Partageons nos mémoires'' 2017

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Peuple sans mémoire est un peuple sans histoire et identité. Ce projet nous a beaucoup enrichi nos connaissances historiques, notre identité ethnique et bien sur notre regard positif envers le monde du point de vue historique. Dimitra Dimitroula



J’ai de mémoire veut dire je suis vivant, j’ai de l’avenir qui a ses sources au passé. Avec ce projet on a tourné notre regard au passé pour qu’il nous montre le chemin vers le futur. Et nous sommes fiers d’avoir des mémoires collectifs avec nos amis tunisiens, allemands et italiens !Vive l’amitié ! Irini - Georgina



• Un pays qui perd la mémoire est un pays qui disparaît • Je suis un Etre vivant= j’ai des mémoires.Perdre la mémoire= disparition comme Etre et comme pays. Je voudrais souligner l’importance de ce projet a notre existence au niveau individuel et collectif • J’ai bien aimé ce projet malgré sa difficulté. Merci nos amis tunisiens et allemands pour le partage de vos mémoires ! Yiannis



Ce projet est un bon voyage au Passé. Il faut toujours commémorer notre passé pour trouver notre Avenir. MERCI A TOUS ! Danaé



De ce projet on a partagé des mémoires de nos pays et des mémoires individuelles. J’ai bien adoré ce partage !!! On n’oublie pas le Passé !Il nous montre le futur ! Giorgos



Partager veut dire que tu as des sentiments des sensations, un point positif pour le Monte et ce qui se passe autour de nous. Ce l’objectif de ce projet. Ce pour cette raison que je l’aimais ! Dimitris



Etwinning par ce projet m’a donné l’opportunité de m’exprimer pour notre passé national et apprendre des choses pour les autres pays participés. Un grand merci à vous tous !! Charis



Il faut rêver l’avenir, vivre le présent mais n’oublier pas le Passé. Ca nous donne la force de continuer dans la vie. Vive l’amitié, vive ce projet! Partageons nos mémoires !! Maritina



Salut mes amis! Je vais vous déposer des mémoires qui m’ont bien marqué. Je me souviens que quand j’étais petit, il n’avait pas de téléphone portable. On téléphonait alors sur le téléphone fixe de la maison et bien sûr on ne pouvait pas parler autant qu’on voulait. Pour se communiquer avec des amis on écrivait des lettres .Quand quelqu’un nous envoyait une lettre par la poste, on la recevait ou moins deux semaines après. Je me souviens que chaque dimanche après –midi je jouais à cache-cache avec mes amis ou au ballon. Ma sœur et moi nous aimons aller au cinéma en plein air quand il faisait beau, surtout le printemps et l’été. Le cinéma en plein air est une institution en Grèce. Nos parents, ils nous laissaient aller seuls au cinéma sans avoir peur. On mangeait toujours de pop-corn durant du film- il y avait même de petits tables pour que les spectateurs pouvoir laisser leurs repas et boissons. Les salles de cinéma en plein air étaient comme un grand jardin. Il y avait beaucoup de fleurs, des arbres et des buissons. Je me sens encore l’odeur des ‘’gazias’’.des ‘’ jasmins’’ des ‘’ roses’’… Ah !! En ce moment-là je me sens de la mélancolie…… Actuellement il ne reste que peu de salles de cinéma en plein air. C’est vraiment dommage ! Je vous remercie de partager avec moi mes mémoires. Giorgos





Salut mes amis ! Je voudrais vous raconter le souvenir de mon frère Orphée. En 2004 c’était les jeux Olympiques à Athènes. Mes parents ont pris mon frère (il avait 7 ans cette époque – la et moi j’étais trop petite) et ils sont allés au stade pour voir les compétitions d’athlétisme. Nous étions le 25 aout .Le stade était plein de monde .Les gens arrivaient dans le stade avec des bouteilles d’eau fraiche- la température était encore élevée. Mon frère et mes parents, ont été assis sur les gradins les plus proches de la piste. Soudain, ils ont entendu la voix du speaker :’’ Départe la finale du 400 m haies dans 5 minutes. »Les public était très impatient. Les athlètes sont entrés dans le stade .Ils ont mis leurs pieds dans les ‘’ starting –blochs.’’On a tiré un coup de pistolet. Mon frère qui était si jeune a eu un de ces peurs et il s’est mis à pleurer…Mon père l’a pris dans ces bras et il lui a expliqué ce qui s’est passé. Les coureurs se sont élancés sur la piste. Tout est allé très vite. Le public grec était debout et applaudissait ! Les yeux de ma m ère ont remplis des larmes de joie. La championne était une jeune athlète grecque ‘’ Fanny Halkia’’.Tout le monde criait Hellas !Hellas ( c’est ne nom de mon pays en grec).Mon frère était si enthousiasmé de cette ambiance !Il m’a dit que c’est pour lui une mémoire inoubliable !! …et moi j’étais si jalouse de ne pas y assister dans un tel évènement….j’étais trop petite vous savez…. A plus Marianthi- Mira



Salut mes amis !

Je voudrais vous transférer les souvenirs d’enfance de ma grand-mère qui a grandi dans un petit village. Alors ma grand- mère Danaé me raconte souvent ses souvenirs. Quand elle était petite, elle allait à l’école à pied. Elle marchait une heure pour aller à la Canée, une très jolie ville dans l’ile de Crète qui avait une distance de 20 kilomètres. Et puis chez elle il n’y avait pas de télé. Ses parents n’étaient pas très riches. Les après-midi tous les enfants du village se ramassaient pour jouaient des jeux collectifs. Ils n’avaient pas des jeux électroniques comme nous. Un des jeux qui jouaient autrefois était le ’’ l’abeille’ ’Elle m’a raconté comment on le jouait. Deux enfants tenaient leurs mains en haut pour former un arc .Les autres enfants faisaient la queue et passaient sous ‘’ arc’’ chantant ‘’l’abeille passe avec ses petits ‘’ Ils les répétaient jusqu’au moment ou les enfants qui formaient l’arc avec leurs mains les baissaient pour attraper imprévu l’enfant qui passe en dessous ce moment – la. C’était très amusant m’a dit ma mamie. Pendant que les enfants jouaient, leurs parents se rencontraient au même endroit pour discuter. J’imagine cette ambiance chaleureuse. Tous étaient heureux. Je suis fier de ma grand-mère que j’adore. C’est la meilleure mamie du monde ! A plus Aggeliki



Mémoires de mon enfance Bonjour tout le monde. Je m’appelle Marianthi et je vais vous raconter un évènement qui m’est arrivé quand j’étais petite. Chaque été dès la fermeture des écoles, mes frères et moi, nous préparions notre sac de voyages pour aller chez nos grands-parents qui vivaient dans un petit village sur la montagne. Je me souviens que la veille je ne pouvais pas dormir .J’avais tant d’impatience d’aller chez ma grand- mère ! Mon père nous emmenait au village après un long voyage de 5 heures. J’adorais le paysage si beau et sauvage au même temps. Les jours y passaient plein de découvertes et d’émotions. Chaque jour on allait avec mon grand- père dans la forêt pour recueillir des champignons et des fruits. Je me suis émerveillé par les couleurs des fleurs, les animaux et les odeurs partout autour de nous. Une vie sublime à vivre une petite fille que j’étais ! Un de ces jours d’été m’a bien resté gravé dans ma mémoire. C’était un jour d’été très pluvieux. Je suis resté dans ma chambre et j’ai joué. Mon grand- père était assis dans le fauteuil et lisait son journal. Tout à coup, nous avons vu même un gros éclair à déchirer le ciel. Ensuite nous avons entendu un grand tonnerre. J’ai eu un de ces peurs que je ne pouvais pas dire un mot. En tournant la tête vers papie et en tant que choqué j’ai remarqué que le mur en haut de la tête de mon grand- père a été tombé comme si s’était bombardé ! De la poussière partout….. Je me souviens que mon papie ma enlevé et on est sorti de la chambre violement ! Je ne comprenais pas ce qui se passais mais j’ai entendu mes grands-parents de dire que c’était un coup de tonnerre qui est tombé à la maison à cause du sol qui avait la radio le grand-père. Ce n’était pas un bon mémoire a raconté mais c’est vrai. C’est un mémoire de mon enfance. Merci, votre amie Marianthi



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