FOI
io8
FOR
FtiJTA, DO, adj. Voix flûtée, voix douce. 2.
Fin, rusé
mauvaise
un merle
Oqtie-i
:
un homme
fin,
adroit.
11
chaume.
plo flula;
sécher ces mottes, les font brûler, répandent h^s cendres, jètent leurs grains et recouvrent ensuite à la chariue. C'est ce que nf)us appelons Fo-ire un vora. ]
c'est
prend souvent en
se
part.
Ils font
:
Jambes maigres. [ Oqiicl home ci; [ Comme ces travaux sont pénibles , nous disons : Oinorio e-ilan fo-ire; j'aimerois autant loiiir, de las IhiUis; eet lioniiuc est nionlé quand nous sommes obligés de l'aire quchpic ihnse sur des flùles. Nous disons d'une telle persnnnt! contre notre gré. ] Oque-i un trc-ite, o cscoundu do-ou ùorou din sas tsa-otUsas ; c'est un traître, il cache des Fol, Folo, s. Celui, celle qui a perdu le sens, bâtons dans ses bas. J l'esprit Fou, folle. Nous disons, d'une fenime
FiCTAS,
s.
pi.
f.
mounla
.sur
:
[
:
mauvaise conduite
Fa-i (o folo de soun cor. ] fahn(|uc des élofTcs de laine, de soie, etc. Fabricant. [ Aulrelois cpic Faillir. Nous ne nous [ Fou, v. n. Manquer, finir l'on s'habiijolt iVEstofo dc-i fo-ï, nous avions à servons gucrcs que du participe ; ainsi , nous Tulîe plusieurs personnes qui avoicnt l'état de (lisons Cor-foli , pour exprimer luie jiersonne à Fohvir.an; no» l\as , nos Tsordat et pcnlsena se qui le cœur mantjue, qui s'évanouit. Dzour-foii; répandoicnt dans les provinces voisines; anjournuit tombante. ] <riun nos étofl'c's , quoique solides, n'ont plus de vo^ue et nous n'avons giièrcs plus de ces hommes FoLÔixio, s. f. Vessie remplie d'eau, qui se forme dans les parties du corps où l'on se brùle. que nous appelions Foùricans. ]
FodixIca:?
m. Celui
s.
,
(ic
(pii
:
:
:
FtioAR, FÔDASso, s. 1. Celui qui a la If le exaltée, et qui même a perdu une partie de ses facultés
On le «lit de la partie du corps où brûlure a fait former des vessies Me revcvse-i i'outo sur lou pé , r/uc tou de ségo me foloullié; je renversai le pot sur le pied, (pii de suite fut rempli de vessies.
FoLorr.i.iA, v. n. la
intellectuelles. 2.
Facétieux, facétieuse, goguenard, de
Fotàtre.
:
:
FoDÔRDAB, FoDÔRDAsso. Augmentatif du précédent.
FoDAR, FoDASso
,
adj. Insipide,
sans saveur: Fade.
FoNFÂRO, s. f. l'iècé de musique dans larpielle dominent ordinairement les cors et les trompettes Fanfare. :
lîadiner, folâtrer. [ A la première déclaration qit'on fait à luie jeune paysanne, elle Nous disons figurémcnt, Fonfaro , pour dire faste, ostentation , somptuosité répond : VoiiUs tna fodcdza; vous ne voulez que Pia/fe. Tout ce qu'il fait n'est que Piaffe. ( Ac. vous amuser. Quelqu'un qui est occupé ou chagrin, ) et qu'on veut amuser, répond : N'a-i pas evidzo FoîsroROu, s. m. Celui qui fait le brave, qui se vante de, fodedza. Si, en plaisantant, on se sent frapper de l'être et qui ne Test pas : Fanfaron. Fodedzas ou fodedzas pas ? ] trop fort, on dit
FonËDzA,
n.
v.
:
:
FoDEDzà-iRE,
FosFOROtiNÂDo, FoNFOBOcsÔRio, S. m. Rodomontade, vanterie en paroles Fanfaroiuule.
Qui aime à s'amuser.
s.
:
adi. Mal fognu, mulfognado; mal fait, pre iino fenno louto mal bâti, contrefait.
FocNA, DO,
mal
O
fofjnado;
a pris une
il
femme
Fonça, et
toute contrefaite.
s.
où
m. Bourbier, lieu où séjourneTst les eaux se forme une boue profonde Me se-i din lou fonga. de-issio e-i dzinoul; je me il
:
4)Outa suis mis dans le bourbier jusqu'au genou.
FoGNOu, FoGTïorso, adj. Plein de fange: Fangeux, fangeuse. [] Il y a une foire d'iiiver à Tulle, (ju'ou
foniouso , parce qu'ordinai- FoNCÂto, s. m. Maladie dans laquelle on a toujours faim sans pouvoir se rassasier Faim canine, un temps de pluie. ] £ Nous disons d'une personne qui, ayant grand FoGOT , s. m. Fagot. [ Les fourniers de ïulie appétit, mange avec voracité O lo Fon-galo. s'approvisionnent de fagots dans la forêt de De-là s'est formé l'adjectif Offokgôi-a, affamé. Ces derniers Gimel, ou sur les bords de la Corrèze. Se-i n'a-i re mindza despe-i appelle
rement
:
Lo
fie-iro
elle se tient tlans
:
:
sont
flottés.
FocôcTA, Do,
mal mal
habillé fugoté !
offongola je suis affamé,
]
adj. :
On
Ques
dit il
d'un
mal
homme mal fogoula
!
bâti, Qu'il est
je n'ai rien
—
hier
,
mangé depuis
hier.
;
J
Fo-orgriE-iRO, s. f. Pièce de bois courbée qui lient lieu de croupière aux mulets et aux chevaux de Flaquiiire. ( W. ) bât -
:
Fo-ÏBE, [
Nos
v. a.
Travailler la terre avec la
houe
:
Fouir.
Fo-ocTci , s. m. Fauteuil. lèvent avec la houe ( Voyez Farcir. 11 signifie les mottes de terre, de gazon et- de rcRci, V. a. Picmplir de farc« aussi, absolumcul remplir. Ainsi, nous disons: d'un bois ou de tout autre pays cul
cultivateurs
Trcntse
)
lïruyèrt:,
:
'