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SAB
54
RÏDZA
Nelloyer
V. a.
,
le blé
SAC
avec
le crible
Cnùler.—
Celte révolution se fait aussi sentir dans les animatiT Otpief. c hicii sale, o hcsoun de rudza; ce et surtout dans l'homme. Les humeurs prennent blé esl bien sale, il a besoin d'êlre criblé. alors plus de mouvement, et il est rare qu'à cette époque, on ne ressente pas quelque incommodité Ri^Dzr!», s. m. Voy. Trun. Le mauvais grain et les Nous nous en consolons, en disant Oto n'e mas ordures qui sont séparés du grain par le crible to mountado de lo saùo; ce n'est Crihiiircs. Las foulas -poundou mid occasionné que
Ma
:
:
—
:
quant
,
oou hcca
iou rudzun; les poules pondent mieux, quand elles ont bccfjiieté les criblures. FO. adj. Rade au toucficr. C'est un défaut dan'i les bestiaux d'avoir le poil rude Oquet vedtl ion pial rufe, frudzoro pas; ce veau ne réussira pas, il a le poil rude.
[RiJFP,
par
RcFf.
au figuré, se
,
6
rude,
il
RûsTso,
s.
rufe
,
a la
dit des personnes Oquel o lou porta rufe ; cet homme est parole rude. ] :
[
]
espèce
de coutelas
•
à miel.
RÏTSTSC se dit aussi
ouveil, à qui on a enlevé
même les fers dont l'intercession de la Vierge l'avoit délivré. Comme de raison, appcndit et les fer» il
et le .sabre
les intestins et
là
toutes
personne maigre. RtsTsoc, adj. écovce.
On
On le dit du bois à brûler qui a soB le préfère ainsi, parce que l'écorce
contenant plus de sel, est plus combustible.
le bois
fer, sont
Sabre de Roland; et voilà que, par miracle, femmes les plus stériles en devinrent fécondes. C'étoit bien autre chose que la fable de l'ccut Le miracle fut publié, attesté et confirmé par une
longue suite de fécondités inespérées. Tant est qu'on croit encore à la vertu du sabre de Roland.
l'en-
petite
de
Nous avons besoin d'un peu
te
:
m., diminulif du précédent,
le justifier.
les
:
s.
pour
plus de confiance pour ce qui nous reste à dire. La sainte Vierge accepta son offrande et le lui témoigna tout (le sr.ite en faisant sortir un figuier du mur, à crtlé des armes. On s'aperçut bientôt que ses bienfaits ne s'étoient pas bornés là. Les femmes sont curieuses, elles voulurent aller voir
RrsTSO se dit d'une personne maigre, décharnée, à la(|uelle il ne reste que la peau et les os M'o pre tino grando ntstso de fenno; il a pris une grande femme décharnée. On le dit aussi dss bestiaux Otsotota-i uno rustso de vatso pcr
RusT.soB,
chapelle de sa bien-
fers, attachés avec de fortes chaînes
a
graisser. J
la
Ce fait historique ne peut être contesté ; indépendamment de la tradition, le sabre et les
:
poussa; j'achèterai une vache maigre pour
aux parois de
faitrice.
auquel il ne reste que le lard Quaii peso oqiuto rustso? combien pèse ce lard."] les chairs, et
la
,
~\^
du lard d'un cochon qu'on
lou SIbre de Roiniaw.
que notre Compatriote Er. Baluzk a appelé Rupis amator, n'est pas dans notre iléparlement mais dans celui du Lot. ) U avoil swn grand sabre et
,
des mouches
— Leva
vint de Roncevaux, il voulut aller sainte Vierge de Roc-Amadour. à laquelle il devoit d'avoir échappe aux nombreux périls qui l'avoient entouré. ( Or, ce Roc-Amadour
par l'écorce et (pielques couches de biis circulaires. On emploie ces troncs à recevoir l'eau des fontaines, à faire de petits ponts pour traverser les rigoles des prés enfin on y recueille les essaims dabeïues. Il est vraiscmblabîe que c'est cet usage q<ii a fai^ donner en françois le nam de Ruche aux paniers ;
DE RocsLAy.
remercier
Écorcc d'aHre
f.
SIbri!
Quand Rolaud
[ Il arrive souvent que (surtout ceux qui sont entés) se pourrissent en-dedans, de telle manière que le cœur n'existe plus et que l'arbjre n'est soutenu que
[
Arme blanche,
L'intelligence de ces mots dont nous nous servons souvent, exige une explication.
les châtaigniers
[
la sève.
.
home
{
mouvement de
SXlre, s. m. Savre.
:
2.
le
D'après celle explication, on voit combien de fois l'expression, leva luu Sabre de Rountatid, doit revenir dans les conversations. J [
Le mot Sabre a des diminutifs dans notre patois. Nous avons Sobrol et au-dessous encore Sobrittou, Briquet. J vent faire peur aux enfants, on leur dit d'un air menaçant Sabre de boï, pistoulet de palis; sabre de bois, pistolet de paille. ] petit sabre
qui en est revêtu
']
[
:
Quand on
:
SltOf s. f. L'humeur qui se répand par tout l'arbre, par toute la plante Sève.
[
:
[
C'est
au printemps que cette humeur engourdie
froid commence à reprendre sa circulation Lo saho monta, disons-nous alors. Lous a-oubres sou en saéo; la sève monte, les arbres sont
par
le
en sève.
:
[
SÂpno, SÂPEO PicÔTO sont des interjections d'admiration , dont l'étjmologie vient de Sabre. Voy. SÔBBA. ]
m. Sac.
Pièce de toile dont on forme espèce de poche. Le sac est employé à tant d'usages, qu'il donne lieu à plusieurs expressions patoises. Le sac dont uous uous servons pour
Sac,
s.
comme une