Collège Jean Jaurès

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Graines de lecteurs Récits

Collège Jean Jaurès - Classe de 6ème


Histoires écrites par des classes de 6ème du collèhe Jean Jaurès Avec l’aimable collaboration de Yves Grevet



Appel mystĂŠrieux

par Seynabou et Tiffany


Il était une fois une dame qui s’appelait Niama Choko et qui n’avait jamais eu d’enfants. Un jour, elle alla dans un orphelinat pour voir les enfants. Elle les regarda puis tout à coup elle regarda un enfant qui était triste. Il était noir avec des lunettes. Quand elle le regarda, il était triste. Niama Choko décida de le voler. Elle appela l’enfant. Il sourit. Ils partirent heureux. Un jour, elle reçut l’appel d’un inconnu. - Gare à toi, si demain tu ne me ramènes pas l’enfant que tu as volé, tu mourras, je te l’assure. Cet enfant est sous notre responsabilité. Tout à coup, le cœur de Niama Choko battit la chamade. Elle dit : - Je ne vois pas de quoi vous parlez ! - Nous parlons de l’enfant que vous avez volé. Nous parlons de l’enfant Moussa.

L’inconnu raccrocha.

Le lendemain, Niama Choko entendit des coups contre la porte. - Ouvrez-nous donc cette porte ! Niama Choko se leva, mit Moussa dans son placard avec plein d’habits sur lui. Moussa dit : « Mais, qu’est ce qui se passe ? » Les inconnus enfoncèrent la porte. Les inconnus cherchèrent Moussa puis ils le trouvèrent. Ils partirent avec lui mais avant, ils brûlèrent les habits que Niama Choko avait achetés à Moussa. Elle se battit mais ils étaient trop nombreux. Elle voulait l’adopter mais elle ne pouvait pas. Niama Choko pleura pendant des jours. Un jour, elle trouva un homme et se maria. Ils eurent pleins d’enfants et ils vécurent heureux pendant toute leur vie.


Elisabeth et ses deuxfils jumeaux

par Mathys et Charles


Antoine et Antony ont 4 ans, ce sont les deux fils jumeaux d’Elizabeth, la mère, qui est âgée de 37 ans. Elizabeth était en train de prendre une douche quand soudain elle entendit des pleurs dans la cuisine. Elle alla voir. Elle trouva son fils Antony mort et Antoine avec un couteau dans la main droite, en train de pleurer. Il était incapable de dire un mot. 20 ans plus tard, Elizabeth reçut un appel inconnu. Elle répondit: - Qui est-ce ? Puis la voix répondit: - Dis à Antoine d’être prudent car demain sera sa fin! Il raccrocha. Elizabeth s’inquiéta pour Antoine, donc elle l’appela : - Bonjour Antoine, j’ai entendu une voix inconnue au téléphone qui me disait qu’il allait te TUER ! - Comment ? C’est peut être un canular téléphonique ? - Peux être mais fais gaffe ! Antoine raccrocha. Puis le lendemain, il entendit des voix - Antoine … Antoine … Antoine répondit : - Qui-est ce ? - C’est ton frère que tu as tué de tes propres mains, tu te souviens de ce matin-là, mon frère ? - Oui, mais je l’ai pas fait exprès, on n’avait que quatre ans ! - Mais je vais quand même te tuer, dommage pour toi ! La porte d’entrée se ferma à clé ! Antoine se mit à pleurer. Puis quelqu’un sonna en demandant d’ouvrir la porte . C’était Elizabeth ! Elizabeth demanda : - Que se passe-t-il, Antoine ? - C’est Antony, il est chez MOI. Elizabeth dit à Antony : - Antony, c’était un accident ! Je vous aime ! Antony se montra en fantôme. - Tu nous aimes maman ? - Oui, tous les deux. Alors il s’envola en souriant. Quelques minutes plus tard, Antoine et Elizabeth se rendirent sur la tombe d’Antony. Elizabeth et Antoine prononcèrent ensemble les mots suivants : - Adieu Antony...


Il est mort

par Siham et Farah


Jean-Claude-Paul-Mohamed-Amine ZDAK était milliardaire. Il avait 56 ans. Il était le père d’un unique enfant, Caris, âgé de 38 ans. Il était veuf depuis 3 ans. Ses voisins l’appréciaient. Il connaissait le maire de la ville. Un jour il sortit se balader. La chance était avec lui. Il entendit trois jeunes hommes dans un garage parler d’un braquage. Il connaissait la voix de l’un l’entre eux… non, ça ne pouvait pas être lui ? En les écoutant, il apprit qu’un cambriolage aurait lieu… chez lui. Alors il décida de tendre un piège aux braqueurs, car dans son coffre fort il avait 3 millions d’euros. Il enleva tout son argent pour le mettre sur son compte bancaire, pour que sa fortune soit à l’abri et laissa seulement 3 euros. Le jour du vol arriva. Il était 4h30 du matin, les braqueurs avaient pris une vieille télévision et des meubles… Ils n’avaient rempli qu’une voiture. Monsieur ZDAK avait fait exprès d’être absent. Le lendemain il sortit acheter du pain. Les braqueurs le suivaient pour le menacer et l’obliger de donner tout son argent qu’ils n’avaient pas pu prendre chez lui. Il ne savait pas que les voleurs étaient derrière lui. Il traversa la route en parlant au téléphone. Il ne vit pas la voiture arriver. Un des voleurs le poussa et se fit renverser à sa place. La police arriva à temps auprès de lui et découvrit que le jeune voleur était son fils unique, Caris ; sur le coup, tout le monde fut sous le choc de cette nouvelle ! Cette histoire fit la « une » des journaux. Les deux braqueurs furent mis en prison en attendant leur procès. Le fils fut transporté à l’hôpital dans un état grave. Le père lui rendit visite. Il voulait comprendre, en savoir plus... - Pourquoi as-tu fait ça ? Demanda-t-il à Caris. - Tout est de ta faute, j’ai fait ça pour venger maman, dit-il avec une voix sombre et triste. Et le père ne put pas lui en dire plus parce que Caris était en train de mourir.


Histoire d’un homme

par Bemba et Eddy


C’était l’histoire d’un homme qui s’appelait Jean-Charles Dulac et de son frère qui s’appelait Jean-Claude.

Jean-Charles avait une femme et deux enfants.

Un jour, Jean-Claude sortit avec ses amis pour faire la fête. Il eut un accident. Il se fit renverser par une voiture et quand Jean-Charles l’apprit, il fut désespéré. Il avait même fait une tentative de suicide. Il commença à boire. Au travail il s’était fait suspendre. Un soir il rentra chez lui en voiture, saoul, et soudain il se cogna contre un mur. A l’hôpital, il pensa à son frère et le médecin lui dit : «Vous avez de la chance de ne sortir qu’avec une canne.» Jean-Charles lui répondit : «J’aurais dû mourir pour rejoindre mon frère.» Et en rentrant chez lui il s’endormit. Il vit son frère dans un rêve et ce dernier lui dit : «Ne meurs pas. Il faut que tu restes en vie pour t’occuper de ta famille… tu as une femme, des enfants, des neveux !» En se réveillant il se rendit compte que ce n’était pas parce que son frère était mort qu’il devait arrêter sa vie.


L’histoire de Monsieur Duranton

par Reza et Erwane


Pendant la réunion des parents d’élèves de la classe de 6ème C, M. Duranton, le professeur principal dit : « VOS ENFANTS ONT ÉTÉ INSUPPORTABLES ! Ils se sont bagarrés, ils se sont insultés. Marc a aussi insulté le surveillant, M. Gérard Lewandowski, et ils ont mangé des bonbons en plein cours de musique ! » Les parents restent bouche bée. « Comment c’est possible ? Nos enfants sont si gentils, réplique l’ensemble des parents. » « J’ai des preuves... j’écris tout dans mon cahier de secrets, chez moi. Vous voulez que je vous le lise ? - Oui, je veux bien que vous lisiez votre cahier, dit un parent. - Votre fils refuse de coller les feuilles. Votre fils a frappé Trevor. Nous avons trouvé des miettes de bonbons par terre... voila la preuve, dit M. Duranton. »

Les parents sont sous le choc.

« Allez-vous bien, voulez-vous boire quelque chose, demande M. Duranton ? - Oui, avec plaisir, répondent les parents.» Duranton va dans la salle des profs pour leur chercher à boire et il met discrètement de la poudre blanche dans les verres. Il revient et il sert tous les parents, puis il dit : « Santé ! » Tout le monde boit sauf l’un d’eux qui est parti aux toilettes. Quand ce dernier est revenu, il a vu les autres parents allongés par terre.

Il a appelé la police.

M. Duranton s’est échappé.

La police arrive et cerne le secteur. Le criminel s’est caché dans une armoire mais les chiens ont senti son odeur. Un policier l’a trouvé et lui a passé les menottes. Les médecins ont affirmé que les parents avaient bu une poudre avec un virus mortel. Ils mourront dans une semaine. Et leurs enfants iront vivre dans des familles d’accueil.

M. Duranton a été condamné à perpétuité.


La femme aux dix cigarettes

par Abdelhamid


Dans les sombres nuits des années 80, j’étais un détective privé du nom de Jack Latrouvaille, 32 ans, célibataire. Un soir à 23h, je reçus la visite de la sœur de mon ami l’inspecteur Pierre Rochart. Son nom était Silvia. Celle-ci avait 22 ans, portait une robe élégante, de magnifiques talons rouges et un étui à cigarettes à sa ceinture. Elle rentra dans mon bureau et sans que je puisse rien dire, elle me cria : - RETROUVEZ L’ASSASSIN DE MA FAMILLE !!! - Quoi ? QUI a assassiné, toute votre famille ??? Pierre est mort aussi ?!! Choqué par ce qu’elle vient de me dire, je sens quelques larmes couler sur mon visage. En fait j’ai juste envie de pleurer, de pleurer ET DE PLEURER! Je crie : - J’en peux plus ! Merde !!! Je m’excuse immédiatement auprès de Silvia pour avoir été vulgaire - Désolé Silvia, je me suis emporté. Normalement ça n’arrive pratiquement jamais. Je vois que Silvia est déstabilisée. J’aurais vraiment dû la boucler. Mais pourquoi n’est-elle pas allée au commissariat ? Je lui pose cette question, elle me répond : - Je suis déjà allée au commissariat mais comme il n’y avait aucune trace de sang et aucune trace d’agression… l’inspecteur a conclu que c’était une mort par monoxyde de carbone. Mais je n’y crois pas du tout donc je suis venue. - Ok, je vais vous aider mais seulement parce que, si c’est bien un meurtre, je veux retrouver le criminel qui aurait tué mon ami et votre famille. Je le ferais croupir derrière les barreaux. Je reprends mon calme et lui dis de me tout raconter. - Je suis sortie faire du shopping avec des copines à 14h. Nous sommes ensuite parties vers 18h dans un restaurant chinois. Nous y sommes restées deux heures. J’ai pris un taxi, ça prend 30 minutes, je suis rentrée chez moi et c’est là que j’ai découvert le corps de mon frère, de mon père et de ma mère. - Si je comprends bien, tu n’étais pas chez toi pendant environ 7h. Je sais que c’est bête et que tu ne te sens pas bien et c’est pareil pour moi, mais au commissariat est-ce qu’ils t’ont dit à quelle heure ils sont morts ?

(enquête à suivre…)


La femme profiteuse de l’argent mais pas du cœur

par Bophavy et Melinda


Chapitre 1 : Le début de l’amour Un jour, une fille qui s’appelait Anouk, devint accro à la drogue et elle avait des dettes à payer. Pendant quelques temps, elle se trouva à la rue. Pour Anouk la vie était très difficile. Elle pria jours et nuits pour ses fautes commises dans le passé : elle jouait avec les sentiments des gens, elle volait de l’argent à des hommes qu’elle séduisait. Anouk rentra dans un bar. Il lui restait 30 euros. Elle recommença de jouer avec un homme. Elle lui parla : - Salut, tu habites par ici ? - Non, je viens de Paris, c’est à plus de 2 heures de route, lui dit-il. - Tu t’appelles comment, beau garçon, lui demanda-t-elle ? - Je m’appelle Jonatam Aristone Delatoufer, dit l’homme. Ils parlèrent jusqu’à la fermeture du bar. Il l’emmena à l’hôtel et ils restèrent la nuit ensemble. Au bout de quelques mois ils se décidèrent à se marier mais Jonatam avait des doutes sur sa nouvelle femme. Il pensa qu’elle ressemblait à ses ex, qu’elle profitait de son argent. Le cœur de Jonatam se brisa. Quelques semaines après, Jonatam se réveilla à l’hôpital. Il se leva et dit : - Qu’est-ce que je fais ici ? Une inconnue vint vers lui et lui dit : - Monsieur Delatoufer, je viens pour vous annoncer que vous êtes officiellement Papa. Au fait, j’ai oublié de vous dire vous avez fait un malaise et que vous avez été dans le coma pendant trois semaines. Chapitre 2 : L’histoire de Jonatam Aristone Depuis que j’étais petit, tout était noir, je voyais la vie en noir et blanc. Orphelin depuis ma naissance, je n’ai pas connu d’autre vie, ni une famille. J’ai travaillé jour et nuit dans cette prison de malheur, j’ai fui ce pays atteint par la pauvreté et de la famine. J’ai tout fait pour atteindre mon objectif. J’y suis arrivé. Elle m’a séduit avec son charme, ses yeux bleus avec une couche de vert. Mais un malheur est arrivé. Cette femme dont le nom est Anouk m’a trompé. Je suis triste. Je ne pourrai jamais lui pardonner ! J’ai le cœur brisé. Chapitre 3 : Le Parc de la Tête D’or Ça fait trois semaines que je ne vois plus Anouk, elle me manque mais je lui en veux toujours. Elle m’a présenté ses regrets par téléphone.


Aujourd’hui, pour changer d’air je décide d’aller au Parc de la Tête D’or. Je rentre dans le C9, et puis je vois Anouk ! Elle me fait signe de la main pour que j’aille la rejoindre. Je décide de descendre du bus même si je viens d’y entrer. Je marche jusqu’au parc. J’y arrive et je vois qu’il commence à pleuvoir. J’en ai marre de cette journée où tout va mal. Une femme avec un parapluie se rapproche de moi, elle me dit : -Ohhh, je vois que vous êtes tout trempé. Venez avec moi sous le parapluie et venez chez moi vous abriter, j’habite à deux pâtés de maisons d’ici. - Merci madame. Arrivé à la maison de cette dame, elle veut absolument me faire goûter son gâteau. Je prends une part et d’un coup je tousse comme si ça m’empoisonnait ! La dame enlève son masque, je reconnais Anouk ! Je voyais dans ses yeux qu’elle voulait se venger de moi. Maintenant je commence à voir la lumière blanche s’approcher de moi. C’est la fin je vais mourir. Je ne viendrai plus à Lyon, plus nulle part d’ailleurs.


La mort anonyme

par Manel et Nawel


C’est l’histoire de Rayan et Vanessa Michael qui vivait dans une maison à la campagne. Le copain du mari, Jacques Trousse, est jaloux car il aime Vanessa Michael. Alors il décide de tuer son ami, Rayan. Un soir, la mère de Rayan téléphone chez les Michael. Vanessa, répond ; elle espère que ce ne soit pas Jacques. En effet, celui ci la harcèle depuis des semaines, il dit qu’il est fou amoureux d’elle. Heureusement, c’est sa belle-mère qui veut prendre des nouvelles. Pendant ce temps, Jacques, caché dans le jardin, escalade le mur pour monter à l’étage. Vanessa entend un bruit bizarre, elle raccroche et monte avec précipitation. Elle voit son mari gisant sous la bibliothèque qui lui est tombée dessus. Elle vérifie si son mari respire encore... Aucun signe de vie ! Il est mort ! Vanessa appelle la police. Le lendemain Vanessa regarde les photos de son mari en pleurant. Soudain elle reçoit un appel, elle répond. C’était sa belle-mère Aïcha. Elle consola sa belle-fille. Trois jours après, il y avait l’enterrement de Rayan, mais sa mère n’était pas venue. Vanessa trouva ça très bizarre. Après l’enterrement, Vanessa alla chez sa belle-mère pour lui demander pourquoi elle n’était pas venue. Peu après le départ de Vanessa, sa belle-mère Aïcha alla chez Jacques. Aïcha et Jacques sont-ils complices ? Que fera Vanessa ? A vous d’imaginer la fin...


La ranรงon

par Dorina et Amina


Sophia a treize ans. Elle va dans un collège privé et très renommé. Elle a beaucoup d’amis, elle travaille bien. Sa mère est morte, quand elle avait huit ans. Elle habite avec son père qui est un riche chef d’entreprise. Il s’appelle Georges. La banque a bloqué son argent pour deux mois, parce qu’il y a des problèmes informatiques. George fait tout pour que sa fille soit heureuse. Un jour, Sophia rentre du collège. On l’attrape par derrière. Elle s’évanouit et on l’embarque dans une voiture. Deux heures plus tard son père s’inquiète de ne pas voir sa fille rentrer. Il reçoit l’appel d’un homme inconnu. - Nous avons votre fille. Si après-demain vous ne donnez pas 100 000 euros, je la tue. Si vous appelez la police, vous ne la reverrez plus. Il raccroche. Georges appelle ses collègues de travail et leur demande de lui prêter de l’argent parce que son compte bancaire est bloqué. Ils refusent de lui donner, parce que c’est une trop grosse somme. Il appelle son ami d’enfance, Oscar, mais il n’est pas très riche. Alors, Georges lui explique sa situation. Son meilleur ami lui demande : - Pourquoi tu ne vas pas voir la police ? - Tu ne comprends pas que c’est ma fille, répond Georges, en colère ?! Si je préviens la police, ils vont la tuer. Pendant la nuit, l’homme ne se sent pas bien. Il sort de chez lui pour respirer de l’air frais. Il rentre se coucher dans son lit. Deux heures plus tard, on sonne à la porte. Georges est réveillé. Il ouvre la porte. Il ne voit personne. Surpris, il regarde alors par terre et trouve une enveloppe. Il ouvre l’enveloppe. Il y a une Clé USB. Il la met sur son ordinateur, ouvre un fichier vidéo qui montre sa fille attachée à une corde. Sa bouche est recouverte de scotch. - Sophia ! crie-t-il. En arrière-plan, il remarque deux cadres. Il avait déjà vu ces cadres quelque part mais il ne se souvenait pas où. Le lendemain, Oscar téléphona à quelqu’un : - Tout se passe bien, demanda Oscar ? - Oui, elle est toujours avec moi. Tu m’as promis la moitié de l’argent ! - Oui, oui, ne t’inquiète pas. 50 % pour toi et 50 pour moi. T’es pas content ? - Si… Bon, je te laisse. Oscar raccrocha.


Une nouvelle fois, quelqu’un sonna à la porte. Georges ouvrit la porte, c’était Oscar. Celui-ci entra et Georges lui raconta l’histoire de la Clé USB. Oscar proposa de faire un café pour son ami. Il alla dans la cuisine et en faisant le café il mit quelque chose dedans. Georges but le café et s’endormit. Trois jours plus tard, Georges se réveilla à l’hôpital. Il ne comprenait pas ce qu’il lui arrivait. Une infirmière arriva et lui dit : - Vous êtes déjà réveillé ? - Qu’est-ce qui m’est arrivé ? Pourquoi suis-je à l’hôpital ? - Vous avez été empoisonné et êtes resté pendant trois jours dans le coma. Deux jours plus tard, Georges revient chez lui. Dans l’appartement il y avait un peu de bazar. Georges ne comprenait rien parce-que la dernière fois c’était propre. Sous un coussin il vit le portable d’Oscar. Il trouva sur son portable des SMS échangés avec un numéro anonyme. Le téléphone sonna. Georges avait déjà vu ce numéro. Il décrocha. Georges entendit : « Allô » et il raccrocha. Il revisionna la vidéo sur la clé USB. Il fit un zoom sur les cadres, et se souvint qu’il les avait déjà vus dans le garage d’Oscar. Il comprit que c’était Oscar depuis le début. Il alla dans le garage de son ami et vit sa fille. Il la détacha et appela la police. Oscar et son complice furent arrêtés. La banque rendit son argent à Georges et il vécut heureux jusqu’à la fin de ses jours.


Le carnet

par Yasmine et Crystal


Mardi 6 mai 2000 Bonjour je m’appelle Cindy TROPEAU, j’ai 32ans. Je suis secrétaire d’un avocat. Un jour mon mari m’appelle et me dit qu’il vient récupérer ses affaires et qu’il me quitte. Comme je suis enceinte, j’éclate en sanglots puis quelques minutes plus tard, je me dis : Je veux me venger de mon mari. Alors je décide que quand il viendra récupérer ses affaires je … 6 heures après ... La porte s’ouvre, mon mari entre, il va dans ma chambre sans me prévenir. Je le surprends et lui plante un couteau dans le ventre, sans aucun regret. Je veux cacher le corps de mon mari. Mais à ce moment-là quelqu’un toque à la porte. C’est un groupe de personnes. Ils étaient là, pour fêter ma grossesse 1 heures après... Pendant que tout le monde s’amuse, quelqu’un me pose une question : - Cindy, il est où ton mari ? Je ne sais pas quoi répondre alors je prétends : - Mon mari a pris ses affaires et il est parti à New-York avec sa «maîtresse». Tout le monde est choqué, - Mais pourquoi avez-vous cette réaction ? Je ne comprends pas... - C’est ton mari qui a organisé tout ça pour le bébé, alors pourquoi est-il parti ? me dit ma meilleure amie Clara. - Je ne te crois pas. Et d’une, comment aurait-il pu savoir pour le bébé puisque je ne lui avais encore rien dit ! - Ton mari a trouvé le test de grossesse en sortant les poubelles . - Et de deux, vous m’énervez tous car vous ne me croyez pas ! Alors vous pouvez tous partir... Alors ils partent tous sur le champ. Je me suis un peu angoissée en ayant appris qu’il savait pour le bébé. Je me dis alors que mon excuse n’est plus valable, et si mes amis ne me croyaient plus, après tout, il ne faut pas que je m’inquiète sinon tout le monde va se douter de quelque chose. Mercredi 7 Mai

Ce matin très tôt j’ai décidé d’aller jeter le corps de mon mari dans le


lac ; cela m’a fatigué ! 1 heure après... Je suis complètement déprimée par la mort de mon mari depuis que j’ai appris qu’il ne voulait pas me quitter, mais que c’était un prétexte. Alors je décide d’ aller au commissariat de police pour faire ma déposition. Un inspecteur m’interroge et je décide de lui dire « ma vérité » pour garder mon enfant. Alors je dis : - Monsieur l’inspecteur j’ai trouvé le corps de mon mari chez moi, sous l’effet de la panique, je l’ai jeté dans le lac. Il me répond alors : - Ne bougez pas on va envoyer quelqu’un, mais on a toujours quelques questions à vous poser. 9 mois plus tard L’enquête a été classée non résolue. Mon petit garçon est né. Il s’appelle Enzo et nous vivons très heureux. C’EST LA FIN DE CE CARNET.


Le dĂŠmon et la femme

par Nour et AmĂŠlie


C’est l’histoire d’une femme qui s’appelle Nina et qui est mariée à un homme qui s’appelle Éric. Ils sont mariés depuis deux jours. Un soir, alors que Nina sortait de son travail, elle aperçut une ombre étrange qui disparut ensuite. Elle crut que c’était son imagination, et elle continua sa route jusqu’à chez elle. Le lendemain matin, elle retrouva la cuisine en pagaille ! Le frigo était par terre et vidé, les casseroles sorties du placard. Elle appela Éric et lui demanda de venir immédiatement. Il arriva et lui demanda ce qu’il se passait. Elle lui montra la cuisine et lui expliqua qu’elle avait vu une ombre la suivre dans la rue. Ils appelèrent la police. La police arriva mais ne put rien faire pour eux. L’ombre était celle d’un démon qui était jaloux. Il ne voulait pas que Nina aime Éric


Le fantĂ´me aux cheveux de paille

par Pllumb et Adam


Il était une fois une fille qui s’appelait Sandra. Elle était blonde ; ses cheveux étaient comme de la paille. Un jour, elle avait fini ses courses et elle rentrait chez elle. Elle appela l’ascenseur puis monta dedans pour aller au 12ème étage. Elle fit un arrêt au 8ème étage car une personne souhaitait monter… elle vit alors M. Mechta son voisin. Il la rejoignit à l’intérieur. Il avait un air méchant. Il lui sauta dessus et l’étrangla ! La police ne trouva pas le coupable dans les premiers jours de l’enquête ; ils interrogèrent tout l’immeuble, dont le tueur M.Mechta. Mais personne ne découvrit jamais la vérité. Depuis ce jour-là le fantôme de Sandra fit peur à tout le monde. C’était des frayeurs de loup-garou. Elle attendait les gens qui venaient dans l’ascenseur et les terrorisait. On l’appelait le fantôme aux cheveux de paille. Un jour, elle fit peur à un monsieur qui avait une arme spéciale. Il tua le fantôme.


16 classes de CM1, CM2 et 6è ont lu, rencontré et écrit avec : A4-cmjn-VECTO.indd 1

Guillaume Guéraud Yves Grevet Pascal Vatinel Hervé Walbecq

29/03/2016 10:55

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