M AI 2019 volume 9 n o 1
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Athlètes
Les Découvrir 06
Récits Se Découvrir 14 Dossier
Découvrir 24
Éditeur Charles Duhamel Coll aborateurs Yannick Bédard, Maghalie Rochette, Marie-Claude Molnar, Marc-André Dufresnes, Dominick Ménard, Vincent Arpin, Pierre Bouchard, Kevin Lynch, Jean-Marc Drouet Correc tions Maxime Prévost-Durand Photographes Vince, Michel Guillemette Retouches Luc Provencher Couverture Crédit photo Charles-David Robitaille pour Cycles Devinci, présentateur off iciel du GRINDURO CANADA , dans le parc national de la Jacques-Cartier Graphisme guts & design Alexis Gauthier Représentant Julie Duhamel Fournisseurs Imprimerie L’Empreinte, À L’Aff iche © 2019 Les Nouvelles SkiPresse inc . Tous droits réservés. ISSN 1205-2043
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skipresse.com
CrĂŠdit photo Vince, Cyclocross Drummondville 2018
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Magdeleine Vallières-Mill, une puissance impressionnante Par Yannick Bédard Direc teur sportif, Équipe C ycliste Québecor Stingray, w w w.equipecyclistequebecorstingray.com
Magdeleine est vraiment une passionnée. J’ai rarement rencontré une personne qui aime autant faire du vélo. Initiée par son père, elle faisait déjà, à un très jeune âge, de longues randonnées avec bagages. Elle entreprend ensuite les courses où elle s’exprime avec ses jambes et sa détermination, ce qui lui permet rapidement d’ imposer le respect et d’inspirer ses coéquipières. Elle apprécie particulièrement les parcours accidentés et difficiles où elle excelle, comme le prouvent ses multiples podiums aux championnats canadiens et au Tour de la Relève de Rimouski en 2018, ainsi que sa très impressionnante 2e place à la Classique des A ppalaches devant un peloton relevé incluant les meilleures cyclistes canadiennes, juniors et élites confondues.
Il ne faut toutefois pas sous-estimer ses capacités sur le plat, elle qui se débrouille aussi très bien au contre-la-montre où elle est vice-championne nationale chez les juniors. Sa capacité à surpasser ses limites est probablement l’une de ses nombreuses qualités qui lui permettent de performer dans ce type d’épreuve. Avec son sérieux et sa discipline, ce sont des caractéristiques très impor tantes qui lui permettent d’aspirer à une progression constante. Magdeleine Vallières-Mill est assurément un nom à retenir pour le cyclisme féminin des prochaines années.
Par M aghalie Roche t te Athlè te cyclocross , w w w. maghalieroche t te.com
Passer Noël loin de sa famille, loin de ses proches et loin de la maison n’est jamais facile. Surtout quand l’alternative est de passer les Fêtes en Belgique, à faire du vélo sous la pluie et dans la boue, dans des conditions qui pourraient difficilement être moins invitantes. Magdeleine a déjà pris cet engagement à deux reprises afin de poursuivre ses objectifs en cyclocross et elle n’a que 17 ans. À mon avis, cela en dit long sur sa passion et sur son désir de réussite dans ce sport si ardu. À mon humble avis, ce n’est pas simplement s a d é te r m i n ati o n q u i p e r m e t tr a à Magdeleine de réussir en cyclisme. C’est aussi son approche souriante, en plus de son attitude positive et légèrement
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détachée face aux performances qui lui permettront d’atteindre de hauts sommets. Sans oublier sa petite taille et sa puissance impressionnante ! Être sérieux dans sa démarche est une chose, mais être capable de rire de ses échecs et d’avoir du plaisir lors du processus est l’élément qui permet d’avoir une longévité dans ce sport. C’est parce qu’elle possède toutes ses qualités qu’il est tant inspirant de rouler aux côtés de Magdeleine. J’ai bien hâte de voir où son parcours la mènera. J’ai une impression que ce sera assez loin !
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Crédit photo Vince, GRVCC, contre-la-montre 2018
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Le « Fameux » processus 24 virages . Une vitesse . Pas de freins. 4 minutes . 6 mois de préparation.
Préparation physique, nutrition, entraînement, préparation mentale et le quotidien. Même si le cyclisme est un sport individuel, j’ai la chance d’être entourée d’une super équipe de professionnels qui s’assure que je puisse performer au meilleur de mes capacités. Avec les Jeux de Tokyo qui arrivent rapidement en 2020, mais surtout les Championnats du monde sur piste qui auront lieu à la maison à la fin janvier 2020, j’ai décidé de plonger tête première dans le processus pour voir où ça m’amènerait. Première compétition d’envergure de la saison, les Championnats du monde sur piste à Apeldoor, aux Pays-Bas, en mars 2019. Depuis septembre, je travaille avec François, mon préparateur physique à l’INS (Institut National du Sport), au Stade olympique. S’ajoutent des séances de préparation mentale avec Valérie, avec qui j’apprends à faire des exercices de cohérence cardiaque. L’entraînement sur vélo reprend également graduellement. Tous les ingrédients sont en place. Gestion du stress, gestion de la fatigue et un plan de nutrition préparé par Martin, que je dois suivre à la lettre. La semaine avant de se rendre en Europe, nous sommes au vélodrome de Milton pour la préparation finale. C’est le temps de s’assurer que tout est réglé au quart de tour. Avec mon entraîneur, Sébastien, nous déterminons un temps précis, au dixième de seconde près, que ça me prend pour effectuer un tour de piste. On s’assure que ce temps soit imprégné dans mes muscles.
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Lorsque le moment crucial arrive, celui autour duquel mon monde a tourné durant ces derniers temps, je suis prête et je sais exactement ce que j’ai à faire.
L a dernière fois que j’ai eu un temps sembl able, c’était en 2011. Je venais alors d’établir un nouveau record du monde. Là, je venais de battre mon meilleur temps à vie, par quelques secondes et au niveau de la mer. J’étais fière. Fière de constater que tout le travail qui avait été fait dans les différentes sphères entourant le cyclisme a donné une superbe performance ! Après quelques jours de repos, le temps est venu de recommencer en vue des prochains Championnats du monde sur piste, qui auront lieu à la maison du 30 janvier au 2 février 2020. J’aimerais remercier tous les gens qui m’entourent, ils sont nombreux ! Vous m’inspirez chacun à votre manière. Merci à tous les gens qui suivent mon périple et un gros merci à mes commanditaires également ! Merci gang ! Adidas, USANA, Rekarb, SeaDNA, Altitude Santé, Clinique Podiatrique Médipied, Kinatex St-Bruno, Café Barista, Thule, Louis Garneau et Primeau Vélo. M arie-Claude Molnar Athlè te paracylisme
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Crédit photo Michel Guillemette, Championnats Canadiens Paracyclistes U17, 2017, Piste, www.michelguillemette.ca
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publi-reportage
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CrĂŠdit photo Veloclub San Donato, Chemin du Nordet, St-Donat
L’histoire d’un événement incontournable L a Cyclosportive Saint-Donat - Le Nordet
Il y a maintenant 8 ans, un comité de bénévoles passionnés du vélo créait le Véloclub San Donato. Jacques Deguire, J e a n C i n q-M a r s , B e r n a r d B é l a n d , Michel Gravel et Raymond M. Sigouin jetaient ainsi les bases d’un événement qui allait acquérir une belle notoriété au fil du temps.
En choisissant le chemin du Nordet, le comité fondateur conf irmait l’intérêt grandissant des cyclistes envers ce parcours aux multiples déf is. Les paysages grandioses et les dénivelés se succèdent sur plus de 30 kilomètres, donnant ainsi aux participants l’occasion de tester leurs capacités et leur endurance.
Depuis trois ans, le nouveau groupe présidé par Benoit Sauvé de l’hôtel Spa le Suisse a pris la relève.
Depuis l’an dernier, un nouveau circuit de 60 kilomètres qui fait le tour du lac Ouareau s’avère également un défi emballant !
Les parcours
L’organisation
Le départ se fait au parc des Pionniers, situé sur les rives du lac Archambault. Les dénivelés des différents parcours solliciteront tous vos muscles, mais ils offriront aussi des paysages à couper le souf f le. Tout le long des trajets, les paysages déf ilent dans une suite ininterrompue de sommets montagneux. Les montées et les descentes sont autant de tests qui demandent de l’endurance ou donnent de la vitesse.
Près de 500 cyclistes de toutes les régions du Québec, de l’Ontario et de l’est des États-Unis sont attendus pour ce déf i annuel, sanctionné par la Fédération des sports cyclistes du Québec.
Deux tr ajet s sont prop osés sur le mythique chemin du Nordet : d’abord le 40 kilomètres pour ceux et celles qui veulent s’initier à ce type de compétition et le 80 kilomètres qui s’avère un défi de taille avec plus de 1 000 mètres de dénivelé.
L’ é v é n e m e n t e s t r e n o m m é p o u r l ’ hospitalité des b énévoles et pour l’excellence du repas à l’italienne servi au retour des participants. Cette année, l’arrivée sera particulièrement animée ! On vous réserve quelques surprises. La région de Saint-Donat vous of fre une panoplie d’activités diversifiées tout au long de l’année. Outre les circuits cyclables, elle propose plus de 200 kilomètres de sentiers pour la randonnée, une magnifique plage municipale au cœur du village et une programmation culturelle estivale emballante. Il faut profiter de la Cyclo pour séjourner dans la région !
Des tarifs avantageux sont consentis aux cyclistes qui s’inscrivent tôt : w w w. ms1inscrip tion.com/stdonato2019
Plus d’informations sur l’événement sont disponibles auprès du Bureau d’information touristique, au 819 424-2833, ou via la page Facebook de la Cyclo : w w w.facebook .com/CycloSanDonato
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Des souvenirs plus grands que nature Par M arc-André Dufresnes
Un 5 à 7 au bureau ! L’aventure débute lors d’un 5 à 7 au bureau. Un collègue de travail me propose ceci : « Un de mes amis organise un voyage à Moab pour la première semaine d’octobre, est-ce que ça te dirait de venir ? ». Je devais assister à une conférence d’un important partenaire d’affaires au début octobre, mais, peu impor te, j ’accepte de me joindre au groupe et j’envoie le paiement à un des organisateurs (que je n’ai jamais rencontré!).
Au fur et à mesure que les jours passent, on voit de plus en plus de sacs de glace, mais les sourires sont de plus en plus grands. Tous les jours se terminent par un repas de groupe où tout le monde s’implique. On avait un chef improvisé parmi les différents cyclistes chaque jour qui nous préparait de copieux plats, un barman spécialiste des « gin-tonics » et un responsable des shooters. Parce qu’après une journée passée à rouler dans le désert, on veut se faire plaisir !
Un groupe s’organise sur WhatsApp. On discute de tout et de rien, mais surtout, le voyage se dessine. Les organisateurs savent visiblement ce qu’ils font. Tout est prévu : la maison qui accueille tout le monde, les camions, les vols, la location des vélos, la bouffe, les glacières, rien n’est laissé au hasard. Ça me met en confiance pour le départ, je suis fébrile !
Les paysages incroyables, les fantastiques descentes d’une durée de 3 heures et les montées arrache-cœur; c’était un passage obligé pour y arriver.
Le voyage
50 km de descente
Me rendre à Moab ne fut pas facile. J’ai eu plusieurs complications qui m’ont valu le surnom du « tout croche ». Après avoir raté mon avion (remerciements aux agents de la douane), j’ai dû prendre un autre vol 10 h plus tard et mes bagages sont parvenus à destination plus de 48 h après mon arrivée. J’étais un peu découragé. Tout le monde a participé à me fournir le nécessaire pour apprécier mes premiers jours du voyage. Nous étions une belle gang d’inconnus avec pour seul point en commun : une passion pour le vélo.
Le meilleur moment de la semaine était certainement la première fois dans le sentier The Whole Enchilada. La météo parfaite, l’altitude et les paysages à couper le souffle ne laissent personne indifférent. Après 50 km de descente, tous les cyclistes se rejoignent. On se raconte nos chutes, nos aventures et les paysages magnifiques qu’on a croisés lors de la descente. C’est plus beau qu’un voyage de ski. L’adrénaline face à l’inconnu, les escarpements vertigineux, les Slick Rock uniques au Moab, la communauté de vélo et surtout les longues descentes à vélo de plus de 5 à 6 heures !
Nous avons concentré nos six jours de vélo sur les sentiers renommés de Moab, soit : Captain Ahab, Slickrock, The Whole Enchilada, Klondike Bluff et Magnificent 7. Bon, j’avoue que ça ne fait que 5 trajets, mais nous avons décidé de nous gâter et de refaire le sentier The Whole Enchilada pour la dernière journée.
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Ce que je retiens de l’expérience à Moab, c’est comment un groupe avec des habilités de vélo aussi disparates a pu triper ensemble pendant une semaine et rouler sur le même terrain. C’est vivre une semaine de rêve avec des gens incroyables et de nouvelles amitiés qui se sont formées. Merci à tout le groupe pour ces souvenirs plus grands que nature ! À l’an prochain.
Récits
Crédit photo Patrice Lamy, piste Captain Ahab, Moab
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RÉCITS
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Crédit photo Dominick Ménard, auto-portrait de Hurricane au Utah
Embrasser le changement L’industrie a beaucoup changé depuis mes débuts comme représentant en 2006. Le web a complètement changé les frontières. L’information est accessible à tous et il ne se passe pratiquement pas une semaine sans qu’un nouveau produit soit annoncé. Le salon Interbike historiquement tenu à l’automne où étaient dévoilés les produits de la saison suivante n’est plus. Nous sommes dans l’ère de l’instantané. Les réseaux sociaux ont établi un nouveau p o nt d e c o m m u n i c at i o n e nt r e l e s compagnies et les consommateurs. La vente en ligne est de plus en plus présente. L’industrie tente comme elle le peut de contrôler l’accès et le prix de certains produits en ligne, mais il y a encore plusieurs zones grises. Les distributeurs et l e s m anuf a c tur i e r s qui ve n d e nt présentement aux boutiques préfèrerontils un modèle d’affaires leur permettant également de vendre directement aux consommateurs ? Les boutiques étant de plus en plus autonomes – je pense entre autres à l’accès en temps réel aux inventaires des distributeurs et manufacturiers et à la possibilité de procéder elles-mêmes à leurs commandes et leurs placements –, je me suis posé la question ces dernières années à savoir comment mon rôle allait évoluer.
Je crois qu’en tant que représentant nous serons appelés davantage à interagir avec le consommateur en agissant comme ambassadeur dans l a communauté tout en utilisant les nouvelles technologies.
André Lecompte (Marin), avec la série Wild Side Enduro, de même que Jean-Philippe Dasilva (Santa Cruz) et Marc-André Daigle (Castelli), avec leur implication dynamique dans la communauté, sont pour moi d’excellents exemples pour ne nommer que ceux-ci. En lien avec cet te nouvelle vision, j’avais présenté à mon ex-employeur un projet avec une approche plus moderne. Malheureusement, j’ai perdu mon emploi en mars 2018. Bien que les mois ont passé, ce projet me trottait toujours dans la tête et j’ai décidé tout de même de le lancer ! Je suis retourné à la table à dessin tout en conservant la mission initiale : promouvoir le vélo en créant du contenu inspirant et éducatif. Il ne manquait plus qu’à lui trouver un nom. En juin 2018, j’ai été invité en Europe par mon ami Mathieu, directeur de l’équipe Kona, pour aider son équipe à la Coupe du monde. Cet environnement m’a inspiré et le nom m’est venu en tête tout de suite. Vous l’aurez peut-être deviné : Bonvelo. Depuis, je m’amuse avec ce projet. Je le fais par passion et par amour du sport. Mathieu m’a ensuite fait une offre pour toute la saison 2019 en tant qu’adjoint directeur. Je réalise donc un rêve, celui de joindre le circuit mythique de la Coupe du monde ! Bonvelo tout le monde ! Dominick Ménard w w w.bonvelo.c a
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RÉCITS
POUR UN « APRÈS-VÉLO » ENTRE AMIS ! 16 BIÈRES BRASSÉES SUR PLACE ET BOUFFE SYMPA ! ENTRE QUÉBEC ET CHARLEVOIX 418-702-1128 I MDBP.CA I INFO@MDBP.CA 9430 Boul. Sainte-Anne, Sainte-Anne-de-Beaupré
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Crédit photo C yclePresse CycloCross Sherbrooke 2018
Marco Le seul et l’unique Il y a quelques anné es , alor s que j’entamais ma crise de la trentaine, j’ai miraculeusement attrapé la piqûre du vélo. Mon entrée dans ce merveilleux monde m’a permis non seulement de me dépasser, mais surtout de faire la rencontre de nombreuses personnes d’exception. Notamment l’une des figures incontournables de la scène cycliste québécoise : l’intense, le seul, l’unique Marco Daigle. Mon premier contact avec Marco a été lorsqu’il nous a dépassés comme une balle des amis et moi dans la Camilien Houde. Après sa petite leçon d’humilité, la machine aux mollets d’acier et sapée comme un pro nous attendait au sommet. Sans même nous connaitre, il est venu nous parler, dans tout l’enthousiasme qu’on lui connait. Tout bonnement, nous découvrions un véritable passionné qui se donne à fond en vélo depuis plus de 20 ans et qui en plus travaille dans l’industrie. Une rencontre incroyable pour notre petit groupe d’amis cyclistes
qui ne connaissait pratiquement rien au cyclisme et qui s’abreuvait des conseils et innombrables anecdotes de Marco. J’ai depuis le privilège de côtoyer cet athlète de haut niveau qui par vient magistralement à concilier entraînement, compétitions et vie entrepreneuriale pleine de défis. Nous collaborons d’ailleurs pour l’élaboration des uniformes Castelli du Clan Knox. Marco nous appuie depuis les débuts de l’équipe et tripe aussi fort que nous dans cette amusante aventure. On rit fort ! Marco, je te souhaite de vivre pleinement ton rêve au Championnat du monde de vélo de montagne UCI. S’il y a quelqu’un qui le mérite, c’est bien toi. Amicalement,
Vincent Arpin
Marc-André Daigle, cycliste compétitif depuis l’âge de 16 ans et représentant dans l’industrie du vêtement de sport depuis 2007. L’industrie du vêtement est une histoire de famille, pour Marco. Agence Marco Daigle, Québec (MV Canada [Castelli, Sportfull, Karpos], 3T Bike, Spark Sports Nutrition). Ouest du Québec (OTH [Enve, Rotor])
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Récits
EXTRA EN LIGNE
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Crédit photo Pierre Bouchard, Nomades 2 Pierre Bouchard et Janick Lemieux, Toundra des Saami en Scandinavie, Beskades, comté de Finnmark (Norvège)
NOMADES 2 : Chasseurs d’images et d’histoires... à vélo ! En 2009, au terme de notre circum navigation du Cercle de feu du Pacifique vélo — une expédition réalisée en 3 étapes qui nous a permis de nous familiariser avec des centaines de volcans actifs sur le pourtour du plus grand océan du globe et qui nous a envoyés pédaler 60 000 bornes —, nous avons décrété une période de « dénomadisation » temporaire. Il s’agissait de voir à quoi ça ressemble de ne pas être toujours dans ses sacoches et de séjourner au « camp de base » sans avoir de date de départ qui nous pende au-dessus de la tête. Bref, jouer les sédentaires pour un bout d’temps ! Nous souhaitions également profiter de cette trêve de la route pour entamer une réflexion sur le nomadisme que nous pratiquions depuis quelques décennies, ce mode d’existence qui consiste à ratisser la Terre à bord de nos deux roues en quête de scènes, de décors et d’histoires racontant notre monde, et nous assurer que nous voulions toujours vivre ainsi, d’aventure en aventure ! Après quelque temps, nous nous sommes lancés, en camionnette, dans une tournée de conférences portant sur la troisième et ultime étape de notre quête « cyclovolcanique » à travers tout le pays et le nord-ouest des États-Unis. En juin 2014, cette période de « dénomadisation » temporaire enfin terminée, nous sommes retournés à la « maison », sur la route, pour entreprendre une énième odyssée vélocipédique. Cette fois-ci, il s’agissait de pédaler à la rencontre des peuples nomades qui se démènent entre l’extrémité septentrionale de l’Europe, le cap Nord (Nordkapp), et le point le plus au sud de l’Afrique, le cap des Aiguilles (L’Agulhas), puis de continuer à réfléchir sur notre nomadisme ! Et ça donne une drôle d’ équation : NOMADES 2 = nomades x nomades d’un cap à l’autre ! Nous nous sommes donc envolés vers Stavanger, dans le sud-ouest de la Norvège, pour avancer d’abord vers la toundra des Saami, des éleveurs de rennes du nord de la Scandinavie, pour ensuite aller faire nos dévotions au cap Nord avant d’aligner nos roues vers le sud jusque sur l’archipel de Zanzibar, en Tanzanie, 21 000 kilomètres et 21 mois
depuis notre point de départ. De retour au camp de base depuis avril 2016, nous nous considérions à mi-chemin dans la réalisation de notre projet d’exploration. Sur notre route, nous avons rencontré des clans de Roms dans quelques vallées des Carpates et dans la plaine du Danube, principalement en Roumanie; des éleveurs Yörük, en Turquie, qui se baladent avec leurs
chèvres et leurs moutons entre les monts Taurus, l’été, et la Méditerranée, l’hiver, où nous avons pu fraterniser; familles de Bédouins en Jordanie et dans le désert du Sinaï, en Égypte. Nous avons ensuite remonté le Nil de Louxor, l’ancienne Thèbes des pharaons, jusqu’à la capitale du Soudan, Karthoum, au confluent des Nils Blanc et Bleu pour remonter le cours de celuici jusqu’à sa source sur les hauts plateaux amhariques, en Éthiopie. Dans ce pays hallucinant, nous sommes allés à la rencontre de membres du peuple Afar, caravaniers de l’extrême qui se déploient dans la dépression du Danakil, au fond du Grand Rift, et, plus au sud, plusieurs tribus pastoralistes de la rivière Omo; des Turkana, Samburu, Pokot, Maasai, Barabaig et Datoga, autres éleveurs semi-nomades du Kenya et de la Tanzanie; des Pygmées Twa en Ouganda et au Rwanda ainsi que des Hadza, dans la savane tanzanienne, chasseurs-cueilleurs au destin des plus incertains. Chasseurs d’ histoires et d’ images à vélo — plutôt cueilleurs —, notre propre quête d’aventures, essentielle à notre survie, reprendra d’ici un an quand nous retournerons en Afrique pour compléter l’odyssée vélocipédique en cours, là où nous avons laissé nos nomades, en Tanzanie. Il s’agira de poursuivre au sud jusqu’au cap des Aiguilles, puis de remonter jusqu’au Maroc du côté ouest du continent. Ah oui, Madagascar est également au menu puisque des nomades de la mer, les Vezos, y prospèrent ! Déjà hâte à ce prochain retour à la « maison » ! Pierre e t Janick NOMADES 2
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Le phénomène gravel bike et bikepacking Par Ke vin Lynch, Vélo C artel
Pendant longtemps, le principal moyen de faire rimer « vélo » avec « aventure » était de lui accrocher le complément « de cyclotourisme » sur le porte-bagages. Et encore, l a monture cyclotouristique était le plus souvent confinée aux routes bitumées. Pour les escapades sur les routes de terre, le vélo de route faisait parfois l’affaire. Et ce n’était vraiment pas toujours le cas, ou alors cette générosité dans la construction était limitée : rouler des pneus de 38 mm était inimaginable. À moins d’avoir un vélo de cyclocross. Puis est venu le gravel bike.
Entrer dans le paysage C’est la démocratisation du frein à disque dans toutes les sphères cyclistes qui a finalement changé la donne. Soudainement, le frein ne faisait plus partie des contraintes techniques. Au contraire, en plus de laisser tout l’espace souhaité aux pneumatiques, le système à disque permettait désormais de ralentir dans toutes les conditions avec la même eff icacité. Et sur un engin chargé de bagages, dans une descente, il s’avérait providentiel. De pair avec le désir d’aventure des cyclistes et, peut-être aussi pour plusieurs, l’envie de fuir les routes, l’industrie cycliste s’est lancée à fond dans la fabrication de gravel bikes. L’objectif : envoyer les cyclistes sur toutes les routes, peu importe l’état de celles-ci, et ainsi ouvrir le territoire cyclable, répondant du même coup à un désir de liberté, à l’envie de s’émanciper de
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l’asphalte pour entrer dans le paysage par de nouvelles portes et conquérir de nouveaux lieux de nos campagnes, de nos forêts et de nos montagnes.
Le vélo qui fait tout ? Si leur géométrie varie énormément et que le relâchement des angles, chez certains gravel bikes, les confine aux randonnées, aux sentiers et aux chemins de traverse particulièrement raboteux, ils ont tous en commun une position du cockpit un peu plus élevée et des freins à disque.
semble vouloir prendre son essor et remplacer la configuration plus classique de l’équipement de cyclotourisme. Pour les cyclistes d’endurance qui veulent voyager léger, pour les aventuriers de l’arrière-pays qui ne souhaitent pas s’encombrer d’un porte-bagages classique (qui est d’ailleurs trop souvent fragile pour le hors-route), le bikepacking est surtout caractérisé par l’utilisation de matériaux légers, compacts, et d’un système de rangement extrêmement eff icaces qui permettent de partir loin, et longtemps, en autonomie complète.
Pourquoi ? Parce que la position conférée par le poste de pilotage permet une meilleure maîtrise sur les sur faces incertaines. Quant aux freins à disque, en plus de permettre quelques largesses pneumatiques, ils offrent un freinage plus souple, qu’on peut moduler selon les circonstances, sans bloquer les roues. Et ce, peu importe les conditions du terrain ou la météo.
Ces produits ne nécessitent pour la plupart aucune spécif ication technique sur le vélo, contrairement aux porte-bagages. N’importe quel engin fera donc l’affaire, puisque les sacs se fixent au guidon, au cadre et à la selle.
On peut par ailleurs trouver dans l’offre grandissante de vélos du genre quelques perles qui font tout. En faisant bien attention au moment de choisir son modèle, on pourra simplement troquer les pneus et ainsi passer d’un engin de route à un tank des planches à laver de l’arrièrepays. Et parfois, aussi, à un vélo pour la saison de cyclocross.
Les événements de gravel bike prennent de l’ampleur. Particulièrement aux États-Unis, où le circuit grandit chaque année. Princi palement en raison de l’esprit d’ouverture de la plupart de ces courses où la participation l’emporte sur le résultat. Y compris pour des monstres comme le Dirty Kanza.
C’est par exemple le cas du Chebacco, chez Parlee (que vous pouvez d’ailleurs essayer en location chez Vélo Cartel).
Plus simple et plus léger pour aller plus loin En parallèle avec le développement du gravel bike, le phénomène du bikepacking a pris son envol. Le bikepacking (terme s’ inspirant de backpacking, soit la randonnée de plusieurs jours en autonomie, avec un sac à dos)
Des événements, des courses
Googlez « gravel bike racing » et un déferlement de propositions inondera votre écran. Au Québec, la Classique des Appalaches s’inscrit dans une zone hybride, en route et gravel. Au Vermont, le Rasputitsa ou le Overland sont de parfaites immersions dans cet univers. Il ne suffit désormais que de choisir une destination et de partir.
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Crédit photo Vélo C artel Coffee Ride à Saint-Apollinaire. Cyclistes : Charles Ostiguy, Marco Daigle, Julien de la Sablionière et Bruno Langlois
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Crédit photo C yclePresse GPCMQ, départ Québec 2018
Réduire l’effet des vibrations Par Pr Je an-M arc Droue t
En cyclisme sur route, il est bien connu que les vibrations provenant de la route et transmises aux mains sont une source d’ inconfor t, de fatigue et même de douleur. À ce niveau, l’utilisation de gants de vélo et de guidoline rembourrés constitue une façon simple d’améliorer son sort et de rendre les sorties plus agréables. Une étude récente*, menée par le Pr JeanMarc Drouet et son équipe au Laboratoire VÉLUS de l’Université de Sherbrooke, a permis de quantif ier la réduction de l’énergie vibratoire transmise aux mains associée à l’utilisation de gants de vélo et de guidoline. Dans le contexte de cette étude (condition de chocs à la roue avant), les gants ont permis de réduire de 2,3 % l’ énergie vibratoire transmise aux mains et cette réduction a atteint 7,6 % pour la guidoline.
d’options pour accroître le confort d’un vélo route, gants et guidoline rembourrés représentent indéniablement une avenue de choix.
Bio Jean-Marc Drouet est ingénieur et professeur titulaire au Dépar tement de génie mécanique de l’Université de Sherbrooke. Ancien coureur cycliste et passionné de vélo depuis toujours, il dirige le Laboratoire VÉLUS, un laboratoire de recherche où il étudie, entre autres, le confort vibratoire des vélos de route (www.velus.ca).
L’utilisation combinée de gants et de guidoline a permis, quant à elle, une réduction de 8,3 %. Les gants et la guidoline utilisés lors cette étude étaient respectivement les Castelli Adesivo et la Specialized S-Wrap Roubaix. Il est suggéré que la réduction trois fois plus grande de l’énergie transmise aux mains, observée avec la guidoline par rapport aux gants, soit attribuable au fait que les coussinets présents sur la paume des gants ne couvraient pas complètement la partie des mains se trouvant en contact avec le guidon, contrairement à la guidoline. Même si la réduction d’énergie transmise aux mains à l’aide de gants et de guidoline peut, au premier abord, sembler relative ment faible, il ne faut pas perdre de vue l’ impor tance de l’ef fet cumulatif de cette réduction au cours d’une sortie typique, souvent accompagnée d’un lot de désagréments offerts par la surface des routes. Compte tenu du nombre limité
Le Laboratoire VÉLUS possède un tapis roulant pour vélo permettant d’étudier le confort vibratoire des vélos de route (Jean-Marc Drouet sur le vélo).
* Drouet J-M, Covill D, Duarte W, On the Exposure of Hands to Vibration in Road Cycling: An Assessment of the Effect of Gloves and Handlebar Tape, Conférence ISEA 2018, Brisbane, Australie, 2018 www.velus.recherche.usherbrooke.ca/ publications_a.html
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J ulb o présente la nouvelle c apsule Segment : une collection qui regroupe toutes les solutions de performance pour les coureurs, cyclistes et skieurs, et ce, dans un coloris visible et engagé avec un écran REACTIV performance 0-3. Cet écran photochromique garantit autant une vision parfaite dans les conditions de luminosité très basse qu’une protection totale face au soleil. Voici le modèle Aerospeed, la monture parfaite pour tous les accros d’endurance qui veulent toujours voir plus vite !
Nées aux confins du Pacifique Nord dans un environnement pluvieux et sauvage, les bottes de pluie Ankle de Xtratuf sont robustes et dignes de confiance. La surface en caoutchouc solide empêche l’eau de s’infiltrer. La tige courte et le tirant durable vous permettront de les enfiler rapidement. De plus, le relief à chevrons adhérents vous aidera à garder l’équilibre sur toutes les surfaces glissantes. Lors de sorties en gravel bike sur les belles routes du Québec, ces bottes seront parfaites pour s’agencer à votre look urbain pour votre cocktail « d’après-vélo ».
Enfilez l’anorak Travel Light de MEC, un coupe-vent respirant lorsque le temps est venteux et bruineux, même à vélo, et vous pourrez poursuivre votre randonnée sans avoir trop chaud. Il est fait de polyester recyclé et doté d’un traitement déperlant durable. Composé de matières recyclées et d’un matériel homologué par Bluesign©, cet anorak a un impact réduit sur l’environ nement. Il est parfait pour le voyage et se range dans son propre sac de rangement intégré (pour les nostalgiques des K-WAY de notre enfance…). Il se transportera facilement dans vos poches de maillot de vélo et s’agencera parfaitement avec la botte Xtratuf pour un look urbain d’après-vélo.
Lunet te Aerospeed reactiv / 250 $
Bot tes ankle de X tratuf / 105 $
Anorak Travel Light / 89 $
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RAVITO Bed & Bike L à où converge le pl aisir du vélo et de l a table
Basé à Frelighsburg, à 5 km de la frontière avec le Vermont, le RAVITO Bed & Bike organise de courts séjours de vélo de route. Leur calendrier 2019 propose notamment un séjour pour débutants, des camps de perfectionnement, des séjours en itinérance avec transport des bagages, l’ascension des 6 caps dans les Montagnes vertes, la découverte du gravel bike. Chaque séjour inclut l’hébergement en maison, les repas au retour des sorties et l’encadrement sur la route. Les fondateurs mettent une vingtaine d’années d’expérience dans le milieu du vélo de route et de l’entraînement cycliste pour vous convier à vivre une expérience vélo et gourmande mémorable. Consultez leur site pour obtenir les détails concernant les séjours. À la découverte du gravel bike Sé jour 3 jours / 2 nuits à partir de 295 $ w w w.ravitobednbike .com
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NOUVEAUX PARCOURS
UVEAUX PARCOURS À DÉCOUVRIR ! ÉCOUVRIR !
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BRUNY SURIN
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Porte-parole BRUNY SURIN
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INSCRIPTIONS
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SEPT INSCRIPTIONS
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VÊTEMENTS CYCLISTES PERSONNALISÉS
M mar co. Daigle
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MERCI DE VOTRE CONFIANCE Clubs, équipes, magasins au Québec
- Annecy - 502 792 393 - JULBO RCS 645 950 197 - © Semaphore - Shutterstock. Sami Hurzeler - *Peu importe le temps - 02/2019.
NO MATTER * THE WEATHER
Conçue pour des athlètes engagés sur tous les terrains et en toutes conditions, la technologie REACTIV® Photochromic adapte instantanément les verres à la luminosité ambiante pour une vision ultra-précise, quel que soit le temps. Ils foncent ou s’éclaircissent selon l’intensité lumineuse. D’une très haute qualité optique, le verre REACTIV® Performance 0-3, s’adapte aux variations de lumières et apporte une vision contrastée de nuit comme en plein jour idéale pour les sports d’endurance. AEROSPEED SEGMENT
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LE FORD F-150 2019
IL CHANGE LES RÈGLES DU JEU
Vous êtes er de votre travail donc vous avez besoin du meilleur équipement, sans compromis. Faisant partie de l’imbattable gamme de camions la plus vendue au pays depuis 53 ans†, le F-150 change les règles du jeu en offrant les meilleures capacités de la catégorie*. En plus d’offrir des caractéristiques innovantes, le F-150 fait plus que le travail.
UNE CARROSSERIE EN ALLIAGE D’ALUMINIUM DE NIVEAU MILITAIRE^ RÉSISTANTE À LA ROUILLE COMBINÉE À UN CHÂSSIS EN ACIER HAUTE-RÉSISTANCE OFFERTE EN OPTION.
MANŒUVREZ À RECULONS SANS PROBLÈME AVEC LE PRO TRAILER BACKUP ASSIST MC‡ OFFERT EN OPTION.
TRANSPORTEZ TOUT L’ÉQUIPEMENT DONT VOUS AVEZ BESOIN AVEC LA MEILLEURE CAPACITÉ DE CHARGEMENT DE LA CATÉGORIE*.
EXPLOREZ LE FORD F-150 2019. FORD.CA/IMBATTABLE Le véhicule illustré peut être doté d’équipements offerts en option. † La Série F est la gamme de camionnettes la plus vendue au pays depuis 53 ans selon les statistiques de vente jusqu’en 2018 établies par l’Association canadienne des constructeurs de véhicules. * Lorsque le véhicule est doté de l’équipement approprié. Charge utile maximale de 1 483 kg (3 270 lb) du F-150 version XL 4x2 à cabine simple avec plateau de 8 pi, ensemble de charge utile service dur et jantes service dur, équipé du moteur de 5,0 L. Capacité de remorquage max. de 5 985 kg (13 200 lb) lorsque le véhicule est équipé d’une conguration de moteur V6 EcoBoost de 3,5 L disponible. Catégorie : camionnettes grand gabarit dont le PTAC est inférieur à 3 855 kg (8 500 lb), selon le classement de Ford. ^ Alliage d’aluminium de la série 6000. ‡ Le conducteur doit effectuer certaines manœuvres. Les caractéristiques d’aide à la conduite sont complémentaires et ne remplacent aucunement l’attention et le jugement du conducteur, lequel doit quand même maîtriser le véhicule. © 2019 Ford du Canada Limitée. Tous droits réservés.