Semaine de l'architecture 2004 by CAUE 44

SEMAINE DE L’ARCHITECTURE de Loire-Atlantique

MAISON DE LA PETITE ENFANCE DE BLAIN allée Nominoë à BLAIN

Programme Halte-garderie, mini accueil, Relais assistance maternelle Maîtrise d’œuvre ATELIER C architectes associés Maître d’ouvrage Commune de BLAIN Surface 430 m2 SHON Coût des travaux 615 000 € Réalisation Chantier en cours

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MAISON DE LA PETITE ENFANCE DE BLAIN allée Nominoë à BLAIN

La maison de la petite enfance de BLAIN est un projet communal aidé par la Caisse d’allocations familiales.

pétences et moyens. L’étude a été réalisée en 2001, le chantier, démarré en avril 2003, sera achevé en mai 2004.

La décision de créer cet équipement sur la commune provient d’un déficit d’accueil des jeunes enfants face à la croissance de la population de BLAIN et de ses environs. Le projet a été confié à Atelier C, mandataire d’une équipe de Maîtrise d’œuvre comprenant E2C (BET structure), Gantois & ITE (BET fluides), ECB (économiste) et ACOUSTIBEL (BET acoustique), suite à une consultation sur com-

L’implantation du nouveau bâtiment s’appuie sur un pavillon existant acquis par la commune. De part sa position centrale sur le terrain, cette maison a orienté I’organisation du projet. La maison de la petite enfance abrite le secteur Accueil parents et enfants et distribue les deux secteurs Multi-accueil et Halte garderie. En continuité sud de son volume, une extension est réalisée pour recevoir les servi-

ces du R.A.M.( Relais Assistantes Maternelles). Le bâtiment dédié aux jeux d’enfants se trouve implanté au nord du terrain. II libère ainsi un terrain de jeux extérieurs orienté au sud. La façade des salles de jeux est très largement vitrée, permettant des relations visuelles entre jeux extérieurs et jeux intérieurs, et un contrôle par le personnel plus facile. Des volets-persiennes en bois, orientables, permettent de contrôler I’ensoleillement de ces salles. Afin de cerner les espaces de jeux extérieurs, côté rue des Droits

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de I’Homme, une clôture sera réalisée en panneaux pleins en béton munis de fenêtres. Celle-ci assurera une protection au bruit vis-à-vis de la circulation, et une façade urbaine sur cette voie. La façade Nord est très faiblement percée. Des petites fenêtres complètent I’éclairage des salles de repos et des espaces de services. Elles seront situées à différentes hauteurs, permettant des vues pour les grands ou les petits.

Dans le prolongement de la maison au nord, un volume en saillie abrite le pôle logistique (Locaux du personnel, Cuisine, poubelles, Lingerie). Un accès indépendant est créé pour ces services. Pour fermer la parcelle au NordEst un préau est réalisé, son volume couvert en ardoise rappelle celui de la maison. La typologie retenue pour le projet est proche du vocabulaire architectural de I’habitat, pour

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assurer I’intégration du bâtiment dans le site, mais aussi pour réduire I’impact psychologique dû au changement de lieu, en accueillant les enfants dans un bâtiment à I’échelle de leur maison. Textes : Atelier C

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NGF +22.68

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MAISON DE L’ENFANCE LA CHAPELLE-HEULIN

Programme Locaux communs, périscolaire CLSH 6/12 ans, périscolaire CLSH 3/6 ans, communs péricolaires CLSH 3/12 ans, accueil petite enfance. Maîtrise d’œuvre Agence ENET-DOLOWY architecture-urbanisme Maître d’ouvrage Commune de LA CHAPELLE-HEULIN Surface 670 m2 Coût des travaux 690 000 € HT Réalisation 2003

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g Parti architectural La réponse architecturale proposée associe l’inscription dans une composition urbaine globale et la prise en compte des exigences d’usage propres à une Maison de l’Enfance. L’adaptation de l’échelle du projet à celle de son environnement, et le traitement de la volumétrie, confèrent à la nouvelle Maison de l’Enfance une image d’ouverture et de convivialité recherchée pour ce type d’équipements. L’emplacement du terrain dans un tissu urbain peu bâti autorise une certaine liberté formelle. Cependant, le contexte environnemental, et en particulier la proximité du centre-bourg, ont conduit les architectes à rechercher des caractéristiques architecturales locales, traduites selon trois orientations : - le travail des toitures en tuiles à deux pentes, - une volumétrie fragmentée © CAUE DE LOIRE-ATLANTIQUE - CRDP DES PAYS DE LA LOIRE - 2004

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(séquencement des façades…) à l’échelle du bâti environnant, - l’utilisation des matériaux de façades (pierre locale, bois, enduit…). La volumétrie générale du projet repose sur un volume central entièrement ouvert sur l’extérieur, confortablement vitré, et traversé par de petites « boîtes » plus fermées. Le corps principal, espace ouvert sur les jardins (façade Sud) et sur le parking (façade Nord) abrite tous les espaces d’ouverture de l’enfant sur l’extérieur (accueil sur parvis d’entrée, salles d’activités et d’éveil sur les jardins), espaces facilement appropriables par l’enfant. Les « boîtes », peu ouvertes sur l’extérieur, sont destinées soit aux services (sanitaires, locaux techniques, rangement, ofﬁce…) soit aux activités plus calmes de l’enfant (repos, peinture, bibliothèque…). Elles participent à la mise en place des repères spatiaux de

l’enfant, et sont identiﬁables de l’intérieur comme de l’extérieur. Ce jeu de « boîtes « exprime la destination de l’équipement. Les petits volumes pleins, s’encastrant dans un plus grand volume vitré, proposent à l’enfant une approche ludique de l’espace, codiﬁée par les matériaux et les couleurs propres à chaque « boîte ». Des vagues de tuiles, comme des feuilles de papier pliées, viennent couvrir l’ensemble du corps principal du bâtiment, certaines « boîtes » en échappant avec leur toiture terrasse. Cette volumétrie dynamique accompagne l’enfant dans sa socialisation, dans l’acquisition de ses repères dans l’espace et dans le temps, et dans le respect de son intimité, de sa sécurité et de son rythme propres.

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Simulation

g Ambiances intérieures Le corps principal, de volumétrie simple et facilement aménageable, bénéﬁcie d’une orientation Nord-Sud, avec des salles d’activités au Sud, prolongées au Nord par la ludothèque, l’accueil et l’espace pour les repas. Ce corps de bâtiment s’ouvre largement sur les espaces verts, loin des nuisances sonores et du regard des passants, et les salles d’activités et d’éveil trouvent leur prolongement sur de vastes jardins, traités dans la continuité de l’espace intérieur (auvent, traitement de sol, bandes de bâti se prolongent en bandes végétales afﬁrmées). Sous les rampants de toitures, le volume intérieur principal des grandes salles d’activités et d’éveil est toujours habité par ces « boîtes » rassurantes à l’échelle de l’enfant.

g Matériaux

g Espaces publics

Les revêtements de façade ont été choisis dans une recherche d’harmonie avec l’environnement : tuile, pierre, enduit traditionnel, bois et verre. Ils sont aussi mis en œuvre dans un esprit ludique, habillant ici une « boîte », là une autre. Une des « boîtes » est revêtue d’un appareillage de moellons (gneiss), une autre est recouverte d’un enduit peint en orange et incrusté de pavés de verre teinté, une troisième est recouverte d’un enduit blanc cassé.

Une attention particulière a été portée au traitement des espaces extérieurs : - « construits », clôturés et ludiques au Sud : des jardins paysagers. - ouverts au Nord, engazonnés ou en champs ﬂeuris : place publique, lieu de rencontre, d’accompagnement des enfants et de continuité des parcours piétonniers de la commune. Textes : agence ENET-DOLOWY

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A-LOCAUX COMMUNS 1- Porche d’entrée 2- Hall d’accueil 3- Bureau directrice 4- Bureau responsable CLSH Périscolaire 5- WC Handicapés 6- Vestiaires/sanitaires personnel 7- Lingerie 8- Local ménage 9- Local traitement d’air 10- Local poubelles 11- Local jardinage

B- PÉRISCOLAIRE CLSH 6/12 ANS 12- Espace vestiaire 13- Salle d’activités 14- Ludothèque 15- Bloc sanitaires 16- Local rangement 17- WC estérieur 18- Auvent

E- ACCUEIL PETITE ENFANCE 22- Espace vestiaires 23- Espace tampon 24- Salle d’éveil 25- Bloc sanitaires 26- Local rangement 27- WC extérieur 28- Biberonnerie 29- Espace repas 30- Atelier peinture 31- Dégagement 32- Chambre

C- ESPACE CLSH 3/6 ANS 19- Ofﬁce alimentaire 20- Salle des contes 21- Atelier de peinture 1 9

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EXTENSION DE L’ÉCOLE MATERNELLE LÉON BLUM rue de la Pierre à COUËRON

Programme Constuction de deux classes, d’un hall, sanitaires, local ATSEM et préau de 15 m2 Maîtrise d’œuvre L’ATELIER de la MAISON ROUGE Maître d’ouvrage Ville de COUËRON Surface extension 220 m2 préau 150 m2 Photographie : S. CHALMEAU

Coût des travaux 392 885 € Réalisation juin 2003

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Le projet d’extension de l’école maternelle Léon Blum s’est déroulé en deux temps, une phase d’étude préliminaire, suivi d’une mission complète de maîtrise d’œuvre. Les points suivants ont guidé notre travail Une importante concertation Le maître d’ouvrage n’envisageait au départ du projet que l’ajout de deux classes supplémentaires à la première extension réalisée par l’architecte nantais Daniel Roch en 1989.

EXTENSION DE L’ÉCOLE MATERNELLE LÉON BLUM rue de la Pierre à COUËRON

nous a conduit à proposer huit solutions d’implantation de la nouvelle école en indiquant pour chacune des solutions les points favorables et défavorables. Cette logique de concertation et de présentation du projet s’est déroulée pendant toute l’étude , multipliant les visites et les rendezvous avec l’équipe municipale, l’équipe enseignante et les autres personnels de l’école, puis avec les parents d’élèves. Une ouverture au site

Lorsque celui-ci nous proposa la reprise du dossier, nous lui avons proposé de retravailler, avec l’équipe municipale et l’équipe enseignante, afin de reformuler la commande. Un important travail de concertation débute alors visant l’intégration de multiple donnée dans la programmation de l’extension.

La solution retenue et développée par la suite permettait une multiorientation de chacun des espaces auxquelles nous étions très attachés. La lumière naturelle est présente partout et évolue au fur et à mesure de la journée. Un soin particulier de l’éclairage artificiel accompagne les sources de lumière naturelle.

Voilà les quelques points qui ont permis de reformuler le programme: • trouver un préau pour la cour maternelle. • intégrer de nouveaux services connexes aux deux salles de classe (sanitaires, hall d’accueil des enfants et des parents, vestiaires, local ATSEM) • Créer des classes accessibles aux personnes à mobilité réduite. (l’école, datant des années 50, ainsi que la première extension, restent difficilement accessible) • Rendre accessible l’extension au terrain de sport voisin, facilitant ainsi un potentiel changement d’affectation du nouveau bâtiment : La municipalité envisage de créer une nouvelle école. L’extension de l’école Léon Blum pourrait ainsi revenir au terrain de sport municipal et servir de locaux d’accueil et de vestiaires. La demande, ainsi reformulée,

La lumière naturelle, et les vues, font l’objet de cadrage particulier. Les ouvertures sont tantôt zénithales, tantôt au sein d’alcôves (les ouies) où les enfants peuvent se

réfugier pour lire ou regarder la cour. Le préau, avec ces parois transparentes et translucides, ces boîtes de rangement colorées, créé une transition douce entre les aménagements extérieurs et la tranquillité des espaces intérieures. Un soucis de l’énergie L’ensoleillement naturel permet un réchauffement des espaces. Il est couplé dans l’extension de l’école avec un plancher chauffant alimenté au gaz. Outre le confort des utilisateurs, ce système permet de réduire les coûts de fonctionnement du bâtiment dans la durée : On intègre ainsi la notion de coût global d’un bâtiment chère aux critères environnementaux en utilisant des énergies renouvelables.

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EXTENSION DE L’ÉCOLE MATERNELLE LÉON BLUM

rue de la Pierre à COUËRON

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Des équipements économes en eau ont été choisis pour les sanitaires enfants et adultes.

Photographie : S. CHALMEAU

Le soin des utilisateurs

Photographie : S. CHALMEAU

En plus du confort thermique et du confort acoustique que nous avons étudié pour chacun des espaces, Nous avons apporté un soin particulier au confort des utilisateurs • confort visuel : hauteur variable des ouvertures, ouvertures « surprises », ouverture d’un espace sur l’autre. • confort spatial : les aménagements intérieurs dessinés spécialement pour le projet sont adaptés à la tailles des petits utilisateurs et permettent une grande modularité des espaces. Des aménagements particuliers ont été réalisés pour les adultes (local ATSEM, cabine de douche enfant à hauteur d’adulte, etc.) • nous avons souhaité que le bâtiment soit très chaleureux, nous avons opté pour des couleurs très vives et des matériaux particuliers à forte « personnalité ». Un chantier en site occupé Le fonctionnement de l’école n’a pas été interrompu pendant la durée du chantier. Les interventions extérieures se déroulant le mercredi ou durant les vacances scolaires. Une classe a organisé un suivi du chantier, avec quelques visites commentées par l’architecte.

Photographie : S. CHALMEAU

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EXTENSION DE L’ÉCOLE MATERNELLE LÉON BLUM rue de la Pierre à COUËRON

Le projet La fermeture du préau sur la cour de la maternelle, à l’Est, comme sur la cour du primaire à l’Ouest,, protége des intempéries tout en conservant un contact direct avec les espaces extérieurs. À l’intérieur, les volumes simples laissent libres les aménagements possibles. De plan rectangulaire, les deux salles possèdent un point d’eau. Une zone bien identifiable permet de limiter l’espace dédié aux activités salissantes ou nécessitant de l’eau. La multiplicité des ouvertures autorise différents apports de lumières, de vues, et offre ainsi des ambiances variées au cours de la journée. »

Photographie : S. CHALMEAU

« Ce projet met en scène, autour de l’implantation et de l’organisation retenues par la commune au terme de la première phase d’études, des volumes simples. Ceux-ci sont animés par un jeu sur la lumière du jour, sur les vues, ainsi que par quelques touches de couleurs. Le projet se compose de deux salles de 64 mètres carrés, implantées de part et d’autre d’un espace sanitaire. Ce bâtiment est rattaché à l’existant par un préau fermé. Dans la continuité du bâtiment existant, ce préau de 100 mètres carrés est largement éclairé par un système de baies transparentes et translucides.

Textes : Atelier de la Maison Rouge

Photographie : S. CHALMEAU

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MAISON INDIVIDUELLE COUËRON

Programme Maison individuelle pour une personne seule, en fond de jardin. Maîtrise d’œuvre K. OLIVIER & F. MONTAUFRAY architectes avec la collaboration de Frédéric PECHEREAU et Élodie DANO Maître d’ouvrage Privé Surface 100 m2 Coût des travaux 129 600 € TTC Réalisation janvier 2003

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Mme Thébaud, retraitée, possédait une maison nantaise (pièces de vie à l’étage) sur un terrain d’environ 1800m2 dans un tissu pavillonnaire des années soixante à Couëron (44). Elle désirait une « maison de style moderne avec baies vitrées » tout en restant dans le même environnement. Son terrain a ainsi été séparé en deux et la maison nantaise donnant sur la rue, vendue pour financer son nouveau projet. Extrait de la note rédigée par Mme Thébaud avant le début des études : « Accès bitumé, maison avec pièce de vie salon s. à m. et espace cuisine (cheminée) avec

MAISON THÉBAUD COUËRON

accès sur terrasse bois un wc salle d’eau / 2 pièces fermées (chambre mezzanine ? placards) / bardage de bois - plâtre gratté ou autre matériau… triply.. pavés de verre - métal - brique… chauffage basse température… » . La nouvelle maison se situe en fond de parcelle en contrebas de la maison nantaise et d’un parc nouvellement aménagé. Cette situation de creux, ajoutée à la présence d’une mare en partie haute et d’un réseau d’eaux pluviales qui traverse la parcelle nous a conduit à décoller le plateau principal du sol. Côté sud, la maison s’élève pour privilé-

gier les échappées visuelles vers la rive opposée de la Loire et pour aménager un abri sous la maison. Côté nord elle rejoint le niveau du sol pour conserver un accès de plain-pied au volume intérieur principal. La toiture mono-pente et un élément en médium permettent de ménager des espaces différenciés (chambre, espace libre, atelier, cuisine et salon salle à manger) dans un même volume qui s’élève vers le sud. La partie en médium contient salle de bain, buanderie et wc au même niveau et une chambre d’appoint et une mezzanine aux niveaux intermédiaires.

Coupe longitudinale

Plan du niveau principal

MAISON THÉBAUD COUËRON

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Les matériaux utilisés font référence aux constructions légères et simples de fond de jardin. Le soubassement est en maçonnerie enduite et peinte. La partie supérieure est en structure métallique, 7 portiques soutiennent la toiture inox longue de 20 m. Le bardage qui se devait d’être sans entretien et économique est en tôle laquée ondulée. Textes : K. OLIVIER et F. MONTAUFRAY

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HIP-HOP MAISON DES JEUNES quartier de la Bottière, avenue des Amandines à NANTES

Programme Maison de jeunes en bâtiments modulaires, salles d’activités, salles de réunion, locaux techniques Maîtrise d’œuvre Agence DEBRAY-DRODELOT achitectes & associés Maître d’ouvrage Ville de NANTES Surface 217 m2 Coût des travaux 180 000 € HT Réalisation novembre 2003

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HIP-HOP est un lieu. Un lieu conçu pour et par les jeunes du quartier. HIP-HOP c’est deux corps de bâtiments en vis-à-vis autour d’une rue. D’un côté les activités bruyantes - salle polyvalente, salle de jeux, atelier. De l’autre les activités calmes - salle de réunion, bureau, salle informatique. Au centre, la rue couverte – lieu de rencontre, de manifestations … espace de JAM / didjaying, rap, breack… HIP-HOP c’est 200m2 de façades prêtes à être graphées. Une équipe de grapheurs professionnels enseigne l’art de l’écriture aux enfants qui peignent ensuite leur bâtiment. © CAUE DE LOIRE-ATLANTIQUE - CRDP DES PAYS DE LA LOIRE - 2004

HIP-HOP / MAISON DES JEUNES

quartier de la Bottière, avenue des Amandines à NANTES

HIP-HOP / MAISON DES JEUNES

quartier de la Bottière, avenue des Amandines à NANTES

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HIP-HOP / MAISON DES JEUNES

quartier de la Bottière, avenue des Amandines à NANTES

HIP-HOP est un support vivant, qui bouge, un espace d’échanges, de « compétitions » où chacun peut venir montrer ce qu’il sait faire. Il annonce les manifestations à venir … il colle à l’actualité. HIP-HOP c’est l’histoire de petits hommes verts sur la planète terre, la peinture plein les mains et qui n’ont qu’une idée en tête, colorer leur quotidien. Textes : agence DEBRAY-DRODELOT

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AMÉNAGEMENT DES QUAIS DE L’ÎLE DE NANTES quai de la Madeleine à NANTES

Programme Réalisation de deux cales, deux passerelles de franchissement et aménagements de surface. Maîtrise d’œuvre SARL d’Architecture J.M. LÉPINAY & associés Maître d’ouvrage Port autonome de NANTES-SAINT NAZAIRE Linéaire 1,2 km Réalisation 2003

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AMÉNAGEMENT DES QUAIS DE L’ÎLE DE NANTES quai de la Madeleine à NANTES

Propositions principales d’intervention 1 - Ancien quai Crouan réaménagé en cale alluviale. 2 - Les inserts métalliques visibles à la surface du sol sont mis en valeur. 3 - L’estacade est pourvue de garde-corps latéraux

4 - Franchissement de la cale par une passerelle sans appui intermédiaire

5 - Quai d’armement et quai sur pieux nettoyé / les anciens caniveaux sont mis en valeur

6 - L’estacade est pourvue de garde-corps latéraux

7 - Cale alluviale à créer 8 - Franchissement piétonnier de la cale N°2 par un traitement léger de la surface (platelage...) 9 - Création ou réutilisation d’une passerelle pour franchissement de la cale N°3 10 - Quai des Antilles : mise en valeur des pavés

Dans le cadre du transfert de propriété et d’usage à la ville de NANTES des terrains de la berge sud du bras de la Madeleine par le Port Autonome de NANTESSAINT-NAZAIRE, il a été convenu que ce dernier procéderait à ses frais à la consolidation des ouvrages existants, à leur mise en sécurité, à la transformation des anciens quais effondrés en cales et à l’aménagement pour l’usage des piétons du linéaire compris entre le pont Anne de Bretagne et la pointe ouest de l’île de Nantes. Le Port Autonome a décidé d’associer à sa réflexion sur la conception de ces différents ouvrages un architecte familier de l’ap© CAUE DE LOIRE-ATLANTIQUE - CRDP DES PAYS DE LA LOIRE - 2004

proche patrimoniale des espaces publics, et a confié à la SARL d’Architecture J.M. LEPINAY ET ASSOCIÉS une première mission limitée à la définition de la géométrie des deux cales, et particulièrement de la frange en contact avec le fleuve, ainsi que ses raccords avec les ouvrages existants conservés à leurs extrémités. Réalisé en juillet/août 1999, ce travail a mis en lumière la nécessaire réflexion à mener sur l’ensemble du linéaire de la berge, compte-tenu des imbrications multiples des différentes séquences, tant sur le plan visuel que par la prise en compte évidente des traces archéologiques des précédents usages portuaires et industriels.

Il a été convenu que la nouvelle mission s’attacherait à proposer des traitements permettant une fréquentation facile par les promeneurs du bord du fleuve, dans ce secteur particulièrement favorable à une vision des différents aménagements des quais de la rive droite et des bâtiments et ouvrages implantés depuis la butte Sainte-Anne jusqu’au centre historique de Nantes.

AMÉNAGEMENT DES QUAIS DE L’ÎLE DE NANTES quai de la Madeleine à NANTES

De manière à intégrer les diverses compétences et sensibilités des futurs acteurs et intervenants de cette réalisation, le Port Autonome a proposé une concertation associant la Ville de Nantes, le Service Départemental de l’Architecture et du Patrimoine, la Direction Régionale des Affaires Culturelles. Bien que la période d’étude se soit déroulée dans des délais particulièrement brefs, les échanges de vues ont été très constructifs, avec le rappel régulier d’un projet d’aménagement limité à une simple circulation des promeneurs, sans préjuger des choix ultérieurs, le développement et l’aménagement des terrains limitrophes de la zone

concernée devant être réalisés à partir des propositions de l’équipe d’urbanisme qui vient d’être pressentie pour l’étude de l’Île de Nantes. Les ouvrages importants de confortation, stabilisation et fondations que le Port Autonome a jugé techniquement indispensables, sans impact visuel notable, n’ont pas fait l’objet d’une appréciation ou d’une validation comme relevant de travaux d’entretien portuaire courants.

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relles à construire pour franchir les cales 1 et 3 devront être étudiées avec soin. De même, le maintien de la lecture des traces patrimoniales ainsi que la restitution et la mise en valeur de pavages, de rails ou de caniveaux techniques à inclure dans le nouveau revêtement nécessiteront une conception et un suivi des travaux particulièrement attentif à l’optique globle d’aménagement. Présentation du projet avant sa réalisation. Textes : agence LÉPINAY & ASSOCIÉS

Par leur référence à d’anciens ouvrages de service existant aux mêmes emplacements dans les chantiers navals, les deux passe-

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le promeneur passe sous la grue Titan.

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MAISON PAROISSIALE & AUMÔNERIE rue Claude Debussy à REZÉ

Programme Bureaux et salle de réunion. Maîtrise d’œuvre DLW architectes Maître d’ouvrage Évêché de NANTES Surface 230 m2 SHON Photographie : S. CHALMEAU

Coût des travaux 182 938 € HT Réalisation 2002

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Situé dans le quartier Rezé-Château, en périphérie de Nantes, le site de la maison paroissiale-aumônerie est inscrit dans un environnement composite. Il jouxte la chapelle Saint-André, construite en 1987, un lotissement de maisons « Castors » datant des années 60-70, et un jardin public boisé. Un transformateur EDF, placé sur le site, a été intégré à l’opération. La maison paroissiale répond aux besoins de la paroisse pour les rencontres, les réunions et entretiens quotidiens. Elle se compose de deux bureaux, d’un secrétariat et d’une salle de réunion pour 20 personnes, locaux distribués par un hall d’accueil.

MAISON PAROISSIALE & AUMÔNERIE rue Claude Debussy à REZÉ

L’aumônerie forme le lieu de rendez-vous pour les élèves du lycée voisin et s’organise autour d’un hall, d’un bureau et d’une salle modulable (pour 2 fois 20 personnes).

L’analyse du programme et du contexte a révélé différents axes de réflexion ayant permis d’orienter le projet. Le programme, implanté de plain-pied, se positionne de manière à fédérer les différentes composantes du site.

Les communs sont partagés par les deux corps du programme, ceux-ci devant pouvoir fonctionner de manière autonome. La cuisine accueille l’équipe de permanents, mais permet aussi l’organisation de repas collectifs ponctuels.

La volumétrie parvient, en étirant le programme le long de la limite mitoyenne, à créer une toile de fond accentuant la monumentalité de l’église tout en proposant, côté rue, un gabarit étroit compatible avec l’échelle des pavillons environnants.

Le jardin joue un rôle d’accès ou de garage pour vélos et constitue une possible extension de la cuisine ou de la salle de réunion modulable.

La représentativité de l’équipement est toutefois affirmée par le rehaussement du volume et par le choix d’une lasure de couleur vive.

Photographie : S. CHALMEAU

Les espaces engendrés par la disposition des masses sont de différentes catégories, et organisent la transition entre l’église et les pavillons.

MAISON PAROISSIALE & AUMÔNERIE

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Le long de la limite latérale du terrain, la succession des clôtures, du transformateur EDF (semblable à un modèle réduit de pavillon), d’un volume bas et d’un jardin clos à l’usage de l’aumônerie, mime le dispositif domestique des résidences voisines. Les deux halls d’accueil et la circulation multiplient, par de grandes baies et un jeu de portes vitrées, les transparences et les angles de vue, mettant en relation le passage et les cours. Textes : DLW

Photographie : S. CHALMEAU

Le long de l’église, un passage étroit apporte un sentiment de densité, jusqu’alors étranger au site, créant une sorte de « venelle » issue du vocabulaire urbain des centres historiques. Ce passage vers le jardin public est enrichi par deux dispositifs : les baies placées en saillie créent un relief perceptible lors du déplacement des piétons le long de la façade, alors que la perspective est augmentée artificiellement par la pente de toiture et le biais de la façade.

Photographie : S. CHALMEAU

rue Claude Debussy à REZÉ

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MAISON PAROISSIALE & AUMÔNERIE rue Claude Debussy à REZÉ

aumônerie

maison paroissiale

Façade sud-est.

salle de réunion modulable Coupe sur salle de réunion, halls et bureaux.

Coupe sur circulation, cour et jardin.

Façade nord-est.

Façade sud-ouest.

hall aumônerie

bureaux

hall maison paroissiale

secrétariat

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RÉHABILITATION D’UNE MAISON AVEC ATELIER REZÉ

Programme Transformation d’un ancien atelier en maison d’habitation et construction d’un garage-atelier. Maîtrise d’œuvre Olivier TRIC architecte DPLG Maître d’ouvrage Privé Surface 230 m2 SHON Coût des travaux 201 000 € Réalisation 2002

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RÉHABILITATION D’UNE MAISON AVEC ATELIER REZÉ

Étage

Rez-de-chaussée

Un peintre de décors de théâtre s’était fait construire un atelier au fond de son jardin. Cinquante ans après, sa fille décide de transformer cet atelier en habitation et demande a I’architecte de concevoir un espace qui pourrait évoquer I’ancienne activité de son père.

Dans le séjour, I’architecte a gardé les grands murs contre lesquels les grands châssis étaient appliqués et les a percés de fenêtres comme s’ils formaient un décor de théâtre. Pour desservir les chambres de I’étage, une passerelle traverse I’espace et rappelle celles que Ie peintre

bricolait pour atteindre les parties les plus hautes de sa toile. Au sud, Ie mur a été ouvert sur toute sa hauteur pour laisser entrer un maximum de soleil et offrir, depuis I’intérieur, une vue paysagère semblable a un grand décor.

RÉHABILITATION D’UNE MAISON AVEC ATELIER

REZÉ

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Façade nord

Coupe AA

Façade sud

Deux terrasses extérieures prolongent le séjour : I’une au sud pour profiter des demi-saisons, I’autre au nord, pour se protéger de la chaleur de I’été. À I’extérieur, pour accéder au verger et permettre le passage d’un motoculteur, la partie basse du pignon a été défoncée par un mur biais dont le prolon-

gement ménage I’entrée de la maison. Les vieux murs de I’atelier étant en parpaings de mâchefer, matériau friable et peu isolant, la totalité de la construction a été enveloppée extérieurement par de la laine de roche et recouverte de lames de bois disposées horizontalement.

Un atelier-garage, avec porche couvert, ferme la parcelle sur la rue. Cette construction, séparée de I’habitation, est constituée de grands panneaux pleins en bois, préfabriqués en usine, assemblés sur place et revêtus de lames de bois identiques à celles de la maison. Textes : Olivier TRIC

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RÉHABILITATION D’UNE MAISON AVEC ATELIER REZÉ

Façade nord

Pignon est

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GROUPE SCOLAIRE PAUL FORT chemin de la Nicolerie à SAINT-BRÉVIN-LES-PINS

Programme Restructuration et extension du groupe scolaire. Création de neuf salles de classes et de locaux communs. Maîtrise d’œuvre Agence DEBRAY-DRODELOT architectes & associés Maître d’ouvrage Ville de SAINT-BRÉVIN-LES-PINS Surface 1650 m2 SHON Coût des travaux 1 030 000 € Réalisation octobre 2003

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GROUPE SCOLAIRE PAUL FORT

chemin de la Nicolerie à SAINT-BRÉVIN-LES-PINS

L’école patio - 18 mois seulement ont été nécessaires entre le premier trait de crayon - mars 2002 - et le dernier coup de pioche octobre 2003 - pour concrétiser l’agrandissement et la restructuration du groupe scolaire.

L’école au milieu des pins

Le programme prévoit la création de sept nouvelles salles de classes et une restructuration des bâtiments existants en un minimum de temps et en site occupé. Notre réponse est simple : nous réalisons dans un premier temps les 7 nouvelles salles de classes et ateliers demandés, pour ensuite réhabiliter les locaux existants en accueil, bibliothèque, salle plurivalente, locaux administratifs … le tout organisé autour de patios. Les patios préservent les arbres. L’école patio se caractérise par la richesse des espaces proposés permettant d’envisager de multiples activités pédagogiques, une terrasse pour la bibliothèque, un carré pour le potager, un autre pour les arts plastiques … L’école patio est née du site, elle génère de nouveaux espaces.

Patio intérieur de nuit

Les classes des petits situées à l’ouest permettent un échange direct avec l’école maternelle. Les classes des grands situées côté rue de la Hautière permettent de redéﬁnir la nouvelle image de l’école, combinaisons d’espaces, de volumes et de transparences. L’école patio est née. Textes : Éric DRODELOT

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SEMAINE DE L’ARCHITECTURE de Loire-Atlantique

Vue depuis le préau : assises bois exotique, poteaux en acier galvanisé

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chemin de la Nicolerie à SAINT-BRÉVIN-LES-PINS

Façade sud

Plan de l’école

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ÎLOT 6 ZAC DU MOULIN HÈREL boulevard François Mitterrand à SAINT-HERBLAIN

Programme Immeuble de bureaux. Maîtrise d’œuvre BLR architectes Maître d’ouvrage LOIRE-OCÉAN DÉVELOPPEMENT Surface 1400 m2 Coût des travaux 1 700 000 € TTC Réalisation janvier 2004

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La Zone d’Aménagement Concertée (Z.A.C.) du Moulin Hérel est un nouveau quartier en construction à Saint-Herblain. La particularité de la démarche engagée par la maîtrise d’ouvrage sur ce territoire consiste en la proximité d’opérations de nature différente : logements, commerces, © CAUE DE LOIRE-ATLANTIQUE - CRDP DES PAYS DE LA LOIRE - 2004

ÎLOT 6, ZAC DU MOULIN HÈRES

boulevard François MITTÉRAND à SAINT-HERBLAIN

bureaux, qui a notamment permis une mutualisation des espaces de stationnement. L’immeuble de bureaux de l’îlot 6, situé en entrée de Z.A.C, se destine à accueillir, sur 1400 m2, un organisme public et une Société d’Economie Mixte (S.E.M.). Des questions d’image et de commu-

nication ont été traitées à travers la façade de cet immeuble d’angle qui se déploie de manière dynamique ; ses effets de redans orientant les parties vitrées sur des ouvertures au nord et au nord-ouest sont le résultat d’un travail sur les espaces intérieurs partagés ainsi que sur les bureaux

ÎLOT 6, ZAC DU MOULIN HÈRES

boulevard François MITTÉRAND à SAINT-HERBLAIN

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élevations

eux-mêmes, qui ont fait l’objet d’une étude technique poussée quant au confort quotidien des usagers, tant en termes d’éclairage naturel, de confort thermique ou encore d’ergonomie. Des espaces de croisements et de rencontres pouvant diversiﬁer la vie traditionnelle des relations de bureaux ont par ailleurs été ménagés. Enﬁn, le rez-de-chaussée n’est pas traité comme un socle, mais comme un élément en retrait de l’ensemble constitué par les deux niveaux de bureaux, et lui-même posé sur une dalle : une attention toute particulière a été portée aux éléments d’accueil et d’information du public.

Coupe

Textes : BLR

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boulevard François Mitterrand à SAINT-HERBLAIN

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BUREAU ET CENTRE DE CONTRÔLE DES VÉHICULES rue Bobby Sands à SAINT-HERBLAIN

Programme Bureaux et hall technique servant aux contrôles des véhicules par la DRIRE. Maîtrise d’œuvre Patrick JOLY architecte DPLG Maître d’ouvrage DRIRE Ministère de l’Économie Surface 1826 m2 SHON Photographie : S. CHALMEAU

Coût des travaux 2 271 155 € TTC Réalisation décembre 2002

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BUREAU ET CENTRE DE CONTRÔLE DES VÉHICULES rue Bobby Sands à SAINT-HERBLAIN

Photographie : S. CHALMEAU

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Le bâtiment, inscrit dans un environnement semi-industriel et tertiaire, accueille l’activité de Contrôle des véhicules réalisé par les services de la DRIRE. Situé sur un terrain de 17 000 m2, le projet comprend deux entités, d’une part la grande halle technique et d’autre part l’ensemble des bureaux. Il constitue un des plus grands centres de France. Un total de 6 lignes de contrôle des véhicules induit un hall technique de grandes dimensions alors © CAUE DE LOIRE-ATLANTIQUE - CRDP DES PAYS DE LA LOIRE - 2004

que le volume des bureaux est beaucoup plus limité. Le hall est donc constitué d’un volume sobre ne jouant que sur le contraste entre l’opacité des débords du bardage métallique et la transparence du bardage de polycarbonate. La partie administrative est un volume linéaire pour assurer une réponse équilibrée au volume du hall technique. Seuls, deux éléments sont traités de façon à faire signal : d’une part l’entrée des bureaux, largement vitrée, et

d’autre part la salle de réunion de forme elliptique, recouverte de zinc prépatiné, et faisant saillie par rapport au volume global. Le jeu des lumières à travers le bardage en polycarbonate de la halle technique et les parties largement vitrées de l’accueil des bureaux contribuent à enrichir la volumétrie du bâtiment et participent à la lisibilité de celui-ci. Textes : Patrick JOLY

Photographie : S. CHALMEAU Photographie : S. CHALMEAU

Photographie : S. CHALMEAU

rue Bobby Sands à SAINT-HERBLAIN

Photographie : S. CHALMEAU

BUREAU ET CENTRE DE CONTRÔLE DES VÉHICULES SEMAINE DE L’ARCHITECTURE

de Loire-Atlantique

SEMAINE DE L’ARCHITECTURE de Loire-Atlantique

BUREAU ET CENTRE DE CONTRÔLE DES VÉHICULES rue Bobby Sands à SAINT-HERBLAIN

Façade sud-ouest

PAYS DE LA LOIRE

Façade sud-est

Façade nord-est

Façade nord-ouest

coupe longitudinale