suis ton oncle. - Je crois qu’on se connaît mais je ne me souviens pas que vous étiez mon oncle.


- Comment tu peux dire ça ? Tu ne te souviens même plus de ton oncle ? Bon c’est pas tout, mais on parlera à la maison. - D’abord, je dois chercher des papiers à l’accueil. - Je t’attends dehors» Anaïs partit au comptoir de l’accueil et une dame l’accueillit et lui demanda : «- Comment je peux vous aider ? - Je suis venue chercher mon diagnostique, répondit Anaïs. - Je peux avoir votre prénom et nom. - Anaïs Pard» La dame partit dans les archives chercher le dossier et revint cinq minutes après. Elle lui donna mais avant de partir, elle ajouta : « - Attendez! J’ai appelé votre famille et normalement elle ne devrait pas venir, alors qui était cette homme ? - C’est mon oncle, pourquoi vous me poser cette question ? - Méfiez-vous... J’ai appelé toute votre famille... Peut-être qu’ils ont pu se libérer à la dernière minute...» Anaïs sortit de l’hôpital et marcha en direction de la maison de son oncle. Ils s’arrêtèrent dans un parc pour se reposer. Anaïs lui posa une question: «- Comment tu t’appelles ? Je ne m’en rappelle plus. - Je m’appelle Christian. Je vais chercher à boire il fait très chaud. - Merci, je reste ici.» Anaïs aperçut un visage familier et la personne vint vers elle pour lui parler : «- Bonjour Anaïs. Je m’appelle Mickaël, je suis le pompier qui vous a aidé après l’incendie. - Je vois. Alors merci de m’avoir sauvé. -Ce n’est rien, c’est mon métier et puis je ne vous ai pas trop aider. J’ai juste appelé un médecin» Alors, son oncle revint et dit: «- Bonjour, qui êtes-vous? - Je suis un ami d’Anaïs - Je vois. Désolé de vous déranger mais on doit partir. Tu viens Anaïs» Ils arrivèrent dans le quartier d’Anaïs, puis ils arrivèrent devant deux immeubles. Anaïs entra dans le premier mais son oncle l’attrapa par le bras et et lui dit que ce n’était pas le bon immeuble. Ils rentrèrent dans le second. Une fois à l’intérieur, Anaïs alla se reposer pendant que son oncle passait un coup de fil. Anaïs ne put s’empêcher d’écouter la conversation : «- Oui, c’est bon. J’ai trouvé ce que tu m’as demandé. Elle s’appelle Anaïs - Je vois et elle a quel âge? - Je ne sais pas. - Abruti, va lui demander. Tu sais que c’est important pour le mariage. C’est comme pour les autres filles.


- J’y vais et je reviens...» Christian s’approcha d’Anaïs et lui demanda: «- Quel âge as-tu ? Je ne m’en rappelle plus ? - Je ne m’en souviens plus. Désolé, je vais faire une balade et je reviens. - D’accord, tans pis.» Elle mit ses chaussures, sortit de l’immeuble et revint au parc où elle avait rencontrer Mickaël. Il était encore là alors elle se rendit vers lui et lui raconta en détail ce que son oncle avait dit. Mickaël appela la police qui vint les aider. Ils partirent au commissariat de police. Les policiers questionnèrent Anaïs et lui demandèrent : «- Alors ? Vous avez entendu quoi au téléphone ? - Que j’allai être mariée de force. - Savez-vous le lieu ? - Non, il ne l’a pas précisé. - Comment l’homme qui vous a pris s’appelle-t-il ? - Il se nomme Christian. Monsieur, je voudrais vous demander quelque chose. - Oui, qui y a-t-il ? - J’aimerais que vous fassiez une recherche sur mes parents. - Je vais voir ce que nous pouvons faire. Au revoir. » Elle sortit de la pièce, retrouva Mickaël qui lui demanda si tout c’était bien passé. Elle répondit que oui. Ils partirent dehors et Anaïs se retrouva sans logement car elle ne voulait pas rentrer. Il lui proposa de venir chez lui et ils partirent en direction de la maison de Mickaël. Une fois arrivés, Anaïs lui posa une question : «- Il y a quelqu’un chez toi? Je ne veux pas déranger. - Oui, il y a ma compagne. - Alors je ne peux pas rester. - Ce n’est pas grave. Il y a une chambre en plus et ma femme peut te prêter des vêtements. -Alors merci.» Mickaël sonna et une femme ouvrit la porte et les fit entrer : «- Bonjour. - Bonjour madame, excusez moi de vous déranger. - Ce n’est pas grave, mais qui êtes-vous? - Je suis une amie de Mickaël. Je suis venue parce que je n’ai plus d’appartement. Il a brûlé. - Je suis désolée pour vous. Vous allez bientôt trouver un autre appartement. - Je ne sait pas encore où je vais me loger. - Venez autant que vous voudrez quand vous aurez un problème ou quelque chose... - Merci. Quel est votre prénom ? Moi, c’est Anaïs. - Marine.» Anaïs se reposa chez Mickaël et le lendemain elle repartit au commissariat de


police pour leur demander des nouvelles sur leur enquête. Ils lui reposèrent des questions : «- Vous nous avez dit qu’il parlait avec quelqu’un avez vous entendu sa voix. - Elle était masquée. - Il parlait de quoi d’autre? - Il voulait revendre d’autres femmes qu’ils ont trouvés. Et pour mes parents, vous avez des nouvelles ? - Oui, ils habitent à Lyon, vers le Vieux Lyon... » Anaïs reçut l’adresse précise de ces parents et acheta une billet grâce au peu d’argent qui lui restait. Mickaël et sa famille l’aidèrent à partir. Elle arriva à l’adresse de ses parents. Elle n’osait pas sonner, elle se rappelait de Mickaël et du policier qui l’avait aidée. Finalement, elle sonna et une personne âgée arriva et lui dit : «- Anaïs ! Tu as bien grandi depuis que tu es partie. Apparemment, tu nous avez oubliez. - C’est vraiment toi ? - Tu ne te souviens pas de ta propre mère ? - Je suis désolé de ne pas m’être souvenue de toi et de ton anniversaire. - Tu t’en souviens Anaïs ? - Oui, je m’en rappelle maintenant. - Tu peux dormir ici si tu veux ? Ton père est là aussi.» Elle partit voir son père et lui expliqua son histoire. Elle continua sa vie et tout se passa bien. Les bandits se firent arrêter. Mickaël et Marine se marièrent et eurent deux enfants. Les deux enfants qu’elle avait aidés pendant l’incendie vécurent avec leurs parents heureux. Le vieux monsieur alla dans une maison de retraite. Anaïs devint infirmière et les bandits restèrent en prison jusqu’à la fin de leurs vies.


16 classes de CM1, CM2 et 6è ont lu, rencontré et écrit avec : A4-cmjn-VECTO.indd 1

Guillaume Guéraud Yves Grevet Pascal Vatinel Hervé Walbecq

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