Carnet de voyage "Camille, Malaury et Yannys"

Page 1

Carnet de voyage Camille, Malaury et Yannys Du collège Émile Durkheim

à Peujard


Veille du carnavalde Venise: Mes camarades et moi rêvons depuis toujours de découvrir une nouvelle épice et ce soir, ça y est, nous partons pour le Mexique chercher cette fameuse épice nommée vanille. Nous reviendrons à Venise pour la faire connaître au monde entier.


Jour du départ 25fevrier1556: Aujourd'hui, le 25 février 1556, nous embarquons. C'est le jour du carnaval de Venise. Nous partons en terre inconnue : au Mexique pour y découvrir une nouvelle variété d'épice. Nous traversons le carnaval ,tous les habitants sont venus nous dire au revoir. Ils étaient tous vêtus de masques traditionnels . Avant de quitter définitivement le port et la ville de Venise, j'aperçois une dernière fois le Palais des doges. Ah tant de souvenirs! Ce moment de bonheur avec Maria mon épouse. C'est là que nous nous sommes mariés. C'est bon, nous partons en direction de la mer Adriatique avec le Siantago*. Mon navire part du port et je suis impatient de découvrir cette nouvelle épice mais je suis aussi attristé de quitter ma femme et mon pays. Je vois un masque magnifique et je vais le garder dans ma mémoire pour toujours. Nous naviguons sur la mer Adriatique, nous allons nous arrêter en Sardaigne à l'île de Cagliari pour nous ressourcer. Nous sommes près de Pescara. Je dirige mon bateau vaillamment. J'essaye avec ma boussole de me situer vers le nord avec Camille et Malaury qui apprennent à naviguer. Alors je leur fait découvrir patiemment ce qu'est une boussole et sa fonction. Demain je leur ferais part du fonctionnement de l'astrolabe.


Premier mars 1556: Il est 5h00du matin et je suis déjà sur le pont à la barre. Malaury observe les alentours à la recherche d'une terre pour nous y ressourcer. Mais par chance Camille a retenu mes instructions et elle prend mon compas et ma carte* puis elle calcule la latitude et la longitude. Et grâce à elle nous trouvons une terre nommée Cagliari, qui se trouve en Sardaigne. Arrivés à cette mystérieuse terre, nous accostons. Camille cherche de nouvelles provisions alors que Malaury et moi nous négocions le prix de nos marchandises afin d'avoir assez d'argent pour le reste du voyage. Après la négociation terminée nous repartons en mer.


14 mars 1556: Enfin en mer pour découvrir cette fameuse épice. J'aimerais me situer sur l'océan. Je prends donc l'astrolabe pour calculer la latitude et le compas pour la longitude. Nous sommes à 30 ° nord et 30° ouest. Nous sommes au milieu de l'océan Atlantique à quinze jours de Mexico. Pendant que Camille essaye de reproduir avec ses connaissances la vanille en latin " vanille Planifolia". En cherchant dans ces bouquins des renseignement sur cette épice. Elle prit sont crayons et légende la vanille. On a photographier la vanille pour qu'une fois arriver a Mexico nous puissions la reconnaitre et partir avec.


La tempête la pluie remplace le beau temps. Brusquement la mer se met en colère et les vagues s'éclatent sur notre navire. Tous les hommes se battent vaillamment contre ces vents violents. Plusieurs hommes chavirent en mer. Je crois que c'est le vent Libeccio qui se déchaine sur notre sort. Plusieurs personnes ont peur de mourir. Les vents étaient aussi violents qu'un coup de massue. Ils étaient aussi puissants. La mer est sombre, obscure...


1er avril 1556 Nous accostons sur une magnifique plage, nous nous précipitons sur le sable blanc, fiers d'être enfin arrivés . L'eau est belle et calme, elle est turquoise. Le soleil brille et la température est très élevée. Des manguiers et des palmiers bordent la plage. Nous savons que notre mission n'est pas finie, il nous reste maintenant à trouver la vanille et à la ramener. Nous entendons les mouettes, nous rentrons dans la forêt et d'un coup, tout change. Nous entendons les oiseaux et on sent que la forêt est humide. Et quelques fois on voit des singes sauter d'arbre en arbre. Soudain, Camille voit une fleur, elle a un nom bizarre c'est Tillandsia Pruinosa. C'est une fleur rose et verte, très répandue dans ce pays. Il n'en existe pas en Europe. Elle ressemble à une pieuvre et pousse directement sur la branche. Délicatement, elle la découpe puis la met dans un bocal en verre. Quelques heures de marche plus tard, je suis étonnée par un animal et je le nomme Coatis commun. C'est un animal étrange qui ressemble à un gros chat, son pelage est roux, il a une queue tigrée et un long museau. Il est sauvage et peureux, mais inoffensif. Nous trouvons un bel endroit dans la forêt et nous décidons d'y camper. Le lendemain matin à l'aube, nous reprenons notre route. Dans l'après midi, nous nous arrêtons pour faire une pause, mais Malaury, elle, est partie faire un tour. Puis Camille et moi nous entendons un cri ! Malaury revient effrayée : elle vient de rencontrer des autochtones ....


Quelques heures de marche plus tard, je suis ĂŠtonnĂŠe par un animal et je le nomme Coatis ...

Soudain, Camille voit une fleur, elle a un nom bizarre c'est Tillandsia Pruinosa.


4 avril 1556: Nous sommes , nous pensons que nous ne sommes pas loin de la vanille. Puis un homme nu s' approche de nous il est barbu et il est sale. Et derrière lui, quatre enfants nus aussi. Il nous capturent et nous emmènent dans une grotte sombre, noire, et remplie de personnes nues. Alors Camille leur donne pour nom les aztèques. Il nous fait visiter leur grotte. Il y avait plein de chauves-souris et d' insectes. Puis au bout d' un moment on ressort et on se retrouve dans un cratère. C' est splendide, la lumière reflète sur un champ alors on décide de se rapprocher et très vite Camille se rend compte que c'est un champ de vanille. Alors étant botaniste, Camille est tout existée de ramener cette épice à Venise. Alors elle essaie de discuter avec les aztèques , mais c'est impossible car il ne parlent pas notre langue. Elle leur fait des signes pour qu'ils comprennent qu'elle veut arracher un pied de vanille. Ils comprennent et nous enferment dans une cellule noire tout aussi sombre que la grotte. Seuls les cafards y vivent et les souris. Aucun lit aucun confort. Un homme nous surveille. Nous sommes piègés. Malaury essaie de trouver un moyen de sortir. Puis le garde nous fait sortir. Il nous conduit à la salle principale. Puis une femme s'approche de nous et nous montre qu'elle parle le français. Alors Camille lui explique notre aventure jusqu'ici et notre mission. Celle-ci comprend et nous ramène mon équipage et moi-même au cratère, là où pousse le champ de vanille. Camille a les yeux émerveillés. Elle repart au bateau accompagnée des Aztèques pour aller chercher des boites afin de ramener la vanille. La nuit passe et Camille a dû dormir dehors.


Issuu converts static files into: digital portfolios, online yearbooks, online catalogs, digital photo albums and more. Sign up and create your flipbook.