,
NA :
:
mot
Na de QciD
[
verbe latin mutare,
est le
courbé,
ciianger.
:
Lo vou
li
mudo,
liez furent
aucula [
de a.
la
cri
ne puis pas
Muguet,
du taureau, du bœuf,
s.
giroflée.
hommes
N'o pu Pode pa mndzi ;
des dit.
:
jjarler. ]
ordinaiiemcnt blanche, quelquefois violette. y eu a aussi de jaune, mais sans odeur Julienne. ] f.
Cage où
vellement éclos
:
renferme
l'on
Poussinicre.
(
les poidets
Eucyc.
NÂFRO,
En
Longue
s. -f.
et large blessure
louniitan, se fa il
s'est fait
:
Balafre.
uno nafro o lo une blessure à la
testa;
— ea
tète.
Faire de profondes blessures. [ Il n'est pas usité , mais on se sert quehiuefois du participa NoFRA , Do. O lou visadze tou nofra; il a plusieurs blessures à la figure. [|
)
y. a.
—
:
mot dont on se sert en parlant aux enfants; correspond au mot iVançois Dodo,
Na-i-«(a-i, il
]
[
N.
un
est la
tombant,
[ Mï'SA, V. n.
s'en repenl et la regrette.
Larges narines. ]
pi.
f.
large nez. Lo nazas de tnla personne qui, diins une famille, se distingue par un grand nez. J [
nou- NÔFBA,
Se repentir; nous n'en avons conservé Cu refuso l'usage que dans ce proverbe trivial tnuso; celui qui refuse une chose, ordinairement
s.
Celui qui a
me-idzou
:
s.
]
ainsi une femme, Na Leva, s. une fille trop hardie, insolente, effrontée Ogalzo oquelo na -leva; regarde-moi cette insolente. }
Nous appelons
f.
[ Nazas,
m. Jolie fleur du printemps, espèce de Son odeur est très-agréable. Cette fleur
[ Il
,
appeloir aussi bestid
personne qui avoit une figure singulier*.
:
a.
est
Jico
On
nu de quid hastas.
appelés
toute
me
vache. ]
l'étcnd au parler [ On mudzi; il n'a plus rien je
Ncz excessivement long et requ'on en suppose un au démon.
HASTAS.
tel
<te la c.ithtyrale Ae Tulle , autrefois déilie'e K St-Mariin ^ orné d'anciennes tapisseries qui reprcsentoient differcn» trjiis de l'bisloiif de ce S.iint. Dans un des pans, il e'ioit vepréscnlé luttant avec le démon qui vonloîi le tenter. Ce d(*niori avoit un nez diabolique, et de la b:*uclie de ce .Saint stirinic un écrit sur leqni'l on lisoit quid hastas hestia ciuenta! Le» !) rsoiiiics qui ne s;iTiiiert pas que cela sitiniliuit r/iie letUes-4u, bélc cruelle ? ne s'orrftoieiit qu'à ce nez énorme : d'oii les jpaiid*
qu'on substitue à celui qu'on J MtJDÔsot, s. f. Le linge quiltc : Oquvlo iioiiiiiutzo, oqudas tsaussas me [OfO-ou uni) miidozou; avec celte clieniisc, avec ces bas, j'aurai de quoi inc changer une l'ois. ]
Mugir. Le
ï55
etoit
le
£ MfiDzi, V. n.
est
chœur
ÏjC
[ Le développement des organes, qui a lieu à l'époque de la puberté , donne un nouveau timbre à la voix des adidtes, alors on dit son de sa voix change. ]
NEÎ un nez
•
écrasé comme le taloa d'une savate. Un homme de Tulle donna son nom aux nez diaprés et bourgeonnes des buveurs; oo les appelloit : Na de Lortidzo.
Na de Sobato
{Comme, pendant cette période, les oiseaux ne Moun canciien lie. cli.intcnt pas, nous disons di re, muflo. Si une personne se tait dans une occasion dans laquelle on croyoit qu'elle parleroit, nous disons Oqiie-i (juc, mudo. ] L'étymologie de ce
^
,
Nos nourrices, en berçant chantent
leurs
enfants
,
leur
:
Na-i-na-i,
m. Partie ëmincnte de la figure qui est entre la bouche et le front. [ Nous enq)loyons ce mot dans plusieurs locutions proverbiales Ove boun
Ni,
Der dor
s.
I.o-u peli vol tan doiirnii,
^'cn
:
na
littéralement, avoir bon nez; au figuré., prévoir de loin. Novc pas de na ; n'avoir pas de nez, n'avoir pas de sentiment. D'une chose qu'on voit distinctement, nous disons Oeo se ve coumo (eu na entre {ou do-ou.i cls; cela .se voit comme le nez entre les deux yeux. Levii lou na, c'est prendre de la- hardiesse ; bcisua fou na, c'est baisser la tête, être humilié. Quand le blé augmente au marché, nous disons Lou o leva fou na. Si les épis, si la grappe du raisin frappée par l'intempérie de l'air, viennent à se courber , on dit Lou bla , lou vi o-ou ba-issa lou na. ] ,
Ce qui
Dodo
[
do
/
,
Fa na-i-na-i, fa na^na, pour
]
signifie aussi
dormir,
enfants; les grandes personnes disent aussi quelquefois lo-ou vo-ou fa na-naj je vais me coucher. ] les
:
m.,
signifie aussi Berceau, bouta din toun na-i-na-i ; viens, mon petit, le mettre dans ton berceau. I\le vo-ou bouta din moun na-na; je vais nte mettre dans mon lit. ]]
[Na-i-na-i, Na-ka, lit.
Na-Boïdrou, Nv-Croïtoo, s. m. On appelle ainsi une [lersonne qui, prenant du tabac, néglige de se moucher. [
k
:
,
T-'enfiutt
:
de Sotto, est un nez gros. Voy. Sotto. Na de âiaia, est un'uez elUlé comme bec d'un seriu.
Isomi.
L'enfant dormira bicntAt.
Ma
Na
1^
signifie à-peu-près
:
:
pa
trolio
s.
— Vene, petto
Ne-îna, se Ne-ïna,
v.
To pa-ou que me £}ourpeu que
je
te
,
me
Se bercer pour s'endormir: m'etulo-urnùri-o ; ,
rui-ine-iso
berçasse, je m'eudormir ois.