Gure MILAFRANGA
Dossier : un nouveau local pour les 25 ans du circuit auto足moto www.villefranque.fr
Le mot de M. Le Maire Auzapezaren hitza
Lors de certaines interventions des services de Secours, il a été constaté que certains Milafrangars n'ont pas encore bien mémorisé ou n'utilisent pas leurs nouvelles adresses (numéro de rue) et conservent des habitudes anciennes : appellation par le nom de la maison, notamment. Sachez que les services de secours ne connaissent que les nouvelles appellations et numérotations et qu'il peut donc être parfois vital dans ces situations, de savoir communiquer la seule bonne adresse :
numéro + rue ! Iduriz, milafrangar batzuek beren helbide berria (karrika zenbakia) ez dute oraino ongi gogoan, eta lehengo usaia atxiki dute: etxearen izena baliatzea, adibidez. Jakin ezazue sokorri zerbitzuek izen eta zenbaki berriak baizik ez dituztela ezagutzen; beraz, batzuetan, hil ala bizikoa izaten ahal da helbide ona ematen jakitea :
zenbakia + karrika!
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Travaux divers / Orotariko lanak
Amélioration de la Sécurité et de l'identification
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Déchets / Environnement
Nouveaux Artisans/Professionnels à Villefranque
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Un point sur les projets communaux
Travaux Ă Elizondo TTiki
Projet du local Auto-moto / Tokiko auto moto ihizi lokal proiektua
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14 Historique & Evolutions du club AUTO-MOTO
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PrĂŠsentation de l'asso de Chasse
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NOUVELLE RENTREE, NOUVEAUX RYTHMES SCOLAIRES
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Avec l'Ecole du SacrĂŠ-Coeur
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Avec l'APE Ecole Publique : sortie de fin d'annĂŠe scolaire
Nouveaux projets 2014-2015 avec l'APE Ecole Publique
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C'est la rentrée de l'école Publique
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Concert de Musique de Chambre
Livre sur l'histoire à Villefranque L'association JAKINTZA qui réalise des monographies sur les villages (Bassussarry et Itxassou en 20132014) se propose d'affecter son équipe de bénévoles au village durant tout cet hiver, répondant ainsi à un souhait des élus.
Pour ce faire Jakintza a besoin de photos anciennes : monuments, maisons, usines, artisans, scènes de la vie, battages, tuecochon, fêtes... Si vous avez des photos contactez Jakintza, on viendra vous les prendre et on vous les ramène dans la journée. La richesse de ce livre sera alimentée par les petits trésors que vous avez dans vos tiroirs ! Votre contact: Pierre SABALO, membre actif de Jakintza au 05 59 44 93 73.
C'est l'époque des repas d'anniversaire des Milafrangars... 40 A NS
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Bizi-Berria a repris ses activités
Errobiko Lagunak : déjà la rentrée...
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Lorsque Villefranque avait deux clochers... Jusqu’aux années 1960, une surprise attendait ceux qui La sœur et héritière, Mademoiselle Olhagaray rêve arrivaient à Villefranque. De part et d’autre du ravin assez d’être enterrée dans une église, alors que depuis le prononcé du Giristino Erreka, deux églises marquaient le Concordat (1801), les règlements l’interdisaient. village. Qu’à cela ne tienne, à force de donations pieuses et, en Deux clochers de style différent : l’un, nettement labourdin détournant les termes du testament fraternel, elle obtient des du 17e siècle avec son clocher mur à fronton triangulaire aigu autorités le droit de construire une église dans son jardin. et découvert, à deux baies fermées d’abatson et corbeaux apparents d’un ancien hourd, prolongé à l’arrière par une Et, ce n’est pas une petite chapelle… : large portail, nef de chambre à cloches, avec une horloge circulaire récente et quatre travées, transept, chœur et sacristie. Après sa devant lequel a été adossé une première construction formant construction commencée en 1907 mais interrompue par la porche, luimême surélevé d’une salle communale, qui, dans guerre 19141918, elle peut être consacrée comme église les années 1930, a été prolongé par une construction privée, paroissiale en 1920.
tandis que l’autre clocher, plus homogène, était de style néo galeries datés de 1632. romano gothique, en vogue vers 1900 (photo cidessus). Pourquoi ces deux clochers ? Soulignaientils deux quartiers rivaux du village ? Le clocher le plus ancien entouré du cimetière, et le plus récent voisin de l’école, du fronton, et de la mairie ? Cette bizarrerie résultait de la volonté obstinée d’une célibataire, un peu bigote, riche héritière de son frère Bernard Olhagaray. Vers 1880 ce Bernard, dont la famille était originaire de Villefranque, quitte Ustaritz, fait fortune aux Amériques (on disait que c’était dans les mines d’or) fait construire une maison sur le plateau, "le Petit Bercail", alors peu habité et sans arbres, et laisse dans son testament 40 000 Francs OR (soit 1 280 000 Euros actuels) pour réparer la vieille église de Villefranque assez mal en point.
Le problème : certes, l’évêque d’alors, Mgr. Gieure, a béni l’église, permis a Mlle Olhagaray et à quelques membres de sa famille d’y être enterrés mais les paroissiens de Villefranque ne l’ont jamais vraiment adoptée. Lorsque la messe dominicale avait lieu dans la nouvelle église, le curé y trouvait bien quelques femmes et les enfants du catéchisme mais les hommes se rendaient à l’ancienne église. Et, celleci était l’objet d’attentions de la part des Monuments historiques (inscrite en 1927) et de la municipalité : retable et
Au fil des ans, la situation devenait impossible, lorsque le clocher commença à branler, vers 1950, la municipalité considérant qu’il s’agissait d’un bâtiment privé ne voulut pas prendre en charge les travaux. Délaissée, devenue dangereuse, elle fut désacralisée, par Mgr Vincent et fermée. Vendue en 1968 avec la propriété, le premier soin de l’acquéreur fut de faire démolir cette église et de transférer au cimetière les restes des personnes enterrées là. Mademoiselle Olhagaray rejoignait alors le sort commun des paroissiens de Villefranque. Marie Claude BERGER
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TRIKI / XIRULA / PANDERO
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Gym & Zumba
De jolies fĂŞtes pour notre village
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Un nouveau départ pour ESKULARI
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Rencontre avec un Champion
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