REVUE DE PRESSE OCTOBRE 2021 100,7, 5.10.2021
Lag vun der Natioun "E bëssen de Geck gemaach mat de Leit" Maurice Molitor / tt Déi Lénk erwaarde sech keng grouss Annoncë vum Premier a senger Ried zur Lag vun der Natioun. D'Re-Indexéierung vum Kannergeld kéint net als grouss Ukënnegung verkaaft ginn. Et wier "e bëssen de Geck gemaach mat de Leit" wann d'Re-Indexéierung vum Kannergeld wierklech, wéi erwaart, den nächsten Dënsch‐ deg am Etat de la Nation als grouss Ukënnegung géif verkaaft ginn, esou d'Carole Thoma. D'Co-Spriecherin vun Déi Lénk huet drop higewisen, datt d'Kannergeld duerch d'Desindexéierung zënter 2006 (no Berechnunge vun der Chambre des Salariés) méi wéi 20 Prozent u Wäert verluer hätt. Souguer wann d'Indextranche vum 1. Oktober géif berécksiichtegt ginn, wier de Kafkraaftverloscht also bei wäitem net ausgeglach, sou d'Carole Thoma. Si gleeft iwwerdeems net, datt d'Regierung déi grouss Steierreform just wéinst de Krise-bedéngten Ongewëssheeten ausgesat hätt: "Si hunn déi zwar ugekënnegt, mee vun Ufank u war do kee gemeinsame Projet: do leien déi dräi Parteien einfach ze wäit auserneen. Dat heescht vun Ufank u war dat eigentlech en eidelt Verspriechen."
RTL, 5.10.2021
Politik vu Regierung verschäerft Ongläichheeten an der Gesell‐ schaft Vum Serge Pauly, Dany Rasqué
Dat soten en Dënschdeg déi Lénk, déi op hirer parlamentarescher Rentrée dem Staatsminister Xavier Be�el virgeworf hunn, d'Problemer schéin ze rieden.
"Grouss Krise kënnen nëmme solidaresch gemeeschtert ginn" huet déi Lénk den Dënschdeg op hirer Rentréespressekonferenz ënnerstrach a bedauert, datt d'Regierung d'Zeeche vun der Zäit net erkannt hätt. Zwee Joer virun de Walen, wiere Blo, Rout, Gréng just nach op de Rendezvous mam Wieler fixéiert, se hätte kee gemeinsame Projet méi an och guer net wëlles, nach grouss Reformen ëmzesetzen. Reformen, wéi zum Beispill d'Steierreform. Datt doraus näischt gëtt, gesäit déi Lénk als groussen Echec vun der Regierung. An alle Beräicher géifen d'Ongläichheete méi grouss ginn. Natierlech och am Logement, fir déi Lénk, den zweete groussen Echec vun DP, LSAP a Gréng. Fir de Spriecher vun der Partei, de Gary Diderich, ass dat "esou kloer, wéi d'Biller, déi de Militärsatellit ka maachen." Zu Lëtzebuerg hätt een et ëmmer méi dacks "mat existenzielle Situatiounen ze dinn, wou Jonker keng Wunneng fannen, fir op eegene Been ze stoen. Wou Fraen de Wee aus de Fraenhaiser net fannen, wou Flüchtlingen de Wee aus de Foyeren net fannen a wou ëmmer méi Leit sech ëmmer méi verscholden, op ëmmer méi laang Zäit." Net just de Logement, mä och Klimaschutz a Gesondheet wieren eng Klassefro. D'Deputéiert Myriam Ceccheti huet betount, datt sozial Ongläichheeten och Ongläichheeten an der Educatioun als Konsequenz hunn. An engem Bildungssystem, deen an den Ae vun déi Lénk deen Ongerechtsten an der ganzer EU ass. "D'Schoul, esou wéi den DP-Minister Claude Meisch se reforméiert huet, verschäerft déi Ongläichheeten, déi bestinn. Wie vun ënne kënnt, bleift ganz einfach ënnen." Dat sinn alles Ongläichheeten, déi et fir déi Lénk scho viru Corona gouf, ma de Virus hätt se verstäerkt an neier geschaf. Zum Beispill të‐ schent Leit déi geimpft sinn a Leit déi net geimpft sinn. D'Gesellschaft géif ëmmer weider auserneen driften an d'Solidaritéit och ëmmer méi verluer goen.
Land, 18.9.2020
Wort, 6.10.2021
Tageblatt, 7.10.2021
Land, 8.10.2021 1
8.10.2021 Tageblatt,Tageblatt, 21.9.2020
Tageblatt, 8.10.2021
Tageblatt, 13.10.2021
Tageblatt, 13.10.2021
Wort, 13.10.2021
Wort, 13.10.2021
Woxx, 13.10.2021 La menstruation au travail – briser les tabous et se libérer Line Wies, conseillère communale déi Lénk à Esch-sur-Alzette, est convaincue que la revendication des deux jours de « congé menstruel » par mois, n’est pas la solution adaptée à l’enjeu des règles pénibles au travail. Dans sa contribution, elle détaille ses préoccupations, ainsi que ses réflexions par rapport à solutions alternatives. De quoi ont besoin les personnes qui souffrent de leurs règles, lorsqu’elles sont au travail ? D’empathie certes. De la reconnaissance par leurs collègues et leurs supérieurs hiérarchiques que quand elles ont mal, elles ne peuvent être aussi performantes que d’habitude. Puis, d’une prise de conscience au-delà du monde du travail que les règles ce n’est pas inodore, incolore et rarement indolore. Et finalement, de travailler moins. Une pétition pour l’obtention de deux jours de congé supplémentaires au bénéfice des personnes menstruées thématise la douleur des règles qui empêche de travailler, voire même de se rendre au travail. Les pétitionnaires sont parties de leur expérience personnelle et ont été agréablement surprises du succès de leur pétition. La douleur des règles au travail concerne beaucoup de personnes disposant d’un uté‐ rus, même si très peu de personnes en parlent ouvertement. La pétition a le mérite d’en rendre compte et de participer à une prise de conscience collective du problème évoqué. « Gare au double-standard » En revanche, je suis convaincue que la revendication des deux jours de « congé menstruel » par mois, n’est pas la solution adaptée à l’en‐ jeu des règles pénibles au travail. Elle pourra même nuire aux travaill.eur.euse.s menstrué.e.s, au vu des discriminations que rencontrent les femmes au travail et face au travail. Tout d’abord elles font face au double-standard qui porte un jugement différencié sur les compé‐ tences des femmes par rapport aux hommes : Le travail des femmes ne vaudrait pas celui des hommes. Pour prétendre à une valorisation égale il faudrait qu’elles prennent les attributs des hommes. Dans le même sens, les capacités biologiques des personnes menstruées ont historiquement été prétexte à leur exclusion de certains travaux, mais aussi de certains pans de la vie sociale dont le marché du travail. Au‐ jourd’hui encore, ces discriminations persistent et elles se manifestent sur le marché du travail où les femmes sont largement représentées. C’est le cas pare exemple lors d’un entretien d’embauche, quand l’employeur.e. demande à la jeune candidate si elle a prévu d’avoir des enfants. Car les avoir c’est s’absenter de son travail pour une période donnée, peut-être devenir moins performant, car moins en forme et plus mentalement occupé par les obligations parentales. Répondre à cette question par l’affirmative, c’est ne pas obtenir le poste à coup sûr. Si on sait que certain.e.s employeur.e.s hésitent encore de nos jours à embaucher une personne qui a la prétention de devenir mère, l’introduction d’un congé menstruel ne peut que les rebuter davantage. Rien ne justifie un tel comportement, mais rien ne l’empêche. Il n’y a pas de lois qui protègent contre de telles discriminations sexistes. « Ne pas tomber dans le piège du patriarcat » C’est un combat féministe à mener, mais qui devrait aussi avoir lieu sur d’autres plans. Par exemple sur le plan de la répartition égalitaire entre hommes et femmes du travail du « care », c’est-à-dire tout travail rémunéré et non-rémunéré qui consiste à s’occuper d’autrui. Plus de femmes que d’hommes travaillent à mi-temps, pour pouvoir s’occuper de leur famille. Ainsi, quand les femmes ont des enfants, elles perdent en salaire, alors que pour les hommes devenir père de famille s’accompagne souvent d’une prime ou d’une promotion au travail. Les femmes restent cantonnées au foyer et au travail non-rémunéré, les hommes occupent les sphères économique et politique. La division sexuée du travail, ce n’est pas à cause des menstruations pénibles, mais à cause de la logique patriarcale qui se sert de ces contraintes biologiques pour en justifier d’autres. Pour ne pas tomber dans le piège du patriarcat, le débat qu’ont tenté d’ouvrir les pétition‐ naires devrait pouvoir porter sur l’acquisition de nouveaux droits pour tou.x.s.tes dans le monde du travail. Les pétitionnaires demandent deux jours de congé supplémentaires, leur accordant le droit de prendre soin de soi et de se soutirer à l’obligation de performance. Et si ces droits pourront-être accessibles et étendus à l’ensemble des travailleur.euse.s ? « Avoir plus de temps et de moyens pour prendre soin de soi » De plus en plus de personnes souffrent au travail, pas seulement des règles, mais aussi des pressions provoqué.e.s par les exigences de compétitivité et de performativité qui règnent sur le marché du travail, dans le secteur privé, mais aussi de plus en plus dans les adminis‐ trations de l’Etat. Il est évident qu’une telle pression renforce les inflammations liées aux règles et les sensations de déprime qui les ac‐ compagnent. Ce qu’on désigne désormais par syndrome prémenstruel (PMS) est aussi le produit d’une dégradation de nos conditions de vie dans des sociétés de plus en plus inégalitaires et compétitives au prix de l’environnement et de notre santé. Au Luxembourg, on tra‐ vaille plus et plus longtemps par rapport aux autres pays membres de l’Union européenne. On travaille trop et certain.e.s ne gagnent tou‐ jours pas assez pour y vivre décemment. Réduire le temps de travail, avoir deux jours ouvrables par semaine de libre, acquérir une autono‐ mie au travail, s’aménager ses heures et son espace de travail de manière à s’y sentir à l’aise, apporteront un changement radical de nos modes de vie et de production. La question de la souffrance liée aux règles se posera toujours. Elle pourra être thématisée sur d’autres plans de lutte, comme celle de la mise à disposition gratuite des articles d’hygiènes dans les infrastructures publiques et sur les lieux de travail. Ou encore au niveau du développement de méthodes et produits collectivement partagés de soulagement des douleurs. Enfin, c’est aux niveaux de la sensibilisation grand public et de l’éducation sexuelle que des efforts considérables doivent être faits, pour gommer une fois pour toute l’image publicitaire du joli liquide bleu versé sur les serviettes hygiéniques au milieu d’un champ de fleurs où courent des femmes en robes blanches immaculées libres comme le vent.
Wort, 16.10.2021
Tageblatt, 19.10.2021
Tageblatt, 21.10.2021
Tageblatt, 22.10.2021 21.10.2021
Wort, 23.10.2021 Wort, 22.10.2021
L’essentiel, 28.10.2021
RTL, 25.10.2021 Dossier Cannabis zu Lëtzebuerg
Déi Lénk begréissen déi nei Mesuren, fir d'Pirate geet et net wäit genuch Vum Fanny Kinsch, Pierre Jans Déi nei Mesuren am Kader vun der Drogepolitik, méi konkret ëm de Konsum vu Cannabis, suerge fir vill Diskussiounen an deels ënner‐ schiddlech Meenungen. Reaktiounen zu der Cannabis-Politik - Rep. Fanny Kinsch Fir d'Piraten ass et eng gréisstendeels repressiv Politik, fir d'ADR net repressiv genuch, an den Ae vun déi Lénk versteet d'Regierung net wat Präventioun ass an d'CSV ass zefridden, ma skeptesch wat d'Ëmsetzung ugeet - esou reagéieren d'Oppositiounsparteien an der Cham‐ ber op der Regierung hire Mesurëpak ronderëm d'Drogekriminalitéit. An Zukunft soll ee jo bis zu 4 Cannabisplanzen doheem kënnen ubauen, iwwerdeems ee wann een dobausse mat manner wéi 3 Gramm erwëscht gëtt nëmmen nach e Protokoll kritt - déi kuerzfristeg Mesuren huet d'Regierung e Freideg annoncéiert. Déi grouss Cannabislegaliséierung soll nach waarden, ma kuerzfristeg soll et erlaabt gi 4 Planzen Doheem unzebauen - den ADR-Depu‐ téierte Fernand Kartheiser weist sech skeptesch: "Mir mussen elo mol ofwaarden, wéi dat genee soll ausgesinn an eis dann nees déi Fro stellen, déi mer schonn e puer mol gestallt hunn - a wéi wäit ass dat do iwwerhaapt kompatibel mat eisen internationalen Obligatiounen." Fir d'Pirate geet et awer net wäit genuch. D’Regierung géing hir Walverspriechen net halen an eng gréisstendeels repressiv Drogepolitik féieren. D'Regierung wier zanter 8 Joer un der Muecht a géing iwwer d'Legaliséiere vu Cannabis schwätzen an elo géing sech weisen datt se nach net vill Opweises hätt, fënnt de Piraten-Deputéierte Sven Clement. "Dat ass all Walverspriechen einfach mol zur Fënster rausgepucht a gehofft datt d'Leit duerch déi Annonce vun de 4 Planzen Doheem ver‐ giessen, dass mer hei u sech e komplette Law and Order-Pack maachen, wou mer Annoncen, déi schonn 3-4 mol annoncéiert goufen nach eng Kéier widderhuelen ouni datt et wierklech eppes Neies ass." An den Ae vun de Piraten hätt ee méi wäit kënne goen: "Mir hätten den Ubau zum Beispill kéinten a Gemeinschaftsgäert erméiglechen, mir hätte kéinten den Handel bis zu engem gewëssenen Taux dekriminaliséieren, datt e gesot hätt, am Private ouni Gewënn-Ofsiicht erlabe mer awer gewëssen Transaktiounen. Dat ass natierlech ëmmer schwéier ze kontrolléieren, mee zum Beispill hätt ee kéinte soen dat muss an den eegene 4 Wänn stattfannen, dat däerf net op der Strooss stattfannen." Fir déi Lénk ass den Ubau doheem e Schrëtt an déi richteg Richtung, hei gëtt et och méi Versteesdemech fir déi virsiichteg Approche vun der Regierung. Déi Lénk hirersäits begréissen d'Annonce, datt ee 4 Planzen doheem kann ubauen, esou d'Nathalie Oberweis, och wann ee géing bedaueren, datt een nach ëmmer bestrooft gëtt wann ee mat klenge Quantitéiten erwëscht gëtt: "Ech denken dass se do vläicht nach zécken, och wëll se jo wierklech Angscht hu wéinst deem Drogentourismus, dee kéint kommen, wat ech verstinn. Dofir gi se mat klenge Schrëtt vir. Dat ass ganz virsiichteg, wat se elo maachen, mir hätten eis gewënscht, et géing scho bësse méi wäit goen, mee et ass en éi‐ schte Schrëtt an ech verstinn dat och." Allgemeng gesäit déi lénk Deputéiert de Mesurëpak ronderëm d'Drogekriminalitéit vun der Regierung kritesch - et géing gesot ginn, dat meescht wier Preventioun, mee dat géing guer net stëmmen: "Dat wat si Preventioun nennen ass keng Preventioun méi, do geet et drëms, ëm Leit, déi schonn an der Sucht sinn, dat heescht do si mer net méi an der Preventioun, déi Leit si jo deen Ament scho krank a schonn zum Deel an der Drogekriminalitéit dran. Dat ass eigentlech e falschen Discours. Droge-Preventioun sinn u sech déi 2 Moossnamen an de Schoulen, wou se higinn a wëllen d'Santé mental stäerken, de Bien-être stäerke vun deene Jonken, se opklären, dat ass alles Preventioun, do sinn ech averstanen. An do misst ee vill méi wäit goen, och gesellschaftlech, sozio-ekonomesch Facteuren analyséieren." Et kéint een zum Beispill eng Etüd maachen, fir eraus ze fannen, firwat d'Leit Drogekrank ginn an och firwat se an d'Drogekriminalitéit rut‐ schen, sou déi lénk Deputéiert. Reaktiounen vun de Parteien - Fanny Kinsch D'CSV wëll d’Annoncen am Dossier Cannabis nach an de Parteigremien diskutéieren, iert se sech positionéiert, seet den Deputéierte Laurent Mosar: "Meng Partei an ech si relativ kritesch par Rapport zu der ganzer Cannabislegaliséierung, mir reservéieren eis awer fir an den nächsten Deeg definitiv eis Positioun dozou ze fixéieren." Wat de Recht vun de Mesuren ugeet fillt d'CSV sech confirméiert, vill vun deene géing een zanter Jore fuerderen. "Ech denken un de Platzverweis, ech denken un d'Bodypackers, ech denken un d'Bodycamen, alles dat froe mir schonn zanter Joren, elo
RTL, 28.10.2021 Staatsministère
Srel huet sech mat Iwwerwaachungsinstrumenter equipéiert De Lëtzebuerger Geheimdéngscht huet d’Méiglechkeet, ënner strikte Konditiounen an ënner strikter Kontroll Iwwerwaachungsinstrumenter ze benotzen. De Srel hätt sech och deementspriechend equipéiert. Dat äntwert de Staatsministère op eng parlamentaresch Fro vun der Deputéiert vun déi Lénk Nathalie Oberweis. Hannergrond vun der Fro sinn Aussoe vum Staatsminister an engem Interview mat Luxembourg Times, déi suggeréieren, datt de Lëtzebuer‐ ger Staat déi ëmstridde Spionagesoftware Pegasus kaf hätt. Dës Aussoen hätte sech awer allgemeng op d’Akafe vun esou engem Outil bezunn, heescht et an der Äntwert. Aus Sécherheetsgrënn a fir d’Enquêten ze schützen, kéint ee keng Detailer iwwert technesch Equipementer vum Geheimdéngscht ginn.
Wort, 28.10.2021
RTL, 29.10.2021 Maniff vun Déi Lénk
Gréng an abordabel Energie fir all Menage Vum Diana Hoffmann
Wort, 30.10.2021
Déi Lénk hunn eng Maniff virum Energieministère op der Place de l’Europe opgeruff. Hannergrond ass d’Hausse vun den Energiepräisser an Europa. D’Fuerderung vun de Manifestanten: D’Regierung soll dofir suergen, dat all Menage gréng an abordabel Energie kréien. Eng knapp 20 Leit waren dem Opruff nokomm an hunn Plakater a Banner an d’Luucht gehalen. De Gary Diderich huet dann dräi Punkten opgezielt, wéi Déi Lénk sech wënschen, datt d’Regierung hir Responsabilitéit iwwerhëlt. Och wann d’Präisser fir d’Energie elo schonns ze héich wieren, misste se gedeckelt ginn. Dozou misste Leit mat niddregem a mëttle‐ rem Akommes eng finanziell Hëllef kréien Bis elo wier den eenzege Virschlag vun der Regierung gewiescht, d’Allocation de Solidarité ëm 200 Euro ze erhéijen, wat awer géing be‐ deiten, datt d’Leit déi Suen eréischt nom Wanter um Konto hätten. Datt kengem géing de Gas oder Stroum ofgedréint ginn, deen net be‐ zilt, wiere da bis elo och just eidel Wierder. D’Regierung misst hei en Urgencegesetz maachen, datt keen en eidele Masuttstank am Wan‐ ter wäert hunn. E weidere Sujet, deen ugeschwat ginn ass, waren d’Primme fir Albausanéierung. Vun dëse géingen den Ament Leit mat Sue profitéie‐ ren. Dobäi wier et eng Méiglechkeet fir Persoune mat manner Revenuen, bei enger Energiekris Suen anzespueren. Nodeems de Journaliste Ried an Äntwert gestane war, huet d’Maniff sech dann no enger knapper hallwer Stonn erëm opgeléist.