Aujourd’hui, je vais vous conter une histoire bien plus éloignée des autres que vous avez pu lire C’est l’histoire qui tombe de nul part et qui raconte la vie d’un petit homme nommé Barnabé Ce petit homme est pas bien grand, on peut le comparer à une figue Barnabé, ne veut pas pas grandir, il veut rester petit toute sa vie
Barnabé adore faire du skate ! C’est un pro de la voltige en plus, Mais ce qu’il aime le plus c’est le roller Un vrai petit génie en la matière. Il patine et créer des swings. Barnabé, c’est un sacré
champion!
Eglantine n’aime pas le bus Mais au lieu des transports en commun Elle va au travail sur son toutou A huit heure pÊtante Hop Son ami toutou et elle, partent une journÊe bien remplie
Un jour Barnabé poursuivi par d’énormes cabots, prit peur Il avait la tremblote la chair de cocotte, il prit ses jambes à son cou Sur son passage, il vit un engin à deux roues C’est alors que Barnabé prit la décision de chaparder cette bicyclette Les toutous, babines dans le vent, n’allaient pas tarder à le rattraper Barnabé pédalait dans la semoule, il commençait à avoir mal aux guiboles Il en avait plein le pif, voilà bien belle lurette qu’il n’avait pas eu une frousse pareille Il n’y avait pas à tortiller, il fallait se bouger le popotin Soudain sur la route, une porte s’était ouverte de nul part Barnabé débarqua alors comme un cheveu sur la soupe dans un lieu inconnu au bataillon C’est alors ..
C’est l’histoire de Judith une petite punaise colocatrice d’une humaine dans une chambre quelque fois rangée Elle avait pour habitude de se balader et d’emprunter des chemins peu routiniers et arpentés Judith aimait l’aventure Elle adorait l’escalade, le saut à l’élastique sans élastique.. Car évidemment une punaise détient une paire d’ailes! Cette punaise regorgeait d’énergie Un jour, son amie humaine lui fit peur et elle se surprit à déclencher une odeur intensive de pistache Judith provoquait des odeurs D’ailleurs ses ancêtres avaient percé dans le monde du parfum Elle décida d’en faire de même et monter sa propre gamme
Annette aime bien les chats Elle a un tapis avec deux chats dessus Elle est contente et les chats aussi Dans son salon, elle a une nouvelle fleur C’est une pâquerette Annette la regarde tous les matins Elle la trouve très jolie A force de la regarder, la pâquerette se mit petit à petit à prendre vie Au bout d’un mois, elle cuisinait, faisait des randonnées et du karaoké
Il était une fois une paquerette Elle s’appelait Marguerite et chantait du Claude François à chaque couché de soleil Ce qui attira un petit ourson Jean michel Il était brun, avec des yeux doux comme le miel Gentil, il s’empressa de la rejoindre pour chanter avec elle Depuis ce jour, cette rencontre magique fut le fruit d’une belle amitié qui durera une éternité entre un ours et une pâquerette Fin ou début de l’histoire pour les rêveurs
C’est l’histoire d’un petit bonhomme qui n’avait pas fait grand chose de sa journée, c’est même pour dire qu’il avait peigné la girafe Sa mère lui répétait souvent qu’il yoyotait de la touffe Barnabé n’en avait que faire, il s’en tamponnait le coquillart Il en avait assez qu’elle en fasse tout un pataquès de son poil dans la main, ça lui montait le bourrichon. Mais un jour, sa mère Yvette-de-la-roche-sous-bois fut part d’un peu de tendresse et d’affection en lui signalant que le sol glissait à cause du verglas Barnabé têtu, ne l’écouta point Il se cassa alors royalement la margoulette Vexé de s’être retrouvé les quatre fers en l’air, il répéta sans cesse -“saperlipopette” -“nom d’un chien” -“flûte” -“nom d’une pipe en bois” Après s’être calmé, il regarda sa montre et constata qu’il était charrette, il allait louper son train ! Il se releva en express et mit la gomme. Il appuya sur le champignon et couru aussi vite qu’il le pu. Si Barnabé n’était pas à l’heure pour le soupé, sa mère Yvette allait lui passer un terrible savon Mais heureusement, pour lui il l’a eu Ouf
Il était une fois Jean-Eude le moustique La nuit, il piquait Le lendemain les gens avaient
des démangeaisons
Ce n’était pas une partie de plaisir Mais Jean-Eude satisfait et rassasié continuait sans cesse Il ne fallait pas mourir de faim Quand soudain un jour Johanna l’araignée le mangea tout cru en Le saisissant par ses mandibules Les gens n’avaient plus de piqûres Ils pouvaient dormir sereinement Fin
Judith conduisait comme une dératée ce jour là A fond la caisse, elle appuyait sur le champignon Bing - vitesse - lumière Elle se croyait pour la reine de la quatre voies Un coup de pied sur la pédale VROUM Elle adorait ce son VROUUUM Cela lui faisait perdre la tête Judith, la petite punaise aux allures si tendres n’était qu’en réalité qu’une fan de bagnole
Aujourd’hui Barnabé est dans le rush, il va passer ses examens C’est la fin des haricots pour Barnabé Il est temps de prendre la poudre d’escampette, de s’en aller à Perpète-les-oies et dès qu’il pourra rejoindre pétaoushnok Il a encore fait choux blanc Barnabé a l’impression de compter pour des cacahuètes Il est malheureux comme les pierres Il faudrait lui sonner les cloches, lui remonter les bretelles, lui dire que c’est Il le faudrait, sinon il ne sera pas sorti de l’auberge
pas bien
Il a un tas de choses à faire Imprimer des documents réfléchir à sa présentation orale, fignoler ses travaux C’est une sacrée course et en plus de ça, il n’a que quatre pattes Ce qui veut dire vingt doigts Pas assez pour tout faire en même temps Heureusement pour lui, il a une tête bien pleine Demain Barnabé passera sur le ring à affronter des adversaires, ça sera un moment à graver dans l’histoire
C’était un jeudi Ce jour là Barnabé s’en souviendra toute sa vie C’était le jour où on lui posa un appareil dentaire La fin du sourire charmeur qui faisait ravage chez les filles dans la cours de récrée avec ses petites dents de la chance Fin des jours où on lui dira qu’il était chanceux d’avoir d’aussi jolies quenottes Barnabé devait porter un appareil dentaire et ça il ne l’oubliera jamais Mais dès qu’il trouva l’occasion, il cassa l’appareil avec un fruit à coque dur trop mur, du caramel et du nougat Ah ça il ne s’en privait pas, il voulait à tout prix l’enlever pour retrouver son sourire d’origine Tant pis si cela ne convenait pas aux dentistes, soit disant il fallait que les dents soit rangées de telle manière Ca il s’en fichait il voulait être lui. Et ça tout simplement. “dites Ouistiti”
Emilien la chenille
avait froid aux pieds
Oui, Emilien était une chenille très rare Il avait deux pieds et du poil aux pattes Dépourvu de chaussettes, quand venait l’hiver la chenille s’enrhumait Une fourmie jean-Bernadette était habituée du ski Quand les grand froids arrivaient, elle se tricotait des chaussettes et des moufles pour ne pas chopper un rhume Alors Jean-Bernadette ayant un peu pitié de ce pauvre Emilien lui tricota une jolie écharpe verte et rouge ainsi qu’une paire de magnifiques chaussettes Emilien ne tomba plus jamais malade grâce à l’amie fourmi Ils devinrent copains comme cochons et chantèrent en coeur “nan mais laisser moi manger ma banane” Fin
Il était une fois dans une marre d’eau salée Salima une crevette qui dormait à l’abri des poissons indiscrets Elle ronflait tellement fort qu’elle faisait trembler les océans Les cétacés tout étourdis par ce son épouvantable étaient contraints de mettre des bouchons d’oreille Mais dépourvus d’oreilles, les cétacés ne pouvaient se protéger Alors Bruno le petit baleineau eu la merveilleuse idée de tenter de cesser le ronflement incessant Il alla siffler, mais rien ne changea Il tenta même de chatouiller Salima Mais rien ne fut non plus Enfin, il a eu l’idée de mettre une pince à linge sur le nez de Salima la crevette Celle ci brusquement s’arrêta de ronfler
Coucou Barnabé Olala Qu’est ce que tu es mignon Olala c’est à en faire peur
Eglantine aime ses toutous
Barnabé avait mal aux orteils ce jour là Il fut de même victime d’une forte fièvre qui le cloua littéralement au lit Son amie Eglantine s’empressa de lui apporter des glaçons pour le refroidir Mais rien ne changea Barnabé ne sentait maintenant plus ses pieds Elle décida alors d’appeler le médecin mais la ligne était occupée Ne voulant trop attendre elle contacta “Sos insectes Mal en point” et expliqua le cas de Barnabé aux ambulanciers. Très compréhensifs, ils envoya une infirmière veiller sur Barnabé. Cette dernière décida pour le plus grand bien de Barnabé qu’il fallait l’enrouler comme un rouleau de printemps dans un linge humide et le suspendre sur une branche Cette infirmière étant une araignée il lui était facile de tisser un drap à Barnabé et de l’accrocher comme une boule de noël à un sapin Rassurée de voir la température descendre elle alla dire à Eglantine qu’il n‘y avait plus de soucis à se faire Au petit matin Barnabé serait un homme nouveau L’infirmière regagna son lieu de travail et Eglantine la remercia Elle regarda avec beaucoup d’affection le linge suspendu au cerisier dans lequel Barnabé y était blottit La nuit passait. Aux premiers rayons de soleil, Eglantine s’empressa d’ouvrir ses paupières. Lesquelles elle avait laissé le ciel étoilé les bercer Ses premières pensées furent pour Barnabé Au moment où elle le regarda, le linge se déchira doucement Une étrange forme se formait sous ses yeux. Barnabé semblait se déployer. Offrir mille et une couleur Il semblait se métamorphoser Barnabé était transformé En papillon fin
Merci Ă lucie
( la luciole )
pour
les textes que tu as ecris.
allez zou c’est l’heure du dodo clic on éteint les lumières